II.5. MONNAIE ET CREDIT
|
|
- Raoul Bédard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 II.5. MONNAIE ET CREDIT La politique monétaire rigoureuse qui prévaut depuis 2004 dans le cadre du programme économique et financier s est poursuivie en 2005 avec le même objectif de ralentir la croissance de la masse monétaire et de contenir l inflation. En outre, des indicateurs quantitatifs de la Banque, à fin décembre 2005, ont été définis en ce qui concerne les avoirs extérieurs nets (un plancher de -13,6 millions de dollars) et intérieurs nets (un plafond de 90,0 Mds de BIF). Au terme de l exercice 2005, l évolution des agrégats monétaires a été satisfaisante. La masse monétaire s est accrue de 18,7 au lieu de 26,0 p.c. l exercice précédent, en raison de la progression des disponibilités monétaires (+16,2 p.c.) et quasi-monétaires (+23,5 p.c). La croissance de la masse monétaire a trouvé son origine dans l expansion des avoirs extérieurs nets (+80,7 p.c.) et du crédit intérieur (+3,9 p.c.) en particulier les créances nettes sur l Etat (+13,5 p.c), alors que les crédits à l économie ont baissé de 2,0 p.c. Par ailleurs, les critères de réalisation du programme ont été respectés aussi bien pour les avoirs extérieurs nets (48,8 millions de dollars) que pour les avoirs intérieurs nets (51,7 Mds de BIF). A. POLITIQUE MONETAIRE ET DE CHANGE Dans le cadre de la conduite de la politique monétaire, les actions menées visaient l amélioration de l efficacité de la gestion de la liquidité. A cet égard, la Banque a mis en place un système d appels d offres de liquidité en remplacement des plafonds de refinancement. Ce système a introduit une gestion active de la liquidité en permettant des interventions de reprise ou d injection de la liquidité. Le cadre de programmation monétaire qui consiste à prévoir l évolution des facteurs autonomes de la liquidité du secteur bancaire sert à déterminer le sens des interventions. Pour la période sous revue, les prévisions des facteurs autonomes ont continué à montrer des excédents de liquidité, ce qui implique que les interventions se sont limitées à des reprises. En outre, pour faire face à cette situation de surliquidité, la Banque a relevé le taux des réserves obligatoires.
2 Par ailleurs, la libéralisation du régime de change et la gestion du taux par les mécanismes de marché se sont poursuivies. Enfin, la Banque a renforcé le contrôle du secteur bancaire en veillant au respect des normes prudentielles. 1. POLITIQUE MONETAIRE 1.1. Le système d appels d offres de liquidité Le système d appels d offres de liquidité positifs, en cas d apport, ou négatifs en cas de reprise, constitue une étape importante dans la conduite de la politique monétaire au moyen d instruments de régulation indirecte. Ce système a été introduit dans un contexte d excès de liquidités induit par un environnement caractérisé par un ralentissement de l activité économique en particulier une campagne café des plus médiocres. De ce fait, les opérations de ponction de liquidité ont prévalu sur toute la période, stérilisant une partie des liquidités dégagées par les banques commerciales. Aussi le taux d intérêt sur les appels d offres a évolué à la baisse Evolution du volume d appels d offres de liquidité Les appels d offres négatifs n ont pas cessé d augmenter avec la persistance de la surliquidité dans le secteur bancaire, quoique les échéances sur les certificats du Trésor aient sporadiquement influencé les soumissions. Les appels d offres dits normaux ou rapides ont été organisés une fois la semaine pour une durée de placement de 7 jours. Alors que le taux de couverture des offres par le montant des appels d offres n était que de 26,7 p.c. au moment du lancement, il a rapidement dépassé les 100,0 p.c. rendant certaines offres irrecevables. Pour pouvoir stériliser davantage, des appels d offres rapides ont été régulièrement décidés. Globalement, les montants des appels d offres et des soumissions ont respectivement varié de 5.000,0 à ,0 MBIF et de 1.000,0 à ,0 MBIF.
3 GRAPHIQUE 16 : EVOLUTION DES APPELS D OFFRES DE LIQUIDITE (en MBIF) Montant Date Total A.O Total souscriptions Total adjudications Par ailleurs, le système d appels d offres a permis de dynamiser le marché interbancaire. Ainsi, certaines institutions financières ont pu placer leurs excédents auprès de celles qui n en avaient pas permettant de couvrir leurs besoins sans recourir aux ressources de la Banque centrale. Le volume des montants échangés sur ce marché a sensiblement augmenté, passant de 350,0 à 4.050,0 MBIF d une fin d année à l autre et le taux moyen pondéré a accusé un léger repli, revenant de 11,5 à 10,5 p.c Evolution des taux d intérêt sur les appels d offres Les offres ont toujours été adjugées aux taux multiples. Au début des opérations d appels d offres, le taux maximum de soumission a été fixé à 9,0 p.c., il a été ramené à 8,5 et 8,0 p.c. en novembre A la clôture de l exercice, le taux minimum offert a atteint 7,10 contre 8,74 p.c. au démarrage des appels d offres, le taux moyen pondéré 7,34 au lieu de 8,91 p.c. et le taux marginal 7,5 contre 9,0 p.c.
