Chapitre un : Les grandeurs physiques et leur mesure. 1.3 Unités et bref historique du S.I 1.4 Le système international d unités
|
|
- Romain Rochette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre un : Les grandeurs physiques et leur mesure 1.1 Dimensions. Homogénéité 1.2 Analyse dimensionnelle 1.3 Unités et bref historique du S.I 1.4 Le système international d unités 1. 1 Dimensions. Homogénéité En physique, il existe des grandeurs fondamentales et des grandeurs dérivées. Les grandeurs fondamentales sont : Grandeurs fondamentales La Longueur La masse Le temps L intensité du courant La température thermodynamique La quantité de matière L intensité lumineuse Leurs dimensions (symbole) Exemple 1 : l intensité d un courant électrique est donnée par : i = dq/dt où dq représente une quantité de charges et dt un intervalle de temps. donc dq = i dt 2 grandeurs fondamentales i et t dq : est une grandeur dérivée Exemple 2 : la vitesse d un mobile est donnée par : v = dl/dt où dl représente la distance parcourue et dt un intervalle de temps. Donc dl = v dt 2 grandeurs fondamentales l et t v : est une grandeur dérivée 1. 2 Analyse dimensionnelle La forme d une loi physique peut être obtenue par des considérations d homogénéité. Les grandeurs physiques qui interviennent dans une étude expérimentale d un phénomène physique peuvent être groupées sous forme d un monôme, il suffit d écrire alors que les deux 1/12
2 membres de l égalité obtenue sont homogènes (même dimension), pour trouver la forme de la loi. L équation aux dimensions G = L M T qui relie une grandeur dérivée G aux grandeurs fondamentales L M T relie aussi l unité dérivée g aux unités fondamentales l m t. La dimension est représentée par ce symbole : [ ] Exemple 3 : F = ma [F] = [m][a] = M LT -2 = LMT -2 c est l équation aux dimensions de F = ma avec [m] = M et [a] = L/T² = LT -2 Exemple 4 : a = v²/r [a] = [v²]/[r] [a] = LT -2 [v²]= (LT -1 )² = L²T -2 [R] = L [v²/r] = [v²]/[r] = L²T -2 /L = LT -2 donc on a bien une accélération. A partir des grandeurs fondamentales qui sont L, M, T, I,, N et J on peut créer des grandeurs dérivées. Certaines grandeurs n ont pas de dimension comme certaines constantes, attention pas toutes les constantes. Les fonctions mathématiques comme par exemple sin, cos, tan, exp, log n ont pas de dimension : : [sin] = 1 ; [cos] = 1. ;. Leurs arguments x non plus : sin(x), cos(x), tan(x), exp(x), log(x) etc donc : [x] = 1. Exemples 4 : [ ] = 1 avec = 3.14 Force de newton F : G ] = [F] [r 2 ] /( [m] [m ] ) = L 3 M -1 T -2 avec G constante universelle de la gravitation u(t) =U 0 exp(-t/rc) décharge d un condensateur ; u ] = [U 0 ] ; [t/rc] = 1 x = x 0 cos( t + ) oscillation d une masse ; x ] = [x 0 ] ; t + ] = [ t]= [ ]=1 Attention : un angle n a pas de dimension mais il a une unité dans le système international : le radian. 2/12
3 Grandeurs Equation aux dimensions Noms (S.I.) Symbole Dérivés Unités géométrique Superficie L² Mètre carré m² Volume L 3 Mètre cube m 3 Masse volumique L -3 M Kilogramme par mètre kg.m -3 cube Angle plan 1 Radians rad Angle solide 1 stéradian sr Sommet d un cône Unité de masse Volume massique L 3 M -1 mètre cube par kilogramme m 3.kg -2 Unités de temps Fréquence T -1 Hertz Hz Unités mécanique Vitesse LT -1 mètre par seconde m.s -1 Accélération LT -2 Mètre par seconde carré m.s -2 Force LMT -2 Newton N Quantité de mouvement LMT -1 Kilogramme mètre par kg.m.s -1 p = m v seconde Moment d une force L²MT -2 Newton mètre N.m (M = F.d) Moment d inertie L²M Kilogramme mètre carré kg.m² I = md² Energie (E C = 1/2mv²) L²MT -2 Joule J Puissance (P = E/t) L²MT -3 Watt W Pression (P = F/S) L -1 MT -2 Pascal Pa Unités calorifiques Quantité de chaleur Q = m c L²MT -2 joule J (c chaleur massique) Chaleur massique c = Q/(m ) L²T -2-1 Joule par kilogramme par kelvin J.kg -1 K -1 Un angle n a pas de dimension mais il a une unité : le radian. La longueur de l arc l d un cercle est donnée par la formule suivante où est exprimé en radian. Cette formule étant homogène, on voit bien que l angle n a pas de dimension. Son unité dans le SI est le radian. l R l = R L unité S.I. de la température T de dimension et le Kelvin. 3/12
