Le changement climatique, est-ce une réalité? Qu apprend-on des observations à l échelle globale?
|
|
- Noël Sylvain
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le changement climatique, est-ce une réalité? Qu est ce que le GIEC? Qu apprend-on des observations à l échelle globale? Qu apprend-on des observations à l échelle de la France? D après les supports de Serge Planton, David Salas Météo-France, CNRM-GAME
2 Objectifs du GIEC Le Groupe d experts Intergouvernemental sur l Évolution du Climat (GIEC ou IPCC en anglais) a été mis en place en 1988 par l Organisation Météorologique Mondiale et par le Programme des Nations Unis pour l Environnement. Son premier objectif principal est d évaluer l information scientifique et socio-économique sur le changement climatique, ses impacts et les différentes options pour l atténuer ou s y adapter. Le deuxième objectif principal est de produire, sur demande, des avis scientifiques, techniques et socio-économiques à la Conférence des Parties de la Convention Cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique.
3 Organisation de l expertise par le GIEC Le GIEC organise les travaux d évaluation en s appuyant notamment sur un bureau composé de 31 membres et sur 3 groupes de travail se focalisant sur les bases scientifiques du changement climatique (groupe I), les impacts, l adaptation et la vulnérabilité (groupe II), et l atténuation (groupe III). Le bureau sélectionne les auteurs principaux, les contributeurs, les réviseurs et autres experts à partir d une liste de candidatures proposées par les représentants des gouvernements ou des organisations internationales associées. A titre d exemple, le premier volet du dernier rapport du groupe I (29 septembre 2013) cite plus de 9200 publications, a associé 259 auteurs et éditeurs, environ 600 auteurs contributeurs et plus de 1000 réviseurs experts auteurs de près de commentaires.
4 Le 5 e rapport du GIEC ( ) Rapport du groupe I (29 septembre 2013) : Rapport complet et résumé pour décideurs en français disponibles sur le site du GIEC : Un accès aux versions intermédiaires, aux revues et aux commentaires sur le même site. Rapport du groupe II (29 mars 2014) Rapport du groupe III (12 avril 2014) : Rapports complets et résumés pour décideurs en anglais disponibles sur le site du GIEC : Résumés pour décideurs en français disponible sur le site de l ONERC:
5 Le changement climatique, est-ce une réalité? Qu est ce que le GIEC? Qu apprend-on des observations à l échelle globale? Qu apprend-on des observations à l échelle de la France? D après les supports de Serge Planton, David Salas Météo-France, CNRM-GAME
6 Variabilité climatique: le dernier millénaire (GIEC, 2013) Évolutions de la température moyenne de l hémisphère Nord en surface relatives à ( C) MCA: Anomalie Climatique Médiévale LIA: Petit Age Glaciaire
7 Variabilité climatique: le dernier siècle (GIEC, 2013) Évolutions de la température moyenne globale en surface relatives à Tendance : C Moyennes annuelles ( C) ( ) ( ) : C Moyennes décennales ( C)
8 Tendances depuis le début du XX e siècle (GIEC, 2013) Tendances de température ( C/période) Tendances de précipitations (mm/an/décennie) Tendances calculées à condition qu au moins 70% des données soient présentent dans les séries
9 Evolutions dans l océan et la cryosphère depuis le début du XX e siècle (GIEC, 2013) Contenu calorifique océan superficiel (0-700m) Niveau moyen mondial de la mer relatif à Couverture de neige au printemps (HN) Extension de la banquise Arctique en été
10 Concentration de CO2 dans l atmosphère et l océan (GIEC, 2013) Mauna Loa Pôle Sud CO2 atmosphérique Dissous dans océan superficiel CO2 océanique Acidité de l eau
11 Qu apprend-on des observations? Le réchauffement du système climatique est sans équivoque, et depuis les années 1950, beaucoup des changements observés sont sans précédent depuis des décennies jusqu'à des millénaires. L atmosphère et l océan se sont réchauffés, la quantité des neiges et glaces a diminué, le niveau des mers s est élevé, et les concentrations des gaz à effet de serre ont augmenté. Chacune des trois dernières décennies a été successivement plus chaude à la surface de la Terre que toutes les décennies précédentes depuis GIEC, 2013
12 Carbone et autres quantités biogéochimiques Les concentrations atmosphériques du dioxyde de carbone (CO 2 ), du méthane et de l oxyde nitreux ont augmenté pour atteindre des niveaux sans précédent depuis au moins ans. Les concentrations de CO 2 ont augmenté de 40% depuis la période préindustrielle. Cette augmentation s explique en premier lieu par l utilisation de combustibles fossiles, et en second lieu par des émissions nettes dues à des changements d utilisation des sols. GIEC, 2013
