Contribution aux rapports entre la logique combinatoire et les T[Σ]-algèbres.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Contribution aux rapports entre la logique combinatoire et les T[Σ]-algèbres."

Transcription

1 UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE ÉCOLE DOCTORALE V «CONCEPTS ET LANGAGES» Laboratoire de recherche «Langues, Logiques, Informatique, Cognition (STIH-LaLIC)» T H È S E pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE Discipline/ Spécialité : Informatique Présentée et soutenue par : Benoît SAUZAY le : 26 octobre 2013 Le concept informatique de «compilation généralisée» dans les sciences cognitives (linguistique, logique et intelligence artificielle): Contribution aux rapports entre la logique combinatoire et les T[Σ]-algèbres. Sous la direction de : M. Jean-Pierre DESCLES Professeur émérite, Université Paris-Sorbonne, JURY : M. Jean-Yves BEZIAU Professeur, Université Fédérale de Rio de Janeiro (rapporteur) M. Ismaïl BISKRI Professeur, Université du Québec à Trois-Rivières M. Jean-Pierre DESCLES Professeur, Université Paris-Sorbonne, LaLIC (directeur de thèse) M. Jean-Gabriel GANASCIA Professeur, Université Pierre et Marie Curie, LIP6 M. Jean SALLANTIN Professeur, Directeur de recherche au CNRS, LIRMM (rapporteur)

2 2

3 POSITION DE THESE Les problèmes de la cognition ou de l intelligence artificielle se posent généralement (Searle, 1990) en faisant référence à la machine de Turing (Turing, 1950). Si on considère le développement de l informatique depuis les années soixante, on constate que d une part, les architectures matérielles évoluent modérément, le jeu d instructions majoritairement utilisé aujourd hui étant toujours le même qu aux débuts de l ordinateur individuel : le langage x86 d Intel 1. D autre part, l augmentation du nombre de langages de programmation, aussi bien avec une approche procédurale que déclarative 2, a été très importante. Parallèlement, les concepts, comme la notion de fonction, peuvent être traduits d un langage de haut niveau dans un autre langage de haut niveau. Les notions d objet d un langage orienté objet peuvent aussi être traduites dans un autre. On peut poser des propriétés de commutativité ou d associativité relatives à un opérateur, de précédence des opérateurs entre eux, ou écrire une grammaire. On distinguera, parmi ces concepts, des invariants qui ne seront pas toujours clairement exprimés par les syntaxes des différents langages de programmation, mais qui traverseront invariablement les différentes phases de compilation et les différents compilateurs. Ces invariants sont principalement l application d un opérateur à un opérande, c est pourquoi on parle généralement de langage applicatif. Nous reprendrons dans ce travail un deuxième invariant, introduit par J.-P. Desclés, qui est la distinction entre la notion d opérateur 3 et celle d opération (Desclés J.-P., Opérateurs Opérations, 1980). On peut dès lors légitiment se poser la question du rapport entre la pensée et le cerveau non plus en termes de machine à instructions de Turing, mais en termes de compilation, d opérateurs 4 et d opérations. Si le langage de haut niveau implique des symboles, le calcul repose en premier lieu sur des opérateurs et des opérations 5. Un ordinateur forme donc un ensemble d opérateurs en dualité avec des opérations «physiques», qui peuvent éventuellement être associées à des symboles. Ces opérateurs se composent et se complexifient dans une certaine 1 Le langage x86 est un langage binaire directement exécutable par une machine matérielle ; le langage assembleur se trouve juste au-dessus de ce langage x86, puis encore au-dessus, interviennent les langages de haut niveau. Le langage x86 est utilisé dans la majorité des processeurs actuels. Certains langages binaires, comme ceux de la famille 68xxx ou SPARC, ont disparu ou sont restreints à des usages très spécifiques. Les processeurs ARM utilisent un jeu d instructions très comparable au langage x86. 2 Les langages procéduraux ou impératifs se distinguent des langages déclaratifs ou fonctionnels ; selon (Reade, 1993, p. 2), «procedural languages have evolved as abstractions from a von Neumann model of sequential machines and their control mechanisms have arisen as abstractions from the use of a program counter to locate the next instruction and to perform jumps. The programmer is having to do several things at the same time, namely : (1) describe what is to be computed ; (2) organize the computation sequencing into small steps ; (3) organize memory management during the computation. ( ) Declarative languages are usually generated from mathematical principles.». Ces deux approches ont cependant intégré des concepts d objet ou «orientés-objet», afin de permettre la prise en compte aussi bien des problèmes d évolution du programme que des entités manipulées par la pensée humaine, i.e. les «objets» ou concepts (Masini, Napoli, Colnet, Léonard, & Tombre, 1991, p. 17). 3 La notion de fonction n est plus dès lors synonyme d opérateur. 4 Brièvement, un opérateur est un procédé constructif qui produit un résultat à partir d un opérande donné. 5 Si nous réalisons une machine «mécanique» (comme les anciennes machines à vapeur), cette dernière peut être programmée par des manettes, manivelles (opérations) ou autre procédé mécanique indépendamment de tout système symbolique. 3

