Le commerce électronique et la banque
|
|
- Ségolène Lamothe
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le commerce électronique et la banque Auteur : Jérôme CAPIROSSI - Juin Introduction A moyen terme, les banques françaises vont devoir faire face à une intensification de la concurrence tout azimut, sur leurs secteurs traditionnels avec la deuxième phase de l Euro et la rémunération des dépôts, sur les nouveaux secteurs (Internet, le WAP) avec la diffusion et l amélioration des technologies. Comment doivent-elles orienter leurs stratégies en ligne pour relever ce défi? Après une brève présentation du contexte bancaire et des mutations en cours, on procède à une analyse des caractéristiques et des contraintes des services en ligne. Plan du document : 1 Introduction Le contexte bancaire qu est-ce qu une banque? les faiblesses françaises les mutations stratégiques en cours Le commerce en ligne les business models un nouveau monde Les internautes et leurs besoins Qui sont les utilisateurs des services bancaires et financiers en ligne? Les attentes des internautes : le portail financier Les services en ligne Panorama des segments Les faiblesses des banques établies Les forces des banques établies Les opportunités Le B2B... 4
2 5.6 Les positionnements possibles Les canaux Les tendances stratégiques Les tendances technologiques Les expériences en cours en France Quelles attitudes les banques traditionnelles doivent adopter? Bibliographie : Le contexte bancaire 2.1 qu est-ce qu une banque? Les établissements de crédit sont des personnes morales qui effectuent à titre de profession habituelle des opérations de Banque. Les opérations de Banque comprennent la réception de fonds du public, les opérations de crédit, ainsi que la mise à disposition des moyens de paiement vis-à-vis de la clientèle ou la gestion de ces mêmes moyens de paiement. La banque est un agent économique qui met en relation les offreurs et les demandeurs de capitaux : soit en intercalant son bilan c est l intermédiation bancaire, soit en leur donnant un accès direct aux marchés financiers, c est la désintermédiation. Il existe des établissements généralistes (ex : les grandes banques), et des établissements spécialisés : Soit sur le type de clientèle (entreprise, corporate, particuliers) Soit sur le type de produit (crédit immobilier, crédit à la consommation, investissement, ingénierie financière, ) 2.2 les faiblesses françaises Les faiblesses des banques françaises sont : Une faible rentabilité due à une faible facturation des services et à un faible niveau des commissions, la sur bancarisation : guichets agences postales caisses d épargne, L approche de banque universelle (banque de particuliers, de gros, d investissement) trop rigide,
3 Une culture et une image de service public qui provient d une histoire de nationalisation, La péréquation des dépôts/flux et crédits, Une structure de demande où les entreprises ont une place prépondérantes (marge de crédit plus étroites) Des contraintes réglementaires différentes pour chaque type d acteur alors que les champs d activités deviennent identiques 2.3 les mutations stratégiques en cours On constate les mouvements et les événements suivants : Un mouvement de concentration des banques, Un assainissement des conditions de concurrence (Livret jeune, prêt à taux zéro), Une réforme de la structure tarifaire (rémunération des dépôts) qui va modifier les règles de concurrence et permettre une meilleure facturation des services, La phase II de l Euro, Une verticalisation des activités (filialisation selon les types d opérations ou de clients) 3 Le commerce en ligne 3.1 les business models En étudiant les sites de commerce électronique on dégage la typologie d activité suivante : Le courtage en ligne : transactions achat/vente, places de marché, communautés de marché verticales, agrégateur, distributeur, galerie marchande, galerie marchande organisée, enchères, enchères inversées, ventes ciblées, agent acheteur virtuel La publicité en ligne : portail généraliste, portail personnalisé, portail spécialisé (vortal), consultation incitative, modèle gratuit, discounter L infomédiaire : système de recommandation, système d enregistrement Le marchand : marchand virtuel, catalogue en ligne, établissement avec boutique en ligne Le manufacturier : vente directe L affiliation : vente indirecte sur Internet
4 La communauté virtuelle : basé sur le volontariat, réseau d expertise L abonnement : journaux, magazines, news L utilité : paiement à l usage 3.2 un nouveau monde Le commerce en ligne bouscule et bouleverse les points de repères et les pratiques de commerce. L approche stratégique classique basée sur l analyse de la chaîne de valeur et la recherche de l avantage concurrentiel (M. Porter 1982) ne tient plus. La notion classique de segments de marché, de différentiation, de coût d entrée de marché se transforme (ex : amazon, AOL) La capacité de mobilisation de fonds des nouveaux entrants est très grande : aux US les start-up, en Europe les grands groupes. Les nouveaux média créent une rupture dans les chaînes de valeur : De nouveaux entrants s intercalent dans la chaîne de valeur d entreprises établies (ex : amazon) De nouveaux entrants captent la chaîne de valeur d entreprise établies (ex : Dell et Compaq) Les règles de ce nouveau monde sont : L actif est constitué par le client (stratégie tous segments) vitesses et gestion des compétences 4 Les internautes et leurs besoins 4.1 Qui sont les utilisateurs des services bancaires et financiers en ligne? En France, 54% des internautes dans le cadre des applications de banque/finance sont des cadres. 45,3% de ces internautes sont situés en région parisienne. Ils sont multi-bancarisés. Leurs fonctions préférées sont l émail, le Web, le Téléchargement. 58% (37% contre) apprécient d avoir un abonnement Internet par leur banque, avec comme caractéristiques un coût peu élevé, et un accès rapide. 40% des européens vont utiliser un service de banque-finance en ligne d ici à 2003 d après JP Morgan 4.2 Les attentes des internautes : le portail financier
