Réductionnisme : orages, ouragans et smog : Parties 1 et 2
|
|
- Jeannine Beaudin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Réductionnisme : orages, ouragans et smog : Parties 1 et 2 Nous avons dit au début du cours que la science cherche à découvrir les «règles du jeu» du monde matériel. Pour y arriver, les scientifiques supposent de façon presque universelle qu on peut comprendre un système par l étude de ses parties. Le projet du génome humain, «terminé» en 2003, est un exemple de cette attitude. L idée qui sous-tend ce projet est qu on peut réduire l être humain à ses gènes. La complexité de l être humain n est donc pas fondamentale; elle n est que le résultat de l expression d un nombre considérable de gènes (entre et ). Ce sont les gènes qui sont fondamentaux; si on réussit à identifier l ensemble des gènes de l espèce homo sapiens (le génome humain) et à comprendre comment ils fonctionnent, alors on saura tout sur le cancer, sur l alcoolisme, sur les criminels, sur le système immunitaire, etc. «s il fallait nommer l hypothèse la plus puissante de toutes, celle qui nous guide perpétuellement dans notre tentative pour comprendre la vie, nous dirions que tous les objets sont formés d atomes, et que tout ce que les objets vivants peuvent faire peut être compris à partir des mouvements d agitation et de vibration des atomes.» Richard Feynman, Prix Nobel de physique 1965
2 Le réductionnisme a eu beaucoup de succès. Il permet notamment une grande économie dans l étude du monde naturel parce que les mêmes règles servent à décrire des phénomènes en apparence très différents. Ainsi, en réduisant la circulation de l air à l étude d un vaste ensemble de parcelles d air, en réduisant la circulation océanique à l étude d un vaste ensemble de parcelles d eau, etc., l explication de tous ces phénomènes complexes tiendra dans les quelques règles qui gouvernent le mouvement des parcelles d un fluide. Le principe d Archimède est une de ces règles.
3 En pratique, le réductionnisme conduit à considérer la vie humaine comme vide de sens puisqu on doit tenter de la réduire à des réactions chimiques entre des molécules. On doit de même tenter de réduire l existence de cet ensemble complexe de réactions chimiques à l accumulation aléatoire, sur une très longue période, de petits changements dans des molécules très simples et à la sélection des réactions les mieux adaptées. Tout cela ayant lieu dans un vaste univers qu on doit tenter de réduire à un terrain de jeu pour des forces physiques qui obéissent à des règles impersonnelles. Steven Weinberg, Prix Nobel de physique 1979
4 Beaucoup de scientifiques (Jacques Monod, Richard Dawkins, Steven Weinberg, etc.) croient que cet ambitieux programme va se réaliser. Il est très important de dire que leurs souhaits devancent largement ce qu on sait actuellement de toutes ces choses. D autres scientifiques croient plutôt que le réductionnisme a son utilité, mais que celle-ci est limitée. P.W. Anderson, un physicien qui étudie les matériaux, pense que des propriétés totalement neuves et inattendues émergent quand on combine ensemble un grand nombre de pièces simples. Il a intitulé un article célèbre «Plus est différent». On peut aussi adopter le point de vue que découvrir les règles du jeu ne nous dit rien sur le sens de ces règles. Au biochimiste Jacques Monod, qui expliquait comment nos gènes déterminent tout ce que nous sommes, mère Teresa a simplement répondu «Je crois en l amour et en la compassion». Philip Anderson, Prix Nobel de physique 1977 Jacques Monod, Prix Nobel de physiologie et médecine 1965
5
6 Réductionnisme : orages, ouragans et smog 1. Quelques idées de base Si vous imaginez l atmosphère comme un tout complexe, vous pourrez difficilement comprendre les mouvements de l air qui donnent naissance à certains risques naturels, comme les orages, les ouragans et le smog. Si les échanges entre les différentes parties de l atmosphère se font assez lentement, on peut diviser en imagination l atmosphère en parcelles. Voyons comment ces parcelles se comportent. Pression et température d une parcelle 1. Le premier facteur qui détermine l état d une parcelle d air c est la pression. Imaginons un très haut tube ouvert au sommet et divisons l air en tranches horizontales contenant la même quantité d air (1 kg d air, par exemple). La pression sur une parcelle est alors le poids de toutes les parcelles qui sont au-dessus d elle et qui l écrasent. La pression est maximale au sol et diminue avec l altitude. Pourquoi a-t-on dessiné la parcelle A moins haute que la parcelle B? B une parcelle A Chaque parcelle d air se comporte comme un ressort qui se comprime quand on l écrase. Comme la parcelle A supporte un plus grand poids que la parcelle B, elle doit s écraser plus pour supporter cette pression. [La rigidité du «ressort» est telle que si la parcelle B est située à 85 m au-dessus de la parcelle A, son volume est plus grand de 1 %.]