4 APPELS D'OFFRES DE LIQUIDITE (en MBIF) TABLEAU 33 Période Appel d'offres. offres Montant Taux de couver- Taux Taux moyens Taux total (1) totales (2) adjugé ture (2/1)*100 minimum* Pondéré* marginal* ,7 8,74 8,91 9, ,3 8,10 8,37 8, ,0 8,10 8,72 9, ,0 8,40 8,84 9, ,0 8,90 8,98 9, ,3 8,20 8,55 8, ,0 8,25 8,74 8, ,0 8,30 8,77 9, ,3 8,30 8,81 9, ,0 8,30 8,79 9, ,1 8,30 8,80 9, ,4 8,60 8,86 9, ,2 8,70 8,87 9, ,0 8,00 8,43 9, ,8 8,80 8,90 9, ,1 8,80 8,90 9, ,0 8,80 8,93 9, ,0 8,80 8,91 9, ,0 8,70 8,86 9, ,0 8,70 8,87 9, ,8 8,70 8,88 9, ,3 8,80 8,86 9, ,3 8,80 8,90 9, ,5 8,80 8,89 9, ,0 8,80 8,89 9, ,8 8,80 8,88 8, ,0 8,80 8,87 8, ,0 8,80 8,86 8, ,7 8,80 8,87 9, ,5 8,80 8,86 8, ,2 8,80 8,83 8, ,7 8,00 8,13 8, ,8 8,00 8,02 8, ,1 7,00 7,78 7, ,6 7,20 7,77 8, ,8 7,50 7,79 7, ,0 7,50 7,77 7, ,3 7,10 7,34 7,50 *Ne concernent pas les appels d'offres rapides
5 Le système d appels d offres de liquidité n a que peu influé sur le taux débiteur moyen pondéré des banques se stabilisant à 20,8 contre 20,6 p.c. Par contre, le taux créditeur moyen pondéré a davantage diminué, revenant de 12,8 à 9,6 p.c Réserves obligatoires Le système des réserves obligatoires a joué comme un instrument complémentaire au mécanisme de reprise de liquidité. Ainsi, face à la persistance de l excès de liquidité, la Banque a relevé au mois de décembre le taux de réserves obligatoires de 5,0 à 7,0 p.c. Le système bancaire a globalement respecté les normes requises Marché des certificats du Trésor En dépit des tensions de trésorerie de l Etat qui se sont traduites par un recours accru aux ressources de la Banque centrale, le marché des certificats du Trésor ne s est limité qu aux remboursements des échéances. Aussi, l'encours des certificats du Trésor a-t-il baissé de 18,6 p.c., revenant de ,5 à ,5 MBIF. Les taux d intérêt sur ces ressources ont baissé, le taux moyen pondéré à 1 mois étant revenu de 14,9 à 7,92 et celui à 3 mois de 13,92 à 8,12 p.c. d une fin d année à l autre. La dynamisation de ce marché aurait pu aider à ponctionner l excès de liquidité dégagé par les banques commerciales s il jouait pleinement son rôle d instrument de politique monétaire. 2. POLITIQUE DE CHANGE La libéralisation du change s est poursuivie. En effet, à partir du mois de janvier, l obligation de rétrocession applicable aux recettes d exportation a été complètement éliminée. En outre, les règles de déclaration et les formalités administratives pour les transactions courantes ont été assouplies.
6 juin. Enfin, la Banque a rehaussé les plafonds sur les invisibles à partir du mois de Par ailleurs, depuis le mois de mars, le marché aux enchères des devises s est tenu deux fois la semaine. De son côté, le taux de change est déterminé au jour le jour en fonction du taux moyen pondéré dégagé par les opérations déclarées par les banques commerciales. Concernant le différentiel entre le taux officiel et parallèle, la prime s est stabilisée autour de 2,0 p.c. * * * Pour renforcer l efficacité de la gestion de la liquidité, la Banque entend diversifier les instruments d intervention par l instauration, en collaboration avec le Ministère des Finances, d un marché des bons et des obligations du Trésor. Ainsi, la Banque a le choix d intervenir soit par le système des appels d offres de liquidité ou par des adjudications de titres ou les deux à la fois pour absorber ou injecter de la liquidité. Grâce aux instruments indirects qui agissent par l intermédiaire du marché, la Banque régule de façon efficace et souple l offre de monnaie centrale, contrôle au mieux les agrégats monétaires pour atteindre les objectifs fixés. L introduction et le développement du marché monétaire, en particulier les bons et les obligations du Trésor, permet de séparer la politique monétaire de la politique budgétaire et de réduire le financement monétaire du déficit budgétaire. Aussi, l utilisation des forces du marché dans la conduite de la politique monétaire permet d introduire plus de concurrence dans le secteur bancaire et financier. Concernant la politique de change, la libéralisation de change sera poursuivie par la dynamisation du marché interbancaire des devises. * * *
7 3. SITUATION DU SECTEUR FINANCIER Au cours de l exercice 2005, le secteur financier a enregistré un regain d activité qui s est traduit par la progression des ressources et emplois. En effet, les ressources se sont accrues de 12,4 p.c. suite principalement à la mobilisation de l épargne (+10,2 p.c.). De même, les emplois se sont inscrits en hausse de 11,5 p.c. en rapport essentiellement avec l accroissement des liquidités du secteur (+34,3 p.c.), la distribution du crédit ayant pratiquement connu une stagnation (+0,1 p.c.). Le réseau bancaire s est quelque peu étoffé, le nombre d agences et guichets étant passé de 68 à 70 d un exercice à l autre. Toutefois, la rentabilité du secteur est demeurée compromise par la détérioration du portefeuille crédit qui a pour effet la constitution des provisions pour créances impayées et, partant, l amenuisement des produits. En effet, le niveau des créances compromises de l ensemble du secteur est resté élevé, le taux de détérioration du portefeuille crédit ayant atteint la moyenne de 17,7 contre 16,9 p.c. en 2004, alors que la norme acceptable n est que de 10,0 p.c. En revanche, les ratios relatifs aux normes prudentielles se sont dans l ensemble largement inscrits au dessus des seuils réglementaires. Ainsi, le coefficient de liquidité (112,4 au lieu de 100,0 p.c.), le rapport entre les ressources stables et les emplois immobilisés (108,8 au lieu de 60,0 p.c.) et le coefficient de solvabilité (19,9 au lieu de 10,0 p.c.) ont été renforcés. De leur côté, les fonds propres se sont accrus de 10,8 p.c. d un exercice à l autre.
8 B. LIQUIDITE DES INSTITUTIONS FINANCIERES Pour la troisième année consécutive, les facteurs autonomes ont exercé une incidence expansive sur la liquidité des institutions financières ( ,8 MBIF). L accroissement de l endettement net de l Etat ( ,1 MBIF), des avoirs extérieurs nets (+5.275,4 MBIF) et des divers nets (+7.865,9 MBIF) a été à l origine de cette progression. En revanche, la sortie des billets et pièces ( ,5 MBIF) a exercé une incidence restrictive sur la trésorerie des institutions financières. LIQUIDITE DES INSTITUTIONS FINANCIERES (Variation en MBIF) TABLEAU Billets et pièces en circulation , ,2 +102, , ,5 - Créances nettes sur l'etranger , , , , ,4 - Créances nettes sur l'etat , , , , ,1 - Créances nettes sur les sociétés à participation publique +595,1 +38,0-613,3 +56,2 +75,9 - Divers , , , , ,9 SOUS-TOTAL FACTEURS AUTONOMES , , , , ,8 Refinancement , , , , ,6 dont : - Secteur bancaire , , , , ,9 - Etablissements financiers , , ,4 +63,6-955,1 Reprise de liquidité ,0 Réserves +83,5-116, , , ,2 dont : - Secteur bancaire +818,2-212, , , ,6 - Etablissements financiers -734,7 +95,7 +85,9-15,5 +506,6 (+) : incidence expansive sur la liquidité. (-) : incidence restrictive sur la liquidité. La forte augmentation des créances nettes sur l Etat a résulté de celle des engagements bruts ( ,0 MBIF) partiellement contrebalancée par la progression des dépôts du secteur gouvernemental ( ,6 MBIF).