5 Les internautes désirent avoir un service accessible et convivial qui leur permette de gérer toutes leurs opérations financières d un point d accès unique: gestion des comptes, des polices d assurance, des investissements. Ce service avec un mot de passe unique leur permet de se connecter à toutes leurs ressources. Néanmoins, la création de portails reste difficile, car la tendance des acteurs n est pas de collaborer (dilemme du prisonnier). Pour ces raison, il est impossible pour les banques traditionnelles devenir des portails. 5 Les services en ligne 5.1 Panorama des segments La banque en ligne : devient un service standard, pas adapté à la multi-bancarité, c est en fait un canal complémentaire. (Une banque virtuelle nécessite au moins de s appuyer sur un réseau de GAB) Le courtage en ligne : compétition forte sur les niveaux de commissionnement, les SI des banques établies doivent être modifiés lourdement. Les crédits en ligne : secteur de forte compétition entre les banques traditionnelles, de nouveaux entrants adossés à des groupes de distribution intensifient la concurrence La banque de gros en ligne : ce secteurs traditionnellement réservé aux banques établies commence à être attaqués par de nouveaux entrants 5.2 Les faiblesses des banques établies La capacité d investissement des banques établies est contrastée. En effet, les anticipations sur les banques traditionnelles sont contrastées, alors que le marché a plébiscité les dot.com. Pour les banques traditionnelles le canal Internet est un canal complémentaire, donc les coûts de transactions restent élevés alors que pour les banques en ligne, le canal Internet est un canal principal, donc les coûts de transactions sont bas. «Le coût d une transaction en ligne n est pas toujours moins cher que le coût d une transaction classique (Peter Duffy - Barclays)» Une frange de clients limitée : 3% des américains utilise un service de banque on line (Source CSFB) 5.3 Les forces des banques établies
6 Les banques établies ont un réseau de succursales, celui-ci reste indispensable à côté de l activité en ligne. Les banques établies ont des systèmes d information traditionnellement sécurisés, notamment qui ne prêtent pas le flanc aux faiblesses de sécurité dues à Internet. Les banques établies ont déjà pris en compte de l axe client et la dimension marketing dans leur activité. Les années 90 ont été pour les banques les années du marketing. 5.4 Les opportunités 5.5 Le B2B Le WEB est un formidable outil de marketing : Il permet d améliorer l interactivité avec le client, Il permet une personnalisation des offres et des services et un cross-selling efficace, Il permet des interactions avec les autres canaux, notamment le centre d appel, Il permet de piloter une stratégie marketing tout segment. Les courtiers en ligne interviennent de plus en plus sur les IPO alors qu il s agit d un segment traditionnellement générateur de marge pour les banques établies. De nouveaux entrants apparaissent sur le marché de gros (garde de titres, e-bond, ) : BondCheck, TradeBonds.com, Securities.Hub, TradeWeb, TradeCard (lettres de crédit), Bolero.net (joint venture SWIFT) 5.6 Les positionnements possibles Par rapport à Internet, les positionnements possibles sont : 5.7 Les canaux La banque virtuelle, La banques hybride (Internet et succursales), Les alliances entre banques et ISP ou banques et portails, La sous-traitance de Back-Office Le téléphone reste par sa diffusion un canal privilégié pour le B2C avec néanmoins de pauvres possibilités d interaction. Le minitel est un canal en voie de disparition, néanmoins qui reste répandu. Le fait de ne pas le reconduire lors d une application de service en ligne dépend de la base installée de l établissement bancaire.
7 Le FAX est un canal traditionnels pour les PME. Sa prise en compte dépend de l équipement de la base installée des PMEs. Le WEB est un canal en forte expansion qui devient grâce à son interactivité le poste standard de service en ligne. Le e-messaging est un canal complémentaire au WEB qui permet de transposer les techniques du marketing direct. Les transferts de fichier ETEBAC3, ETEBAC5 sont des canaux traditionnels pour les PMEs françaises. Ils forment un usage d exception pour les PMEs françaises et doivent céder le pas aux technologies XML adaptées à Internet. Le fait de reconduire ou de ne pas reconduire ce type de canal dépend de la base installée et de la cible du service en ligne. Le transfert de fichier OFX est un canal adapté au B2C et aux PME. Son utilisation dépend de la base installée d utilisateurs possesseurs des logiciels Money et Quicken. Le WAP est un nouveau canal prometteur puisque s appuyant sur une base promise large (les téléphones portables). Néanmoins, il est affecté d un certain nombre de limitation : diversité des terminaux, affichage pauvre, terminaux évolutifs. Son utilisation dépend de la base installée des utilisateurs, et de la cible à atteindre et de la stratégie marketing à moyen terme. 5.8 Les tendances stratégiques Les frontières entre les acteurs (banques, courtiers, assureurs, gestionnaires de fond, fonds de pension, ) deviennent flous. A terme, il y aura convergence entre les acteurs on-line et off-line Les banques établies vont adopter davantage une approche de supermarché de crédit A terme, les banques risquent d être attaquées sur le secteur des paiements électroniques. En effet, les moyens de paiements électroniques actuels couvrent mal les micro-paiements, les jeunes (exclus des cartes), le paiement de personne à personne. 5.9 Les tendances technologiques Les moyens et les outils de sécurité vont s améliorer en termes de robustesse et d ergonomie. Les outils marketing vont continuer à s améliorer en terme de personnalisation et de ciblage interactif en prenant en compte plus finement le comportement du client, la géographie et la saisonnalité. Le paiement des chèques va entraîner le développement des applications de présentation et de paiement de facture.
