JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Thème de la journée de consultation : Loyauté dans l environnement numérique Junior ESSEC 09/01/2015
|
|
- Émilie Samson
- il y a 3 ans
- Total affichages :
Transcription
1 JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 2ème journée Compte-rendu de l atelier 4 : Loyauté entre acteurs économiques Thème de la journée de consultation : Loyauté dans l environnement numérique Junior ESSEC 09/01/2015 Compte-rendu de l atelier contributif animé par Jean-Baptiste SOUFRON, secrétaire général du Conseil National du Numérique et Karine DE CRESCENZO, Responsable des relations institutionnelles à l'ufc-que Choisir, avec le concours de Léa DOUHARD, rapporteur au Secrétariat général du CNNum National du Numérique.
2 Introduction et appropriation de l atelier contributif Remarques préalables sur la tenue de l atelier Les débats se sont éloignés du thème fixé pour se focaliser sur la problématique suivante : comment permettre une plus grande concurrence entre agents économiques pour permettre aux consommateurs de devenir acteurs de l environnement numérique? Cela est apparu aux participants comme un enjeu essentiel pour pouvoir envisager la problématique de la loyauté. Introduction, rappel des objectifs et présentation des participants Cet atelier contributif est animé par Jean-Baptiste SOUFRON, secrétaire général du Conseil National du Numérique et Karine DE CRESCENZO, Responsable des relations institutionnelles à l'ufc-que Choisir, avec le concours de Léa DOUHARD, rapporteur au Secrétariat Général du CNNum Rappel des enjeux de l atelier et de la consultation Suite à une consultation nationale effectuée sur Internet, six problèmes, six solutions et trois «pépites» ont été dégagés sur le thème de la loyauté entre les acteurs économiques. L atelier qui s est tenu le vendredi 9 janvier 2015 au Conseil de l Europe à Strasbourg avait pour objet de se focaliser sur les solutions en tentant de rechercher des moyens effectifs de les mettre en place. Rappel des principaux défis et des solutions soulevés lors de la consultation en ligne Afin de traiter le nouvel angle d approche retenu (comment permettre une plus grande concurrence entre agents économiques pour permettre aux consommateurs de devenir acteurs de l environnement numérique?), les contributeurs se sont attardés sur comment présenter les alternatives aux utilisateurs et comment permettre plus de concurrence. Finalement, les deux grandes solutions dégagées par les participants sont hybrides et se composent toutes deux d un mix entre trois solutions et une pépite initialement proposées lors de la consultation en ligne : Favoriser la pluralité des contenus et de l offre, Obligation de loyauté vis-à-vis des utilisateurs, Mobiliser les outils issus du droit de la concurrence, Créer des conditions pour faire émerger des alternatives.
3 Solution débattue Problématique abordée : Créer des conditions pour faire émerger des alternatives pour les utilisateurs Échanges des participants sur la question : Les différents intervenants ont tous mis en avant l importance du thème de l alternative pour pouvoir garantir la loyauté entre acteurs. On a tout d abord souligné qu elle «envisageait difficilement cette initiative si elle n était pas faite au niveau européen». Ce à quoi a été répondu que : «si cette initiative française sera bien réalisée au niveau national sur le plan juridique, elle pourrait inspirer des ambitions européennes», ce qui ne bloquait en rien sa réalisation. Pour obtenir cette dimension internationale, la notion de masse critique a été mise en avant et discutée. En effet, la masse critique est «nécessaire pour avoir une influence sur les autres États». Et c est justement grâce à leur importance sur les marchés que certaines entreprises vont être amenées à posséder un pouvoir d influence. Face au rôle déterminant de la masse critique, des participants ont souligné que «les petits opérateurs qui occupent le plus souvent des marchés de niches devraient continuer à avoir leur place». L exemple des MVNO (Mobile Virtual Network Operators) a notamment été cité. Il faut ainsi «respecter une double nécessité : prendre en compte l importance de la masse critique tout en veillant à préserver les conditions pour favoriser les plus petits opérateurs à se lancer sur le marché». La discussion s est ensuite concentrée sur l utilisateur. On a repris la notion de masse critique en estimant que «cette dernière ne pouvait se décréter et qu un État n aurait pas non plus la capacité de le faire». En revanche, ce sont les utilisateurs, qui selon leurs choix, vont permettre à un acteur d atteindre ou non cette masse critique. La loi peut alors avoir un rôle à jouer. En effet, en montrant au consommateur les alternatives existantes et en les décrivant, on peut «aider l utilisateur à mieux choisir. L exemple de Google Takeout ou de la portabilité montre que des initiatives vont en ce sens». Un intervenant approuve le fait de se concentrer sur le consommateur. D après elle, «le rôle de l État y est essentiel car les grands opérateurs ayant atteint leur masse critique aujourd hui ont toutes les raisons de rester en place car ils bénéficient de leviers de réputation, offrent un excellent service et constituent des habitudes pour les utilisateurs». Le financement public constitue alors le moyen principal pour créer des alternatives. Mais même face à cette ambition de faire émerger des alternatives, certains participants pointent un problème : celui de l effectivité du droit. D après un intervenant, le problème est particulièrement prégnant dans le domaine de la propriété intellectuelle ou de la concurrence. Or, permettre la loyauté entre acteurs économiques, c est favoriser la concurrence et les alternatives. On pointe par ailleurs une réelle «distorsion de concurrence» face à laquelle il n arrive pas à trouver de solution. D autres vont aussi dans ce sens en soulignant la «difficulté de faire appliquer ce droit». On souligne aussi une inadaptation du droit de la concurrence au monde numérique. Il faudrait, selon lui, peut-être plus «privilégier une protection ex-ante pour pouvoir anticiper bon nombre de questions». Il existe déjà un outil : la mesure conservatoire, mais celui-ci est «très peu utilisé car la preuve y est difficile».
