Le développement moteur des 0-9 ans

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le développement moteur des 0-9 ans"

Transcription

1 Le point sur des 0-9 ans Information nécessaire pour aider les partenaires locaux, régionaux et nationaux à passer à l action. L ensemble des fiches thématiques constituera la base d outils d intervention complémentaires au Plan stratégique, à la Plateforme et à l Alignement stratégique de Québec en Forme.

2 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 1 PSYCHOMOTRICITÉ ET DÉVELOPPEMENT MOTEUR... 1 ÉTAT DE SITUATION DE QUÉBEC EN FORME... 2 LA PRATIQUE D ACTIVITES PHYSIQUES CHEZ LES 0-9 ANS... 3 DES ENVIRONNEMENTS FAVORABLES A METTRE EN PLACE... 3 Dans les services de garde éducatifs... 3 Dans le milieu scolaire (écoles et service de garde)... 4 Dans le milieu municipal, communautaire et associatif... 5 VISION DE CHANGEMENT... 6 INTERVENTIONS BASEES SUR DES DONNEES PROBANTES ET SUR DES PRATIQUES PROMETTEUSES... 7 DEVELOPPEMENT DES COMPETENCES DU JEUNE PAR L AUGMENTATION DU TEMPS ACTIF AU QUOTIDIEN, GRACE A UNE VARIETE D EXPERIENCES MOTRICES ET DE CONTEXTES DE PRATIQUE... 7 Offrir des occasions d apprentissages et d expérimentation par le jeu... 7 QUALIFICATION DES INTERVENANTS... 7 ACCESSIBILITE A L OFFRE DE SERVICE... 8 NORME SOCIALE... 8 UNE MULTITUDE DE LEVIERS DISPONIBLES... 9 POLITIQUES ET PROGRAMMES... 9 PORTRAIT... 9 CAMPAGNE... 9 AUTRES LEVIERS ET SOURCES D INFORMATION... 9 CONSTATS PISTES D ACTION PERSPECTIVES RÉFÉRENCES Québec en Forme,

3 INTRODUCTION L enfant est un «être moteur». Il est le premier agent de son développement. Un enfant apprend d abord spontanément, en expérimentant, en observant, en imitant et en parlant avec les autres, grâce à sa propre motivation et à ses aptitudes naturelles. L adulte guide et soutient cette démarche qui conduit à l autonomie. Le développement de l enfant est un processus global et intégré aux dimensions affective, physique et motrice, sociale et morale, cognitive et langagière, lesquelles sont sollicitées à des degrés divers dans le cadre de ses apprentissages. De ce fait, la petite enfance et l enfance sont des périodes charnières d apprentissage. Outre leur impact indiscutable sur le développement physique et moteur, les activités motrices peuvent avoir des effets bénéfiques sur les dimensions affectives, sociales et morales, cognitives et langagières du développement de l enfant. Ces effets ne seront ici que survolés, mais nous vous suggérerons de consulter d autres fiches thématiques où ils sont approfondis. Psychomotricité et développement moteur D entrée de jeu, il s avère pertinent de différencier les termes psychomotricité et développement moteur, afin de démontrer que le développement moteur de l enfant doit se faire de façon quotidienne, dans des environnements stimulants et que, si l intervention d un spécialiste peut compléter l offre, elle ne devrait pas être la seule option à privilégier. La psychomotricité regroupe l ensemble des fonctions motrices qui sont en lien direct ou indirect avec la pensée et les fonctions affectives. Dans le présent document, nous avons omis l utilisation du terme psychomotricité, d abord parce qu il réfère à un mode d intervention plutôt qu à un processus de développement, ensuite parce qu il est régulièrement associé, à tort ou à raison, au travail d un spécialiste (intervenant en psychomotricité, ergothérapeute, kinésiologue, éducateur physique, etc.). L acquisition des habiletés motrices est à la base du développement moteur. Ce dernier est un processus de transformation continu et séquentiel qui débute avant la naissance et se poursuit pendant de nombreuses années à un rythme qui est propre à chaque individu. Ce processus lui permet de développer ses habiletés de motricité globale (ramper, marcher, courir, gambader, se tenir en équilibre, attraper, lancer, botter, etc.) et ses habiletés de motricité fine (saisir un objet, manipuler, utiliser un crayon, etc.). L ensemble de ses habiletés lui permet d explorer, d interagir avec son environnement et de s y adapter. De plus, il lui permet d affiner le contrôle qu il exerce sur son corps (son tonus musculaire, sa posture, la coordination de ses membres, son équilibre, etc.) tant en termes de motricité globale que de motricité fine. Les spécialistes du développement de l enfant reconnaissent aujourd hui l importance de s attarder prioritairement au développement des habiletés motrices ainsi qu à la pratique régulière d activités physiques. Car, durant l enfance, les habiletés motrices sont associées à la pratique d activités physiques, signe que l enfant est actif. Ces deux éléments, intimement liés, peuvent influencer positivement le développement global de l enfant ainsi que certains facteurs déterminants de la réussite scolaire et éducative, notamment la concentration et l attention qui sont des prérequis à l apprentissage de la lecture, de l écriture et des mathématiques. 13 Ils constituent également les assises de l apprentissage des habiletés sportives et motrices complexes. 1

4 Par ailleurs, selon plusieurs études, les habiletés motrices acquises pendant l enfance seraient un facteur de «prédictabilité» d un mode de vie physiquement actif à l adolescence et à l âge adulte. 7 ÉTAT DE SITUATION DE QUÉBEC EN FORME Dès sa création, en 2002, Québec en Forme reconnaît la nécessité d agir tôt en ce qui a trait au développement moteur de l enfant. Ce constat découle en grande partie d une consultation menée par la Fondation Lucie et André Chagnon auprès de la communauté scientifique, et au cours de laquelle des retards importants quant au développement moteur des jeunes québécois ont été mis en évidence. Rapidement, cette préoccupation est partagée par les communautés locales. L intervention auprès des enfants y est balisée, expérimentée et évaluée dans le cadre d un programme d enrichissement psychomoteur, sous la supervision de l équipe de Claude Dugas de l Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Un suivi pré et postintervention dans 16 écoles primaires révèle que des retards, tant sur le plan de la motricité globale que de la motricité fine, peuvent être comblés par l intervention d un spécialiste chez les enfants de cinq ans. Toutefois, Québec en Forme se permet de revoir, avec ses partenaires locaux, sa stratégie initiale auprès des communautés. Cette stratégie consistait à mettre sur pied un réseau de ressources externes en psychomotricité pour répondre au besoin de bouger des enfants d âge préscolaire. La préoccupation du développement moteur demeure bel et bien présente à Québec en Forme qui souhaite toutefois qu elle soit également ancrée dans les milieux, afin que les stratégies et actions explorées présentement permettent à tous les paliers local, régional et provincial d identifier les freins à la pratique quotidienne d activités physiques qui nuisent au développement moteur, et d agir en conséquence. Certains regroupements, issus du premier mandat de Québec en Forme ( ), privilégient toujours l intervention de ressources externes comme, des intervenants en psychomotricité. Selon les données de l évaluation de performance de Québec en Forme, les jeunes des écoles situées sur le territoire de ces regroupements sont plus nombreux à avoir des habiletés motrices qualifiées de bonnes à excellentes, comparativement aux jeunes des écoles situées sur le territoire des regroupements créés pendant le nouveau mandat ( ). Donc, ces données nous indiquent qu une intervention en développement moteur est bénéfique, mais que cette intervention bénéfique pourrait être portée et partagée entre d autres ressources comme, les enseignantes, les éducateurs physiques et les éducatrices en service de garde. En 2010, plus du quart des budgets (3,3 M$) alloués au palier local par Québec en Forme étaient consacrés au développement moteur des enfants de 4 à 7 ans. L approche préconisée maintenant, dont l objectif est d agir sur les environnements (cadres, règles, formation des intervenants auprès des jeunes, etc.), nécessite la collaboration, la participation des acteurs régionaux et nationaux qui, eux aussi, s investissent dans la recherche de solutions justifiant les investissements (de près de 3 M$) de Québec en Forme à ces paliers en Malgré les nombreux investissements des dix dernières années, l état le développement moteur des jeunes québécois de 6 à 12 ans demeure préoccupant. 2

