Europàisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets Numéro de publication 0 392 896 A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Numéro de dépôt: 90400890.1 int. Cl s :C23F 11/08, C02F 1/20 Date de dépôt: 02.04.90 Priorité: 10.04.89 FR 8904686 Demandeur: CECA S.A. 22, Place des Vosges F-92400 Courbevoie(FR) @ Date de publication de la demande: 17.10.90 Bulletin 90/42 Etats contractants désignés: AT SE CH DE DK ES FR GB GR IT Ll LU NL SE Inventeur: Pou, Tong Eak 145, Boulevard Serrurier F-75019 Paris(FR) Procédé et compositions pour réduire la corrosivité des solutions salines oxygénées par balayage avec des gaz acides. On décrit un procédé pour réduire la corrosivité des solutions salines aérées, qui consiste à procéder à un strippage de l'oxygène à l'aide de gaz contenant de l'acide sulfhydrique, après addition d'une composition à la fois catalytique de la réduction de l'oxygène par le gaz sulfhydrique et inhibitrice de la corrosion sulfhydrique. Une telle composition est typiquement représentée par une solution d'un sel de nickel et d'une aminé oxyéthylénée hydrosoluble. < co o. lu Xerox Copy Centre
PROCEDE ET COMPOSITIONS POUR REDUIRE LA CORROSIVITE DES SOLUTIONS SALINES OXYGENEES PAR BALAYAGE AVEC DES GAZ ACIDES. La présente invention a trait à un procédé pour réduire la corrosivité vis-à-vis du fer des solutions salines oxygénées, par balayage avec des gaz naturels contenant de l'acide sulfhydrique en présence d'un catalyseur de désoxygénation. Elle vise également la composition utilisée comme catalyseur de désoxygénation. 5 On réinjecte de l'eau dans les gisements d'hydrocarbures pour maintenir le gisement sous une pression suffisante à son exploitation et à sa conservation. Les eaux d'injection sont généralement salines. Elles le sont de toute évidence lorsqu'il s'agit d'eau de mer utilisée pour regonfler les gisements au large (off shore). En terre ferme, les eaux douces étant précieuses pour d'autres usages, on utilise des eaux de forage ou des eaux de récupération qui sont chargées de sels minéraux. Ces eaux se trouvent également 70 chargées en oxygène dissous, soit par leur contact naturel avec l'atmosphère, soit du fait de leurs manipulations qui ne sont jamais faites en atmosphère inerte. On sait que de les eaux salines oxygénées sont très corrosives vis-à-vis du fer et de l'acier. Aussi utilise-t-on la technique du balayage (strippage) pour les purger de leur oxygène dissous. On utilise pour cela des gaz désaérés. Sur les champs d'hydrocarbures, on dispose en abondance de gaz essentiellement constitués d'hydrocarbures légers, mais qui 75 contiennent des proportions notables de gaz sulfhydrique. La désoxygénation par balayage n'étant pas totale, il en résulte que les eaux que l'on voudrait traiter avec de tels gaz et qui contiendront encore un peu d'oxygène, seront chargées en acide sulfhydrique. Or, si l'on considère que les corrosivité d'eaux, salines, respectivement exempte d'oxygène et d'acide sulfhydrique, simplement oxygénée, uniquement chargée d'acide sulfhydrique, ou chargée à la fois en oxygène et en acide sulfhydrique sont représentées par Vi, 20 V2, V3, et V4, on a un le classement en corrosivité suivant: V*»V2>~»Vi, et qu'ainsi le balayage de l'oxygène par les gaz pétroliers est pour le moins très insatisfaisant quant à la préservation des installations métalliques. Les opérations de désulfuration préalable des gaz de balayage d'une part, et la désoxygénation totale des eaux par balayage d'autre part, sont toutes deux des opérations longues et coûteuses, qui de plus 25 exigent des matériels encombrants que l'on ne peut pas embarquer sur les plates-formes off shore. Le