4 Une autre solution est alors mise en avant : renforcer le rôle du régulateur. Ce dernier pourrait être l ARCEP ou le CSA qui sont demandeurs mais ont besoin de moyens (voir infra : la détermination du gardien de la loyauté). Se pose alors une question de méthode : faut-il plutôt rendre effectifs des outils juridiques existants déjà ou en créer de nouveaux? Les contributeurs sont alors divisés : certains estiment qu il faut appliquer le droit positif existant. «Dans des pays comme l Allemagne ou le Canada le droit y est appliqué et on peut y constater un relatif fonctionnement» souligne notamment un des participants. On met en avant les conséquences négatives qui pourraient arriver en choisissant cette solution en appliquant la théorie des facilités essentielles : «Une petite modification juridique créerait potentiellement un grand déséquilibre». En rédigeant un nouveau texte on ne va pas dans le sens d une simplification du droit mais on garantit sa stabilité. Suite à ces échanges, une solution concrète à été mise en avant, il s agit de l écran de choix. Un constat est partagé entre les contributeurs : les consommateurs ne choisissent pas vraiment. Mais selon eux, la principale raison est qu on ne leur a jamais expliqué directement qu il y avait des alternatives. On pointe en ce sens la baisse des parts de marché de Google Search depuis l arrivée de Yahoo sur le marché étasunien. L exemple de l écran de choix notamment utilisé chez Microsoft est mis en avant. Au démarrage de l ordinateur, l utilisateur va pouvoir choisir entre plusieurs navigateurs Internet. Cet élément a par exemple fait perdre des parts de marché à Internet Explorer. Cet écran offre donc la possibilité d aller vers d autres outils. Cette solution est unanimement reconnue comme intéressante car elle est simple et offre des résultats effectifs. Cependant, on souligne qu il y a un risque de «zapping» de la part de l utilisateur. Un accord général émerge sur le fait que si cette mesure est prise, il faudra l accompagner d éducation. Si un principe de loyauté est mis en place, il faut en déterminer le gardien. «C est la CNIL qui est appelée à devenir compétente pour devenir le protecteur des libertés du numérique et qui doit changer de nature». On souligne aussi qu il peut s agir seulement d une coordination à créer entre plusieurs autorités. Cette proposition est notamment soutenue par d autres participants qui dans un souci de simplification du droit, souhaiteraient que la compétence aille à des organisations déjà existantes. On pointe alors un problème : «comme il n y a pas que du marchand sur Internet, si ce principe est créé, il risque d avoir une définition en silo». Pour éviter cela, il faudrait créer une autorité ad hoc et se demander si la nature de la CNIL ne doit pas changer pour s adapter au numérique. L autorité compétente devra aussi être déterminée selon la nature du texte définissant l obligation de loyauté. Mais selon qu il ait valeur constitutionnelle ou qu il s agisse d un texte spécialisé, le résultat ne sera pas le même. Jean-Baptise SOUFRON fait une brève conclusion pour terminer le débat : «Nous avons plus traité de la loyauté envers les utilisateurs qu entre acteurs économique avec un objectif : permettre une plus grande concurrence entre agents économiques et permettre aux consommateurs de devenir acteurs de cet environnement numérique.» Faute de temps et par souci de développer suffisamment la première solution, une deuxième solution n a pas été abordée au cours des débats. Remerciements.
