les jours (poids, insuffisance rénale sous jacente, traitement du surdosage, choix du produit )
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- Valentine Samson
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1 Les NACO dans la vie de tous les jours (poids, insuffisance rénale sous jacente, traitement du surdosage, choix du produit ) Charles-Marc Samama (1), Gilles Pernod (2), Pierre Albaladejo (3) et le Groupe d Intérêt en Hémostase Péri-opératoire (GIHP) (1) Service d anesthésie-réanimation, Groupe Hospitalier Cochin-Broca- Hôtel-Dieu, 27, rue du Faubourg Saint Jacques, Paris. (2) Médecine Vasculaire, CHU Grenoble, BP 217, Grenoble. (3) Pôle d Anesthésie Réanimation, CHU de Grenoble, BP 217, Grenoble. Introduction Les cinq dernières années auront été riches dans le domaine de la pharmacologie des anticoagulants. En 2013, ces nouveaux agents auront terminé leur phase de développement et ils vont à présent être utilisés à large échelle. L arrivée sur le marché du dabigatran (Pradaxa ), du rivaroxaban (Xarelto ) et de l apixaban (Eliquis ) doit être comprise comme un vrai progrès pour les patients, mais aussi comme une difficulté supplémentaire pour la pratique quotidienne des praticiens. Beaucoup d enthousiasme émerge de la part des utilisateurs, en particulier des cardiologues, car ils envisagent le remplacement progressif des antivitamines K et de leur cortège d effets indésirables Toutefois les ennuis pourraient commencer si l on ne réfléchit pas à la gestion péri-procédurale de ces agents. Déjà, des accidents hémorragiques ont été rapportés [1-3]. 1. Propositions pour une procédure réglée L analyse par Healey et al. des données de l étude RE-LY (dabigatran versus warfarine chez des patients porteurs d une arythmie complète par fibrillation atriale) montre que durant les deux ans de suivi, environ 25 % d entre eux ont bénéficié d une procédure invasive, allant de la pose de pacemaker à la chirurgie majeure en passant par l endoscopie digestive [4]. C est une proportion importante de patients traités par des doses thérapeutiques de NACO qui est
2 72 MAPAR 2013 concernée. Il est donc essentiel de prévoir cet afflux de patients (par projection, environ par an en France) et de définir une conduite à tenir. Que faire devant une dose thérapeutique de ces médicaments chez un patient traité pour une fibrillation atriale ou une thrombose veineuse profonde? Que faire quand on a prévu une anesthésie neuraxiale ou un bloc profond? 1.1. Fibrillation atriale et traitement des thromboses veineuses profondes Les excellents résultats présentés par le dabigatran (étude RE-LY) [5], le rivaroxaban (étude ROCKET-AF) [6] et l apixaban (étude ARISTOTLE) [7] comparés aux AVK dans l arythmie complète par fibrillation atriale, et ceux du rivaroxaban pour le traitement des thromboses veineuses (étude EINSTEIN-DVT) [8], suivis de l obtention d autorisations de mise sur le marché, vont très certainement conduire à une augmentation très conséquente du volume de prescription des NACO. Une réflexion s est établie au sein du Groupe d Intérêt en Hémostase Péri-opératoire (GIHP), à l initiative de Pierre Sié et Pierre Albaladejo [9]. Un certain nombre d idées peuvent être résumées de la manière suivante : Comme déjà vu, il est très difficile de prévoir la demi-vie des nouveaux ACO car il existe une énorme variabilité inter- et intra-individuelle dans l effet pharmacodynamique mesurable de ces médicaments. Par ailleurs leur métabolisme passe par une protéine, la PGP et le cytochrome 3A4. De nombreux médicaments, notamment à visée cardio-vasculaire, interfèrent avec cette protéine et ce cytochrome, induisant ainsi des modifications d absorption, de métabolisme et de demi-vie. L âge, la fonction rénale, le poids, sont aussi des facteurs confondants. Il est dès lors extrêmement compliqué d essayer de construire un modèle prédictif. En conséquence, décider d appliquer la même règle pour tout le monde, avec une interruption d une durée de deux demi-vies, n est pas réaliste pour les doses thérapeutiques. Aujourd hui il n existe pas d antagonistes disponibles permettant de reverser l effet de ces médicaments. Si les concentrés de complexe prothrombinique et le FEIBA ont déjà été utilisés chez l animal [10] et le volontaire sain [11-13] avec une efficacité sur les tests biologiques, notamment pour les anti-xa, les données sont contradictoires sur le saignement chez l animal [14, 15] et les données cliniques chez le patient traité sont absentes. Le temps de thrombine dilué (Haemoclot ) pour le dabigatran [16] et l activité anti-xa pour le rivaroxaban [17] et l apixaban sont réalisables à présent dans la majorité des laboratoires, mais l interprétation des résultats n est pas facile. En d autres termes, les valeurs rendues par le laboratoire ne permettent pas toujours au clinicien de gérer ces médicaments en péri-opératoire. Il semble donc qu il faille globaliser l ensemble des nouveaux anticoagulants oraux : dabigatran, rivaroxaban, apixaban, et bientôt édoxaban, pour simplifier leur gestion péri-opératoire et adopter une seule politique commune. En chirurgie réglée, une interruption des traitements 5 jours avant la procédure semble suffisante au vu de la pharmacocinétique de ces produits. Le dabigatran, dont l élimination est essentiellement rénale et la demi-vie atteignent 17 heures, il n est (le plus souvent ) plus présent dans la circulation plasmatique au-delà des 4 jours. Pour le rivaroxaban dont la demi-vie oscille entre 7 et 13 heures, le délai est un peu plus court. L apixaban a, quant à lui, une demi-vie de 10 à 15 heures [18].