9 La hausse des réserves de change nettes s explique par les dons et les tirages sur les crédits extérieurs. L accroissement des divers nets est imputable à l augmentation des autres actifs (+2.743,2 MBIF) et à la diminution des autres passifs (-5.122,7 MBIF). Grâce à l excédent de trésorerie dégagé, les banques commerciales ont constitué des réserves ( ,6 MBIF) et soumissionné à la reprise de liquidité à hauteur de ,0 MBIF.
10 C. RESSOURCES ET EMPLOIS DU SYSTEME BANCAIRE Les ressources du système bancaire ( ,3 contre ,3 MBIF) se sont accrues de ,0 MBIF. RESSOURCES ET EMPLOIS DU SYSTEME BANCAIRE (A fin d'année, en MBIF) TABLEAU AVOIRS EXTERIEURS NETS , , , , ,2 - Avoirs bruts , , , , ,1 - Engagements à court terme , , , , ,9 CREDIT INTERIEUR , , , , ,1 - Créances nettes sur l'etat (1) , , , , ,4 - Créances sur l'économie , , , , ,7 RESSOURCES = EMPLOIS , , , , ,3 MASSE MONETAIRE (M2) , , , , ,8 MONNAIE (M1) , , , , ,3 - Circulation fiduciaire hors banques , , , , ,2 - Dépôts à vue , , , , ,1 QUASI-MONNAIE , , , , ,5 AUTRES RESSOURCES , , , , ,5 Provisions pour crédocs 2 941,2 608, , , ,2 Engagements extérieurs à long terme 3 258, , , , ,1 Allocations de DTS , , , , ,9 Autres postes nets , , , , ,3 (1) : Y compris les créances nettes sur les administrations locales et sur les agences gouvernementales.
11 L augmentation a concerné principalement la masse monétaire (+18,7 p.c.) et les autres ressources (+2,4 p.c.) dans une moindre mesure. GRAPHIQUE 17 : MASSE MONETAIRE ET SES CONTREPARTIES ( à fin de trimestre en Mds de BIF) Déc 2003 Mars 2004 Juin Sept Déc Mars 2005 Juin Sept Déc Masse monétaire Av. ext. nets Crédit Intérieur net. L évolution de M2 a résulté de l expansion des avoirs extérieurs nets ( ,2 MBIF) et du crédit intérieur ( ,8 MBIF).
12 1. RESSOURCES 1.1. Masse monétaire La croissance de la masse monétaire s est décélérée (+18,7 au lieu de +26,0 p.c.). Le ralentissement de la progression a concerné les disponibilités monétaires (+16,8 au lieu de +31,8 p.c.), la quasi-monnaie ayant crû à un rythme plus rapide qu en 2004 (+23,5 contre +13,1 p.c.). GRAPHIQUE 18 : RESSOURCES MONETAIRES (à fin d année en Mds de BIF) Monnaie Quasi-monnaie Aussi, la part relative de M1 dans la masse monétaire (71,2 contre 72,3 p.c.) a-t-elle reculé en faveur de la quasi-monnaie (28,8 contre 27,7 p.c.).
13 a. Monnaie Les disponibilités monétaires ( ,3 contre ,5 MBIF) ont augmenté de ,8 MBIF par rapport à l exercice précédent. La hausse de M1 a porté sur les dépôts à vue ( ,8 MBIF) et sur la circulation fiduciaire hors banques ( ,0 MBIF). T A B L E A U 36 STRUCTURE DES DISPONIBILITES MONETAIRES (A fin d'année, en M B IF et en p.c.) C irculation D épôts T otal des fiduciaire p.c. à vue p.c. disponibilités hors banques monétaires ,4 43, ,4 56, , ,8 42, ,2 57, , ,2 37, ,0 62, , ,2 36, ,3 63, , ,2 37, ,1 63, ,3 La part relative de la monnaie scripturale dans M1 a légèrement diminué, revenant de 63,6 à 63,0 p.c.
14 La circulation fiduciaire a été marquée par une faible croissance qui s est maintenue de février à juin. A partir du mois de juillet, suite à une mauvaise campagne caféière qui est à l origine d une injection plutôt limitée des billets et pièces, elle a affiché des variations en dents de scie. Par la suite, la circulation fiduciaire s est sensiblement relevée au mois de décembre, s établissant à ,2 contre ,2 MBIF en décembre GRAPHIQUE 19 : BILLETS ET PIECES EN CIRCULATION (à fin de mois, en Mds de BIF) Jan Fév Mars Avr Mai Juin Jul Aoû Sept Oct Nov Déc
15 La hausse de la monnaie scripturale a concerné principalement les dépôts auprès des banques commerciales ( ,8 MBIF). TABLEAU 37 DEPOTS A VUE PAR INSTITUTIONS BANCAIRES (A fin d'année, en MBIF) B.R.B. 347,1 449, , , ,6 Banques Commerciales , , , , ,0 C.C.P , , , , ,5 TOTAL , , , , ,1 L évolution a porté sur les avoirs des particuliers ( ,8 MBIF), des sociétés à participation publique (+2.663,7 MBIF), des établissements financiers (+2.045,3 MBIF) et ceux classés dans les «autres comptes» (+3.239,8 MBIF). En revanche, les dépôts des entreprises privées ont baissé de 4.075,8 MBIF. GRAPHIQUE 20 : DEPOTS A VUE PAR CATEGORIE DE DETENTEURS ( à fin d année, en Mds de BIF) Particuliers Entr.privées Soc.à part. publique Autres cptes Et. Financiers
16 La répartition des dépôts par détenteur fait ressortir une augmentation des parts relatives des particuliers (45,6 contre 40,9 p.c.), des sociétés à participation publique (9,8 contre 8,6 p.c.) et des établissements financiers (2,0 contre 0,3 p.c.). En revanche, celles des entreprises privées (20,9 contre 28,3 p.c.) et des «autres comptes» (21,6 contre 21,8 p.c.) sont en recul. TABLEAU 38 DEPOTS A VUE PAR CATEGORIES DE DETENTEURS (A fin d'année, en MBIF) p.c. p.c. Particuliers , , , ,6 40, ,4 45,6 Entreprises privées , , , ,5 28, ,7 20,9 Sociétés à participation publique 4 227, ,4 7157, ,1 8, ,8 9,8 Etablissements financiers 913,5 728,7 930,8 317,2 0, ,5 2,0 Autres comptes 4 208, , , ,9 21, ,7 21,6 TOTAL , , , ,3 100, ,1 100,0 b. Quasi-monnaie Passant de ,4 à ,5 MBIF, la quasi-monnaie a augmenté de ,1MBIF. TABLEAU 39 DEPOTS A TERME ET D'EPARGNE PAR CATEGORIES DE DETENTEURS (A fin d'année, en MBIF) p.c. p.c. Particuliers , , , ,8 43, ,9 49,0 Entreprises privées , , , ,6 20, ,4 14,6 Sociétes à participation publique 3 278, , , ,5 8, ,3 10,6 Autres comptes 5 401, , , ,2 27, ,6 25,1 Etablissements financiers 227,0 0,0 87,3 223,3 0,4 483,3 0,7 TOTAL , , , ,4 100, ,5 100,0
17 La hausse des dépôts à terme et d épargne a concerné les placements des particuliers ( ,1MBIF), des sociétés à participation publique (+2.622,8 MBIF) et ceux classés dans les «autres comptes» (+2.213,4 MBIF). Par contre, les avoirs des entreprises privées ont baissé de 1.512,2 MBIF. GRAPHIQUE 21 : DEPOTS A TERME ET D EPARGNE PAR CATEGORIES DE DETENTEURS ( à fin d année en Mds de BIF) Particuliers Entr.privées Soc.à part. publique Autres cptes Et. Financiers L analyse de la répartition des dépôts à terme montre une augmentation des parts relatives des particuliers (49,0 contre 43,0 p.c.) et des sociétés à participation publique (10,6 contre 8,8 p.c.). De leur côté, celles des entreprises privées (14,6 au lieu de 20,6 p.c.) et des placements classés dans les «autres comptes» (25,1 contre 27,3 p.c.) ont diminué.