problème que s'est posé par la demanderesse, et qu'elle a résolu avec la présente invention, est la mise au point d'un additif apte à limiter la corrosion des installations par les eaux salines retenant de l'oxygène en solution en présence de quantité notables d'acide sulfhydrique. Le problème s'est déjà posé de l'agressivité des saumures sulfhydriques dont la corrosivité est 30 considérablement augmentée lorsqu'elle se chargent en oxygène par simple contact avec l'atmosphère. Une solution à ce problème à été divulguée par le brevet US 3 618 667 de E. Snavely (Mobil Oil Corporation), selon lequel on se débarrasse de l'oxygène parasite en catalysant sa réduction par le gaz sulfhydrique présent par addition de sels de métaux de transition. On ramène ainsi le niveau de corrosion à celui qui caractérise la solution sulfhydrique non oxygénée. Depuis, les mécanismes de la réaction 35 catalysée de l'oxygène sur l'acide sulfhydrique dissous ont été scientifiquement analysés par 0. Weres, L. Tsao et R.M. Chhatre dans Corrosion, vol 41, N 6, 1985. On a trouvé que l'on pouvait utiliser ce mécanisme de réduction catalytique pour obtenir la réduction de la corrosivité des eaux salines oxygénées, en les balayant par un courant de gaz ne contenant pas d'oxygène, mais en revanche chargés d'acide sulfhydrique. Pour qu'une telle opération procure un résultat 40 industriel valable, il faut que ce balayage n'installe pas une situation de synergie de corrosivité en chargeant d'acide sulfhydrique le fluide aqueux salin imparfaitement débarrassé de son oxygène dissous. La catalyse par les sels de métaux de transition selon Snavely permet, certes, d'éviter une telle situation. Mais on a maintenant chargé la solution saline en acide sulfhydrique, et donc remplacé la corrosion par l'oxygène par une corrosion sulfhydrique, laquelle, si elle se présente sous un aspect moins dramatique, 45 reste néanmoins d'un niveau inacceptable. L'association des sels de métaux de transition avec des inhibiteurs de corrosion sulfhydrique classiques (dérivés cationiques à chaîne grasse, notamment les sels d'amines grasses, sels d'ammonium quaternaire à chaîne grasse), n'apporte pas la solution désirée, car ces composés ont la fâcheuse propriété, en la circonstance, de bloquer la catalyse de décomposition de H2S par l'oxygène. 50 La demanderesse a trouvé que de façon surprenante il était possible de réduire efficacement la corrosivité des solution salines aérées vis-à-vis des métaux ferreux par un balayage desdites eaux aérées avec des gaz contenant de l'acide sulfhydrique si on les additionne d'une composition associant des sels de métaux des colonnes VIII et Ib, ligne 4 de la classification périodique des éléments, et certaines alkylamines oxyalkylées à chaîne grasse. 2
La composition selon l'invention est constituée par une solution hydro-alcoolique d'un sel métallique pris dans le groupe comprenant le nickel, le cobalt, le cuivre et le fer, et d'une aminé grasse oxyalkylée. Le sel métallique est un sel hydrosoluble, généralement le sulfate ou le chlorure. L'amine grasse oxyalkylée est généralement le produit résultant de l'oxyalkylation d'une monoamine ou d'une polyamino (éthyl ou s propyl) aminé munies d'une chaîne aliphatique à 10-22 atomes de carbone; on préfère très généralement l'oxyalkylation avec de l'oxyde d'éthylène qui conduit à des dérivés bien solubles dans l'eau et les solutions salines. Un composé préféré de l'invention est le produit de condensation des aminés dont la chaîne alkyie comprend environ 12 atomes de carbones, avec de 7 à 15 molécules d'oxyde d'éthylène. Le solvant est un mélange homogène hydro-alcoolique, choisi pour dissoudre à la