ENJEUX ET OPPORTUNITÉS D UNE GESTION DURABLE DE L EAU

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1 ORGANISATEURS Mardi 28 Janvier 2014 Hyatt Regency- Casablanca SEMINAIRE STRATEGIQUE ENJEUX ET OPPORTUNITÉS D UNE GESTION DURABLE DE L EAU DIAGFLASH - SEMINAIRE 1 SEMINAIRE 2 SEMINAIRE 3 GESTION DURABLE DES RESSOURCES EN EAU, ENJEUX ET PERSPECTIVES PARTENAIRES INSTITUTIONNELS PARTENAIRES WATER P R O C E S S water engineering, services & technologies ProMinent Traitement et réutilisation des eaux, solutions et avancées technologiques Mardi 25 février 2014 Bonne gouvernance et options de financement dans le secteur eau Mardi 15 avril 2014

2 2 DIAGFLASH - Séminaire 1 «Toutes les ressources premières sont aujourd hui sujettes à spéculation. L eau étant une ressource stratégique et indispensable, j espère ainsi qu au Maroc nous puissions agir ensemble pour que son prix ne soit jamais établi suivant une logique d offre et de demande». Aziz Nasri, Cabinet BlueCap. Contexte Radius, Cabinet spécialisé dans la conception et le déploiement de séminaires stratégiques, et BlueCap, Cabinet spécialisé dans l audit financier et la gestion des risques dans le domaine des services publics, ont organisé, le 28 janvier 2014, la première rencontre du Séminaire Stratégique «Enjeux et opportunités d une gestion durable de l eau». A l issue des travaux, le Comité scientifique Radius s est réuni et a rédigé un premier Diag Flash (Diagnostic synthétique) du Séminaire 1 «Gestion durable des ressources en eau, enjeux et perspectives». Celui-ci reprend, de manière succincte, les principales idées, problématiques, défis et recommandations issus des débats, afin de fixer progressivement les contours du futur Livre Blanc. Ce dernier sera conçu dès la clôture des trois séminaires. Il approfondira l ensemble des problématiques traitées et se déclinera en une analyse transversale du secteur puis en un corpus de recommandations aussi bien stratégiques qu opérationnelles, conformément aux avis et contributions scientifiques des participants. Cette première séance de travail a réuni des représentants des institutions publiques (Ministères, Agences du Bassin Hydraulique, Communes, Régies publiques, Gestionnaires délégués), les principaux constructeurs et gestionnaires des infrastructures hydrauliques, mais également des cabinets d ingénierie, des grands opérateurs économiques nationaux et internationaux, des représentants d organismes internationaux, sans oublier les académiciens et les experts-chercheurs dans le secteur. Le thème central de ce premier séminaire a été l identification des grands axes de travail pour une gestion durable de l eau au Maroc, suivant trois référentiels : l optimisation des ressources disponibles, la mobilisation et la sécurisation des ressources en eau et, enfin, le renforcement des capacités et systèmes d approvisionnement et de distribution. Optimisation d un cycle entier de l eau - Schneider Electric Ressource indispensable, l eau est facteur de production indéniable qui représente un coût économique. L optimisation du cycle de l eau dans son ensemble tient ainsi compte de quatre niveaux d intervention : Station de pompage et de traitement : optimiser la gestion et la sécurité des stations Impact environnemental : modéliser des applications hydrauliques et établir des prévisions climatiques Distribution : optimiser la livraison de l Eau à travers un meilleur rendement de la distribution Traitement des eaux usées : augmenter l efficacité énergétique des stations. Pour atteindre tous ces objectifs, Schneider Electric a développé des solutions intégrées de gestion qui vise à améliorer la visibilité et le contrôle de l ensemble du système d approvisionnement en eau potable, et un système de collecte et de traitement des données. Dénommée StruxureWare (for Water), cette plateforme d applications et de suite permet de générer des informations et des données en temps réel, notamment en matière de gestion des pertes d eau, où elle permet une meilleure gestion des incidents sur réseau et une amélioration de la maintenance (MMS Système de gestion de Maintenance, CRM Gestion de la relation-client, SIG Système d information géographique, SCADA Système de contrôle et d acquisition de données).

