De la recherche à l application
|
|
- Robert Boulet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les défis de gestion et de développement d infrastructures de transport en milieu nordique De la recherche à l application Symposium international sur le développement nordique 2015 Atelier H - Infrastructures 25 février 2015
2 Contexte Infrastructures de transport du MTQ dans l Arctique québécois Territoire arctique du Québec (Nunavik) au nord du 55 e parallèle Communautés isolées (14 villages nordiques et 1 village cri) Desserte aérienne (personnes, marchandise périssable, évacuations médicales, etc.) et maritime (marchandises pondéreuses) Infrastructures MTQ dans l Arctique québécois: o 13 aéroports (gravier) et routes d accès (revêtement) o Construction entre 1984 et 1991 Présence de pergélisol Réchauffement climatique au Nunavik: o Entre 1990 et 2010: + 2 o C o Entre 2012 et 2050: + 3 o C Aucune perspective de réchauffement climatique lors de la construction Pergélisol considéré comme une fondation stable
3 Impacts du dégel du pergélisol sur les infrastructures de transport Tassements en bordure des remblais, fissuration et perturbation du système de drainage en pied de remblai Tasiujaq Salluit Tassements localisés sur toute la largeur de l infrastructure Salluit Umiujaq Quaqtaq Glissement de terrain en bordure d une infrastructure Soulèvement de clôture Salluit Aupaluk Tasiujaq
4 Enjeux et défis Adapter la gestion des infrastructures de transport nordiques aux changements climatiques Identifier les infrastructures de transport du MTQ vulnérables au dégel du pergélisol. Déterminer les facteurs qui induisent une vulnérabilité pour les infrastructures sur pergélisol (changements climatiques, accumulation d eau et de neige, conception, etc.). Développer des connaissances sur les techniques d adaptation efficaces et durables dans le contexte géophysique de l Arctique québécois. Investir dans l acquisition de données afin d appuyer la prise de décision et maximiser les interventions (conditions du pergélisol, performance de solutions d adaptation, etc.). Intégrer les notions liées aux CC dans la démarche d analyse de vulnérabilité pour les infrastructures sensibles afin de réévaluer le niveau de risque. Adapter l approche de gestion (planification et priorisation) et la conception des infrastructures ainsi que la réalisation des travaux d adaptation (multidisciplinarité).
5 Acquisition de données et monitoring Adapter la gestion des infrastructures de transport nordiques Identifier et suivre l évolution des dégradations causées par le dégel du pergélisol (tassements et fissurations du remblai, déformation d un ponceau, etc.). Documenter les modifications du milieu physique (conditions d enneigement, état des coins de glace, dégradation du pergélisol, etc.). Suivre le comportement des remblais (observations, plaques de tassement et inclinomètre). Suivre l évolution du régime thermique du pergélisol (thermistance et fibre optique). Stations d acquisition de données thermiques sur le pergélisol à l aéroport de Tasiujaq Enneigement en bordure d une piste atterrissage, Kangiqsualujjuaq Coins de glace, Akulivik
6 Outils de gestion et suivi Adapter la gestion des infrastructures de transport nordiques Développer de nouveaux outils d inspection et registres de suivi. Revisiter la méthodologie des inspections des ouvrages visant à documenter les nouveaux paramètres liés au dégel du pergélisol et aux CC.
7 Recherche et innovation Adapter la conception des infrastructures de transport nordiques Aménagement de sites expérimentaux pour suivre la performance des techniques d adaptation sur les infrastructures de transport à Salluit et Tasiujaq (remblai en pente douce, remblai à convection, remblai muni d un drain thermique, surface pâle) Drain thermique Remblai à convection Site expérimental, Tasiujaq Remblai en pente douce
8 Recherche et innovation Adapter la démarche d évaluation de la vulnérabilité des infrastructures de transport nordiques Développement d une démarche pour évaluer la vulnérabilité des infrastructures de transport sur pergélisol dans un contexte de CC. Travaux d investigation du pergélisol (relevés géophysiques, forages profonds avec échantillons intacts & essais en laboratoire). Modélisation géothermique du pergélisol à partir de projections climatiques (prise en compte des conditions d enneigement). Relevés géophysiques Carte synthèse des dépôts de surface, Kangirsuk Travaux de forage, Puvirnituq Sol riche en glace, Salluit
9 Recherche et innovation Adapter les infrastructures de transport nordiques Développement de stratégies d adaptation pour les infrastructures de transport vulnérables au dégel du pergélisol. Utilisation de nouvelles technologies pour stabiliser thermiquement (drain thermique) le pergélisol sous la route et pour détecter linéairement (fibre optique) la dégradation du pergélisol sous une infrastructure vulnérable aux CC.