fois le sel métallique et l'amine oxyalkylée. w De préférence, on utilise des mélanges eau-éthanol, ou mieux eau-éthylène glycol, dont le point d'inflammabilité très élevé et le point de congélation très bas sont appréciés pour formuler des produits exposés sur chantier à toutes sortes de conditions météorologiques. Dans la composition selon l'invention le rapport pondéral entre le métal de transition et l'amine grasse oxyalkylée est compris entre 5:30 et 25:30, la teneur en matières actives, celles-ci étant comprises comme 75 la somme du métal de transition et de l'amine grasse oxyalkylée étant comprise entre 15 et 55%, et le solvant alcoolique figurant pour une proportion pondérale comprise approximativement entre 5 et 20%. On utilise ces compositions en les dissolvant dans des milieux aqueux dont la teneur en H2S est comprise entre environ 10 ppm et la limite de saturation, soit environ 1500 ppm, à raison d'environ 20 ppm de ces compositions par ppm d'oxygène dissous restant présent après strippage. Les techniciens apprécie- 20 ront la très grande tolérance de ce dosage en composition selon l'invention. L'utilisation des compositions selon l'invention est particulièrement avantageuse pour la réinjection des puits de pétrole ou de gaz off shore, où l'on dispose en abondance comme fluide de réinjection d'eau de mer saturée en oxygène et de gaz d'hydrocarbures acides pour son strippage. Le procédé selon l'invention n'est évidemment pas limité aux installations off-shore. Il peut être appliqué tout aussi avantageusement 25 pour la réinjection des formations d'hydrocarbures en terre ferme à l'aide d'eaux de gisement salines que leur processus d'extraction même aura mis en contact et réoxygéné. EXEMPLES 30 Dans les exemples suivants qui illustrent l'invention: - on a soumis à la corrosion des échantillons de métal ferreux constitués d'acier type N80; on a utilisé de l'eau de mer synthétique selon la norme ASTM D 1 141 ; - on a contrôlé 35 - les teneurs en acide sulfhydrique par dosage iodométrique; - les teneurs en oxygène dissous par sonde à oxygène; - on a mesuré les vitesses de corrosion instantanée par méthode potentiodynamique classique (méthode des droites de Tafel). 40 Exemple 1 L'additif selon l'invention a ici la composition pondérale A1 suivante: Sulfate de nickel 5 Noramox* CD1 1 30 Acide sulfurique a 96% 2 Ethylene-glycol 10 Antimousse 0,2 Eau 52,8 " Le Noramox CD 1 1 est une aminé oxyéthylénée commercialisée par la Société CECA S.A., et qui est constituée d'une aminé grasse primaire à chaîne coprah, oxyéthylée à raison de 1 1 molécules d'oxyde d'éthylène par mol cule d'amine. 3
A de l'eau de mer équilibrée à 7 ppm d'oxygène, et dans laquelle on a introduit des quantités variables d'acide sulfhydrique par barbotage de gaz sulfhydrique, on ajoute 140 ppm de l'additif ci-dessus (20 ppm par ppm de O2), et on suit la variation de la teneur en oxygène dans le temps. On a au préalable vérifié que 5 la présence d'acide sulfhydrique n'entraîne aucune dérive sensible de la réponse de la sonde à oxygène. Les résultats sont consignés dans le tableau N 1. On voit que dès que la teneur en H2S atteint 20 ppm, l'additif provoque la disparition quasi totale de l'oxygène dissous en l'espace de quelques minutes. 