7 2. Chaque parcelle possède aussi une température. La façon dont cette température varie avec l altitude dépend des gains et des pertes de chaleur. Prenons l exemple d une semaine d été avec un ciel dégagé et de l air sec. La troposphère (les premiers 9 à 18 km d air) est alors essentiellement transparente aux rayons du Soleil et au rayonnement émis par le sol. C est le sol, qui se réchauffe le jour et se refroidit la nuit, qui contrôle alors la température de la troposphère depuis le bas. La température varie alors durant une journée comme le montre la figure. O -1 C/100 m température t température t le sol est de plus en plus froid le sol est de plus en plus chaud Expliquez en vos propres mots pourquoi pendant la nuit la tendance observée en fin de journée (de plus en plus froid en montant) s inverse (de plus en plus chaud en montant). Pendant la nuit le sol ne reçoit plus de chaleur du Soleil et il se refroidit par rayonnement (en émettant du rayonnement infrarouge notamment). L air en contact avec le sol se refroidit donc aussi. Avant que ce refroidissement atteigne l air situé plus en altitude, réchauffé par le sol pendant le jour précédent, on a donc une situation où la température augmente avec l altitude.
8 Masse volumique d une parcelle et principe d Archimède 3. Une parcelle possède finalement une certaine masse volumique. Celle-ci dépend de la pression exercée sur la parcelle et de sa température. Une parcelle chaude supporte mieux la pression qu une parcelle froide, elle occupe donc un plus grand volume et sa masse volumique est plus petite. Montrez avec le principe d Archimède qu une parcelle aura tendance à monter si elle est plus chaude que ses voisines immédiates soumises à la même pression qu elle. même pression sur les 2 parcelles froide chaude À pression égale, de deux parcelles, c est la plus chaude qui a la plus petite masse volumique. D après le principe d Archimède, la parcelle plus chaude aura tendance à s élever dans l air de plus grande masse volumique qui l entoure.
9 4. Supposons que la parcelle d air de la question 3 monte assez rapidement pour ne pas avoir le temps de s adapter à la température des parcelles qu elle rencontre. Parce que la parcelle est soumise à une pression décroissante, elle prend de plus en plus de volume. Mais prendre du volume refroidit toujours un gaz. Pour de l air sec, le refroidissement est de 1 O C par 100 m. D après Archimède, la parcelle pourra continuer à monter seulement si, malgré ce refroidissement, elle reste plus chaude que les couches d air qu elle traverse. Montrez que dans les conditions qui règnent au lever du jour dans l exemple de la question 2, la parcelle ne pourra pas continuer à monter. Au lever du jour, la température augmente avec l altitude. La parcelle qui monte, elle, se refroidit avec l altitude. Même si, au départ, elle est plus chaude que l air qui l entoure, elle aura à une certaine hauteur la même température que l air ambiant. La parcelle se stabilisera à cette hauteur parce qu elle tend à retomber quand elle la dépasse (elle est alors plus froide que l air ambiant et elle a une plus grande masse volumique).
10 5. Parce que les parcelles ne réussissent pas à se déplacer verticalement, l atmosphère au lever du jour est dite stable. Dans l exemple de la question 2, la situation est bien différente en après-midi parce que la température près du sol décroît alors de plus que 1 O C par 100 m. Montrez que l atmosphère est alors instable, c est-à-dire qu une parcelle d air sec que quelque chose force à monter un peu va continuer à le faire par ses propres moyens. Prenez l exemple suivant : l air au sol est à 25 O, mais la parcelle qui se trouve juste au-dessus d un grand stationnement est à 28 O C ; la température de l air à 500 m est de 15 O C. Montrez que la parcelle au-dessus du stationnement pourra monter jusqu à 500 m. O 15 C, 500 m O 25 C C O La parcelle pourra monter à 500 m si sa température reste supérieure à 15 O C. Comme elle se refroidit de 1 degré par 100 m, sa température sera de (28-5 x 1) O C = 23 O C à 500 m. Il n y a donc pas de problème.