10 De la recherche à l'application Stratégie d adaptation pour les infrastructures de transport du MTQ au Nunavik Contrepoids et remblai à convection & amélioration du réseau de drainage de la piste d atterrissage à Puvirnituq Clôture résistante aux mouvements de sol sensible au dégel à Inukjuak 10
11 De la recherche à l application Stratégie d adaptation pour les infrastructures de transport du MTQ au Nunavik Remblai avec drain thermique et pente adoucie sur la route d accès de l aéroport à Salluit 11
12 Enseignement L acquisition de données est essentielle pour valider les hypothèses sur l impact des CC sur les infrastructures et sur la performance des solutions d adaptation à long terme. La prise en compte des CC et des investigations géotechniques approfondies du pergélisol sont indispensables pour concevoir et évaluer le niveau de risque des infrastructures de transport nordiques. Les techniques d adaptation expérimentées ont généralement démontré une bonne performance, mais elles peuvent s avérer coûteuses et complexes à mettre en place. Les critères de conception et les pratiques d entretien doivent être revus et adaptés. Malgré les techniques d adaptation performantes qui ont été développées, l intensification de l entretien sera l option à privilégier dans certains cas.
13 Enseignement L implication d intervenants multidisciplinaires pour le développement de stratégies d adaptation est incontournable. L intégration systématique de la connaissance développée en adaptation aux CC dans les projets d infrastructures demeure un défi. Les coûts initiaux d entretien et de réhabilitation des infrastructures nécessitant une conception adaptée aux CC ont augmenté; Reste à évaluer les coûts globaux sur le cycle de vie des infrastructures (LCCA)
14 Conclusion Questionner les pratiques éprouvées au Sud; Réinventer la gestion des infrastructures nordiques à la lumière des connaissances développées en adaptation aux CC. Poursuivre l acquisition de données et évaluer le potentiel d utilisation de nouvelles technologies pour optimiser les interventions. Évaluer la performance des solutions d adaptation à l échelle réelle afin de valider les hypothèses et d orienter les recherches ultérieures. Accentuer les efforts de transfert de connaissances sur les CC pour assurer leur prise en compte. Réfléchir à l adaptation des cursus académiques afin d y intégrer les notions sur les risques induits par les CC. Adapter les méthodes de conception et d entretien des infrastructures nordiques.
15 Conclusion Poursuivre le développement et promouvoir les outils d aide à la décision sur les bonnes pratiques de gestion et de conception dans un contexte de CC pour assurer le développement durable des infrastructures de transport nordiques. Développer la connaissance sur l impact des CC sur l accès aux infrastructures de transport nordiques afin d assurer la pérennité et la sécurité de la desserte des communautés nordiques isolées.
16 Merci beaucoup!
Salter Global Consulting Incorporated SGC. Étude de préfaisabilité sur les télécommunications Options de réseau haut débit au Nunavik
Étude de préfaisabilité sur les télécommunications Options de réseau haut débit au Nunavik Septembre 2013 Table des matières 1. Résumé de l étude de préfaisabilité concernant un réseau haut débit au Nunavik
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailArctic Re-Supply Service List of municipalities - Season 2014
Arctic Re-Supply Service List of municipalities - Season 2014 1 ST DEPARTURE LAST WEEK OF JUNE CUT OFF DATE FOR DANGEROUS GOODS: MAY 30 CUT OFF DATE FOR CARGO PACKAGING: JUNE 3 CUT OFF DATE AT STE-CATHERINE
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailDÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE 1 INFORMATIONS GÉNÉRALES VENDEUR 2 / PAR VENDEUR 1 / PAR
DÉCLARATIONS DU SUR L IMMEUBLE 1 / PAR 2 / PAR nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 1 nom, adresse, téléphone et courriel du vendeur 2 ci-dessous collectivement nommés «vendeur» Ce formulaire
Plus en détailL entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière
L entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière Audrée Perreault, ing. Naomie Gagnon, ing. jr. Frédéric Champagne, ing. Ministère des Transports du Québec
Plus en détailInutilisable pour. transaction. Compte tenu de l importance que revêtent les déclarations qui suivent, le vendeur doit transmettre les informations
FORMULAIRE OBLIGATOIRE DÉCLARATIONS DU VENDEUR SUR L IMMEUBLE (TERRAIN ET BÂTIMENTS, CIRCONSTANCES ET DÉPENDANCES) Inutilisable pour Formulaire élaboré en collaboration avec l Association des inspecteurs
Plus en détailCongrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal
Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable
Plus en détailCartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits
Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages
Plus en détailLa «Bible» du CQFF sur le crédit d impôt pour solidarité. CQFF inc.
