Fréquentes Bénignes dans 90% des cas Orientation diagnostique et thérapeutique sur les délais d apparition des symptômes Distinguer : Syndromes à
|
|
- Delphine Després
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 INTOXICATION AIGUE AUX CHAMPIGNONS Mars
2 Points Essentiels Fréquentes Bénignes dans 90% des cas Orientation diagnostique et thérapeutique sur les délais d apparition des symptômes Distinguer : Syndromes à incubation courte : Délai d apparition des signes < 6 heures Intoxications parfois spectaculaires mais souvent bénignes Syndromes à incubation longue : Délai d apparition des signes > 6 heures Intoxications graves, de mauvais pronostic Mars
3 Points Essentiels Signes digestifs toujours présents quelle que soit la gravité mais intensité variable ATTENTION : Absence de renseignements précis Possibilité de plusieurs variétés de champignons ingérés (délais masqués) Intensité des tr. Digestifs (enfant, personne âgée) => prudence (déshydratation) Prendre en charge toutes les victimes potentielles (intoxication collective) Recueillir les champignons restants (identification mycologique et toxicologique) Mars
4 SYNDROMES à INCUBATION COURTE < 6 heures Signes souvent spectaculaires Pronostic souvent favorable Hospitalisation courte souvent recommandée (incubation courte + longue) Syndrome Résinoïdien ou Gastro-intestinal 60% des cas (nombreuses variétés) bolet de Satan, rosé des prés, survenue entre 30 mn et 3 h après ingestion nausées, vomissements, diarrhée +++, hypokaliémie, déshydratation TRT symptomatique : réhydratation, antiémétique, antidiarrhéeique Mars
5 SYNDROMES à INCUBATION COURTE < 6 heures Syndrome Muscarinien Cholinergique ou Sudorien intoxication par la muscarine (action sur les récepteurs cholinergiques muscariniques) certains clitocybes et inocybes survenue en 15 mn après ingestion, dure 2 à 6h intoxication cholinergique : hypersudation, hypersialorrhée, rhinorrhée, larmoiement, nausées, vomissements, diarrhée profuse,douleurs abdom. myosis, bradycardie, bronchoconstriction, hypotension TRT : toujours hospitaliser, Atropine 0,5 à 1 mg IV, réhydratation, traitement symptomatique Mars
6 SYNDROMES à INCUBATION COURTE < 6 heures Syndrome Mycoatropinien ou Panthérinien intoxication par l amanite panthère ou l amanite tue-mouche survenue 30 mn à quelques h après ingestion disparition en 6 à 48 h troubles digestifs non spécifiques inconstants, signes neurologiques : désorientation, ataxie, euphorie, agitation, délire, avec parfois hallucinations, hyperthermie, myoclonies, convulsions, mydriase TRT : évacuation digestive (lavage gastrique), benzodiazépines (agitation, convulsions), Pas d Antidote - Contre-indication : Atropine Mars
7 SYNDROMES à INCUBATION COURTE < 6 heures Syndrome Coprinien ou Antabuse apparition en cas de prise d alcool concomitante ingestion de coprins noir d encre céphalées, vasodilatation, flush, bouffées vasomotrices, vomissements, hypota, tachycardie TRT : disparition spontanée en quelques heures + stop alcool pendant 72 h (évite réapparition signes) Syndrome Narcotinien ou Hallucinatoire intoxication volontaire toxicomanogène effets psychodysleptiques, voire convulsons, coma, hyperthermie Mars
8 SYNDROMES à INCUBATION LONGUE > 6 heures Syndrome Phalloïdien le plus grave et le plus fréquent plusieurs dizaines à centaines d intoxications / an 90 % amanite phalloïde 10 % amanite vireuse, amanite printanière toxines polypeptidiques thermostables évolution en 3 phases : intervalle libre (latence) : 6h à 48h (moy. 12h) phase d agression : syndrome Gastroentéritique majeur (vomissements en jet, douleurs abdominales +++, diarrhée ++), désh20 ++, choc hypovolémique, insuffisance rénale aigüe Mars
9 SYNDROMES à INCUBATION LONGUE > 6 heures Syndrome Phalloïdien phase d atteinte hépatique : hépatite toxique (hépatite aigue fulminante) : cytolyse hépatique (élévation des transaminases), insuffisance hépatocellulaire (ictère, troubles de la coagulation, CIVD, encéphalopathie) en absence d amélioration : décès en 7 à 20j TRT symptomatique : évacuation digestive précoce (lavage gastrique) charbon activé réhydratation => fonction rénale normale indication de transplantation hépatique (Hep.Fulminante) Pénicilline G à forte dose Protocole Dr Bastien : Vit.C, Néomycine, Ercéfuryl, Primpéran Mars
10 SYNDROMES à INCUBATION LONGUE > 6 heures Syndrome Orellanien durée incubation : 2j à 15 j ingestion de certains cortinaires troubles digestifs, myalgies, asthénie, puis oligurie (insuffisance rénale aigue souvent définitive) Syndrome Gyromitrien apparait en 8 à 12h si consommé frais ingestion de certains gyromitres (fausse morille) douleurs abdominale, diarrhée hépatite cytolytique, fièvre, convulsions, délire TRT symptomatique + Vit.B6 (si tr. Neurol.) Mars
