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1 L ARTISANAT FRANCILIEN EN SEPTEMBRE 2009 En sa qualité de représentant des intérêts généraux de l artisanat francilien, la Chambre régionale de métiers et de l artisanat d Ile-de-France réalise, deux fois par an, une enquête sur l activité de ses entreprises. Elle réaffirme, à cette occasion, les spécificités de l artisanat francilien, acteur incontestable du développement économique de notre région.

2 L édito du Président Le ralentissement économique s est confirmé au cours des derniers mois, impactant l ensemble du territoire et des secteurs d activité. La région francilienne, forte de la diversité de son tissu économique, a montré ses premiers signes de faiblesse en fin d année Elle doit, à présent, faire face à un recul de l activité économique et à une hausse du taux de chômage. Dans ce contexte défavorable, les chefs d entreprise artisanale ont été contraints de revoir leurs prévisions à la baisse. L ensemble des indicateurs d activité, d investissement et de trésorerie se sont inscrits en forte baisse au cours du premier semestre Toutefois, d importantes disparités demeurent selon les secteurs. Comme attendu, l activité des entreprises artisanales s est contractée au premier semestre 2009, surtout dans les secteurs de la fabrication et des services. La baisse de la consommation des ménages observée en début d année et le tassement de l activité industrielle, entraînant des effets en chaîne sur les activités artisanales de sous-traitance, expliquent à l évidence cette tendance. Signe néanmoins positif pour le secteur, l emploi s est globalement maintenu au cours du dernier semestre et devrait rester stable dans les mois à venir. Pour l heure, la crise économique ne semble pas avoir eu d effets significatifs sur l emploi dans les entreprises artisanales. Par ailleurs, face à une évolution économique incertaine, les chefs d entreprise artisanale n ont pas été incités à engager des projets d investissements susceptibles de fragiliser davantage leur santé financière. Les niveaux de trésorerie, déjà dégradés en 2008, ont atteint des planchers historiquement bas. Souhaitons que l assouplissement des conditions d accès au crédit, encouragé par le gouvernement, puisse permettre de financer plus aisément la trésorerie des entreprises et relancer, par la même, l activité. Même si tout laisse à penser que le pire de la crise est derrière nous, les entreprises artisanales franciliennes s interrogent sur l évolution du secteur. La reprise de l activité, conditionnée aux effets des mesures mises en œuvre dans le cadre du plan de relance, est attendue en Cette embellie prochaine devrait être de nature à redonner de l espoir aux artisans franciliens et confirmer le rôle moteur du secteur au sein de notre économie régionale. Bernard CARLIER Président de la Chambre régionale de métiers et de l artisanat d Ile-de-France

3 Une conjoncture économique défavorable Au premier trimestre 2009, le produit intérieur brut français a reculé de 1.2% et le taux de chômage s est établi à 9.1% de la population active contre 7.6% un an plus tôt. Tout comme l ensemble du territoire, l Ile-deFrance a connu, au cours des derniers mois, une situation économique déprimée. Sans surprise, l activité des entreprises artisanales franciliennes s est nettement ralentie au cours du premier semestre Les deux tiers des chefs d entreprise interrogés affirment que la situation dans leur secteur d activité s est dégradée depuis le début d année. Pour autant, l indice de confiance reste stable par rapport au second semestre 2008 mais demeure en dessous de la moyenne (4.94/10). Les prévisions conjoncturelles pour les mois à venir sont incertaines car si 37% des artisans franciliens envisagent une situation économique comparable à aujourd hui, 28% pensent qu elle continuera de se dégrader et 23% ne se risquent pas à émettre d opinion. EVOLUTION DU PIB Français (en%) SOURCE ; INSEE, JUILLET ,4% T ,4% -0,2% -1,4% -1,2% T T T T DANS LES SIX PROCHAINS MOIS, PENSEZ-VOUS QUE LA SITUATION DANS VOTRE SECTEUR SERA? AU COURS DES SIX DERNIERS MOIS, LA SITUATION DANS VOTRE SECTEUR S EST-ELLE? 37% 66% 28% 23% 12% NSP 24% DÉGRADÉE STABILISÉE AMÉLIORÉE EVOLUTION DE L INDICE DE CONFIANCE DES CHEFS D ENTREPRISE 6% NSP 4% DÉGRADÉE STABILISÉE 6,24 4,82 4,94 1er sem er sem er sem 2009 AMÉLIORÉE

