«FAVORISER ET SÉCURISER L ÉMERGENCE DE BONNES PRATIQUES AGRICOLES POUR PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU»

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1 «FAVORISER ET SÉCURISER L ÉMERGENCE DE BONNES PRATIQUES AGRICOLES POUR PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU» ETUDE SUR LA GESTION DU RISQUE EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE Etude réalisée par PERI G et CERFRANCE juin 2013 Agence de l'eau Seine-Normandie - 51, rue Salvador Allende Nanterre - Tel eau-seine-normandie.fr

2 Contexte de l étude Réflexion de l Agence pour de nouvelles façons de favoriser les changements de pratique. Réflexion sur une assurance plutôt / en plus d une aide Agriculteurs intéressés peuvent être différents. Sécuriser la «prise de risque» lors de la conversion. Question : Y a-t-il un risque supplémentaire en agriculture biologique? Ce risque est-il assurable? Questionnement sur le bio et l agriculture intégrée. Limitation de l étude à l Agriculture biologique, seule identifiable dans les comptes des exploitants.

3 Méthode de l étude Analyse statistique sur les comptes agricoles : 5 ans d activités. 2 types de systèmes bio prioritairement étudiés : Polyculture-élevage viandes Grandes cultures Analyse comparative quantitative avec les statistiques conventionnelles Analyse qualitative pour confronter les résultats quantitatifs Définition de pistes pour «sécuriser les changements de pratiques» pour les favoriser.

4 ETUDE STATISTIQUE ET COMPARAISON AUX CONVENTIONNELS Agence de l'eau Seine-Normandie - 51, rue Salvador Allende Nanterre - Tel eau-seine-normandie.fr

5 Système lait bio Chiffres issus d une centaine d exploitations lait bio. Le quartile supérieur est moins «intensif» : En main d œuvre En surface Extensif En animaux

6 Système lait bio Résultat / UTAF moyen : Les meilleurs croissance de production meilleure maîtrise technico-économique Système plus autonome Moins sensibles aux effets conjoncturels

7 Comparaison lait bio lait conventionnel Les meilleurs en conventionnel Meilleure productivité de la main d oeuvre En bio Plus sensible aux effets climatiques Différence «autonomie» et les «aliments dépendants» sont plus soumis aux aléas Moins de variations interannuelles de l EBE en bio / conventionnel

8 Système Bovin viande bio Peu de charges opérationnelles mais des charges fixes lourdes qui grèvent l EBE Résultat / UTAF moyen : ( en 2011)

9 Comparaison bovin viande bio conventionnel Différence entre les systèmes : Chargement plus faible en bio (1 contre 1,27 en conventionnel) Surface en fourrage augmente plus fortement en bio (94% contre 86%) Résultats économiques : Même marge brute (les charges opérationnelles compensent le chiffre d affaire). Charges de structure (mécanisation et bâtiment) plus faibles en bio.

10 Comparaison bovin viande bio conventionnel 10 % Efficacité technico-économique (Valeur ajoutée/produit) 10% supérieur en bio par rapport au conventionnel (lié aux charges).

11 Système grandes cultures Échantillon de 20 exploitations. SAU moyenne = 76 ha Maîtrisable «facilement»

12 Système grandes cultures Rentabilité faible mais en parallèle, baisse de l endettement sur la période

13 Comparaison grandes cultures bio - conventionnel Structure : les exploitations conventionnelles sont 2 fois plus grandes que les 20 cas bio étudiés. Produit plus faible en bio (le prix ne compense pas l écart de rendement) et taille des exploitations ne permet pas de «diluer» les charges de structures. Efficacité technicoéconomique légèrement meilleure en bio

14 ANALYSE QUALITATIVE Agence de l'eau Seine-Normandie - 51, rue Salvador Allende Nanterre - Tel eau-seine-normandie.fr

15 Systèmes étudiés et questionnement Grandes cultures faiblesse de l échantillon statistique Exploitations sélectionnées : 100 ha au moins Recul de plus de 10 ans sur l agriculture biologique 5 exploitations Objectif : répondre aux questions : Quel est leur critère de performance? Les résultats économiques sont-ils comparables à l analyse statistique? Quels sont les facteurs de risques pour l exploitation et quel degré de sensibilité au milieu?

16 Résultats de l analyse Technique : Les écarts de rendement sont faibles en années «normales» et leur impact est réduit par la diversité des cultures La politique de stockage n influence pas sur le prix de vente Recherche d un «système autonome et économe» = critère de performance Economique : Marge brute moyenne Etude qualitative bio Etude statistique bio Conventionnel / ha 840 / ha / ha EBE (2011) Etude qualitative bio Etude statistique bio Conventionnel / ha 400 / ha / ha

17 Conclusion sur les résultats économiques Les exploitations bio font jeu égal avec les conventionnels le frein n est pas économique.

18 SÉCURISER LE CHANGEMENT DE PRATIQUES Agence de l'eau Seine-Normandie - 51, rue Salvador Allende Nanterre - Tel eau-seine-normandie.fr

19 Constats issus du terrain Exploitations rencontrées : robustes et rentables. MAIS courbe d expérience nécessaire pour arriver à ce niveau. Selon agriculteurs : 50 % du risque est géré par la maîtrise technique et la diversité des productions.

20 Gérer le risque dans 3 étapes du projet Avant de s engager: Identifier les risques Identifier les points sur lesquels se reposer et ceux qui font défaut

21 Gérer le risque dans 3 étapes du projet Pendant la transition Risques de fréquence : répétés mais peu violents Risques d amplitude : moins fréquents mais très impactants En vitesse de croisière Risques de fréquence : gérés par la prévention Risques d amplitude : restent présents

22 Gérer le risque de fréquence «Rétention» du risque Gestion de la trésorerie : dotation pour aléas Acceptation d une variation annuelle du résultat (10%) Prévention du risque Technique Equipement Technique Humain Aptitudes et compétences Humain Organisat ion Organisation Structuration, observation

23 Gérer le risque d amplitude L assurance est le meilleur moyen de couverture. Garantie «perte de marge brute» Existe pour l assurance multirisque professionnelle N existe pas pour les sinistres aléas climatiques Objectif : passer le cap de la difficulté et financer : Frais généraux permanents : rémunération du personnel, impôts, loyers permanents, intérêts Frais exceptionnels d exploitation : location temporaire de locaux, matériels Aléas climatiques : risque à la fois d amplitude et de fréquence. Une assurance existe MAIS surcoût en AB lié à un manque de connaissance de l AB des assureurs

24 En résumé, les actions proposées Accompagner techniquement les exploitants Intégrer aux diagnostics et aux accompagnements la gestion du risque. Mettre en place une garantie «perte de marge brute» pour les aléas climatiques mais aussi, les pollutions phytosanitaires etc. Intégrer le surcoût de l assurance «aléas climatiques» soit dans une aide spécifique soit dans le calcul MAE (intégration du surcoût de l assurance).

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