70 Tableau 1 Destruction de I'oxygene dans une eau de mer sulfhydrique en presence de 20 ppm d'additif A1 selon I'exemple 1 par ppm d'oxygene dissous duree 0 1 2 4 6 8 10 12 (minutes) H2S (ppm) 10 7 7 7 6,6 6,0 5,3 4,8 4,1 20 7 6,8 5,9 3,3 1,7 0,6 0,07 0,04 50 7,1 6,8 4,8 1,6 0,055 0,04 100 7,2 6,6 4,5 1,3 0,03 200 6,6 4,9 2,8 0,15 0,02 Exemple 2 (contre-exemple) On a réalisé cet essai dans les conditions générales de l'exemple 1, mais on a remplacé l'additif A1 par un additif A2 de composition: Sulfate de nickel 5 Sel d'ammonium quaternaire* 30 Acide sulfurique a 96% 2 Ethylene-glycol 10 Antimousse 0,2 Eau 52,8 * Dans cette formule, le sel d'ammonium quaternaire utilisé est le Noramium DA 80 de la Société CECA S.A., qui est une solution de chlorure de coprah-diméthyl-benzyi-ammonium. Les résultats qui sont consignés dans le tableau N 2 font apparaître un blocage de la réaction de consommation de l'oxygène par le sel d'ammonium quaternaire, alors que catalysée par l'additif selon 50 l'invention, la réaction a progressé jusqu'à la disparition complète de l'oxygène. On enregistre le même blocage quand au lieu d'un sel d'alkylammonium quaternaire, on utilise un dérivé amphotère, comme par exemple le coprah-aminopropionate de sodium, ou le chlorure de (carboxyméthyl)- coprah-diméthylammonium. 4
Tableau 2 Destruction de I'oxygene dans une eau de mer sulfhydrique (100 ppm de H2S) en presence de 20 ppm d'additif A2 par ppm d'oxygene dissous duree 0 1 2 4 6 8 10 12 (minutes) Additif A1 7,2 6,6 4,5 1,3 0,03 0 0 0 Additif A2 7,0 6,8 6,8 6,7-6,6-6,4 Exemple 3 Dans cet exemple, l'additif est celui de l'exemple 1, utilisé à raison de 150 ppm. On a appliqué divers traitements à une eau de mer initialement proche de la saturation en oxygène (7,5 ppm de O2), et on a mesuré la vitesse de corrosion instantanée de l'acier N 80 plongé dans ce milieu. La mesure est faite environ 1 0 minutes après traitement de l'eau de mer. Les résultats sont consignés sur le tableau N 3 qui met en évidence la très sensible réduction de corrosion par application du procédé selon l'invention. Tableau 3 Solution Corrosive Corrosivite de solutions salines Additif A1 Partiellement desaeree par azote Aeree Telle + 100 + 100 ppm H2S + 40 quelle ppm H2S ppm d'additif A1 O2 dissous ppm "7,2 ~2 2 "0 Vitesse de Corrosion mm/an 2,15 0,6 0,9 0,15 Exemple 4 (contre-exemple) On compare ici les résultats obtenus avec l'inhibiteur de composition A1 selon l'invention d'une part, et 45 d'autre part avec une formulation A4 selon l'art antérieur: Sulfate de nickel 5 Acide sulfurique a 96% 2 Ethylene-glycol 1 0 Antimousse 0,2 Eau 82,8 Dans les deux cas, la solution saline constituée par de l'eau de mer ASTM, a été initialement aérée, puis partiellement désaérée par de l'azote, chargée de 100 ppm de H2S. Ces solutions salines contiennent respectivement 40 ppm d'additif A1 selon l'invention et 40 ppm de l'additif A4 selon l'art antérieur. Dans les deux cas, on a constaté la disparition rapide de l'oxygène, mais le milieu traité avec l'inhibiteur A4 reste 5
corrosif, ainsi qu'en témoignent les résultats consignés sur le tableau N 4. Tableau 4 10 15 20 25 Solution Corrosive Corrosivité de solutions salines Telle quelle Additifs A1 et A4 + 100 ppm H2S Partiellement désaérée par azote + 100 ppm H2S + 40 ppm d'additif A1 O2 dissous ppm "2-0 Vitesse de corrosion mm/an 0,5 0,9 0,15 1,0 10-0 ppm H2- S + - 40 ppm d'- additif A4 30 Revendications 35 40 1. Procédé pour réduire la corrosivité vis-à-vis des métaux ferreux d'eaux salines aérées, caractérisé en ce qu'il comporte un balayage desdites eaux aqueuses aérées avec des gaz contenant de l'acide sulfhydrique, et l'addition d'une composition catalytique et inhibitrice de corrosion sulfhydrique contenant de 5 à 25% d'un sel hydrosoluble d'un métal pris dans le groupe constitué par le fer, le nickel, le cobalt et le cuivre, et de 10 à 30% d'une aminé grasse oxyalkylée de formule générale R - N < 45 (R'-o)ln-H où R est une chaîne alkyle saturée ou insaturée dont le nombre de carbones est' compris entre 10 et 16, où R est un reste alkyle comprenant de 2 à 4 carbones, 50 où n et m sont des entiers non nuls tels que n + m sont compris entre 7 et 1 5. 2. Procédé selon la revendication 1 caractérisé en ce que le sel hydrosoluble de métal contenu dans la composition à la fois catalytique de la réduction de l'oxygène et inhibitrice de la corrosion sulfhydrique est un sel de nickel. 3. Procédé selon la revendication 1 caractérisé en ce que l'amine grasse oxyalkylée de formule 55 générale 6