4 Un net recul de l activité Pour ce premier semestre de l année 2009, 55% des artisans interrogés affirment avoir enregistré une baisse notable de leur chiffre d affaires avec, pour les deux tiers, une détérioration de plus de 10%. 11% ont constaté une hausse de leur activité et 34% relèvent un niveau stable. Bien qu elles aient, jusque là, bénéficié d une évolution plus favorable que dans les autres secteurs, les entreprises artisanales de l alimentation connaissent, à présent, un repli de leur activité avec un indicateur* en forte baisse (-32). Ce dernier demeure toutefois plus modéré que celui observé dans les autres secteurs de l artisanat. L évolution des comportements d achat conjuguée au report de certaines dépenses de consommation alimentaire ont conduit à une diminution des ventes dans le secteur. Le secteur du bâtiment affiche, lui aussi, une baisse de son activité (indicateur : -37), qu il s agisse des travaux de gros œuvre ou de second œuvre. La baisse des ventes immobilières, la chute des permis de construire et des mises en chantier ainsi que l érosion du pouvoir d achat des ménages ont manifestement réduit la demande de travaux des particuliers affectant, de fait, l activité des entreprises du secteur. Les secteurs de la fabrication et des services ont été plus fortement touchés par la crise et connaissent un net fléchissement de leur niveau d activité depuis un an avec des indicateurs dans le rouge (respectivement -60 et -45). Cette tendance devrait, selon les professionnels du secteur, se confirmer dans les six prochains mois. En effet, depuis plusieurs années déjà, les métiers de la fabrication sont confrontés à un resserrement des marchés et à une concurrence accrue des pays émergents, en particulier dans le secteur du textile. La crise ne viendrait donc qu exacerber des difficultés existantes. Toutefois, la situation diffère selon le lieu d implantation de l entreprise. Les problématiques en milieu urbain dense telles l accessibilité des locaux ou encore la cherté des loyers commerciaux pèsent davantage sur la rentabilité des entreprises de la première couronne. Le secteur des services souffre, lui, directement de la crise économique et de ses effets de substitution dans la consommation des ménages, ces derniers préférant reporter des achats qu ils considèrent comme secondaires. L évolution de l activité artisanale dans les prochains mois reste incertaine même si une tendance à la stabilité semble la plus probable. Environ 20% des chefs d entreprise artisanale interrogés n émettent pas d avis quant à leur situation future, 40% pensent que leur chiffre d affaires va se stabiliser, 23% baisser et 16% augmenter. *L indicateur d activité se mesure par la différence entre le pourcentage de chefs d entreprise déclarant une hausse d activité et le pourcentage de ceux déclarant une baisse. ÉVOLUTION SECTORIELLE DU CHIFFRE D AFFAIRES AU 1er SEMESTRE 2009 au cours des six derniers mois, votre chiffre d affaires A T-IL ÉTÉ? 48% 52% 42% 28% 10% 20% 55% 55% 51% 70% 35% 37% 20% 34% 10% 10% SERVICES FABRICATION en hausse 11% 12% BÂTIMENT stable ALIMENTATION en baisse ÉTAT DES CARNETS DE COMMANDES 30% EN BAISSE STABLE 1er sem 2008 EN HAUSSE 29% 24% 25% 23% 23% 2ème sem % 11% 11% 8% BIEN GARNIS NORMALEMENT GARNIS 1er sem 2009 PEU GARNIS TRÉS PEU GARNIS 2ème sem 2009 (*prévisions) NSP