13 Composantes du forçage radiatif entre 1750 et 2011 (GIEC, 2013)
14 Facteurs du changement climatique Le forçage radiatif total est positif et a conduit à une absorption d énergie par le système climatique. La plus grande contribution à ce forçage radiatif est l augmentation de la concentration atmosphérique du CO 2 depuis GIEC, 2013
15 Une preuve de l'influence anthropique par la modélisation ACTIVITE N 3 Un journaliste de la presse écrite vous contacte pour un article sur le changement climatique dans son journal. Sa question est la suivante : Les activités humaines sont elles responsables du réchauffement climatique? Le journaliste vous octroie 10 lignes. Vous disposez de la figure ci-dessous : Simulations avec forçages naturels seulement Simulations avec forçages naturels et anthropiques Anomalies relative à ( C)
16 Variations de la température moyenne globale en surface simulées et observées au XX e siècle (GIEC, 2013) Simulations avec forçages naturels seulement Simulations avec forçages naturels et anthropiques Anomalies relative à ( C)
17 Attribution des tendances sur de la température moyenne globale en surface ( C sur période) (GIEC, 2013) Anthropique = Anthropique hors GES + Anthropique GES
18 GIEC, 2013 Quelles sont les sources de l évolution des climats? L influence humaine sur le système climatique est claire. Elle est évidente en ce qui concerne l augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l atmosphère, le forçage radiatif positif, le réchauffement observé, et la compréhension du système climatique. L influence humaine a été détectée dans le réchauffement de l atmosphère et de l océan, les changements du cycle de l eau planétaire, la fonte des neiges et glaces, l élévation du niveau marin moyen, et la modification de certains extrêmes climatiques. Il est extrêmement probable que l influence humaine a été la cause principale du réchauffement observé depuis le milieu du XXe siècle.
19 Une question faisant débat : Le réchauffement est-il terminé? Une période de 10 à 15 ans est insuffisante pour mettre en évidence une tendance climatique durable. Même si la température se refroidit sur une période de 10 à 15 ans, cela ne veut pas dire que le réchauffement climatique lié aux gaz à effet de serre touche à sa fin. Projection de 2000 à 2100, scénario A2 Température moyenne planétaire (Easterling et Wehner, 2009) Observations de 1975 à 2008
20 Le changement climatique, est-ce une réalité? Qu est ce que le GIEC? Qu apprend-on des observations à l échelle globale? Qu apprend-on des observations à l échelle de la France? D après les supports de Brigitte Dubuisson Direction de la Climatologie Météo-France
21 Un constat net sur l évolution de température globale L année 2013 se classe au 8ème rang parmi les années les plus chaudes depuis La décennie (0,48 C > normale ) est 0,22 C plus chaude que la décennie L année la plus chaude a été 2010 (0,54 C au-dessus de la normale ), quasi équivalentes avec 1998 et Evolution de la température moyenne mondiale sur la période Indicateur fourni par Météo-France à l ONERC d après les données du Climate Research Unit.
22 Accélération du réchauffement Un constat net aussi en France métropolitaine Avec une température moyenne supérieure de 1,8 C à la moyenne de la période , l année 2011 est l année la plus chaude en France métropolitaine depuis 1900, battant le précédent record de 2003 (+1.7 C). Evolution de la température moyenne en la France métropolitaine sur la période Anomalie par rapport à la période Indicateur fourni par Météo-France à l ONERC
23 Un constat valable sur tous nos territoires L augmentation est de l ordre de 0.24 degrés par décennie sur la période et atteint 0.34 degrés par décennie sur la période Ce réchauffement est moindre qu en métropole où la hausse des températures moyennes annuelles atteint 0.55 degrés par décennie sur cette même période Evolution de la température moyenne en Guyane sur la période Anomalie par rapport à la période Indicateur fourni par Météo-France à l ONERC Séries homogénéisées
24 Hausse plus forte des températures minimales que des températures maximales. Des particularités régionales apparaissent : un gradient est-ouest du réchauffement pour les minimales et un gradient nord-sud pour les maximales. Tendances températures mini et maxi D après Mestre (2000), 70 séries homogénéisées
25 Évolution annuelle ( ) Réchauffement moyen annuel C/décembre sur la période Absence de contrastes spatiaux pas de différences significatives entre les zones Bornes inférieure (gauche) et supérieure (droite) des intervalles de confiance à 95%
26 26 Réchauffement significatif au printemps (+0.33 C/dec.) et en été (0.42 C/dec.)
