FRANCK LOZAC'H ÉLÉMENTS DE RÉFLEXION

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "FRANCK LOZAC'H ÉLÉMENTS DE RÉFLEXION"

Transcription

1 FRANCK LOZAC'H ÉLÉMENTS DE RÉFLEXION 1

2 CHAPITRE PREMIER 2

3 De l Intelligence Le parcours de l esprit L Esprit s assoie sur son néant. Ainsi il perçoit sa première conscience. C est toutefois une perception de la Nature qu il reçoit dans cet état. Il ne peut en être autrement, puisqu il est un élément de cet ensemble. L Esprit se construit pour aller de la satisfaction des nécessités de survie jusqu à la compréhension de l'aprèsvie. Il se cristallise pour accéder aux besoins immédiats. C est donc une volonté d effort à la nature qui est ainsi accompli. Il en est d ailleurs de toute espèce, de toute diversité animale ou végétale. Une conscience de situations, d apprentissage, d expérience en quelque sorte se forme. La conscience s adapte aux obligations de la Nature. L on voit ainsi que c est elle qui domine, et impose son diktat de vie et de survie. Le travail du vivant sera de s adapter, de transformer, et de combattre cet ennemi. Le monde est en guerre. Ce monde d actions mécaniques traduit la force, la déchéance, la transmission de l héritage génétique. Ceci 3

4 n est pas ma logique. C est bien la loi de la Nature qui nous soumet à cette vérité. Il est à supposer que l Esprit, qui est déjà une forme élaborée de la conscience, est parvenu à combattre ou maîtriser certains éléments de la Nature. L Esprit avance avec sa logique, mais il arrive rapidement au bord du gouffre, de son propre gouffre de la vie, - c est l échéance de la mort. Comment peut-il comprendre, ou supposer comprendre la possibilité de vie après la mort? Il le fera en utilisant les propriétés sensitives mises à sa disposition par son organisme. Il le fera car vivant en communauté, il essayera de comprendre la suite de la destinée de ses proches. Peut-on prétendre que certains organismes, plus sensibles que d autres, possèdent l aptitude de percevoir un semblant de vie après la mort biologique? Dans la logique de la pensée, le rationnel n est pas toujours le plus sûr. C est notre civilisation qui a établi le diktat de la science. Mais la compréhension du paranormal, c est-à-dire de la suite après le gouffre s opère par l utilisation d autres propriétés. Il n y a pas que le rationnel qui soit réel. Le paranormal est du réel, mais perceptible en utilisant d autres propriétés des sens. La capacité répétitive de la physique réduit au mépris et à l insignifiant cette 4

5 partie de la nature dont l expérience ne peut être constamment reproduite. L esprit poursuit donc son chemin logique pour accéder à une métaphysique. Cet élan vers un Principe absolu nécessite la séparation du corps d avec l esprit. Ainsi il faut voler, voler pour franchir le gouffre, et c est déjà pénétrer dans l histoire de la Religion. L homme applique cette méthode. Certains pourtant prétendent qu après le gouffre, il n y a rien, et s en retournent à leur propre néant. Faut-il parier? Est-ce un pari d ailleurs? Ou est-ce une perception seulement accessible à une élite? 5

6 De la logique La pensée apparaît comme étant un petit accident de l intelligence, une sorte de minuscule collision où s associent et s opposent des concepts, des images, des symboles et du langage. L ensemble combiné engendre une pensée qui est le plus souvent une réflexion, ou du moins une action intérieure. Abstraite et volatile, rationnelle et concrète, sa définition épouse toutes les formes autorisées par la capacité créatrice de l intelligence. Il semble difficile de prétendre savoir s il est plus logique de faire apparaître des schémas simplifiés et ordonnés, ou des concepts impénétrables et délétères. La raison conseille d aller du plus simple au plus compliqué, donc d organiser sa création d actions par des propositions élémentaires puis de les surcharger par des principes supérieurs à l entendement. Qu en est-il de la vérité? Des doctrines et des thèses s opposent. On dirait que chacune d entre elles définit une méthode d exploitation et d expérimentation sans pour autant posséder toutes les définitions de l autre. L ensemble des méthodes offertes semble posséder la vérité, mais chaque partie séparée ne permet pas de tirer une analyse globale satisfaisante. L arbitre conseillerait de prendre chaque ensemble sans 6

7 pour autant décider d un choix ou d un prélèvement judicieux. Un principe risque d exclure les autres principes, et si tous possèdent un peu de vrai, l on ne peut choisir, et il faut tous les prendre. Le lecteur avisé prétendra que c est aller dans beaucoup d endroits à la fois, et que l on se trouve ainsi entraîné dans une étonnante aventure de l esprit. Que l intelligence le veuille ou non, la raison s arrête pour juger et décide d un choix, car la capacité humaine d absorption ne peut, faut de mémoire et de moyens, maîtriser l ensemble des procédés mis à sa disposition. Les méthodes ou les principes employés pour ordonner cette aptitude de l intelligence ne sont pas constamment opposés. Ils offrent parfois des similitudes d actions quand bien même ils sembleraient pénétrer des voies différentes. Si la première perception semble abstraite ou éloignée de la logique, la finalité à atteindre est bien concrète et répond à une matérialisation quantifiable. Cette finalité semble bien éloignée de la première idée naïve qui apparaissait à la conscience. L être trouvera la solution d après sa perception interne ou en corrélation avec le monde extérieur. 7