4 Le moment d une force (ou couple) et l énergie ont la même dimension mais ils n ont pas la même unité : N.m et J ( joule ) respectivement; il s agit de deux grandeurs physiques qui représentent des phénomènes différents. Il existe des grandeurs dérivées dans le domaine de l électricité. Grandeur Formule de définition dimension Unités S.I. Charge Q Q = It TI Coulomb Densité superficielle de charge = Q/s L -2 TI Coulomb /m² (C/m²) Densité volumique de charge = Q/v L -3 TI Coulomb/m 3 (C/m 3 ) Densité linéique de charge = Q/l L -1 TI Coulomb/mètre (C/m) Champ électrique E F = qe E = F/q LMT -3 I -1 Volt/mètre (V.m -1 ) Potentiel V E = U/d U = Ed L²MT -3 I -1 V (Volt) Cf ligne précédente Résistance R U = RI L²MT -3 I -2 Ohm ( ) Conductance G G= 1/R L -2 M -1 T 3 I² Siemens (S) Résistivité R = l /s = R s /l L 3 MT -3 I -2 Ohm.m (.m) Capacité C Q = CU C = Q/U L -2 M -1 T 4 I 2 Farad (F) Coefficient d auto-induction L e = -Ldi L²MT -2 I -2 Henry (H) (inductance) dt f.e.m. (V) Les constants de temps : [RC] = L²MT -3 I -2 x L -2 M -1 T 4 I ² = T [L/R] = L²MT -2 I -2 / L²MT -3 I -2 = T [ LC] = (L²MT -2 I -2 x L -2 M -1 T 4 I 2 ) 1/2 = T RC est un temps 1. 3 Unités et bref historique du S.I Un système d unités est dit cohérent s il n intervient pas de coefficient numérique dans la formule de définition des unités dérivées. On utilisera ici le système international. La création du Système métrique décimal au moment de la Révolution française et le dépôt qui en a résulté, le 22 juin 1799, de deux étalons en platine représentant le mètre et le kilogramme aux Archives de la République à Paris peuvent être considérés comme la première étape ayant conduit au Système international d'unités actuel. En 1832, Gauss œuvra activement en faveur de l'application du Système métrique, associé à la seconde définie en astronomie, comme système cohérent d'unités pour les sciences physiques. Gauss fut le premier à faire des mesures absolues du champ magnétique terrestre en utilisant un système décimal fondé sur tes trois unités mécaniques millimètre, gramme et seconde pour, respectivement, les grandeurs longueur, masse et temps. Par la suite, Gauss et Weber ont aussi effectué des mesures de phénomènes électriques. 4/12
5 Maxwell et Thomson mirent en oeuvre de manière plus complète ces mesures dans ces domaines de l'électricité et du magnétisme au sein de la British Association for the Advancement of Science (BAAS) dans les années Ils exprimèrent la nécessité d'un système cohérent d'unités formé d'unités de base et d'unités dérivées. En 1874, la BAAS introduisit le système CGS, un système d'unités tri-dimensionnel cohérent fondé sur les trois unités mécaniques centimètre, gramme et seconde, et utilisant des préfixes allant du micro au méga pour exprimer les sous-multiples et multiples décimaux. C'est en grande partie à l'utilisation de ce système que l'on doit les progrès de la physique, en tant que science expérimentale, observés par la suite, Les unités CGS cohérentes choisies pour les domaines de l'électricité et du magnétisme s'étant avérées mal commodes, la BAAS et le Congrès international d'électricité, qui précéda la Commission électrotechnique internationale (CEI), approuvèrent, dans les années 1880, un système mutuellement cohérent d'unités pratiques. Parmi celles-ci figuraient l'ohm pour la résistance électrique, le volt pour la force électromotrice et l'ampère pour le courant électrique, Après la signature de la Convention du Mètre le 20 mai 1875, le Comité international se consacra à la construction de nouveaux prototypes, choisissant le mètre et le kilogramme comme unités de base de longueur et de masse. En 1889, la 1ère CGPM 1 sanctionna les Prototypes internationaux du mètre et du kilogramme. Avec