5 La pratique d activités physiques chez les 0-9 ans ainsi que la pratique quotidienne d activités physiques chez les 0-9 ans sont des sujets qui rejoignent les différents milieux de vie fréquentés par les jeunes. La multiplicité de ces milieux de vie et le nombre d intervenants concernés, combinés au temps considérable passé par les jeunes dans ces milieux, viennent mettre en évidence toute l importance de l offre de service faite aux jeunes, de son encadrement et des messages et valeurs qui y sont véhiculés. Les recherches nous révèlent également ce qui suit : Sur la base de leur statut économique, il n y a pas de différence significative dans la perception qu a le jeune de ses habiletés motrices (Enquête jeunes Propel QEF). Par contre, dans la presque totalité des tests d habiletés motrices, les jeunes issus de milieux défavorisés obtiennent des scores moins élevés. Les différences significatives varient de 7 % à 22 % dépendamment des tests. 15 Une famille canadienne sur trois n'a pas les moyens d'inscrire ses enfants à des activités sportives et récréatives organisées. 10 De 3 à 5 ans, les enfants qui ont de bonnes habiletés motrices sont plus actifs que leurs camarades qui ont de moins bonnes habiletés. 20 Le recours au jeu libre, qui favorise la créativité, est en baisse au profit des activités encadrées. 8 Le «patron de pratique» observé durant l enfance se perpétue à l adolescence, et le manque d habileté est identifié comme un déterminant de l abandon de la pratique d activités physiques et sportives. 8 Le dernier bulletin de Jeunes en forme Canada 2012 nous indique de plus que : les enfants d âge préscolaire qui jouent à l extérieur au moins deux heures par jour sont de loin les plus susceptibles de satisfaire aux directives en matière d activité physique; 46 % des enfants s adonnent à trois heures ou moins de jeux actifs par semaine; 63 % du temps libre après l école et pendant les fins de semaine est consacré à des activités sédentaires; 74 % des enfants de la 4 e à la 6 e année choisiraient de faire quelque chose «d actif» après l école, s ils en avaient la possibilité; 92 % d entre eux ont précisé qu ils choisiraient de jouer avec des amis plutôt que de regarder la télévision. Des environnements favorables à mettre en place Dans les services de garde éducatifs Différents milieux de garde accueillent les enfants de 0 à 5 ans : centre de la petite enfance (CPE), services de garde en milieu familial, milieux de garde subventionnés ou non subventionnés. Nous n avons pas de données nous permettant d établir un portrait de l ensemble des milieux de garde et ainsi dire que les réalités sont les mêmes pour tous. Par contre, les données amassées nous éclairent sur celui des centres de la petite enfance (CPE) et nous permettent de penser que les réalités doivent être très différentes d un milieu à l autre. Ainsi : 65 % des enfants de 0 à 4 ans fréquentent un milieu de garde. Ce qui signifie que le tiers des enfants de 0 à 4 ans ne fréquentent aucun milieu de garde; cette proportion est généralement plus élevée dans les milieux défavorisés; 1 3

6 2,4 % des CPE ont une politique favorisant le développement moteur, et 33 % affirment avoir des lignes directrices; 16 30,4 % des CPE mentionnent avoir une entente avec une autre organisation pour avoir accès à des installations ou à des équipements favorisant le développement moteur; 16 32,4 % des CPE ont une plage horaire réservée aux activités intérieures de développement moteur pour les plus de 18 mois, et 17,5 % pour les poupons; 16 le tiers des éducatrices affirment ne pas être fortement motivées à faire bouger les enfants au moins deux heures par jour et, pour un grand nombre d entre elles, faire bouger les enfants ne constitue pas un objectif important. 8 32,7 % des CPE ont des ressources internes pouvant conseiller leur personnel en matière de saine alimentation ou de développement moteur. Plus de la moitié des CPE (60,9 %) ont accès à des ressources externes. 16 Les attitudes des intervenants, ainsi que leur compréhension parfois incomplète de l importance du développement moteur, sont des barrières relativement universelles aux changements des pratiques dans les milieux de garde et les milieux scolaires. 8 Bien que les intervenants soient assez unanimes sur la nécessité de faire bouger les enfants, certains manquent de temps pour s approprier les contenus. D autres évitent de s investir par manque de confiance ou de compétences. 8 Dans le milieu scolaire (écoles et service de garde) La Loi sur l instruction publique oblige l ensemble des écoles à offrir l éducation physique et à la santé comme matière obligatoire. Par contre, le temps prévu pour cette matière l est à titre indicatif (deux heures par semaine pour le primaire). Au préscolaire, il n y a pas de temps recommandé en éducation physique, mais une enveloppe budgétaire est disponible. La responsabilité de développer la compétence «Agir avec efficacité dans différents contextes sur le plan sensoriel et moteur» revient au titulaire de classe et non à l éducateur physique. Toutefois, la formation universitaire en enseignement préscolaire et primaire permet très peu aux futurs titulaires d acquérir des connaissances et des compétences leur permettant d assumer cette responsabilité. La Politique-cadre «Pour une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif» propose d utiliser plusieurs moments de la journée scolaire pour faire bouger les élèves : les pauses et les récréations (au primaire), les périodes sous la responsabilité du service de garde (au primaire), la période du dîner et les activités parascolaires. Il est à noter que 86 % des écoles primaires offrent un service de garde. 2 On sait aussi que : plus de 80 % des enfants (dans certains cas) fréquentent les services de garde un minimum de trois jours par semaine, à raison d au moins 2 h 30 par jour; % des services de garde offrent aux jeunes des occasions de faire de l activité physique. Peu d entre eux utilisent la période avant les classes % des écoles favorisent la pratique d activités physiques pendant la période du dîner; 35 % des écoles offrent des activités parascolaires; 2 67 % des écoles favorisent l activité physique lors des pauses et des récréations. Mais, il semblerait que ces dernières seraient également de plus en plus menacées par la vision des adultes, qui croient que ce temps libre serait mieux employé s il était consacré à des périodes d étude. 2 4

