Les Seniors et la place de l automobile dans leurs déplacements : mieux connaître et anticiper leurs besoins en termes de mobilité

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1 Les Seniors et la place de l automobile dans leurs déplacements : mieux connaître et anticiper leurs besoins en termes de mobilité Etude réalisée par Sociovision Cofremca Pour La Prévention Routière et la Fédération française des sociétés d assurances (FFSA) L étude a comporté deux phases. Une première phase qualitative a consisté en une exploitation spécifique de la base de données sociologiques Sociovision. Une seconde phase qualitative a abordé de manière 1

2 complémentaire des seniors actuels et de futurs seniors : entretien en profondeur avec 12 seniors actuels et 6 futurs seniors, entretiens exploratoires avec 5 médecins généralistes, 2 réunions de groupe grand public, l une à Paris, l autre en province. 2

3 Les seniors : une nouvelle définition Les frontières entre les périodes de la vie ont perdu de leur netteté. L analyse de la base de données a permis de situer autour de ans l âge auquel on constate une accélération du processus de vieillissement, qui annoncerait l entrée dans une autre phase de la vie. Le vieillissement est surtout perçu, du point de vue empirique, comme un phénomène long, progressif et fluctuant, sans frontière nette, la vraie vieillesse intervenant bien plus loin dans le temps d une vie, au-delà de 85 ans. Du point de vue sociologique, 47% des plus de 67 ans appartiennent au milieu «traditionnel conservateur», caractérisé par son attachement aux valeurs morales, à l effort et au sacrifice de soi, ils sont 26% à appartenir à des milieux «populaires» plus ouverts sur le plaisir et l insertion sociale via la consommation, le reste de la population des seniors se répartissant entre couches moyennes avant tout attachées à la qualité de la vie familiale et milieux plus aisés, avec une sensibilité plus intellectuelle et plus moderne. On note l émergence d une vision plus positive des seniors dans l opinion publique, du fait sans doute de la coexistence récente de plus de trois générations au sein d une même famille. 3

4 La relation à l automobile et à la conduite Les plus de 67 ans d aujourd hui ont accompagné l avènement de l automobile dans la vie moderne et ont établi avec elle un lien de dépendance affective sans précédent, en particulier les hommes, qui projettent sur l automobile des valeurs masculines traditionnelles (on constate en effet une différence sensible entre les hommes et les femmes, que l on ne retrouvera pas dans les générations suivantes, les femmes de cette tranche d âge entretenant souvent toute leur vie un fond de passivité, d ambivalence et d appréhension à l égard de la voiture). Cependant, ce lien, s il demeure fort, s estompe un peu avec l âge. La conduite perd son côté source de plaisir et devient une source de stress (33% déclarent éprouver du plaisir à conduire, contre 50% dans la population en général). L étude confirme leur caractère prudent et respectueux des règles de conduite : ils sont 46% contre 30% dans la population générale à estimer inadmissible de ne pas respecter les limites de vitesse, et 64% contre 55% à s indigner de la conduite en état d ivresse. Dans ces conditions, la grande majorité des conducteurs s adapte et réaménage sa conduite progressivement avant qu elle ne devienne réellement dangereuse. Les seniors subissent en outre une perte de tonus (seulement 36% se sentent toniques, contre 63% dans la population générale) et un certain effondrement du moral (39% se déclarent plutôt dépressifs contre 19% de la population française dans sa globalité), qui retentissent sur leurs activités et leur mobilité. Cette réduction spontanée et progressive de l activité comme forme de prévention ne s applique d ailleurs pas seulement à la conduite. Pour les futurs Seniors, et a fortiori pour les populations plus jeunes, l automobile est moins investie affectivement : elle est avant tout un objet de mobilité et d autonomie. Cette relativisation permet d envisager pour se 4