4 horizontalité, mais également dans une certaine verticalité. De même que la compilation verticale permet de passer d un ensemble de concepts à un autre, un opérateur horizontal complexe fait la correspondance entre deux ensembles d opérateurs qui renvoient à des concepts. En s engouffrant dans la brèche ouverte par J. Backus (1957) avec le premier compilateur FORTRAN, jusqu à la position de (Gajski, 2003) qui substitue la notion d instruction par celle de compilation, il nous semble donc raisonnable de vouloir étudier la cognition humaine, et même animale, la faculté de langage, et ses représentations logiques et informatiques, par le biais de l approche par compilation. Les travaux contemporains (Chomsky & Schützenberg, 1963) sur la syntaxe abstraite des langues naturelles ont pu par exemple inspirer J. Backus pour construire une abstraction de la machine plus «naturelle». Nous proposons ainsi de reprendre la démarche de J. Backus de la façon suivante : Il n est pas nécessaire de tout penser en termes de machine de Turing. Pour cela, on peut concevoir une machine de Turing particulière, appelée «compilateur», qui permette d oublier 6 la complexité «technique» des machines de Turing. Cette dernière peut être elle-même mise «à l intérieur», ou réalisée par une machine de Turing. Sans entrer dans le débat sur la notion de calculabilité, nous entendons par «machine de Turing», l ensemble des machines y compris les hypermachines ou les ordinateurs quantiques. Le problème de la cognition en général peut donc être posé à l aide du concept général de compilation, conçu comme une succession de changements de représentations, et non plus uniquement en termes de machine de Turing puisque la compilation en a effacé les aspects techniques. Pouvons-nous faire l hypothèse que certains mécanismes relevant de la compilation font partie intégrante de l étude explicative de la cognition et de son architecture par changement de représentation entre couches ou niveaux? La cognition serait alors, dans cette optique, expliquée par des changements successifs de représentation, allant d un niveau cognitif symbolique hautement catégorisé, vers un niveau matériel dont la structure est très différente et inversement, du niveau matériel vers un niveau entièrement symbolique. Plus complexe qu une simple compilation, la cognition peut-elle mettre en œuvre plusieurs niveaux successifs? Elle effectuerait alors des changements de représentation, d un niveau cognitif vers un niveau matériel et serait alors synonyme de compilation généralisée. L expression compilation généralisée a été introduite initialement par (Desclés J.-P., 1989), (Abraham, Desclés, Piotrowski, & Segond, 1990). Par exemple, comment peut-on décrire les calculs qui engendrent des représentations associées à tuer ou mourir, représentations qui ne sont elles-mêmes pas indépendantes les unes des autres? En effet, pour expliquer la relation entre «tuer» et «mourir», nous devons expliquer comment l énoncé le chasseur a tué le daim, engendre une représentation qui permet d en déduire que ce daim est mort. Pour cela, la reconnaissance de la forme linguistique tuer déclenche la construction d une représentation structurée que nous allons définir comme une treille. Cette représentation fait intervenir en tant que composante, les opérateurs «être-vivant» et «ne pas être vivant», identifiable à «être mort». Il se trouve que les représentations arborescentes sous-jacentes aux expressions des énoncés linguistiques sont similaires à celles mises en œuvre par les compilateurs des langages informatiques. Ces structures sont des arbres doublement orientés (Arbib & Give'on, 1968) qui se distinguent des arbres de la théorie des graphes (Berge, 1958), (Gondran & Minoux, 2009) simplement orientés. On remarque cependant qu en se restreignant aux seules structures d arbres 6 Oublier ou effacer de la complexité, c est faire en quelque sorte de l abstraction, ou s élever au-dessus d un certain nombre de difficultés techniques (variables). 4

5 bi-ordonnés, on peut être amené à réitérer certains calculs, ce qui diminue considérablement l efficacité opératoire (temps de calcul et occupation mémoire). Par exemple, un même calcul effectué dans une structure arborescente ne peut pas être repris à un autre endroit de l arborescence (sans duplication), il nécessite alors des opérations intermédiaires de stockage et de transport à l intérieur de l arborescence englobante. C est pourquoi, pour optimiser les calculs, le compilateur classique construira des graphes dirigés sans circuit (DAG 7 ) alors qu il manipule en réalité des graphes dirigés orientés sans circuit (DOAG 8 ), à partir d arbres, en utilisant d un point de vue technique, des pointeurs pour permettre le calcul. De même, en linguistique, la notion d arbre bi-ordonné, aussi bien l arbre syntagmatique de la linguistique structurale nord-américaine que l arbre de dépendance de L. Tesnière ou de Mel cuk, ne permet pas de représenter adéquatement la composition de prédicats complexes appliqués à un même terme. Par exemple, dans Luc pense partir, le prédicat complexe pense partir est le résultat d une composition des prédicats plus élémentaires pense et part, appliqués au même terme Luc puisque Luc pense partir signifie Luc pense (Luc part). La structure de treille que nous allons présenter permet d avoir une représentation plus adéquate et plus économique que l arbre bi-ordonné. Dans un arbre bi-ordonné, un même nœud ne peut pas avoir plusieurs pères ; de ce fait, le nœud «Luc» est redoublé et la structure n exprime pas que les prédicats «penser» et «partir» ont un même sujet. Dans un DAG, il y a bien un même sujet pour les deux prédicats, cependant les deux opérandes du prédicat «penser» ne se trouvent pas au même niveau 9. Sans orientation verticale du graphe mais avec uniquement une orientation des arcs, l opérateur initial ne peut pas être représenté sans ambiguïté, ce qui empêche le calcul de se déployer. Le DAG est déjà en partie orienté. Le DOAG précise que l opérateur complexe représenté débute avec le prédicat «penser» et non «partir», parce qu il se trouve au nœud supérieur. Le DOAG ne donne cependant pas le procédé de calcul sous-jacent. Par contre, la treille possède les propriétés du DOAG, ainsi que des propriétés de calcul adéquates sur des opérateurs qui permettent d écrire l opérateur I sur le nœud intermédiaire gauche, qui «fait remonter» l opérande «Luc» comme sujet du verbe «penser». Autrement dit, en termes de représentations, seule la treille donne une bonne représentation, également valide d un point de vue du calcul. Notre problème est donc l explicitation technique et épistémologique du concept de compilation largement utilisé en informatique, et étendu aux sciences cognitives, englobant l étude du fonctionnement langagier, au moyen de représentations symboliques, logiques, et informatiques. Dans ce contexte, nous abordons dans l ordre les problèmes suivants, qui correspondent à notre découpe par chapitres, selon une première partie exposant les cadres théoriques, et une seconde partie présentant des applications. Premier problème : La compilation en informatique. Quelles sont les étapes qui constituent la compilation en informatique? Nous les décrirons simplement, puis nous interrogerons : est-il possible d envisager une chaîne de compilation ou de transformation de différents niveaux d abstraction dans une approche «non classique» de la compilation? Peut-on «penser» ces calculs indépendamment des opérations matérielles elles-mêmes, dans la continuité de la démarche de J. Backus jusqu à la position de Gajski? 7 Directed Acyclic Graph. 8 Directed Oriented Acyclic Graph 9 Le sujet Luc se trouve à une distance d un arc du prédicat Penser, ce qui n est pas vrai. Nous avons bien «penser : Luc partir» qui s applique en dernier sur Luc. La structure doit rendre compte de cet ordre pour permettre le calcul effectif. 5