7 Dans le milieu municipal, communautaire et associatif Infrastructures Le nombre d infrastructures de loisirs qui favorisent la pratique d activités physiques récréatives et sportives (parcs, piscines, terrains de jeux, arénas, etc.) est moins élevé dans les quartiers plus défavorisés, et il est encore plus bas dans les milieux ruraux. 16 La diversité des infrastructures de loisirs est moins grande dans les milieux ruraux que dans les milieux urbains. 16 Intervention Selon le CQL (Conseil québécois du loisir), le Québec compte plus de animateurs qui travaillent auprès d environ jeunes (camps de jour, camps de vacances, scoutisme, activités communautaires, etc.). Malgré un volet développement moteur dans la formation DAFA (diplôme d aptitude aux fonctions d animateur) du CQL, ces animateurs sont souvent peu expérimentés en développement moteur. À propos du DAFA, soulignons que : 126 municipalités sont des organismes locaux agréés (OLA) et, qu à ce titre, elles sont autorisées à donner la formation DAFA; 553 formations pour l obtention du DAFA ont été offertes depuis son implantation à l été 2009; près de animateurs ont suivi cette formation qui comporte un volet théorique et un volet pratique (stage); 65 % des animateurs ont moins de 20 ans, dont 6 % moins de 16 ans. Pour des informations plus spécifiques au milieu associatif, consultez la fiche thématique sur ce sujet. 5

8 VISION DE CHANGEMENT Ce schéma illustre comment les objectifs et les stratégies de Québec en Forme sont susceptibles d augmenter la proportion de jeunes qui, à 9 ans, ont des habiletés motrices moyennes à excellentes en fonction des normes établies en 2010, et ce, particulièrement dans les milieux défavorisés. En clair, il importe d augmenter la pratique d activités physiques des enfants en leur redonnant du temps et un accès à une diversité d occasions d explorer et de bouger dans tous leurs milieux de vie, ainsi qu en les entourant de gens qualifiés qui reconnaissent l importance du jeu et de l activité physique au quotidien. Des gens qui, eux-mêmes, se voient comme des modèles et qui s engagent à mettre les conditions en place afin de favoriser cet accès pour le jeune et sa famille. L augmentation de la pratique d activités physiques qui s ensuivra favorisera le développement des habiletés motrices qui, elles, constitueront les assises de l apprentissage des habiletés sportives et motrices complexes. Les sentiments de compétence et d efficacité personnelle du jeune se verront renforcis, ce qui placera les bases d un MVPA, ou mode de vie physiquement actif. 6

9 INTERVENTIONS BASÉES SUR DES DONNÉES PROBANTES ET SUR DES PRATIQUES PROMETTEUSES Développement des compétences du jeune par l augmentation du temps actif au quotidien, grâce à une variété d expériences motrices et de contextes de pratique Offrir des occasions d apprentissages et d expérimentation par le jeu Le jeu actif peut se présenter sous la forme libre ou encadrée. Il est généralement spontané et d une grande source de plaisir. En plus d être amusant, il est démontré qu il améliore les fonctions motrices, la créativité, les aptitudes sociales de même que les habiletés nécessaires à la prise de décisions et à la résolution de problèmes. Et, peut-être l aspect le plus important, le jeu actif sous sa forme libre donne aux enfants le goût d être actifs. 4 Quelques suggestions : Offrir des occasions d apprentissage et d expérimentation aux enfants et à leurs parents en intégrant, aux horaires et programmations habituels, le jeu actif sous la forme libre ou encadrée (programmes d expérimentation, de découvertes et d éducation motrice). Privilégier le jeu actif, surtout sous sa forme libre, car il permet généralement de pratiquer des activités physiques à un niveau d intensité élevé, ce qui convient bien à la nature de l enfant qui préfère les activités intermittentes de courte durée 7. En matière d habiletés motrices, chaque enfant a un rythme de développement qui lui est propre. Tout jeu actif doit cependant être adapté à ses capacités, ses besoins, son stade de développement, de maturité, doit être associé au plaisir et ponctué de défis. 8 Proposer du matériel de petite dimension qui est attrayant, adapté au stade de développement de l enfant, disponible en quantité suffisante et renouvelé régulièrement. 8 Le milieu extérieur est un environnement particulièrement propice au développement de la motricité globale de l enfant. Le fait de jouer régulièrement dehors permettrait à un enfant d augmenter son niveau d activité physique. C est pourquoi il est recommandé que les enfants jouent au moins deux fois par jour à l extérieur. 8 Qualification des intervenants Par sa capacité à établir et à maintenir de bonnes relations avec les jeunes grâce à une écoute active, par le choix des activités et des défis proposés, par sa gestion de groupe attentive, par son rôle de modèle, l intervenant exerce sans contredit une influence cruciale sur la qualité de l expérience vécue par les jeunes et les bienfaits qu ils pourront en retirer. Les statistiques et les études le confirment : la qualité de l encadrement est un déterminant important de la pratique d activités physiques visant un mode de vie physiquement actif. 7 Afin d optimiser la qualité des interventions ayant pour objectifs le développement moteur et l augmentation de la pratique d activités physiques des enfants, plusieurs solutions peuvent être envisagées. Favoriser la mise en place d approches structurantes comprenant de la formation d une durée suffisante et un accompagnement adéquat pour le personnel éducateur. Mettre en place les conditions propices à une intervention de qualité (temps de planification, équipement et matériel suffisants, etc.). 7

10 Favoriser le partage de bonnes pratiques et les échanges entre les intervenants (communautés de pratiques). Accessibilité à l offre de service Établir des ententes entre les organisations pour maximiser l utilisation des installations et équipements disponibles dans la communauté et en faciliter l accès (ex : ouvrir l école et ses installations en dehors des heures de cours, permettre l accès à la salle de motricité du CPE les soirs et le weekend pour des activités parents-enfants). Il est recommandé d utiliser, à l extérieur et à l intérieur, des équipements fixes et amovibles pour développer la motricité globale. Toutefois, il semble que les équipements amovibles ou portables (ex. ballons, cerceaux, cordes à sauter, tricycles, trottinettes) soient deux fois plus efficaces pour inciter les enfants à pratiquer des activités physiques d intensité moyenne à élevée. Favoriser, particulièrement dans les milieux ou quartiers défavorisés, l accès physique et financier à l offre des organismes communautaires et associatifs (ex. : politiques d accessibilité pour les jeunes et les familles de milieux défavorisés, mesures de soutien aux organismes sportifs et communautaires). Faciliter le transport après les heures de classe pour permettre à un plus grand nombre de jeunes de participer aux activités parascolaires. Norme sociale Malheureusement, les exigences de la vie moderne ont influencé les perceptions et les attitudes des parents et des intervenants à l égard de l importance du jeu libre. De plus, parce qu ils perçoivent le jeu extérieur comme non sécuritaire, de très nombreux parents ont le sentiment de devoir constamment diriger et encadrer leurs enfants (activités sportives et programmes de loisirs organisés). Cette perception, souvent erronée, a pour résultat d axer davantage la pratique d activités physiques et sportives sur la performance, ce qui tend à provoquer une spécialisation hâtive (couramment associée à l abandon de la pratique sportive). Les enfants ont perdu la liberté d ouvrir la porte et d aller jouer dehors. Les chercheurs sont d accord : le déclin du jeu au cours des 50 ou 60 dernières années a été constant et important. La surprotection parentale ainsi que l attrait de la technologie omniprésente restreignent les enfants dans des environnements hautement contrôlés, où ils ont peu d occasions de se défouler, de courir, d explorer et d interagir avec leurs pairs comme ils l entendent. «Nous avons la responsabilité de laisser la voie libre à nos enfants et de leur donner le temps, l espace et la liberté de courir, de décider de leurs propres activités et d apprendre de leurs erreurs.» 14 Bref, la préoccupation de maximiser au quotidien les occasions de jouer et de bouger ne semble pas encore la norme. Les milieux éducatifs ne devraient pas être des endroits où l enfant est passif, écoute et reproduit des modèles selon des directives, mais bien des laboratoires d exploration, des endroits où le mouvement est valorisé. 8