R - N < contenue dans la composition à la fois catalytique de la réduction de l'oxygène et inhibitrice de la corrosion sulfhydrique est une aminé à chaîne grasse de coprah oxyalkylée à environ 11 molécules d'oxyde d'éthylène. 4. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce qu'elle comporte outre le sel métallique hydrosoluble et l'amine grasse oxyalkylée un solvant hydroalcoolique. 5. Composition destinée à réduire la corrosivité de solutions salines partiellement désaérées par balayage à l'aide de gaz acides, comprenant: - de 5 à 25% en poids d'un sel hydrosoluble d'un métal pris dans le groupe constitué par le fer, le nickel, le cobalt et le cuivre; - de 10 à 30% d'une aminé grasse oxyalkylée de formule générale 2 R - N < <R'-0)n-H 25 où R est une chaîne alkyle saturée ou insaturée dont le nombre moyen de carbones est compris entre 10 et 16, où R' est un reste alkyle comprenant de 2 à 4 carbones, où n et m sont des entiers non nuls tels que n + m sont compris entre 7 et 1 5. 30 6. Composition selon la revendication 5 caractérisée en ce que le sel hydrosoluble de métal est un sel de nickel. 7. Composition selon la revendication 5 caractérisée en ce que l'amine grasse oxyalkylée de formule générale 35 R - N < (R!-0)_-H 40 v ' m contenue dans la composition à la fois catalytique de la réduction de l'oxygène et inhibitrice de la corrosion sulfhydrique est une aminé à chaîne grasse de coprah oxyalkylée à environ 11 molécules d'oxyde d'éthylène. 8. Procédé selon l'une quelconque des revendications 5 à 7, caractérisé en ce que la composition à la fois catalytique de la réduction de l'oxygène et inhibitrice de la corrosion sulfhydrique comporte, outre le sel métallique hydrosoluble et l'amine grasse oxyalkylée, un solvant hydro-alcoolique. 50 55 7
à Office européen des brevets RAPPORT DE RECHERCHE EUROPEENNE Numer de,a demande EP 90 40 0890 Catégorie DOCUMENTS CONSIDERES COMME PERTINENTS Citation du document avec indication, en cas de besoin, des parties pertinentes US-A-3 094 490 (G. S. GARDNER et al.) * Revendication 1; colonne 1, ligne 71 - colonne 2, ligne 6; colonne 2, lignes 29-45; tableau IV * Revendication! concernée 1-8 CLASSEMENT DE LA DEMANDE (Int. CI.5) C 23 F 11/08 C 02 F 1/20 US-A-3 618 667 (E.S. SNAVELY, Jr.) * Revendications 1-13 * PETROLEUM ENGINEER INTERNATIONAL, vol. 52, no. 6, mai 1980, pages 114-120, Dallas, US; N. ADAMS et al.: "H2S détection and protection" * Pages 116,120 * 1-8/ 1,2,4,5,6 GB-A-2 202 167 (MOBIL 0IL CORP.) * Revendications 1-4 * DOMAINES TECHNIQUES RECHERCHES Ont. C\3) C 23 F E 21 B C 02 F Le présent rapport a été établi pour toutes les revendications Lien de la recherche LA HAYE Date d'achèvement de la recherche 12-07-1990 Examinateur DE ANNA P.L. s a. O O c CATEGORIE DES DOCUMENTS CITES X : particulièrement pertinent à lui seul Y : particulièrement pertinent en combinaison avec un autre document de la même catégorie A : arrière-pian technologique O : divulgation non-écrite P : document intercalaire T : théorie ou principe à la base de l'invention E : document de brevet antérieur, mais publié à la date de dépôt ou après cette date D : cité dans la demande L : cité pour d'autres raisons & : membre de la même famille, document correspondant