la seconde des astronomes comme unité de temps, ces unités constituaient un système d'unités mécaniques tridimensionnel similaire au système CGS, mais dont les unités de base étaient le mètre, le kilogramme et la seconde. En 1901, Giorgi montra qu'il était possible d'associer les unités mécaniques de ce système mètre-kilogramme-seconde au système pratique d'unités électriques pour former un seul système cohérent quadri-dimensionnel, en ajoutant à ces trois unités de base une quatrième unité, de nature électrique, telle que l'ampère ou l'ohm, et en rationalisant les expressions utilisées en électromagnétisme. La proposition de Giorgi ouvrit la voie à d'autres extensions. Après la révision de la Convention du Mètre par la 6ème CGPM en 1921, qui étendit les attributions et les responsabilités du Bureau international à d'autres domaines de la physique, et la création du CCE (maintenant CCEM) par la 7ème CGPM qui en a résulté en 1927, la proposition de Giorgi fut discutée en détail par la CEI, l'uippa et d'autres organisations internationales. Ces discussions conduisirent le CCE à proposer, en 1939, l'adoption d'un système quadri-dimensionnel fondé sur le mètre, le kilogramme, la seconde et l'ampère, une proposition qui fut approuvée par le Comité international en À la suite d'une enquête internationale effectuée par le Bureau international à partir de 1948, la 10e CGPM, en 1954, approuva l'introduction de l'ampère, du kelvin et de la candela comme unités de base, respectivement pour l'intensité de courant électrique, la température thermodynamique et l'intensité lumineuse. La 11ème CGPM donna le nom Système international d'unités (SI) à ce système en Lors de la 14e CGPM, en 1971, la mole fut CGPM : Conférence Générale des Poids et Mesures BIPM : Bureau International des Poids et mesures BAAS : British association for the advancement of science 5/12
6 ajoutée au SI comme unité de base pour la quantité de matière, portant à sept au total le nombre d'unités de base du SI tel que nous le connaissons aujourd'hui. Giovanni Giorgi ( ) 6/12
7 Le BIPM et l'évolution de la définition du mètre 1872 Décision de fabriquer des mètres prototypes en se servant comme référence du mètre original conservé aux Archives de France. Le mètre et le kilogramme originaux, appelés Mètre des Archives et Kilogramme des Archives avaient été construits en 1799 comme représentant respectivement la longueur de la dix-millionième partie du quart du méridien terrestre et la masse du décimètre cube d'eau Signature de la Convention du Mètre Rénovation des bâtiments du Pavillon de Breteuil et construction d'un laboratoire ; embauche du personnel ; acquisition de l équipement spécialisé pour les comparaisons de longueur et de masse Construction et mesure de trente mètres prototypes et de quarante kilogrammes prototypes. Cela exigeait de comparer, avec une précision encore jamais atteinte, les nouveaux étalons, à traits et à section en X, entre eux et avec le Mètre des Archives, qui est un étalon à bouts. Cela impliquait la mise au point d'un appareillage spécial de mesure et d'une échelle de température définie et reproductible. Choix d'un prototype du mètre et d'un prototype du kilogramme destinés à devenir les Prototypes internationaux. Distribution des prototypes nationaux. Les Prototypes internationaux sont déposées le 28 septembre 1889 au BIPM 2 où ils sont encore conservés aujourd'hui Michelson propose d'utiliser des interféromètres optiques pour mesurer les longueurs. Par la suite, en 1907, il reçoit le Prix Nobel de physique, principalement pour ses travaux en métrologie Utilisation de l'interféromètre de Michelson au BIPM (par Michelson et Benoît) pour déterminer la valeur du mètre en longueurs d'onde de la raie rouge du cadmium La mesure ci-dessus est confirme par Benoît, Fabry et Pérot au moyen de l'interféromètre de Pérot et Fabry Prix Nobel de physique attribué Ch.-Ed. Guillaume, alors directeur du BIPM, pour son invention des alliages spéciaux fer-nickel, en particulier de l'invar Premières vérifications des prototypes nationaux par comparaison entre eux et avec le Prototype international. Nouvelles déterminations améliorées du coefficient de dilatation des prototypes. 2 BIPM Bureau International des Poids et Mesures 7/12