11 UNE MULTITUDE DE LEVIERS DISPONIBLES Politiques et programmes Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport Les politiques et les programmes de ce ministère sont présentés dans les fiches sur le milieu scolaire et la réussite éducative. Ministère de la Famille Le programme éducatif «Accueillir la petite enfance» reconnaît l importance de la dimension physique et motrice dans le développement global de l enfant et précise l importance d offrir, dans les services de garde, des occasions de bouger autant à l extérieur qu à l intérieur. Portrait Développement moteur et de l activité physique au Québec chez les 0-9 ans. (Claude Dugas, Ph.D, et Mathieu Point, M.Sc, 2012) Campagne Défi 5-30, Grand défi Pierre Lavoie, Mois de l activité physique, Journée nationale de l activité physique, etc. Autres leviers et sources d information Télé-Québec diffuse à la télé et sur son site Internet l émission quotidienne 1,2,3 GÉANT qui s adresse aux enfants de 2 à 6 ans. Naître et grandir est un site Web et un magazine qui offre aux parents une source d information fiable et validée scientifiquement sur le développement de l enfant. Le Programme de psychomotricité pour le milieu communautaire élaboré par la Fédération québécoise des centres communautaires de loisir. Dans son programme «Santé sécurité au travail», l Association québécoise des centres de la petite enfance a produit pour les employés un volet sur les saines habitudes de vie. Sports Québec a conçu le programme «Habiletés fondamentales du mouvement» à l intention des CPE. Le réseau du sport étudiant s est penché sur la diversité au primaire avec son programme «Les saisons du primaire», et a mis à la disposition des enseignants le programme «En forme avec Myg et Gym», un outil pour évaluer et suivre l'évolution des habiletés motrices des élèves de la 1 re à la 6 e année du primaire. Le programme DAFA du Conseil québécois du loisir, qui comporte les volets Développement moteur et Saines habitudes de vie. Les services de garde en milieu scolaire. Le Comité de travail sur l'intervention en développement moteur et en activité physique chez l'enfant de 0 à 9 ans. La Table de concertation intersectorielle permanente spécifique au mode de vie physiquement actif. Les projets régionaux et nationaux soutenus par Québec en Forme. 9

12 Les Regroupements des centres de la petite enfance (RCPE). Les fédérations et associations sportives. Les cégeps et les universités qui ont des programmes de formation. Les commissions scolaires. Une multitude de formations, de programmes et d outils offerts par divers organismes et associations. CONSTATS Voyons maintenant les constats généraux établis par Québec en Forme (État de situation 2011) et par des organismes ou des acteurs crédibles en matière d activité physique et de développement moteur. 1. Il n y a pas d encadrement administratif et peu d encadrement et de soutien nationaux pour la formation et le perfectionnement du personnel des services de garde éducatifs. Ainsi, plusieurs personnes n y ont pas accès et les exigences varient d un milieu à l autre, ce qui soulève le problème de l application du programme éducatif qui repose sur l engagement et les pratiques des gestionnaires et du personnel éducateur. 2. L absence de formations obligatoires pour les gestionnaires de services de garde éducatifs La faible proportion de CPE qui ont une politique pour structurer le développement moteur des enfants. 4. Les attitudes et croyances, la résistance (manque de confiance ou de compétences) et la compréhension parfois incomplète qu ont les intervenants du développement moteur sont des barrières relativement universelles aux changements des façons de faire dans les milieux de garde et les milieux scolaires Très peu de CPE font la promotion de l importance du développement moteur auprès des parents L absence d uniformité dans la formation de base et la formation continue des enseignants, des éducateurs physiques et des éducatrices sur le développement moteur et le mode de vie physiquement actif. 7. La sécurité, particulièrement dans les aires de jeux extérieures, est une source de grande préoccupation. La perception d une sécurité insuffisante nuit au développement des habiletés motrices en restreignant les lieux. Il est important de fournir aux enfants des milieux qui présentent des défis intéressants qui favorisent le mouvement dans le plaisir. 8. Les enfants passent beaucoup moins de temps à jouer dehors que le faisaient leurs parents quand quand ils avaient leur âge La présence de certains freins à l implantation de la politique-cadre «Pour un virage santé à l école» (notamment par manque de ressources) L absence de recommandations ministérielles sur le temps alloué à l éducation physique et à la santé au préscolaire (malgré la présence d un budget). 11. On constate que seulement 35 % des établissements ont la cote «bonne ou très bonne», en ce qui a trait aux activités parascolaires offertes après l école La proportion importante d écoles qui n ont pas établi ou consolidé des partenariats et des ententes de service avec la communauté