6 Deuxième problème : Combinateurs de la logique combinatoire. Des opérateurs primitifs, appelés par H. Curry des combinateurs, permettent de construire toutes les expressions d un calcul formel comme le λ-calcul de Church et réciproquement. Ces combinateurs renvoient à des «objets de pensée» et définissent donc un modèle de calcul. Cependant, les formalismes qui utilisent des compilateurs renvoient-ils davantage à des modèles de calculs ou bien à des modèles de machines? Troisième problème : Σ-algèbre. Les deux principaux modèles de calcul qui ont été «présentés» (i.e. la logique combinatoire et le λ-calcul) n effectuent pas de distinction explicite entre la notion d opérateur et celle d opération. Ils ne possèdent pas non plus une formalisation adéquate pour se déployer directement sous la forme d arbres opératoires. Quelle comparaison sera-t-il possible de faire entre le modèle de calcul par treilles, la logique combinatoire de Curry et le λ-calcul de Church sur cette base? Un autre modèle de calcul doit-il encore être introduit? Quatrième problème : T[Σ]-algèbre. Le troisième problème conduisant à un niveau de complexité élevé, un quatrième modèle de calcul est introduit ; selon J.-P. Desclés (1980), il peut être défini en termes de deux T-opérations («comparables» aux combinateurs de H. Curry.). Nous présenterons donc les travaux de J.-P. Desclés de façon actualisée. Cinquième problème : Des arbres aux treilles. Les compilateurs mettent donc en œuvre des calculs sur des calculs. Ces derniers ont été formalisés dans les années 1930 par la logique combinatoire et le λ-calcul, sur la base de représentations symboliques. Or, la manipulation de ces systèmes pour des applications concrètes comme l informatique a fait apparaître une représentation plus adéquate, économique : l arbre bi-ordonné. Dès lors, pourquoi ne pas utiliser directement un formalisme de calcul sur la base de ces arbres informatiques ou bi-ordonnés? Peut-on fonder un calcul uniquement sur des arbres, sans faire référence à des solutions techniques appartenant au modèle de machine? Le formalisme des arbres est-il suffisant? Sixième problème : Rapports entre la logique combinatoire et les treilles. Se pose alors la question de construire des rapports entre ce dernier modèle et le modèle de Curry. La logique combinatoire est plus simple et davantage orientée sur la notion d opérateur primitif que le modèle de Church. La logique combinatoire est un système qui s appuie sur la notion d application, alors que les T[Σ]-algèbres ou treilles utilisent la notion de composition dans la théorie des catégories. Dès lors, comment construire une sorte de «pont» entre ces deux modèles de calcul? Les cadres théoriques présentées permettent-ils une compilation, i.e. un calcul de calculs ou encore un calcul sur des structures? Septième problème : Arithmétique. Les calculs mis en œuvre dans un compilateur ne sont pas triviaux. Est-il possible de construire une application simple du calcul par des treilles, pour luimême dans le plan, comme par exemple l arithmétique? Huitième problème : Changements de représentations en biologie. La biologie est un système de construction par niveaux, si on considère que des réactions physico-chimiques interviennent, puis des structures, des tissus, des organismes. Lors des changements de représentations, des transformations «intrinsèques» interviennent : effacements, duplications, inversions. Pouvonsnous utiliser un formalisme de manipulation d opérateurs pour décrire «en partie» les mécanismes biologiques ou chimiques? On s interrogera ainsi sur les différents programmes de structure mis en œuvre par la biologie. 6

7 Neuvième problème : Schèmes sémantico-cognitif (compilation en linguistique). Le problème du choix d une structure adéquate pour effectuer des «calculs sur des calculs» (troisième problème) a été posé en partant des langues naturelles. Pouvons-nous développer ce calcul «de calcul» à un niveau sémantico-cognitif? Est-il possible de proposer un calcul formel qui serait sous-jacent à l énoncé «le chasseur a tué le daim», tel que la machine puisse inférer que le daim est maintenant mort, après avoir été vivant? Quel en serait le formalisme adéquat? Peut-on utiliser le même formalisme que celui utilisé pour l arithmétique et indépendament de tout domaine d application? Dixième problème : La compilation généralisée en sciences cognitives. Nous interrogeons la relation entre la matière ou le cerveau et l esprit ou les représentations cognitives d un point de vue épistémologique. Comment les représentations cognitives, si elles ont une certaine autonomie, pourraient-elles être étudiées indépendamment des supports matériels (neurobiologiques)? Si l on réfute le dualisme et le réductionnisme, comment relier alors la pensée et le cerveau? Si la proposition de J. Ladrière : «l esprit est adhérent à la matière», peut être retenue, que signifie-t-elle? Comment les représentations cognitives peuvent-elles adhérer à leur support? Pour résoudre ces problèmes, nous adoptons une démarche qui détermine notre plan. Tout d abord, une première partie pose le problème de la compilation et des transformations internes qu elle met en œuvre, puis se consacre au cadre algébrique, théorique et à sa comparaison avec la logique combinatoire. La deuxième partie présente les applications en réponse aux problèmes d arbres soulevés dans la première partie, et les ouvre vers la compilation généralisée en sciences cognitives. Ce mémoire se compose donc de dix chapitres et s inscrit dans le programme de recherche transversal du laboratoire STIH-LaLIC - langage, logiques, informatique et cognition - qui travaille sur les langues naturelles dans le cadre théorique de la Grammaire Applicative Cognitive et Enonciative. De ce fait, à travers l analyse en niveaux à partir des observables et la synthèse issue des représentations cognitives élaborées, il s intéresse autant aux langues qu aux moyens formels (logiques et mathématiques) de l analyse, en vue d une automatisation à terme, par exemple sur des applications ciblées (résumé ou extraction de segments pertinents méthode d exploration contextuelle). Notre projet est pluridisciplinaire, car il est centré sur ces moyens formels de l analyse et de la synthèse ; pour ce faire, il fait appel à un cadre mathématique et établit une relation avec la logique qui se justifie par elle-même ; toutefois, il prend aussi en compte l insuffisance des représentations arborescentes, notamment pour la linguistique, et se justifie également de par le formalisme simple qu il lui apporte. 7

8 REFERENCES Abraham, M., Desclés, J.-P., Piotrowski, D., & Segond, F. (1990). Langage naturel et représentations cognitives : un problème d'architecture et de compilation. Actes du 4e colloque de l'arc, progrès de la science cognitive (pp ). ARC INRIA. Arbib, M., & Give'on, Y. (1968). Algebra Automata I: Parallel Programming as a Prolegomena to the Categorial Approach. Dans Information and Control (pp ). Backus, J. (1959). the syntax and semantics of the proposed international algebraic language of the Zurich ACM-GAMM Conference. Proc. Intl. Conf. Information Processing (pp ). Paris: UNESCO. Backus, J. (1978, August). Can Programming Be Liberated from the von Neumann Style? A functional Style and its Algebra of Programs. ACM Turing Award Lecture - volume 21 number 8, pp Berge, C. (1958). Théorie des graphes et des applications. Paris: Dunod. Chomsky, N. (1956). Three models for the description of language. IRE Trans. on Information Theory, IT-2.3, Chomsky, N., & Schützenberg, M.-P. (1963). The Algebraic Theory of Content-Free Language. Dans P. Braffort, & D. Hirschberg, Computer Programming ad Formal Systems (pp ). North Holland. Church, A. (1932). A set of postulates for the foundation of logic. Annals of Mathematics - series 2, Curry, H. (1929). An Analysis of Logical Substitution. American Journal of Mathematics Vol51, No 3, Curry, H., Feys, R., & Craig, W. (1958). Combinatory Logic. Amsterdam: North-Holland. Desclés, J.-P. (1980). Opérateurs Opérations. Paris: Thèse d'etat - Université de Paris 7. Gajski, D. (2003). NISC : The Ultimate Reconfigurable Component. Center for Embedded Computer Systems TR Gondran, M., & Minoux, M. (2009). Graphes et algorithmes. Paris: Lavoisier. Turing, A. (1950). Computing Machinery and Intelligence. Mind n 49,