8 1927 Accord international définissant l'angstrom, fondé sur les déterminations de la longueur d'onde de la raie rouge du cadmium faites en 1893 et 1906 ; l'angstrom ainsi défini sera utilisé comme unité de longueur en spectroscopie et en physique atomique jusqu'à ce qu'il soit abandonné en Le CIPM décide d'étudier la possibilité de redéfinir le mètre en fonction d'une longueur d'onde lumineuse et crée cet effet le Comité consultatif pour la définition du mètre devenu aujourd'hui le Comité consultatif des longueurs La CGPM adopte une définition du mètre fondé sur la longueur d'onde dans le vide de la radiation correspondant une transition entre des niveaux d'énergie spécifiés de l'atome de krypton 86. Au BIPM, la mesure des règles à trait en fonction de cette longueur d'onde remplace les comparaisons de règles à traits entre elles ; installation d'un nouvel équipement pour faire ces mesures par interférométrie optique La CGPM recommande pour la vitesse de la lumière dans le vide une valeur résultant des mesures de longueur d'onde et de fréquence du rayonnement d'un même laser La CGPM redéfinit le mètre comme tant la longueur du trajet parcouru dans le vide par la lumière pendant une fraction précise de seconde. Elle invite le CIPM à établir des instructions pour la mise en pratique de cette nouvelle définition. Le CIPM, ayant anticipé cette invitation, indique des méthodes générales pour relier directement les longueurs au mètre tel qu'il vient d'être défini. Parmi ces méthodes figure l'emploi de la longueur d'onde d'une des cinq radiations recommandées émises par des lasers ou de celles émises par des lampes spectrales. Les valeurs des longueurs d'onde et des fréquences, ainsi que les incertitudes associées, de ces radiations sont spécifiées dans la mise en pratique de la définition du mètre. Au BIPM, la comparaison de fréquences de lasers par battements optiques complète la mesure d'étalons à traits en fonction des longueurs d'onde de ces mêmes lasers Afin de vérifier l'exactitude des réalisations pratiques du mètre fondées sur la nouvelle définition, le BIPM entreprend une nouvelle série de comparaisons internationales de longueurs d'onde de radiations laser, par interférométrie optique, et de fréquences, par battements. Ces dernières comprennent des comparaisons des composants des lasers, en particulier des cellules d'absorption qui contiennent les atomes ou les molécules sur lesquels le laser est asservi, ainsi que des comparaisons de l'ensemble (optique, tube à décharge, cellule d'absorption et électronique.) 1992 Le CIPM décide, compte tenu des travaux effectués dans les laboratoires nationaux et au BIPM, de diminuer notablement les incertitudes sur les radiations recommandées mises par certains lasers figurant dans la mise en pratique et porte leur nombre de cinq à huit Le CIPM modifie la mise en pratique de 1992, en ajoutant quatre nouvelles radiations mises par des lasers, ce qui porte leur nombre à douze, et en diminuant une nouvelle fois les incertitudes associées aux radiations de certains lasers. Les travaux se poursuivent au BIPM, comme ailleurs, pour identifier tes facteurs qui limitent actuellement la reproductibilité des lasers, étalons de longueur d'onde et de fréquence. 8/12