11 En après-midi, l air est donc très agité et la troposphère subit un important brassage qui tend à créer, si on lui en laisse la chance, une diminution de température avec l altitude de 1 O C par 100 m. Dans ce cas, l air est dit neutre parce qu une parcelle soulevée tend simplement à rester à sa nouvelle hauteur. L air atteint cet état en soirée, quand le chauffage par le Soleil diminue et que se fait la transition entre l instabilité de l après-midi et la stabilité de la nuit. O -1 C/100 m température t température t le sol est de plus en plus froid le sol est de plus en plus chaud
12 2. Le pouvoir de l eau Un orage c est essentiellement une grande quantité d air, au départ chaud et humide, qui monte rapidement à une dizaine de kilomètres de hauteur. Le refroidissement qui accompagne cette montée permet à la vapeur d eau de former des cristaux de glace. Quand le courant d air ascendant ne peut plus supporter le poids de cristaux de plus en plus gros, ceux-ci tombent en entraînant avec eux un peu de l air froid présent à ces hauteurs. Nous allons examiner ce qui fait fonctionner ces courants.
13 Orage de chaleur 1. Il existe différentes façons d amorcer le courant ascendant. Par une belle journée ensoleillée, la surface du sol n absorbe pas également les rayons du Soleil. Il se forme donc constamment, au contact du sol, des parcelles d air un peu plus chaud que la moyenne. Parce que leur masse volumique est plus faible, ces parcelles commencent à monter. Leur ascension ne peut cependant se poursuivre que si l atmosphère est instable, c est-à-dire si sa température diminue assez rapidement. Rappelez pourquoi cela est nécessaire. Parce que la parcelle d air plus chaud va se dilater et refroidir en s élevant. Comme elle doit demeurer plus chaude que l air ambiant pour continuer sa montée, la température de l atmosphère doit diminuer plus vite que le taux de refroidissement.
14 2. La condition d instabilité de l air est adoucie par une propriété importante de l eau. Vous avez déjà remarqué que l évaporation de l eau sur votre peau la refroidit. En contrepartie, la vapeur qui condense sur un miroir de salle de bain le réchauffe. Quand une parcelle d air humide prend de la hauteur et se dilate, elle finit par devenir assez froide pour que sa vapeur d eau commence à condenser et forme un nuage. À partir de ce moment, la chaleur libérée par la condensation ralentit le refroidissement de la parcelle. Montrez que cela lui permet de continuer à monter dans des conditions où de l air sec ne pourrait pas le faire. Supposez que l air sec se refroidit de 10 O C par km, que l air humide qui condense se refroidit de 6 O C par km et que la température de l atmosphère diminue de 8 O C par km. Comme nous venons de le dire à la question 1, l atmosphère doit se refroidir plus vite que la parcelle qui monte. Si l atmosphère perd 8 C par km, de l air sec, qui en perd 10, deviendra inévitablement plus froid que l air ambiant. Mais de l air humide qui condense n en perd que 6 et il restera toujours plus chaud que l air ambiant et continuera à monter.
15 3. Le courant ascendant, si vous examinez la photographie à la page précédente, semble se buter à une frontière infranchissable. Cette frontière est due à un changement dans la façon dont la température varie avec la hauteur. La première couche de l atmosphère, la troposphère, est chauffée par le bas par le sol qui absorbe le rayonnement solaire. La couche suivante, la stratosphère, est chauffée par le haut par la couche d ozone qui absorbe la partie ultraviolette du rayonnement solaire. Cela donne, en moyenne, la variation de température montrée sur la figure. Pourquoi une parcelle chaude qui monte ne peut-elle pas franchir la frontière entre la troposphère et la stratosphère? stratosphère troposphère frontière température t Comme la température de la stratosphère ne diminue pas avec la hauteur, c est une couche stable (question 5 précédente) que la parcelle qui monte ne peut franchir. En effet, cette parcelle se refroidit en montant et elle deviendra inévitablement plus froide que l air ambiant, ce qui la fera retomber.
