NOUVELLE PAC 2015 à 2020

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "NOUVELLE PAC 2015 à 2020"

Transcription

1 NOUVELLE PAC 2015 à 2020 Informations connues au 25 janvier 2015

2 Cap sur la Pac Nouvelle architecture des soutiens directs Les DPU n ont plus d existence juridique depuis le 31 décembre Ils font place à trois nouvelles aides découplées à compter du 1 er janvier 2015 (voir schéma ci-dessous). ( SOUTIENS CIBLÉS FUTURES AIDES DÉCOUPLÉES Soutiens couplés Aides JA ( Surprime des 52 premiers ha Aide verte proportionnelle au DPB Paiement de base (DPB) Pour le registre de l agriculture, les agriculteurs double-actifs et les cotisants solidaires devraient être inscrits en tant qu agriculteurs actifs. Toute structure ayant une activité agricole et n étant pas sur la liste régative (aéroport, terrain de loisir ) pourra déposer un dossier PAC : l affiliation à la MSA serait une condition suffisante, mais pas nécessaire. Les exploitants à titre secondaire, actifs, sont éligibles. Couplage à la tête ou à la surface. Aide de 70 /ha avec un plafond à 34 ha versée pendant 5 ans. Montant forfaitaire sur les 52 premiers ha : de 25 /ha en 2015 à 99 /ha en Aide découplée par hectare. Conditionnée à des mesures vertes. Aide découplée par hectare. Convergence à 70 % en France. Limitation des pertes à - 30 % sur le DPB. Source «Chambres d agriculture» Création des DPB (droits à paiement de base) L historique des aides sera gommé pour tendre progressivement vers une valeur moyenne nationale d ici 2019 : au moins 70 % de la valeur du DPB moyen français. Pour avoir accès aux DPB en 2015, il faut avoir un ticket d entrée, c est-à-dire : - avoir reçu des paiements directs en 2013 ; - OU avoir reçu une dotation de la réserve nationale en 2014 ; - OU se voir transférer par clause, dans le cadre d une acquisition de terres, le ticket d entrée par une personne qui l a elle-même et répond aux critères d agriculteur actif en 2015 (établir un dossier PAC 2015 et détenir une surface d au moins un are). Être agriculteur actif pour percevoir des DPB en 2015 Concernant les aides PAC, c est la règle européenne qui s applique : surface minimale exploitée d 1 are. À qui appartiennent les DPB? En règle générale, les DPB appartiendront aux agriculteurs qui les activeront, c est-à-dire qui exploitent les terres. Ainsi, une société sera détentrice des DPB alors qu avant les DPU étaient mis à disposition. Autre exemple, un fermier exploitant des terres et louant des DPU depuis 2008 deviendra propriétaire des DPB en 2015 puisqu il n y a pas de clause de transfert. Le portefeuille de DPB sera notifié en fin de campagne 2015 (peut-être une information préalable au 15 mai). La France ne paiera pas d aide à un exploitant qui a droit à moins de 200 d aides. Beaucoup de questions relatives au transfert, modification d associés au sein d une société, passage d individuel à société ou inversement, sont encore «en cours d expertise». DPB : Jeunes agriculteurs (JA) et revalorisation La commission européenne estime qu il suffit qu un seul asso-

3 cié soit JA pour que la société tout entière soit considérée JA - ET le JA se verra attribuer obligatoirement des DPB à la moyenne nationale 2015 par la réserve ; - OU les DPB seront revalorisés s il reprend des DPB inférieurs à la moyenne ; - ET tous les DPB de la société seront revalorisés à la moyenne nationale. Le nouvel exploitant pourra-t-il bénéficier de la réserve comme le JA? C est toujours en cours d expertise. La réserve sera-t-elle suffisante? La question est posée. Aucun chiffrage n a été avancé à ce jour. Deux principales clauses de transfert entre le 1 er janvier 2015 et le 15 mai Clause de transfert de ticket d entrée : pour celui qui n était pas exploitant en 2013 ou non bénéficiaire de la réserve en Clause de transfert des montants de référence : pour transférer la valeur historique des DPU lorsqu il s agit d un agriculteur en place qui reprend du foncier du 15 mai 2014 au 15 mai Des clauses de subrogation existeront pour certains cas particuliers : héritage, donation, changement de dénomination, changement de statut juridique, fusion, scission. «La résultante sera traitée comme l aurait été la source» à condition qu il y ait continuité du contrôle par le même associé (sauf héritage et donation) : il faut qu au moins un des chefs d exploitation ait été chef d exploitation de l ancienne exploitation. La nouvelle exploitation en cas de : - transformation d une exploitation individuelle en société, - transformation d une société en une exploitation individuelle, - ou changement de forme juridique d une société, bénéficiera des DPB de l ancienne exploitation. Pour cela, une clause de subrogation doit être déposée. 2. Comment bénéficier du «paiement vert»? Le «paiement vert» est un paiement découplé (c est-à-dire indépendant du type de production) dont le montant est proportionnel au montant du paiement de base. Il sera, en 2015, de l ordre de 84 /ha en moyenne. Ce paiement sera accordé à tout exploitant, bénéficiaire du DPB, qui respecte trois critères bénéfiques pour l environnement : 1. Contribuer au maintien, au niveau régional, d un ratio de prairies permanentes par rapport à la SAU, et ne pas retourner certaines prairies permanentes, dites sensibles. Si ce ratio se dégrade ( 5 %), les réimplantations en prairies permanentes seront imposées (les références herbe individuelles datant de 2010 n existeront plus à partir de 2015) Prairies permanentes (PP) sensibles : Prairies qui nécessitent une stricte protection pour atteindre les objectifs des directives Habitat. Désignation en cours au niveau national (prairies situées en zone Natura 2000). Interdiction stricte de retournement de ces PP sensibles Maintien des prairies permanentes ordinaires La part de PP/SAU ne doit pas diminuer de plus de 5 % par rapport à une période de référence. Ce ratio est suivi au niveau régional : PP déclarées en 2012 Ratio de référence = + nouvelles PP déclarées en 2015 Surface totale 2015 Connaissance du ratio de référence après le 15 mai Les PP entrant dans le ratio correspondent à celles des exploitants soumis au verdissement (hors PP en AB). Surfaces en PP déclarées Ratio de la campagne = sur la campagne Surface totale déclarée sur la campagne (PP déclarées par les exploitants soumis au verdissement). Dégradation du ratio 5 % par rapport au ratio de référence et si baisse de plus de 0,5 % de la surface en PP, l État imposera des réimplantations pour faire remonter le ratio. Chaque agriculteur concerné est informé de ces obligations avant le 31 décembre et doit réimplanter les PP avant le 15 mai (n + 1). Conséquences pour l agriculteur ne respectant pas l obligation de réimplantation : le paiement vert de la campagne suivante sera réduit (la superficie non réimplantée est déduite de la surface à utiliser pour le calcul du paiement vert). Rappel : les références herbe «individuelles» datant de 2010 au titre de la conditionnalité BCAE Herbe prennent fin au 31 décembre Elles n existent plus à partir de Avoir une diversité des assolements, c est-à-dire avoir sur ses terres arables (terres agricoles sauf les prairies permanentes et les cultures permanentes), au moins trois cultures dans le cas général La diversité des assolements Sont, dans ce cadre, comptabilisées comme cultures différentes des cultures de genres botaniques différents. Par exemple un blé (genre triticum) et un seigle (genre secale) constituent deux cultures différentes. À l inverse, tous les maïs (genre zea) ne constituent, pour le calcul de la diversité, qu une seule culture ; il en est de même, pour le blé dur et le blé tendre (tous les deux du genre triticum). Par exception, une culture d hiver et une culture de printemps constituent deux cultures distinctes, même s il s agit du même genre (la date de semis sert de référence). Ainsi, un blé de printemps et un blé d hiver comptent pour deux cultures. Dans des cultures semées en mélange, chaque mélange comportant des espèces différentes des autres mélanges peut compter pour une culture différente. Comptent également comme des cultures, les terres mises en jachères et les prairies temporaires de moins de 5 ans (terres consacrées à la production d herbe ou autres plantes fourragères herbacées). En revanche, sur ces surfaces, les mélanges, quels qu ils soient, comptent pour une seule culture. Seules les cultures principales sont comptabilisées au titre de la diversité des assolements : les cultures dérobées ou intermédiaires ne rentrent pas en ligne de compte pour la diversité Le nombre de cultures et les limites de surface à respecter Le nombre de cultures dépend en premier lieu de la surface en terres arables de l exploitation :