Cours 1 : La compilation

Cours 1 : La compilation /38 Interprétation des programmes Cours 1 : La compilation Yann Régis-Gianas yrg@pps.univ-paris-diderot.fr PPS - Université Denis Diderot Paris 7 2/38 Qu est-ce que la compilation? Vous avez tous déjà

Plus en détail

Machines virtuelles Cours 1 : Introduction

Machines virtuelles Cours 1 : Introduction Machines virtuelles Cours 1 : Introduction Pierre Letouzey 1 pierre.letouzey@inria.fr PPS - Université Denis Diderot Paris 7 janvier 2012 1. Merci à Y. Régis-Gianas pour les transparents Qu est-ce qu une

Plus en détail

LES OUTILS D ALIMENTATION DU REFERENTIEL DE DB-MAIN

LES OUTILS D ALIMENTATION DU REFERENTIEL DE DB-MAIN LES OUTILS D ALIMENTATION DU REFERENTIEL DE DB-MAIN Les contenues de ce document sont la propriété exclusive de la société REVER. Ils ne sont transmis qu à titre d information et ne peuvent en aucun cas

Plus en détail

Évaluation et implémentation des langages

Évaluation et implémentation des langages Évaluation et implémentation des langages Les langages de programmation et le processus de programmation Critères de conception et d évaluation des langages de programmation Les fondations de l implémentation

Plus en détail

Intelligence Artificielle et Robotique

Intelligence Artificielle et Robotique Intelligence Artificielle et Robotique Introduction à l intelligence artificielle David Janiszek david.janiszek@parisdescartes.fr http://www.math-info.univ-paris5.fr/~janiszek/ PRES Sorbonne Paris Cité

Plus en détail

INF 1250 INTRODUCTION AUX BASES DE DONNÉES. Guide d étude

INF 1250 INTRODUCTION AUX BASES DE DONNÉES. Guide d étude INF 1250 INTRODUCTION AUX BASES DE DONNÉES Guide d étude Sous la direction de Olga Mariño Télé-université Montréal (Québec) 2011 INF 1250 Introduction aux bases de données 2 INTRODUCTION Le Guide d étude

Plus en détail

Cours 1 : Qu est-ce que la programmation?

Cours 1 : Qu est-ce que la programmation? 1/65 Introduction à la programmation Cours 1 : Qu est-ce que la programmation? Yann Régis-Gianas yrg@pps.univ-paris-diderot.fr Université Paris Diderot Paris 7 2/65 1. Sortez un appareil qui peut se rendre

Plus en détail

Manuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2

Manuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........

Plus en détail

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot Chapitre 5 Arithmétique binaire L es codes sont manipulés au quotidien sans qu on s en rende compte, et leur compréhension est quasi instinctive. Le seul fait de lire fait appel au codage alphabétique,

Plus en détail

La mémoire. Un ordinateur. L'octet. Le bit

La mémoire. Un ordinateur. L'octet. Le bit Introduction à l informatique et à la programmation Un ordinateur Un ordinateur est une machine à calculer composée de : un processeur (ou unité centrale) qui effectue les calculs une mémoire qui conserve

Plus en détail

ASR1 TD7 : Un microprocesseur RISC 16 bits

ASR1 TD7 : Un microprocesseur RISC 16 bits {Â Ö Ñ º ØÖ Ý,È ØÖ ºÄÓ Ù,Æ ÓÐ ºÎ ÝÖ Ø¹ ÖÚ ÐÐÓÒ} Ò ¹ÐÝÓÒº Ö ØØÔ»»Ô Ö Óº Ò ¹ÐÝÓÒº Ö» Ö Ñ º ØÖ Ý»¼ Ö½» ASR1 TD7 : Un microprocesseur RISC 16 bits 13, 20 et 27 novembre 2006 Présentation générale On choisit

Plus en détail

Les apports de l informatique. Aux autres disciplines

Les apports de l informatique. Aux autres disciplines Les apports de l informatique Aux autres disciplines Le statut de technologie ou de sous-discipline est celui de l importation l et de la vulgarisation Le statut de science à part entière est lorsqu il

Plus en détail

Synthèse «Le Plus Grand Produit»

Synthèse «Le Plus Grand Produit» Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique

Plus en détail

High Performance by Exploiting Information Locality through Reverse Computing. Mouad Bahi

High Performance by Exploiting Information Locality through Reverse Computing. Mouad Bahi Thèse High Performance by Exploiting Information Locality through Reverse Computing Présentée et soutenue publiquement le 21 décembre 2011 par Mouad Bahi pour l obtention du Doctorat de l université Paris-Sud

Plus en détail

Grammaires d unification

Grammaires d unification Cours sur le traitement automatique des langues (IV) Violaine Prince Université de Montpellier 2 LIRMM-CNRS Grammaires d unification Grammaire catégorielle Grammaire syntagmatique généralisée (GPSG) Les

Plus en détail

Générer du code à partir d une description de haut niveau

Générer du code à partir d une description de haut niveau Cedric Dumoulin Générer du code à partir d une description de haut niveau Ce projet vise à fournir un environnement de développement permettant de modéliser des UI Android à un haut niveau d abstraction,

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

Conception des systèmes répartis

Conception des systèmes répartis Conception des systèmes répartis Principes et concepts Gérard Padiou Département Informatique et Mathématiques appliquées ENSEEIHT Octobre 2012 Gérard Padiou Conception des systèmes répartis 1 / 37 plan

Plus en détail

Évaluation des logiciels et autres réalisations

Évaluation des logiciels et autres réalisations DOCUMENT D ANALYSE DE LA COMMISSION D ÉVALUATION DE L INRIA Évaluation des logiciels et autres réalisations Préparé par David Margery, Jean-Pierre Merlet, Cordelia Schmid, Agnès Sulem, Paul Zimmermann