9 1.4 Le système international d unités Le système International d unités a pour objet une meilleure uniformité, donc une meilleure compréhension générale mutuelle. Le Système International d unités est un système cohérent d unités qui comporte des unités de base et des unités dérivées. Les 7 unités de base sont à considérer comme indépendante du point de vue dimensionnel. Le SI donne également des recommandations concernant les règles conventionnelles pour l écriture des unités et des symboles. Unité de longueur : le mètre (m) Le mètre est la longueur du trajet parcouru dans le vide par la lumière pendant une durée de 1/ de seconde. Définition de la 17 ème Conférence Générale des Poids et Mesures de 1983 Unité de masse : le kilogramme (kg) Le kilogramme est l unité de masse. Il est égal à la masse du prototype international du kilogramme. Définition de la 1 ère CGPM de 1889 et de la 3 ème CGPM de 1901 Unité de temps : la seconde (s) La seconde est la durée de périodes de la radiation correspondant à la transition entre les deux niveaux hyperfins de l état fondamental de l atome de césium 133. Définition de la 13 ème CGPM de Unité de courant électrique : l ampère (A) L ampère est l intensité d un courant constant qui, maintenu dans deux conducteurs parallèles, rectilignes, de longueur infinie, de section circulaire négligeable et placés à une distance de un mètre l un de l autre dans le vide produirait entre ces conducteurs une force égale à newton par mètre de longueur. Définition de CIPM en 1946 et approuvée par la 9ème CGPM de Unité de température thermodynamique : le Kelvin (K) Le Kelvin, unité de température thermodynamique, est la fraction 1/ de la température thermodynamique du point triple de l eau. Définition de la 13 ème CGPM de Il est décidé également par la 13 ème CGPM que l unité Kelvin et son symbole K sont utilisés pour exprimer un intervalle ou une différence de température. Unité de quantité de matière : la mole (mol) 9/12
10 La mole est la quantité de matière d un système contenant autant d entités élémentaires qu il y a d atomes dans kilogramme de carbone 12. Lorsque l on emploie la mole, les entités élémentaires doivent être spécifiées et peuvent être des atomes, des molécules, des ions, d autres particules ou des groupements spécifiés de telles particules. Définition de la 14 ème CGPM de Unité d intensité lumineuse : la candela La candela est l intensité lumineuse, dans une direction donnée, d une source qui émet un rayonnement monochromatique de fréquence hertz et dont l intensité énergétique dans cette direction est de 1/683 watt par stéradian. Définition de la 16 ème CGPM de Grandeurs fondamentales Unité Symbole Longueur ( L ) mètre m Masse ( M ) kilogramme kg Temps ( T ) seconde s Intensité de courant électrique ( I ) ampère A Température thermodynamique ( ) kelvin K Quantité de matière ( N ) mole mol Intensité lumineuse ( J ) candela cd 10/12
11 Unités dérivées Grandeur Unité Symbole Fréquence hertz Hz Heinrich Hertz, Allemagne ( ) Force newton N Issac Newton, Angleterre ( ) Pression, contrainte pascal Pa Blaise Pascal, France ( ) Energie, travail joule J James Joule, Angleterre ( ) Puissance watt W James Watt, Ecosse ( ) Quantité d électricité, charge électrique coulomb C Charles de Coulomb, France ( ) Potentiel électrique, tension électrique, force électromotrice volt V Alexandro Volta, Italie ( ) Capacité électrique farad F Michael Faraday, Angleterre ( ) Résistance électrique ohm Georges Ohm, Allemagne ( ) Conductance électrique siemens S Werner Von Siemens Allemagne ( ) Flux d induction magnétique weber Wb Wilhelm Weber, Allemagne ( ) Induction ( champ ) magnétique tesla T Nicola Tesla, Yougoslavie ( ) Inductance henry H Joseph Henry, Etats Unis ( ) Flux lumineux lumen lm Eclairement lumineux lux lx Activité d un radionucleide becquerel Bq Henry Becquerel, France ( ) Dose absorbée, énergie communiquée massique, kerma, indice de dose absorbée gray Gy L.A Gray, Angleterre ( ) Equivalent de dose sievert Sv Rolf Sievert, Suède ( ) Température ( échelle Celsius ) Degré Celsius C Andres Celsius, suède ( ) 11/12
12 SI MULTIPLES FACTEURS PREFIXES SYMBOLES yotta Y zetta Z exa E peta P téra T giga G méga M kilo k hecto h déca da SI SOUS- MULTIPLES FACTEURS PREFIXES SYMBOLES yocto y zepto z atto a femto f pico p nano n micro μ milli m centi c déci d 12/12
Les unités de mesure en physique
