De la carte perforée à L atome...
|
|
- Beatrice Lafontaine
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 bertrand kierren - LPM PSV LPS Orsay De la carte perforée à L atome... CONQUETE
2 À l échelle du nano Le nano monde 1 nm 1 μm 1 mm 1 m Les nano technologies 1 nm = 1 millionième de mm = 10-9 m
3 Le nano pourquoi Pourquoi s'intèresser à l'échelle nanométrique? enjeux technologiques importants sciences fondamentales Un outil permet d accéder à cette échelle : Le microscope à effet tunnel
4 des zeros et des uns Le stockage de l'information numérique
5 Le codage numérique Codage sur 8 bits = 2 8 = 256 valeurs = 88 zoom octet valeurs de gris 1 photo de 1 Megapixels = 1 Mo!!! Codage possible sur 16 voire 32 bits Besoins en capacité de stockage
6 Les supports numériques : la préhistoire (numérique) les cartes perforées 1 trou = 0 pas de trou = 1 Densité: 4 bits/cm2 1 Mo: 200 m 2!!!
7 Le stockage magnétique Support magnétique : le disque dur
8 Le stockage magnétique Support magnétique : le disque dur Microscopie à force magnétique piste
9 Le stockage magnétique Principe de fonctionnement d un disque dur lecture écriture grain magnétique grain physique bit stocké Déplacement du disque
10 Le stockage magnétique Capacité des disques durs 1.5 m 15 cm 1.5 cm Seagate U serie 2000 IBM microdrive gbits IBM Ramac bits/cm Gbits/cm2 1.5 Gbits/cm 2
11 Le stockage magnétique Capacité des disques durs Aujourd hui: Commerce: Mb/cm 2 (100 Gbits/cm 2 ) Recherche: 1000 Gbits/cm 2 (1 Tbits/cm 2 ) L piste = 0.1μm = 100 nm L l matériau bit stocké magnétique Qu est ce qui limite la capacité de stockage? e piste = 0.01μm = 10 nm S bit = 0.03 μm = 30 nm
12 Le stockage magnétique Taille minimale : problème de la répulsion magnétique Deux effets antagonistes: taille du domaine / répulsion entre domaines Taille minimale imposée 30 nm
13 Le stockage magnétique Solution: Séparer physiquement les domaines magnétiques pour qu ils n interagissent plus entre eux 0 1 0
14 Le stockage magnétique Solution: Séparer physiquement les domaines magnétiques pour qu ils n interagissent plus entre eux La taille du grain physique détermine la taille d un bit agrégat = 1 bit
15 Le stockage magnétique Solution: Séparer physiquement les domaines magnétiques pour qu ils n interagissent plus entre eux Réduire la taille des agrégats?
16 Les nanotechnologies... L'apport des nano technologies et de la physique des surfaces Réduire la dimension d'un bit à quelques nanomètres ex : 1 bit = 1 nm Gbits/cm 2!!! (100 Tbits/cm 2 )
17 La croissance par jet moléculaire (atomique) Croissance de couches très minces : e = quelques nm Vide très poussé mbar substrat pompe Flux d atomes (quelques plans par minute) Creuset chauffé 1000 C
18 La croissance par jet moléculaire (atomique) Cellule d évaporation manipulateur
19 La croissance par jet moléculaire (atomique) Exemple: Fe/MgO/Fe Couche nanométrique d oxyde de magnésium Substrat de fer 1 nm Image LPM microscopie électronique en transmission : vue en coupe
20 La croissance par jet moléculaire (atomique) Les différents types de croissance Film mince îlots substrat substrat 3 couches d atomes = 1 nm 50 nm Films réalisés à partir d images de microscopie a effet tunnel B. Voigtlaender Julich :
21 Le microscope à effet tunnel I mesuré Variations Δz Le courant tunnel 1nA 0.001nA 0.1nm 1nm Distance pointe/surface Pointe conductrice H. Röhrer, G. Binnig (Nobel) Surface conductrice
22 Le microscope à effet tunnel Tête d un microscope à effet tunnel 15 cm
23 Le microscope à effet tunnel Une loupe pour l infiniment petit Surface du silicium Surface du cuivre Image LPM Image LPM 15 nm X 10 millions 1.5 nm X 100 millions
24 Croissance cristalline sur une surface Les premiers instants
25 Les atomes sont mobiles Déplacement des atomes sur la surface du platine Image F. Besebacher - Danemark 15 nm ( μm)