3 DIAGFLASH - Séminaire 1 3 Constats Le Maroc est caractérisé par une pluviométrie irrégulière et répartie de manière inégale sur le territoire national, ce qui limite d année en année le potentiel disponible : 730 m 3 /an/hab, largement inférieur au seuil de stress hydrique, communément établi à 1000 m 3 /an/hab ; La croissance démographique, économique, urbaine et industrielle des régions marocaines induira, dans une perspective tendancielle, un effet notable sur le bilan hydrique du Maroc : de 2 milliards m 3 /an en 2010, le déficit en eau passera à 5 milliards m 3 /an en 2030 ; La forte utilisation des eaux souterraines engendre une baisse conséquente du niveau des nappes, soit 15 à 30 m depuis les années 1980 (80 m à certains endroits) ; L envasement régulier des barrages et l érosion croissante des sols diminuent la capacité de stockage des barrages de quelques 70 millions m 3 /an (2% de la capacité) ; Le retard enregistré sur la réglementation relative à la pollution des eaux a favorisé la croissance des mauvaises pratiques en termes de gestion des eaux usées, des déchets dangereux à proximité des sources d eau, et d infiltration des produits chimiques, notamment ceux induits par les engrais dans les terres agricoles, etc. ; L assainissement reste le maillon faible de la stratégie nationale de l eau : le traitement des eaux usées reste très limité. Inférieur à 15%, le traitement des eaux usées n est assuré que par 26 stations d épuration sur les 63 déjà fonctionnelles ; L ONEE a mis en place un Programme d Amélioration des Performances des Systèmes de Production et de Distribution d Eau Potable. Ce programme vise à renforcer le rendement des réseaux d AEP de manière à faciliter la détection rapide des fuites et leur élimination ; Conscient des enjeux stratégiques de l eau, le Maroc s est doté récemment d un Ministère délégué dédié uniquement à la question de l eau. Une initiative politique qui dénote, outre l intérêt croissant pour le secteur, une volonté manifeste d accélérer la cadence de mise en œuvre de la stratégie nationale de l eau ; Au niveau régional et local, la création des Agences du Bassin hydraulique a été une expérience réussie en matière de planification, de contrôle et d anticipation des risques. «Heureusement au Maroc, l eau relève du domaine public. L eau, en tant que ressource naturel n a pas de prix en soi. Ce qui est monnayable, ce sont les services liés à l eau, et non pas l eau qui est un bien public». Abdeslam Ziyad, Ministère délégué chargé de l Eau. Évolution prévisionnelle des besoins en eau potable Utilisation des ressources en eau au Maroc Source : ONEE Agriculture 87% Alimentation en eau potable 10% Usage Industriel 3% Source : GIZ Contrat de Nappe, exemple de la nappe de Fès Meknès - Agence du Bassin Hydraulique du Sebou Un contrat de nappe est une convention contractuelle entre toutes les parties prenantes intervenant dans la gestion de l eau au niveau d un bassin hydraulique donné Le contrat de nappe du Sebou réunit l ONEE, les directions régionales des Ministères de l Energie, des Finances et de l Agriculture, les chambres d Agriculture, les régies d eau et d électricité et les Conseils régionaux de Fès et Meknès, outre l Université Sidi Mohamed Ben Abdellah et l Ecole Nationale d Agriculture de Meknès. Etalé sur la période , le contrat de nappe de Fès-Meknès vise à établir, à travers la concertation, un plan de gestion intégrée des eaux disponibles, harmonier les différents plans de développement de la région de Fès et Meknès et assurer un contrôle permanent de la ressource eau (développement du réseau de surveillance piézométrique).