13 PISTES D ACTION L une des solutions les plus prometteuses, les plus accessibles et les plus rentables pour augmenter l activité physique est de : Soutenir et encourager les occasions de jeu sécuritaire, libre et non structuré, particulièrement à l extérieur. Donc, il serait primordial comme société de travailler ensemble pour protéger, soutenir et promouvoir le jeu actif comme une composante amusante et fondamentale de l expérience des enfants. Il importe donc d agir de façon globale et complémentaire, et ce, à la fois sur les facteurs individuels et environnementaux qui façonnent les comportements du jeune. Plusieurs organisations ou acteurs peuvent contribuer à mettre en œuvre cette solution grâce aux actions suivantes : 1. Miser sur le développement des compétences des jeunes par l augmentation du temps actif au quotidien, et ce, à l aide d une variété d expériences motrices et de contextes de pratique. C est offrir des occasions d apprentissage et d expérimentation aux jeunes et à leurs parents en intégrant, aux horaires et programmations habituels, le jeu libre et extérieur ou des activités, des programmes d expérimentation, de découvertes et d éducation motrice. 2. Miser sur la qualification des intervenants (incluant : conseil d administration, conseil d établissement, direction générale, commissaire, etc.) par une offre de formation complémentaire et continue qui privilégie l accompagnement et le partage d expériences porteuses (communautés de pratiques). 3. Augmenter l accessibilité à une offre de service diversifiée, aux parcs et aux infrastructures de la communauté, et adopter des mesures favorables à l activité physique et au développement moteur. 4. Véhiculer un message positif sur l activité physique au quotidien, et l importance du jeu dans le développement moteur. Contribuer à diminuer les perceptions ou les normes sociales pouvant nuire à ce message (ex. : perception de l absence de sécurité). Notes : Des pistes d actions spécifiques aux différents milieux sont présentées dans les fiches intégrées. PERSPECTIVES Dans une perspective encore plus large, les interventions ciblant le développement moteur contribuent également au développement global de l enfant. Plus précisément, des effets bénéfiques sont observés sur la préparation à l école et le fonctionnement cognitif, affectif, social et émotionnel de l enfant. Des compléments d information quant à ces effets dits «collatéraux» sont documentés dans d autres fiches thématiques, dont celles abordant : le milieu scolaire (prérequis à la lecture et à l écriture), la formation des intervenants, la petite enfance, la norme sociale, la défavorisation, les clientèles spécifiques, le sport fédéré-associatif (cohérence entre le développement long terme de l athète (DLTA) et la spécialisation hâtive). 11

14 RÉFÉRENCES 1. BIGRAS, N, et al. (2009). Expérience cumulée, qualité des services, caractéristiques familiales et développement des enfants de trois ans dans divers modes de garde depuis leur première année de vie., Université du Québec à Montréal. 2. MINISTERE DE L ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT (2012). Bilan de la mise en œuvre de la Politique-cadre pour une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif. 3. BROWN, W. H. et al. (2009). Social and Environmental Factors Associated With Preschoolers Nonsedentary Physical Activity. Child Development, 80(1), JEUNE EN FORME CANADA (2010). Bulletin 2010 de l activité physique chez les enfants et les jeunes. 5. JEUNE EN FORME CANADA (2012). Bulletin 2012 de l activité physique chez les jeunes «Le jeu actif est-il en voie d extinction». 6. JEUNE EN FORME CANADA (2012). Bulletin 2012 de l activité physique chez les jeunes «Faits saillants du bulletin 2012». 7. COMITÉ SCIENTIFIQUE DE KINO-QUÉBEC (2011). L activité physique, le sport et les jeunes Savoir et agir. Secrétariat au loisir et au sport, ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, gouvernement du Québec. Avis rédigé sous la coordination de Gaston Godin, Ph.D., Suzanne Laberge, Ph.D., et François Trudeau, Ph.D., 104 p. 8. DUGAS ET POINT (2012). Portrait du développement moteur et de l activité physique au Québec chez les enfants de 0 à 9 ans. 9. GROUPE D ACTION SUR LA PERSÉVÉRANCE ET LA RÉUSSITE SCOLAIRE AU QUÉBEC, Savoir pour pouvoir : Entreprendre un chantier national pour la persévérance scolaire. p IFEDI, F (2005). «La participation sportive au Canada». Statistique Canada. [En ligne]. [ m fra.pdf] (Consulté le 1er août 2011). 11. KLESGES, RC, ECK, LH, HANSON, CL et al. (1990). Effects of obesity, social interactions, and physical environment on physical activity in preschoolers Health Psychology 9(4) : MINISTÈRE DE LA FAMILLE ET DES AÎNÉS (2007). Accueillir la petite enfance. Le programme éducatif des services de garde du Québec. 13. PAGANI, LS, FITZPATRICK, C, BELLEAU, L et JANOSZ (2011). Prédire la réussite scolaire des enfants en quatrième année à partir de leurs habiletés cognitives, comportementales et motrices à la maternelle, dans Étude longitudinale du développement des enfants du Québec (ÉLDEQ ) De la naissance à 10 ans, Québec, Institut de la statistique du Québec, vol. 6, fascicule MORIN, P et al. (2012). l Enquête sur l offre alimentaire et d activité physique dans les écoles du Québec. 15. PATE, RR, MCIVER, AA, DOWDA, M et al. (2008). Directly observed physical activity levels in preschool children Journal of School Health 78(8): QUÉBEC EN FORME, (2012). Enquête en Forme : État de situation de la saine alimentation et du mode de vie physiquement actif des jeunes du Québec. 17. RIGAL, R. (1996a). 2 e Édition, Motricité humaine. Tome 2 : Développement moteur. Québec, Presses de l'université du Québec. 18. RIGAL, R. (1996b). 2 e Édition, Motricité humaine. Tome 3 : Actions motrices et apprentissages scolaires. Québec, Presses de l'université du Québec. 19. RÉSEAU DU SPORT ÉTUDIANT DE QUÉBEC (automne 2011). Enquête En forme avec Myg et Gym. Données issues des tests sur les habiletés motrices des élèves de la 1 re à la 6 e année du programme En forme avec Myg et Gym du RSEQ. Note : Les données ont été analysées en fonction des normes établies en 2010 par le Groupe de recherche sur les aptitudes physiques des enfants de l Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), sous la direction de Mario Leone. 20. WILLIAMS, HG, PFEIFFER, KA, O NEILL, JR et al. (2008). Motor skill performance and physical activity in preschool children Obesity 16(6):

15

Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca

Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est unique mfa.gouv.qc.ca Les services de gardes éducatifs, un milieu de vie stimulant pour votre enfant

Plus en détail

Ensemble vers de saines habitudes de vie!

Ensemble vers de saines habitudes de vie! Ensemble vers de saines habitudes de vie! Du plan d action gouvernemental «Investir«pour l avenir» et du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie aux balises de déploiement du soutien de Québec

Plus en détail

LA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans

LA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans FAIREBOUGERLES9-13.org 1 LA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans TABLE DES MATIÈRES 3 4 5 DONNÉES SOCIO- DÉMOGRAPHIQUES HABITUDES MÉDIATIQUES ET DE CONSOMMATION EN MATIÈRE DE MODE DE VIE PHYSIQUEMENT

Plus en détail

Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement

Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement, MELS, novembre 2011 Page 1 Document

Plus en détail

REPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT

REPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT REPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT L enfant de deux, trois ans, a besoin de bouger pour développer ses capacités motrices. Aménagement des lieux dans l école et dans la classe La cour de

Plus en détail

PRÉSENTATION DU PROGRAMME. Le cœur à l école. PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire

PRÉSENTATION DU PROGRAMME. Le cœur à l école. PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire PRÉSENTATION DU PROGRAMME Le cœur à l école PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire Le programme Le coeur à l école s adresse aux parents d enfants

Plus en détail

Une vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref...

Une vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref... Une vision d avenir Il était deux petits navires Alain Poirier, directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint février 200 En bref... Mise en contexte Une mise en contexte Quelques données

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

À l école pour développer des compétences

À l école pour développer des compétences _x áxüä vx wxá ÜxááÉâÜvxá wâvtà äxá tâå }xâçxá 2007-2008 2008 À l école pour développer des compétences -au préscolaire- - 1 - - 2 - Mot de présentation Votre enfant entre à la maternelle cette année.