4 - si elle est strictement inférieure à 10 ha, l exploitation n est pas soumise au critère de diversité des assolements ; - si elle est comprise entre 10 et 30 ha, deux cultures différentes doivent être cultivées au minimum, la culture la plus importante ne dépassant pas 75 % de la surface arable, sauf s il s agit d une prairie temporaire ou d une jachère ; - si elle est strictement supérieure à 30 ha, au moins trois cultures différentes doivent être cultivées, avec : - la culture la plus importante ne dépassant pas 75 % de la surface arable ; - la somme des surfaces des deux cultures les plus importantes ne dépassant pas 95 % de la surface arable. Par exception aux deux points précédents, si la culture la plus importante est une prairie temporaire ou une jachère, il n y a pas de pourcentage maximum attribué à cette culture. Par contre, la seconde culture la plus importante ne doit pas occuper plus de 75 % de la surface arable restante, sauf s il s agit d une prairie temporaire ou d une jachère. Dans deux cas particuliers, l exploitation n est pas soumise au critère de diversité des assolements, quelle que soit sa surface arable : - la somme des surfaces en prairie temporaire et jachère dépasse 75 % de la surface arable, et que la surface arable restante est inférieure ou égale à 30 ha ; - la somme des surfaces en prairie permanente, prairie temporaire et riz dépasse 75 % de la SAU, et que la surface arable restante est inférieure ou égale à 30 ha. Rappel Prairie permanente : production d herbe ou autres plantes fourragères herbacées, depuis 5 ans au moins. La prairie temporaire non déplacée (même si elle a été labourée et réensemencée sur la même parcelle) devient prairie permanente la 5 e année). Culture permanente : culture hors rotation, en place plus de 5 ans, qui fournit des récoltes répétées. Cela recouvre notamment les surfaces en vignes, les vergers Terres arables : surface cultivée destinée à la production de cultures, en place depuis moins de 5 ans. Cela recouvre également les prairies temporaires et jachères de moins de cinq ans. 3. Disposer de surfaces d intérêt écologique (SIE) sur son exploitation : des éléments correspondant à au moins 5 % de la surface en terres arables et situés sur ces terres arables ou leur étant adjacents. Les SIE peuvent être des éléments topographiques (arbres, haies, mares ) ou des surfaces (bandes tampons, cultures fixant l azote ) Des dérogations existent Ne sont pas soumises à ce critère, les exploitations pour lesquelles : - la surface en terres arables est inférieure ou égale à 15 ha ; - les surfaces en prairie temporaire et/ou en jachère et/ou en légumineuses représentent plus de 75 % de la surface en terres arables et la surface arable restante est inférieure ou égale à 30 ha ; - les surfaces en herbe (prairies permanentes et prairies temporaires) et/ou riz représentent plus de 75 % de la SAU et la surface arable restante est inférieure ou égale à 30 ha. Seules les SIE présentes sur les terres arables ou leur étant adjacentes (par exemple une haie le long d un champ de blé) peuvent être comptabilisées. Une haie présente en plein milieu d une prairie permanente ne peut ainsi être comptabilisée comme SIE. De même, dans le cas d une haie séparée par un fossé d une terre arable, le fossé peut être compté comme SIE, mais pas la haie. Une même surface ne peut pas être déclarée au titre de deux SIE. Par exemple, un arbre isolé sur une jachère ne peut être comptabilisé au titre des SIE si la jachère l est. De même, une surface ne peut être à la fois déclarée comme bord de champ et bande d hectare admissible bordant une forêt Liste des SIE SIE surfaciques Terres en jachère : pas de production agricole sur la surface considérée, 1 m 2 = 1 m 2 SIE Surfaces plantées de taillis à courte rotation 1 m 2 = 0,3 m 2 SIE Liste des essences éligibles érable sycomore merisier aulne glutineux espèces du genre peuplier bouleau verruqueux espèces du genre saule charme eucalyptus châtaignier robinier frêne commun Interdiction d utiliser fertilisation et produits phytosanitaires sur ces surfaces. Surfaces portant des plantes fixant l azote, 1 m 2 = 0,7 m 2 SIE Espèces éligibles pois, féverole, lupins lentilles pois chiche soja, luzerne cultivée, trèfles sainfoin, vesces, mélilot, serradelle, fenugrec lotier corniculé, minette, gesses haricots, flageolets dolique, cornille arachide Espèces semées pures ou en mélange (d espèces éligibles). Surfaces portant des cultures dérobées ou à couverture végétale, 1 m 2 = 0,3 m 2 SIE Surfaces mises en place par un sous-semis d herbe dans la culture principale OU ensemencement d un mélange d au moins deux espèces dans la liste ci-dessous, que ce soit pour un couvert rendu obligatoire par la directive nitrates ou pas. Les cultures d hiver ne constituent pas une couverture végétale ni une culture dérobée. Toutes les espèces du mélange semé doivent appartenir à la liste. Ensemencement entre le 1 er juillet et le 1 er octobre. Le couvert doit avoir levé.