27 Evolution des précipitations GIEC 5ème rapport Variation de la moyenne mondiale des précipitations sur les régions continentales : degré de confiance faible depuis1901, moyen depuis En moyenne sur les régions continentales des moyennes latitudes de l Hémisphère Nord, les précipitations ont augmenté depuis 1901 (degré de confiance moyen avant 1951, élevé ensuite. Pour les autres latitudes, le degré de confiance relatif aux tendances régionales de long terme (>0 ou <0) est faible.
28 Evolution annuelle en métropole Premiers résultats à actualiser lorsque l ensemble des zones sera traité. L évolution du cumul annuel de précipitations sur la période en métropole n est pas significative (95%)
29 Évolution des précipitations annuelles Une illustration : la série homogénéisée à Agen sur la période : très forte variabilité inter annuelle des précipitations pas de signal marqué des précipitations à échelle annuelle
30 Des indices cohérents avec un réchauffement Evolution du nombre annuel de journées estivales à Toulouse et Paris depuis 1951 Tmax > 25 C Evolution du nombre de jours entre la première et la dernière gelée à Toulouse et Nancy depuis 1951 Tmin < 0 C Indicateur fourni par Météo-France à l ONERC
31 Des indices cohérents avec un réchauffement Nombre de jours de vagues de chaleur Nombre de jours de gel Jours relativement chauds Hausse non significative : Hausse significative : Baisse non significative : Baisse significative : Source : Projet GICC/IMFREX
32 Pluies diluviennes dans le sud-est méditerranéen de la France Evolution du nombre annuel de jours de pluies seuils, sur les régions méditerranéennes 100 mm 150 mm 190 mm Indicateur fourni par Météo-France à l ONERC
33 Evolution de l enneigement Température moyenne hivernale Enneigement moyen hivernal Durée d enneigement Durée d enneigement «fort» Col de Porte (massif de la Chartreuse 1325 m) Sensibilité à la température et aux précipitations Intégration de la répartition pluie-neige et de la fréquence des épisodes de fonte hivernale Indicateur fourni par Météo-France à l ONERC
34 Indicateurs : site de l ONERC ONERC Observatoire National sur les Effets du Réchauffement Climatique
35 Bibliographie sur l homogénéisation : Références bibliographiques Guidance on medata and homogeneization, WMO WCMP Guidelines, WMO WCDMP n 53 Caussinus, H. and O. Mestre, 2004: Detection and correction of artificial shifts in climate series. Applied Statistics 53, Mestre, O., P. Domonkos, F. Picard, I. Auer, S. Robin, E. Lebarbier, R. Böhm, E. Aguilar, J. Guijarro, G. Vertachnik, M. Klancar, Dubuisson B., and P. Stepanek (2013) "HOMER : a homogenization software - methods and applications," Quarterly Journal of the Hungarian Meteorological Service, vol. 117, iss. 1, pp Moisselin J.-M., Schneider M., Canellas C., Mestre O., 2002, Les changements climatiques en France au XX ème siècle Étude des longues séries homogénéisées de données de température et de précipitations, La Météorologie n 38 août 2002, pp Moisselin J.-M, Dubuisson B., Evolution des extrêmes de températures et de précipitations en France au cours du XXe siècle, 2006, La Météorologie Gibelin A.-L., Dubuisson B., Corre L., Deaux N., Jourdain S., Laval L., Piquemal J-M, Mestre O., Dennetière D., Desmidt S., Tamburini A. : Évolution de la température en France depuis les années Constitution d un nouveau jeu de séries homogénéisées de référence, accepté dans La Météorologie
36 Le changement climatique, est-ce une réalité? ACTIVITE N 4 : QCM
Évolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailRoyaume du Maroc Secrétariat d État auprès du Ministère de l Énergie, des Mines, de l Eau et de l Environnement, Chargé de l Eau et de l Environnement Direction de la Météorologie Nationale Variabilité
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailLe projet DRIAS : premières études et documents
Le projet DRIAS : premières études et documents Julien Lémond CNRM / GAME, Météo-France, CNRS Direction de la Climatologie Réunion Comité Utilisateurs, le 29 juin 2010 Plan de la présentation 1 ) Les services
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailLa modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation
La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr
Plus en détailCHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013
CHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013 Les éléments scientifiques Résumé à l intention des décideurs GT I CONTRIBUTION DU GROUPE DE TRAVAIL I AU CINQUIÈME RAPPORT D ÉVALUATION DU GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailQuestions fréquentes. Citations des présentes questions : Lors de la citation d un groupe de questions, donner la référence suivante :
Extraits du Rapport accepté par le Groupe de travail I du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat mais non approuvé dans les détails Questions fréquentes Citations des présentes
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailClimat : vers le point de rupture?