8 Les systèmes de paiement vont s améliorer, notamment sur la base de la cartes à puce, qui se généralise Les expériences en cours en France 123Prêt : agrégateur de prêts immobilier (sept banques généralistes et établissements de crédits spécialisés sont partenaires du site) Créditmust : comparateur de prix de crédits immobilier 123Crédit : Offres de crédit a la consommation édité par NetValor dont l actionnaire unique est le CCF One fi : portail financier du monde de l assurance et de la banque Ze Bank : banque en ligne développée par Europ@Web (groupe B. Arnault) VooNoo : La société générale lance un service d accès gratuit à Internet 6 Quelles attitudes les banques traditionnelles doivent adopter? Bien que les services en ligne ne représentent pas une proportion significative des clients traditionnels des banques, celle-ci se font attaquer par de nouveaux entrants sur des segments traditionnellement générateurs de marge. Pour résister à ce mouvement de fond, elles doivent intégrer dans leur réflexion stratégique les points suivants : Avoir une stratégie client tout segment et tout canaux: c est l opportunité offerte par les moyens technologiques Être moteur sur des projets de service en ligne dans l objectif de faire diminuer les coûts globaux de recentrage au moment de la consolidation. Considérer la filialisation comme moyen de développement qui permet de s affranchir des rigidités de grosses structures, et qui permet de se développer sur l axe vertical en abandonnant peu à peu une image difficile à maintenir de banque généraliste. Collaborer avec les portails qui seront à terme les meilleurs diffuseurs de service à la fois sur les secteurs du B2B et du B2C. Être innovant notamment sur le secteur des paiements qui reste à développer et sur les services de B2B Se préparer aux nouveaux services notamment de présentation et de règlement de facture 7 Bibliographie :
9 La Banque Priami Garsuault Economica NC state Michael RAPPA Le Figaro 2/6/2000 Cap Gemini ebusiness Unit Michael Porter L avantage concurrentiel 1982 Etude Qualisteam 1 semestre
www.breizhconsulting.fr Centre de formation digital et communication : www. Komelya.fr
«Comment bien choisir sa plateforme e-commerce» Merci de mettre votre portable en mode silencieux Mais vous pouvez twitter C est au programme - Les solutions open source - Les plateformes en mode SAAS
Plus en détailVENDRE EN LIGNE SUR UNE PLACE DE MARCHE
Les places de marché sur Internet (ou «marketplaces») existent depuis le début des années 1990. Le développement du e-commerce a néanmoins créé un nouveau modèle de place de marché au début des années
Plus en détailNOTRE STRATÉGIE DE BANQUE DE DÉTAIL SUR INTERNET. Christian Poirier
NOTRE STRATÉGIE DE BANQUE DE DÉTAIL SUR INTERNET Christian Poirier Journée Société Générale - 20 juin 2000 Sommaire Analyse F.F.O.R. (forces, faiblesses, opportunités et risques) Positionnement / Objectifs
Plus en détailLe Commerce électronique Introduction
Le Commerce électronique Introduction Année universitaire 2014/2015 Semestre 1 Introduction Générale L apparition de l internet dans le champs économique à la fin des années 1990 a entraîné un réel bouleversement
Plus en détailMobile Banking. laurent.kiba@orange-sonatel.com. laurent.kiba@orange-sonatel.com
Mobile Banking De la voix aux données Des données aux services transactionnels Services voix Services données Services transactionnels Mobile banking Pourquoi un opéra Marché fortement marqué par le phénomène
Plus en détailLe succès du multicanal intégré en assurance auto Séminaire innovation CHEA 5 mai 2011
Le succès du multicanal intégré en assurance auto Séminaire innovation CHEA 5 mai 2011 Véronique Brionne Marilyn Faugas Karine Paul Jean-Christophe Boccon-Gibod Sommaire 1. Pourquoi avons-nous choisi Progressive?
Plus en détailAtelier 2 L e-commerce
Atelier 2 L e-commerce Claude Ménissez E-commerce Les lois de l efficacité 1 Spécificité essentielle du e-commerce Mettre en ligne un site internet marchand c est ouvrir d un coup des millions de boutiques
Plus en détailNicolas Malo Jacques Warren. Préface de Marc Lolivier. Web Analytics. Mesurer le succès et maximiser les profits de votre site Web
Nicolas Malo Jacques Warren Préface de Marc Lolivier Web Analytics Mesurer le succès et maximiser les profits de votre site Web www.webanalyticsprofits.com Deuxième édition revue et augmentée, 2009, 2012
Plus en détailNote partielle sur le E-Commerce
Note partielle sur le E-Commerce (Centrée sur le marché de l habillement ; source : IFM 2011) 1. Remarques générales ; quelques définitions et orientations 1. Les Pure Player Il s agit du commerce en ligne
Plus en détailDU Paris II Modèle de l économie numérique. Commerce électronique et conflits de canaux de distribution
DU Paris II Modèle de l économie numérique Commerce électronique et conflits de canaux de distribution Introduction La notion de canaux de distribution : => réseaux de distribution propre : automobiles,
Plus en détailPrésenté par Cédric Piazza Directeur Général. Se lancer dans le E-commerce en 2015: Quelle stratégie gagnante??