8 Tout d abord, l esprit s entoure du néant, puis il avance et désire organiser un déplacement rationnel ou hasardeux. Il avance, regardant sur sa droite, sur sa gauche vers un avenir en utilisant un passé. Il tâtonne ou prétend aller fort vite, éclairé par une sorte de certitude. Ce matériel de l intelligence s élabore, se construit et se fortifie animé par les autres notions ou idées qui viennent le secourir. La logique alors construit avec la volonté d aller de l avant. La pensée ne fait-elle qu avancer, ou parfois ne cherche-t-elle pas à tourner en cercle pour revenir à son point de départ, c est-à-dire à son réflexe premier? La logique de penseur accomplit tout d abord son effort pour satisfaire à une matérialité, puis elle satisfait le désir de l être, et quand elle a satisfait ce désir, elle échappe à l être pour accéder à l essence supérieure, c està-dire à une volonté métaphysique. Elle agit par ordre de nécessité allant du plus simple au plus abstrait. Ce n est pas une chute simplifiée, ni une trajectoire calculable. La construction s opère d une idée à l autre par le principe de ressemblance. L énergie utilisée pour fabriquer le mouvement permet à l intelligence de se déplacer. Accéder à la pensée finale, c est-à-dire à l essence de la métaphysique est d une importance capitale pour le 8

9 devenir de l homme. Élaborer, échafauder une construction de l homme vers le haut permet de spéculer sur les idées éternelles. C est donc en étudiant le mécanisme du fonctionnement de la logique, en déterminant le parcours qu elle nous permettra d accomplir, c est-à-dire la suite de ces actions rationnelles et abstraites, que nous parviendrons à accéder à une philosophie de la nature. Il nous faudra avancer en décomposant de manière logique, donc avec un système de simplification pour comprendre la nature dans sa diversité. La pensée doit avancer, subirait-elle des heurts, des résistances ou des volontés de retournements sur soi-même. Elle doit avancer, accompagnée de sa propre négation, car lui faut comprendre. Ne faut-il pas essayer d accéder au pur commencement, à la pensée première quand bien même il s agirait encore d un travail abstrait. Mais de toujours se déplacer selon un ordre, sans vouloir toutefois épuiser toutes les possibilités, ce qui serait un jeu éreintant pour l esprit? Difficile pourtant d aborder ici le problème de la sélection ou du choix dans les actions à accomplir. L ordre 9

10 serait de découvrir le premier acte de logique, puis d en expliquer le second. Ce premier acte ne pourrait trouver son origine dans la mémoire, c est-à-dire dans le passé puisqu avant ce premier acte de logique, il n y avait rien. Il semble difficile d avancer dans cette recherche de la logique sans y intégrer la valeur temporelle. L avancée permanente de la raison qui progresse accompagnée de sa propre négation se développe sur l étendue du temps. Mais je puis comprendre que pour des raisons évidentes de simplification, l analyse s effectue en dehors du paramètre temporel. Après avoir dégagé une première réflexion concernant la logique, nous nous promettons de spéculer quelque peu sur l être et sur l essence. Nous verrons à quelle hauteur ou quelle profondeur la difficulté nous entraîne, et comme il semble utopique de vouloir échafauder quelque construction en ne possédant pas tous les éléments d analyse véritables. 10

11 L intelligence humaine L intelligence humaine possède cette particularité de chercher constamment à défaire des questions qui reviennent sans cesse dans sa propre conscience. Sa volonté est de résoudre des problèmes posés par la nature, et d y donner une réponse qui dépasse le plus souvent les limites de sa perception. Confrontée au difficile problème de l adaptation à l existence, par son savoir et son expérience, elle voudra dompter les éléments naturels pour tenter d en devenir le maître. Intégrant de la pensée dans la matière, elle désire s élever toujours plus haut jusqu à la compréhension ultime des phénomènes métaphysiques. Et c est en transmettant son héritage intellectuel, de génération en génération, que la raison parviendra à progresser. C est élan qui pousse l homme vers l avenir défera les contradictions et l obscurantisme dans lesquels son essence d être vivant semblait l avoir laissé. Il lui faudra aller au-delà des limites de sa capacité à percevoir. Il devra supposer au-delà du champ de l expérience, n ayant plus désormais par les moyens de sa perception la possibilité de vérifier ce qu il avance. 11

12 L homme de science va croire sans voir, et s en retournera ainsi à la conviction sensible de l être spirituel qui a présupposé une possibilité de vie après la mort. Il est vrai que si l outil qu emploie l homme de science apparaît plus subtil pour étayer ce qu il avance, l outil même virtuel est encore une fraction du réel, et cette simulation semble suffire. L analyste doit donc attacher une immense importance à toutes ces sortes de recherche dont l objet est d élever la nature humaine. Celui qui exprime du mépris ou de l indifférence à l égard de ces choses cachées affiche un sentiment coupable de blocage et d intelligence limitée. L on peut apprécier chez l homme de science sa volonté profonde remplie d objectivité et de droiture rationnelle, et cette objectivité-là offrira la possibilité à la civilisation de progresser. Si le fondement est bien établi, si la discipline accède aux choses profondément enfouies, c est encore toute la communauté qui bénéficie de cette excellence. Et cette réputation de solidité et de vigueur mérite tous les éloges. 12

13 Il est d autres disciplines nourries de sensibilité, dont la nature subtile et délétère ne favorise aucunement la vérification des principes, - ceux-ci étant du domaine du variable et du modifiable. Il en est ainsi des arts dont les règles établies constamment sont déplacées par le génie de leurs exécuteurs. Il y a enfin le monde spirituel constellé de points d interrogation, légiféré par des structures de croyance qu il semble le plus souvent difficile d épouser. Celui-ci nécessite de l entendement de coeur qui va au-delà de la raison ou de la vision de l oeil. Il s agit ici de percevoir par le soupçon, qui est encore une forme de sensibilité imperceptible et non renouvelable. C est à chacun de lui accorder son propre examen d après sa conviction intime. Il y aurait donc une critique à faire à l égard de cette forme de connaissance qui peut se développer indépendamment de toute certitude quantifiable, quoique... les mystiques ne sont point hommes de confusion et leur intelligence est parfaite dans l entendement du quotidien. Intégrer une métaphysique dans son monde spirituel, cela est certes une bonne chose, mais il faut encore que les principes sur lesquels l on établit cette vérité-là soient bien déterminés. 13