Plus en détail

Enseignement au cycle primaire (première partie)

Enseignement au cycle primaire (première partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de

Plus en détail

22 2011 (CC-20111-110)

22 2011 (CC-20111-110) Politiquee linguistique Adoptée : En vigueur : Amendement : 22 mars 2011 (CC-2011-110) 22 mars 2011 Table des matières 1. PRÉAMBULE... 1 2. CHAMP D APPLICATION... 1 3. CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire Guide du programme Juin 2008 Attributs du diplômé de la Colombie-Britannique Au cours de consultations qui se sont échelonnées sur toute une année dans l ensemble de la province, des milliers de citoyens

Plus en détail

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available

Plus en détail

C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de

C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d

Plus en détail

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % 4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif

Plus en détail

Rapport : Sur mandat de Promotion Santé Suisse Avenue de la Gare 52, 1003 Lausanne

Rapport : Sur mandat de Promotion Santé Suisse Avenue de la Gare 52, 1003 Lausanne Croix-Rouge suisse Département santé et intégration Service santé Werkstr. 18 3086 Wabern Rapport : Examen et ajustement des politiques cantonales dans le cadre du programme «Poids corporel sain» sous

Plus en détail

Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE

Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Le Sommaire constitue un abrégé du document intitulé Bilan de l an I de Solidarité jeunesse : Rapport du Comité aviseur de Solidarité

Plus en détail

LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE

LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE Ce qui définit «le changement» préscolaire primaire secondaire Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 2005-05-00511 ISBN 2-550-45274-7 (version

Plus en détail

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée

Plus en détail

Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école

Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Janvier 2005 This document is available in English under

Plus en détail

Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke.

Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke. Engagement scolaire et persévérance rance au secondaire : Modèle théorique, types, évaluation et intervention Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche

Plus en détail

Directives canadiennes en matière de comportement sédentaire

Directives canadiennes en matière de comportement sédentaire de comportement sédentaire Contexte Au cours des dernières décennies, le niveau d activité physique et de condition physique des Canadiennes et Canadiens a diminué. Or, faire régulièrement de l activité

Plus en détail

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de

Plus en détail

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke

Plus en détail

DEC-BAC Dossier sur les nouveaux modèles de formation développés au Collège Édouard-Montpetit en collaboration avec ses partenaires universitaires

DEC-BAC Dossier sur les nouveaux modèles de formation développés au Collège Édouard-Montpetit en collaboration avec ses partenaires universitaires DEC-BAC Dossier sur les nouveaux modèles de formation développés au Collège Édouard-Montpetit en collaboration avec ses partenaires universitaires Tél : (450) 679-2631, poste 2415 1 Mise à jour : 2 septembre

Plus en détail

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement

Plus en détail

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009 REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.

Plus en détail

Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant

Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Page1 Volume 4, numéro 1 Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Extraits de «Endettement étudiant : État des lieux, déterminants et impacts», Fédération étudiante universitaire

Plus en détail

SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants

SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants POLITIQUE POLITIQUE D ÉDUCATION INTERCULTURELLE DATE : 26 mars 2014 SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants DESTINATAIRES : À toute la communauté

Plus en détail

POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES

POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES Groupe Affaires corporatives et secrétariat général 19 avril 2013 TABLE DES MATIÈRES 1. CADRE GÉNÉRAL...3 1.1 Politique NOTRE RÔLE SOCIAL...3 1.2 Imputabilité...3

Plus en détail

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...

Plus en détail

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle

Plus en détail

Fiche entreprise : E10

Fiche entreprise : E10 Fiche entreprise : E10 FONCTION ET CARACTÉRISTIQUES / PERSONNE INTERVIEWÉE La personne interviewée est le directeur de la mutuelle de formation 1 dans le secteur des entreprises adaptées dont 95 % gèrent

Plus en détail

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...

Plus en détail

PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones

PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones Édition de février 2011 Réalisé par le Comité patronal de négociation

Plus en détail

Guide d accompagnement à l intention des intervenants

Guide d accompagnement à l intention des intervenants TABLE RÉGIONALE DE L ÉDUCATION CENTRE-DU-QUÉBEC Campagne de promotion la de la lecture Promouvoir Guide d accompagnement à l intention des intervenants Présentation Le projet sur la réussite éducative

Plus en détail

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne

Plus en détail

Planifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans

Planifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans Planifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans Ginette Hébert formatrice en petite enfance AFÉSÉO FORUM 2012 Cette formation s appuie sur mon expérience d accompagnement d éducatrices

Plus en détail

Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) ISBN 0-7711-3999-9

Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) ISBN 0-7711-3999-9 Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) 371.9 Un travail collectif : Renseignements aux parents d élèves ayant des besoins spéciaux ISBN 0-7711-3999-9 1. Éducation

Plus en détail

Consultation publique

Consultation publique Consultation publique PROJET DE REDÉVELOPPEMENT DU SITE DES ANCIENS ATELIERS DU CN Mémoire déposé par le Club populaire des consommateurs de Pointe-Saint-Charles dans le cadre des consultations publique

Plus en détail

Plan Stratégique 2008-2013

Plan Stratégique 2008-2013 Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite

Plus en détail

Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance

Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance Colloque QuébecStrasbourg Octobre 2008 Présenté par Gilles Cantin, Ph.D. Département d éducation et pédagogie UQAM

Plus en détail

Les effets à long terme de la garde non parentale sur les enfants. Avril 2010

Les effets à long terme de la garde non parentale sur les enfants. Avril 2010 Les effets à long terme de la garde non sur les enfants Avril 2010 Ce rapport a été préparé par : Enfants en santé Manitoba, South Eastman Health/Santé Sud-Est inc. and Division scolaire francomanitobaine

Plus en détail

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES

Plus en détail

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles

Plus en détail

Bilan de la concertation sur le PEDT

Bilan de la concertation sur le PEDT les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche

Plus en détail

CENTRES DE LA PETITE ENFANCE (CPE) ET SERVICES DE GARDE EN MILIEU FAMILIAL: DES MILIEUX DE VIE ADAPTÉS AUX BESOINS DES ENFANTS DE 4 ANS

CENTRES DE LA PETITE ENFANCE (CPE) ET SERVICES DE GARDE EN MILIEU FAMILIAL: DES MILIEUX DE VIE ADAPTÉS AUX BESOINS DES ENFANTS DE 4 ANS CENTRES DE LA PETITE ENFANCE (CPE) ET SERVICES DE GARDE EN MILIEU FAMILIAL: DES MILIEUX DE VIE ADAPTÉS AUX BESOINS DES ENFANTS DE 4 ANS AVIS Février 2013 / 2 Cet argumentaire a été élaboré par un comité

Plus en détail

MINISTÈRE DE LA FAMILLE. COORDINATION DES TRAVAUX DE RÉDACTION Véronique Martin, Direction du développement des enfants, ministère de la Famille