Présenté par Cédric Piazza Directeur Général. Se lancer dans le E-commerce en 2015: Quelle stratégie gagnante?? 2 WIZISHOP Présentation de notre solution ecommerce 5 CONSEILS Pour bien préparer son projet
Plus en détailE-Commerce Tutoriels TABLE DES MATIÈRES. Tutoriel 1 EC 1.01 Qu est-ce que le commerce électronique
TABLE Preface iii Préface iii Tutorial Tips xv Avant de commencer v New Perspectives on E-Commerce Tutorials EC 1.01 E-Commerce Tutoriels Read This Before You Begin EC 1.02 Tutoriel 1 EC 1.01 Qu est-ce
Plus en détailI / Un marché planétaire de la devise
I / Un marché planétaire de la devise Le marché des changes est le plus important des marchés. Pour beaucoup, il apparaît également comme le plus parfait des marchés, sur lequel l information circule vite
Plus en détailProgramme de Partenariat CIOA. Ecole du Nouveau Commerce. Septembre 2012
Programme de Partenariat CIOA Ecole du Nouveau Commerce Septembre 2012 Groupe CIOA - Le Nobel - Avenue de l Université - 83160 La Valette du Var FRANCE Tel : 33 (0)4 94 14 12 40 - Fax : 33 (0)4 94 14 12
Plus en détailPrésentation des résultats 2008 de la Banque de Tunisie
Présentation des résultats 2008 de la Banque de Tunisie Mai 2009 Rencontre avec les Intermédiaires en Bourse Plan de la rencontre Composition du groupe Banque de Tunisie Faits marquants de l année 2008
Plus en détailUne technologie de rupture
Une technologie de rupture Conçue pour l utilisateur final À partir de son outil de communication préféré Pour de nouveaux usages Dans laquelle la sécurité est totale mais transparente Créée en 2010, genmsecure
Plus en détailE-commerce B2B Comment l exploiter avec Magento Enterprise Edition?
Webinar Magento Mardi 4 décembre 2012, 9h30-10h30 E-commerce B2B Comment l exploiter avec Magento Enterprise Edition? Le webinar va bientôt commencer E-commerce B2B Comment l exploiter avec Magento Enterprise
Plus en détailINTRODUCTION. Intégration d un système de paiement en ligne dans votre site internet
INTRODUCTION CashBox est le premier système de paiement internet en zone UEMOA. Développé par ULTIMA Technologies, société spécialisée dans le développement Internet, CashBox est une solution simple et
Plus en détailDes solutions pour les seniors à revenus insuffisants
Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.
Plus en détailLe groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1)
16 mars 2011 Le groupe Crédit Mutuel en 2010 Un réseau proche de ses sociétaires-clients, au service des entreprises créatrices d emplois dans les régions (1) Résultat net total 3 026 M (+61 %) Résultat
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 25 février 2014 RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE Portée par ses activités de crédits, La Banque Postale poursuit son développement et enregistre des résultats
Plus en détailSTRATEGIES INTERNET INTRODUCTION AUX. Vers une approche globale de la présence sur Internet
INTRODUCTION AUX STRATEGIES INTERNET Vers une approche globale de la présence sur Internet 2008 Philippe FLOC H Strategic Consulting Tous droits réservés Introduction aux Strategies Internet 22/02/2008
Plus en détailVendre son champagne sur internet
dossier P.13-17 Vendre son champagne sur internet De nombreuses études le montrent : le commerce en ligne se porte bien et devrait continuer à croître sur les deux prochaines années. Ainsi, la Fédération
Plus en détailLES INTERVENANTS. Technologie d'attribution marketing. Technologie d optimisation de campagnes SEM. Conseil Agence Intégrateur.
ATTRIBUTION EN MARKETING DIGITAL: OBTENIR PLUS AVEC MOINS Webinaire du 20 mai 2014 LES INTERVENANTS Technologie d'attribution marketing Fabien Dutrieux Conseil Agence Intégrateur Technologie d optimisation
Plus en détailMaîtriser la diffusion de son catalogue e-commerce
Maîtriser la diffusion de son catalogue e-commerce Lorraine Un site marchand est sans cesse en recherche de moyens pour développer son activité. Au-delà de l optimisation de la boutique, il est possible
Plus en détail+ DISCOVER " BENCHMARK DU SECTEUR, DE LA CONCURRENCE, + PLAN MÉTHODOLOGIE " STRATÉGIE COMMERCIALE, STRATÉGIE DE MARQUE, MARKETING,
+ " BENCHMARK DU SECTEUR, DE LA CONCURRENCE, " STRATÉGIE COMMERCIALE, STRATÉGIE DE MARQUE, MARKETING, " STRATÉGIE MULTI-CANAL, " BUSINESS PLAN, + PLAN " EXPRESSION DE BESOIN / CAHIER DES CHARGES " PLAN
Plus en détailFinlande. Extrait de : Statistiques bancaires de l'ocde : Notes méthodologiques par pays 2010
Extrait de : Statistiques bancaires de l'ocde : Notes méthodologiques par pays 2010 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/bank_country-200-fr Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE
Plus en détailBientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne.
www.audirep.fr Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne. Restitution des résultats d une étude menée par internet sur un échantillon de 1 001 personnes représentatives de la population
Plus en détailModule n 2. Les applications des SI : e-business. Objectifs du Module n 2
Module n 2 Les applications des SI : e-business Objectifs du Module n 2 Connaître et distinguer les différentes applications du système d informations. Plan 1- Les applications Back office (ERP) 2- Les
Plus en détailSOMMAIRE. 1.3 Les échanges...11 1.3.1 Balance commerciale... 11 2 LE SECTEUR DES TRANSACTIONS SECURISEES...13 3 CONTACTS UTILES...25 4 ANNEXES...