5 Liste des cultures en mélange pour les surfaces portant des cultures dérobées ou à couverture végétale Boraginacées Bourrache Graminées Avoines Ray-grass Blés Seigles Bourrache Sorgho fourrager Brôme Triticale Cresson alénois X-Festulolium Dactyles Fétuques Fléoles Maïs Millet jaune, perlé Mohas Orges Pâturin commun Polygonacées Sarrasin Brassicacées Cameline Colzas Chou fourrager Moutardes Navet, navette Radis (fourrager, chinois) Roquette Hydrophyllacées Phacélie Linacées Lins Astéracées Niger Tournesol Fabacées Féveroles Fenugrec Gesses cultivées Lentilles Lotier corniculé Lupins (blanc, bleu, jaune) Luzerne cultivée Minette Mélilots Pois Pois chiche Sainfoin Serradelle Soja Trèfles Vesces Surfaces boisées : surface qui, pendant la durée de l engagement de l exploitant est boisée et a bénéficié d une aide au boisement dans le cadre du développement rural (mesure 221 sur la période , mesure 8.1 sur la période ), 1 m 2 = 1 m 2 Hectares en agroforesterie : hectares de terres admissibles aux paiements directs et sur lesquelles a été payée ou est payée une mesure de développement rural «mise en place de systèmes agroforestiers» (mesure 222 sur la période ; mesure 8.1 sur la période ), 1 m 2 = 1 m Particularités topographiques Haies ou bandes boisées : au plus 10 m de large, 1 ml* = 10 m 2 SIE Arbres isolés : arbres dont la couronne fait au moins 4 m de diamètre OU arbre têtard, 1 arbre = 30 m 2 SIE Arbres alignés : arbres alignés respectant chacun les conditions d arbre isolé et, pour lesquels l espace entre deux couronnes voisines est inférieur à 5 m. En cas d espace supérieur à 5 m, il s agit soit de deux ensembles d arbres alignés, soit d arbres alignés + un arbre isolé, 1 ml = 10 m 2 SIE Groupe d arbres, bosquets : un groupe d arbres est un ensemble d arbres dont les couronnes se chevauchent et forment un couvert. Surface maximale : 30 ares, 1 ml = 1,5 m 2 SIE Bordures de champ : pas de production agricole sur la surface considérée. Au moins 1 m de large, au plus 20 m de large, 1 ml = 9 m 2 SIE Mares : les réservoirs en béton ou en plastique sont inéligibles. Surface maximale : 10 ares, 1 m 2 = 1,5 m 2 SIE Fossés : les canaux en béton sont inéligibles. Largeur maximale : 6 m, 1 ml = 6 m 2 SIE SIE non surfaciques (linéaires) Terrasses 1 ml = 2 m 2 SIE Bandes tampons : bandes tampons le long des cours d eau rendues obligatoires par la BCAE 1 (établissement de bandes tampons le long des cours d eau), ou parallèle aux autres cours d eau et plans d eau. Cela peut englober, le long des cours d eau, une bande de végétation ripicole. Largeur comprise entre 5 et 10 m. Pas de production agricole, mais pâturage et fauche possibles, 1 ml = 9 m 2 SIE Bandes d hectares admissibles le long des forêts : hectare de terre admissible aux paiements directs, situé en bordure de forêt. Production agricole autorisée, 1 ml = 1,8 m 2 SIE Pas de production agricole, mais pâturage et fauche possibles, 1 ml = 9 m 2 SIE Largeur comprise entre 1 m et 10 m. * ml = mètre linéaire calculé soit sur la ligne rejoignant les troncs (arbres alignés), soit sur le bord de la parcelle. ** BCAE : bonnes conditions agricoles et environnementales. Elles constituent une partie des exigences de la conditionnalité. La BCAE 7 maintien des éléments topographiques comporte une liste d éléments qui doivent être protégés et mai tenus en place par les agriculteurs Des dispositions spécifiques s appliquent dans certains cas : - pour un agriculteur dont l exploitation est intégralement en agriculture biologique (en conversion ou en maintien), le respect par l exploitant des exigences liées à sa certification en agriculture biologique suffit : sur ces surfaces, l agriculteur sera réputé respecter les exigences du «paiement vert» sans que soit vérifié le respect de chacun des trois critères. - pour un agriculteur partiellement en agriculture biologique : - pour les surfaces en agriculture biologique (en conversion ou en maintien), le respect des exigences liées à l agriculture biologique suffit ; - sera considérée pour le respect des trois critères la portion de son exploitation qui regroupe toutes les surfaces qui ne sont pas en agriculture biologique. Toutefois, si l agriculteur le décide, les critères pourront être appliqués sur la totalité de la surface de son exploitation. - un agriculteur peut également, en lieu et place des trois critères, s inscrire dans un mécanisme d équivalence agréé. La France a notifié pour 2015 un seul dispositif, permettant pour les producteurs de maïs de : - substituer au critère de «diversité des assolements» une obligation de couvert hivernal (par implantation d une nouvelle culture semée avant, pendant ou dans les 15 jours après la récolte de maïs) ; - appliquer les mêmes obligations que celles faites aux autres agriculteurs pour les deux critères «prairies permanentes» et «surfaces d intérêt écologique». 3. Tout savoir sur les nouvelles aides couplées Pour rappel, les outils de gestion des risques (fonds sanitaire, assurance récolte), ainsi que les soutiens à l agriculture biologique (maintien et conversion), actuellement intégrés dans l article 68 dans le premier pilier seront financés à partir de 2015 par des dispositifs du second pilier. Les montants des aides couplées pourront faire l objet d ajustement à la hausse ou à la baisse en fonction du nombre de demandes (mise en place de stabilisateurs budgétaires). Retrouvez ci-dessous les modalités des aides qui seront couplées, en France, à partir de la campagne 2015, qu il s agisse des aides maintenues couplées ou des nouvelles aides couplées. VACHES ALLAITANTES Suppression des droits à prime actuels Modalités d accès : plancher de 10 vaches allaitantes, nouvelle référence individuelle basée sur les vaches allaitantes présentes en Création d une réserve pour les nouveaux entrants dans le système.