11 SYNDROMES à INCUBATION LONGUE > 6 heures Syndrome Hémolytique ingestion de champignons pas assez cuits (amanite vaginée, amanite rougissante) toxines hémolysantes thermolabiles syndrome hémolytique avec insuffisance rénale aigüe Mars
INTOXICATIONS PAR LES CHAMPIGNONS SUPERIEURS
N de version: 01 Date d'application : 07/2013 Réf.: CMUB-026 Pagination : 1 de 10 COLLEGE DE MEDECINE D URGENCE DE BOURGOGNE Protocole N 026 Rédacteurs Dr Laurent MACON Date Juillet 2013 Validation Approbation
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailIntoxication par les barbituriques
Intoxication par les barbituriques GH. Jalal, S. Achour, N. Rhalem, R. Soulaymani 1. Cas clinique : L unité d information toxicologique du Centre Anti Poison du Maroc a été contactée par une clinique privée
Plus en détailLE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS
LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailCentre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailLA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI
LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détailLes nouveaux traitements de fond de la SEP
Sclérose en plaques : les nouveaux traitements Guillaume MATHEY, Hôpital de Metz-Mercy Les nouveaux traitements de fond de la SEP Le but des traitements de fond Forme par poussées 2 ième ligne TYSABRI
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament.
Plus en détailREHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE. Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes
REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes Dr BAJON-THERY Dr COURJARET Dr SURET Dr DEWITTE Dr MICHOT Surveillance médico-professionnelle
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailmal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire
LES CÉPHALÉES 4 e Forum Département de médecine familiale et de médecine d urgence St-Georges de Beauce le 29 mai 2009 Les céphalées: objectifs Appliquer un algorithme diagnostique des céphalées Reconnaître
Plus en détailLes toxiques les plus courants et les plus dangereux
Chapitre83 Les toxiques les plus courants et les plus dangereux L. CORDIER, V. LAPLAZA 1. Introduction Les intoxications sont devenues la première cause d admission à l hôpital des sujets jeunes dans les
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Asaflow 80 mg, comprimés gastro-résistants Asaflow 160 mg, comprimés gastro-résistants. Acide acétylsalicylique
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Asaflow 80 mg, comprimés gastro-résistants Asaflow 160 mg, comprimés gastro-résistants Acide acétylsalicylique Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCENTRE HOSPITALIER DE SOMAIN PROCEDURE GESTION DES RISQUES GESTION DES EVENEMENTS INDESIRABLES. Fiche d événement indésirable déclarations vigilances
PROCEDURE ADMINISTRATIVE (VST) Document n 7 Version 1 CENTRE HOSPITALIER DE SOMAIN PROCEDURE GESTION DES RISQUES GESTION DES EVENEMENTS INDESIRABLES Page 1/ 20 Date : Août 2005 Contenu de la procédure
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailMicro-organismes et parasites des viandes : les connaître pour les maîtriser, de l éleveur au consommateur. Avant-propos
Avant-propos Les Cahiers Sécurité des Aliments du Centre d Information des Viandes (CIV) ont pour objet de rendre plus facilement accessible l ensemble des données techniques, réglementaires et scientifiques
Plus en détailIntoxications au Monoxyde de Carbone (CO)
Intoxications au Monoxyde de Carbone (CO) K. Elhajjaoui, N. Rhalem, I. Semlali, R. Soulaymani Bencheikh 1. Introduction : L intoxication au monoxyde de carbone (CO) occupe la première place dans les pays
Plus en détailInsuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë
Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailMONOGRAPHIE DE PRODUIT
MONOGRAPHIE DE PRODUIT Pr AXERT comprimés de malate d almotriptan 6,25 mg et 12,5 mg d almotriptan Agoniste des récepteurs 5-HT 1 Traitement antimigraineux Cette monographie de produit est la propriété
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailRésumé des Caractéristiques du Produit 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT PARONAL 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Résumé des Caractéristiques du Produit 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT PARONAL 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Par fiole: L - asparaginase 10.000 U.I. Pour les excipients, cfr section 6.1. 3.
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE 3. FORME PHARMACEUTIQUE 4. DONNEES CLINIQUES 4.1. Indications thérapeutiques 4.2.