7 SOMMAIRE 1 PANORAMA DU PAYS...9 1.1 Une économie performante...9 1.1.1 Le PIB... 9 1.1.2 Les investissements directs étrangers (I.D.E.)... 10 1.1.3 Les finances publiques... 10 1.2 Les défis de l économie
Plus en détailTable des matières. Partie I Concevoir le commerce électronique 7. Liste des études de cas Introduction 1 Les auteurs 5
Table des matières Liste des études de cas Introduction 1 Les auteurs 5 Partie I Concevoir le commerce électronique 7 Chapitre 1 Émergence et tendances du commerce électronique 9 1. Chiffres-clés et tendances
Plus en détaile-commerce : Guide à l intention des Petites et Moyennes Entreprises
Livre Blanc e-commerce : Guide à l intention des Petites et Moyennes Entreprises Optimisation des opportunités en ligne pour les PME Opportunités en ligne La conjoncture n a jamais été aussi favorable
Plus en détailRÉFLEXION STRATÉGIQUE QUANT À LA MISE EN PLACE D'UN PROJET E-BUSINESS
RÉFLEXION STRATÉGIQUE QUANT À LA MISE EN PLACE D'UN PROJET E-BUSINESS REMARQUES PRÉLIMINAIRES Ces questions ont un double objectif. D'une part, mieux cerner les tenants et aboutissants de votre projet
Plus en détailCOMMENT FAIRE DU E-COMMERCE?
COMMENT FAIRE DU E-COMMERCE? Le marché du e-commerce Besoins d un e-commerçant L offre des prestataires Offres «standardisées» Offres sur mesure Choisir une offre Solution libre ou propriétaire? Fonctionnalités
Plus en détailThème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise
Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise
Plus en détailLES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT
LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009 Une bonne stratégie à l export ne s improvise pas CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009
Plus en détailDOSSIER SPECIAL LE COMMERCE OMNI- CANAL EN MODE ACCELERE ZOOM SUR HYBRIS
DOSSIER SPECIAL LE COMMERCE OMNI- CANAL EN MODE ACCELERE ZOOM SUR HYBRIS Juin 2013 SOMMAIRE I. LE REFERENTIEL AU CŒUR DU SYSTEME OMNI CANAL... 4 II. DIALOGUES MULTIPLES... 6 III. FACTEURS D ACCELERATION
Plus en détailOffices de tourisme et bonnes pratiques Internet. Evaluation comparative de sites Internet
Offices de tourisme et bonnes pratiques Internet Evaluation comparative de sites Internet Quoi? Ce document est un résumé des résultats de l étude menée sur une quinzaine de sites Internet dans le domaine
Plus en détailETUDE DE CAS PROJET CRM DU GROUPE PASSION BEAUTE
Master 2 Marketing Communication et Stratégies Commerciales CRM & E Business - Session octobre 2011 Alexandra Vignolles ETUDE DE CAS PROJET CRM DU GROUPE PASSION BEAUTE Opportunité et complexité de la
Plus en détailSommaire. Vos opérations avec l étranger... 10-11. Vos opérations de change... 12-13. Les incidents de fonctionnement... 12-13
Sommaire AXA Banque se réserve la possibilité de facturer toute opération ayant généré un coût spécifique et en informera préalablement le Client. Toute mesure d ordre législatif ou règlementaire ayant
Plus en détailLa signature électronique en agence une étape clé de la banque numérique Conférence de presse
17 Avril 2013 La signature électronique en agence une étape clé de la banque numérique Conférence de presse Jean Yves FOREL, directeur général, membre du directoire de BPCE en charge de la Banque commerciale
Plus en détailGroupe Eyrolles, 2015 ISBN : 978-2-212-56114-2
, 2015 ISBN : 978-2-212-56114-2 Chapitre 1 Que vient faire Apple dans le paiement? Apple s est spectaculairement redressé avec le retour de son fondateur Steve Jobs en 1997. Les ipod, iphone et autres
Plus en détailFiche de l'awt L'intermédiation
Fiche de l'awt L'intermédiation E-Business: présentation de l'intermédiation (activités liées à l'e-business externalisées vers des parties tierces) et de ses différents modèles Créée le 05/02/01 Modifiée
Plus en détailImpact de l Apparition de l Hyper-Connectivite sur la Banque de De tail
Impact de l Apparition de l Hyper-Connectivite sur la Banque de De tail 2012 Financial Breakthroughs - Ver-2012-02-06 - Document sous licence CC-BY-NC-ND I FICHE RESUME DE CE LIVRE BLANC... 1 II INTRODUCTION...
Plus en détailPARTIE 1 LA CONNAISSANCE DU MARCHÉ ET DU CYBER CONSOMMATEUR
AVANT-PROPOS Introduction au e-marketing Section 1 La maturité du commerce en ligne Section 2 Le phénomène web2.0 Section 3 Le plan de l ouvrage PARTIE 1 LA CONNAISSANCE DU MARCHÉ ET DU CYBER CONSOMMATEUR
Plus en détailCOMMENT FAIRE DU COMMERCE ELECTRONIQUE?