26 Croissance cristalline sur une surface Dépôt de cuivre sur une surface cuivre Grossissement : x 10 millions Image LPM Température de la surface = 20 C 12 nm 8.5 nm 50 nm ( 0.05 μm) microscopie à effet tunnel Agrégat de cuivre (îlot) Nano plot Taille 10 nm hauteur 0.18 nm
27 Croissance cristalline sur une surface Influence de la température de la surface Grossissement : x 10 millions T = 20 C T = 120 C Fer sur fer Image LPM Image LPM n plots = 1000 n plots = nm ( 0.1 μm) Distance entre deux plots: 2.2 nm Densité:10 Tera/cm 2 = Giga /cm nm ( 0.1 μm) Distance entre deux plots: 6.2 nm Densité:1 Tera/cm 2
28 auto organisation Lycée Pierre et Marie Curie - Neufchateau auto organisation sur les surfaces
29 auto organisation Croissance de plots de cobalt auto organisés Utilisation d une surface d or à marches (surface vicinale) Vue de dessus [111] [788] Vue de profil sens descendant 4 nm θ = 3,5 très grand nombre de marches de hauteur monoatomique réseau régulier 75 nm ( μm)
30 auto organisation Croissance de plots de cobalt auto organisés Utilisation d une surface d or à marches (surface vicinale) [111] [788] sens descendant Texture supplémentaire θ = 3,5 75 nm ( μm)
31 auto organisation Croissance de plots de cobalt auto organisés Utilisation d une surface d or à marches (surface vicinale) avant dépôt après dépôt 75 nm ( μm) 100 nm ( 0.1 μm)
32 auto organisation Croissance de plots de cobalt auto organisés Utilisation d une surface d or à marches (surface vicinale) avant dépôt après dépôt 40nm 75 nm ( μm) 200 nm ( 0.2 μm)
33 auto organisation Croissance de plots de cobalt auto organisés Utilisation d une surface d or à marches (surface vicinale) Après dépôt de cobalt 4 nm 1 bit = 28 nm 2 densité = Gbits/cm 2 7 nm 1 bit 100 nm ( 0.1 μm)
34 auto organisation Croissance de plots d argent auto organisés Utilisation d une surface d or à marches (surface vicinale) Température de la surface: C Température de la surface: C
35 auto organisation Fabrication d un motif artificiel par épitaxie 1 plan atomique d argent sur une surface de cuivre argent cuivre 8 atomes cuivre 9 atomes
36 auto organisation Fabrication d un motif artificiel par épitaxie 1 plan atomique d argent sur une surface de cuivre argent cuivre 8 atomes cuivre 9 atomes Apparition d un relief spontané
37 auto organisation Fabrication d un motif artificiel par épitaxie 1 plan atomique d argent sur une surface de cuivre 4 nm 7 nm après réorganisation de la surface
38 auto organisation Fabrication d un motif artificiel par épitaxie 1 plan atomique d argent sur une surface de cuivre 5 atomes 4 nm 2 nm 7 nm 2.5 nm après réorganisation de la surface
39 auto organisation Fabrication d un motif artificiel par épitaxie 1 plan atomique d argent sur une surface de cuivre bit = 4 nm 2 densité = bits /cm 2 = Gigabits /cm 2 = 25 Terabits /cm 2 8 nm ( μm)
40 Les nanotechnologies...de la carte perforée à l atome (ou presque) Conclusion La physique des nano objets est en plein essor Les dispositifs de stockage d'information de demain seront issus des nano technologies Densités de stockage trés importantes 10 Terabits /cm 2 1 encyclopédie de 20 volumes = 0,1 mm 2 1 CD/DVD = 5 millions de volumes
Le défi posé au stockage de données
Texte de la 249 e conférence de l'université de tous les savoirs donnée le 5 septembre 2. LE NOUVEAU DEFI DU STOCKAGE DE DONNEES par Jacques Péping Notre civilisation a produit plus d informations durant
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailIntroduction générale aux nanomatériaux
Introduction générale aux nanomatériaux J.Lecomte, M.Gasparini 16/10/2014 le centre collectif de l industrie technologique belge Notre centre Federation for the technology industry Collective centre of
Plus en détailSecure Deletion of Data from Magnetic and Solid-State Memory
SRS-DAY Secure Deletion of Data from Magnetic and Solid-State Memory Piotr PAWLICKI Nicolas ROUX pawlic_p roux_n Plan 1. Introduction 2. Récupération 3. Effacement 4. Ouverture 5. Conclusion Plan 1. Introduction
Plus en détailEtude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique.
Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique. Mike El Kousseifi K. Hoummada, F. Panciera, D. Mangelinck IM2NP, Aix Marseille Université-CNRS, Faculté
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailMémoire de Thèse de Matthieu Lagouge
Conception de microsystèmes à base d actionneurs en SU8 pour la manipulation de micro-objets en milieu liquide et transfert vers un milieu quasi-sec * * * Annexes Mémoire de Thèse de Matthieu Lagouge soutenue
Plus en détailDe la micro à la nano-électronique
De la micro à la nano-électronique Christian Ngô ECRIN LT M ngo@ecrin.asso.fr LE PUCE MICR-ELECTRNIQUE AU QUTIDIEN Cafetière électrique 1 puce 10 000 T Pèse personne 1 puce 10 000 T Télévision 10 puces
Plus en détailMéthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/
Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détailSophie Guézo Alexandra Junay
Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences
Plus en détailComme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est:
Travaux Pratiques 3. IFT 1002/IFT 1005. Structure Interne des Ordinateurs. Département d'informatique et de génie logiciel. Université Laval. Hiver 2012. Prof : Bui Minh Duc. Tous les exercices sont indépendants.
Plus en détailUnités, mesures et précision
Unités, mesures et précision Définition Une grandeur physique est un élément mesurable permettant de décrire sans ambiguïté une partie d un phénomène physique, chacune de ces grandeurs faisant l objet
Plus en détailEcole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009
Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques
Plus en détailStructure fonctionnelle d un SGBD
Fichiers et Disques Structure fonctionnelle d un SGBD Requetes Optimiseur de requetes Operateurs relationnels Methodes d acces Gestion de tampon Gestion de disque BD 1 Fichiers et Disques Lecture : Transfert
Plus en détailComment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE
Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Vous vous souvenez que tout est constitué d atomes, non? Une pierre, un stylo, un jeu vidéo, une télévision, un chien et vous également; tout est fait d atomes.
Plus en détailChapitre V : La gestion de la mémoire. Hiérarchie de mémoires Objectifs Méthodes d'allocation Simulation de mémoire virtuelle Le mapping
Chapitre V : La gestion de la mémoire Hiérarchie de mémoires Objectifs Méthodes d'allocation Simulation de mémoire virtuelle Le mapping Introduction Plusieurs dizaines de processus doivent se partager
Plus en détailOù sont-elles? Presque partout
Les puces Vision historique Fabrication Les circuits numériques Les microprocesseurs Les cartes à puces Les puces d identification Controverses Questions Les puces Où sont-elles? Presque partout Où ne
Plus en détailConnaître la durée de vie d'un SSD
Connaître la durée de vie d'un SSD Par Clément JOATHON Dernière mise à jour : 12/06/2015 Un SSD stocke les données (documents, musique, film,...) sur de la mémoire flash, de la même manière qu'une simple
Plus en détailOn distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne)
Mémoire - espace destiné a recevoir, conserver et restituer des informations à traiter - tout composant électronique capable de stocker temporairement des données On distingue deux grandes catégories de
Plus en détailPremiers pas dans le «nano-monde»
Premiers pas dans le «nano-monde» Pascale Launois Directeur de Recherche au CNRS Laboratoire de Physique des Solides, Université Paris Sud, Orsay launois@lps.u-psud.fr Nano : qu est-ce que c est? quel
Plus en détailClé USB. Quel type de données peut contenir une clé USB?