Climat : vers le point de rupture? Nouvelles données scientifiques sur la crise climatique BRIEFING Avril 2009 Climat : vers le point de rupture? Nouvelles données scientifiques sur la crise climatique
Plus en détailCONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP)
Repère à reporter sur la copie SESSION DE 28 CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP) Section : SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE COMPOSITION
Plus en détailLSCE Laboratoire des sciences du climat et de l environnement
LSCE Laboratoire des sciences du climat et de l environnement octobre 2011 CONTACTS PRESSE : Service de presse de CEA - Tél : 01 64 50 16 49 presse@ceafr Service de presse du CNRS - Tél : 01 44 96 51 51
Plus en détailSynthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA
Synthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA Fatima Driouech et Atika Kasmi Le travail effectué par l équipe de la DMN, dans le cadre du projet et durant cette première période,
Plus en détailLa diversité des climats
Les interactions entre l océan et l atmosphère Chaque jour, la météorologie occupe une place importante (voire le devant de la scène), lorsque surviennent tempêtes, vagues de chaleur ou de froid, ou inondations.
Plus en détailChangements Climatiques 2007
Changements Climatiques 2007 R apport de sy nthèse OMM Un rapport du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat PNUE Bilan 2007 des changements climatiques : Rapport de synthèse Publié
Plus en détailChangement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est?
Dossier pédagogique 3 Langues, géographie, sciences, histoire Changement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est? plus de 100 ans de recherches scientifiques Changement climatique, Effet de serre, gaz à
Plus en détailRôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe
Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):
Plus en détailIV.1 Descente d échelle dynamique... 11 IV.2 Descente d échelle statistique... 14
Table des matières Rapport de l étude «Evaluation des changements climatiques futurs au niveau des zones oasiennes marocaines»... 1 élaborée pour le projet... 1 «Adaptation aux changements climatiques
Plus en détailProjets en cours sur l archivage et la diffusion des simulations climatiques et de leurs produits, en liaison avec le projet DRIAS
Projets en cours sur l archivage et la diffusion des simulations climatiques et de leurs produits, en liaison avec le projet DRIAS Serge Planton (MF/CNRM-GAME), Robert Vautard (IPSL), Maryvonne Kerdoncuff,
Plus en détailChangements climatiques 2001: Rapport de synthèse
Changements climatiques 2001: Rapport de synthèse Rapport de synthèse Evaluation du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Ce résumé, intégralement approuvé à la XVIII e session
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailDeuxième rapport national du Canada. climatiques
Deuxième rapport national du Canada sur les changements climatiques Mesures prises en vertu de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques 1997 Mise à jour novembre 1997 DEUXIÈME
Plus en détailInfluence du changement. agronomiques de la vigne
Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailImpacts potentiels du changement climatique sur les indices agroclimatiques dans les régions du sud de l Ontario et du Québec
Impacts potentiels du changement climatique sur les indices agroclimatiques dans les régions du sud de l Ontario et du Québec A. Bootsma, D. Anderson et S. Gameda Centre de recherches de l'est sur les
Plus en détailPiegeage et stockage du CO 2
Piegeage et stockage du CO 2 Résumé du rapport spécial du GIEC, le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Un résumé réalisé par: LE PIÉGEAGE ET STOCKAGE DU DIOXYDE DE CARBONE (PSC)
Plus en détailLe Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé. Introduction
OMM GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL SUR L ÉVOLUTION DU CLIMAT PNUE Introduction Le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé Les activités humaines
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailDISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)
DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références
Plus en détailSEMINAIRE «CLIMAT ET SANTE» En partenariat avec le CRVOI
Projet Adaptation au Changement Climatique (ACClimate). Un projet de la Commission de l Océan Indien, cofinancé par le Fonds français pour l Environnement Mondial (FFEM), le Ministère français des Affaires
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailEfficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar
Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et
Plus en détailQuelques chiffres clés de l énergie et de l environnement
Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1
Plus en détailCours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel
Cours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel Liens utiles pour les prévisions météorologiques http://meteo.chamonix.org/ 0900 55 21 65 (Haute Savoie) 0900 55 21 68 (Alpes romandes) Par SMS au numéro
Plus en détailProjet Institutional Support to African Climate Initiative (ISACIP) ATELIER DE RENFORCEMENT DE CAPACITÉS Niamey, 17 au 25 mars 2014
Projet Institutional Support to African Climate Initiative (ISACIP) ATELIER DE RENFORCEMENT DE CAPACITÉS Niamey, 17 au 25 mars 2014 Par Amadou Idrissa Bokoye, Ph. D. Contact: abokoye@gmail.com Environnement
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailM. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica.
Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application au bassin du Guadalquivir (sudo-uest de l Espagne). En: Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application
Plus en détailRédaction générale et coordination. Claude DesJarlais, Anne Blondlot. Auteurs principaux par section
Rédaction générale et coordination Claude DesJarlais, Anne Blondlot Auteurs principaux par section Michel Allard : le Nord Alain Bourque : sommaire et conclusion Diane Chaumont : le climat du Québec et
Plus en détailLa finance carbone pour les villes
1 La finance carbone pour les villes Source de revenus et levier d action pour des villes plus propres A travers la présentation de trois mécanismes de finance carbone mobilisables par les villes, cette
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailÉconomiser l Électricité
Économiser l Électricité c est simple Document réalisé par l Agence Régionale Pour l Environnement Midi-Pyrénées Agence Régionale Pour l Environnement Midi-Pyrénées Observatoire Régional de l Énergie Midi-Pyrénées
Plus en détailPlan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011
Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011 D.D.T.M de la Somme SOMMAIRE Les risques majeurs sur le littoral
Plus en détailModèle de Climat de Titan
Planétologie - GSMA - Université de Reims Champagne-Ardenne Modèle de Climat de Titan Le contexte général : Titan, le plus gros satellite de Saturne, possède une atmosphère dense de 1.4 bar essentiellement
Plus en détailMETEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM
METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE 2 CONCOURS COMMUNS 6 ECOLES HTTP://CC.IEP.FR. Contact presse : Catherine Amy
IntégrerSciencesPoAix en Provence,Lille,Lyon,Rennes,Strasbourg,Toulouse Lundi24juin2013 DOSSIER DE PRESSE 2 CONCOURS COMMUNS 6 ECOLES HTTP://CC.IEP.FR Contact presse : Catherine Amy Coordination de la
Plus en détailComment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? EFFICACITÉ POUR LES MAISONS
Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? Découvrez la gamme Aquarea de Panasonic Pompe à chaleur Source Air CONÇUE POUR LES MAISONS Une pompe à chaleur Aquarea avec Source
Plus en détailBilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton
Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation
Plus en détail1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ
1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à
Plus en détailExpertise INRA Stocker du carbone dans les sols agricoles? Préface
2 2 Expertise INRA Stocker du carbone dans les sols agricoles? Préface Mettre à disposition du ministère chargé de l environnement et des acteurs de l environnement des références de recherche et d observation,
Plus en détailModélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Plus en détailLa gestion du risque chez AXA
Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détailRéunion de lancement du projet LEFE DEPHY2
Réunion de lancement du projet LEFE DEPHY2 Développement et Evaluation des PHYsiques des modèles atmosphériques BILAN 45 participants 25 CNRM, 12 LMD, 4 LGGE, 2LA, 1 LSCE, 1 GET 8-9-10 septembre 2014 Observatoire
Plus en détailContrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B
Contrôle de la convection profonde par les processus sous-nuageux dans LMDZ5B C. Rio, J.-Y. Grandpeix, F. Hourdin, F. Guichard, F. Couvreux, J.-P. Lafore, A. Fridlind, A. Mrowiec, S. Bony, N. Rochetin,
Plus en détailDIRECTIVE 2006/40/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL
L 161/12 FR Journal officiel de l'union européenne 14.6.2006 DIRECTIVE 2006/40/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 17 mai 2006 concernant les émissions provenant des systèmes de climatisation des
Plus en détailProjet ClimSec. Impact du changement climatique en France sur la sécheresse et l eau du sol
Projet ClimSec Impact du changement climatique en France sur la sécheresse et l eau du sol Rapport final du projet Mai 2011 Réalisé par la Direction de la Climatologie de Météo-France (1) En partenariat
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailLe changement climatique: de quoi s agit-il? Introduction pour les jeunes
1 Le changement climatique: de quoi s agit-il? Introduction pour les jeunes Europe Direct est un service destiné à vous aider à trouver des réponses aux questions que vous vous posez sur l Union européenne.