Sur le marché de la création de sites marchands, les offres de prestataires fourmillent. Reste à savoir ce que ces prestations recouvrent et ce qui les distingue les unes des autres. Le commerce électronique
Plus en détailRésultats semestriels et guidances. 14 septembre 2006
Résultats semestriels et guidances 14 septembre 2006 1 Prolégomène Un 1er semestre de préparation de l exercice 2007 avec des actions nécessaires qui porteront leurs fruits à court terme L affirmation
Plus en détailManagement Stratégique. Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1.
Management Stratégique Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1 Plan du Module 3 Chap.3- Les modèles fondés sur la structure des marchés
Plus en détailQuels sont les leviers et freins de l e-businessl en Belgique et en Wallonie?
Quels sont les leviers et freins de l e-businessl en Belgique et en Wallonie? André Delacharlerie Responsable de l Observatoire des TIC ad@awt.be e-business, fini de jouer? 26.04.2007-1 Au cœur c de l
Plus en détailPHILLIPS INTERNET COMMUNICATION C EST...
PHILLIPS INTERNET COMMUNICATION C EST... 18 ans d expérience Une équipe passionnée et motivée Plus de 500 clients satisfaits et motivés LES 10 ETAPES CLES D UN PROJET E-COMMERCE LES 10 ÉTAPES CLES 1 L
Plus en détailRentabilité du e-marketing Mesurabilité accrue Développement des ventes (direct & indirect) Réduction des coûts Développer la notoriété de la marque
Marketing centré sur le consommateur Marketing multicanal Cycle relationnel client Notoriété Communication Vente Support Fidélisation Internet & Marketing Support publicitaire (elle) Outil de marketing
Plus en détailAPPEL A PROJET MONETIQUE ONG REGINA CAELI «PRESENTATION DU GIM-UEMOA & RÉALITÉS DES TRANSACTIONS ÉLECTRONIQUES AU BÉNIN»
APPEL A PROJET MONETIQUE ONG REGINA CAELI «PRESENTATION DU GIM-UEMOA & RÉALITÉS DES TRANSACTIONS ÉLECTRONIQUES AU BÉNIN» Cotonou Le 25 octobre 2014 PLAN PRESENTATION DU GIM-UEMOA RÔLE & IMPORTANCE DE LA
Plus en détailINTERNET 1 DANS LE «SHIPPING» :
SYNTHESE N 29 INTERNET 1 DANS LE «SHIPPING» : DU TATONNEMENT A LA CONSOLIDATION Internet soulève depuis plusieurs mois maintenant de nombreuses interrogations et ses applications ne cessent d augmenter.
Plus en détailDU COMMERCE CONNECTÉ!
e-commerce+ Magazine d'information d'octave n 14 - Avril 2015 Suivez la tendance DU COMMERCE CONNECTÉ! SOLDES OUVERT ÉVOLUTION DU COMMERCE vers un commerce "CONNECTÉ" CASH PISCINES : Le projet "cross canal"
Plus en détailComment évaluer une banque?
Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans
Plus en détailRésultats du 1er Semestre 2009. 31 août, 2009
Résultats du 1er Semestre 2009 31 août, 2009 Groupe Hi-media La plateforme de monétisation leader en Europe Hi-media est le premier groupe de media online en Europe en terme d audience et de part de marché
Plus en détailUne nouvelle dimension pour le Groupe
+ Une nouvelle dimension pour le Groupe Plan Les atouts du rapprochement - Un changement de dimension - Des synergies importantes - De fortes complémentarités Les modalités de l opération Plan d action
Plus en détailhttp://myriam-webmarketing.blogspot.com myriam@fcwebmarketing.fr 06.63.93.14.86
1 Formations & Conseils Web Marketing Myriam GHARBI Formations & Conseils Web Marketing Vous êtes Auto-entrepreneur, Créateur d'entreprise, Salarié au sein d'une TPE, PME ou dans une Collectivité? Vous
Plus en détail!!!!!!! Statistiques & Résultats Par Industrie
Statistiques & Résultats Par Industrie Nous sommes une équipe d'experts qui créent, gèrent et optimisent des campagnes publicitaires internet à performance. Nous aidons nos clients à acquérir et à conserver
Plus en détailwww.cmcicpaiement.fr plateforme de paiements sécurisés sur internet Groupe Crédit Mutuel-CIC La carte d identité 2009
CM-CIC PAIEMENT www.cmcicpaiement.fr plateforme de paiements sécurisés sur internet Le Groupe CM-CIC Groupe Crédit Mutuel-CIC La carte d identité 2009 PNB : 13,6 milliards Résultat net part du groupe :
Plus en détailLE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel
LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel Sommaire PRESENTATION GENERALE DU MARKETING: Qu est-ce que le Marketing? Introduction et définition
Plus en détailAVANTAGES TARIFAIRES AU PERSONNEL. Mesures prises unilatéralement par la direction le 1 er février 2011
AVANTAGES TARIFAIRES AU PERSONNEL. Mesures prises unilatéralement par la direction le 1 er février 2011 1. Bénéficiaires. Sont seuls bénéficiaires des présentes décisions unilatérales : - tous les salariés
Plus en détailBusiness & High Technology
UNIVERSITE DE TUNIS INSTITUT SUPERIEUR DE GESTION DE TUNIS Département : Informatique Business & High Technology Chapitre 6 : Customer Relationship Management (CRM) Sommaire Introduction... 1 Les enjeux
Plus en détailVariation totale en %
jeudi 16 février 2012 Kingfisher annonce un chiffre d'affaires en progression de 2,2 % au quatrième trimestre, en hausse de 4,0 % à taux de change constants (+ 0,9 % à surface comparable). Le groupe prévoit
Plus en détailTENDANCES MARKETING DIGITAL. pour l industrie agroalimentaire en B2B et B2C
TENDANCES MARKETING DIGITAL 2014 pour l industrie agroalimentaire en B2B et B2C Credit photos Flickr EDUCATION Les réseaux sociaux ont vu se développer les conversations entre les marques et leurs consommateurs
Plus en détailCréer un site internet?