La «Bible» du CQFF sur le crédit d impôt pour solidarité CQFF inc. SOLIDARITÉ i TABLE DES MATIÈRES 1. INTRODUCTION... 1 2. COMMENT EST NÉ LE CRÉDIT D IMPÔT POUR SOLIDARITÉ ET COMBIEN DE MÉNAGES SONT VISÉS
Plus en détailclimatiques 2013-2020
Stratégie gouvernementale d adaptation aux changements climatiques 2013-2020 Un effort collectif pour renforcer la résilience de la société québécoise Juin 2012 Dépôt Légal Bibliothèque et Archives nationales
Plus en détailLes mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détailMISAPOR verre cellulaire
MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch
Plus en détailPOLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE
POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailTableau synthèse des actions sur 24 structures
81-3711 Passerelle Est de la rue Isabey / A-520 et voies de service 177 1 - Fermeture de certaines volées d escalier au public. - Élaboration d un projet de remplacement de la passerelle partagée avec
Plus en détailmurs de soutènement et dalles patio
murs de soutènement et dalles patio solide et esthétique Que ce soit pour votre jardin, votre entrée ou pour un projet de plus grande ampleur, choisir un design Pisa est l assurance d une solution gagnante
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailPlan de modernisation des installations industrielles
Plan de modernisation des installations industrielles 1 Sommaire 1 - Contexte - Introduction 2 - Réglementation 3 - Périmètre 4 - Guides techniques 5 - Synthèse : périmètre-actions 2 1 Contexte - Introduction
Plus en détailMécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols
Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailAUTORITE DE REGULATION DES COMMUNICATIONS ELECTRONIQUES ET DE LA POSTE (ARCEP)
Mr Jacob Chabi ALOH ajacob@atrpt.bj SOMMAIRE I. ESSAI DE COMPATIBILITE ELECTROMAGNETIQUE II. PROCEDURES DE CONTRÔLE ET DE TRAITEMENT DES PLAINTES EN BROUILLAGE ESSAI DE COMPATIBILITE ELECTROMAGNETIQUE
Plus en détailREDD-plus. Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques.
REDD-plus Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques novembre 2009 Programme de Conservation des Forêts Le mécanisme REDD-plus
Plus en détailDrainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs.
Drainage de maches anti-remontée à l humidité Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Goutte par goutte, le désastre prend forme. Comme ils ne
Plus en détailAide-mémoire pour assurer l accessibilité de vos événements
Guide pratique d accessibilité des événements Aide-mémoire pour assurer l accessibilité de vos événements Accessibilité extérieure Transport Service de transport collectif régulier, fréquent et à proximité.