Qu est-ce qu une clé USB? Clé USB Une clé USB est un support de stockage amovible. Ce qui, en français, signifie que c est une mémoire que vous pouvez brancher et débrancher sur n importe quel ordinateur
Plus en détailAPPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL
Ion Beam Services ZI Peynier / Rousset Rue G. Imbert Prolongée 13790 Peynier, France Tel. : +33 4 42 53 89 53 Fax : + 33 4 42 53 89 59 Email : frank.torregrosa@ion-beam-services.fr APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION
Plus en détailContribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple
Comité National Français de Radioélectricité Scientifique Section française de l Union Radio Scientifique Internationale Siège social : Académie des Sciences, Quai de Conti Paris Journées scientifiques
Plus en détailMesure de la pression différentielle et différentielle bidirectionnelle expliquée à l'aide du capteur
Dans la technique de mesure de pression, on distingue les méthodes de mesure en fonction des tâches à réaliser. Au rang de ces méthodes figurent la mesure de la pression absolue, la mesure de la pression
Plus en détailCaméra Numérique de Microscopie Couleur USB. Guide d installation
Caméra Numérique de Microscopie Couleur USB Guide d installation Introduction Félicitations, vous venez de faire l acquisition d un oculaire électronique spécialement adapté pour une loupe binoculaire,
Plus en détailTHEME 1 : L ORDINATEUR ET SON ENVIRONNEMENT. Objectifs
Architecture Matérielle des Systèmes Informatiques. S1 BTS Informatique de Gestion 1 ère année THEME 1 : L ORDINATEUR ET SON ENVIRONNEMENT Dossier 1 L environnement informatique. Objectifs Enumérer et
Plus en détailBICNanoCat. Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs. Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech
BICNanoCat Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech ANR BICNanoCat DAS Concerné : Énergie Environnement Appel à projets : réduction des émissions
Plus en détailLa solution à vos mesures de pression
Mesure de force linéique La solution à vos mesures de pression Sensibilité Répétabilité Stabilité Le système X3 de XSENSOR propose un concept innovant spécialement adapté pour vos applications de mesure
Plus en détailTechniques de stockage. Techniques de stockage, P. Rigaux p.1/43
Techniques de stockage Techniques de stockage, P. Rigaux p.1/43 Techniques de stockage Contenu de ce cours : 1. Stockage de données. Supports, fonctionnement d un disque, technologie RAID 2. Organisation
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailTraitement numérique de l'image. Raphaël Isdant - 2009
Traitement numérique de l'image 1/ L'IMAGE NUMÉRIQUE : COMPOSITION ET CARACTÉRISTIQUES 1.1 - Le pixel: Une image numérique est constituée d'un ensemble de points appelés pixels (abréviation de PICture
Plus en détailChimie et physique informatiques
Chimie et physique informatiques 1 ère partie Information et ordinateurs 2 ème partie Programmation en Turbo Pascal 1 ère partie Information et ordinateurs Objectif de la 1 ère partie 1) Introduction 2)
Plus en détailLaboratoire de Photophysique et de Photochimie Supra- et Macromoléculaires (UMR 8531)
Unité Mixte du CNRS (UMR8531) Institut de Chimie Directeur : Keitaro NAKATANI (PU ENS Cachan) Courrier électronique : nakatani@ppsm.ens-cachan.fr http://www.ppsm.ens-cachan.fr Problématique générale :
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailParrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies.
