Voici une nouvelle policière écrite par Florian, Jawad, Lucas, Jessim, Riad et Romain. Chacun a écrit

Transcription

1 Voici une nouvelle policière écrite par Florian, Jawad, Lucas, Jessim, Riad et Romain. Chacun a écrit individuellement le début de l histoire, puis le reste de la nouvelle a été écrite en collaboration. Belle lecture! 1

2 Un soir de Noël, dans une église, tout le monde est heureux lors de la messe. Lari, le prêtre, semble aussi joyeux. Il chante avec les autres personnes. L histoire se déroule le soir de Noël à l église. Le curé chante avec la chorale et Mayson, un homme riche de la ville se sent observé. Mayson chante aussi mais il croit entendre un bruit. Tout à coup, un étrange personnage entre. Il agresse Mayson. Tout le monde est paniqué. Soudain, quelqu un vêtu d une cagoule et d une paire de gants l agresse avec un couteau. Les enfants ont peur et sortent de l église pour prévenir la police. Florian Jawad 2

3 L histoire se déroule à l église le 25 décembre. Le curé chante avec la chorale. Tout le monde semble content. Mayson, un gentleman, part fumer dehors. Un monsieur se joint à lui. Mayson entre à nouveau dans l église, toujours suivi par cet homme. Il se retourne vers lui et demande : «- Pourquoi me suivez-vous? A l église, le soir de Noël, les enfants chantent. Tout va bien. Mayson est assis sur une chaise. Il porte un grand manteau noir et une moustache. Mais soudain, les enfants voient une personne avec une arme qui part en courant. Les choristes aperçoivent un corps rouge de sang. - Je viens avec vous. Jessim Une fois entrés, ils s assoient. Mais soudain, cet homme sort un couteau et le poignarde. Mais QUI EST- CE? Et POURQUOI a-t-il fait cela? Lucas 3

4 L histoire se déroule le soir de Noël, à l église. Tout le monde chante et s amuse. A cet instant, un homme portant une cagoule s approche de la porte d entrée. Il a un couteau dans la poche! Il entre dans l église et retrouve Mayson pour le poignarder. Riad Un beau soir de Noël, dans une église, Monsieur le curé chante avec des gens joyeux. Mayson, un riche et splendide personnage est assis sur un banc. Un homme sombre s approche de lui et s assoit à ses côtés. Tout à coup, on entend un cri strident. Mr le curé voit Mayson se faire agresser par cet homme étrange, avec un couteau pointu. L agresseur porte une cagoule. Romain 4

5 L agresseur s enfuit en courant. Dans l église, les gens sont terrifiés. Ils voient Mayson couvert de sang. La victime tombe au sol et demande de l aide. Les personnes présentes s empressent d appeler la police grâce au téléphone qui se trouve dans le presbytère. Les enquêteurs arrivent rapidement, accompagnés d une ambulance. Sherlock Holmes est avec eux. Mayson est conduit à l hôpital. Sherlock Holmes est un homme grand et mince. Ses yeux sont bruns et ses cheveux marron. Il fume souvent une pipe courbée, plus haute que longue. Il porte une casquette à double visières et un manteau vert à carreaux. Il commence par interroger le prêtre. - Qu avez-vous vu? interroge l enquêteur. - J ai vu une personne agresser Mayson, répond le témoin. - Avez-vous vu son visage? - Non, l agresseur portait une cagoule. Mais j ai pu voir un tatouage dans le cou. - Merci d avoir répondu à mes questions. Faites sortir tout le monde de l église, je vais inspecter la scène du crime.» 5

6 «AUX ENQUETEURS Si j'ai tué Mayson, c'est par simple vengeance. Quand j'étais petit, il a tué ma mère pendant la guerre et si vous vous mêlez de cette affaire, je prendrais des otages.» Ce message est signé : «L'étrangleur des banlieues». Qui est cet «étrangleur des banlieues?» Tout le monde sort calmement. Sherlock Holmes regarde dans tous les coins et tout à coup, il trouve un indice : c est un couteau pointu et plein de sang. Le détective pense alors avoir trouvé l arme du crime. Il réinspecte les lieux de peur d avoir oublié quelque chose puis il voit une lettre sur le banc où était assis Mayson. Il ouvre l enveloppe et découvre un message : Sherlock Holmes sort de ce lieu et découvre un homme fumant une cigarette. Il voit de loin une marque 6

7 dans le cou. Il s avance, s approche et découvre effectivement un tatouage. Cet homme, qui s appelle Annakine, devient un suspect. Le détective interroge Annakine et lui demande : «- Où étiez-vous le soir de Noël? demande l'enquêteur. Je faisais une partie de cartes, répond sèchement le suspect. L'enquêteur poursuit : Avec qui étiez-vous? Avec Dany le Kid et Alain Le Nain. Merci pour les informations données, répond l'homme à la pipe. Holmes se rend alors chez Dany le Kid. Bonjour, où étiez-vous le soir de Noël? demande l'enquêteur. J'étais avec Annakine à une partie de cartes, rétorque Dany. Merci pour vos réponses.» Le suspect a un alibi. Effectivement, Annakine n'était pas sur le lieu de l'agression. Il est alors innocenté. L'enquêteur, pour en être certain, recherche tout de même les casiers judiciaires de Dany Le Kid et Alain Le Nain. Les deux casiers sont vierges. Aucun des trois ne peut être L'étrangleur des banlieues. Le détective, qui n'a plus aucun suspect, va à la rencontre de son ami Watson. Il le rejoint au casino à minuit moins le quart. Il lui fait part des indices qu'il a pu récolter depuis le début de l'enquête : un homme avec un tatouage dans le cou, l'arme du crime et ce fameux 7

8 message laissé sur place. Watson est surpris car il joue tous les soirs à la même table qu'un homme tatoué... dans le cou. Et cet homme est au casino ce soir! Watson et Sherlock Holmes fouillent discrètement la salle de poker. Personne! Puis ils se dirigent vers la salle de la roulette. L'ami prévient alors l'enquêteur que l'homme est installé à cette table. Les deux hommes s'approchent et invitent calmement le suspect à les suivre, ce qu'il fait. Ils s'installent dans une pièce et l'interrogatoire commence : «- Où étiez-vous le soir de Noël? J'étais à l'église, répond l'homme suspecté. Avez-vous vu le crime qui s'y est déroulé? Interroge Sherlock Holmes. Oui! J'étais terrifié! Vous n'avez pas l'air de comprendre de quoi je parle, monsieur, dit le détective. Quoi, vous me soupçonnez? Tout le monde est suspect dans cette ville. Et mes sources m'ont dit que l'agresseur avait le même tatouage que vous, rétorque l'homme à l'imperméable. Mais vous savez que ce n'est pas moi... Je pourrais avoir votre nom et votre prénom? Non! Et pourquoi? Vous n'en avez pas besoin vu que ce n'est pas moi, dit l'homme musclé. Prouvez-le-moi! Qui me dit que ce n'est pas vous? 8

9 Et qui dit que c'est moi? Les preuves, monsieur!» 9