Les unités de mesure en physique Historique Équations aux dimensions Le système international Définitions des unités fondamentales Grandeurs supplémentaires Unités dérivées Espace Masse Temps Quantité
Plus en détailLe Système international d unités The International
Le Système international d unités The International SI System of Units 8 e édition 2006 Bureau international des poids et mesures Organisation intergouvernementale de la Convention du Mètre Le Système
Plus en détailUnités, mesures et précision
Unités, mesures et précision Définition Une grandeur physique est un élément mesurable permettant de décrire sans ambiguïté une partie d un phénomène physique, chacune de ces grandeurs faisant l objet
Plus en détailMATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE
MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE Titulaire : A. Rauw 5h/semaine 1) MÉCANIQUE a) Cinématique ii) Référentiel Relativité des notions de repos et mouvement Relativité de la notion de trajectoire Référentiel
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailHistoire du Système métrique
Histoire du Système métrique par Thierry Thomasset URL : http://www.utc.fr/~tthomass/themes/unites contact : thierry.thomasset@utc.fr Mise à jour : 2 septembre 2010 Du système métrique au Système International
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailMéthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/
Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le
Plus en détailMesure de la dépense énergétique
Mesure de la dépense énergétique Bioénergétique L énergie existe sous différentes formes : calorifique, mécanique, électrique, chimique, rayonnante, nucléaire. La bioénergétique est la branche de la biologie
Plus en détailCours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année
Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailLA TYPOGRAPHIE (Norme ISO 31)
LA TYPOGRAPHIE (Norme ISO 31) AVERTISSEMENT : Les exemples en vert sont recommandés, ceux en rouge, interdits. L'écriture des unités de mesure Les unités de mesure s'écrivent en totalité lorsqu'elles -
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailNOTICE DOUBLE DIPLÔME
NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des
Plus en détailSOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES
SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES MES 1 Les mesures de longueurs MES 2 Lecture de l heure MES 3 Les mesures de masse MES 4 Comparer des longueurs, périmètres.
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailChapitre 7: Énergie et puissance électrique. Lequel de vous deux est le plus puissant? L'énergie dépensée par les deux est-elle différente?
CHAPITRE 7 ÉNERGIE ET PUISSANCE ÉLECTRIQUE 2.4.0 Découvrir les grandeurs physiques qui influencent l'énergie et la puissance en électricité. Vous faites le grand ménage dans le sous-sol de la maison. Ton
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailChapitre 1 - Les circuits électriques
Chapitre 1 - Les circuits électriques Lois fondamentales Historique des versions Version Auteur Description 1.0 pjean Version corrigée et enrichie - portage sous OOo. 2009-09-27 pcornelis Version originale
Plus en détail1 Mise en application
Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailChap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE
Chap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE Exercice 0 page 9 On considère deux évènements E et E Référentiel propre, R : la Terre. Dans ce référentiel, les deux évènements ont lieu au même endroit. La durée
Plus en détailChapitre 6 ÉNERGIE PUISSANCE - RENDEMENT. W = F * d. Sommaire
Chapitre 6 ÉNERGIE PUISSANCE - RENDEMENT Sommaire 1. Définitions symboles - unités 2. Chute de tension dans les conducteurs 3. Effets calorifiques du courant 1. DÉFINITIONS SYMBOLES - UNITÉS 1.1 Force
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailLA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile?