LUDIVINE TASSERY 1ere S 5 Parrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies. Lors de la seconde visite, Monsieur PAREIGE, nous a parlé des nanotechnologies et
Plus en détaila-si:h/c-si heterojunction solar cells: back side assessment and improvement
a-si:h/c-si heterojunction solar cells: back side assessment and improvement Sílvia Martín de Nicolás Résumé La diminution du coût des cellules photovoltaïques en silicium cristallin (c-si) passe par une
Plus en détailCours Informatique 1. Monsieur SADOUNI Salheddine
Cours Informatique 1 Chapitre 2 les Systèmes Informatique Monsieur SADOUNI Salheddine Un Système Informatique lesystème Informatique est composé de deux parties : -le Matériel : constitué de l unité centrale
Plus en détailLES MÉMOIRES FLASH : ENTRE MÉMOIRE VIVE ET MÉMOIRE DE STOCKAGE. Etienne Nowak 12 mars 2015. Etienne Nowak - 12 mars 2015 - GIS-SPADON
LES MÉMOIRES FLASH : ENTRE MÉMOIRE VIVE ET MÉMOIRE DE STOCKAGE Etienne Nowak 12 mars 2015 PRÉSENTATION ETIENNE NOWAK
Plus en détailDifférents types de matériaux magnétiques
Différents types de matériaux magnétiques Lien entre propriétés microscopiques et macroscopiques Dans un matériau magnétique, chaque atome porte un moment magnétique µ (équivalent microscopique de l aiguille
Plus en détailHaute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique.
Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique. Laboratoire Electronique Méthodologie. Jamart Jean-François. - 1 - La fabrication d un circuit imprimé. SOMMAIRE Introduction
Plus en détailFigure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C
ANALYSE XPS (ESCA) I - Principe La spectroscopie XPS (X-Ray Photoelectron Spectroscopy) ou ESCA (Electron Spectroscopy for Chemical Analysis) est basée sur la photo émission. Lors de l'irradiation par
Plus en détailI.1- DÉFINITIONS ET NOTIONS DE BASE
I.1- DÉFINITIONS ET NOTIONS DE BASE Informatique Information Automatique Logiciels (Software) Matériels (Hardware) Définition de l information : On appelle une information tout ce qui est transmissible
Plus en détailCircuits intégrés micro-ondes
Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors
Plus en détailLe polissage par laser
B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques
Plus en détailBULLETIN L ACADÉMIE DES SCIENCES ET LETTRES MONTPELLIER
BULLETIN DE L ACADÉMIE DES SCIENCES ET LETTRES DE MONTPELLIER NOUVELLE SÉRIE TOME 39 ISSN 1146-7282 ANNÉE 2008 Académie des Sciences et Lettres de Montpellier 183 Séance du 26 mai 2008 Deux aspects des
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailDossier pédagogique. Nanotechnologies
Expo Nanomondes 24 Nanotechnologies Le nanomètre (1 nm = 10-9 m, soit un milliardième de mètre) est l unité reine du monde des nanosciences et des nanotechnologies. Un nanomètre, c est environ : 500 000
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailEmmanuel.rousseau@institutoptique.fr
E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr
Plus en détailIntroduction à l Informatique licence 1 ère année Notes de Cours
Introduction à l Informatique licence 1 ère année Notes de Cours Philippe Le Parc Mail : leparc@univ-brest.fr Bureau : LC101 Tel : (029801) 6960 Fiche UE (part.1) 2 Plan et planning Début des cours magistraux
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailChapitre 13 Numérisation de l information
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailOn peut être «lourd» et agile!
éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,
Plus en détailOnLAB, le musée des poussières, la nouvelle exposition de Michel Paysant, présentée par le CNRS et l Institut français
OnLAB, le musée des poussières, la nouvelle exposition de Michel Paysant, présentée par le CNRS et l Institut français Paris, 28 juin 2012 DOSSIER DE PRESSE Sommaire Communiqué de presse «OnLAB, le musée
Plus en détailTO4T Technologie des ordinateurs. Séance 1 Introduction aux technologies des ordinateurs
TO4T Technologie des ordinateurs Séance 1 Introduction aux technologies des ordinateurs Sébastien Combéfis mardi 27 janvier 2015 Ce(tte) œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative
Plus en détailla virtualisation pour quoi faire?