Plus en détailUn nouveau modèle régional à Ouranos : défis et opportunités
Consor&um sur la climatologie régionale et l adapta&on aux changements clima&ques Un nouveau modèle régional à Ouranos : défis et opportunités Sébas&en Biner Groupe Simula&ons et analyses clima&ques Ouranos
Plus en détailL érosion côtière et le Ministère de la sécurité publique
L érosion côtière et le Ministère de la sécurité publique Hugo Martin Direction régionale de la sécurité civile et sécurité incendie du Bas-Saint-Laurent et Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine 15 mai 2014 Contexte
Plus en détailDistribution d électricité et réseaux souterrains
Distribution d électricité et réseaux souterrains Cabos 09-2 - 3 octobre 2009 Maceió, Alagoas, Brésil Les réseaux de distribution : un enjeu essentiel Les réseaux de distribution constituent une infrastructure
Plus en détailL HABITAT. Technologie 5ème
L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,
Plus en détailPrévenir les dégâts d eau au sous-sol
Prévenir les dégâts d eau au sous-sol Des milliers de réclamations enregistrées chaque année en assurance habitation. Des dommages parfois sérieux, d autres fois moins, mais toujours désolants et, la plupart
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détailCrédits d impôt pour la recherche scientifique et le développement expérimental («RS&DE»)
Crédits d impôt pour la recherche scientifique et le développement expérimental («RS&DE») Aperçu du programme et occasions à saisir Pascal Martel Yara Bossé-Viola 8 octobre 2014 Objectifs Objectifs du
Plus en détailSOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL
SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL Avertissement : LE PRÉSENT DOCUMENT CONSTITUE UN CONDENSÉ DU RAPPORT ANNUEL DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL. VOUS ÊTES INVITÉ À CONSULTER LA VERSION INTÉGRALE
Plus en détailRÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE
RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous
Plus en détailRéunion de lancement du projet LEFE DEPHY2
Réunion de lancement du projet LEFE DEPHY2 Développement et Evaluation des PHYsiques des modèles atmosphériques BILAN 45 participants 25 CNRM, 12 LMD, 4 LGGE, 2LA, 1 LSCE, 1 GET 8-9-10 septembre 2014 Observatoire
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailLe déneigement des véhicules lourds. transport
Le déneigement des véhicules lourds transport TABLE DES MATIÈRES L élimination du danger à la source : éviter le travail en hauteur!...p. 5 En hauteur, mais en toute sécurité! Utiliser des moyens collectifs
Plus en détailde sous-sols Protégez votre maison contre les inondations Pour des habitations plus sûresmd
ICLR-SL BaseFlood-D5 Jun18-12 F-FINAL_x 12-06-18 3:33 PM Page A Pour des habitations plus sûresmd Protégez votre maison contre les inondations de sous-sols Pour des habitations plus sûresmd est un programme
Plus en détailHISTORIQUE et EXPLOITATION DETRIVAL I. ISDI et déchets d amiante lié à des matériaux inertes (amiante ciment) Commune de VIGNOC 35
HISTORIQUE et EXPLOITATION DETRIVAL I ISDI et déchets d amiante lié à des matériaux inertes (amiante ciment) Commune de VIGNOC 35 Vue aérienne du site de stockage amiante ciment Page 1-6 DETRIVAL I : ISDI
Plus en détailINDICE CPQ-LÉGER MARKETING DE CONFIANCE DANS L ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE
INDICE CPQ-LÉGER MARKETING DE CONFIANCE DANS L ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE Juin 2003 Constats L indice CPQ-Léger Marketing de confiance des consommateurs et des entreprises dans l économie québécoise enregistre
Plus en détailFiche de lecture du projet de fin d étude
GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détail[Texte] GLOSSAIRE DU CDT. [Texte]
GLOSSAIRE DU CDT AGENCE NATIONALE POUR LA RENOVATION URBAINE (ANRU) L agence nationale pour la rénovation urbaine est un établissement public industriel et commercial, créé par l article 10 de la loi d
Plus en détailRèglement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011
Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1
LA VENTILATION DES COUVERTURES 01-01-1998 TABLE DES MATIÈRES Page 1- Historique... 1 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 3- Recommandations et investigations avant réfection... 3 4-
Plus en détailBIENVENUE AU CENTRE DE SANTÉ TULATTAVIK DE L UNGAVA
BIENVENUE AU CENTRE DE SANTÉ TULATTAVIK DE L UNGAVA AVANT-PROPOS Si vous êtes en train de lire ce guide, c est que vous venez d être recrutés ou bien que vous êtes sur le point de commencer à travailler
Plus en détailInspection Pédagogique Régionale de Technologie Académie de Reims juin 2008 1/8