LA PUISSANCE DES MOTEURS Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? Chaque modèle y est décliné en plusieurs versions, les différences portant essentiellement sur la puissance
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailModule 3 : L électricité
Sciences 9 e année Nom : Classe : Module 3 : L électricité Partie 1 : Électricité statique et courant électrique (chapitre 7 et début du chapitre 8) 1. L électrostatique a. Les charges et les décharges
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailLES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION
LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,
Plus en détailExercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique
Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction
Plus en détailC est un mouvement plan dont la trajectoire est un cercle ou une portion de cercle. Le module du vecteur position OM est constant et il est égal au
1 2 C est un mouvement plan dont la trajectoire est un cercle ou une portion de cercle. Le module du vecteur position est constant et il est égal au rayon du cercle. = 3 A- ouvement circulaire non uniforme
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailTRAITÉ D'ELECTRICITE DE MAGNÉTISME INSTRUMENTS ET MÉTHODES DE MESURE ÉLECTRIQUE COURS PROFESSE A L'ECOLE SUPÉRIEURE DE TELEGRAPHIE PAR A.
TRAITÉ D'ELECTRICITE ET DE MAGNÉTISME THÉORIE ET APPLICATIONS INSTRUMENTS ET MÉTHODES DE MESURE ÉLECTRIQUE COURS PROFESSE A L'ECOLE SUPÉRIEURE DE TELEGRAPHIE PAR A.VASCHY Ingénieur des Télégraphes, Répétiteur
Plus en détailCHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE
CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE I Chaine énergétique a- Les différentes formes d énergie L énergie se mesure en Joules, elle peut prendre différentes formes : chimique,
Plus en détailChapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques
Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailLe second nuage : questions autour de la lumière
Le second nuage : questions autour de la lumière Quelle vitesse? infinie ou pas? cf débats autour de la réfraction (Newton : la lumière va + vite dans l eau) mesures astronomiques (Rœmer, Bradley) : grande
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailPHYSIQUE 2 - Épreuve écrite
PHYSIQUE - Épreuve écrite WARIN André I. Remarques générales Le sujet de physique de la session 010 comprenait une partie A sur l optique et une partie B sur l électromagnétisme. - La partie A, à caractère
Plus en détailQ6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?
EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détail4.14 Influence de la température sur les résistances
nfluence de la température sur la résistance 4.14 nfluence de la température sur les résistances ne résistance R, parcourue par un courant pendant un certain temps t, dissipe une énergie calorifique (W
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailÉNERGIE : DÉFINITIONS ET PRINCIPES
DÉFINITION DE L ÉNERGIE FORMES D ÉNERGIE LES GRANDS PRINCIPES DE L ÉNERGIE DÉCLINAISONS DE L ÉNERGIE RENDEMENT ET EFFICACITÉ DÉFINITION DE L ÉNERGIE L énergie (du grec : force en action) est ce qui permet
Plus en détailPuissances d un nombre relatif
Puissances d un nombre relatif Activités 1. Puissances d un entier relatif 1. Diffusion d information (Activité avec un tableur) Stéphane vient d apprendre à 10h, la sortie d une nouvelle console de jeu.
Plus en détailUniversité de Nice Sophia Antipolis Licence de physique
Université de Nice Sophia Antipolis Licence de physique Projet tutoré en laboratoire : Année 2009/2010 Miradji Faoulat Barnaoui Serine Ben Abdeljellil Wael Encadrant : Mr. Anders Kastberg 1 Remerciement
Plus en détail1 000 W ; 1 500 W ; 2 000 W ; 2 500 W. La chambre que je dois équiper a pour dimensions : longueur : 6 m largeur : 4 m hauteur : 2,50 m.
EXERCICES SUR LA PUISSANCE DU COURANT ÉLECTRIQUE Exercice 1 En zone tempérée pour une habitation moyennement isolée il faut compter 40 W/m 3. Sur un catalogue, 4 modèles de radiateurs électriques sont
Plus en détailLa spectrophotométrie
Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailProgrammes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Mathématiques et physique (MP) Discipline : Physique-chimie Seconde année Programme de physique-chimie de la voie MP
Plus en détailPrécision d un résultat et calculs d incertitudes
Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................