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. AVIS 1 er février 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er février 2012 Le projet d avis adopté par la Commission de la Transparence le 16 novembre 2011 a fait l objet d une audition le 1 février 2012 XEPLION 25 mg, suspension
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailHépatite. ses causes ses conséquences sa prévention
Hépatite ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite : l essentiel en bref Qu est-ce que l hépatite et quelles sont les conséquences de cette maladie? L hépatite est une inflammation du foie, dont
Plus en détailPrésentation d µgaztox_dist Rev22_06_09
Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09 1 INTERFACE UTILISATEUR Affichage message d alarme Affichage des alarmes VME et VLE Affichage de la mesure Affichage des niveaux d alarme instantanées (haute et
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailLES ANTIMIGRAINEUX. Médicaments de la crise et médicaments de fond
LES ANTIMIGRAINEUX Migraine : maladie qui peut être handicapante selon fréquence, durée, intensité des crises, signes d accompagnement (digestifs), retentissement sur la vie quotidienne, professionnelle,
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 31 janvier 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 31 janvier 2007 NEUPRO 2 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose, B/30 : 377 209-7 Sachet-dose, B/90 : 570 143-4 NEUPRO 4 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose,
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailDOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)
DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailAVIS DE LA COMMISSION. 30 juin 2004
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE REPUBLIQUE FRANÇAISE AVIS DE LA COMMISSION 30 juin 2004 BIPERIDYS 20 mg, comprimé pelliculé sécable (Boîtes de 20 et 40) Laboratoires PIERRE FABRE MEDICAMENT dompéridone Liste
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailLe traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien
Folia veterinaria Le traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien Les principaux traitements à instaurer chez le chien insuffisant cardiaque sont passés en revue en insistant sur les critères de
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailVIGI N 44. Juillet 2010. Centre Antipoison - Centre de Pharmacovigilance 162, avenue Lacassagne - 69424 Lyon Cedex 03
N 44 Juillet 2010 Comité de rédaction J. Descotes C. Payen C. Pulce F. Testud T. Vial ISSN 2102-7196 VIGI Centre Antipoison - Centre de Pharmacovigilance 162, avenue Lacassagne - 69424 Lyon Cedex 03 EDITORIAL
Plus en détailNOTICE. ANSM - Mis à jour le : 25/03/2014. Dénomination du médicament. PANTOPRAZOLE RATIOPHARM CONSEIL 20 mg, comprimé gastro-résistant Pantoprazole
NOTICE ANSM - Mis à jour le : 25/03/2014 Dénomination du médicament PANTOPRAZOLE RATIOPHARM CONSEIL 20 mg, comprimé gastro-résistant Pantoprazole Encadré Veuillez lire attentivement cette notice avant
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailEn considérant que l effet anticoagulant du dabigatran débute dans les 2 heures suivant la prise du médicament :
Informations sur le dabigatran (Pradaxa md ) Préambule : Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du dabigatran (Pradaxa md ). L
Plus en détailGestion de la douleur chez les enfants
Gestion de la douleur chez les enfants Il faut avoir lu le premier article sur la douleur qui s adresse aux adultes car ce texte se base sur celui-ci. La douleur chez l enfant c est un peu plus compliqué.
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailComplications de la transfusion
Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon
Plus en détailNotice : information de l utilisateur. Vesicare 5 mg, comprimés pelliculés Vesicare 10 mg, comprimés pelliculés succinate de solifénacine
Notice : information de l utilisateur Vesicare 5 mg, comprimés pelliculés Vesicare 10 mg, comprimés pelliculés succinate de solifénacine Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 27 avril 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 27 avril 2011 Examen du dossier de la spécialité inscrite pour une durée limitée conformément au décret du 27 octobre 1999 (JO du 30 octobre 1999) et à l arrêté du 8
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DE L'UTILISATEUR. PANTOZOL Control 20 mg, comprimé gastrorésistant Pantoprazole
NOTICE : INFORMATIONS DE L'UTILISATEUR PANTOZOL Control 20 mg, comprimé gastrorésistant Pantoprazole Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice car elle contient des informations importantes
Plus en détailMONOGRAPHIE DE PRODUIT. Comprimés de citalopram. 30 mg de citalopram sous forme de bromhydrate de citalopram USP. Antidépresseur
MONOGRAPHIE DE PRODUIT Pr CTP 30 MD Comprimés de citalopram 30 mg de citalopram sous forme de bromhydrate de citalopram USP Antidépresseur Sunovion Pharmaceuticals Canada Inc. 6790 Century Ave., Suite
Plus en détailNurofen 400 Fastcaps, 400 mg capsules (molles) Ibuprofène
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Nurofen 400 Fastcaps, 400 mg capsules (molles) Ibuprofène Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détail