Document de réflexion. Sommet sur l enseignement supérieur. Comité national des jeunes du Parti Québécois

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1 Document de réflexion Sommet sur l enseignement supérieur Comité national des jeunes du Parti Québécois

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3 1. Avant-propos Mot de la présidence La présente consultation Composition du comité directeur Cheminement des propositions L enseignement supérieur La qualité de l enseignement L accessibilité de l enseignement Endettement zéro La gouvernance et le financement des universités La contribution des établissements et de la recherche au développement de l ensemble du Québec

4 1. Avant-propos Ce document s inscrit dans la démarche de préparation du mémoire que déposera le comité national des jeunes du Parti Québécois dans le cadre du processus de consultation en vue du sommet sur l enseignement supérieur. Le printemps dernier a été des plus mouvementés pour tout le Québec. Au plus fort d une grève étudiante qui devait durer plusieurs mois, étudiants aux études postsecondaires, le trois quart de tous ceux inscrits, faisaient débrayage tandis qu une manifestation monstre rassemblait personnes dans les rues de Montréal. Des regroupements issus des milieux politiques, communautaires, syndicaux et sociaux ont rapidement joint leurs voix au mouvement étudiant. En chambre, l opposition officielle, alors composée par le Parti Québécois, a vigoureusement appuyé le mouvement et s est opposé au controversé projet de loi 78. Au cœur de cette mobilisation profondément marquante de l histoire du Québec, on retrouve tout d abord une décision politique, celle d augmenter unilatéralement les droits de scolarité universitaires d environ 75%. Cette décision, prise dans les antichambres du Parti Libéral du Québec, présentée aux partenaires sur l éducation le 6 décembre 2010 ainsi qu en mars 2011 dans le budget , n avait fait l objet d aucun débat de société et relevait essentiellement d un choix idéologique prit par le précédent gouvernement. Au cœur de la crise, le Parti Québécois a maintes fois réitéré son engagement de tenir un véritable sommet sur l enseignement supérieur au Québec. Cet engagement, négocié entre le CNJPQ et le Parti Québécois, a d abord été adopté par un conseil national du Parti en mars Dans le cadre du processus d adoption du programme du parti Québécois, il a par la suite été adopté dans de nombreuses assemblées régionales jeunes à l été 2010, au Grand rassemblement national des jeunes du Parti Québécois en octobre 2010 et, finalement, par le congrès national du Parti Québécois en avril Formant le gouvernement depuis son élection le 4 septembre dernier, le Parti Québécois a rapidement mis de l avant cet engagement et annoncé la tenue du Sommet sur l enseignement supérieur en février

5 2. Mot de la présidence Nous y sommes enfin. Depuis le 4 septembre dernier, l époque où le gouvernement national des Québécois dressait les générations les unes contre les autres est terminée. C est particulièrement manifeste dans le secteur de l Éducation maintenant que le Parti Québécois a lancé le processus de consultation devant mener au sommet sur l enseignement supérieur. Le temps où les jeunes du Québec devaient prendre la rue pour se faire entendre est aussi révolu. Ils peuvent le faire autrement et surtout plus sereinement. Depuis plusieurs années, les jeunes du Parti Québécois ont fait le choix de troquer les positions traditionnelles de gel et de dégel pour prôner l'ouverture et la discussion avec les intervenants du milieu. Nous avons apporté nos idées dans les rassemblements partisans de notre parti et nous avons réussi à faire adopter la position du sommet lors du congrès, une idée qui a vu le jour au sein même de nos rangs. L'arrivée au pouvoir de notre parti le 4 septembre 2012 marque une nouvelle étape de notre militantisme. Après avoir prôné un sommet sur l'éducation pendant longtemps, le Comité national des jeunes du parti Québécois doit maintenant modifier son discours sur l'éducation postsecondaire, élargir ses horizons et proposer de nouvelles solutions au travers les instances du parti. Un nouvel espace de discussion s est établi et le CNJPQ y fera valoir l opinion des jeunes péquistes. Osons, poussons notre réflexion, donnons-nous les outils de renforcir notre position de chef de file en matière d'éducation. Nous sommes très enthousiaste à recevoir vos réflexions et vos réactions face à ce document qui s'inscrit en marge du sommet du l'éducation du ministre Duchesne. La parole est à vous! Merci de votre engagement. Frédréric St-Jean, président du comité national des jeunes 5