18 1. 2. Autres ressources Les autres ressources du système bancaire ( ,5 contre ,4 MBIF) se sont accrues de 2.392,1 MBIF. Leur part relative dans le total des ressources du système bancaire s est inscrite en retrait, s établissant à 28,8 au lieu de 31,8 p.c. une année auparavant. TABLEAU 40 AUTRES RESSOURCES DU SYSTEME BANCAIRE (A fin d'année, en MBIF) BANQUE CENTRALE , , , , ,9 - Provisions pour crédits documentaires 2 941,2 608, , , ,2 - Engagements extérieurs à long terme 3 258, , , , ,1 - Allocations de DTS , , , , ,9 - Fonds propres , , , , ,4 - Divers nets 5 877, , , , ,3 BANQUES COMMERCIALES , , , , ,8 - Fonds propres , , , , ,7 - Divers nets , , , , ,9 SOLDE NET DES OPERATIONS INTERBANCAIRES (1) -684, ,6-216, , ,8 TOTAL , , , , ,5 (1) : Ces chiffres résultent notamment du décalage dans les enregistrements comptables des opérations bancaires. Les fonds propres des banques commerciales (+8.148,0 MBIF) et le solde des opérations interbancaires (+2.650,3 MBIF) ont contribué à l augmentation des autres ressources du système bancaire. En revanche, les divers nets de la Banque centrale (-6.824,4 MBIF) et les provisions pour crédits documentaires (-3.834,0 MBIF) ont accusé une diminution.
19 2. EMPLOIS L évolution des contreparties des ressources du système bancaire a été marquée par la progression des avoirs extérieurs nets ( ,2 MBIF) et du crédit intérieur ( ,8 MBIF) Avoirs extérieurs nets. Les avoirs extérieurs nets (71.594,2 contre ,0 MBIF) se sont sensiblement accrus de 80,7 p.c. TABLEAU 41 SITUATION DES AVOIRS EXTERIEURS Avoirs extérieurs bruts (en MBIF) , , , , ,1 Engagements extérieurs à court terme (en MBIF) , , , , ,9 Avoirs extérieurs nets (en MBIF) , , , , ,2 Variation annuelle (en p.c.) -60,9 100,8 106,4-25,4 80,7 M , , , , ,5 M , , , , ,0 Avoirs extérieurs nets en p.c. de M1 (à fin d'année) 16,5 26,0 44,9 25,2 39,2 Avoirs extérieurs nets en p.c. de M2 (à fin d'année) 11,8 18,5 31,0 18,3 27,9 Avoirs extérieurs nets 14,9 24,1 48,6 35,7 71,8 (en millions de USD) Exprimées en dollars américains, les réserves de change nettes ont sensiblement augmenté de 101,1 p.c, s élevant de 35,7 à 71,8 millions ; ce qui couvre à peu près 3 mois d importation de biens et services. Les ratios des avoirs extérieurs nets sur les agrégats monétaires M1et M2 se sont élargis, passant de 25,2 à 39,2 et de 18,3 à 27,9 p.c. respectivement, les avoirs extérieurs nets ayant sensiblement contribué à la création additionnelle de la monnaie.
20 2.2. Crédit intérieur L encours du crédit intérieur ( ,1 contre ,3 MBIF) a augmenté de 3,9 p.c. Cette évolution a concerné l endettement net de l Etat (+13,5 p.c.), les créances sur l économie ayant baissé de 2,0 p.c. CREDIT INTERIEUR (A fin d'année, en MBIF) TABLEAU CREANCES NETTES SUR L'ETAT , , , , ,4 - Crédit à l'etat , , , , ,4 - Dépôts du secteur gouvernemental , , , , ,0 CREANCES SUR L'ECONOMIE , , , , ,7 - Crédits , , , , ,8 - Autres créances 4 547, , , , ,9 TOTAL , , , , ,1 a. Créances nettes sur l Etat Les créances nettes sur l Etat ( ,4 au lieu de ,7 MBIF) ont augmenté de ,7 MBIF. Cette évolution a résulté de la hausse des engagements bruts ( ,8 MBIF), partiellement compensée par le relèvement des dépôts du secteur gouvernemental ( ,1 MBIF).
21 b. Créances sur l économie Les créances sur l économie ( ,7 contre ,6 MBIF) ont fléchi de 2,0 au lieu d une augmentation de 2,6 p.c. De fait, la contraction des concours à l exportation ( ,0 MBIF) et des financements à moyen et long termes (-1.121,3 MBIF) a dépassé la hausse des crédits de trésorerie (+8.748,2 MBIF) et des autres créances (+258,8 MBIF).