4 4 DIAGFLASH - Séminaire 1 Photos : BEA «Une fuite équivaut à 100 l/s, elle peut aller jusqu à 800l/s. C est relativement important, surtout si les fuites se répètent souvent. C est un gisement d économie d eau non négligeable». Eric Poncet, Brunet Eco Aménagement. Problématiques Durabilité de la gestion de l eau Le fort développement de l économie marocaine lors de la dernière décennie a accru la pression sur le potentiel en eau du pays. Quel qu en soit l usage, particulier, industriel ou agricole, et le milieu de son utilisation, urbain, rural, villes nouvelles ou clusters industriels, l eau est un bien social et économique qui nécessite planification, sécurisation, optimisation, modernisation et valorisation. Une stratégie nationale de l eau a été lancée en 2010 pour répondre à toutes les problématiques liées à la gestion de l eau. Quels sont les objectifs et les moyens de la mise en œuvre de cette stratégie? Comment améliorer l efficience de l utilisation de l eau tout en garantissant un large accès à cette ressource sur l ensemble du territoire? Comment concilier raréfaction de la ressource hydrique et croissance de la demande en eau? Quel apport attendre du plan de l eau dont les premiers travaux ont été annoncés dernièrement? Autant de questions qui conditionnent la réussite de la stratégie nationale de l eau, et partant, l instauration d une gestion durable de l eau au Maroc. Optimisation de la disponibilité d une ressource rare, faiblement renouvelée La pluviométrie n est pas régulière au Maroc. Les ressources disponibles ne sont pas toutes renouvelées, ce qui génère une forte pression sur les réserves hydriques, notamment les eaux souterraines des nappes. Cette équation interroge sur la capacité du Maroc à mettre en place les mécanismes adéquats, au niveau national, puis régional, pour une mobilisation et une préservation maximale des ressources disponibles. Au-delà, la gestion des ressources s est longtemps fondée sur une logique de renforcement de l offre, aux dépens de la demande et des besoins. Comment peut-on aujourd hui inverser cette logique, et suivant quels moyens? Le Ministère de tutelle, le Haut Commissariat aux Eaux et Forêts et l ONEE commencent depuis quelques années à prendre conscience de cette dichotomie induite par l offre et la demande, pourtant une interrogation demeure ouverte : comment sécuriser les ressources disponibles, au niveau local, régional et enfin national? Si la recherche de nouvelles sources d eau alternatives captation des eaux pluviales, Gestion et contrôle des fuites, Préconisations de l Ecole Hassania des Travaux Publics 1. Etablissement de la cartographie du réseau, 2. Mise en place d un Système d Informations Géographiques, 3. Création d un service dédié, dont le rôle est le suivi permanent du fonctionnement du réseau et la détection des fuites, 4. Mise en place d un programme de détection des fuites, 5. Pose de compteurs généraux et de compteurs divisionnaires pour pouvoir mesurer et contrôler les volumes d eau mis en distribution, 6. Subdivision du réseau de distribution en sous-secteurs isolés, 7. Installation de stabilisateurs pour la régulation de pression ou de modulateurs de pression pour réduire les pertes dans les secteurs, 8. Instauration d un programme de renouvellement des vieilles conduites du réseau de distribution, 9. Création d un programme de sensibilisation des usagers aux économies d eau

5 DIAGFLASH - Séminaire 1 5 dessalement de l eau de mer, est une piste intéressante, les conditions de leur mise en œuvre sont-elles réunies aujourd hui? Suivant quel choix technologique, et pour quel coût? Et selon quelle référence réglementaire? Gestion des réseaux, ou comment améliorer le rendement avec une garantie de qualité La gestion de l eau au Maroc est caractérisée par une organisation disparate : d une région à une autre, voire d un quartier à un autre au sein d une même ville, les procédés, techniques, outils et installations de gestion de l approvisionnement et de distribution diffèrent selon les moyens dont disposent les opérateurs de l eau. Le renforcement des capacités d approvisionnement et de distribution est un corollaire indispensable pour améliorer le rendement des réseaux nationaux? Toutefois, la standardisation et la normalisation étant à ces premiers débuts, quels sont les mécanismes techniques et organisationnels de renforcement des réseaux? Comment peut on améliorer substantiellement les performances des installations de production et de distribution? Quelles techniques adopter pour éradiquer les fuites sur réseau? Des questions essentielles, liées à la capacité des acteurs du secteur de l eau à planifier et à coordonner leurs actions et initiatives. Pluviométrie moyenne au Maroc 140 milliards m 3 /an. ORGANISATION DU SECTEUR DE L EAU Cartographie des principaux acteurs Instance Consultative Conseil Supérieur de l Eau et du Climat Instances de planification sectorielle M. Agriculture MEMEE M. Santé Ministère de l Intérieur Eau potable ONEE Source : ONEE Opérateurs / Utilisateurs de l eau ORMVA Producteurs: ONEE Privé Régies Communes Distributeurs: ONEE Privé Régies Communes Défis Economie des ressources en eau La stratégie nationale du secteur de l eau s est fixée un objectif d économie de 2,5 milliards m 3 /an, soit : - Reconversion de l irrigation localisée : 2 milliards m 3 - Amélioration des rendements des réseaux d irrigation : 0,4 milliards m 3 ; - Amélioration des rendements des réseaux d alimentation en eau potable : 0,12 milliards m 3 Economie d eau potable : 120 millions m 3, au moyen de - Amélioration du rendement des réseaux - Généralisation des normes des équipements et installations hydrauliques - Promotion technologique des procédés d économie d eau - Amélioration de l efficience de l utilisation de l eau industrielle - Développement d un réseau national de recyclage des eaux usées - Réforme du système tarifaire pour rationaliser l utilisation et la consommation Mobilisation de nouvelles ressources hydriques La stratégie nationale de l eau entend faciliter la mobilisation de 2,5 milliards m 3 / an. Cette mobilisation conjuguera autant