MINISTÈRE DE LA FAMILLE. COORDINATION DES TRAVAUX DE RÉDACTION Véronique Martin, Direction du développement des enfants, ministère de la Famille GAZELLE ET POTIRON CADRE DE RÉFÉRENCE Pour créer des environnements favorables à la saine alimentation, au jeu actif et au développement moteur en services de garde éducatifs à l enfance GAZELLE ET POTIRON

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE

POLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE POLITIQUE POLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE Responsabilité Direction générale adjointe aux affaires administratives Direction

Plus en détail

Portrait du développement moteur et de l activité physique au Québec chez les enfants de 0 à 9 ans

Portrait du développement moteur et de l activité physique au Québec chez les enfants de 0 à 9 ans Portrait du développement moteur et de l activité physique au Québec chez les enfants de 0 à 9 ans Claude Dugas Ph.D Mathieu Point M.Sc Février 2012 Rapport final Février 2012 Page 1 Table des matières

Plus en détail

ENTRE-NOUS Janvier 2015 École des Sept-sommets Rossland, C.-B.

ENTRE-NOUS Janvier 2015 École des Sept-sommets Rossland, C.-B. ENTRE-NOUS Janvier 2015 École des Sept-sommets Rossland, C.-B. Dates importantes 13 janvier: Réunion de l APÉ (19h, bibliothèque de l école) 14, 21, 28 janvier: Dîners chauds 14, 28 janvier: Bouts de choux

Plus en détail

Plan Réussir Pour la réussite et la persévérance scolaires

Plan Réussir Pour la réussite et la persévérance scolaires Plan Réussir Pour la réussite et la persévérance scolaires Table des matières 1. Introduction...1 2. Mise en contexte...2 3. Élaboration du plan Réussir...3 3.1 Plan stratégique...3 3.2 Parc immobilier...3

Plus en détail

Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi

Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi Éléments principaux de Passeport pour ma réussite Passeport pour ma réussite

Plus en détail

BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI)

BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI) Département de l'éducation, de la culture et du sport Service de l enseignement Inspectorat de la scolarité obligatoire BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS

Plus en détail

POLITIQUE INTERCULTURELLE

POLITIQUE INTERCULTURELLE POLITIQUE INTERCULTURELLE Adoptée à la 269 e réunion du conseil d administration du 21 septembre 2009 Politique interculturelle Préambule Le Collège de Maisonneuve évolue dans un contexte interculturel

Plus en détail

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves POLITIQUE DE L'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS POLITIQUE

Plus en détail

Prise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation. La ville fait école

Prise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation. La ville fait école Prise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation La ville fait école Avant-propos Barbara Eberhard Conseillère municipale, St-Gall Direction école et sport

Plus en détail

Avis régional de la Commission jeunesse du Bas-Saint-Laurent

Avis régional de la Commission jeunesse du Bas-Saint-Laurent Avis régional de la Commission jeunesse du Bas-Saint-Laurent dans le cadre des audiences publiques de la Commission des transports du Québec à la suite de la demande de la compagnie Orléans Express visant

Plus en détail

Atelier Campagne Marketing social

Atelier Campagne Marketing social Atelier Campagne Marketing social Vous devez mettre sur pied, au cours de ce bref atelier, une campagne de marketing social. Vous devrez aussi justifier vos activités de communication. Le nom d une organisation

Plus en détail

Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention

Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention À moins d indications contraires, toutes les définitions

Plus en détail

Série «Connaissances et employabilité» Préparation au milieu de travail, 8 e et 9 e années

Série «Connaissances et employabilité» Préparation au milieu de travail, 8 e et 9 e années Série «Connaissances et employabilité» Préparation au milieu de travail, 8 e et 9 e années Les cours de la série «Connaissances et employabilité» du secondaire premier cycle sont axés sur l exploration.

Plus en détail

GESTION DU DOSSIER SCOLAIRE DE L ÉLÈVE. Adoption le Amendement le Mise en vigueur le 6 mai 2004 Résolution #

GESTION DU DOSSIER SCOLAIRE DE L ÉLÈVE. Adoption le Amendement le Mise en vigueur le 6 mai 2004 Résolution # PROCÉDURE GESTION DU DOSSIER SCOLAIRE DE L ÉLÈVE # 40-02 Adoption le Amendement le Mise en vigueur le 6 mai 2004 Résolution # Autorisation Susan Tremblay Directrice générale Page 1 de 10 1. Préambule Le

Plus en détail

Les bonnes pratiques pour les travaux scolaires à la maison

Les bonnes pratiques pour les travaux scolaires à la maison D après LES DEVOIRS ET LES LEÇONS de Marie-Claude Béliveau 1 1 Rappels et définitions. Officiellement, les devoirs à la maison sont interdits depuis 1956 2 à l école primaire mais leur pratique reste très

Plus en détail

Le M.B.A. professionnel

Le M.B.A. professionnel Le M.B.A. professionnel Un M.B.A. à temps partiel pour les professionnels qui travaillent un programme unique Le nouveau M.B.A. professionnel de la Faculté de gestion Desautels de l Université McGill est

Plus en détail

Formation certifiante au métier de coach scolaire

Formation certifiante au métier de coach scolaire Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont

Plus en détail

PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation

PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES Sommaire de la démarche de réorganisation SOMMAIRE Le programme régional Traité santé offre des services de réadaptation

Plus en détail

PROGRAMME DE MENTORAT

PROGRAMME DE MENTORAT CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des

Plus en détail

Les moyens mis en place par le SDG pour répondre aux grandes orientations du projet éducatif de l école

Les moyens mis en place par le SDG pour répondre aux grandes orientations du projet éducatif de l école Autonomie d utilisation des outils face à leurs apprentissages. Projets à long terme: couture, papier mâché, cinéma, robotique. à FAVORISER LA RÉUSSITE chez l ensemble des élèves en respectant leurs différences.

Plus en détail

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre

Plus en détail

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP.