14 Il faut parfois s en référer à la compétence d autrui, car ceci est gain de temps et certitude de bonne méthode, mais l opinion du grand nombre peut le plus souvent être détestable. Il est des perceptions encore inexpliquées qui inquiètent l élite mais sont rejetées avec virulence par la masse d humains. Il est des connaissances dont l entendement est incertain, dont les contours sont difficilement délimités. Leur base ne peut être fermement déterminée. De certitude, il n en est point. Leur recherche est encore insoupçonnée, leurs règles inconnues. Et c est en exploitant l intuition de l homme que l on parvient à extraire les premières parcelles de vérités. Pourtant l opinion d autrui fondée sur des entendements solides, transmise de générations en générations est d une certitude autorisée. Faut-il tout reconsidérer, et vérifier par soi-même ce que les pères ont intelligemment démontré? La capacité temporelle mise à la disposition de l homme lui impose d aller outre, d y gagner en vitesse et de refuser les tâtonnements. Pour ce qui est de l hypothèse - j accorde à dire qu elle est l une des caractéristiques de la personnalité humaine la plus audacieuse et la plus intéressante. Elle 14

15 projette l homme vers le devenir par la spéculation, par son risque et son résultat. Elle est l aventure de l esprit, elle se nourrit d énergie pour explorer, chercher et parfois découvrir. 15

16 L idée L idée est le pur concept, inadapté encore, ne possédant aucune mise en forme. Elle n est qu une perception délétère, inorganisée, elle est indice d or, donc parcelles lumineuses dans un magma de boue. Elle ne possède pas toujours de certitude de vérité. L or du pauvre est bien la pyrite, et beaucoup se sont laissés tromper. On doit davantage l employer dans le sens de : perception inconnue, de rareté, d unicité. L idée n appartient pas à un ensemble. Elle ne peut jaillir que d un seul cerveau. L idée n est pas une opinion. On ne peut pas avoir une idée concernant un tableau ou une œuvre d art. Il s agit ici d une réflexion critique que tout un chacun peut exprimer. Il n y a pas nouveauté, détermination inconnue. Le but de l idée est de devenir, devenir concept à forme rationnelle, palpable et quantifiable. On doit en faire un usage. Il y a donc l idée et son but. Entre les deux s expriment l exécution, la mise en forme, l exploitation, tout le travail de l adaptation jusqu à la finalité à obtenir. L idée doit donc se construire dans le rationnel, et c est seulement à cette condition qu elle pénétrera l espace de l objectivité. 16

17 Mais cette objectivité peut tout aussi bien revêtir une valeur personnelle. IL faut encore que la perception extérieure d autrui s accorde avec l idée réalisée par le concepteur. L habillage de l idée, sa mise en forme en quelque sorte doit posséder bien du talent, c est-à-dire des valeurs reconnues pour que l idée nouvelle puisse être assimilée et comprise. L idée se confond avec la pensée. Si la pensée a une connotation à tendance philosophique, c est-à-dire intégrant des concepts de l entendement, à forme représentative, l idée doit déboucher sur un concept rationnel scientifique ou technique, épousant le signifiant aussi du service. L Idée prétend donc posséder le Vrai en soi, et elle va tenter dans l exécution de son travail de finaliser sa certitude. C est pourquoi le devenir est un paramètre indispensable qui s associe à la vérité de l Idée. Il faut aller dans l au-delà, dans le futur proche, et ainsi prouver que l Idée possédait du Vrai. Il n est pas toujours utile de concrétiser cette action pour détenir l intime conviction que ce que l on suppose pénètre le Vrai. 17

18 La certitude subjective mais intime doit coïncider avec la certitude objective d autrui, ainsi l Idée devient-elle réelle. L Idée qui germe pour pénétrer l espace objectif doit constamment subir des modifications pour s adapter, pour se construire et se conformer à la certitude d autrui. Il est vrai que la finalité ne possède nul objet qui soit conforme à l essence de l Idée. Évidemment! Puisque l Idée subit des modifications pour pénétrer dans le Concret. La finalité de l Idée jamais ne pourra prétendre répondre à son concept initial. La lente élaboration de sa forme première a modifié de manière significative son concept d origine. L idée ne s oppose donc pas à sa réalisation, mais elle n est plus ce qu elle semblait supposer être. L idée de la maquette ne peut être comparée au prototype, - grande est la distance qui la sépare de cette finalité-là. L idée ne peut s épanouir que dans le réel, et dans cet espace-là, elle doit s analyser avec objectivité pour savoir si son essence est conforme à l application de son concept. 18

19 L Intelligence accède à une forme de Vérité, quand l Idée se finalise dans une réalisation. J écris bien une forme de Vérité, car elle peut tout aussi bien revêtir une valeur personnelle et non pas universelle. Il y a donc intégration d autres éléments permettant à l idée de se finaliser. Cette obtention du résultat n engendre pas toujours une détermination satisfaisante. Le concept dans sa pure spéculation permettait d obtenir un objet ou d envisager une finalité différente. L Idée ne revêt qu une détermination limitée, son contenu est imperceptible, - en vérité, il n est qu un réel virtuel, sans puissance d existence. L idée n existe pas dans la réalité. Elle n est que la conscience subjective et ne peut se réaliser que dans l objectivité. Si l idée se suffit d elle-même, si elle conserve cet état initial de pureté, si elle ne peut vérifier avec exactitude ce qu elle suppose, sa pensée reste abstraite. L idée doit poursuivre à travers la vérification et le champ d expériences la véracité de ce qu elle prétend. Il s agit encore d accéder à une forme d enrichissement, de développement après la germination initiale. Si le concept demeure, son apparence a subi des transformations. Cette succession d expériences fortifie l idée principale. Et c est bien un processus 19