WebexpR Communication digitale des PME 249 rue Irène Joliot Curie 60610 La Croix Saint Ouen contact@webexpr.fr Créer un site internet? Qui? Quoi? Pour qui? Pourquoi? Quand? Comment? Combien? Rédaction
Plus en détailLe e-business (ou e-commerce)
Le e-business (ou e-commerce) Introduction : 2004 est une année exceptionnelle pour le commerce électronique. Depuis un an, le chiffre d affaires des sites de vente en ligne (B2C uniquement) a augmenté
Plus en détailSYNTHÈSE. Quelles sont les perspectives du marché des services en ligne?
SYNTHÈSE Le marché des contenus et des services payants en ligne, historiquement fort en France sur la téléphonie fixe autour de Télétel puis d Audiotel s est développé autour de nouveaux canaux de diffusion
Plus en détailVotre solution de commerce électronique pour entreprise
Votre solution de commerce électronique pour entreprise À propos de nous Dédié aux succès de votre entreprise en ligne Faire affaires avec k-ecommerce en chiffres c est: Entreprise fondée en 2001 Un réseau
Plus en détailCaisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Charente-Maritime Deux-Sèvres. 18 septembre 2012
Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Charente-Maritime Deux-Sèvres 18 septembre 2012 Sommaire Communiqué de synthèse P. 1 Le projet de regroupement des fonctions support : un projet stratégique P.
Plus en détailEn partenariat avec. et sa solution e-mailing
En partenariat avec et sa solution e-mailing A quoi sert une campagne e-mailing? A quoi sert un e-mailing? Faites la distinction entre la communication de masse et la communication ciblée Notoriété Communication
Plus en détailIntroduction au private equity
BANQUE FINANCE SOCIAL GESTION DROIT MARKETING Introduction au private equity Les bases du capital-investissement Cyril Demaria 4 e édition SOMMAIRE Préface... 11 Introduction : Qu est-ce que le private
Plus en détail«Bachelor Filière e-management»
Evaluations «Bachelor Filière e-management» 2008-2009 CADRE GÉNÉRAL Le système d évaluation proposé vise à vous aider d une part à vous approprier les connaissances apportées par les intervenants et d
Plus en détailRESULTATS ANNUELS 2011
RESULTATS ANNUELS 2011 22 Mars 2012 Une vision claire et constante depuis 2003 : les contenus digitaux ne peuvent pas être 100% gratuits I LE POSITIONNEMENT Aider les media et les services en ligne à bâtir
Plus en détailCHAPITRE 9 LE SYSTÈME BANCAIRE
CHAPITRE 9 LE SYSTÈME BANCAIRE 9.1 LE SYSTÈME BANCAIRE AMÉRICAIN Contrairement aux banques de plusieurs pays, les banques américaines ne sont ni détenues ni gérées par le gouvernement. Elles offrent des
Plus en détailL e-commerce : sécurité et paiements en ligne
L e-commerce : sécurité et paiements en ligne La corde sensible d Internet : état des lieux Jean David Olekhnovitch www.olek.fr V1.2-29/01/10 Evolution du marché français Evolution du CA B to C en milliards
Plus en détailLes acteurs français du crédit à la consommation : maturité ou nouvel élan? Étude - Janvier 2005. Banque et Finances
Les acteurs français du crédit à la consommation : maturité ou nouvel élan? Étude - Janvier 2005 Banque et Finances 1 SOMMAIRE PANORAMA DU MARCHÉ FRANÇAIS CLÉS D'ÉVOLUTION LE MARCHÉ AMÉRICAIN COMME REPÈRE
Plus en détailLes courtiers auront de plus en plus
GÉRARD BÉRUBÉ Au cours de la dernière décennie, les transformations qui ont façonné le réseau de distribution en assurance n ont donné d autre choix que d examiner ce volet du marché et de se questionner
Plus en détailS84-1 LA GRC ET LE SI (Système d Information) 841 - Qualification des données clientèle. 842 - La segmentation de la clientèle
S84-1 LA GRC ET LE SI (Système d Information) 841 - Qualification des données clientèle 842 - La segmentation de la clientèle 843 - Les actions personnalisées utilisation des procédures de consultation
Plus en détailPrésentation Personnel et Confidentiel. Emmanuel Grimaud, Stéphane Leguet infos@simul-retraite.fr / 01 53 43 03 80
Présentation Personnel et Confidentiel Emmanuel Grimaud, Stéphane Leguet infos@simul-retraite.fr / 01 53 43 03 80 10 slides pour comprendre 1. Opportunité 2. vision 3. projet 4. marché 5. concurrence 6.