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. MOBILIS PERFORMA PRÉSENTE LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN, UNE FORMATION ÉLABORÉE

Plus en détail

Les 7 Facteurs clés de Succès pour s'épanouir sur le plan personnel, familial et professionnel au Canada

Les 7 Facteurs clés de Succès pour s'épanouir sur le plan personnel, familial et professionnel au Canada Formation et Coaching en Leadership inclusif et en Management interculturel Les 7 Facteurs clés de Succès pour s'épanouir sur le plan personnel, familial et professionnel au Canada Une approche holistique

Plus en détail

Directives canadiennes en matière d activité physique Directives canadiennes en matière de comportement sédentaire

Directives canadiennes en matière d activité physique Directives canadiennes en matière de comportement sédentaire Directives canadiennes en matière d activité physique Directives canadiennes en matière de comportement sédentaire Votre plan pour une vie active au quotidien! Directives canadiennes en matière d activité

Plus en détail

d évaluation Objectifs Processus d élaboration

d évaluation Objectifs Processus d élaboration Présentation du Programme pancanadien d évaluation Le Programme pancanadien d évaluation (PPCE) représente le plus récent engagement du Conseil des ministres de l Éducation du Canada (CMEC) pour renseigner

Plus en détail

Rendez-vous. Programme. 10 avril 2014 CENTRE FÉLIX-LECLERC 1001 RANG SAINT-MALO, TROIS-RIVIÈRES

Rendez-vous. Programme. 10 avril 2014 CENTRE FÉLIX-LECLERC 1001 RANG SAINT-MALO, TROIS-RIVIÈRES Rendez-vous Programme 10 avril 2014 CENTRE FÉLIX-LECLERC 1001 RANG SAINT-MALO, TROIS-RIVIÈRES Rendez-vous Les partenaires du DAFA et le Conseil québécois du loisir sont heureux de vous accueillir à ce

Plus en détail

Présentation du projet éducatif

Présentation du projet éducatif Présentation du projet éducatif Mot du président du conseil d établissement - M. Steve Labranche Le conseil d'établissement tient à remercier toutes les personnes qui ont contribué à la conception, à l'analyse

Plus en détail

Ce que nous verrons pendant la PRÉSENTATION

Ce que nous verrons pendant la PRÉSENTATION QUÉBEC, CANADA Ce que nous verrons pendant la PRÉSENTATION Où est situé La Pocatière? Qu est-ce que le Cégep de La Pocatière? Qu est-ce qu un DEC? Pourquoi étudier en TCG au CLP? Quels sont les avantages

Plus en détail

Présentation du Programme Excellence CSJV Boursier

Présentation du Programme Excellence CSJV Boursier Présentation du Programme Excellence CSJV Boursier Collège St-Jean-Vianney 12630, boul. Gouin Est Montréal H1C 1B9 Tél. 514-648-3821 www.st-jean-vianney.qc.ca Mise en contexte Depuis plusieurs années,

Plus en détail

Les bonnes pratiques du recrutement en ligne

Les bonnes pratiques du recrutement en ligne POUR VOUS ÉCLAIRER DANS LE COMMERCE DE DÉTAIL Les bonnes pratiques du recrutement en ligne Avant-propos Au Québec, le commerce de détail compte près de 24 000 établissements et 300 000 employés. Les jeunes

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret

Plus en détail

Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale

Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale Plan de la présentation Le secteur Recherche, innovation et science citoyenne

Plus en détail

Politique des stages. Direction des études

Politique des stages. Direction des études Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai

Plus en détail

Nos clients une réussite!

Nos clients une réussite! BULLETIN SARCA Commission scolaire des Premières-Seigneuries Volume 4, n o 3 Juin 2014 CONTENU Au babillard... 1 Nos clients une réussite!... 1 Retourner en classe Moi?.. 2 Démystifier la formation professionnelle...

Plus en détail

POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE

POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE Table des matières INTRODUCTION... 2 POURQUOI UNE POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE... 3 L'IMPORTANCE DE LA SIESTE ET DU RESPECT DES RYTHMES BIOLOGIQUES... 3 À

Plus en détail

MODÈLE D ÉVALUATION DU LEADERSHIP CCPE

MODÈLE D ÉVALUATION DU LEADERSHIP CCPE MODÈLE D ÉVALUATION DU LEADERSHIP CCPE Le processus d octroi du titre de médecin gestionnaire certifié du Canada (Canadian Certified Physician Executive CCPE) oblige à évaluer les compétences en leadership

Plus en détail

L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue

L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue Marie-Christine Lemieux, M.Sc. Inf., IPSPL 2 e Symposium

Plus en détail

Programme d entraide à l allaitement maternel : une stratégie efficace pour rejoindre et soutenir les populations ayant de faibles taux d allaitement

Programme d entraide à l allaitement maternel : une stratégie efficace pour rejoindre et soutenir les populations ayant de faibles taux d allaitement Allaitement maternel en Ontario Programme d entraide à l allaitement maternel : une stratégie efficace pour rejoindre et soutenir les populations ayant de faibles taux d allaitement Par le passé, les femmes

Plus en détail

Bilan des réalisations 2014 à l égard des personnes handicapées

Bilan des réalisations 2014 à l égard des personnes handicapées Bilan des réalisations 2014 à l égard des personnes handicapées Contexte Le bilan des réalisations à l égard des personnes handicapées présente les engagements de la Société de l assurance automobile du

Plus en détail

>> TECHNIQUES DE COMPTABILITÉ ET DE GESTION 410.B0

>> TECHNIQUES DE COMPTABILITÉ ET DE GESTION 410.B0 Pondération : le 1 er chiffre représente le nombre d heures de théorie, le 2 e chiffre représente le nombre d heures de laboratoire et le 3 e chiffre représente le nombre d heures de travail personnel.

Plus en détail

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi LeS nouveaux rythmes à l école primaire Exemples d emplois du temps Mars 2014 n exemple d organisation des temps scolaire et périscolaire Commune de 21 000 habitants

Plus en détail

baby-sitting le service

baby-sitting le service le service baby-sitting Destiné aux Saint-Bricien(nes), le service baby-sitting a été mis en place afin de mettre en contact parents et lycéen(ne)s / étudiant(e)s recherchant un job de baby-sitter. CLes

Plus en détail

Les offres de services spécialisés

Les offres de services spécialisés Les offres de services spécialisés Le contexte et les enjeux, incluant les offres de services spécialisés aux familles et aux proches, aux partenaires ainsi que notre engagement dans la collectivité. PAVILLON

Plus en détail

L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS

L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS Synthèse des résultats de l étude Hélène Provencher, PhD, Université Laval, Québec

Plus en détail

Repérage de la perte d autonomie

Repérage de la perte d autonomie Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour

Plus en détail

SAINT JULIEN EN GENEVOIS

SAINT JULIEN EN GENEVOIS SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).

Plus en détail

PASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Janvier 2015

PASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Janvier 2015 PASSEPORT Guide de présentation des demandes Janvier 2015 Le présent document a été produit par le ministère de l Économie, de l Innovation et des Exportations Coordination et rédaction Direction du soutien

Plus en détail

Le contexte de la profession en santé dentaire publique...5

Le contexte de la profession en santé dentaire publique...5 Table des matières Introduction...1 Module 1 Le contexte de la profession en santé dentaire publique...5 Chapitre 1..Historique de la profession d hygiéniste dentaire en santé dentaire publique au Québec...7

Plus en détail

Cours Informatique de base INF-B101-2. Alphabétisation

Cours Informatique de base INF-B101-2. Alphabétisation Cours Informatique de base INF-B101-2 Alphabétisation Présentation du cours Informatique de base «La curiosité mène à tout : parfois à écouter aux portes, parfois à découvrir l'amérique.» José Maria Eça

Plus en détail

Étapes suivantes du plan d action du Manitoba

Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Juillet 2005 Pour aller de l avant : L apprentissage et la garde des jeunes enfants Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Introduction En novembre 1999, le gouvernement du Manitoba a confirmé son

Plus en détail

Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?

Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec

Plus en détail