5 déplacer d autres solutions que le «tout voiture», que ce soit en zone urbaine (éviter les embouteillages, les problèmes de stationnement) ou lors de grands trajets (fatigue, coût, dangerosité). Dans la population en général, le senior au volant n est pas automatiquement considéré comme une source de danger en soi, même si on reconnaît volontiers qu il existe un stéréotype du conducteur âgé, décrit comme lent et hésitant. Les risques en matière de conduite automobile sont clairement perçus comme le fait de populations plus jeunes, adeptes de la vitesse excessive et de l alcool. Les aléas du processus d arrêt de la conduite L arrêt est souvent brutal et peu anticipé, il peut être déclenché par des événements externes (choc, accident), le souci d éviter l humiliation ou le sentiment de ne plus être capable de faire face au stress de la circulation, chez les femmes notamment. Renoncer à conduire est toujours un acte douloureux, à forte portée symbolique. Il est associé à un sentiment d irréversibilité, de renoncement et de perte qui rapproche de la mort. L arrêt de la conduite est un problème crucial en milieu rural, où il implique souvent une dépendance totale pour les besoins du quotidien, et peut conduire à la maison de retraite. En milieu urbain, l autonomie au quotidien peut plus facilement être préservée du fait de la disponibilité d infrastructures et de services mais dans un univers perçu comme rétréci. On constate que le lien de dépendance à la voiture s accroît avec l âge, les difficultés à marcher apparaissent fréquemment avant celles à conduire, et ce quel que soit l habitat, la voiture étant le dernier recours d insertion, de 5

6 connexion et d autonomie, alors même que les seniors se déclarent plus favorables que le reste de la population à basculer de la voiture vers les transports en commun (17% contre 10%). L absence de structures (moyens de transport adaptés, services) qui préservent l autonomie ne résoud rien. Ainsi, des freins de nature multiple poussent les seniors à conduire le plus longtemps possible. Le moindre n est pas le refus d être dépendant des autres, la crainte de peser sur l entourage. Chez les futurs seniors, génération qui se trouve plus largement confrontée à la perte d autonomie des parents que ne l a été la précédente, on constate de ce fait une sensibilisation croissante au problème de l autonomie de déplacement. Ils sont conscients à la fois de la nécessité d arrêter de conduire quand cela devient trop dangereux et de l accroissement avec l âge de la dépendance à la voiture. 6

7 Le besoin de solutions et la légitimité des intervenants Sans l exprimer clairement, les Seniors manifestent un besoin de guidage et d accompagnement pour faire face à la situation, et semblent même prêts à accepter certaines mesures, à condition qu elles ne soient ni restrictives, ni arbitraires, ni autoritaires. La question ne peut se réduire à celle du contrôle de l aptitude à la conduit e, il s agit bien de mener, dans la continuité, un véritable travail d accompagnement. Pour «l avant», les deux éléments clés sont la sensibilisation aux enjeux d autonomie futurs et la mise à jour régulière des compétences de conduite. La sensibilisatio n devrait commencer en amont de la séniorité, en particulier au moment du choix d une nouvelle résidence, quand l élaboration des projets de vie reste possible et positivement vécue. Pour le «pendant», il faut chercher à faciliter la prise de conscience individuelle en sensibilisant le conducteur, son médecin, son entourage, à l apparition de signes qui peuvent être un indice de l affaiblissement de certaines capacités, qui devrait être traité. Pour «l après», le suivi, la gestion des conséquences fon ctionnelles et psychologiques de l arrêt de la conduite seraient nécessaires afin de faciliter et d aider ce passage. Cette gestion de «l après conduite» passe également nécessairement par la mise en place concomitante de services adaptés palliant la per te de mobilité/autonomie mais respectant les besoins de l individu. Il est impératif que les mesures prises n aient aucun caractère discriminatoire, c est à dire ne visent pas exclusivement la population des Seniors, le problème de l aptitude à la conduite pouvant en effet se poser à 7

8 tous les âges. Il faut autant que possible éviter de leur donner un caractère de sanction et laisser à l individu la responsabilité de sa décision. Les principaux acteurs envisagés afin de mettre en place des solutions d accompagnement sont d une part le corps médical, pour la sensibilisation et l aide au diagnostic, et d autre part les collectivités locales, pour la prise de relais sur le terrain. 8

9 Si les médecins apparaissent comme les interlocuteurs privilégiés en terme de légitimité, On constate un manque de sensibilisation du corps médical à la question de l aptitude à la conduite qui contraste avec les attentes des intéressés à cet égard. Les médecins considèrent que leur mission est de prolonger l autonomie des individus et non de la sanctionner. Pour les médecins, le vieillissement est un phénomène qui se traduit spontanément par une baisse d activité progressive, d où leur confiance dans une tendance naturelle des seniors à auto-réguler leur comportement, sans intervention extérieure. L intervention n est envisagée que sous certaines conditions, en collaboration avec l entourage et dans le respect de l éthique médicale. Quant aux collectivités locales, elles sont mentionnées pour la mise en place de structures d accompagnement adaptées telles que des soutiens psychologique et social, des dispositifs d information et de formation et pour la mise à disposition de services de remplacement. 9

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