Plus en détaile-business, EAI et Business Intelligence Le triptyque gagnant profondément les structures des organisations et par conséquence
e-business, EAI et Business Intelligence Le triptyque gagnant Alain Fernandez Consultant indépendant, il intervient depuis plus de 15 ans auprès des grands comptes et des PME sur la conception des systèmes
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailLe Marketing Relationnel Universitaire : 2010.2011 0
Universitaire : 2010.2011 0 Introduction : Chaque jour à travers le monde, des managers déplorent la baisse de fidélité de leurs clients qui sont courtisés plus fébrilement par des concurrents offrant
Plus en détailEN MAÎTRISANT INTERNET, APPORTEZ UN NOUVEL ÉLAN À VOTRE ACTIVITÉ
EN MAÎTRISANT INTERNET, APPORTEZ UN NOUVEL ÉLAN À VOTRE ACTIVITÉ Les places de marchés : nouvelles tendances de l e-commerce? Préparer son projet Découvrir ses possibilités Découvrir ses limites Skender
Plus en détailLe secteur bancaire confronté au défi FATCA. Juillet 2013. kpmg.fr
Le secteur bancaire confronté au défi FATCA Juillet 2013 kpmg.fr 1 Le secteur bancaire confronté au défi FATCA Sommaire Contexte et enjeux opérationnels de la réglementation FATCA... 2 Cinq grands chantiers
Plus en détailColloque International IEMA-4
Comment mettre en place un dispositif coordonné d intelligence collective au service de la stratégie de l entreprise. Conférence de Mr. Alain JUILLET - Le 17/05/2010 IEMA4 Pour ne pas rester dans les banalités
Plus en détailLe programme d'accompagnement E-tourisme des CCI de Provence Alpes Côte d'azur Parcours : «Approfondissement»
Le programme d'accompagnement E-tourisme des CCI de Provence Alpes Côte d'azur Parcours : «Approfondissement» JOURNEE 1 : LA DEMARCHE MARKETING JOURNEE 2 : SITE WEB ET OPTIMISATION DE SA VISIBILITE WEB
Plus en détailNomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2. Section K Division 66
Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2 Section K Division 66 66 ACTIVITÉS AUXILIAIRES DE SERVICES FINANCIERS ET D'ASSURANCE Cette division comprend la prestation de services connexes des services financiers
Plus en détailL affiliation dans Le mix digital
L affiliation dans Le mix digital Les évolutions attendues pour L affiliation 1. Le rôle d une agence média 2. Les enjeux globaux pour le digital 3. Le mobile et L affiliation 4. Le pilotage à la performance
Plus en détailBienvenue dans l univers du e-commerce (commerce en ligne)
DOSSIER DE PRESSE «I-WEPS» La solution du e-commerce par cartes bancaires Visa & Mastercard CONTINENTAL CREDIT CARDS SERVICES S.A. Cartes Bancaires - Systèmes et Moyens de Paiement Electroniques Store
Plus en détailWorkshop n 1 : les partenariats stratégiques inter-entreprises. Vers quelles formes de partenariats s orienter?
Workshop n 1 : les partenariats stratégiques inter-entreprises Vers quelles formes de partenariats s orienter? Sommaire Définitions - rappels Les stratégies de croissance de l entreprise Les différentes
Plus en détailUne gamme complète de solutions d investissement et de services à destination des investisseurs
Une gamme complète de solutions d investissement et de services à destination des investisseurs LA FRANCAISE GLOBAL INVESTMENT SOLUTIONS La Française GIS est une des 3 entités du Groupe La Française et
Plus en détailPrésentation des résultats 2006. 15 mars 2007
Présentation des résultats 2006 15 mars 2007 Préambule Le intègre dans son périmètre la création de Natixis intervenue le 17 novembre. Les données financières présentées sont issues des comptes pro forma
Plus en détailAvis d expert. Réussir son Site E-Commerce
Avis d expert Réussir son Site E-Commerce Réussir son Site E-Commerce Un projet de site E-Commerce revêt une complexité croissante, que ce soit pour créer un nouveau site ou faire évoluer un site existant.
Plus en détailJedeclare.com fournisseur de gains de productivité
Jedeclare.com fournisseur de gains de productivité Christine CLIPET responsable marketing de jedeclare.com Bonjour Christine CLIPET, pouvez-vous présenter rapidement JeDeclare.com ainsi que votre fonction?
Plus en détailLa distribution et le marketing numériques
La distribution et le marketing numériques E-commerce : un développement solide L e-commerce transforme la manière avec laquelle les clients ont accès et achètent leurs produits. Avec, en point d orgue,
Plus en détailCustomer experience Management et «Listening Platforms»
Customer experience Management et «Listening Platforms» Présentation Clever Age Plus de 120 collaborateurs sur 4 agences Croissance régulière et rentable G3+ Banque de France Agrément CIR jusqu en 2013
Plus en détailAnne-Marie SCHLOSSER, Professeur à l EAP-Ecole Européenne des Affaires
RELATIONS À DISTANCE, RELATIONS AUTOMATISÉES OU RELATIONS PERSONNALISÉES : LES ÉVOLUTIONS DE LA RELATION BANQUE-CLIENTS Anne-Marie SCHLOSSER, Professeur à l EAP-Ecole Européenne des Affaires RÉSUMÉ La
Plus en détailLes Fiches thématiques Jur@tic. ecommerce. Bien préparer son projet de site de vente en ligne
Les Fiches thématiques Jur@tic ecommerce Bien préparer son projet de site de vente en ligne Les Fiches thématiques Jur@TIC? 1. Pourquoi passer le cap du e-commerce? (e-commerce signifiant commerce électronique)
Plus en détail