Plus en détail

Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français

Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français Badreddine Hamma To cite this version: Badreddine Hamma. Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français. Revue française de linguistique appliquée,

Plus en détail

Jade. Projet Intelligence Artificielle «Devine à quoi je pense»

Jade. Projet Intelligence Artificielle «Devine à quoi je pense» Jade Projet Intelligence Artificielle «Devine à quoi je pense» Réalisé par Djénéba Djikiné, Alexandre Bernard et Julien Lafont EPSI CSII2-2011 TABLE DES MATIÈRES 1. Analyse du besoin a. Cahier des charges

Plus en détail

Solution A La Gestion Des Objets Java Pour Des Systèmes Embarqués

Solution A La Gestion Des Objets Java Pour Des Systèmes Embarqués International Journal of Engineering Research and Development e-issn: 2278-067X, p-issn: 2278-800X, www.ijerd.com Volume 7, Issue 5 (June 2013), PP.99-103 Solution A La Gestion Des Objets Java Pour Des

Plus en détail

Nom de l application

Nom de l application Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Direction Générale des Etudes Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Gafsa Département Technologies de l Informatique

Plus en détail

physicien diplômé EPFZ originaire de France présentée acceptée sur proposition Thèse no. 7178

physicien diplômé EPFZ originaire de France présentée acceptée sur proposition Thèse no. 7178 Thèse no. 7178 PROBLEMES D'OPTIMISATION DANS LES SYSTEMES DE CHAUFFAGE A DISTANCE présentée à l'ecole POLYTECHNIQUE FEDERALE DE ZURICH pour l'obtention du titre de Docteur es sciences naturelles par Alain

Plus en détail

Etudier l informatique

Etudier l informatique Etudier l informatique à l Université de Genève 2015-2016 Les bonnes raisons d étudier l informatique à l UNIGE La participation à des dizaines de projets de recherche européens Dans la présente brochure,

Plus en détail

Morphosyntaxe de l'interrogation en conversation spontanée : modélisation et évaluations

Morphosyntaxe de l'interrogation en conversation spontanée : modélisation et évaluations U Université dumaine Faculté des Lettres, Langues et Sciences humaines Morphosyntaxe de l'interrogation en conversation spontanée : modélisation et évaluations Carole Lailler 1 L interrogation : une modalité

Plus en détail

Les indices à surplus constant

Les indices à surplus constant Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté

Plus en détail

Utilisation des tableaux sémantiques dans les logiques de description

Utilisation des tableaux sémantiques dans les logiques de description Utilisation des tableaux sémantiques dans les logiques de description IFT6281 Web Sémantique Jacques Bergeron Département d informatique et de recherche opérationnelle Université de Montréal bergerja@iro.umontreal.ca

Plus en détail

Conception de circuits numériques et architecture des ordinateurs

Conception de circuits numériques et architecture des ordinateurs Conception de circuits numériques et architecture des ordinateurs Frédéric Pétrot Année universitaire 2014-2015 Structure du cours C1 C2 C3 C4 C5 C6 C7 C8 C9 C10 C11 Codage des nombres en base 2, logique

Plus en détail

Systèmes d information et bases de données (niveau 1)

Systèmes d information et bases de données (niveau 1) Systèmes d information et bases de données (niveau 1) Cours N 1 Violaine Prince Plan du cours 1. Bibliographie 2. Introduction aux bases de données 3. Les modèles 1. Hiérarchique 2. Réseau 3. Relationnel

Plus en détail

Cabri et le programme de géométrie au secondaire au Québec

Cabri et le programme de géométrie au secondaire au Québec Cabri et le programme de géométrie au secondaire au Québec Benoît Côté Département de mathématiques, UQAM, Québec cote.benoit@uqam.ca 1. Introduction - Exercice de didactique fiction Que signifie intégrer

Plus en détail

Chapitre I Notions de base et outils de travail

Chapitre I Notions de base et outils de travail Chapitre I Notions de base et outils de travail Objectifs Connaître les principes fondateurs et l historique du langage Java S informer des principales caractéristiques du langage Java Connaître l environnement

Plus en détail

DU BINAIRE AU MICROPROCESSEUR - D ANGELIS CIRCUITS CONFIGURABLES NOTION DE PROGRAMMATION

DU BINAIRE AU MICROPROCESSEUR - D ANGELIS CIRCUITS CONFIGURABLES NOTION DE PROGRAMMATION 145 NOTION DE PROGRAMMATION 1/ Complétons notre microprocesseur Nous avons, dans les leçons précédentes décrit un microprocesseur théorique, cependant il s inspire du 6800, premier microprocesseur conçu

Plus en détail

Cours de Master Recherche

Cours de Master Recherche Cours de Master Recherche Spécialité CODE : Résolution de problèmes combinatoires Christine Solnon LIRIS, UMR 5205 CNRS / Université Lyon 1 2007 Rappel du plan du cours 16 heures de cours 1 - Introduction

Plus en détail

Langage SQL (1) 4 septembre 2007. IUT Orléans. Introduction Le langage SQL : données Le langage SQL : requêtes

Langage SQL (1) 4 septembre 2007. IUT Orléans. Introduction Le langage SQL : données Le langage SQL : requêtes Langage SQL (1) Sébastien Limet Denys Duchier IUT Orléans 4 septembre 2007 Notions de base qu est-ce qu une base de données? SGBD différents type de bases de données quelques systèmes existants Définition

Plus en détail

Introduction aux systèmes temps réel. Iulian Ober IRIT ober@iut-blagnac.fr

Introduction aux systèmes temps réel. Iulian Ober IRIT ober@iut-blagnac.fr Introduction aux systèmes temps réel Iulian Ober IRIT ober@iut-blagnac.fr Définition Systèmes dont la correction ne dépend pas seulement des valeurs des résultats produits mais également des délais dans

Plus en détail

Informatique Générale

Informatique Générale Informatique Générale Guillaume Hutzler Laboratoire IBISC (Informatique Biologie Intégrative et Systèmes Complexes) guillaume.hutzler@ibisc.univ-evry.fr Cours Dokeos 625 http://www.ens.univ-evry.fr/modx/dokeos.html

Plus en détail

QUI VEUT JOUER AVEC MOI?