20 d élaboration et de progrès qui a permis cette évolution sur le concept initial. Il y a donc transformation considérable, et l offre basée ne peut plus être connue dans le résultat obtenu. Mais est-ce le concept qui a subi une évolution, ou n est-ce pas le travail de l homme qui a conduit au changement? 20

21 Détester le doute La vérité est la pensée, par excellence, de l esprit. Sans la vérité, les connaissances seraient bien hasardeuses, toute construction s écroulerait. J entends toutes les connaissances, celles qui se prévalent d être les mieux pensées dans leur valeur fondamentale. Aller dans la certitude, sans erreur, sans l imperceptible doute, c est avancer à coup sûr, sans risque de revenir à son point de départ. C est prétendre que l on ne peut se tromper. Je sais, cela paraît difficile et pourtant... Car le doute est détestable. Il nous fait violence, il est l alarme qui constamment fonctionne. Il nous enduit en faiblesse, il est une retenue de temps, il impose une vérification. Pourtant nous sommes dans l obligation de douter, car la raison se plaît à examiner. C est une sorte de réflexe qui constamment accompagne son action. On nous dit qu il faut croire sans voir. Je prétends qu il faut se faire voyant, comprendre l au-delà quand bien même cela nécessiterait des perceptions paranormales. 21

22 Il faut donc croire en ouvrant les yeux et tenter de percevoir la vérité. Et cette vérité-là est délétère, impalpable, difficilement quantifiable avec les instruments de la rigueur. Mais tout croire est folie. Nous voilà confrontés à une sorte de magma incompréhensible où semblent jaillir çà et là quelques taches de couleur un peu mieux discernables. Le privilège serait d aller plus loin que la pensée, et son mécanisme. Il serait d atteindre immédiatement la réponse juste, en ligne droite, pour accomplir le moins de chemin possible, c est-à-dire agir avec l effort minimum. C est encore une question de croyance, car il s agit de croire en soi, avec la certitude, sans opinion, sans balancement. C est la foi en l homme, en l esprit qui s y cache ou y vit. À savoir si cette foi-là sauve l homme. Il est à craindre que beaucoup se soient perdus. 22

23 Penser, c est vérifier Penser, c est vérifier. Ce qui signifierait qu une organisation cérébrale déjà a été construite. L action de l intelligence consisterait à confirmer ce qui a été proposé à la conscience. Mais ce n est peut-être qu une apparence. Penser, ce n est pas toujours dire non. Il peut y avoir volonté de remplissage, de recevoir des informations inconnues et de les stocker dans la mémoire. L esprit n est pas toujours à consentir, à prendre sans douter. Il est dans une perspective de compréhension, d intégration de l information offerte. Sa raison cherchera à n être pas trompée. Il ne doute pas de sa capacité à recevoir, il doute de l information que l on met à sa disposition. Il devrait douter de sa propre capacité à comprendre. Mais il croit en lui, et prétend posséder suffisamment d avertisseur pour être bon juge. Chacun règne en son esprit et aime sa royauté, l ignorant comme le savant. Pourtant l homme sait se dire non. Il dit non après analyse, après détermination du message perçu. Non à sa 23

24 spéculation. Il ne peut pas toujours transformer le non en oui. Il y a blanc parfois. Quand la science s abstient, il y a blanc. Elle sait que grande est son ignorance, et espère reculer son inaptitude à posséder la vérité. C est le oui, c est le non, c est la vérification, c est encore l abstention. Avec ces comportements fondamentaux, la pensée prétend avancer. 24

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.

Plus en détail

Faut-il tout démontrer?

Faut-il tout démontrer? Faut-il tout démontrer? Introduction et énoncé du problème L acte de démontrer consiste à mettre en ordre logique, à disposer de façon rationnelle et déductive des propositions afin d assurer que la conclusion

Plus en détail

FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT

FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT Que vous soyez parent, enseignant, formateur, pédagogue, coach, manager Que votre activité professionnelle ou simplement la quête de vous-même vous

Plus en détail

FORCE DE VENTE : une approche commerciale efficace

FORCE DE VENTE : une approche commerciale efficace Les formations standardisées voulant mettre le commercial dans un «moule» et formater une personne en appliquant des techniques à la lettre sont bien différentes de ce que nous vous proposons chez Semaphorus.

Plus en détail

LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING)

LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING) LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING) Finalité de la démarche Optimiser les performances futures de profit du produit sur l ensemble de son cycle de vie. Prérequis Connaissance élémentaire de la problématique

Plus en détail

Annie Claude Sortant-Delanoë. L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir

Annie Claude Sortant-Delanoë. L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir Annie Claude Sortant-Delanoë L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir À sa naissance, l enfant est un organisme dont le cri exprime un besoin. Ce cri n a aucune intention de signification.

Plus en détail

«Longtemps, j ai pris ma plume pour une épée : à présent, je connais notre impuissance.»

«Longtemps, j ai pris ma plume pour une épée : à présent, je connais notre impuissance.» Métonymie : image désuète de l instrument servant à écrire. Représentation traditionnelle et glorieuse du travail de l écrivain. Allusion à une époque révolue. Idée de durée, de permanence. edoublée dans

Plus en détail

De quoi l assistance est-elle le minimum?