22 D. LIQUIDITE DE L ECONOMIE Les liquidités globales de l économie ( ,1 contre ,7 MBIF) ont progressé de 16,2 contre 15,4 p.c. une année plus tôt. L accroissement a porté beaucoup plus sur les liquidités actives (+21,6 p.c.) que passives (+6,3 p.c.). TABLEAU 43 VENTILATION DES LIQUIDITES EN FONCTION DE LEUR DEGRE DE PARTICIPATION AU CIRCUIT DES ECHANGES Variations Moyenne(1) Variations (en p.c.) (en MBIF) (en p.c.) I. LIQUIDITES ACTIVES , ,9 16, , ,3 21,6 - Billets et pièces en circulation hors du système financier , ,8 18, , ,1 18,3 - Dépôts à vue auprès du système bancaire , ,1 15, , ,2 23,4 II. LIQUIDITES PASSIVES , ,8 5, , ,8 6,3 - Quasi-monnaie , ,5 23, , ,3 7,9 - Certificats du Trésor (2) , ,8-47, , ,9 1,7 - Placements auprès des établissements financiers 2 190, ,5-19, , ,6-12,5 TOTAL (I + II) , ,7 13, , ,1 16,2 (1) : Moyenne d'encours de fin de mois. (2) : Titres détenus par le secteur non financier.
23 L élargissement des liquidités actives a concerné davantage les dépôts à vue (+23,4 p.c.) que la circulation fiduciaire hors du système financier (+18,3 p.c.). Pour sa part, l augmentation des liquidités passives est liée à la hausse de la quasi-monnaie (+7,9 p.c.) et de l encours des certificats du Trésor souscrits par le secteur non financier dans une moindre mesure (+1,7 p.c). Toutefois, les placements auprès des établissements financiers ont diminué de 12,5 p.c. En moyenne, le taux de liquidité de l économie calculé sur la base du PIB a progressé (30,2 contre 29,9 p.c.). En revanche, calculé sur la base de la DIB le taux de liquidité a baissé (23,7 contre 25,3 p.c.). L évolution divergente de ces deux taux a résulté de l augmentation sensible des importations conjuguée à la diminution des exportations. TAUX DE LIQUIDITE DE L'ECONOMIE TABLEAU Liquidité de l'économie , , , , ,1 (MBIF, moyenne) - Produit Intérieur Brut , , , , ,0 aux prix du marché (en MBIF) (e) - Rapport liquidités/ P.I.B. 20,3 22,9 25,7 29,9 30,2 ( en p.c.) - Dépense Intérieure Brute (e) , , , , ,0 (en MBIF) (1) - Rapport liquidités/ D.I.B. 17,6 19,5 21,6 25,3 23,7 (en p.c.) (1) : D.I.B. = P.I.B. + importations de biens et de services non facteurs - exportations de biens et services non facteurs. (e) : Estimation. Sources : B.R.B. +M.P.D.R.
24 E. RISQUES DU SYSTEME FINANCIER 1. EVOLUTION GENERALE L encours des crédits distribués par le système financier ( ,8 contre ,5 MBIF) a poursuivi la décrue amorcée l exercice précédent (-3,1 contre -0,5 p.c.). L encours mensuel moyen ( ,8 contre ,1 MBIF) a fléchi de 2,7 p.c. EVOLUTION DES RISQUES DU SYSTEME FINANCIER (en MBIF) TABLEAU Fin Encours Fin Encours Fin Encours Fin Encours d'année moyens d'année moyens d'année moyens d'année moyens I. CREDITS DISTRIBUES , , , , , , , ,8 A. Crédits à court terme , , , , , , , ,9 Importation après expédition 1 501, , , , , , , ,9 Mobilisation de créances commerciales 1 118,2 654,6 221,8 492, ,0 894, , ,9 Exportation , , , , , , , ,1 Crédits de trésorerie , , , , , , , ,0 B. Crédits à moyen terme , , , , , , , ,2 Habitat 4 421, , , , , , , ,0 Equipement , , , , , , , ,2 C. Crédits à long terme 5 586, , , , , , , ,7 Habitat 3 682, , , , , , , ,4 Equipement 1 904, , , , , , , ,3 II. ENGAGEMENTS PAR SIGNATURE , , , , , , , ,4 Crédits à change non couvert , , , , , , , ,1 Avals et cautions 5 805, , , , , , , ,3 TOTAL DES RISQUES , , , , , , , ,2
25 La baisse a concerné principalement les financements à court terme qui se sont repliés de 4.727,7 MBIF, revenant de ,2 à ,5 MBIF. Les concours à moyen (-751,1 MBIF) et à long termes (-130,9 MBIF) ont, quant à eux, légèrement diminué. L encours des engagements par signature a enregistré une hausse de 8,7 p.c., passant de ,4 à ,4 MBIF. L accroissement a porté sur les crédits à change non couvert (+982,9 MBIF) et sur les avals et cautions (+1.413,1 MBIF). GRAPHIQUE 22 : EVOLUTION MENSUELLE DES CREDITS DU SYSTEME FINANCIER A L ECONOMIE (en Mds de BIF) Janv Févr Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc
26 2. CATEGORIES DE CREDITS 2.1. Crédits à court terme Les crédits à court terme se sont légèrement inscrits en retrait de 3,3 p.c., s établissant à ,5 au lieu de ,2 MBIF. De fait, le recul des concours à l exportation ( ,1 MBIF) et à la mobilisation des créances commerciales (-406,0 MBIF) a largement dépassé la hausse des crédits de trésorerie (+8.410,8 MBIF). Leur part dans l ensemble des crédits a légèrement baissé, revenant de 79,9 à 79,7 p.c. d une année à l autre. a. Crédits de trésorerie Les crédits de trésorerie ( ,3 au lieu de ,5 MBIF, se sont relevés de 6,9 p.c. contre une diminution de 7,1 p.c. l exercice précédent. Aussi, leur part relative dans le total des crédits à court terme a-t-elle progressé, passant de 84,5 à 93,5 p.c. En moyenne mensuelle, les concours de trésorerie se sont accrus de 5,0 p.c. b. Crédits à l exportation L encours des crédits à l exportation (6.679,7 contre ,8 MBIF) a sensiblement baissé de ,1 MBIF contre une augmentation de 5.111,3 MBIF l année précédente suite à la diminution de la production du café Aussi la part des concours à l exportation dans le total des crédits à court terme (4,8 contre 13,5 p.c.) a-t-elle décrû. c. Autres crédits à court terme Les autres crédits à court terme (3.492,8 contre 2.887,9 MBIF) ont reculé de 485,4 MBIF contre 538,3 MBIF en Cette baisse a porté sur les crédits de mobilisation de créances commerciales (-406,0 MBIF) et sur les concours à l importation après expédition (-79,4 MBIF).