6 3. La présente consultation Le document que vous avez présentement en votre possession est la proposition principale soumise par la conférence nationale des jeunes du Parti Québécois à tous les membres de l aile jeunesse. Il constitue le canevas à partir duquel nous vous invitons à formuler des propositions et à nous les faire parvenir à l adresse suivante sous forme de mémoire : sommet2013@cnjpq.org. Les propositions formulées par les membres seront ensuite colligées afin de déposer un mémoire. Un comité directeur a été formé pour s occuper du traitement des différents documents. Il est formé de sept (7) membres : trois (3) membres de l exécutif national, trois (3) présidents régionaux et 1 membre externe Composition du comité directeur Marcos Archambault, président régional de Montréal-Ville Ariane Cayer, exécutif national Jérémie Dunn, président régional des jeunes de Montréal-Centre Julie Durand, présidente régionale des jeunes du Saguenay-Lac-Saint-Jean/Nord-du-Québec Alexandre Goyer, exécutif national Étienne Richer, exécutif national Vincent Roy, membre externe 6

7 3.2 Cheminement des propositions Document de réflexion Tous les membres du CNJPQ Mémoires Comité directeur Preparation d une synthèse Conférence nationale des jeunes Document final du mémoire Dépôt au sommet sur l éducation supérieure 7

8 4. L enseignement supérieur Tout autant que la liberté politique, l éducation apparait comme l un des socles fondamentaux sur lesquels les sociétés modernes reposent. Libre et capable de faire ses propres choix de manière éclairée parce que sa population est instruite, une nation avance infiniment plus rapidement. La mission des établissements d enseignement postsecondaire s est transformée avec le passage du temps, si bien qu on oppose dorénavant différentes définitions de celle-ci. La vision traditionnelle de l enseignement supérieur est celle d établissements d enseignement libéral dont les principaux objectifs sont la préservation, le partage et le développement des connaissances de l humanité. Le savoir y est sa propre fin et l emphase est mise autour de l enseignement et du dialogue. Vient ensuite le modèle scientifique, où la recherche occupe une place prépondérante. La recherche fondamentale vient appuyer une recherche de la vérité et de compréhension du monde, tandis que la recherche appliquée permet d agir sur celui-ci. Cette vision s est institutionnalisée en Amérique du Nord au cours du 20 e siècle. Lors de la création du réseau de l Université du Québec dans les années 60, l enseignement supérieur a d abord été vu comme un service public générateur de progrès social, culturel et économique. L enseignement supérieur devient l instrument qu une société se donne pour la poursuite de sa vie collective. À ces trois visions s oppose une nouvelle conception utilitaire, voire entrepreneuriale. Celle-ci se caractérise essentiellement autour d un plus grand arrimage de l enseignement supérieur aux impératifs du marché économique. Elle se caractérise aussi par un désengagement de l État vis-à-vis du financement des universités. C est le modèle de l économie du savoir. Votre réflexion sera forcément colorée par l une ou l autre de ces conceptions, voire par plusieurs d entre elles. Bonne réflexion. 8