6 Montant : prévisionnels pour les 50 premières vaches allaitantes ; entre la 51 e et la 99 e vache allaitante ; - 75 au maximum entre la 100 e et la 139 e vache allaitante. Animaux éligibles : - vaches allaitantes (ayant vêlé au moins une fois) de race allaitante ou mixte (après exclusion des vaches mixtes pour la production laitière et des vaches nécessaires au renouvellement du troupeau laitier, en se basant sur un taux de renouvellement de 20 %) ; - prise en compte d un taux de 20 % ou 30 % de génisses dans les animaux primés pour les JA et les nouveaux producteurs (récemment installés ou nouvel atelier) pendant les trois premières années suivant le début de l activité. Cahier des charges : - ratio de prolificité de 0,8 veau par an et par mère sur une période de 15 mois ; - possibilité de remplacer une vache qui sort du troupeau par une génisse pendant la période de détention obligatoire de six mois à hauteur de 30 % maximum du total des animaux primés ; - détention des veaux au moins 90 jours. OVINS Ajout d un second niveau de majoration Modalités d accès : le nombre minimum d animaux détenu est de 50 brebis. Montant : aide de base de 18 /tête, fixée à l issue de la campagne en fonction du nombre d animaux éligibles à primer. Supplément de 2 /tête pour les 500 premières brebis. Éligibilité : les brebis éligibles sont des femelles correctement identifiées qui, au dernier jour de la période de détention ont mis-bas au moins une fois ou sont âgées d au moins un an. La période de détention obligatoire est de 100 jours à compter du 1 er février de l année de campagne. Le remplacement pendant la période de détention, par des agnelles, n est possible que pour des femelles identifiées dans les 7 jours qui suivent leur naissance et dans la limite de 20 % de l effectif primé. Cahier des charges : pour les ovins, le nombre de brebis primées est fonction du taux de productivité. Ce seuil de productivité est fixé à 0,4 agneau vendu par brebis et par an. Les dérogations départementales seront rares. Ces seuils seront exclusifs (inéligibilité à l aide si non-respect du taux). 1 er niveau de majoration : un bonus d aide de 3 /brebis s il y a contractualisation ou vente directe. 2 e niveau de majoration : une majoration de l aide de 6 sera octroyée si l une des 3 conditions suivantes est remplie : - le ratio de productivité est supérieur à 0,8 agneau vendu par an et par brebis ; - la production ovine est sous signe de qualité AB, CCP, SIQO ; - l éleveur est un nouveau producteur (jeune agriculteur récemment installé ou nouvel atelier) en production ovine. CAPRINS Maintien du cahier des charges actuel Modalités d accès : un plafonnement de l aide est prévu à partir de 400 chèvres. Le nombre minimum d animaux détenus est de 25 chèvres éligibles. Montant : /tête, fixé à l issue de la campagne en fonction du nombre d animaux éligibles à primer. Éligibilité : les chèvres éligibles sont des femelles correctement identifiées qui, au dernier jour de la période de détention ont mis-bas au moins une fois ou sont âgées d au moins un an. La période de détention obligatoire est de 100 jours à compter du 1 er février de l année de campagne. Le remplacement pendant la période de détention par des chevrettes n est possible que pour des femelles identifiées dans les 7 jours qui suivent leur naissance et dans la limite de 20 % de l effectif primé. Cahier des charges : pour les caprins, un bonus d aide d environ 3 est attribué aux exploitations engagées dans des chartes de bonnes pratiques. VACHE LAITIÈRE : NOUVEAU! 1. Zone de montagne Modalités de versement : plafonnement à 30 vaches laitières (VL). Montant : aide octroyée à la tête. Montant indicatif de 74 /VL avant transfert. Un bonus d aide de 15 /VL sera octroyé aux nouveaux producteurs laitiers (jeune agriculteur récemment installé ou nouvel atelier). Éligibilité : les animaux éligibles sont les vaches laitières (période de détention obligatoire de 6 mois, taux de remplacement de 30 %). 80 % de la superficie de l exploitation (SAU) doit être en zone ICHN de piémont, de montagne ou de haute montagne. Avoir livré ou commercialisé du lait entre le 1 er avril de la campagne n-1 et le 31 mai de la campagne n. 2. Hors zone de montagne Une aide uniforme dans la zone hors montagne avec une spécificité nouveau producteur Montant : aide octroyée à la tête. Plafonnement à 40 vaches laitières (VL). Aide unitaire de 36 /VL avant transfert. Un bonus d aide de 10 /VL sera octroyé aux nouveaux producteurs laitiers (jeune agriculteur, récemment installé ou nouvel atelier). Éligibilité : les animaux éligibles sont les vaches laitières (période de détention obligatoire de 6 mois. 30 % de remplacement possible). Avoir livré ou commercialisé du lait entre le 1 er avril de la campagne n-1 et le 31 mai de la campagne n. VEAUX SOUS LA MÈRE Reconduction du cahier des charges actuel Montant : augmentation de l enveloppe effectivement versée entre + 14 % et + 20 % ; aide d environ 38 /tête, fixée à l issue de la campagne en fonction du nombre de veaux éligibles à primer. Un niveau d aide plus élevé (doublement de l aide) sera attribué aux veaux labellisés par rapport aux veaux labellisables et pour les veaux bios produits dans des exploitations adhérentes à une OP reconnue. Cahier des charges : critères inchangés par rapport à l aide actuelle :