Inspection Pédagogique Régionale de Technologie Académie de Reims juin 2008 1/8 La rénovation des programmes de technologie nécessite des activités pédagogiques centrées sur l objet technique ce qui nécessite
Plus en détailGéothermie et stockage: quo vadis? Pascal Vinard
Géothermie et stockage: quo vadis? Pascal Vinard Contenu 1. Définitions et leur évolution 2. Cadre énergétique global, européen et Suisse 3. Evolution du marché des PAC géothermiques et projets de stockage
Plus en détailINTRODUCTION PRÉSENTATION AUX CITOYENS 28 AOÛT. - Propriétaire du 3500 St-Jacques
INTRODUCTION PROJETS DANS LE SUD OUEST - Propriétaire du 3500 St-Jacques Bureau Bureau Commercial - Expertise en développement de projets immobiliers et gestion de propriétés - Équipe formée d architectes,
Plus en détailCRT Nord - Centre de Ressources Technologiques Programmes de 5 ème : «HABITAT et OUVRAGES»
CRT Nord - Centre de Ressources Technologiques Programmes de 5 ème : «HABITAT et OUVRAGES» Equipes des professeurs de technologie : - Jean-Michel BOICHOT - Olivier CAURETTE - Guillaume DODEMAND - Matthieu
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détailINSTRUCTIONS COMPLÉTES
INSTRUCTIONS COMPLÉTES Le Service de plans du Canada, un organisme fédéral-provincial, favorise le transfert de technologie au moyen de feuillets, de croquis et de plans de construction qui montrent comment
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailMonitoring et suivi du comportement des chaussées
Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction
Plus en détailQUESTIONS ET RÉPONSES
QUESTIONS ET RÉPONSES Habiter dans les zones exposées aux GLISSEMENTS DE TERRAIN Précautions à prendre en matière d utilisations du sol QUESTIONS GÉNÉRALES 1. Pourquoi le gouvernement du Québec est-il
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailLogiciel pavages drainants mode d emploi
Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors
Plus en détailAuscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux
Auscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux Des ingénieurs spécialisés enrichissant depuis plus de 15 ans une expérience unique du Géoradar et des techniques non destructives.
Plus en détailBÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL
BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le
Plus en détailDECLARATION DES PERFORMANCES N 1
DECLARATION DES PERFORMANCES N 1 Résistance mécanique C18 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES N 2 Résistance mécanique C24 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES
Plus en détailISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009
REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailBesoins et attentes des habitants en Haute-Normandie en matière d équipements publics
mars 2010 Besoins et attentes des habitants en Haute-Normandie en matière d équipements publics Enquête BVA réalisée entre le 10 et le 21 février auprès d un échantillon de 197 habitants de Haute-Normandie
Plus en détailPLACE DE L ACADIE MISE À JOUR DES ÉTUDES ACOUSTIQUES À PARTIR DES PLANS DE SITE RÉVISÉS SOUMIS EN DATE DU 3 DÉCEMBRE 2008
MJM CONSEILLERS EN ACOUSTIQUE INC MJM ACOUSTICAL CONSULTANTS INC 55, Côte des Neiges, Bureau 0 Montréal (Québec) Tél.: (5) 77-98 HS A6 Fax: (5) 77-986 Site internet: www.mjm.qc.ca Courrier électronique:
Plus en détailInventaire des foyers d érosion
Inventaire des foyers d érosion Lacs Supérieur et Équerre Municipalité de Lac-Supérieur Automne 2010 Une collaboration entre : Mise en contexte Dans le cadre de l Opération Bleu-Vertpour poser des actions
Plus en détailDéformabilité des sols. Tassements. Consolidation
Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détail5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant.
FICHE TECHNIQUE 120-1.4 07.21.13.13 1 Nom du produit ISOFOIL 2 Manufacturier ISOFOIL est fabriqué par Groupe Isolofoam, entreprise québécoise et important manufacturier de produits isolants depuis plus
Plus en détailPlan stratégique de la recherche 2009-2014 (synthèse)
Plan stratégique de la recherche 2009-2014 (synthèse) Ce document présente une synthèse du document «Plan stratégique de la recherche et de la création 2009-2014», publié en octobre 2008. Une recherche
Plus en détailBetter data. Better decisions. La carière digitale, nouvel outil de suivi et de gestion de l exploitation
Better data. Better decisions. La carière digitale, nouvel outil de suivi et de gestion de l exploitation CIGO Juin 2015 Nous vivons dans un environnement digital De nombreux éléments personnels ou professionnels
Plus en détailEvaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood
Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)
Plus en détailAUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?