5 Invitation à continuer à contribuer sur le site. Compte-rendu des échanges de l atelier n 4
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Journée contributive n 1 : Croissance, innovation, disruption Junior ESSEC 28/11/2014
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 1ère journée Compte-rendu de l atelier 6 : Nouveaux clusters numériques Journée contributive n 1 : Croissance, innovation,
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Compte-rendu de l atelier 2 : Droit au déréférencement
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 2ème journée Compte-rendu de l atelier 2 : Droit au déréférencement Thème de la journée de consultation : Loyauté dans
Junior ESSEC 19/01/2015
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 3ème journée Compte-rendu de l atelier 4 : Transformation numérique des relations administration-usagers Thème de la journée
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Thème de la journée de consultation : Loyauté dans l environnement numérique Junior ESSEC 09/01/2015
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 2ème journée Compte-rendu de l atelier 3 : Surveillance et lutte contre la criminalité en ligne Thème de la journée de
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Thème de la journée contributive : Transformation numérique de l action publique Junior ESSEC 19/01/2015
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 3ème journée Synthèse de l atelier 5 : La souveraineté numérique Thème de la journée contributive : Transformation numérique
CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 2ème journée. Synthèse de l atelier 6 : La neutralité du Net JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 2ème journée Synthèse de l atelier 6 : La neutralité du Net 2 ème journée contributive : loyauté dans l environnement
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Compte-rendu de l atelier 5 : Souveraineté numérique
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 3ème journée Compte-rendu de l atelier 5 : Souveraineté numérique Thème de la journée contributive : Transformation numérique
SÉMINAIRE CONCLUSIONS
RBB (2012) Conclusions SÉMINAIRE SUR LES BUDGETS BASÉS SUR DES RÉSULTATS: OBJECTIFS RÉSULTATS ATTENDUS ET INDICATEURS DE PERFORMANCE Strasbourg, 25 septembre 2012 CONCLUSIONS A l initiative du Comité du
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Synthèse de l atelier 7 : Données, traces et algorithmes
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 2ème journée Synthèse de l atelier 7 : Données, traces et algorithmes 2 ème journée collaborative : loyauté dans l environnement
CONCLUSIONS. Par rapport aux résultats obtenus, on peut conclure les idées suivantes :
CONCLUSIONS L application de la PNL à l entreprise est confrontée aux besoins des leaders d équipe, tels que: la gestion de son propre développement, du stress, la résolution des problèmes tels que les
Communiqué 8 novembre 2012
Communiqué 8 novembre 2012 Les conditions du déploiement de l Internet à très haut débit en France et en Europe Coe-Rexecode mène depuis plusieurs années un programme de recherche approfondi sur l impact
CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 1ère journée
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 1ère journée Compte-rendu de l atelier 5 : Soutien à l innovation Journée contributive n 1 : croissance, innovation, disruption
UNE SOLUTION CRM CONÇUE POUR LA FORCE DE VENTE
LIVRE BLANC UNE SOLUTION CRM CONÇUE POUR LA FORCE DE VENTE Comment choisir un CRM qui répondra à toutes les attentes de vos commerciaux www.aptean..fr LIVRE BLANC UNE SOLUTION CRM CONÇUE POUR LA FORCE
Réussir ses comptes rendus
Michelle Fayet Réussir ses comptes rendus Troisième édition, 1994, 2000, 2005. ISBN : 2-7081-3369-1 Introduction Mais enfin, qu est-ce qu un un compte rendu? Cette interrogation est celle de beaucoup de
Mémoire du Mouvement des caisses Desjardins. présenté à. l Autorité des marchés financiers
présenté à l Autorité des marchés financiers dans le cadre de la consultation relative à la distribution de produits d assurance par les concessionnaires et autres marchands d automobiles Octobre 2006
COMITE DIRECTEUR DE LA CULTURE, DU PATRIMOINE ET DU PAYSAGE (CDCPP)
COMITE DIRECTEUR DE LA CULTURE, DU PATRIMOINE ET DU PAYSAGE (CDCPP) CDCPP (2012) 9 le 20 mars 2012 lère Session Plénière Strasbourg, 14-16 mai 2012 CONVENTION EUROPEENNE DU PAYSAGE 10e Réunion du Conseil
Sommaire: Introduction général Partie I: Conclusion. 1.L origine du coaching 2.Le développement du coaching 3.Definition Partie II:
Thème: Le Coaching Sommaire: Introduction général Partie I: 1.L origine du coaching 2.Le développement du coaching 3.Definition Partie II: 1.Caractéristiques du coaching 2.Rôle et mission du coach 3.La
SOMMAIRE DE LA RÉPONSE DE LA DIRECTION
SOMMAIRE DE LA RÉPONSE DE LA DIRECTION Rapport d évaluation final de l Initiative de la nouvelle économie (INÉ) Date : le 17 mars 2010 Programme de l INÉ : contexte Dans le cadre du plan du gouvernement
TERMES DE REFERENCES
TERMES DE REFERENCES Composante 3 / TUNISIE ACCUEIL ET ACCOMPAGNEMENT DES JEUNES DEMANDEURS D EMPLOIS DIPLOMES DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ACTION DE FORMATION Contribution à la réalisation d un outil intitulé