3 Hémostase 73 Les patients pourraient être gérés en adoptant une stratégie mimant les recommandations de la Haute Autorité de Santé française sur les AVK. La même stratification pourrait être proposée mettant d un côté des patients à risque thrombotique élevé qui vont bénéficier d un relais par HBPM, deux injections sous cutanées par jour et les autres. Il s agit des patients en arythmie complète avec un score de CHADS 2 ou des patients traités récemment pour un événement thrombo-embolique veineux. Pour les autres patients, traités pour un risque thrombotique moins important, l arrêt simple du traitement anticoagulant oral 5 jours semble suffisant, sans relais HBPM (Figure 1). Enfin, un certain nombre de procédures actuellement réalisées sans interruption des AVK comme la chirurgie bucco-dentaire ou la plupart des A J B Dernière prise ACO Dernière prise ACO HBPM (ou HNF) à dose curative en cas de risque thrombotique élevé Intervention Reprise ACO J Intervention Prévention TEV si indiquée HBPM (ou HNF) à dose curative puis reprise ACO suivant le risque hémorragique endoscopies digestives, doivent très probablement pouvoir également être réalisées sous traitement, ou après une interruption de 24 heures. En ce qui concerne la reprise péri-opératoire des ACO, le GIHP propose la reprise à dose prophylactique le soir suivant l intervention, jusqu à ce que l hémostase chirurgicale soit stabilisée et/où que le cathéter d ALR soit enlevé, pour reprendre ensuite à dose plus importante, étant entendu que les patients valvulaires ne sont pas traités, du moins en théorie par les nouveaux anticoagulants Doses préventives en orthopédie et anesthésie locorégionale axiale (rachianesthésie, péridurale) Les recommandations 2010 de la Société Européenne d Anesthésiologie (ESA) [19] proposent des attitudes simples qui reposent sur une hypothèse pharmacocinétique [20] : avant de réaliser une anesthésie axiale, il est proposé d attendre deux demi-vies du médicament si celui-ci est prescrit uniquement à dose préventive (par exemple, demi-vie du rivaroxaban 9-13 h, délai de h). Puis l on recommence le traitement au minimum après un délai de 8 heures après la fin de l intervention (temps nécessaire pour une hémostase, consensus d experts), délai auquel on retranche le temps pour arriver au pic de concentration ou Tmax (par exemple Tmax du dabigatran 2 h, délai 8 h-2 h = 6 h).