5 Les entreprises artisanales maintiennent leurs effectifs Malgré la crise, l emploi dans le secteur de l artisanat s est globalement maintenu au premier semestre % des artisans «employeurs» sondés déclarent avoir conservé leurs effectifs salariés sur cette période (81% au second semestre 2008). Signe encourageant, les embauches, quel que soit le secteur d activité, n ont pas fléchi par rapport au semestre précédent. 12% des entreprises ont recruté au cours de la période dont un quart a bénéficié de la prime à l embauche mise en œuvre, en fin d année 2008, dans le cadre du plan de relance de l économie. Rappelons que dans l artisanat, bon nombre d embauches sont rémunérées au-delà de 1,6 SMIC et ne sont donc pas éligibles à la mesure, ce qui explique cette proportion modérée. Le taux d embauche pourrait également être accru si les difficultés de recrutement du personnel dans les secteurs de l alimentation, du bâtiment et des services étaient réduites. Par ailleurs, en dépit du ralentissement économique, les licenciements n ont que très sensiblement augmenté au cours du premier semestre 2009 (+2 points par rapport au second semestre 2008). S agissant de l apprentissage, 14% des entreprises artisanales franciliennes ont embauché un apprenti au premier semestre 2009 contre 35% au semestre précédent. La prime à l embauche d un apprenti supplémentaire, effective depuis le mois de juillet 2009, devrait encourager les entreprises à former les futurs professionnels du secteur. Il faudra donc attendre la rentrée scolaire 2009 et la publication du prochain baromètre pour évaluer les effets de cette mesure. Enfin, les incertitudes liées à la conjoncture économique ne sont pas faites pour inciter les chefs d entreprise à engager des programmes de formation spécifiques que ce soit pour eux-mêmes ou pour leurs salariés. Les formations privilégiées concernent avant tout les métiers du bâtiment avec l utilisation des nouveaux matériaux de construction, la prise en compte des énergies renouvelables et les métiers des services, répondant ainsi aux évolutions des besoins de consommation. Les chefs d entreprise artisanales restent confiants dans leurs prévisions d emploi puisque 74% envisagent de maintenir leurs effectifs dans les six prochains mois, tous secteurs d activité confondus. AVEZ-VOUS RENCONTRÉ DES DIFFICULTÉS POUR EMBAUCHER? ÉVOLUTION DE L EMPLOI 81% 79% 41% 74% 59% oui non 13% 12% 12% 7% 9% 2ème sem er sem 2009 Embauche Licenciement Maintien des effectifs 6% 7% 2ème sem 2009 (*prévisions) NSP

6 L investissement s établit à un faible niveau Du fait de la morosité ambiante, les entreprises artisanales franciliennes ont moins investi au premier semestre 2009 qu au second semestre % d entre elles ont réalisé des investissements (contre 30% en 2008) dont 40% concernent le renouvellement de machines et des outillages, 25% un accroissement des capacités de production et 24% l achat de matériel informatique. De même qu au précédent semestre, les entreprises du secteur alimentaire sont celles qui investissent le plus. Le montant global des investissements s élève majoritairement à moins de 7 500$ mais un tiers s établit à plus de $. Ils sont essentiellement financés sur fonds propres ou apport personnel du dirigeant (50%) et dans une moindre mesure par prêt bancaire (22%) et crédit bail (28%). Notons que le recours au crédit bail s est accéléré au cours des six derniers mois au détriment du prêt bancaire. Une fois encore, l attentisme des chefs d entreprise devrait se traduire par un gel des projets d investissements puisque 74% d entre eux n envisagent pas d investir au second semestre AVEZ-VOUS INVESTI AU COURS DES SIX DERNIERS MOIS? 79% QUEL MODE DE FINANCEMENT UTILISEZ-VOUS? 81% 79% 69% 56% 50% 25% 21% SERVICES 19% FABRICATION oui 31% 21% BÂTIMENT ALIMENTATION non AUTO FINANCEMENT 28% 22% 19% PRÊT BANCAIRE 2ème sem 2008 CRÉDIT BAIL 1er sem 2009 La dégradation des trésoreries perdure Eu égard au recul marqué de l activité, 43% des chefs d entreprise artisanale interrogés déplorent une dégradation de leur niveau de trésorerie au premier semestre 2009 alors qu ils n étaient que 34% lors du semestre précédent (+21%). Les artisans des secteurs du bâtiment et des services semblent les plus touchés par cette situation financière défavorable. Dans le secteur de l alimentation et de la fabrication, les niveaux de trésorerie, déjà fragilisés, se sont stabilisés au cours des six derniers. Dans l ensemble, les difficultés financières observées concernent la gestion courante des opérations de trésorerie et en particulier, le financement du besoin en fonds de roulement. Seule une entreprise artisanale sur huit exprime des difficultés de financement à moyen ou long terme. au cours des six derniers mois, votre trésorerie s est-elle? 59% 51% 43% 34% 7% DÉGRADÉE STABILLISÉE 2ème sem % AMÉLIORÉE 1er sem 2009