Junior ESSEC 28/11/2014
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 1ère journée Synthèse de l atelier 1 : les nouveaux modèles économiques et organisationnels Thème : Croissance, innovation,
PROJET (propositions du groupe de travail)
APPUI OPERATIONNEL A L ELABORATION DES OUTILS PRATIQUES DE MISE EN PLACE DES CLASSIFICATIONS AU SEIN DE LA BRANCHE DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE PROJET (propositions du groupe de travail) Préambule Pourquoi
Groupe de travail. compétences Réunion 4. 8 décembre 2011
Groupe de travail Vers une cartographie interactive des métiers et des compétences Réunion 4 8 décembre 2011 Partenaires présents D.Anglaret DireccteIledeFrance P.Henry DireccteIledeFrance F.Suarez MDEMVS
LA CONTRACTUALISATION DANS LA RELATION DE
réseau PLURIDIS LA CONTRACTUALISATION DANS LA RELATION DE COACHING 1. ANALYSER LA DEMANDE, UNE ACTION DE COACHING A PART ENTIERE Dans la relation de coaching, l étape de l analyse de la demande représente
La dématérialisation des procédures de marchés publics
La dématérialisation des procédures de marchés publics Définition La dématérialisation des procédures de marchés publics consiste en l utilisation de la voie électronique pour les échanges d informations
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Compte-rendu de l atelier 5 : Santé et numérique
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 4ème journée Compte-rendu de l atelier 5 : Santé et numérique Thème de la journée contributive : Junior ESSEC 04/02/2015
TNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS
Accompagner les changements de comportement TNS 2014 Comprendre et accompagner les changements de comportement Inciter et accompagner les changements de comportements des individus est un enjeu fondamental
«L art d accompagner les dirigeants» COACHING CROISÉ ACCOMPAGNEMENT DE DIRIGEANTS ET MENTORAT. Le partenaire de votre réussite
«L art d accompagner les dirigeants» COACHING CROISÉ ACCOMPAGNEMENT DE DIRIGEANTS ET MENTORAT F A I S O N S CONNAISSANCE > VOUS ÊTES Dirigeant d une petite ou moyenne entreprise Repreneur d une entreprise
Commentaires de la Banque Nationale
Commentaires de la Banque Nationale Livre blanc de l OCRCVM Modifications apportées aux règles concernant l obligation de mise à niveau des compétences et le versement direct de commissions Le 29 avril
L ANALYSE COUT-EFFICACITE
L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue
Rapport de Post- Campagne 1
Rapport de Post- Campagne 1 Résumé - La campagne Adwords que nous avons mené pour Galerie Photo-Originale a duré 21 jours (5.05-26.05) et nous a coûté $250,18. L objectif principal est en premier de stimuler
TABLEAU DE BORD : SYSTEME D INFORMATION ET OUTIL DE PILOTAGE DE LA PERFOMANCE
TABLEAU DE BORD : SYSTEME D INFORMATION ET OUTIL DE PILOTAGE DE LA PERFOMANCE INTRODUCTION GENERALE La situation concurrentielle des dernières années a confronté les entreprises à des problèmes économiques.
SÉMINAIRE 2 : point de vue des IA-IPR
SÉMINAIRE 2 : point de vue des IA-IPR Les séminaires et la continuité à assurer Il est essentiel qu au terme de chaque séminaire, le bilan établi et mis en ligne soit examiné dans chaque lycée par l ensemble
Des questions pour poursuivre la réfl exion
Des questions pour poursuivre la réfl exion EXPLICATIONS PRÉALABLES En complément du diaporama sur les résultats de l étude sur les CHSCT et selon à qui s adresse cette présentation, il est proposé une
Évaluation du Fonds international pour la diversité culturelle
Évaluation du Fonds international pour la diversité culturelle 1 Contexte La Fédération pour la diversité culturelle regroupe 43 coalitions nationales, dont près du deux tiers se trouvent dans des pays
Avis n 12-A-08 du 20 mars 2012 relatif au cadre réglementaire concernant l appel à candidature des attributions de fréquences «4 G»
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Avis n 12-A-08 du 20 mars 2012 relatif au cadre réglementaire concernant l appel à candidature des attributions de fréquences «4 G» L Autorité de la concurrence (commission permanente),
Canevas d aide au montage et cahier des charges de votre action de formation
Canevas d aide au montage et cahier des charges de votre action de formation FINALITÉS DE L ACTION (à établir avec le commanditaire) Quels sont les objectifs finals du commanditaire (ses finalités : économiques,
Grandeurs et misères des agents facilitateurs du changement en entreprise: Quelques leçons tirées d expériences pratiques
Grandeurs et misères des agents facilitateurs du changement en entreprise: Quelques leçons tirées d expériences pratiques Jocelyne LaRocque Conseillère principale en changement stratégique École de la
Présentation du «Guide de planification stratégique»
Commission de développement économique des Premières Nations du Québec et du Labrador Présentation du «Guide de planification stratégique» Préparé par Raymond Chabot Grant Thornton Août 2011 Mise en contexte
Au cours d une semaine l élève de STG aura 14 h d enseignement technologique et 15 h d enseignement général.