Plus en détailLes moments de force. Ci-contre, un schéma du submersible MIR où l on voit les bras articulés pour la récolte d échantillons [ 1 ]
Les moments de force Les submersibles Mir peuvent plonger à 6 000 mètres, rester en immersion une vingtaine d heures et abriter 3 personnes (le pilote et deux observateurs), dans une sphère pressurisée
Plus en détailAtelier «son» Séance 2
R IO 2 0 0 9-2 0 1 0 Animateur : Guy PANNETIER Atelier «son» Séance 2 A) 1. Rappels Mathématiques En physique, les hommes ont été confrontés à des nombres très grands ou très petits difficiles à décrire
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailNombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN
Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques
Plus en détailsciences sup Cours et exercices corrigés IUT Licence électricité générale Analyse et synthèse des circuits 2 e édition Tahar Neffati
sciences sup Cours et exercices corrigés IUT Licence électricité générale Analyse et synthèse des circuits 2 e édition Tahar Neffati ÉLECTRICITÉ GÉNÉRALE Analyse et synthèse des circuits ÉLECTRICITÉ GÉNÉRALE
Plus en détailLa charge électrique C6. La charge électrique
Fiche ACTIVIT UM 8. / UM 8. / 8. La charge électrique 8. La charge électrique C6 Manuel, p. 74 à 79 Manuel, p. 74 à 79 Synergie UM S8 Corrigé Démonstration La charge par induction. Comment un électroscope
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailLa Mesure du Temps. et Temps Solaire Moyen H m.
La Mesure du Temps Unité de temps du Système International. C est la seconde, de symbole s. Sa définition actuelle a été établie en 1967 par la 13 ème Conférence des Poids et Mesures : la seconde est la
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailLES CHAMPS ÉLECTROMAGNÉTIQUES, LES CHAMPS ÉLECTRIQUES ET MAGNÉTIQUES
LES CHAMPS ÉLECTROMAGNÉTIQUES, LES CHAMPS ÉLECTRIQUES ET MAGNÉTIQUES 1-1 Qu est-ce qu un champ électromagnétique? Le lecteur ne doit pas se laisser rebuter par le jargon utilisé parmi les techniciens spé
Plus en détail1STI2D - Les ondes au service de la santé
1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie
Plus en détailMESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .
MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailLAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL
LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailModule HVAC - fonctionnalités
Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également
Plus en détailChauffage par induction
Guide Power Quality Section 7: Efficacité Energétique www.leonardo-energy.org/france Edition Août 2007 Chauffage par induction Jean Callebaut, Laborelec Décembre 2006 1 Introduction... 3 2 Principes physiques...
Plus en détailElectricité. Electrostatique
5G1 - Electrostatique - Page 1 Electricité Electrostatique Cette partie du cours de physique étudie le comportement des charges électriques au repos ainsi que l influence de celles-ci les unes sur les
Plus en détailPhysique, chapitre 8 : La tension alternative
Physique, chapitre 8 : La tension alternative 1. La tension alternative 1.1 Différence entre une tension continue et une tension alternative Une tension est dite continue quand sa valeur ne change pas.
Plus en détailMesure d angles et trigonométrie
Thierry Ciblac Mesure d angles et trigonométrie Mesure de l angle de deux axes (ou de deux demi-droites) de même origine. - Mesures en degrés : Divisons un cercle en 360 parties égales définissant ainsi
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailElectrotechnique. Fabrice Sincère ; version 3.0.5 http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere/
Electrotechnique Fabrice Sincère ; version 3.0.5 http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere/ 1 Sommaire 1 ère partie : machines électriques Chapitre 1 Machine à courant continu Chapitre 2 Puissances électriques
Plus en détailPlan du cours : électricité 1
Semestre : S2 Module Physique II 1 Electricité 1 2 Optique géométrique Plan du cours : électricité 1 Partie A : Electrostatique (discipline de l étude des phénomènes liés aux distributions de charges stationnaires)
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailL ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma
TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -
Plus en détailTravaux dirigés de magnétisme
Travaux dirigés de magnétisme Année 2011-2012 Christophe GATEL Arnaud LE PADELLEC gatel@cemesfr alepadellec@irapompeu Travaux dirigés de magnétisme page 2 Travaux dirigés de magnétisme page 3 P r é s e
Plus en détailSTI2D : Enseignements Technologiques Transversaux
STI2D : Enseignements Technologiques Transversaux Activité : Etude des transfert énergétiques dans la cafetière Nespresso Problématique : On calcule la puissance électrique consommée, on détermine l énergie
Plus en détail