QUI VEUT JOUER AVEC MOI? QUI VEUT JOUER AVEC MOI? Michel Rigo (Université de Liège) http://www.discmath.ulg.ac.be/ JOUER SÉRIEUSEMENT, POURQUOI? Jeux coopératifs : marché boursier, économie, émergence de réseaux sociaux,... Mise

Plus en détail

CURRICULUM VITAE. Informations Personnelles

CURRICULUM VITAE. Informations Personnelles CURRICULUM VITAE Informations Personnelles NOM: BOURAS PRENOM : Zine-Eddine STRUCTURE DE RATTACHEMENT: Département de Mathématiques et d Informatique Ecole Préparatoire aux Sciences et Techniques Annaba

Plus en détail

Logiciel Libre Cours 3 Fondements: Génie Logiciel

Logiciel Libre Cours 3 Fondements: Génie Logiciel Logiciel Libre Cours 3 Fondements: Génie Logiciel Stefano Zacchiroli zack@pps.univ-paris-diderot.fr Laboratoire PPS, Université Paris Diderot 2013 2014 URL http://upsilon.cc/zack/teaching/1314/freesoftware/

Plus en détail

Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services

Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services 69 Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services M. Bakhouya, J. Gaber et A. Koukam Laboratoire Systèmes et Transports SeT Université de Technologie de Belfort-Montbéliard

Plus en détail

basée sur le cours de Bertrand Legal, maître de conférences à l ENSEIRB www.enseirb.fr/~legal Olivier Augereau Formation UML

basée sur le cours de Bertrand Legal, maître de conférences à l ENSEIRB www.enseirb.fr/~legal Olivier Augereau Formation UML basée sur le cours de Bertrand Legal, maître de conférences à l ENSEIRB www.enseirb.fr/~legal Olivier Augereau Formation UML http://olivier-augereau.com Sommaire Introduction I) Les bases II) Les diagrammes

Plus en détail

Cours 1 : Introduction Ordinateurs - Langages de haut niveau - Application

Cours 1 : Introduction Ordinateurs - Langages de haut niveau - Application Université de Provence Licence Math-Info Première Année V. Phan Luong Algorithmique et Programmation en Python Cours 1 : Introduction Ordinateurs - Langages de haut niveau - Application 1 Ordinateur Un

Plus en détail

Programmation C. Apprendre à développer des programmes simples dans le langage C

Programmation C. Apprendre à développer des programmes simples dans le langage C Programmation C Apprendre à développer des programmes simples dans le langage C Notes de cours sont disponibles sur http://astro.u-strasbg.fr/scyon/stusm (attention les majuscules sont importantes) Modalités

Plus en détail

Formula Negator, Outil de négation de formule.

Formula Negator, Outil de négation de formule. Formula Negator, Outil de négation de formule. Aymerick Savary 1,2, Mathieu Lassale 1,2, Jean-Louis Lanet 1 et Marc Frappier 2 1 Université de Limoges 2 Université de Sherbrooke Résumé. Cet article présente

Plus en détail

SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM

SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM APPLICATION FORM / FORMULAIRE DE CANDIDATURE Note: If there is insufficient space to answer a question, please attach additional

Plus en détail

Travaux pratiques. Compression en codage de Huffman. 1.3. Organisation d un projet de programmation

Travaux pratiques. Compression en codage de Huffman. 1.3. Organisation d un projet de programmation Université de Savoie Module ETRS711 Travaux pratiques Compression en codage de Huffman 1. Organisation du projet 1.1. Objectifs Le but de ce projet est d'écrire un programme permettant de compresser des

Plus en détail

Cours Informatique 1. Monsieur SADOUNI Salheddine

Cours Informatique 1. Monsieur SADOUNI Salheddine Cours Informatique 1 Chapitre 2 les Systèmes Informatique Monsieur SADOUNI Salheddine Un Système Informatique lesystème Informatique est composé de deux parties : -le Matériel : constitué de l unité centrale

Plus en détail

Compilation (INF 564)

Compilation (INF 564) Présentation du cours Le processeur MIPS Programmation du MIPS 1 Compilation (INF 564) Introduction & architecture MIPS François Pottier 10 décembre 2014 Présentation du cours Le processeur MIPS Programmation

Plus en détail

Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents. Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com

Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents. Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com Plan La première partie : L intelligence artificielle (IA) Définition de l intelligence artificielle (IA) Domaines

Plus en détail

Créer le schéma relationnel d une base de données ACCESS

Créer le schéma relationnel d une base de données ACCESS Utilisation du SGBD ACCESS Polycopié réalisé par Chihab Hanachi et Jean-Marc Thévenin Créer le schéma relationnel d une base de données ACCESS GENERALITES SUR ACCESS... 1 A PROPOS DE L UTILISATION D ACCESS...

Plus en détail

MABioVis. Bio-informatique et la

MABioVis. Bio-informatique et la MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID

Plus en détail

Université Paris XI Faculté des sciences d Orsay THÈSE. présentée pour l obtention du grade de Docteur en Sciences de l Université Paris-Sud XI Orsay

Université Paris XI Faculté des sciences d Orsay THÈSE. présentée pour l obtention du grade de Docteur en Sciences de l Université Paris-Sud XI Orsay N d ordre : 8563 Université Paris XI Faculté des sciences d Orsay THÈSE présentée pour l obtention du grade de Docteur en Sciences de l Université Paris-Sud XI Orsay Par Cédric JACQUIOT Spécialité : INFORMATIQUE

Plus en détail

COMMENT REDIGER UN RAPPORT TECHNIQUE?

COMMENT REDIGER UN RAPPORT TECHNIQUE? COMMENT REDIGER UN RAPPORT TECHNIQUE? Christiaens Sébastien Université de Liège Département PROMETHEE Institut de Mécanique et de Génie Civil, Bât. B52 Chemin des Chevreuils, 1 B-4000 Liège, Belgique Janvier

Plus en détail

Introduction aux concepts d ez Publish

Introduction aux concepts d ez Publish Introduction aux concepts d ez Publish Tutoriel rédigé par Bergfrid Skaara. Traduit de l Anglais par Benjamin Lemoine Mercredi 30 Janvier 2008 Sommaire Concepts d ez Publish... 3 Système de Gestion de

Plus en détail

Ingénierie et gestion des connaissances

Ingénierie et gestion des connaissances Master Web Intelligence ICM Option Informatique Ingénierie et gestion des connaissances Philippe BEAUNE Philippe.Beaune@emse.fr 18 novembre 2008 Passer en revue quelques idées fondatrices de l ingénierie

Plus en détail

L informatique comme discipline au gymnase. Renato Renner Institut für Theoretische Physik ETH Zürich

L informatique comme discipline au gymnase. Renato Renner Institut für Theoretische Physik ETH Zürich L informatique comme discipline au gymnase Renato Renner Institut für Theoretische Physik ETH Zürich Comment puis-je transférer des fichiers de musique sur mon nouvel iphone? Comment puis-je archiver mes