C est une section technologique dans un lycée général. En STG, les élèves découvrent l entreprise, son environnement économique et juridique, s initient au management des organisations, à l information
Transformation digitale et communication interne
Transformation digitale et communication interne Présentation des résultats de l enquête en ligne Novembre 2015 Sommaire 1 2 3 4 Profil des répondants et de leur organisation Position et rôle : perception
Fiche Hygiène et Sécurité. Assistant de prévention / Conseiller de prévention
Stop Info! Assistant de prévention / Conseiller de prévention L assistant de prévention et le cas échéant, le conseiller de prévention, précédemment dénommés ACMO (Agent Chargé de la Mise en Œuvre des
AVIS. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.371. Liège, le 06 avril 2006
AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.371 Liège, le 06 avril 2006 Objet : - Avant-projet de décret portant transposition de la Directive 2003/98/CE du Parlement européen et du Conseil du 17 novembre 2003 concernant
Assemblée des copropriétaires Les acteurs principaux
1 Assemblée des copropriétaires Les acteurs principaux 2 LE PRÉSIDENT Le président d assemblée, tout comme le vice-président et le secrétaire, est élu par l ensemble de l assemblée, avec des pouvoirs et
Marquage CE / Productions non en série / Projet de norme «portes et fenêtres» Position de EBC sur le projet révisé de «Guidance Paper M» (déc.
11 mars 2005 Marquage CE / Productions non en série / Projet de norme «portes et fenêtres» Position de EBC sur le projet révisé de «Guidance Paper M» (déc. 2004) Introduction Tous les produits de construction
LES DISPOSITIFS DE MOBILITE INTERNE ET DE REDEPLOIEMENT DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Les dispositifs statutaires de mobilité interne
LES DISPOSITIFS DE MOBILITE INTERNE ET DE REDEPLOIEMENT DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE La loi n 2009-972 du 3 août 2009 relative à la mobilité et aux parcours professionnels dans la fonction publique
CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA CREATION D UN REGISTRE NATIONAL DES CREDITS AUX PARTICULIERS
CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA CREATION D UN REGISTRE NATIONAL DES CREDITS AUX PARTICULIERS Consultation publique : veuillez adresser vos réponses avant le 27 février 2013 à l adresse électronique hcp@dgtresor.gouv.fr.
PROGRAMME MIXTE FAO/OMS SUR LES NORMES ALIMENTAIRES COMITÉ DU CODEX SUR LES PRINCIPES GÉNÉRAUX Vingt-quatrième session Paris, France, 2-6 avril 2007
Point 6 b) de l ordre du jour CX/GP 07/24/6 Partie II PROGRAMME MIXTE FAO/OMS SUR LES NORMES ALIMENTAIRES COMITÉ DU CODEX SUR LES PRINCIPES GÉNÉRAUX Vingt-quatrième session Paris, France, 2-6 avril 2007
Rapport concernant le dossier HDR de. M. Dr. Slimane HAMMOUDI
Prof. Michel LEONARD Département des Systèmes d Information Faculté des Sciences Économiques et Sociales CUI Batelle Bât A 7 route de Drize CH-1227 Carouge Tél. +41 22 379 02 27 Fax. +41 22 379 02 79 Rapport
Centre de politique et d administration fiscales
Centre de politique et d administration fiscales Orientations en matière d impôts sur la consommation Orientations en matière d enregistrement simplifié Orientations en matière d enregistrement simplifié
Lumesse Avis d expert. Agile Learning Etes-vous prêt au changement?