9 5. La qualité de l enseignement Au cœur de la réflexion autour de l éducation supérieur, on retrouve évidemment une préoccupation forte à l égard de la qualité de l enseignement et du savoir dispensé. Comment définir la qualité de l enseignement supérieur? Quels sont les devoirs et obligations des établissements, des corps professoraux et des étudiants? Comment maintenir ou améliorer la qualité de l enseignement? Comment nous assurer que la qualité est au rendez-vous? S il y a besoin de mettre en place des mécanismes d évaluation ou d en réformer certains qui existent déjà, qui devrait y participer et dans quelle proportion? Quelle place accorder à la compétition interuniversitaire ou intercollégiale? Doit-on retirer à la CREPUQ les pouvoirs d information, d analyse, d évaluation et de coordination qui lui ont été cédés par le passé? Sur ce premier volet, nous vous encourageons à alimenter votre réflexion à partir des documents mis en ligne par le ministère de l Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie. 6. L accessibilité de l enseignement Le printemps dernier, le Québec s est polarisé sur les droits de scolarité. Le mouvement étudiant s est braqué contre une hausse des droits de scolarité qui a été perçue comme un frein à l accessibilité aux études supérieures. Le gouvernement libéral a quant à lui fait la défense d un nécessaire réinvestissement dans le réseau de l Université du Québec. Bien qu en les circonstances, la hausse des droits de scolarité ait été perçue comme une attaque à l accessibilité, conditionne-t-elle 9

10 véritablement cette dernière? D un autre côté, on peut questionner le choix de lier trop intimement droits de scolarité et financement des universités. 7. Endettement zéro Constatant les lacunes importantes du débat public, les militants qui nous ont précédés ont rejeté le débat exclusif sur les droits de scolarité. Au cours des dernières années, le CNJPQ a mit de l avant une réflexion originale sur la notion de l accessibilité. Celle-ci est de viser l endettement zéro. Dans la poursuite de ses études postsecondaires, un étudiant doit assumer un ensemble de coûts tels que les droits de scolarité, les frais institutionnels obligatoires (FIO), les frais de logement, d alimentation, de transport, etc. Par le biais du travail, de prêts et bourses et de la contribution de ses parents, l étudiant a aussi accès à un ensemble de revenus pour l aider à assumer cette facture. De cette équation dépassant largement la question des droits de scolarité, on peut déterminer ce qu on appellera le coût réel des études. S il est incapable d assumer celui-ci, l étudiant n a que deux choix : s endetter davantage ou abandonner. Par conséquent, nous considérons que l endettement étudiant se présente comme une mesure non pas de l accessibilité aux études, mais de son inaccessibilité. L abolition, au mieux, et la minimisation, au pire, de l endettement étudiant devient alors le principal chantier de l accessibilité économique à notre système d éducation nationale. Ce chantier de l endettement zéro est d autant plus nécessaire qu il s inscrit dans un contexte de jeune ménage plus endetté que jamais, tant par la dette publique que par leur endettement privé. Dans ce contexte, doter notre système d éducation nationale de mécanismes qui facilitent l entrée ou le retour aux études et ce, sans endetter la jeunesse, représente une innovation porteuse d équité intergénérationnelle. Comment réaliser les objectifs de l endettement zéro? 10

11 8. La gouvernance et le financement des universités La façon de financer et de gérer nos universités a évidemment des impacts sur l ensemble des activités de celle-ci. Alors que plusieurs dénoncent un sous-financement du réseau, d autres parlent plutôt d un mal-financement. Nos universités sont-elles sous-financées ou mal-financées? Doit-on revoir les sources de financement des universités? Comment nous assurer d une bonne gestion des finances des universités? Doit-on envisager la création d un conseil des universités chargé de superviser la gestion des universités? Si oui, quels devraient être ses mandats ainsi que sa composition? Doit-on revoir la rémunération des cadres supérieurs? 9. La contribution des établissements et de la recherche au développement de l ensemble du Québec Plus que des lieux de passation du savoir, les établissements d enseignement du Québec sont de hauts lieux d innovation. La recherche universitaire sert toute la collectivité en plus de permettre aux étudiants et professeurs d approfondir leur champ de connaissance. Quelle place accorder au secteur privé dans le secteur de la recherche universitaire? Comment revoir la gestion des brevets afin que le fruit du travail universitaire profite au maximum à la communauté? Doit-on abolir la clause permettant le transfert des fonds de fonctionnement aux fonds de recherche ou permettre que l inverse soit aussi possible? 11

12 Pour nous suivre : Participez au sommet sur l enseignement supérieur : Faites-nous parvenir vos mémoires : sommet2013@cnjpq.org 12

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