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailGuide à destination des chefs d établissement et des enseignants
Guide à destination des chefs d établissement et des enseignants Une démarche pédagogique en éducation au développement durable : Organiser des jeux de rôles (simulations) en milieu scolaire Introduction
Plus en détailPlan Climat Territorial de la Communauté d Agglomération de l Artois
Plan Climat Territorial de la Communauté d Agglomération de l Artois I - Le changement climatique A) L effet de serre 1 Un phénomène naturel. 2 Les différents gaz à effet de serre. 3 Les effets probables
Plus en détailREDD-plus. Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques.
REDD-plus Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques novembre 2009 Programme de Conservation des Forêts Le mécanisme REDD-plus
Plus en détailclimatiques 2013-2020
Stratégie gouvernementale d adaptation aux changements climatiques 2013-2020 Un effort collectif pour renforcer la résilience de la société québécoise Juin 2012 Dépôt Légal Bibliothèque et Archives nationales
Plus en détailCORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE
Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale
Plus en détailRéseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château
Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr
Plus en détailGlobal Monitoring Emergency Services
Global Monitoring Emergency Services Christelle BOSC Olivier POCHARD 22/05/2012 Pôle Applications Satellitaires et Télécommunicaton CETE Sud-Ou LE PROGRAMME GMES Global Monitoring for Environment and Security
Plus en détailNous avons soumis la question au (( Bureau sur les changements climatiques du ministère de l'environnement D qui nous a fait la réponse suivante :
Première question de la Commission 180 DB26 Dragage d'entretien du chenal entre Hudson et Oka Lac des Deux-Montagnes 6211.02-104 c Est-ce que vous savez si les gouvernements, provincial et fédéral, ont
Plus en détailREDRAWING MAP. World Energy Outlook Special Report RÉSUMÉ REDÉFINIR LES CONTOURS DU DÉBAT ENERGIE-CLIMAT. French translation
REDRAWING THE ENERGY-CLIMATE MAP World Energy Outlook Special Report French translation RÉSUMÉ REDÉFINIR LES CONTOURS DU DÉBAT ENERGIE-CLIMAT Édition spéciale du World Energy Outlook AGENCE INTERNATIONALE
Plus en détailWeek-end Neige et Vapeur Sur le Mont Lozère
Week-end Neige et Vapeur Sur le Mont Lozère 2 Jours / 1 Nuit Du Samedi 31 Janvier au Dimanche 01 Février 2015 Du Samedi 14 au Dimanche 15 Février 2015 Possibilité d arriver le vendredi soir. Accueil Dispersion
Plus en détailResponsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON
Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...