7 - les veaux doivent respecter le cahier des charges Label Rouge «veau sous la mère», «le veau fermier du Limousin», «veau fermier d Aveyron et du Ségala», «veau des Monts du Velay-Forez» ou le cahier des charges «veau bio» ; - les éleveurs doivent être adhérents au moins, depuis le 1 er janvier de la campagne précédente, d un organisme de défense et de gestion en charge d un label «veau sous la mère» et doivent avoir produit entre le 1 er janvier et le 31 décembre de la campagne précédente des veaux sous la mère. BLÉ DUR Maintien des critères actuels Montant : 30 /ha fixé à l issue de la campagne en fonction des surfaces éligibles à primer ou réfaction selon le dépassement des surfaces maximales départementales. Éligibilité : - l octroi de l aide est subordonné à l utilisation, dans les zones de production traditionnelle d une quantité minimale, 110 kg/ha ou grains/ha, de semences certifiées ; - la liste des variétés de blé dur éligibles sera fixée par arrêté du ministère. PROTÉINES ANIMALES 20 % du budget des aides directes y est consacré. LÉGUMINEUSES FOURRAGÈRES : 98 M Favoriser l autonomie protéique des éleveurs Montant : incertitude sur le nombre de surfaces primables. Montant d aide fixé à l issue de la campagne en fonction des surfaces éligibles entre 100 et 150 /ha. Si nécessaire, afin de respecter le niveau minimum de 100 /ha, seuls les premiers ha de chaque exploitation seront primés. Cultures éligibles : trèfle, sainfoin, vesce, luzerne et mélange graminées/légumineuses citées précédemment avec au moins 50 % de légumineuses. Le taux de mélange est établi et contrôlé à partir des semences utilisées pour l implantation des surfaces concernées. Cahier des charges : - l aide est octroyée pour les surfaces implantées à partir de 2015 et pendant une durée maximum de 3 ans après l implantation des surfaces ; - les surfaces fourragères prises en compte sont plafonnées à un hectare par UGB afin de réserver l aide aux surfaces nécessaires à l autonomie fourragère de l élevage ; - cette aide peut aussi être octroyée dans les mêmes conditions à des agriculteurs qui produisent des légumineuses fourragères pour un éleveur, dans le cadre d un contrat direct entre eux ; - dans ce cadre, chaque UGB détenu par un éleveur ne donnera évidemment droit qu à un hectare primé (qu il soit chez l éleveur ou chez un agriculteur contractualisant en direct). SOJA : 6 M Un signe fort pour une culture longtemps délaissée en France Montant : le montant de l aide fixé à l issue de la campagne en fonction des surfaces éligibles devra être situé dans la fourchette suivante : /ha. Si nécessaire, afin de respecter le niveau minimum de 100 /ha, seuls les premiers ha de chaque exploitation seront primés. Culture éligible : soja. Cette aide sera soumise au respect d une surface maximale européenne au-delà de laquelle il n est pas possible d apporter une aide spécifique aux oléagineux. PROTÉAGINEUX (LUPIN, POIS, FÉVEROLE) : 35 M Un objectif politique affiché de débouché vers l alimentation animale Montant : le montant de l aide fixé à l issue de la campagne en fonction des surfaces éligibles devra être situé dans la fourchette suivante : /ha. Si nécessaire, afin de respecter le niveau minimum de 100 /ha, seuls les premiers ha de chaque exploitation seront primés. Culture éligible : pois, féveroles, lupins, mélanges céréales/protéagineux cités précédemment avec au moins 50 % de protéagineux. Cahier des charges : les semis doivent être réalisés avant le 31 mai. Les protéagineux doivent être récoltés après le stade de la maturité laiteuse. Il sera vérifié a posteriori que l aide a permis une augmentation globale de la production de protéagineux consommés par les éleveurs français. Si cet objectif n est pas atteint, le niveau de l aide sera revu à la baisse en LUZERNE DÉSHYDRATÉE Dans la continuité de l aide actuelle Montant : enveloppe de 8 M divisée par le nombre d ha primables. Montant fixé à l issue de la campagne en fonction des surfaces éligibles dans une fourchette de 100 à 150 /ha. Si nécessaire, afin de respecter le niveau minimum de 100 /ha, seuls les premiers ha de chaque exploitation seront primés. Cahier des charges : contractualisation. Pas de liste fermée pour les transformateurs agréés. PRODUCTION DE SEMENCES DE LÉGUMINEUSES FOURRAGÈRES Inclus dans le plan protéines Montant : enveloppe de 4 M divisée par le nombre d ha primables cultivés durant la campagne. Montant indicatif entre 150 et 200 /ha. Si nécessaire, afin de respecter le niveau minimum de 100 /ha, seuls les premiers ha de chaque exploitation seront primés. Éligibilité : surfaces cultivées pour la multiplication de semences certifiées. Cahier des charges : critères en discussion. SEMENCES DE GRAMINÉES Enveloppe de Montant : enveloppe de 0,50 M divisée par le nombre d ha primables cultivés durant la campagne. Montant indicatif entre 150 et 200 /ha. Si nécessaire, afin de respecter le niveau minimum de 100 /ha, seuls les premiers ha de chaque exploitation seront primés. Éligibilité : surfaces cultivées pour la multiplication de semences certifiées. Cahier des charges : critères en discussion. Le niveau exact de toutes ces aides sera arrêté chaque année en fonction de l utilisation de l enveloppe. Un plafond pourra être appliqué sur le nombre d hectares primés au niveau de chaque exploitation, mais le montant minimum sera garanti. 4. Indemnité Compensatrice de Handicap Naturel (I. C. H. N.) Nouveau dispositif Dès 2016, réintégration de l ancien budget PHAE, au lieu de 2019 comme prévu initialement. En conséquence, les montants seront revalorisés de 70 /ha en moyenne dès 2016 à tous les bénéficiaires de l ICHN, qu ils aient eu ou non la PHAE. - En 2015, le plafond passe de 50 à 75 ha/associé et le montant atteindrait 92 % du montant Seuls, les nouveaux bénéficiaires (laitiers en ZDS) recevront l ICHN progressivement entre 2015 et 2018, qu ils soient nouvellement installés ou non.

8 - Les surfaces éligibles seraient, a priori inchangées : herbe + maïs ensilage + céréales intraconsommées. - Les éleveurs porcins de la zone de montagne mixtes ou spécialisés recevront 100 % de l aide dès Il n y aura pas de taux de chargement mais un seuil d éligibilité en nombre de porcs ou de truies. - De nouvelles plages de chargement (harmonisation régionale) sont prévues à compter de Elles seront précisées ultérieurement. Rappel des montants de base Zone (prévus) ZDS (zone défavorisée simple) ZONE DE PIEMONT ZONE DE MONTAGNE ZONE DE HAUTE MONTAGNE Majorations - Majoration pour les élevages dont plus de la moitié du cheptel (en UGB) est constituée d ovins et de caprins : + 10 % en montagne ; + 30 % en zone de Piémont et ZDS. - Majoration de 50 % des montants/ha pour les 25 premiers ha. La révision du zonage à l horizon 2018 des ZDS est programmée au niveau national. Aucune information n est parvenue à ce jour. 5. Réforme du principe de transparence économique dans les GAEC Les règlements européens reconnaissent désormais officiellement la possibilité d une transparence pour les aides économiques européennes. Pour les aides PAC du 1 er pilier et l ICHN, ce sera désormais la «portion d exploitation» apportée par chaque associé qui sera retenue à la place de l actuelle «exploitation regroupée». Cette portion d exploitation sera représentée par le ratio du nombre de parts sociales rapporté au nombre total de parts sociales du GAEC. On ne prend pas en compte l origine des apports ou des mises à disposition du foncier : le critère de la SMI est abandonné. La part attribuée à chaque associé serait représentée par le pourcentage appliqué aux éléments de la demande d aide à la surface ou au cheptel. EXEMPLE 1 : pour l application du plafond des 52 premiers ha GAEC à 150 ha à 3 parts économiques jusqu en 2014, avec 3 associés : Associé 1 : 45 % Associé 2 : 45 % Associé 3 JA : 10 % Le seuil des 52 ha serait ainsi appliqué en 2015 : Associé 1 : 45 % x 150 ha = 67,5 ha, ramenés à 52 ha Associé 2 : 45 % x 150 ha = 67,5 ha, ramenés à 52 ha Associé 3 : 10 % x 150 ha = 15 ha Soit paiement majoré sur 119 ha (au lieu de 150 ha si ancienne transparence et si le JA avait apporté 1 part économique). EXEMPLE 2 : pour l application du nombre d animaux pour l aide à la vache allaitante GAEC à 3 associés avec 150 vaches et 150 références : Associé 1 : 20 % Associé 2 : 30 % Associé 3 JA : 50 % Le seuil du montant serait ainsi appliqué en 2015 : Associé 1 : 20 % x 150 VA = 30 VA x 181 = Associé 2 : 30 % x 150 VA = 45 VA x 181 = Associé 3 : 50 % x 150 VA = 75 VA / 50 VA x VA x 135 = Soit au total (contre dans l ancien système). Pour optimiser le retour d aides, les GAEC existants doivent avoir une répartition du capital social la plus équitable possible. Les nouvelles règles s appliqueront automatiquement aux GAEC existant si rien n est modifié. Les statuts du GAEC doivent être remis à jour si nécessaire : la situation sera appréciée au plus tard au 15 mai Pour les déclarations PAC, un formulaire serait prévu pour permettre la déclaration. Vigilance sur la pluriactivité : il ne faudra pas dépasser le plafond de 536 heures de travail extérieur. Les prestations de service réalisées par le GAEC (épandage de produits phytosanitaires, prestations de travaux en dehors de l entraide ) entraînent le retrait de la transparence car en dehors de l objet agricole du groupement. 6. Mesures agro-environnementales et climatiques (M.A.E.C.) Très limitées sur un territoire défini et un cahier des charges contraignant Le projet agro-environnemental et climatique (PAEC) La Chambre d agriculture de l Allier a pris l initiative, en partenariat avec le Conservatoire des espaces naturels de l Allier, de déposer un seul projet sur le département, incluant toutes les structures animatrices de zones à enjeux agri-environnementaux. Outre la Chambre d agriculture de l Allier et le Conservatoire des espaces naturels de l Allier, la LPO, l ONF, la communauté de communes de la Montagne bourbonnaise, la communauté de communes de Montmarault, le SMAT Sioule, la réserve naturelle du Val d Allier et Vichy Val d Allier y ont aussi contribué. Après le dépôt d un pré-projet au niveau régional, nous avons reçu un accord de principe pour déposer un projet définitif sous réserve de réduire fortement le budget global. Nous sommes ainsi passés d un budget supérieur à 21 M à un budget de 9,4 M. Les MAEC proposées sont les suivantes : la mesure système herbager et pastoral (SHP) pour la zone de plaine ; la mesure grandes cultures en zone intermédiaire pour neuf cantons de l Ouest, du Nord et de l Est du département ; différents engagements unitaires sur la gestion de l herbe, les couverts, les linéaires et les phytosanitaires. Ce PAEC a été examiné par la Commission régionale agroenvironnementale et climatique (CRAEC) le 15 janvier dernier pour avis. Le Conseil régional, devenu autorité de gestion, donnera fin janvier la position définitive sur le financement des projets retenus. Mise en page/impression : 03 Moulins CHAMBRE D'AGRICULTURE ALLIER Chambre d Agriculture de l Allier 60, cours Jean-Jaurès - BP MOULINS CEDEX Tél Fax cda.03@allier.chambagri.fr