Lumesse Avis d expert Agile Learning Etes-vous prêt au changement? Dans l univers sans cesse mouvant de la Gestion des Talents, nous observons un nouveau changement fondamental en matière de développement
FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles
FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de
Au service de toutes celles et ceux qui ont envie d entreprendre
Au service de toutes celles et ceux qui ont envie d entreprendre Business plan Formation Financement BPE Création Finances Commerce Édito Com des images / Région Picardie Les efforts réalisés depuis plusieurs
Plan d action annuel
Plan d action annuel Mise en contexte La Coordination ATL a pour objectif de développer l offre d accueil Temps libre sur le territoire de la Commune afin de répondre aux besoins des familles, de développer
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GENÈVE, 2005 MÉMORANDUM SUR L OBLIGATION DE SOUMETTRE LES CONVENTIONS 1 ET RECOMMANDATIONS AUX AUTORITÉS COMPÉTENTES
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GENÈVE, 2005 MÉMORANDUM SUR L OBLIGATION DE SOUMETTRE LES CONVENTIONS 1 ET RECOMMANDATIONS AUX AUTORITÉS COMPÉTENTES Article 19 de la Constitution de l Organisation internationale
Collecter de nouveaux Leads avec Twitter
Collecter de nouveaux Leads avec Twitter 05/05/2015 Comment générer de l intérêt pour votre marque sur Twitter? Comme tout autre réseau social, Twitter représente une bonne opportunité pour faire connaître
CATALOGUE DE FORMATION POUR LES CABINETS D AVOCATS
2009 CATALOGUE DE FORMATION POUR LES CABINETS D AVOCATS SE DISTINGUER PAR LES COMPETENCES Signe Distinctif accompagne les cabinets d avocats pour développer de nouvelles compétences professionnelles indispensables
Développement durable
Guillaume Henry Joël Ruet Matthieu Wemaëre Développement durable & propriété intellectuelle L accès aux technologies dans les pays émergents résumé Le développement durable, métaprojet qui vise un développement
Quelles clés pour choisir un cabinet de reclassement?
Quelles clés pour choisir un cabinet de reclassement? L organisation Livre blanc Objectif du document : Ce document a pour objectif de présenter les principaux éléments de choix d un cabinet de reclassement
Politique d emploi. des personnes. handicapées : le diagnosticconseil
Politique d emploi des personnes handicapées : le diagnosticconseil Ce document s adresse particulièrement aux établissements, entreprises et groupes de plus de 250 salariés qui souhaitent s engager dans
«Le partage des données à caractère personnel et le respect de la vie privée à domicile»
Conférence Le Point «Maison connectée et intelligente» Paris, 28 mars 2013 Peter Hustinx Contrôleur européen de la protection des données «Le partage des données à caractère personnel et le respect de
LES ENTRETIENS D EVALUATION DES SALARIES
Petit-déjeuner du cabinet du 7 octobre 2011 Petit déjeuner d information du 6 novembre 09 INTRODUCTION L évaluation des salariés revêt de multiples intérêts pour l employeur comme pour le salarié. Pour
Décision de télécom CRTC 2013-74
Décision de télécom CRTC 2013-74 Version PDF Ottawa, le 21 février 2013 MTS Inc. et Allstream Inc. Demande de révision et de modification de certains éléments tarifaires de la politique réglementaire de
Saisine : Ministre de l Education nationale et de la Formation professionnelle (19/12/2008) AVIS DE LA CHAMBRE DE COMMERCE
Luxembourg, le 15 avril 2009 Objet: Projet de loi n 5975 portant création d une Ecole de la 2 e Chance. (3438JJE) Saisine : Ministre de l Education nationale et de la Formation professionnelle (19/12/2008)
reconnaissance et l exécution transfrontalières des condamnations pénales?
Réunion Informelle des Ministres de la Justice et des Affaires Intérieures Luxembourg, 27-29 janvier 2005 RENFORCER LA JUSTICE - Quelles politiques européennes pour la reconnaissance et l exécution transfrontalières
Guillaume comprend que le marché est composé de 3 composantes, mais desquelles s agit-il?
Thème 1 : Mercatique et consommateur Question de gestion : La mercatique cherche-t-elle à répondre aux besoins des consommateurs ou à les influencer? Chapitre 4 : Sur quel(s) marché(s) agir et comment
Programmes inter-entreprises
Brochure interactive Programmes inter-entreprises France, 2014-2015 Pour plus d informations sur les lieux, dates et prix de nos training, veuillez consulter www.krauthammer.fr (rubrique Programmes inter-entreprises
GESTION DES RESSOURCES HUMAINES
21 2. GESTION DES RESSOURCES HUMAINES La gestion des ressources humaines a pour objectif de mettre l institution en mesure de réaliser au mieux ses choix stratégiques dans un environnement en mutation.