J. F. DAVID Ingénieur Commercial Agence Paris Industrie de Base et de Transformation 24 Mai 1975 la virtualisation pour quoi faire? "Etre transparent, c'est exister et ne pas se voir. Etre virtuel, c'est
Plus en détailCH.3 SYSTÈMES D'EXPLOITATION
CH.3 SYSTÈMES D'EXPLOITATION 3.1 Un historique 3.2 Une vue générale 3.3 Les principaux aspects Info S4 ch3 1 3.1 Un historique Quatre générations. Préhistoire 1944 1950 ENIAC (1944) militaire : 20000 tubes,
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailPhotons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique
Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de
Plus en détailOutils permettant la diffusion de l information. Un point sur le droit numérique
Technologies de l Information et de la Communication Introduction aux NTE/TICE Présentation des UNR UNT Outils permettant la diffusion de l information Conceptualisation d un module d apprentissage numérique
Plus en détailBase de l'informatique. Généralité et Architecture Le système d'exploitation Les logiciels Le réseau et l'extérieur (WEB)
Base de l'informatique Généralité et Architecture Le système d'exploitation Les logiciels Le réseau et l'extérieur (WEB) Généralité Comment fonctionne un ordinateur? Nous définirons 3 couches Le matériel
Plus en détailApplication des technologies de pointe pour la durabilité et autosuffisance des populations isolées
Application des technologies de pointe pour la durabilité et autosuffisance des populations isolées 28 octobre 2014 Catalin Harnagea, Riad Nechache, Jennifer Macleod, and Federico Rosei Institut National
Plus en détailNotions de base sur l énergie solaire photovoltaïque
I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détailConservation des documents numériques
Conservation des documents numériques Qu'est ce qu'un document numérique? Matthieu GIOUX matthieu.gioux@bnf.fr Contexte de la préservation des documents numériques Une croissance en expansion Développement
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détail1/6. L icône Ordinateur
1/6 L icône Ordinateur Référence : Ces cours sont en grande partie extraits de l excellent site Xxyoos auquel vous pouvez vous référer http://www.cours-informatique-gratuit.fr/formation-informatique.php
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury
Plus en détailLe codage informatique
Outils de Bureautique Le codage informatique (exemple : du binaire au traitement de texte) PLAN 3) Le codage binaire 4) Représentation physique des bits 5) Le bit est un peu court... 6) Codage de texte
Plus en détailLa persistance de l'information
La persistance de l'information Table des matières 1. Introduction...2 2. Quel support numérique durable?...4 3. Le coût...4 4. Les limites du numérique...5 4.1. Pas de fiabilité à 100%...5 4.2. Aucune
Plus en détailPrésentation du module Base de données spatio-temporelles
Présentation du module Base de données spatio-temporelles S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Partie 1 : Notion de bases de données (12,5h ) Enjeux et principes
Plus en détailSYSTÈMES DE STOCKAGE AVEC DÉDUPLICATION EMC DATA DOMAIN
SYSTÈMES DE STOCKAGE AVEC DÉDUPLICATION EMC DATA DOMAIN Grâce à leur technologie de déduplication à la volée ultrarapide, les systèmes de stockage avec déduplication EMC Data Domain continuent de révolutionner
Plus en détailConstruction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests
Notice Produit Edition 09.2012 Identification no4794 Version no. 2012-208 Sarnavap 5000E SA Pare-vapeur Description du produit Sarnavap 5000E SA est un pare-vapeur auto-adhésif pour système en adhérence
Plus en détailInformation utiles. cinzia.digiusto@gmail.com. webpage : Google+ : http://www.ibisc.univ-evry.fr/ digiusto/
Systèmes de gestion de bases de données Introduction Université d Evry Val d Essonne, IBISC utiles email : cinzia.digiusto@gmail.com webpage : http://www.ibisc.univ-evry.fr/ digiusto/ Google+ : https://plus.google.com/u/0/b/103572780965897723237/
Plus en détailMODULE I1. Plan. Introduction. Introduction. Historique. Historique avant 1969. R&T 1ère année. Sylvain MERCHEZ
MODULE I1 Plan Chapitre 1 Qu'est ce qu'un S.E? Introduction Historique Présentation d'un S.E Les principaux S.E R&T 1ère année Votre environnement Sylvain MERCHEZ Introduction Introduction Rôles et fonctions
Plus en détailInformatique Générale
Informatique Générale Guillaume Hutzler Laboratoire IBISC (Informatique Biologie Intégrative et Systèmes Complexes) guillaume.hutzler@ibisc.univ-evry.fr Cours Dokeos 625 http://www.ens.univ-evry.fr/modx/dokeos.html
Plus en détailCaractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques
Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Partie 1 - Le microscope électronique en transmission (M.E.T.)