16 Le courant descendant obéit à la logique inverse du courant ascendant : c est un air plus froid que l air ambiant qui tombe; il se réchauffe en se contractant, mais il demeure toujours plus froid que l air ambiant; il est aidé en cela par l évaporation de l eau qu il contient qui le refroidit. m/tornadoes/1997/1997.ht ml Tornade Courant descendant refroidi par évaporation Courants dans une cellule orageuse réelle ayant créé une tornade.
17 L énergie d un ouragan 4. Bien que les courants d air d un ouragan et d un orage soient différents, les deux phénomènes sont intimement liés et ont le même type de «moteur» à air chaud et humide. Les ouragans ont besoin d une quantité si énorme d air chaud et humide qu ils ne se forment qu au-dessus des mers chaudes (plus de 26 C sur au moins 50 m de profondeur; évaporation quotidienne d une dizaine de cm d eau sur un rayon de quelques centaines de km). Le «moteur» fonctionne ainsi : l air en contact avec la mer se réchauffe et se charge de vapeur d eau ; cet air chaud et humide monte dans l atmosphère en autant qu il reste toujours plus chaud que l air ambiant (atmosphère instable); quand le courant ascendant est assez froid, la vapeur d eau condense, forme des nuages et libère de la chaleur qui favorise encore plus la montée du courant. Montrez que la source ultime de l énergie d un ouragan est le Soleil. Un moteur à air chaud et humide a besoin de chaleur et d humidité. C est le Soleil qui chauffe l eau de la mer, qui chauffe à son tour l air de surface. C est la même chaleur solaire qui évapore l eau de mer et qui charge l air de vapeur d eau.
18 5. Quand un ouragan touche terre ou qu il se déplace vers des régions plus froides de la mer, il perd rapidement de sa vigueur. Pourquoi? Parce qu il est privé de la source d énergie que nous venons de décrire, l eau de mer chaude qui s évapore.
19 6. L oeil (plus ou moins bien développé) d un ouragan est une zone sans nuages, sans pluie et aux vents faibles. Pourquoi l existence de l oeil doit-elle porter les habitants d une région touchée par un ouragan à se méfier quand, après les vents furieux et la pluie abondante, tout se calme? Le calme peut signifier que l ouragan est passé, mais il peut aussi résulter du fait qu on se trouve dans l oeil de la tempête. Dans ce cas, le retour des vents violents et du déluge de pluie ne saurait tarder. Le vent est maximal dans le mur de l oeil.
Science et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailB- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements
B- Météorologie Nuages Brouillard Les brouillards côtiers sont du type: R : brouillard d'advection Il y a brouillard dès que la visibilité est inférieure à: R : 1 km Les facteurs favorisant l'apparition
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailDEMYSTIFIONS L EMAGRAMME, LE «TEMP» ET L ECHAUFFEMENT DE L ATMOSPHERE, première partie.
DEMYSTIFIONS L EMAGRAMME, LE «TEMP» ET L ECHAUFFEMENT DE L ATMOSPHERE, première partie. Après parution de mon article sur les modèles numériques dans le «Swiss Glider» d avril, qui parlait entre autres
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailMETEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM
METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air
Plus en détailUne introduction aux chauffe-eau solaires domestiques
Une introduction aux chauffe-eau solaires domestiques Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet de l utilisation de l énergie solaire afin de produire de l eau chaude domestique,
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailDescription du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle.
Description du système Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. La vitesse de la pompe varie de façon à ce que la température de l eau qui reparte vers le poêle soit toujours de 60 C. Le débit
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailACTIVITÉ. Configuration de la pression en surface. Matériel. Pointage et analyse de la pression aux stations sur cartes météorologiques.
ACTIVITÉ Configuration de la pression en surface Lorsque vous aurez complété cette activité, vous devriez être en mesure de : Dessiner des lignes d'égale pression (isobares) pour présenter la configuration
Plus en détailaoût La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel
août La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel Bienvenue Tribond - La danse de la pluie L oeil dans la météo A yous que la météo fit dans mon programme Météo everywhere
Plus en détailPrincipe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.
Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailColloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer
Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/
Plus en détailL'atmosphère est subdivisée en plusieurs couches qui ont pour nom troposphère, stratosphère, mésosphère et thermosphère.
L'ATMOSPHERE N 1 Def : enveloppe gazeuse qui entoure la terre, sur quelques centaines de kilomètres Répartition verticale : Le gaz se raréfie avec l'altitude. 99% de la masse totale de l'atmosphère se
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailStockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique
Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailLE PLANCHER CHAUFFANT BASSE TEMPERATURE
L'énergie est notre avenir, économisons-la! LE PLANCHER CHAUFFANT BASSE TEMPERATURE L avis des Experts Economies d énergie : + Répartition homogène de la température et confort optimal. + Gain d espace
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailLe séchage des ateliers :
Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr
Plus en détailNotions de base sur l énergie solaire photovoltaïque
I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d
Plus en détailUn accueil de qualité :
Un accueil de qualité : Mercredi 08 Juin 2011, dans l après-midi, notre classe de 3 ème de Découverte Professionnelle s est rendue sur le site de THALES ALENIA SPACE à CANNES LA BOCCA. Nous étions accompagnés
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailSystème d énergie solaire et de gain énergétique
Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailQu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle
Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. Durant la vie de l
Plus en détailA V A N T - P R O J E T 30. 07. 08
ROBOSPHERE en quelques mots _Le bâtiment robosphère s apparente, de par son volume et sa matérialité, aux bâtiments industriels alentours, tout en se distinguant du tissu bâti avoisinant par la présence
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailSystèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage
Systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet des systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage (SRCED) et: Comment
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailEnergie solaire www.euroclima.fr
Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailLe nouveau programme en quelques mots :
Le nouveau programme en quelques mots : Généralités Le programme est constituéde trois thèmes qui doivent tous être traités. L ordre de traitement des trois thèmes est libre, tout en respectant une introduction
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailAIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES
Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation
Plus en détailDROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire
DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailLe chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs
Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailVariantes du cycle à compression de vapeur
Variantes du cycle à compression de vapeur Froid indirect : circuit à frigoporteur Cycle mono étagé et alimentation par regorgement Cycle bi-étagé en cascade Froid direct et froid indirect Froid direct
Plus en détailService correctionnel du Canada Direction des services techniques Systèmes électroniques NORMES EN ÉLECTRONIQUE
Service correctionnel du Canada Systèmes électroniques SE/NE-0401 Révision 1 NORMES EN ÉLECTRONIQUE SYSTÈME DE DÉTECTION À LA CLÔTURE SYSTÈME PÉRIMÉTRIQUE DE DÉTECTION DES INTRUSIONS Préparé par : Approuvé
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détail5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant.
FICHE TECHNIQUE 120-1.4 07.21.13.13 1 Nom du produit ISOFOIL 2 Manufacturier ISOFOIL est fabriqué par Groupe Isolofoam, entreprise québécoise et important manufacturier de produits isolants depuis plus
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailFiche de lecture du projet de fin d étude
GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &
Plus en détailQ U E S T I O N S. 2/ Le soleil nous procure (plusieurs réponses correctes) De la lumière De l énergie Du feu De la chaleur De la pluie
1 Q U E S T I O N S 1/ Le soleil est : Une étoile Une planète 2/ Le soleil nous procure (plusieurs réponses correctes) De la lumière De l énergie Du feu De la chaleur De la pluie 3/ Le soleil tourne-t-il
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailEau chaude - électricité
Eau chaude - électricité Depuis 75 ans, «Bulex» est la marque belge par excellence en chauffage, production d eau chaude et ventilation. Au fil de toutes ces années, nous avons acquis un savoirfaire considérable.