4 74 MAPAR 2013 Rivaroxaban (Xarelto ) (prophylaxie, 10 mg.j -1 ) Apixaban (Eliquis ) (prophylaxie, 2,5 mg X 2) Dabigatran (Pradaxa ) (prophylaxie, mg) Délai avant la ponction ou l ablation du cathéter Délai après la ponction ou l ablation du cathéter Tests biologiques h 4-6 h Anti-Xa spécifique h 4-6 h Anti-Xa spécifique 34 h 6 h Temps de thrombine diluée (Haemoclot ) Toutefois, ces recommandations ne concernent que les doses préventives et elles restent théoriques en ne mettant pas complètement à l abri d une complication hémorragique. En effet, plusieurs paramètres, déjà détaillés plus haut, compliquent la gestion de ces produits. La variabilité intra- et interindividuelle. Les nombreuses interactions médicamenteuses. Les variations dans le temps de la fonction rénale. Enfin la dose préventive élevée du dabigatran en chirurgie orthopédique (220 mg en une prise) qui n est pas différente de la dose curative basse pour la fibrillation atrial (220 mg en deux prises de 110 mg). Il convient donc de gérer au cas par cas en pesant le bénéfice-risque de l anesthésie locorégionale axiale vis-à-vis d une anesthésie générale éventuellement associée à des blocs nerveux périphériques. Dans un certain nombre de cas, les héparines de bas poids moléculaire pourront également être préférées. La prudence doit rester la règle eut égard à la gravité des conséquences en cas de survenue d un hématome. Au maximum, puisque la procédure est réglée, on préférera une interruption de 5 jours avec ou sans relais. 2. Propositions pour une procédure en urgence ou pour la gestion d une hémorragie De nombreuses questions demeurent, dont celle de l arrivée en urgence d un patient traité à dose efficace (dose thérapeutique) avec un nouvel anticoagulant oral : le dabigatran est éventuellement dialysable ; ce n est pas le cas du rivaroxaban et pour l instant aucun antidote n est disponible. Les concentrés de complexe prothrombinique pourraient avoir une utilité, surtout pour les anti-xa (rivaroxaban, apixaban), mais sans preuve formelle. Les concentrés activés du même complexe (FEIBA) ont également été testés chez l animal et chez le volontaire sain avec des résultats variables [13]. Le GIHP a fait des propositions fin novembre 2012 pour la prise en charge des hémorragies graves et de la chirurgie urgente pour des patients bénéficiant d un traitement par dabigatran ou rivaroxaban dans un schéma curatif (hors prévention en chirurgie orthopédique majeure). L absence de données dans ces situations ne permet pas d émettre des recommandations, mais seulement des propositions pour la meilleure gestion possible. Une validation de ces protocoles sera nécessaire. Il est proposé de doser la concentration plasmatique des médicaments. En l absence de dosage spécifique, il est proposé de définir les conduites à tenir sur
5 Hémostase 75 la base de tests classiques (TP/TCA). Il s agit d une solution dégradée, les tests classiques ne permettant pas d évaluer réellement les concentrations précises d anticoagulant. La détermination des seuils hémostatiques est empirique. En fonction de nouvelles données cliniques, ces propositions sont susceptibles d évoluer. Elles seront mises à jour sur le site du GIHP : L ensemble de la démarche apparaît dans les tableaux suivants : CHIRURGIE URGENTE, PRISE EN CHARGE DES HEMORRAGIES ET NACO Dans tous les cas: Noter : âge, poids, nom du médicament, dose, nombre de prises par jour, heure de la dernière prise, indication Prélever : créatininémie (calculer une clairance selon Cockcroft) dosage spécifique: temps de thrombine modifié pour dabigatran activité antixa spécifique pour le rivaroxaban Contacter le laboratoire d hémostase pour informer du niveau d urgence et discuter des examens et prélèvements à effectuer Interrompre le traitement Une comédication par de l aspirine ne change rien au raisonnement La surveillance postopératoire doit être prolongée CHIRURGIE URGENTE et