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailProjet Matlab : un logiciel de cryptage
Projet Matlab : un logiciel de cryptage La stéganographie (du grec steganos : couvert et graphein : écriture) consiste à dissimuler une information au sein d'une autre à caractère anodin, de sorte que
Plus en détailArticle sur l énergie solaire Photovoltaïque
Article sur l énergie solaire Photovoltaïque Sommaire Partie I 1. Qu est ce que l énergie solaire? Définition générale de l énergie solaire 2. Comment utiliser l énergie solaire de manière naturelle et
Plus en détailPremiers pas sur l ordinateur Support d initiation
Premiers pas sur l ordinateur Support d initiation SOMMAIRE de la partie 1 : I. Structure générale de l ordinateur... 1. L Unité centrale... 2 2. Les différents périphériques... 5 II. Démarrer et arrêter
Plus en détailLA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 L électricité.
LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 v L électricité. L électricité cycle 3 - doc Ecole des Mines de Nantes 1 LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 v L'électricité. PROGRESSION GENERALE Séance n 1
Plus en détailMicroscopies Électroniques
Microscopies Électroniques M2 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission
Plus en détailde suprises en surprises
Les supraconducteurs s de suprises en surprises titute, Japan hnical Research Inst Railway Tech Julien Bobroff Laboratoire de Physique des Solides, Université Paris-Sud 11 & CNRS Bobroff 2011 Supra2011
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailUNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure
UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure APPEL D OFFRES OUVERT SUR OFFRES DE PRIX 08/ENS/24 BORDEREAU DES PRIX-DETAIL ESTIMATIF Lot n 2 : Achat et installation de matériel pour l enseignement
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailSwitching PCIe Photonique/Silicium Intel Connectique Intel MXC
Switching PCIe Photonique/Silicium Intel Connectique Intel MXC Le PCI Express comme standard Depuis ces dernières années, le PCI Express est le standard reconnu comme étant le principal interconnexion
Plus en détailTP N 1 : ÉLECTRISATION PAR FROTTEMENT
TP N 1 : ÉLECTRISATION PAR FROTTEMENT Introduction : Certaines substances, lorsqu on les frotte, sont susceptibles de provoquer des phénomènes surprenants : attraction de petits corps légers par une règle
Plus en détailX-Rite RM200QC. Spectrocolorimètre d'imagerie portable
Spectrocolorimètre d'imagerie portable X-Rite RM200QC Le spectrocolorimètre d'imagerie RM200QC d X-Rite permet d'établir un lien entre l'apparence de la couleur et la couleur des matériaux des lots entrants
Plus en détailEtudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté
Compétences travaillées : Mettre en œuvre un protocole expérimental Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique
Plus en détailMatériel de laboratoire
Matériel de laboratoire MATERIAUX UTILISE... 1 L'APPAREILLAGE DE LABORATOIRE... 1 a) Les récipients à réaction... 2 b) La verrerie Graduée... 2 MATERIEL DE FILTRATION... 6 FILTRATION SOUS VIDE AVEC UN
Plus en détailLe libre parcours moyen des électrons de conductibilité. des électrons photoélectriques mesuré au moyen de la méthode des couches minces. J. Phys.
Le libre parcours moyen des électrons de conductibilité et des électrons photoélectriques mesuré au moyen de la méthode des couches minces H. Mayer, R. Nossek, H. Thomas To cite this version: H. Mayer,
Plus en détailEnova 2014. Le technorama de la REE. Jean-Pierre HAUET Rédacteur en Chef REE. Le 11 septembre 20141
Enova 2014 Le technorama de la REE Jean-Pierre HAUET Rédacteur en Chef REE Le 11 septembre 20141 La REE La REE (Revue de l Electricité et de l Electronique) : principale publication de la SEE 5 numéros
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailLe poids et la taille des fichiers
Le poids et la taille des fichiers Au tout départ des 0 et des 1 En français et en anglais on appelle cela un bit 8 bit donne un octet (ou byte en anglais) Exemple d octet : 11111111 10111010 00001000
Plus en détail