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailLA MAISON ECOCITOYENNE ITINERANTE
LA MAISON ECOCITOYENNE ITINERANTE LIVRET D'ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE Passer de citoyen témoin à citoyen acteur en intégrant la préservation de l environnement au quotidien, c est utile et c est possible
Plus en détailLA MESURE DE LA PRESSION
LA MESURE DE LA PRESSION La mesure de la pression s effectue à l aide d un baromètre. Il s agit d un instrument permettant de repérer la pression de l atmosphère dans laquelle il se trouve et ses variations
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailMETEO n 1. !"#$%$&$'%() enveloppe gazeuse qui entoure la terre, sur quelques centaines de kilomètres. ( ( ( ( ( (
n 1 "#%&'()*+,+ L atmosphère "#%&'%() enveloppe gazeuse qui entoure la terre, sur quelques centaines de kilomètres. ( ( ( ( ( ( *"+,-&&'%(./-&0,1/() Le gaz se raréfie avec l'altitude. 99% de la masse totale
Plus en détailParcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer
Complétez le schéma de gestion des déchets nucléaires en vous aidant du panneau, les surfaces des cercles sont proportionnelles à leur importance Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ
Plus en détail1 Mise en application
Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau
Plus en détailWhitepaper. La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur. Système de régulation. Réacteur. de température
Whitepaper Mettre en température économiquement La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur La mise en température de réacteur dans les laboratoires et les unités pilotes de l industrie
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détail40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère.
«Consommer moins en consommant mieux» 40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. Maîtriser notre consommation en électricité, c est nous engager à adopter des gestes
Plus en détailLa vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août
La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailLe nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement
Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailFORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE)
FORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE) Pierre Chastenay astronome Planétarium de Montréal Source : nia.ecsu.edu/onr/ocean/teampages/rs/daynight.jpg
Plus en détailA. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire
Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailRapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair
N ISBN : 978-2-11-098012-0 Rapport sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair Bureau d Enquêtes et d Analyses
Plus en détailLE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE
LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE Enseignement : 1 ère STL Mesures et instrumentation Thème : Instrumentation : Instruments de mesure, chaîne de mesure numérique Notions et contenus :
Plus en détailÉconomisons l énergie! 11
Économisons l énergie! 11 Objectifs Prendre conscience de sa consommation d énergie. Maîtriser sa consommation d énergie afin de réduire l émission de gaz à effet de serre (mettre en place gestes et actions).
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailÉconomie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante
Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détailSTANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE
, ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.
Plus en détailGénéralités. Front froid
Apprendre : Les masses d'air, les fronts Tester : Les dictons Pratiquer : Prévoir le temps Prévoir : Les dictons mois par mois Généralités Deux masses d'air de température différente qui se rencontrent,
Plus en détailGrille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes).
Grille de planification Expédition météo Spécialiste de l atmosphère Spécialiste des vents Spécialiste des nuages Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10
Plus en détailRépondre à vos besoins en matière de surveillance extérieure. Des solutions de caméras réseau hautes performances pour toutes les conditions
Répondre à vos besoins en matière de surveillance extérieure. Des solutions de caméras réseau hautes performances pour toutes les conditions extérieures. Lorsque les conditions sont rudes... Les villes,
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailPropriétaire Ville de Fort Saskatchewan, Alberta Année de construction 2004 Superficie totale (empreinte au sol) 10 220 m 2 (110 000 pi 2 )
Profil de projet d innovation technologique en réfrigération PARB PROGRAMME D ACTION EN RÉFRIGÉRATION POUR LES BÂTIMENTS Centre multiloisirs Dow Centennial Centre (Alberta) CONSTRUCTION NEUVE Sommaire
Plus en détailproduit La chaudière en fonte monobloc Chaudière basse température et à condensation Weishaupt Thermo Unit-G
produit Information sur les chaudières fontes au sol La chaudière en fonte monobloc Chaudière basse température et à condensation Weishaupt Thermo Unit-G Weishaupt Thermo Unit G Le chauffage en toute simplicité
Plus en détailFORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE
Comment une étoile évolue-t-elle? Comment observe-t-on l'évolution des étoiles? Quelques chiffres (âges approximatifs) : Soleil : 5 milliards d'années Les Pléiades : environ 100 millions d'années FORMATION
Plus en détailSMA Solar Technology AG Avenir Solaire pour les enfants. À la maison
À la maison Combien d énergie consommons-nous réellement à la maison? Comment la mesurer? Solarine et L Ourson Soleil vont te donner quelques astuces pour faire des économies d énergie chez toi, afi n
Plus en détail