27 2.2. Crédits à moyen terme Les financements à moyen terme (30.875,9 au lieu de ,0 MBIF) se sont inscrits en retrait de 2,4 p.c. au lieu d un accroissement de 12,4 p.c. une année auparavant. La diminution a porté sur les financements à l équipement (-1.278,8 MBIF), les crédits à l habitat ayant augmenté de 527,7 MBIF Crédits à long terme. Les concours à long terme ont fléchi de 130,9 MBIF, revenant de 4.570,3 à 4.439,4 MBIF. Ce recul est lié aux financements à l habitat (-79,1 MBIF) et à l équipement (-51,8 MBIF). GRAPHIQUE 23 : EVOLUTION MENSUELLE DES PRINCIPALES CATEGORIES DE CREDITS EN 2005 (en Mds de BIF) Janv Févr Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Exportations Importations Trésorerie Moyen terme Long terme
28 3. CREDITS PAR BRANCHE D ACTIVITE L analyse des crédits par branche d activité fait ressortir la prédominance des concours finançant les activités commerciales bien que leur part dans le total des crédits (68,8 contre 69,9 p.c.) ait légèrement baissé. TABLEAU 46 EVOLUTION DES CREDITS PAR BRANCHE D'ACTIVITE(1) (en MBIF) p.c. p.c. Habitat et autres constructions , ,0 9, ,4 9,1 Industrie 5 868, ,5 3, ,4 3,9 Commerce , ,9 69, ,1 68,8 Dont café , ,8 7, ,8 4,7 Tourisme 464,5 621,8 0,3 768,3 0,4 Agriculture 1 926, ,5 1, ,7 0,7 Artisanat 59,2 3,5 0,0 3,5 0,0 Petit équipement , ,7 8, ,0 10,3 Divers , ,2 7, ,7 6,7 TOTAL , ,1 100, ,1 100,0 (1) : Y compris les crédits à l'administration centrale, locale et aux agences gouvernementales. De même, les parts relatives des crédits alloués aux activités diverses (6,7 contre 7,8 p.c.) et à l agriculture (0,7 contre 1,1 p.c.) ont légèrement reculé. En revanche, les parts des financements affectés au petit équipement (10,3 contre 8,8 p.c.), à l habitat et autres constructions (9,1 contre 9,0 p.c.), à l industrie (3,9 contre 3,2 p.c.) ainsi qu au tourisme (0,4 contre 0,3 p.c.) se sont accrues dans une moindre mesure.
TABLE DES MATIERES. iii
RAPPORT DU COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE N 1/2014 ii TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES... iv RESUME ANALYTIQUE... v 1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE INTERNATIONAL... 1 1.1. Croissance du PIB mondial...
Plus en détailUniversité d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie
Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détail3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties
IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailCREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE
CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE PAR LES AUTORITES MONETAIRES SECTION 1 : LA CREATION MONETAIRE A Acteurs et modalités de création monétaire : La création monétaire consiste à accroître la quantité de
Plus en détailLe Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises
27 mars 2008 Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises Résultat net part du groupe : 2 730 M Produit net bancaire : 10 568 M Coefficient
Plus en détailÉtudes. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages
Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailINDICATIONS COMPLÉMENTAIRES
eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS
Plus en détailCHAPITRE VI : INTERMEDIATION DU SECTEUR BANCAIRE
CHAPITRE VI : INTERMEDIATION DU SECTEUR BANCAIRE L ordonnance n 10-04 du 26 août 2010, modifiant et complétant l ordonnance n 03-11 relative à la monnaie et au crédit, stipule que la Banque d Algérie est
Plus en détailDossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier.
Dossier Financier Ce dossier complète notre dossier économique en apportant un éclairage financier sur notre projet. Il s appuie sur l organisation que nous avons mise en place et sur l expérience de démarrage
Plus en détailLa Banque de France. 1- Les activités de la Banque de France p. 3. 2- Le système européen de banques centrales (SEBC) p. 4
La Banque de France Sommaire 1- Les activités de la Banque de France p. 3 2- Le système européen de banques centrales (SEBC) p. 4 3- Les activités de la Banque et son organisation territoriale p. 5 4-
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailPERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES
PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES La participation des communes au plan d économies initié par l Etat va modifier substantiellement les équilibres financiers des collectivités locales et notamment
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailObservatoire des Services Bancaires - www.osb.tn
CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2005 09 du 14 juillet 2005 Objet : Organisation du marché monétaire. TITRE PREMIER : DISPOSITIONS GENERALES Article premier : Le marché monétaire est ouvert dans
Plus en détailinstruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires
instruments de paiement échangés à travers les circuits bancaires Statistiques arrêtées à fin 2013 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 Partie I : Evolution des paiements de masse 6 I. Echanges EN INTERbancaire 7 1.
Plus en détailPréambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :
Préambule Nous vous proposons en préambule d estimer votre niveau de connaissances bancaires et financières en répondant à cet auto diagnostic. Que celui-ci vous soit prétexte à valider et à approfondir
Plus en détailFICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES
FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES V2.0 Page 1 sur 117 DESTINATAIRES Nom Direction M. Litvan FCE 6 ème Sous-direction M. Soulié FCE 7 ème Sous-direction
Plus en détailBANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011
البنك المركزي التونسي BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 SOMMAIRE Pages Introduction... 5 Endettement extérieur
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailQuels enseignements de l expérience française (1983-1990)
Développement des marchés de capitaux Quels enseignements de l expérience française (1983-1990) Séminaire de clôture Tunis, le 23 mai 2013 Françoise Drumetz Directeur de la coopération extérieure CONTEXTE
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES www.oc.gov.ma 2007 La reproduction des informations contenues dans la présente publication est autorisée sous réserve d en mentionner expressément la source. 1 TABLE
Plus en détailCOMMENTAIRES SUR COMPTES ANNUELS 2010
COMMENTAIRES SUR COMPTES ANNUELS Commentaires Note 1: CAISSE RUBRIQUES 2009 Caisse XOF 1,428,933,201 2,054,162,600 625,229,399 44% Caisse EUR 123,667,574 164,363,145 40,695,571 33% Caisse USD 118,203 446,683
Plus en détailBanque nationale suisse Résultat de l exercice 2014
Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailCOMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES
R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E COMPTES SPÉCIAUX RAPPORTS ANNUELS DE PERFORMANCES ANNEXE AU PROJET DE LOI DE RÈGLEMENT DES COMPTES ET RAPPORT DE GESTION POUR 2007 COMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES
Plus en détailNorme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie
Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailINSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES
INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES La Banque Centrale du Congo, Vu la Loi n 005/2002 du
Plus en détailLES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO
LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO La BCEAO dispose dans chaque Etat membre de l UEMOA, d une agence nationale et des agences auxiliaires. L agence nationale du Niger comprend trois représentations
Plus en détailTrès légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février
25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre
Plus en détailVérification des procédures en fin d exercice
Vérification des procédures en fin d exercice DIVERSIFICATION DE L ÉCONOMIE DE L OUEST CANADA Direction générale de la vérification et de l évaluation Décembre 2011 Table des matières 1.0 Résumé 1 2.0
Plus en détail3 ) Les limites de la création monétaire
3 ) Les limites de la création monétaire Si un banquier n a besoin que de son stylo pour créer de la monnaie, on peut se demander ce qui empêche une création infinie de monnaie. En fait, la création monétaire
Plus en détailComptes de tiers (Classe 4)
Comptes de tiers (Classe 4) Les comptes de tiers, notamment le compte 40 «Fournisseurs et comptes rattachés» et le compte 41 «Clients et comptes rattachés», peuvent être subdivisés pour identifier : les
Plus en détailMacroéconomie. Catherine Fuss Banque Nationale de Belgique catherine.fuss@nbb.be
Macroéconomie Catherine Fuss Banque Nationale de Belgique catherine.fuss@nbb.be Macroéconomie Monnaie Fonction de la monnaie Moyen de paiement: troc incompatible avec une forte division du travail acceptation
Plus en détailLes comptes de la Banque de France
1 Le rapport sur la situation patrimoniale et les résultats Le Conseil général a arrêté les comptes de l exercice 2012 au cours de la séance du 28 mars 2013. Le résultat net s établit à 3 146 millions
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 13 mai 2009 7h00 Résultat net de EUR 251 millions au 1 er trimestre 2009 Ratio Tier 1 de 10,7 % et core Tier 1 de 9,8 % Faits
Plus en détailCONDITIONS TARIFAIRES
CONDITIONS TARIFAIRES Des produits et services proposés par Groupama Banque Applicables au 1 er JANVIER 2015 Clientèle DES PROFESSIONNELS AGRICOLES Des artisans, commerçants et prestataires de services
Plus en détailCIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET A LEUR COUVERTURE PAR LES PROVISIONS
1 sur 9 30/05/2007 09:42 BANK AL-MAGHRIB -------------------- LE GOUVERNEUR Circulaire n 19/G/2002 Rabat, le 18 Chaoual 1423 23 Décembre 2002 CIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET
Plus en détailRapport financier du premier trimestre de 2013-2014
Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est
Plus en détailUNIVERSITE CENTRALE DE TUNIS
UNIVERSITE CENTRALE DE TUNIS Examen final de la session principale en Economie Monétaire Enseignants responsables: Mr. Mustapha Benhareth & Mr. Kaies SAMET Année universitaire : 2009-2010 Durée : 2 heures
Plus en détailContrôle. Consultation CDEC
Chapitre 1 : Monnaie et financement de l économie marocaine Financement de l activité économique Financement Direct Financement Indirect Marché financier Marché monétaire Marché hypothécaire Banques Stés.
Plus en détailPlan du cours. I. La création monétaire dans un système bancaire non hiérarchisé.
1 Plan du cours I. La création monétaire dans un système bancaire non hiérarchisé. II. Les échanges interbancaires. III. La création monétaire et les échanges interbancaires dans un système bancaire hiérarchisé.
Plus en détailIndicateur n 1.3 : Ecart entre le taux d intérêt des emprunts de la Sécurité sociale et le taux du marché
82 Partie II Objectifs / Résultats Objectif 1 Garantir la viabilité financière des régimes de Indicateur n 1.3 : Ecart entre le taux d intérêt des emprunts de la Sécurité sociale et le taux du marché 1er
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détailBANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE
1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailLE FONDS DE GARANTIE
CENTRE DE RECHERCHES, D ETUDES ET D APPUI A L ANALYSE ECONOMIQUE À MADAGASCAR LE FONDS DE GARANTIE Auteur Version date Maholy RAKOTOARISOA - Assistant chercheur finale Octobre 2003 Critère de diffusion
Plus en détailINSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE
INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE La Banque Centrale du Congo, Vu la loi n 005/2002 du 07 mai 2002
Plus en détailRoyaume du Maroc. Direction des Etudes et des Prévisions Financières
Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions Financières Le crédit à la consommation en pleine mutat i o n Mars 2008 http://www.finances.gov.ma/depf/depf.htm Boulevard Mohamed V. Quartier Administratif,
Plus en détailPERTES ET BENEFICES DE CHANGE
ANALYSE DE L EXECUTION DU BUDGET DE L ETAT PAR MISSION ET PROGRAMME EXERCICE 2012 COMPTE D OPERATIONS MONETAIRES PERTES ET BENEFICES DE CHANGE MAI 2013 Compte d opérations monétaires Pertes et bénéfices
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes
Plus en détailCHAPITRE VI : MARCHES DES CAPITAUX
CHAPITRE VI : MARCHES DES CAPITAUX CHAPITRE VI : MARCHES DES CAPITAUX VI.1 - MARCHE MONETAIRE Le marché monétaire est le lieu de rencontre des offres et des demandes de capitaux à court terme par des opérateurs
Plus en détailRapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010
Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 Fax +41 44 631 39 10 Zurich, le 13 août 2010 Rapport intermédiaire de la Banque nationale suisse au 30 juin 2010 La Banque nationale
Plus en détailTerritoires et Finances
Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent
Plus en détailCONDITIONS DE BANQUE AMEN BANK
I TAUX D INTERET TAUX DEBITEURS CATEGORIES DE CREDITS CONDITIONS DE BANQUE AMEN BANK FINANCEMENT A COURT TERME ESCOMPTE D EFFET DE TRANSACTION INFERIEUR OU EGAL A 90 JOURS TAUX EN % L AN arrêté le 08/06/2004
Plus en détailPARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailCLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS
CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS La classe 1 comprend les comptes du capital propre, des réserves et provisions, et ceux des avances et emprunts à plus d un an, dont
Plus en détailRemarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines
Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière
Plus en détail1. La fonction de règlement ne peut être assurée au niveau international que dans des conditions bien différentes. D une part, les agents concernés
Introduction La notion de système évoque l idée d organisation. Un système monétaire national est l organisation des relations monétaires dans un pays : comment les agents économiques peuvent-ils utiliser
Plus en détailQuel rôle pour la Banque de France depuis l avènement de l euro?