SEMINAIRE SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT EN AFRIQUE DE L OUEST. Synthèse des conclusions et recommandations
SEMINAIRE SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT EN AFRIQUE DE L OUEST Synthèse des conclusions et recommandations Bamako les 14-15 et 16 février 2005 Page 1 sur 5 Les 14, 15 et 16 février 2005, a eu lieu à Bamako
Premiers éléments de bilan. Commission formation
Premiers éléments de bilan Commission formation 1 Modalités d implication de la communauté universitaire 2 1ers jalons vers l offre de formation de la nouvelle université Sommaire 3 L affirmation en perspective
PARLEMENT EUROPÉEN DES JEUNES - FRANCE -
PARLEMENT EUROPÉEN DES JEUNES - FRANCE - 9 ème WEEK-END DE FORMATION Des animateurs du réseau 11 13 mars 2011 Paris Le Parlement Européen des Jeunes France est une association apolitique et à but non lucratif,
1 LA DEMANDE 2 LA PROBLEMATIQUE 3 OBJECTIFS DU COACHING
CONTRAT DE COACHING Entre : Le coaché : Mme Catherine POLJACQUE Le manager du coaché : Mme Florence VENISE Le coach : Mr Thibault VIGNES 1/5 1 LA DEMANDE Catherine POLJACQUE a été nommée Directeur Financier
CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL
E NATIONS UNIES CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL Distr.: LIMITEE E/ECA/DISD/CODI.3/24 3 avril 2003 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Troisième réunion du Comité de l'information
Colloque International IEMA-4
Comment mettre en place un dispositif coordonné d intelligence collective au service de la stratégie de l entreprise. Conférence de Mr. Alain JUILLET - Le 17/05/2010 IEMA4 Pour ne pas rester dans les banalités
L ingénieur-conseil, votre partenaire pour le développement durable
L ingénieur-conseil, votre partenaire pour le développement durable L ingénieur-conseil, votre partenaire pour le développement durable Le concept de développement durable est aujourd hui incontournable
PROFIL DIRECTION GÉNÉRALE ADJOINTE COMMISSION SCOLAIRE DES PHARES JANVIER 2011
H114-8-3 PROFIL DIRECTION GÉNÉRALE ADJOINTE COMMISSION SCOLAIRE DES PHARES JANVIER 2011 Adaptation du document La formation à la gestion d un établissement d enseignement, Les orientations et les compétences
«Mutuelle des Mornantais»
Dossier «Mutuelle des Mornantais» La première mutuelle communale vraiment solidaire - Extraits de la Vie à Mornant - - décembre 2014 - Dossier «Mutuelle des Mornantais» La première mutuelle communale vraiment
Table des matières. Introduction
Table des matières Introduction A la suite de l obtention de mon baccalauréat économique et social mention assez bien, je me suis dirigée vers la formation Gestion des Entreprises et des Administrations
I. LE PROJET DE RENOUVELLEMENT DES SUPPORTS D ARCHIVAGE ÉLECTRONIQUE
SUIVI D UN PROJET D ARCHIVAGE ÉLECTRONIQUE : LES DIFFICULTÉS D APPLICATION DU CADRE NORMATIF DANS LE MONDE BANCAIRE Le poste que j occupe au sein du service d archives du Crédit Lyonnais qui sont désormais
LES CENTRES DE TECHNOLOGIE AVANCÉE : ENTRE 20 ET 30 MILLIONS D EUROS POUR ÉQUIPER LES ÉCOLES TECHNIQUES ET PROFESSIONNELLES
LES CENTRES DE TECHNOLOGIE AVANCÉE : ENTRE 20 ET 30 MILLIONS D EUROS POUR ÉQUIPER LES ÉCOLES TECHNIQUES ET PROFESSIONNELLES conférence de presse lundi 23 avril 2007 I. La revalorisation de l enseignement
1.2 L intervenant est habile à relever les forces de la personne au lieu de se centrer uniquement sur les déficits de celle-ci :
Les compétences attendues des intervenants au SIV Cet outil clinique rédigé par le CNESM s inspire du «Strengths Model Core Competencies Evaluation Tool», tiré du livre de Rapp et Goscha (2012), The Strengths
DU RESPONSABLE DU CONSEIL EN MOBILITÉ ET CARRIERES
V.18 avril 2008 RÉFÉRENTIEL INTERMINISTÉRIEL DU RESPONSABLE DU CONSEIL EN MOBILITÉ ET CARRIERES (DOCUMENT DE BASE : FICHE RIME, 2006) Le protocole d accord du 21 novembre 2006 relatif à la formation professionnelle
Congrès de l Association francophone des Commissions nationales de promotion et de protection des droits de l Homme (AFCNDH)
Paris, 8 novembre 2013 Congrès de l Association francophone des Commissions nationales de promotion et de protection des droits de l Homme (AFCNDH) Allocution de S.E. M. Abdou Diouf, Secrétaire général
Prise en compte du développement durable dans les marchés publics :
Prise en compte du développement durable dans les marchés publics : Cahier des charges pour un programme de formation à l attention des agents des institutions publiques (Collectivités locales, services
Comment mieux ouvrir la fonction publique aux personnes handicapées?