DABIGATRAN (PRADAXA ) Votre établissement dispose d un dosage spécifique de DABIGATRAN (Pradaxa ) [Dabigatran] < 30 ng /ml Opérer 30 ng/ml < [Dabigatran] < 200 ng/ml Attendre jusqu à 12 h* puis nouveau dosage** Opérer, si saignement anormal : antagoniser l effet anti-coagulant*** 200 ng/ml < [Dabigatran] < 400 ng/ml Attendre h puis nouveau dosage** Retarder au maximum l intervention Discuter la dialyse, notamment si Cockcroft < 50 ml/mn Opérer, si saignement anormal :antagoniser*** [Dabigatran] > 400 ng/ml Surdosage Risque hémorragique majeur Discuter la dialyse avant la chirurgie En cas d insuffisance rénale sévère, la demi-vie du dabigatran est nettement augmentée *Il n est pas possible de déterminer avec précision le délai d obtention d un seuil de 30 ng/ml, d où la mention «jusqu à 12 h» **Ce deuxième dosage peut permettre d'estimer le temps nécessaire à l obtention du seuil de 30 ng/ml ***Cette proposition s applique essentiellement aux situations d urgence où l on ne peut pas attendre : CCP=25-50 UI/kg ou FEIBA=30-50 UI/Kg en fonction de la disponibilité Pas de données disponibles sur le risque thrombotique de fortes doses de CCP ou de FEIBA, chez ces patients L'antagonisation par CCP ou FEIBA ne corrige pas complètement les anomalies biologiques de l hémostase
6 76 MAPAR 2013 CHIRURGIE URGENTE et RIVAROXAN (XARELTO ) Votre établissement dispose d un dosage spécifique de RIVAROXABAN (Xarelto ) [Rivaroxaban] < 30 ng/ml Opérer 30 ng/ml < [Rivaroxaban] < 200ng/ml Attendre jusqu à 12 h* puis nouveau dosage** Opérer, si saignement anormal : antagoniser l effet anticoagulant*** 200ng/ml < [Rivaroxaban] < 400 ng/ml Attendre h puis nouveau dosage** Retarder au maximum l intervention Opérer, si saignement anormal : antagoniser*** [Rivaroxaban] > 400 ng/ml Surdosage Risque hémorragique majeur *Il n est pas possible de déterminer avec précision le délai d obtention d un seuil de 30 ng/ml, d où la mention «jusqu à 12 h» **Ce deuxième dosage peut permettre d'estimer le temps nécessaire à l obtention du seuil de 30 ng/ml ***Cette proposition s applique essentiellement dans les situations d urgence où l on ne peut pas attendre : CCP=25-50 UI/kg ou FEIBA=30-50 UI/Kg en fonction de la disponibilité Pas de données disponibles sur le risque thrombotique de fortes doses de CCP ou de FEIBA L'antagonisation par CCP ou FEIBA ne corrige pas complètement les anomalies biologiques de l hémostase CHIRURGIE URGENTE et DABIGATRAN (PRADAXA ) Il s agit d une solution dégradée en cas d indisponibilité immédiate de dosage spécifique. Elle ne garantit pas de manière formelle l absence de complications hémorragiques TCA 1.2 et TP 80 % Opérer 1.2 < TCA 1.5 ou TP < 80 % TCA > 1.5 Attendre jusqu à 12 h* et obtenir un dosage spécifique / nouveau TP- TCA Opérer, si saignement anormal : antagoniser *** Attendre h et obtenir un dosage spécifique / nouveau TP-TCA Si Cockcroft < 50 ml/mn, obtenir un dosage spécifique, pour dépister un surdosage et/ou discuter une dialyse Retarder au maximum l intervention Opérer, si saignement anormal :antagoniser*** En cas d insuffisance rénale sévère, la demi-vie du dabigatran est nettement augmentée * Il n est pas possible de déterminer avec précision le délai d obtention d un seuil TCA 1.2 et TP %, d où la mention «jusqu à 12 h» ** Cette proposition s applique essentiellement dans les situations d urgence où l on ne peut pas attendre: CCP=25-50 UI/kg ou FEIBA=30-50 UI/Kg en fonction de la disponibilité Pas de données disponibles sur le risque thrombotique de fortes doses de CCP ou de FEIBA, chez ces patients L'antagonisation par CCP ou FEIBA ne corrige pas complètement les anomalies biologiques de l hémostase Remarque : Les TP-TCA peuvent être perturbés pour d autres raisons que l anticoagulant. On pourra recourir, dans un second temps, à l analyse du temps de thrombine (TT), si disponible, qui s il est normal, permet d exclure la présence de dabigatran.