4. Verdissement, une PAC plus verte

4. Verdissement, une PAC plus verte 4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.

Plus en détail

Réunion d'information PAC 2015. Février 2015

Réunion d'information PAC 2015. Février 2015 Réunion d'information 1 Programme de la réunion Introduction L'appui à la télédéclaration Les paiements découplés Le verdissement L admissibilité des surfaces GAEC et accès aux aides économiques de la

Plus en détail

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014 Réforme de la PAC 2015 Réunion d information Septembre 2014 DE NOMBREUX DEFIS POUR LA PAC : LES PROPOS DE D. CIOLOS Juillet 2010 Le contexte : -> fin de la programmation 2007-2013 -> contexte de crise

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

DOSSIER DE CERTIFICATION

DOSSIER DE CERTIFICATION CERTIFICATION DES EXPLOITATIONS SPECIALISEES MAÏS POUR L APPLICATION DE LA MESURE D EQUIVALENCE A LA DIVERSITE DES CULTURES AU TITRE DU VERDISSEMENT DE LA PAC DOSSIER DE CERTIFICATION OCACIA ASSOCIATION

Plus en détail

Définition des variables présentées dans le RICA

Définition des variables présentées dans le RICA Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des

Plus en détail

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans

Plus en détail

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut

Plus en détail

Formulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015

Formulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015 MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture

Plus en détail

Destinataires d'exécution

Destinataires d'exécution Information Direction générale de la performance économique et environnementale des entreprises Service Gouvernance et gestion de la PAC Sous-direction Gestion des aides de la PAC Bureau des Soutiens Directs

Plus en détail

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE

Plus en détail

DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions

DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions Novembre 2010 CHAMBRE D AGRICULTURE 47 4ème Programme d Actions ZONE VULNERABLE Quelle zone? 93 communes 2466 exploitations 94425 ha 4ème Programme

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne

Plus en détail

les cinq étapes pour calculer les jours d avance

les cinq étapes pour calculer les jours d avance À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule

Plus en détail

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un

Plus en détail

PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012

PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012 MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES

Plus en détail

REFERENTIEL DE CERTIFICATION APPLICABLE AUX SEMENCES :

REFERENTIEL DE CERTIFICATION APPLICABLE AUX SEMENCES : REFERENTIEL DE CERTIFICATION APPLICABLE AUX SEMENCES : «Processus de maîtrise des risques d'émission des poussières issues de semences traitées avec des produits phytopharmaceutiques : Opérations industrielles»

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

Les réformes de la PAC

Les réformes de la PAC www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées

Plus en détail

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure : OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques

Plus en détail

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture

Plus en détail

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins

Plus en détail

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS PREFET DE L YONNE RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS spécial n 10/2013 du 10 juin 2013 Adresse de la préfecture : 1, Place de la Préfecture - CS 80119-89016 Auxerre cedex tél. standard 03.86.72.79.89 Adresse

Plus en détail

Notice explicative Comment renseigner votre dossier PAC?

Notice explicative Comment renseigner votre dossier PAC? MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

6 NOVEMBRE 2003. - Arrêté du Gouvernement wallon relatif à l'octroi d'aides à l'agriculture Biologique

6 NOVEMBRE 2003. - Arrêté du Gouvernement wallon relatif à l'octroi d'aides à l'agriculture Biologique 6 NOVEMBRE 2003. - Arrêté du Gouvernement wallon relatif à l'octroi d'aides à l'agriculture Biologique Le Gouvernement wallon, Vu la loi du 28 mars 1975 relative au commerce des produits de l'agriculture,

Plus en détail

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne

Plus en détail

TCS, strip-till et semis direct

TCS, strip-till et semis direct Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement

Plus en détail

& Que choisir. favoriser le bien-être

& Que choisir. favoriser le bien-être Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider

Plus en détail

Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!

Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE

Plus en détail

Mesures Agro-Environnementales

Mesures Agro-Environnementales 02 Mesures Agro-Environnementales LES DISPOSITIFS MAE Dispositif A C est le dispositif national de la Prime Herbagère Agro-Environnementale (PHAE 2). Dispositif B : C est le dispositif de la Mesure Agro

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture

Plus en détail

DIRECTIVE NITRATES : LES CONTRAINTES SUR LA GESTION DE L INTERCULTURE

DIRECTIVE NITRATES : LES CONTRAINTES SUR LA GESTION DE L INTERCULTURE CHOISIR ET REUSSIR SON COUVERT VEGETAL PENDANT L INTERCULTURE EN AB Cameline (S.Minette, CRA PC) Moutarde, phacélie, avoine, trèfles mais aussi, sarrasin, navette, lentille, moha Tous ces couverts végétaux

Plus en détail

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin

Plus en détail

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012 Ce guide contient toutes les informations nécessaires pour déclarer vos unités productives pour l année de participation 2012. Guide de déclaration des unités productives...p. 3 Liste des unités productives...p.