De quoi l assistance est-elle le minimum? De quoi l assistance est-elle le minimum? Soin, politique et relations sociales Frédéric WORMS Pour Frédéric Worms, l assistance ne doit pas s approcher seulement en termes quantitatifs, comme une prestation

Plus en détail

Introduction à l analyse de concept. Cogmaster - Quinzaine de rentrée

Introduction à l analyse de concept. Cogmaster - Quinzaine de rentrée Introduction à l analyse de concept Cogmaster - Quinzaine de rentrée L art de la distinction Une partie de la philosophie consiste à faire des distinctions pour éviter que soient confondues des entités

Plus en détail

Présentation du programme de danse Questions-réponses

Présentation du programme de danse Questions-réponses Présentation du programme de danse Questions-réponses Description du programme Le DEC préuniversitaire en Danse du Cégep de Rimouski offre une formation collégiale préparatoire à la poursuite d études

Plus en détail

QUATRIÈME OBJECTIF: VOUS AVEZ ÉTÉ CONÇU POUR SERVIR DIEU

QUATRIÈME OBJECTIF: VOUS AVEZ ÉTÉ CONÇU POUR SERVIR DIEU QUATRIÈME OBJECTIF: VOUS AVEZ ÉTÉ CONÇU POUR SERVIR DIEU VERSET CLÉ Nous sommes simplement des serviteurs de Dieu... Chacun de nous accomplit le devoir que le Seigneur lui a confié: j ai mis la plante

Plus en détail

CRÉER UN COURS EN LIGNE

CRÉER UN COURS EN LIGNE Anne DELABY CRÉER UN COURS EN LIGNE Deuxième édition, 2006, 2008 ISBN : 978-2-212-54153-3 2 Que recouvre le concept d interactivité? Dans une perspective de cours en ligne, une activité interactive est

Plus en détail

sentée e et soutenue publiquement pour le Doctorat de l Universitl

sentée e et soutenue publiquement pour le Doctorat de l Universitl Du rôle des signaux faibles sur la reconfiguration des processus de la chaîne de valeur de l organisation : l exemple d une centrale d achats de la grande distribution française Thèse présent sentée e

Plus en détail

Nature et formes du don : résumé

Nature et formes du don : résumé Nature et formes du don : résumé Par Gildas RICHARD La réflexion méthodique sur la notion de don a été, jusqu à présent, l apanage presque exclusif de deux grands types de discours : D une part, le discours

Plus en détail

Évaluation et implémentation des langages

Évaluation et implémentation des langages Évaluation et implémentation des langages Les langages de programmation et le processus de programmation Critères de conception et d évaluation des langages de programmation Les fondations de l implémentation

Plus en détail

Le Baptême des petits enfants en 25 questions

Le Baptême des petits enfants en 25 questions Le Baptême des petits enfants en 25 questions 1. Les parents doivent-ils être baptisés pour demander le baptême de leur Non, puisque c est la personne qui va recevoir le baptême qui est concernée. Tous

Plus en détail

La Business Intelligence, un projet stratégique

La Business Intelligence, un projet stratégique La Business Intelligence, un projet stratégique Le projet décisionnel est étroitement lié au déploiement de la stratégie Lors de la réalisation du projet d informatique décisionnelle, les préoccupations

Plus en détail

«Je pense, donc je suis» est une grande découverte

«Je pense, donc je suis» est une grande découverte 6 «Je pense, donc je suis» est une grande découverte Cette affaire-là est assez claire. On lit dans le Discours de la méthode, Quatrième Partie : «[ ] Je me résolus de feindre que toutes les choses qui

Plus en détail

Voici une demande qui revient régulièrement lors de mes rencontres avec les employeurs :

Voici une demande qui revient régulièrement lors de mes rencontres avec les employeurs : Logique dépannage La logique de dépannage dépend d une multitude d aspect, et un de ses aspects que j ai pu constater avec le temps en tant que formateur est que les techniciens industriels apprennent

Plus en détail

L ATTRIBUTION EN MARKETING DIGITAL

L ATTRIBUTION EN MARKETING DIGITAL Online Intelligence Solutions L ATTRIBUTION EN MARKETING DIGITAL Par Jacques Warren WHITE PAPER WHITE PAPER A Propos de Jacques Warren Jacques Warren évolue en marketing digital depuis 1996, se concentrant

Plus en détail

Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49

Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,

Plus en détail

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire?

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas

Plus en détail

LES DROITS CULTURELS. Déclaration de Fribourg

LES DROITS CULTURELS. Déclaration de Fribourg LES DROITS CULTURELS Déclaration de Fribourg Les droits culturels, Déclaration de Fribourg, page 2 considérants 1 principes fondamentaux 2 définitions justifications principes et définitions 3 identité

Plus en détail

La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire :

La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire : une expérience vécue dont la personne est parfaitement consciente : Exemple : «J ai besoin de me divertir»; La notion de besoin peut décrire : 2. «une exigence née de

Plus en détail

La culture L épreuve du Bac

La culture L épreuve du Bac L épreuve du Bac Synthèse des concepts rencontrés dans les textes... 80 Sujets de dissertation... 81 Méthode d analyse d un sujet de dissertation... 82 Sujet 1 Méthode d analyse d un texte : texte de Freud...

Plus en détail

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive. L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:

Plus en détail

Ne laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement

Ne laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement Ne laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement Préparé par : George Crump, analyste senior Préparé le : 03/10/2012 L investissement qu une entreprise fait dans le domaine de

Plus en détail

Pourquoi investir en bourse? Pour gagner nettement plus qu avec un livret

Pourquoi investir en bourse? Pour gagner nettement plus qu avec un livret Chapitre 5 Pourquoi investir en bourse? Pour gagner nettement plus qu avec un livret Achetez de bonnes actions et gardez-les jusqu à ce qu elles augmentent, ensuite vendez-les. Si elles n augmentent pas,

Plus en détail

Lucile Cognard. S identifier à son symptôme

Lucile Cognard. S identifier à son symptôme Lucile Cognard S identifier à son symptôme Dans notre milieu analytique, l expression est connue : «s identifier à son symptôme». D où vient-elle, que recouvre-t-elle? C est la question que je me suis

Plus en détail

Suis-je toujours le même?

Suis-je toujours le même? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN Suis-je toujours le même? Introduction Avant de répondre à la question, il faut comme toujours en philosophie bien en comprendre le problème. Le " je suis " fait

Plus en détail

ANALYSE DU BESOIN. L ANALYSE FONCTIONNELLE par Jean-Marie VIRELY & all (ENS Cachan) Cette présentation décrit l outil «Analyse du Besoin».