7 Hémostase 77 CHIRURGIE URGENTE et RIVAROXABAN (Xarelto ) Il s agit d une solution dégradée en cas d indisponibilité immédiate de dosage spécifique. Elle ne garantit pas de manière formelle l absence de complications hémorragiques TCA 1.2 et TP 80 % Opérer 1.2 < TCA 1.5 ou TP < 80 % Attendre jusqu à 12 h* et obtenir un dosage spécifique / nouveau TP-TCA Opérer, si saignement anormal : antagoniser *** TCA > 1.5 Attendre h et obtenir un dosage spécifique pour dépister un vrai surdosage Retarder au maximum l intervention Opérer, si saignement anormal : antagoniser*** *Il n est pas possible de déterminer avec précision le délai d obtention d un seuil TCA 1.2 et TP %, d où la mention «jusqu à 12 h» **Cette proposition s applique essentiellement dans les situations d urgence où l on ne peut pas attendre: CCP=25-50 UI/kg ou FEIBA=30-50 UI/Kg en fonction de la disponibilité Pas de données disponibles sur le risque thrombotique de fortes doses de CCP ou de FEIBA, chez ces patients La réversion par PPSB ou FEIBA ne corrige pas complètement les anomalies biologiques de l hémostase Le rfviia est une option en dernier recours Remarque : Les TP-TCA peuvent être perturbés pour d autres raisons que l anticoagulant. On pourra recourir, dans un second temps, à l analyse de l activité antixa, si disponible, qui si elle est normale, permet d envisager une concentration de rivaroxaban < 30 ng / ml. SAIGNEMENT et DABIGATRAN (Pradaxa ) ou RIVAROXABAN (Xarelto ) Votre établissement dispose d un dosage spécifique de DABIGATRAN (Pradaxa ) ou RIVAROXABAN (Xarelto ) Hémorragie dans un organe critique (intracérébral, sous dural aigu, intra-oculaire ) 1) FEIBA UI / kg* ou 2) CCP 50 UI / kg* Si [ ]** < 30 ng / ml : pas d antagonisation Hémorragie grave selon la définition HAS 2008 (hors cas précédent) Privilégier un geste hémostatique si réalisable Si pas de geste hémostatique immédiat et si [ ]** > 30 ng / ml Discuter l antagonisation*** (pas toujours nécessaire) * Fonction de la disponibilité. Pas de données disponibles sur le risque thrombotique des fortes doses de CCP ou de FEIBA, chez ces patients ** [ ] signifie concentration *** CCP=25-50 UI/kg ou FEIBA=30-50 UI/Kg
8 78 MAPAR 2013 SAIGNEMENT et DABIGATRAN (Pradaxa ) ou RIVAROXABAN (Xarelto ) Il s agit d une solution dégradée en cas d indisponibilité immédiate de dosage spécifique Hémorragie dans un organe critique (intracérébral, sous dural aigu, intra-oculaire ) 1) FEIBA UI / kg * ou 2) CCP 50 UI / kg* Si ratio TCA 1.2 et TP 80 % : pas d antagonisation Hémorragie grave selon la définition HAS 2008 (hors cas précédent) Privilégier un geste hémostatique si réalisable Si pas de geste hémostatique immédiat Et si ratio TCA > 1.2 (isolé) ou TP < 80 % Discuter l antagonisation** (pas toujours nécessaire) et obtenir un dosage spécifique * Fonction de la disponibilité. Pas de données disponibles sur le risque thrombotique des fortes doses de CCP ou de FEIBA, chez ces patients ** CCP=25-50 UI/kg ou FEIBA=30-50 UI/Kg Références bibliographiques [1] Legrand M, Mateo J, Aribaud A, Ginisty S, Eftekhari P, Huy PTB, et al. The use of dabigatran in elderly patients. Archives of Internal Medicine 2011;171(14): [2] Lillo-Le Louët A, Wolf M, Soufir L, Galbois A, Dumenil A-S, Offenstadt G, et al. Life-threatening bleeding in four patients with an unusual excessive response to dabigatran: implications for emergency surgery and resuscitation. Thromb Haemost 2012;108(3): [3] Warkentin TE, Margetts P, Connolly SJ, Lamy A, Ricci C, Eikelboom JW. Recombinant factor VIIa (rfviia) and hemodialysis to manage massive dabigatran-associated postcardiac surgery bleeding. Blood 2012;119(9): [4] Healey JS, Eikelboom J, Douketis J, Wallentin L, Oldgren J, Yang S, et al. Periprocedural Bleeding and Thromboembolic Events With Dabigatran Compared With Warfarin: Results From the Randomized Evaluation of Long-Term Anticoagulation Therapy (RE-LY) Randomized Trial. Circulation 2012;126(3): [5] Connolly S, Ezekowitz M, Yusuf S, Eikelboom J, Oldgren J, Parekh A, et al. Dabigatran versus Warfarin in Patients with Atrial Fibrillation. N Engl J Med 2009;361(12): [6] Patel MR, Mahaffey KW, Garg J, Pan G, Singer DE, Hacke W, et al. Rivaroxaban versus warfarin in nonvalvular atrial fibrillation. N Engl J Med 2011;365(10): [7] Granger CB, Alexander JH, McMurray JJV, Lopes RD, Hylek EM, Hanna M, et al. Apixaban versus warfarin in patients with atrial fibrillation. N Engl J Med 2011;365(11): [8] EINSTEIN Investigators. Oral rivaroxaban for symptomatic venous thromboembolism. N Engl J Med 2010;363(26):
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