Florian Colas Conférence d économie approfondie Note sur un point technique, élaborée à partir d un entretien avec Madame Claudine Cortet, Conseiller auprès du Directeur général des Etudes et Relations
Plus en détailANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL
ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL Il donne une vision plus économique, il présente la manière dont les emplois sont financés par les ressources. Il permet de mieux comprendre le fonctionnement de
Plus en détailTable des Matières. 2 Secteur monétaire et bancaire (sources : BRH) Finances Publiques. (sources : BRH / MEF)
Table des Matières 2 Secteur monétaire et bancaire (sources : BRH) 6 Finances Publiques (sources : BRH / MEF) 7 Secteur réel (sources : IHSI / BRH / EDH) 10 Secteur externe (sources : BRH / AGD / Maison
Plus en détailPrésentation de la GUINEE au séminaire régional de l'afritac OUEST sur le thème "Gestion des Crises Bancaires et Politiques de Restructuration"
1 SOMMAIRE 1. Crise bancaire : contexte sociopolitique 2. Résolution des crises 3. Situation du système bancaire 4. Vulnérabilités 2 I. CRISES BANCAIRES : CONTEXTE SOCIOPOLITIQUES A l accession de la Guinée
Plus en détailThème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie
Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie L activité économique repose sur trois rouages : Monnaie besoins production répartition consommation Échanges Marché 2 «La monnaie n
Plus en détailNORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS
NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détailSession Juin 2013 Gestion financière. Donnée de l examen
Porrentruy Gestion financière - SED3 EXAMEN Session Juin 2013 Gestion financière Donnée de l examen Nom : Prénom : Durée : 160 minutes (2 heures 40 minutes) Matériel autorisé : Calculatrice non programmable
Plus en détailM_CONTRAN Contrats nouveaux
M_CONTRAN Contrats nouveaux Présentation Le document M_CONTRAN recense, de manière exhaustive, les nouveaux contrats de crédit libellés en euros, conclus avec les particuliers, les sociétés non financières,
Plus en détailBANQUE CENTRALE EUROPÉENNE COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Paris, le 20 avril 2015 BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE COMMUNIQUÉ DE PRESSE STATISTIQUES RELATIVES AUX FONDS D INVESTISSEMENT DE LA ZONE EURO FÉVRIER 2015 En février 2015, l encours de parts émises par les
Plus en détailORGANIGRAMME. Conseil d'administration. Administration. Caisse. Contrôle de Crédit. Monnaie et Analyse Économique. Affaires Internationales
ORGANIGRAMME Conseil d'administration Unité d'audit Interne Attachés à la Direction Générale Administration Ressources Humaines Comptabilité/Budget Support Informatique Affaires Juridiques Contentieux
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailDécryptage des méthodes modernes de la création monétaire
Décryptage des méthodes modernes de la création monétaire Nikolay Gertchev Deuxième Université d automne de l économie autrichienne 5-7 Octobre 212, Troyes Eléments essentiels des systèmes bancaires contemporains
Plus en détailCHAPITRE V : SYSTEME BANCAIRE, ET INTERMEDIATION
CHAPITRE V : SYSTEME BANCAIRE, ET INTERMEDIATION Le cadre légal de l'activité bancaire, conforté par l'ordonnance n 03-11 du 26 août 2003 relative à la monnaie et au crédit, a permis l'émergence progressive
Plus en détailSeptembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse
Septembre 2013 Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Baromètre bancaire 2013 Executive summary 3 1 Evolution économique globale 1.1 Economie internationale 1.2 Suisse
Plus en détailLEADER MONDIAL DU PETIT ÉQUIPEMENT DOMESTIQUE
26 février 2015 Résultats de l exercice 2014 Groupe SEB : Des performances opérationnelles solides Des devises pénalisantes 1 Ventes de 4 253 M en croissance organique* de + 4,6 % Croissance organique*
Plus en détailL importance de la monnaie dans l économie
L importance de la monnaie dans l économie Classes préparatoires au Diplôme de Comptabilité et Gestion UE 13 Relations professionnelles Etude réalisée par : Marina Robert Simon Bocquet Rémi Mousseeff Etudiants
Plus en détailCdC du Pays bellêmois Conseil 25-02-15 Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL. Compte Administratif 2014
BUDGET GÉNÉRAL Compte Administratif 2014 SECTION DE FONCTIONNEMENT DEPENSES CA 2013 CA 2014 Alloué Réalisé Alloué Réalisé 011 Charges à caractère général 445 615 424 289,55 448 291 411 184,65 012 Charges
Plus en détailrapport annuel de l observatoire de l épargne réglementée
2013 rapport annuel de l observatoire de l épargne réglementée Observatoire de l épargne réglementée Observatoire de l épargne réglementée Code courrier : 043-2521 31 rue Croix-des-Petits-Champs 75049
Plus en détailUNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST
UNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST DISPOSITIF PRUDENTIEL APPLICABLE AUX BANQUES ET AUX ETABLISSEMENTS FINANCIERS DE L UNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UMOA)
Plus en détailGUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX FONCTIONNEMENT DES COMPTES DIVISIONNAIRES
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX DES COMPTES DIVISIONNAIRES Directive n 03/11-UEAC-195-CM-22 relative au plan
Plus en détail3e question : Qui crée la monnaie?
3e question : Qui crée la monnaie? INTRO : Sensibilisation Vidéo : Comprendre la dette publique en quelques minutes (1min à 2min 27) http://www.youtube.com/watch?v=jxhw_ru1ke0&feature=related Partons de
Plus en détailFocus sur les politiques publiques de l épargne en France
Focus sur les politiques publiques de l épargne en France T. Mosquera Yon Banque de France 1 En France, les pouvoirs publics ont, dès 1818, souhaité mettre en place des dispositifs visant à encourager
Plus en détailIsabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr
Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Jean-Christophe BERGE Tél : 01 55 34 40 13 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : jcberge@fcl.fr Ville de Gisors 24 juin 2014 87 rue St-Lazare
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailBanque de la République du Burundi
Banque de la République du Burundi CIRCULAIRE PORTANT REGLEMENTATION DES APPELS D OFFRES DE LIQUIDITE Article 1 er L objet de la présente circulaire est d instaurer et de réglementer les appels d offres
Plus en détailProgramme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?
Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements
Plus en détailTARIFS. au 1 er janvier 2015. CONDITIONS APPLIQUéES
Entreprises TARIFS au 1 er janvier 2015 CONDITIONS APPLIQUéES aux opérations bancaires Conditions appliquées à la clientèle Entreprises Tarifs en vigueur au 01/01/2015 Voici les principales conditions
Plus en détailLa confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai
25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques
Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité
Plus en détailLES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :
LES BANQUES I. Les différents services proposés par les banques : Les services bancaires représentent l ensemble des produits proposés par une banque. Les services bancaires les plus connus sont : Epargne
Plus en détailEPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER
EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système
Plus en détailLA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents. Mardi 29 novembre 2011
LA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents Mardi 29 novembre 2011 SOMMAIRE Introduction : pourquoi la gestion de la trésorerie est-elle indispensable?
Plus en détail(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %
RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur
Plus en détail