6 6 DIAGFLASH - Séminaire 1 Potentiel mobilisable des ressources hydriques 22 milliards m 3 /an, soient 18 milliards m 3 / an pour les eaux de surface et 4 milliards d eaux souterraines. les sources usuelles que de nouvelles techniques d approvionnement : 1. Sources usuelles Eaux de surfaces : 1,7 milliards m 3, à travers, essentiellement, la construction de 60 grands barrages, 1000 petits barrages et le transfert de 800 millions m 3 des régions Nord vers les territoires du Sud ; 2. Sources alternatives Eaux de mer : dessalement de 400 millions m 3 d eau. Après Laâyoune, et El Hoceima et Agadir ou des projets sont en cours, le dessalement des eaux de mer demeure une source d approvisionnement non négligeable pour l avenir. Sa pleine adoption reste tributaire du coût de production, celui des technologies utilisées et enfin celui de l énergie; Eaux usées : réutilisation et épuration de 300 millions m 3 d eau, avec l entrée en service des stations d épuration en cours et la construction de nouvelles stations à l avenir. L établissement des Stations de traitement et d épuration, dont le coût est aujourd hui assez maîtrisé, ne devrait pas se limiter aux grandes villes et aux projets d envergure seulement, mais élargi aux échelles spatiales les plus réduites (Complexes résidentiels, zones d activité économiques, centres commerciaux, etc.). Eaux de pluie : captage de 100 millions m 3 d eau. Le captage des eaux pluviales en milieu urbain peut passer par l installation de verdure sur la toiture des maisons, des noues entre deux voies routières, des pavets drainants sur les trottoirs et des tranchées sur les bas-côtés des routes. En milieu rural, le captage des eaux de pluies peut se faire au moyen des bassins de rétention, des puits d infiltration, des barrages souterrains, des collecteurs d eaux, des banquettes, des negarims, des plantation sur les courbe de niveau, des cuvettes, des bilons de contours, des demilunes, des barrages à sable, des bassins collinaires etc. Renforcement des réseaux urbains : faire du préventif en lieu et place du curatif, exemple de la réhabilitation d un collecteur visitable en exploitation - Brunet Eco Aménagement Etat d un collecteur avant chemisage structurant en coques CCV. Le renforcement des réseaux d assainissement en milieu urbain ne nécessite pas obligatoirement un remplacement par de nouvelles installations, souvent trop coûteuses. Il gagne à être réalisé par le renforcement des infrastructures déjà installées, à travers une inspection continue, un diagnostic et une restructuration, pour améliorer l étanchéité du réseau. C est le cas des collecteurs visitables qui présentent des problèmes d étanchéité et, donc, de fuites d eaux usées. Une des techniques privilégiée est la réhabilitation en coques CCV (composite Ciment Verre) avec une protection polyéthylène. Section droite réhabilitée en coques CCV non revêtues. Cette technique présente l avantage d être structurante pour l étanchéité des ouvrages et de s adapter à la section et au profil du collecteur existant, soit du sur-mesure (sur un seul collecteur de 2 km sous l ancienne Médina de Marrakech, il y a 20 sections différentes!). Elle augmente par ailleurs la vitesse d écoulement (et donc l auto-curage), ne réduit que faiblement la section (5 cm moyen au rayon) et peut être réalisée dans un collecteur en exploitation. Enfin, ne nécessitant pas de tranchée, cette technique minimise l impact sur les riverains, l environnement et l activité économique en général. Photos : BEA