Plus en détail

Notice explicative Comment renseigner votre dossier PAC?

Notice explicative Comment renseigner votre dossier PAC? MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L ALIMENTATION DE LA PÊCHE DE LA RURALITÉ ET DE L AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer

Plus en détail

CALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012

CALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012 PRÉFET DE LA SEINE-MARITIME Direction départementale des Territoires et de la Mer Service d'economie Agricole Rouen, le 8 janvier 2013 Affaire suivie par Laurence MOUTIER Tél. : 02 32 18 94 71 Fax : 02

Plus en détail

Trajectoires laitières

Trajectoires laitières Trajectoires laitières Yannick PECHUZAL Lot Conseil Elevage 13 mars 2014 Cantal 2100 producteurs de lait 1000 élevages mixtes 420 ML 5 AOP fromagères Filière Collecte : 360 Ml 60% SODIAAL et assimilés

Plus en détail

Crédit d impôt en faveur de l agriculture biologique

Crédit d impôt en faveur de l agriculture biologique Crédit d impôt en faveur de l agriculture biologique Note d information et d analyse FNAB Paris, le 10 avril 2014 Mode d emploi du dispositif CI-Bio pour les exercices 2011 à 2014 (pour les déclarations

Plus en détail

Détail des cultures de l'exploitation en 2007

Détail des cultures de l'exploitation en 2007 République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture

Plus en détail

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe

Plus en détail

De Mes p@rcelles à Télépac

De Mes p@rcelles à Télépac En suivant étape par étape les indications de cette fiche technique vous pourrez transférer en quelques clics votre assolement de mes p@rcelles vers TéléPAC 2014. Ensuite, vous aurez simplement à remplir

Plus en détail

Partie V Convention d assurance des cultures légumières

Partie V Convention d assurance des cultures légumières Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave

Plus en détail

SECHERESSE PRINTEMPS 2014 N 13681*03

SECHERESSE PRINTEMPS 2014 N 13681*03 SECHERESSE PRINTEMPS 2014 N 13681*03 PROCÉDURE DES CALAMITÉS AGRICOLES DEMANDE D'INDEMNISATION DES PERTES Le régime des calamités agricoles a pour but d indemniser des pertes de récolte et/ou des pertes

Plus en détail

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.

Plus en détail

Assiette mini. 600 SMIC 1 plafond

Assiette mini. 600 SMIC 1 plafond Social : La protection sociale 1- L affiliation au régime non salarié agricole J exerce une activité agricole < 5 ha J assure la direction de l entreprise (ou 1/8 SMI) J en tire des revenus professionnels

Plus en détail

Caisse Nationale de Mutualité Agricole

Caisse Nationale de Mutualité Agricole Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation

Plus en détail

Vérifier avant de lancer l'impression que le nombre et les libellés retenus pour l'impression sont bien ceux qui sont demandés.

Vérifier avant de lancer l'impression que le nombre et les libellés retenus pour l'impression sont bien ceux qui sont demandés. SOC Certification des semences et plants Imprimer des étiquettes SOC pour des variétés en cours d'étude (en France ou autre pays de l'ue) INSTRUCTION CCERT-IT-00-028 Indice : 4.2 Application 22/07/2013

Plus en détail

Programme des cultures fourragères

Programme des cultures fourragères Programme des cultures fourragères FOURNI PAR LA SCIC Société d assurance-récolte de la Saskatchewan Dates limites MARS 31 Date limite pour faire une demande de contrat d assurance auprès de la SCIC, ou

Plus en détail

REGLEMENT RELATIF AUX AIDES AUX INVESTISSEMENTS DU PROJET GLOBAL «PROJET GLOBAL INVESTISSEMENT»

REGLEMENT RELATIF AUX AIDES AUX INVESTISSEMENTS DU PROJET GLOBAL «PROJET GLOBAL INVESTISSEMENT» REGLEMENT RELATIF AUX AIDES AUX INVESTISSEMENTS DU PROJET GLOBAL «PROJET GLOBAL INVESTISSEMENT» Version : 31 mars 2014 VU : - Règlement (CE) n 1698/2005 du Conseil du 20 sept embre 2005 concernant le soutien

Plus en détail

D après l enquête 2011 sur les pratiques culturales, environ 230 000 ha étaient semés en semis-direct, essentiellement dans des résidus de culture.

D après l enquête 2011 sur les pratiques culturales, environ 230 000 ha étaient semés en semis-direct, essentiellement dans des résidus de culture. Sommaire De quoi parle t-on? Intérêts et points de vigilance Du concept à la technique Regards croisés De quoi parle-t-on? Le Semis-Direct sous Couverture Végétale (SDCV) consiste à associer arrêt du travail

Plus en détail

Prix et coûts de production de six grandes cultures : blé, maïs, colza, tournesol, betterave et pomme de terre

Prix et coûts de production de six grandes cultures : blé, maïs, colza, tournesol, betterave et pomme de terre Prix et coûts de production de six grandes cultures : blé, maïs, colza, tournesol, betterave et pomme de terre Dominique Desbois, Bernard Legris* Les prix à la production des principaux produits agricoles

Plus en détail

2. Détermination de la teneur en eau

2. Détermination de la teneur en eau 2. Introduction à la détermination de la teneur en eau... 2-2 Tolérances applicables à la teneur en eau... 2-3 Estimer la teneur en eau d échantillons légers de blé, d avoine et d orge... 2-5 Blé CWRS,

Plus en détail

Plan de soutien à l élevage français

Plan de soutien à l élevage français Plan de soutien à l élevage français MEMENTO Entreprises fragilisées dans le secteur agricole : quels outils pour quelles problématiques? Ce mémento récapitule de façon synthétique les outils existants

Plus en détail

UNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES

UNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES ORIGINAL: anglais DATE: 18 septembre 2014 UNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES Genève F LOGICIELS ÉCHANGEABLES Document adopté par le Conseil à sa quarante-huitième session

Plus en détail

COMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn

COMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn COMPTE RENDU Journée semis direct dans le Béarn 26/07/12 1. L exploitation de Christophe Cassoulong Lieux: Lalonquette Elevage: 60 mères blondes d Aquitaine Cultures: 67ha : 2/3 Prairie 1/3 Cultures Maïs