Plus en détailLIAISON A50 A57 TRAVERSEE
LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine
Plus en détailMatthieu Wemaere Avocat aux Barreaux de Paris et Bruxelles
Etude des pratiques du secteur des banques et assurances pour faire face aux changements climatiques dans la gestion intégrée des zones côtières (GIZC) en Méditerranéenne Matthieu Wemaere Avocat aux Barreaux
Plus en détailWP Board No. 972/05. 29 avril 2005 Original : anglais. Projets/Fonds commun. Comité exécutif 258 e réunion 17 19 mai 2005 Londres, Angleterre
WP Board No. 972/05 International Coffee Organization Organización Internacional del Café Organização Internacional do Café Organisation Internationale du Café 29 avril 2005 Original : anglais Projets/Fonds
Plus en détailAssurances de biens et de responsabilité
Enquête Juin 2011 Assurances de biens et de responsabilité Inondations du Var des 15 et 16 juin 2010 Bilan chiffré au 31 mai 2011 1 LES INONDATIONS DU VAR DES 15 ET 16 JUIN 2010 SYNTHESE Les conséquences
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailElodie Briche *, Gérard Beltrando *, Claude Kergomard **, Hervé Quénol ***
N e uv iè m e s Re nc o n t re s d e T hé o Q ua n t Besa nç o n, 4-6 ma rs 2 0 09 h t tp : // t h e ma. u n i v- fc o m te.f r / Utilisation des sorties du modèle numérique ARPEGE-Climat pour la simulation
Plus en détailRessources en eau. Résumé du deuxième Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau
Ressources en eau Résumé du deuxième Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau Un résumé réalisé par L'EAU est essentielle à la survie et au bien-être de l homme et
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailSommaire 3 A LA UNE 4 LA VMC GAZ EN
Sommaire 3 A LA UNE 4 LA VMC GAZ EN COLLECTIF 6 TRAITEMENT DES DGI 7 LES AUTRES MODIFICATIONS 2 A la une INFO La mise en application prévue au 1er juin 2013 nécessitera la publication de son arrêté de
Plus en détailPerspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest
Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest Jean-François DEJOUX CESBIO & Luc CHAMPOLIVIER CETIOM Télédétection en agriculture : nouveau
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détail1. CONTEXTE...4 2. AVERTISSEMENT AU LECTEUR...5 3. DÉFINITIONS...7
Septembre 2011 Méthode pour la réalisation des bilans d émissions de Gaz à effet de serre conformément à l article 75 de la loi n 2010788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l environnement
Plus en détailNOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD REPUBLIQUE DU MALI. Ministère des Mines DIRECTION NATIONALE DE LA GEOLOGIE ET DES MINES
NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD REPUBLIQUE DU MALI Ministère des Mines DIRECTION NATIONALE DE LA GEOLOGIE ET DES MINES NOVEMBRE 2009 13 ème Conférence et Exposition sur le Négoce et le Financement du Pétrole,
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détailLA STERN REVIEW : l économie du changement climatique
Précis Les preuves scientifiques sont désormais écrasantes : le changement climatique présente des risques très sérieux à l échelle de la planète et exige une réponse mondiale de toute urgence. Ce rapport
Plus en détailAFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD
Rec. UIT-R P.84- RECOMMANDATION UIT-R P.84- AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD (Question UIT-R /3) Rec. UIT-R P.84- (99-994-997) L'Assemblée des radiocommunications de l'uit, considérant a)
Plus en détailPROTOCOLE DE KYOTO À LA CONVENTION-CADRE DES NATIONS UNIES SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES
PROTOCOLE DE KYOTO À LA CONVENTION-CADRE DES NATIONS UNIES SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES Nations Unies 1998 FCCC/INFORMAL/83 GE.05-61647 (F) 070605 090605 PROTOCOLE DE KYOTO À LA CONVENTION-CADRE DES
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détail1. Utilisation conforme à l usage prévu. 2. Propriétés. 3. Montage. Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101
310 164 01 Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101 1. Utilisation conforme à l usage prévu Le capteur sert à la détection de dioxyde de carbone (CO 2 ) et de la température dans l espace d habitation. La teneur
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS SUITE A DONNER SOURCE. Note du collectif d associations de consommateurs sur le format d affichage
Plate-forme d'échanges Date : 2011-06-10 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org Affichage environnemental des produits grande consommation Numéro du document:
Plus en détailICOS Integrated Carbon Observing System http://www.icos-infrastructure.eu/
ICOS Integrated Carbon Observing System http://www.icos-infrastructure.eu/ infrastructure.eu/ 1 Quantifier les flux régionaux Un réseau de 100 stations Pérenne, haute précision, homogène, opérationnelle
Plus en détail