7 DIAGFLASH - Séminaire 1 7 AXES DE LA STRATÉGIE NATIONALE DE L EAU 1 Gestion de la demande en eau et valorisation de l eau 2 Gestion et développement de l offre 3 Préservation et protection des ressources d eau du milieu naturel et des zones fragiles Réduction de la vulnérabilité aux risques liés à l eau et adaptation aux changements climatiques Poursuite des réformes réglementaires et institutionnelles Modernisation des systèmes d information et renforcement des moyens et des compétences Recommandations Aménagement de l existant Il est au Maroc tout un réseau d infrastructures et d installations solides et pérennes qu il convient de réhabiliter, renouveler, structurer et sectoriser. Il n est en effet pas nécessaire de recourir systématiquement aux équipements neufs, souvent très coûteux ; Amélioration de la connaissance - Cartographie des sites de production, sources, bassins, réserves, etc., - Implémentation territoriale des Systèmes d information géographie (SIG) et promotion de la télégestion, - Classification en continu des risques liés à la déperdition des ressources, - Généralisation des Bases de données régionales exhaustives et détaillées - Production de statistiques détaillées et continues sur toutes les composantes de la gestion de l eau, quelle que soit l échelle territoriale retenue Uniformisation réglementaire des équipements Pour permettre une gestion intégrée des ressources hydriques, il convient de jeter les bases d une uniformisation des normes et standards requis pour les équipements hydrauliques des réseaux. Une initiative qui permettra un meilleur contrôle de la qualité de l eau ; Allégement de la pression sur les eaux souterraines L éradication de l hémorragie hydraulique des réserves souterraines commence par une mesure et un suivi continu des prélèvements effectués. Elle passe également par un renforcement des outils, moyens et procédés de suivi des prélèvements. Mais de manière générale, la préservation des eaux souterraines exige principalement une substitution des prélèvements sur la nappe par l utilisation des eaux de surface et l élaboration d un contrat de nappe, pour une participation de l ensemble des acteurs locaux ; Amélioration de la qualité de l eau D une région à une autre, d une ville voire d une zone urbaine à une autre, la qualité de l eau dépend des normes de traitement suivies et de la qualité des équipements installés. L élaboration d un canevas réglementaire (normes, standards), technique (moyens de production et de distribution, choix technologique dans les stations) et opérationnel (responsabilité des opérateurs, instance de contrôle et de suivi) est aujourd hui nécessaire pour généraliser la production d une eau de qualité sur tout le territoire national ; Renforcer le savoir-faire national Au niveau national, le déploiement progressif de la préférence nationale générera à l avenir un savoir-faire local synonyme de dépendance technologique. Au niveau régional, le rapprochement des centres de décision (Administrations, autorités locales, Agences publiques, etc.) des Ecoles et Universités permettra de mieux répondre aux spécificités locales des zones d intervention en matière de gestion intégrée de l eau. Source : ONEE - GIZ - EHTP «Si la pression sur les eaux souterraines se maintient, la région Fès-Meknès perdra ha de terres irrigables à l horizon Le déficit en eau passera sur la même période de 100 millions de m millions de m 3, en plus d une perte de 1 milliard Dhs/an et 3 millions de jour de travail par an. D où l intérêt d un contrat de nappes». Aziz Bouignane, Agence du Bassin Hydraulique du Sebou.

8 Retombées de Presse : Ressources hydriques : remueméninges autour du défi de l eau Le débat sur le défi de l eau n est pas près de se tarir. Et pour cause. Le déficit hydrique s accumule et les problématiques de gestion de l eau s accroissent et semblent résister aux solutions apportées. Radius, cabinet spécialisé dans l organisation de séminaires stratégiques, et BlueCap, spécialiste de l audit financier et la gestion des risques... Lire la suite sur Le Matin - 25/01/2014 Gestion durable de l Eau : La recette OCP Face à la tendance mondiale de concentration urbaine, les interrogations se multiplient par rapport à la durabilité des villes. A leur tête, la problématique de préservation de la ressource eau en termes de surcharge des systèmes d assainissement, de droit d accès à l eau et d impact sur les milieux récepteurs... Lire la suite sur L économiste - 30/01/2014 Cinq régions sont dans une situation de stress hydrique EIl n y a plus de doute, la question de l eau prend de plus en plus d ampleur au Maroc, comme en témoigne la tenue, ce 28 janvier, de la première journée d un séminaire stratégique sur l eau, organisé par le cabinet Radius et Blue Cap. Deux autres journées sont prévues en février... Lire la suite sur La Vie Eco - 31/01/2014 Gestion durable de l EAU. Interview d Abdeslma Ziyad, Chef de Division Planification Ministère délégué chargé de l Eau : AT : Pour commencer, ou se situe le Maroc par rapport au stress hydrique... Ecouter la suite sur Radius/Atlantic Radio - 28/01/2014

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