Plus en détail

Des territoires laitiers contrastés

Des territoires laitiers contrastés Agreste Primeur 308 Numéro 308 - décembre 203 Les exploitations laitières bovines en France métropolitaine Télécharger les données au format tableur Des territoires laitiers contrastés 77 000 exploitations

Plus en détail

Calcul de la marge brute en production laitière

Calcul de la marge brute en production laitière Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation

Plus en détail

Notice de présentation. Télédéclaration du dossier PAC. (campagne 2015)

Notice de présentation. Télédéclaration du dossier PAC. (campagne 2015) Notice de présentation Télédéclaration du dossier PAC (campagne 2015) Avril 2015 Table des matières Notice de présentation... 1 Introduction... 3 Nouveautés 2015... 3 Dépôt du dossier... 4 Les îlots et

Plus en détail

IDENTIFICATION DU DEMANDEUR Rq : pour les agriculteurs : laisser la possibilité de coller l étiquette d identification pré-remplie basée sur le S1

IDENTIFICATION DU DEMANDEUR Rq : pour les agriculteurs : laisser la possibilité de coller l étiquette d identification pré-remplie basée sur le S1 n 13 681*02 MINISTÈRE DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE, DE LA PÊCHE, DE LA RURALITÉ ET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION

Plus en détail

La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012

La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée

Plus en détail

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS > Les synthèses de FranceAgriMer février 2013 numéro LAIT / 1 LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS 12 12 rue rue Henri Henri Rol-Tanguy / TSA / TSA 20002 20002

Plus en détail

DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A)

DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A) Mise à jour 01 décembre 2011 DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A) Cette demande d aide une fois complétée constitue, avec les justificatifs joints par vos soins,

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :

Plus en détail

Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020

Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 Brief: Les perspectives de la politique agricole N 5 / Décembre 2013 Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION 2. DÉFIS ET OBJECTIFS 3. BUDGET DE LA PAC 4. ÉVOLUTION DE LA

Plus en détail

L'agriculture française depuis cinquante ans : des petites exploitations familiales aux droits à paiement unique

L'agriculture française depuis cinquante ans : des petites exploitations familiales aux droits à paiement unique L'agriculture française depuis cinquante ans : des petites exploitations familiales aux droits à paiement unique Maurice Desriers* Depuis cinquante ans, la part de l'agriculture dans l'économie nationale

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

Si compte déjà créé : allez en page 3 étape 4 Si nouveaux demandeurs ou Changements de statut juridique : allez en page 2 (en haut)

Si compte déjà créé : allez en page 3 étape 4 Si nouveaux demandeurs ou Changements de statut juridique : allez en page 2 (en haut) Fiche exploitants : Création d un Compte Page d accueil Connexion Connectez vous à l adresse suivante : telepac.agriculture.gouv.fr Vous arriverez à la page d accueil «telepac» Création du compte Si compte

Plus en détail

DAIRYMAN aux Pays-Bas

DAIRYMAN aux Pays-Bas DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière

Plus en détail

Agricoles. Le Modef national tiendra son congrès en 2015 avec une thématique axée sur l articulation entre la. sommaire

Agricoles. Le Modef national tiendra son congrès en 2015 avec une thématique axée sur l articulation entre la. sommaire Agenda des responsables Mardi 7 octobre : Réunion de la CDCEA (consommation des espaces agricoles) à 9 h 30 à la préfecture. Philippe LACAVE. Jeudi 9 octobre : Visite officielle de la journée Mécamaïs

Plus en détail

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du

Plus en détail

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection, Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque

Plus en détail

FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014

FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014 N FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014 PLAN DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DIAGNOSTIC SEUL DISPOSITIF N 121 C1 DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT RURAL HEXAGONAL DE LA RÉGION NORD PAS DE CALAIS Cette demande

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,

Plus en détail

Le nombre de cotisants de solidarité agricoles diminue de 2 % entre 2010 et 2011.

Le nombre de cotisants de solidarité agricoles diminue de 2 % entre 2010 et 2011. Synthèses Mars 2012 L Observatoire Economique et Social Les cotisants de solidarité en 2011 Le nombre de cotisants solidaires s élève à 110 106 en 2011, en baisse de 2,3 % par rapport à 2010. Toutefois,

Plus en détail

une belle entreprise pour la Somme

une belle entreprise pour la Somme Janvier 2013 L Agriculture, une belle entreprise pour la Somme La Ferme Somme en quelques chiffres L agriculture, une belle entreprise pour la Somme 1 2 L agriculture, une belle entreprise pour la Somme

Plus en détail

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom

Plus en détail

Cent-troisième année N 6284 24 chaoual 1435 (21 août 2014) ROYAUME DU MAROC BULLETIN OFFICIEL EDITION DE TRADUCTION OFFICIELLE TARIFS D ABONNEMENT

Cent-troisième année N 6284 24 chaoual 1435 (21 août 2014) ROYAUME DU MAROC BULLETIN OFFICIEL EDITION DE TRADUCTION OFFICIELLE TARIFS D ABONNEMENT Cent-troisième année N 6284 24 chaoual 1435 (21 août 2014) ROYAUME DU MAROC ISSN 0851-1217 BULLETIN OFFICIEL EDITION DE TRADUCTION OFFICIELLE EDITIONS Edition générale... Edition des débats de la Chambre

Plus en détail

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise Page 1 1. AVIS DE DOMMAGES Enregistrer les avis de dommages des producteurs affectés par la sauvagine, à partir de l unité de traitement «AVIS» tout en sélectionnant le programme Sauvagine (SAU). 2. CONSTATATION

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

Règlement type relatif à l abattage d arbres

Règlement type relatif à l abattage d arbres Règlement type relatif à l abattage d arbres INTRODUCTION «Une municipalité ou une MRC peut régir ou restreindre la plantation ou l'abattage d'arbres afin d'assurer la protection du couvert forestier et

Plus en détail

CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.

CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail. CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage

Plus en détail

Fiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin

Fiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin Nom - Prénom (ou Nom de la société) : Adresse permanente : Téléphone : Email : Date de naissance: Statut juridique : s exploitation individuelle s GAEC s EARL s Autre (à préciser) Nom et Prénom du Chef

Plus en détail

SAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne)

SAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne) SAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne) L élaboration Mise en œuvre du Plan : le lancement Installation de la CLE Travaux de la commission «Marée vertes et littoral» - Flux d azote,

Plus en détail

IOC 2010 Support à destination des éleveurs caprins CR n 00 10 78 010

IOC 2010 Support à destination des éleveurs caprins CR n 00 10 78 010 Identification électronique des caprins ELEVEUR IOC 2010 Support à destination des éleveurs caprins CR n 00 10 78 010 La règlementation Le règlement européen 21/2004: les deux étapes Les textes français

Plus en détail

La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives

La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan

Plus en détail

Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme

Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Projet du Syndicat des producteurs de grains biologiques

Plus en détail

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ

Plus en détail