7 Les relations avec les banques : un constat moins sombre qu attendu Au cours des six derniers mois, trois artisans sur quatre se sont rapprochés de leur banque afin d engager des démarches spécifiques pour maintenir voire développer leur activité. Parmi eux, 17% ont rencontré de sérieuses difficultés (contre 26% au second semestre 2008) notamment pour l octroi d un prêt (33.5%), la renégociation des conditions de remboursement d emprunts existants (13.5%) ou encore la gestion du découvert (42%). Si l ensemble des actions mises en œuvre par le gouvernement dans le cadre du plan de relance, qu il s agisse du dispositif de la médiation du crédit ou encore de la consolidation des fonds de garantie peuvent être de nature à expliciter ce phénomène, le financement à court terme de la trésorerie des entreprises artisanales demeure préoccupant. Enfin, les chambres de métiers et de l artisanat d Ile-de-France, qui accompagnent quotidiennement les chefs d entreprise artisanale, ont renforcé leur soutien aux entreprises en difficulté du fait de la crise. A ce titre, elles proposent un appui spécifique et individualisé aux entreprises confrontées à un problème de financement ou de trésorerie afin de faciliter leur accès au crédit. RECAPITULATIF DES TENDANCES ET PREVISIONS Activité Emploi Investissement 1 er sem 09 2 ème sem 09* 1 er sem 09 2 ème sem 09* 1 er sem 09 2 ème sem 09* Alimentation - - = Bâtiment - + = = - -- Fabrication = Services -- - = = (*prévisions)

8 Les Chambres de métiers et de l artisanat d Ile-de-France 75 PARIS 72, rue de Reuilly Paris cedex 12 Tel SEINE-ET-MARNE NORD 9, rue des Cordeliers MEAUX cedex Tel : SEINE ET MARNE SUD 2, boulevard Cretté-Preignard MONTEREAU cedex Tel : YVELINES 19, avenue du général Mangin VERSAILLES cedex Tel : ESSONNE 322, square des Champs-Elysées - BP EVRY cedex Tel : HAUTS-DE-SEINE 17bis, rue des Venêts - BP NANTERRE cedex Tel : SEINE-SAINT-DENIS 16, rue Hector Berlioz BOBIGNY cedex Tel : VAL-DE-MARNE 27, avenue Raspail ST MAUR DES FOSSES Tel : VAL-D OISE 1, avenue du Parc CERGY PONTOISE cedex Tel : CRMA IDF Chambre régionale de métiers et de l artisanat d Ile-de-France 72 rue de Reuilly Paris cedex 12 Tel L enquête d opinion L enquête de la Chambre régionale de métiers et de l artisanat d Ile-de-France est administrée par téléphone 2 fois par an, au printemps et en automne. Elle vise exclusivement les chefs d entreprise artisanale. Cette vague d enquête, menée par le cabinet Centre Relations Clients (tél: ) a été réalisée auprès d un échantillon de 1000 chefs d entreprise artisanale. L échantillon des répondants a été établi selon la méthode des quotas. Tel que constitué, il est représentatif de la population artisanale francilienne. Conception et rédaction Chambre régionale de métiers et de l artisanat d Ile-de-France, Laure Poirson. Graphisme Midi 20 (tél : ) Impression Imprimerie Grenier (label Imprim vert, tel ) Opération réalisée et financée par la Chambre régionale de métiers et de l artisanat d Ile-de-France. Ce document est téléchargeable sur le site de la Chambre régionale de métiers et de l artisanat d Ile-de-France:

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