Plus en détail

MPI Activité.10 : Logique binaire Portes logiques

MPI Activité.10 : Logique binaire Portes logiques MPI Activité.10 : Logique binaire Portes logiques I. Introduction De nombreux domaines font appel aux circuits logiques de commutation : non seulement l'informatique, mais aussi les technologies de l'asservissement

Plus en détail

3. SPÉCIFICATIONS DU LOGICIEL. de l'expression des besoins à la conception. Spécifications fonctionnelles Analyse fonctionnelle et méthodes

3. SPÉCIFICATIONS DU LOGICIEL. de l'expression des besoins à la conception. Spécifications fonctionnelles Analyse fonctionnelle et méthodes PLAN CYCLE DE VIE D'UN LOGICIEL EXPRESSION DES BESOINS SPÉCIFICATIONS DU LOGICIEL CONCEPTION DU LOGICIEL LA PROGRAMMATION TESTS ET MISE AU POINT DOCUMENTATION CONCLUSION C.Crochepeyre Génie Logiciel Diapason

Plus en détail

Canevas théoriques du projet sur le poker Partie A

Canevas théoriques du projet sur le poker Partie A Partie A Dans une partie de poker, particulièrement au Texas Hold em Limit, il est possible d effectuer certains calculs permettant de prendre la meilleure décision. Quelques-uns de ces calculs sont basés

Plus en détail

Modélisation des données

Modélisation des données Modélisation des données Le modèle Entité/Association Le MCD ou modèle Entité/Association est un modèle chargé de représenter sous forme graphique les informations manipulées par le système (l entreprise)

Plus en détail

4. SERVICES WEB REST 46

4. SERVICES WEB REST 46 4. SERVICES WEB REST 46 REST REST acronyme de REpresentational State Transfert Concept introduit en 2000 dans la thèse de Roy FIELDING Est un style d architecture inspiré de l architecture WEB En 2010,

Plus en détail

MISE A JOUR : 04 FEVRIER 2011 PROCÉDURE D INSTALLATION. Cegid Business COMMENT INSTALLER CEGID BUSINESS V9 SOUS WINDOWS XP, VISTA ET 7

MISE A JOUR : 04 FEVRIER 2011 PROCÉDURE D INSTALLATION. Cegid Business COMMENT INSTALLER CEGID BUSINESS V9 SOUS WINDOWS XP, VISTA ET 7 PROCÉDURE D INSTALLATION Cegid Business V9 COMMENT INSTALLER CEGID BUSINESS V9 SOUS WINDOWS XP, VISTA ET 7 Sommaire 1. Introduction 2. Installation de SQL Server 2005 ou 2008 3. Installation de Cegid Business

Plus en détail

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.

Plus en détail

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction

Plus en détail

Architecture matérielle des systèmes informatiques

Architecture matérielle des systèmes informatiques Architecture matérielle des systèmes informatiques IDEC, Renens. Version novembre 2003. Avertissement : ce support de cours n est pas destiné à l autoformation et doit impérativement être complété par

Plus en détail

UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE

UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE ÉCOLE DOCTORALE CONCEPTS ET LANGAGE T H È S E pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE Discipline : LINGUISTIQUE Présentée et soutenue par : Zeina EL HELOU

Plus en détail

Introduction au Data-Mining

Introduction au Data-Mining Introduction au Data-Mining Alain Rakotomamonjy - Gilles Gasso. INSA Rouen -Département ASI Laboratoire PSI Introduction au Data-Mining p. 1/25 Data-Mining : Kèkecé? Traduction : Fouille de données. Terme

Plus en détail

Logique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques.

Logique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques. Logique binaire I. L'algèbre de Boole L'algèbre de Boole est la partie des mathématiques, de la logique et de l'électronique qui s'intéresse aux opérations et aux fonctions sur les variables logiques.

Plus en détail

Exclusion Mutuelle. Arnaud Labourel Courriel : arnaud.labourel@lif.univ-mrs.fr. Université de Provence. 9 février 2011

Exclusion Mutuelle. Arnaud Labourel Courriel : arnaud.labourel@lif.univ-mrs.fr. Université de Provence. 9 février 2011 Arnaud Labourel Courriel : arnaud.labourel@lif.univ-mrs.fr Université de Provence 9 février 2011 Arnaud Labourel (Université de Provence) Exclusion Mutuelle 9 février 2011 1 / 53 Contexte Epistémologique

Plus en détail

Laboratoire d informatique Gaspard-Monge UMR 8049. Journée Labex Bézout- ANSES

Laboratoire d informatique Gaspard-Monge UMR 8049. Journée Labex Bézout- ANSES Laboratoire d informatique Gaspard-Monge UMR 8049 Journée Labex Bézout- ANSES Présentation du laboratoire 150 membres, 71 chercheurs et enseignants-chercheurs, 60 doctorants 4 tutelles : CNRS, École des

Plus en détail

FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)

FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) 87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation

Plus en détail

IN 102 - Cours 1. 1 Informatique, calculateurs. 2 Un premier programme en C

IN 102 - Cours 1. 1 Informatique, calculateurs. 2 Un premier programme en C IN 102 - Cours 1 Qu on le veuille ou non, les systèmes informatisés sont désormais omniprésents. Même si ne vous destinez pas à l informatique, vous avez de très grandes chances d y être confrontés en

Plus en détail

Qu est-ce qu une problématique?

Qu est-ce qu une problématique? Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?

Plus en détail

clef primaire ; clef étrangère ; projection ; restriction ; jointure ; SQL ; SELECT ; FROM ; WHERE

clef primaire ; clef étrangère ; projection ; restriction ; jointure ; SQL ; SELECT ; FROM ; WHERE Cas Neptune hôtel Base de données et langage SQL Propriété Intitulé long Formation concernée Matière Notions Transversalité Présentation Description Neptune Hôtel. L interrogation d une base de données

Plus en détail

Merise. Introduction

Merise. Introduction Merise Introduction MERISE:= Méthode d Etude et de Réalisation Informatique pour les Systèmes d Entreprise Méthode d Analyse et de Conception : Analyse: Etude du problème Etudier le système existant Comprendre

Plus en détail

IODAA. de l 1nf0rmation à la Décision par l Analyse et l Apprentissage / 21

IODAA. de l 1nf0rmation à la Décision par l Analyse et l Apprentissage / 21 IODAA de l 1nf0rmation à la Décision par l Analyse et l Apprentissage IODAA Informations générales 2 Un monde nouveau Des données numériques partout en croissance prodigieuse Comment en extraire des connaissances

Plus en détail

Le langage SQL Rappels

Le langage SQL Rappels Le langage SQL Rappels Description du thème : Présentation des principales notions nécessaires pour réaliser des requêtes SQL Mots-clés : Niveau : Bases de données relationnelles, Open Office, champs,