Réunion CCI Franche-Comté - Besançon 13 mai 2014 AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Paule.nusa @afnor.org Nour.diab@afnor.org
Plus en détailRESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS
RESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS LIEU : SURFACE D INTERVENTION: COÛT : LIVRAISON : ARCHITECTES : ARCHITECTES ASSOCIES : B.E.T. : MAÎTRE DE L OUVRAGE : MISSION : TOURS 3 000 m² (SHON) 3 845 000
Plus en détailCRIP 17/09/14 : Thématique ITIL & Gouvernance
CRIP 17/09/14 : Thématique ITIL & Gouvernance 1 Présentation de GRTgaz Exploiter et maintenir les réseaux dans les meilleures conditions de coût et de sécurité pour les personnes et les biens Répondre
Plus en détailLe partenaire de votre innovation technologique
w w w.. s y n e r r v v i a i a. f. r f r Quelques chiffres Création en 2002 Association loi 1901 20 salariés 17 Ingénieurs et techniciens experts dans leurs domaines et présents dans les centres de compétences
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailN09 Viaduc de Chillon
Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détailDÉMARCHE QUALITÉ À L UNIVERSITÉ DU BURUNDI: ENJEUX ET DÉFIS
DÉMARCHE QUALITÉ À L UNIVERSITÉ DU BURUNDI: ENJEUX ET DÉFIS Prof Dr Pierre-Célestin KARANGWA EAC - Coordinateur Qualité, Université du Burundi, Burundi Colloque du G3 La qualité dans tous ses états ULB
Plus en détailRegroupement des écoles de l Envolée et Jacques- Hétu. Commission scolaire du Chemin-du-Roy Trois-Rivières Mauricie 2012-2013
Regroupement des écoles de l Envolée et Jacques- Hétu. Commission scolaire du Chemin-du-Roy Trois-Rivières Mauricie 2012-2013 Remerciements Vélo Québec tient à remercier ses nombreux partenaires pour leur
Plus en détailAPPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.
APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins
Plus en détailPLAN DE PREVENTION DES RISQUES MINIERS DE LES CHAPELLES
Ministère de l Écologie, de l Énergie du Développement durable et de la Mer PLAN DE PREVENTION DES RISQUES MINIERS DE LES CHAPELLES Reunion du 20 janvier 2014 aux Chapelles Direction régionale de l Environnement,
Plus en détailMétiers d études, recherche & développement dans l industrie
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur
Plus en détailGUIDE PLUMITIFS des Palais de justice et des cours municipales du Québec
GUIDE PLUMITIFS des Palais de justice et des cours municipales du Québec 4 e édition soquij.qc.ca La Société québécoise d information juridique (SOQUIJ) est heureuse de vous compter parmi les utilisateurs
Plus en détailA apposer sur tout produit mis sur le marché européen. A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive
Le marquage proprement dit A apposer sur tout produit mis sur le marché européen A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive N est pas une marque de qualité Obligatoire!
Plus en détailEOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation
EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire 15 Novembre 2012 Instance de Suivi et de Concertation AGENDA A/ Les acteurs du consortium A/ Les acteurs du consortium B/ Le projet C/ Les études environnementales
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailLES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES
LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES THE SILTS FROM THE LOIRE RIVER: MODELLING OF CONSOLIDATION EFFECTS ON EXISTING INFRASTRUCTURE Sébastien
Plus en détailGuide Technique Pour la Charpente de Mur. LSL et LVL SolidStart LP
Conception aux états limites LSL et LVL SolidStart LP Guide Technique Pour la Charpente de Mur 1730F b -1.35E, 2360F b -1.55E and 2500F b -1.75E LSL 2250F b -1.5E and 2900F b -2.0E LVL Veuillez vérifier
Plus en détailRÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL DES AGENTS AFIS
RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL DES AGENTS AFIS Les missions de l agent AFIS s articulent autour de trois objets L exécution de fonctions opérationnelles La tenue de documents L exercice de relations avec la
Plus en détailLe polissage par laser
B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques
Plus en détailLes lières. MSc in Electronics and Information Technology Engineering. Ingénieur civil. en informatique. MSc in Architectural Engineering
Ingénieur civil Ingénieur civil Les lières MSc in Electronics and Information Technology Engineering MSc in Architectural Engineering MSc in Civil Engineering MSc in Electromechanical Engineering MSc
Plus en détailObservations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme
Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre
Plus en détailToitures et charpentes
Toitures et charpentes 1/7 Toiture-terrasse Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des toitures-terrasses, accessibles ou non. Les ouvrages considérés sont
Plus en détail