Comment mieux ouvrir la fonction publique aux personnes handicapées? Conférence-débat n 2 Bernadette MOREAU, Directrice de la Compensation à la CNSA ; Professeur Alain DOMONT, Professeur à l Hôpital Corentin
QUAND SE POSE LA QUESTION DE L EXCLUSION D UN ELEVE DANS L ENSEIGNEMENT PRIVE SOUS CONTRAT SOMMAIRE
DAA 04 octobre 2009 QUAND SE POSE LA QUESTION DE L EXCLUSION D UN ELEVE DANS L ENSEIGNEMENT PRIVE SOUS CONTRAT SOMMAIRE 1 Un Chef d établissement a-t-il le droit d exclure un élève et si oui, à quelles
Système de gestion de sécurité dans le transport ferroviaire
Système de gestion de sécurité dans le transport ferroviaire Dr CHEN Daoxing, ingénieur expert au Bureau de la sécurité des transports du Canada Présentation générale du système de sécurité Définition
I. Allocution d ouverture. de Roger DEHAYBE Administrateur général de l Agence intergouvernementale de la Francophonie
I. Allocution d ouverture de Roger DEHAYBE Administrateur général de l Agence intergouvernementale de la Francophonie ALLOCUTION DE ROGER DEHAYBE Administrateur général de l Agence intergouvernementale
Mobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion
Mobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion Léopold GILLES Directeur du Département «Evaluation des politiques sociales» - CREDOC SOMMAIRE RAPPEL : entreprises solidaires
Du 19 au 21 Décembre 2007
CENTRE DE FORMATION CONTINUE RAPPORT DE FORMATION PRINCIPES DE BASE DE CRÉDIT Du 19 au 21 Décembre 2007 DÉCEMBRE 2007 INTRODUCTION TI L ANIMH a organisé une session de formation sur les P rincipes de B
«seul le prononcé fait foi»
«seul le prononcé fait foi» Discours à l occasion du séminaire transition énergétique et écologique Services de l Etat en Aquitaine Lundi 15 décembre 2014 Messieurs les Préfets, Mesdames et Messieurs les
Ce que la loi Economie Sociale et Solidaire va changer avec l obligation d informer tous les salariés deux mois avant une cession d entreprise
Ce que la loi Economie Sociale et Solidaire va changer avec l obligation d informer tous les salariés deux mois avant une cession d entreprise Pour vous permettre de mieux comprendre les enjeux de la loi
ACTE CONSTITUTIF POUR LA CREATION D UN GROUPEMENT DE COMMANDE FOURNITURE DE GAZ NATUREL
ACTE CONSTITUTIF POUR LA CREATION D UN GROUPEMENT DE COMMANDE FOURNITURE DE GAZ NATUREL PREAMBULE Depuis le 1er juillet 2004, le marché du gaz naturel est ouvert à la concurrence. Cette ouverture, d abord
Les règles de base de fonctionnement d un marché
C HAPITRE 1 Les règles de base de fonctionnement d un marché Qu est-ce qu un marché? Un marché est un endroit matérialisé ou non où peuvent se rencontrer des agents économiques qui ont des besoins complémentaires,
Rapport sommaire. Table ronde sur la mobilité des étudiantes et étudiants dans l hémisphère occidental
Rapport sommaire Table ronde sur la mobilité des étudiantes et étudiants dans l hémisphère occidental Buenos Aires, Argentine 1-3 décembre 2000 Au cours des dix dernières années, le Canada a joué un rôle
Sondage France Alzheimer / Opinion Way Paroles de personnes malades Principaux résultats Septembre 2015
Synthèse Sondage Sondage France Alzheimer / Opinion Way Paroles de personnes malades Principaux résultats Septembre 2015 Préambule Donner la parole aux personnes malades, ne pas s exprimer à leur place,
MEDIAPPRO Jeunes et médias numériques en Europe
MEDIAPPRO Jeunes et médias numériques en Europe Poitiers, 17/9/07 CARACTÉRISTIQUES DE LA RECHERCHE Mieux connaître la manière dont les 12-18 s approprient les médias électroniques et identifier les axes
Négocier avec son employeur
Thierry KRIEF Négocier avec son employeur Techniques de négociation commerciales appliquées au marché de l emploi, 2008 ISBN : 978-2-212-54138-0 Cas 1 Négocier un départ quand l entreprise veut vous garder
L'étape de planification de votre projet technologique
L'étape de planification de votre projet technologique Résumé : Pour gérer l ensemble des contraintes de votre projet - humaines, matérielles, temporelles et surtout financières et accroître ses chances
NUTRITIONNISTES, DIÉTÉTICIENS : QUEL AVENIR? LE POINT DE VUE DU NUTRITIONNISTE
45 ème J.A.N.D. 28 janvier 2005 NUTRITIONNISTES, DIÉTÉTICIENS : QUEL AVENIR? LE POINT DE VUE DU NUTRITIONNISTE M. Krempf Clinique d Endocrinologie, Maladies Métaboliques et Nutrition - Hôtel Dieu, Nantes.
PLAN DE LEÇON TITRE : Qu est-ce que le crédit? Résultats d apprentissage de la littératie financière. Attentes et contenus d apprentissage
70 minutes Résultats d apprentissage de la littératie financière À la fin de la leçon, les élèves pourront : expliquer l objectif du crédit; analyser le rôle et l importance du crédit en ce qui concerne