Plus en détail

MIS 102 Initiation à l Informatique

MIS 102 Initiation à l Informatique MIS 102 Initiation à l Informatique Responsables et cours : Cyril Gavoille Catherine Pannier Matthias Robine Marc Zeitoun Planning : 6 séances de cours 5 séances de TD (2h40) 4 séances de TP (2h40) + environ

Plus en détail

4.2 Unités d enseignement du M1

4.2 Unités d enseignement du M1 88 CHAPITRE 4. DESCRIPTION DES UNITÉS D ENSEIGNEMENT 4.2 Unités d enseignement du M1 Tous les cours sont de 6 ECTS. Modélisation, optimisation et complexité des algorithmes (code RCP106) Objectif : Présenter

Plus en détail

Chapitre 10 Arithmétique réelle

Chapitre 10 Arithmétique réelle Chapitre 10 Arithmétique réelle Jean Privat Université du Québec à Montréal INF2170 Organisation des ordinateurs et assembleur Automne 2013 Jean Privat (UQAM) 10 Arithmétique réelle INF2170 Automne 2013

Plus en détail

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des

Plus en détail

BIG Data et R: opportunités et perspectives

BIG Data et R: opportunités et perspectives BIG Data et R: opportunités et perspectives Guati Rizlane 1 & Hicham Hajji 2 1 Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Casablanca, Maroc, rguati@gmail.com 2 Ecole des Sciences Géomatiques, IAV Rabat,

Plus en détail

Logiciel Libre Cours 2 Fondements: Programmation

Logiciel Libre Cours 2 Fondements: Programmation Logiciel Libre Cours 2 Fondements: Programmation Stefano Zacchiroli zack@pps.univ-paris-diderot.fr Laboratoire PPS, Université Paris Diderot 2013 2014 URL http://upsilon.cc/zack/teaching/1314/freesoftware/

Plus en détail

MATHÉMATIQUES. Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN

MATHÉMATIQUES. Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN MATHÉMATIQUES Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN Mars 2001 MATHÉMATIQUES Les préalables pour l algèbre MAT-P020-1 DÉFINITION DU DOMAINE D EXAMEN Mars 2001 Direction

Plus en détail

Économétrie, causalité et analyse des politiques

Économétrie, causalité et analyse des politiques Économétrie, causalité et analyse des politiques Jean-Marie Dufour Université de Montréal October 2006 This work was supported by the Canada Research Chair Program (Chair in Econometrics, Université de

Plus en détail

Métriques de performance pour les algorithmes et programmes parallèles

Métriques de performance pour les algorithmes et programmes parallèles Métriques de performance pour les algorithmes et programmes parallèles 11 18 nov. 2002 Cette section est basée tout d abord sur la référence suivante (manuel suggéré mais non obligatoire) : R. Miller and

Plus en détail

BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS

BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Quatrième colloque hypermédias et apprentissages 275 BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Anne-Olivia LE CORNEC, Jean-Marc FARINONE,

Plus en détail

Algorithmique et Programmation Fonctionnelle

Algorithmique et Programmation Fonctionnelle Algorithmique et Programmation Fonctionnelle RICM3 Cours 9 : Lambda-calcul Benjamin Wack Polytech 2014-2015 1 / 35 La dernière fois Typage Polymorphisme Inférence de type 2 / 35 Plan Contexte λ-termes

Plus en détail

Rappels d architecture

Rappels d architecture Assembleur Rappels d architecture Un ordinateur se compose principalement d un processeur, de mémoire. On y attache ensuite des périphériques, mais ils sont optionnels. données : disque dur, etc entrée

Plus en détail

Chapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION

Chapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION Chapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION 1 Introduction Conception d une base de données Domaine d application complexe : description abstraite des concepts indépendamment de leur implémentation sous

Plus en détail

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE Un problème de recherche est l écart qui existe entre ce que nous savons et ce que nous voudrions savoir à propos d un phénomène donné. Tout problème de recherche

Plus en détail

Informatique UE 102. Jean-Yves Antoine. Architecture des ordinateurs et Algorithmique de base. UFR Sciences et Techniques Licence S&T 1ère année

Informatique UE 102. Jean-Yves Antoine. Architecture des ordinateurs et Algorithmique de base. UFR Sciences et Techniques Licence S&T 1ère année UFR Sciences et Techniques Licence S&T 1ère année Informatique UE 102 Architecture des ordinateurs et Algorithmique de base Jean-Yves Antoine http://www.info.univ-tours.fr/~antoine/ UFR Sciences et Techniques

Plus en détail

Laboratoire 4 Développement d un système intelligent

Laboratoire 4 Développement d un système intelligent DÉPARTEMENT DE GÉNIE LOGICIEL ET DES TI LOG770 - SYSTÈMES INTELLIGENTS ÉTÉ 2012 Laboratoire 4 Développement d un système intelligent 1 Introduction Ce quatrième et dernier laboratoire porte sur le développement

Plus en détail

Le modèle standard, SPE (1/8)

Le modèle standard, SPE (1/8) Le modèle standard, SPE (1/8) Rappel : notion de grammaire mentale modulaire Les composants de la grammaire : module phonologique, sémantique syntaxique Syntaxe première : elle orchestre la relation mentale

Plus en détail

Bourses d excellence pour les masters orientés vers la recherche

Bourses d excellence pour les masters orientés vers la recherche Masters de Mathématiques à l'université Lille 1 Mathématiques Ingénierie Mathématique Mathématiques et Finances Bourses d excellence pour les masters orientés vers la recherche Mathématiques appliquées

Plus en détail

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il

Plus en détail

Intelligence artificielle appliquée à l automatique

Intelligence artificielle appliquée à l automatique Intelligence artificielle appliquée à l automatique par Sylviane GENTIL Professeur à l École nationale supérieure d ingénieurs électriciens Institut national polytechnique de Grenoble 1. Définitions et

Plus en détail

Introduction aux SGBDR

Introduction aux SGBDR 1 Introduction aux SGBDR Pour optimiser une base Oracle, il est important d avoir une idée de la manière dont elle fonctionne. La connaissance des éléments sous-jacents à son fonctionnement permet de mieux

Plus en détail

Réalisabilité et extraction de programmes

Réalisabilité et extraction de programmes Mercredi 9 mars 2005 Extraction de programme: qu'est-ce que c'est? Extraire à partir d'une preuve un entier x N tel que A(x). π x N A(x) (un témoin) (En fait, on n'extrait pas un entier, mais un programme

Plus en détail