ANALYSE DU BESOIN. L ANALYSE FONCTIONNELLE par Jean-Marie VIRELY & all (ENS Cachan) Cette présentation décrit l outil «Analyse du Besoin». -- Cette présentation décrit l outil «Analyse du Besoin». AA-GC-CL-JMV Page mis à jour le oct 00 L'objectif L'Analyse du Besoin est une méthode qui permet de caractériser le besoin exprimé -- L objet est

Plus en détail

Observatoire Gleeden de l infidélité

Observatoire Gleeden de l infidélité 16 janvier 2014 N 111 730 Enquêtes auprès d un échantillon national représentatif de 804 Français âgés de 18 ans et plus Contacts : 01 72 34 94 64 / 94 13 François Kraus / Anne-Sophie Vautrey Prenom.nom@ifop.com

Plus en détail

Gé nié Logiciél Livré Blanc

Gé nié Logiciél Livré Blanc Gé nié Logiciél Livré Blanc Version 0.2 26 Octobre 2011 Xavier Blanc Xavier.Blanc@labri.fr Partie I : Les Bases Sans donner des définitions trop rigoureuses, il faut bien commencer ce livre par énoncer

Plus en détail

Principe et règles d audit

Principe et règles d audit CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l

Plus en détail

Le processus du développement économique

Le processus du développement économique DOUGLASS C. NORTH Prix Nobel d économie Le processus du développement économique Présentation de Claude Ménard Traduit de l anglais par Michel Le Séac h, 2005 ISBN : 2-7081-3397-7 13 Où allons-nous? Le

Plus en détail

Processus d Informatisation

Processus d Informatisation Processus d Informatisation Cheminement de la naissance d un projet jusqu à son terme, deux grandes étapes : Recherche ou étude de faisabilité (en amont) L utilisateur a une idée (plus ou moins) floue

Plus en détail

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire Guide du programme Juin 2008 Attributs du diplômé de la Colombie-Britannique Au cours de consultations qui se sont échelonnées sur toute une année dans l ensemble de la province, des milliers de citoyens

Plus en détail

Le Monde doit être romantisé

Le Monde doit être romantisé Le Monde doit être romantisé D U M Ê M E AU T E U R AU X É D I T I O N S A L L I A Le Brouillon général Semences NOVALIS Le Monde doit être romantisé Traduit de l allemand, présenté et annoté par O L I

Plus en détail

L innovation dans l entreprise numérique

L innovation dans l entreprise numérique L innovation dans l entreprise numérique Toutes les entreprises ne sont pas à l aise avec les nouvelles configurations en matière d innovation, notamment avec le concept d innovation ouverte. L idée de

Plus en détail

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il

Plus en détail

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement

Plus en détail

COMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION

COMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION Stephen Wang COMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION Mariage, sacerdoce, vie consacrée, diaconat permanent, célibat «Petits Traités Spirituels» Série III «Bonheur chrétien» éditions des Béatitudes Ava n t-p r o

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ 3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit

Plus en détail

Les 100 plus belles façons. François Gagol

Les 100 plus belles façons. François Gagol Les 100 plus belles façons d'aimer François Gagol Les 100 plus belles façons d Aimer François Gagol François Gagol, 2003. Toute reproduction ou publication, même partielle, de cet ouvrage est interdite

Plus en détail

Charte de la laïcité à l École Charte commentée

Charte de la laïcité à l École Charte commentée Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales

Plus en détail

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants

Plus en détail

Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4. Rapport RE09. Load Balancing et migration

Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4. Rapport RE09. Load Balancing et migration Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4 Rapport Load Balancing et migration Printemps 2001 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 SYNTHESE CONCERNANT LE LOAD BALANCING ET LA MIGRATION... 4 POURQUOI FAIRE DU LOAD BALANCING?...

Plus en détail

L OUTIL COLLABORATIF AU SERVICE DE

L OUTIL COLLABORATIF AU SERVICE DE L OUTIL COLLABORATIF AU SERVICE DE LA TRANSFORMATION DES ENTREPRISES De l idée simple de mettre en relation les différents acteurs du progrès est née une plateforme de travail collaboratif proche du métier

Plus en détail

Livre Blanc Oracle Mars 2013. Le guide ultime de la réussite d un Bureau des Projets (PMO) orienté business

Livre Blanc Oracle Mars 2013. Le guide ultime de la réussite d un Bureau des Projets (PMO) orienté business Livre Blanc Oracle Mars 2013 Le guide ultime de la réussite d un Bureau des Projets (PMO) orienté business Introduction 1 Qu est-ce qu un PMO orienté business? 2 Les six facteurs clés de succès de l alignement

Plus en détail

Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse

Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse 1. Base juridique...2 2. Tâches principales...2 3. Conditions d accomplissement des tâches principales...2 3.1. Culture de la responsabilité...3 3.2.

Plus en détail

Qu est-ce que le philosopher?

Qu est-ce que le philosopher? Qu est-ce que le philosopher? François Galichet Professeur à l IUFM d Alsace La philosophie, qui se caractérise par son questionnement ontologique ( «Qu est-ce que?»), ne pouvait manquer de s interroger

Plus en détail

Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs?

Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Problématique : La difficulté lorsque vous vous trouvez face à un tel sujet est de confondre le thème avec le problème du sujet. Ici le thème était

Plus en détail

Cours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP»

Cours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP» «LEADERSHIP» Est-il possible de DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES DE LEADERSHIP? PROGRAMME DU COURS 1. Introduction 2. Les fondamentaux du Leadership 3. Valeurs, attitudes et comportements 4. Les 10 devoirs du

Plus en détail

Loin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière

Loin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière Loin de mes yeux Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière expérience une dimension unique. Voici un guide tout simple, une carte routière pour vous montrer les chemins

Plus en détail

Le Pavé Mosaïque. Temple?» C est la question que je me posais la première fois que je vis le Pavé Mosaïque à

Le Pavé Mosaïque. Temple?» C est la question que je me posais la première fois que je vis le Pavé Mosaïque à Le Pavé Mosaïque «Mais à quel jeu jouent donc les francs maçons sur cet échiquier dessiné à même le sol du Temple?» C est la question que je me posais la première fois que je vis le Pavé Mosaïque à la

Plus en détail

Origines possibles et solutions

Origines possibles et solutions Ne plus avoir peur de vieillir «Prends soin de ton corps comme si tu allais vivre éternellement, Prends soin de ton âme comme si tu allais mourir demain.» Introduction Ce petit document est la résultante

Plus en détail

LE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE

LE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE Ville-École-Intégration, n 119, décembre 1999 LE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE Jean-Pierre ARCHAMBAULT (*) Les TICE favorisent le travail collectif et aident au travail individuel, ont l attrait de

Plus en détail

Rédiger et administrer un questionnaire

Rédiger et administrer un questionnaire Rédiger et administrer un questionnaire Ce document constitue une adaptation, en traduction libre, de deux brochures distinctes : l une produite par l American Statistical Association (Designing a Questionnaire),

Plus en détail

CAC, DAX ou DJ : lequel choisir?

CAC, DAX ou DJ : lequel choisir? CAC, DAX ou DJ : lequel choisir? 1. Pourquoi cette question Tout trader «travaillant 1» sur les indices s est, à un moment ou un autre, posé cette question : «je sais que la tendance est bien haussière

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

Attirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices

Attirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction

Plus en détail

Guide méthodologique de mise en place d une enquête de satisfaction

Guide méthodologique de mise en place d une enquête de satisfaction Guide méthodologique de mise en place d une enquête de satisfaction Dans ce guide, vous trouverez 4 étapes qui vous permettront de réaliser, pas à pas, votre enquête de satisfaction. Ce guide : Contient

Plus en détail

Réussir sa vie ce n est pas toujours réussir dans la vie.

Réussir sa vie ce n est pas toujours réussir dans la vie. Réussir sa vie 1. Réussir sa vie ce n est pas toujours réussir dans la vie. 2. Pour certaines personnes avoir une fonction importante, un poste à responsabilités, c est le signe de la réussite. 3. Pour

Plus en détail

Guide d utilisation du logiciel

Guide d utilisation du logiciel Guide d utilisation du logiciel Version adaptée du guide d utilisateur Compilatio.net Version 4 Octobre 2013 POURQUOI UTILISER COMPILATIO.NET?... 3 OBTENIR SON PROPRE COMPTE «ENSEIGNANT»... 4 SE BRANCHER...

Plus en détail

HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS

HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS DOCUMENT : 1979. 29489 (1). «L'Actualité. L'union fait la force. Jeu stratégique». Sans éditeur. Vers 1915. PLACE

Plus en détail

LES REPRESENTATIONS DES NOMBRES

LES REPRESENTATIONS DES NOMBRES LES CARTES A POINTS POUR VOIR LES NOMBRES INTRODUCTION On ne concevrait pas en maternelle une manipulation des nombres sans représentation spatiale. L enfant manipule des collections qu il va comparer,

Plus en détail

LES CROYANCES LIMITANTES

LES CROYANCES LIMITANTES 1998 Séminaire de Robert DILTS LES CROYANCES LIMITANTES Les 3 domaines les plus courants de croyances limitantes sont ceux qui concernent le manque d espoir (ce n est pas possible), le manque de confiance

Plus en détail

Livre Blanc Oracle Novembre 2010. Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie

Livre Blanc Oracle Novembre 2010. Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie Livre Blanc Oracle Novembre 2010 Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie Présentation générale Les entreprises industrielles sont confrontées à un environnement

Plus en détail

Bien architecturer une application REST

Bien architecturer une application REST Olivier Gutknecht Bien architecturer une application REST Avec la contribution de Jean Zundel Ce livre traite exactement du sujet suivant : comment faire pour que les services web et les programmes qui

Plus en détail

3 thèses : Problématique :

3 thèses : Problématique : LA CONSCIENCE Problématique : 3 thèses : Thèse 1 : L âme est une substance. A. L âme est une substance individuelle. B. La conscience comme substance pensante une et indivisible. Thèse 2 : La conscience

Plus en détail

Dans cette Unité, nous allons examiner

Dans cette Unité, nous allons examiner 13.0 Introduction Dans cette Unité, nous allons examiner les fonctionnements internes d une des plateformes de publication web les plus largement utilisées de nos jours sur l Internet, WordPress. C est

Plus en détail

Qu est ce qu une bibliothèque?

Qu est ce qu une bibliothèque? Qu est ce qu une bibliothèque? Les bibliothèques sont les endroits où vous allez pour gérer vos documents, votre musique, vos images et vos autres fichiers. Vous pouvez parcourir vos fichiers de la même

Plus en détail

8 Certifications Minergie

8 Certifications Minergie 8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,

Plus en détail

APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP

APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP Résumé du rapport de recherche destiné au Centre Alain Savary, INRP APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP Martine Méheut, Olivier Prézeau INRP, Centre Alain Savary Apprendre la chimie en ZEP Résumé 1 Dans une perspective

Plus en détail

ITIL V3. Stratégie des services - La phase

ITIL V3. Stratégie des services - La phase ITIL V3 Stratégie des services - La phase Création : juillet 2011 Mise à jour : Juillet 2011 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé en se basant

Plus en détail

UNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer

UNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer MODULE ÉVALUER SON PROJET COMPRENDRE UNE ÉVALUATION Une évaluation c est quoi, çà sert à quoi? Evaluer mon projet et son plan d action pour le faire durer L ÉVALUATION DE L IMPACT SOCIAL L Impact Social

Plus en détail

Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici».

Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». 1. Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». Près d un enfant sur cinq est victime de violence sexuelle, y compris d abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant. Apprenez

Plus en détail

Dites NON aux idées gratuites

Dites NON aux idées gratuites Dites NON aux idées gratuites Dites NON aux idées gratuites Designers, l Alliance française des designers vous incite à ne pas participer aux concours et appels d offres qui ne prévoient pas de dédommagements

Plus en détail

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents

Plus en détail

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT

Plus en détail

Comment répondre aux questions d un examen en droit qui sont basées sur des faits

Comment répondre aux questions d un examen en droit qui sont basées sur des faits Comment répondre aux questions d un examen en droit qui sont basées sur des faits Types de questions d examen Un examen en droit peut comporter plusieurs types de questions : à réponse courte, à développement,

Plus en détail

Que fait l Église pour le monde?

Que fait l Église pour le monde? Leçon 7 Que fait l Église pour le monde? Dans notre dernière leçon, nous avons vu que les croyants ont des responsabilités vis-à-vis des autres croyants. Tous font partie de la famille de Dieu. Les chrétiens

Plus en détail

Qu est-ce que la virtualisation?

Qu est-ce que la virtualisation? I Qu est-ce que la virtualisation? L actuel et le virtuel Considérons pour commencer l opposition facile et trompeuse entre réel et virtuel. Dans l usage courant, le mot virtuel s emploie souvent pour

Plus en détail

COMPTE RENDU DU QUESTIONNAIRE DE SATISFACTION

COMPTE RENDU DU QUESTIONNAIRE DE SATISFACTION CIG Service Prestataire COMPTE RENDU DU QUESTIONNAIRE DE SATISFACTION Enquête effectuée du 1 er janvier au 31 août 2013 Madame Bara Responsable du Service Prestataire Janvier 2014 Version du 05/03/2014

Plus en détail

Interprétation de la norme ISO 9001 au regard de la philosophie de Deming

Interprétation de la norme ISO 9001 au regard de la philosophie de Deming Interprétation de la norme ISO 9001 au regard de la philosophie de Deming Conférence de Jean-Marie Gogue Le terme assurance de la qualité est apparu aux Etats-Unis après la seconde guerre mondiale. Il

Plus en détail

LES BASES DU COACHING SPORTIF

LES BASES DU COACHING SPORTIF LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE

Plus en détail

AIDE À LA RÉUSSITE SE RÉALISER PLEINEMENT

AIDE À LA RÉUSSITE SE RÉALISER PLEINEMENT AIDE À LA RÉUSSITE SE RÉALISER PLEINEMENT «Un enseignant ou une culture ne créent pas un être humain. On n implante pas en lui la capacité d aimer, d être curieux, de philosopher, de symboliser ou d être

Plus en détail

Cadrer la stratégie boursière

Cadrer la stratégie boursière Chapitre 1 Cadrer la stratégie boursière Chercher la valeur dans tout investissement Qu est-ce que la stratégie boursière? Elle consiste à «chercher la valeur», nom technique utilisé par les analystes

Plus en détail

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des

Plus en détail

Quels outils pour prévoir?

Quels outils pour prévoir? modeledition SA Quels outils pour prévoir? Les modèles de prévisions sont des outils irremplaçables pour la prise de décision. Pour cela les entreprises ont le choix entre Excel et les outils classiques

Plus en détail

TD de supervision. J.P. Chemla. Polytech Tours Département productique 2ème année

TD de supervision. J.P. Chemla. Polytech Tours Département productique 2ème année TD de supervision J.P. Chemla Polytech Tours Département productique 2ème année 1 Présentation de l équipement On veut superviser une cuve dans un batiment. Les informations à visualiser sont les suivantes

Plus en détail

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges. Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement

Plus en détail

Don d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007.

Don d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007. Don d organes Donner ses organes et ses tissus à son décès est un geste généreux qui permet de sauver la vie de plusieurs personnes et d en aider de nombreuses autres à recouvrer la santé. La transplantation

Plus en détail

7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.

7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous

Plus en détail

Les salaires de L écosystème php en france. L Association Française des Utilisateurs de PHP (AFUP) le cabinet de recrutement spécialisé Agence-e

Les salaires de L écosystème php en france. L Association Française des Utilisateurs de PHP (AFUP) le cabinet de recrutement spécialisé Agence-e L Association Française des Utilisateurs de PHP (AFUP) & le cabinet de recrutement spécialisé Agence-e vous propose : baromètre AFUP Agence-e 2014 : Les salaires de L écosystème php en france édito : Fondée

Plus en détail

DE ENTE ET ESSENTIA L ÊTRE ET L ESSENCE

DE ENTE ET ESSENTIA L ÊTRE ET L ESSENCE DE ENTE ET ESSENTIA L ÊTRE ET L ESSENCE OPUSCULE 30 (1254-1256) DE SAINT THOMAS D'AQUIN Editions Louis Vivès, 1857 Édition numérique, http://docteurangelique.free.fr, Les œuvres complètes de saint Thomas

Plus en détail

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont

Plus en détail

La carte d achat, c est quoi ça?

La carte d achat, c est quoi ça? La, c est quoi ça? C est un outil mis à disposition des structures publiques et privées qui modifie et simplifie l acte d approvisionnement : C est une carte bancaire nominative et sécurisée qui permet

Plus en détail

Le guide. Don d organes. Donneur ou pas. Pourquoi et comment je le dis. à mes proches.

Le guide. Don d organes. Donneur ou pas. Pourquoi et comment je le dis. à mes proches. Don d organes. Donneur ou pas à mes proches. Le guide Pourquoi et comment je le dis Don d organes. Pourquoi est-ce si important d en parler? En matière de don et de greffe d organes, la loi française prévoit

Plus en détail