INDIGo PRODUCTIONs présente 5 AU 8 MARS 2015 AU CASINO DE PARIS ET EN TOURNÉE DANS TOUTE LA FRANCE Après le succès obtenu au Zenith de Paris et dans toute la France, les danseurs fous de la troupe Irish Celtic sont de retour pour une nouvelle tournée. Chorégraphies toujours aussi millimétrées, claquettes plus que jamais explosives, et surtout sourires enchanteurs, Irish Celtic s offre un nouveau visage. Mais la promesse est toujours la même, un «grand bol d Eire», un voyage à travers le temps. Cette histoire, c est celle d un pays, l Irlande, qui a fait de la danse un principe de vie de 7 à 77 ans. Dans cette île, tout le monde danse, dans les pubs, dans les stades, dans les rues et les cours d école. Cette histoire, c est l épopée d un peuple qui a juré que la convivialité ne serait pas un vœu pieu, mais un art de vivre... Directeur Artistique : Toby Gough Chorégraphes : Denise Flynn - Jim Murrihy Directeur Musical : Anthony Davis
«Tout Irlandais qui se respecte doit connaître les pas de la danse irlandaise. Tout le monde connaît au moins les basiques parce que c est leur culture au même titre que l apprentissage du gaélique comme langue.» Denise Flynn, la chorégraphe d Irish Celtic. Une nuit en Irlande En Irlande, on a cultivé l art de légender la naissance de la danse irlandaise. Notamment ce geste si caractéristique qui consiste à marteler le sol avec le pied, comme si votre vie en dépendait. Les anciens répètent à ceux qui veulent bien les écouter que ce serait pour lutter contre le froid qui règne de Belfast à Cork. D autres assurent que ce geste a permis bien des fois, de faire tomber les fruits des arbres, sauvant les plus faibles de la famine. Seule certitude, c est bien au cœur des blessures de l Histoire que les Irlandais ont fait vivre et renaître cet art ancestral de la «gigue», le nom donné à la danse irlandaise. Car si ces numéros de claquettes celtiques ont pu traverser le monde, c est à cause de la grande famine de 1851, qui plongea l Irlande dans la misère et l effroi. Il y a 160 ans, près de deux millions d irlandais quittèrent leur pays pour débuter une nouvelle vie. Dans leurs bagages, un violon, quelques pas de danse et beaucoup de joie à faire partager. Une épopée venait de naître. Aujourd hui encore, aux quatre coins du pays et dans les communautés éparpillées à travers le globe, danser est un principe de vie. Avec partout, la même passion. L irlandais a le rythme dans les pieds Héritage des Celtes et des guerriers Vikings, la danse irlandaise devient très vite un signe de résistance. Longtemps, le voisin anglais a voulu en interdire la pratique, trop sauvage à son goût. Mais on ne bat jamais un Irlandais qui se met en colère. Au XVIIIe siècle, le genre connaît enfin ses heures de gloire avec les maîtres de danse. Ces derniers sillonnent les chemins d Irlande pour enseigner leur savoir aux enfants des fermiers locaux, en échange d un lit pour la nuit. Ils sont d ailleurs à l origine de la danse en groupe ou «set dancing» permettant à ceux qui ne voulaient pas danser seuls de prendre part aux festivités. Aujourd hui, la transmission de cet enseignement perdure. Partager ces pas de danse avec son voisin, c est partager un peu de l histoire de l Irlande. Depuis des siècles, la danse irlandaise est accompagnée par les mêmes instruments de musique : la cornemuse, le violon, la flûte et l accordéon. Mais c est sans conteste le rythme effréné des claquettes qui séduit le plus les spectateurs. Pour la petite histoire, les claquettes ont connu leurs heures de gloire en Amérique grâce aux paysans irlandais émigrés qui frappaient des pieds pour produire du rythme avec leur sabot. Ils en faisaient même des compétitions. Peu à peu, ces émigrés ont remplacé leurs sabots par des chaussures de ville en cuir, plus confortables, avec des extrémités en bois puis en fer. Les femmes portaient alors des «softshoes», légères et surtout plus élégantes et les hommes des «heavyshoes», plus carrées et plus lourdes. Irish Celtic, à la conquête du public Certains croyaient que personne ne pourrait jamais rivaliser avec les spectacles Riverdance et Lord of the Dance, ceuxlà même qui ont popularisé le genre de la danse irlandaise. C était mal connaître Irish Celtic et sa cohorte de fous dansants. Créée en janvier 2011, la troupe Irish Celtic s est déjà fait un nom dans le métier. Et pour cause, en seulement trois ans, ce spectacle a non seulement conquis le public français, le public anglo-saxon mais aussi réinventé le genre. Comment? «En insufflant une âme à l esprit irlandais. Deux heures de spectacle, une vingtaine d artistes dont des musiciens pour interpréter en live les musiques les plus connues du répertoire national. Mais aussi et surtout, une histoire. Celle de Paddy, vieux propriétaire d un pub irlandais, bien décidé à passer le flambeau à son fils Diarmuid. Mais qui doit pour cela, convaincre son fils trop insouciant, que l Irlande est une histoire qui se respecte avec des droits et des devoirs, des drôleries et des anecdotes. Le choix de l authenticité. La danse irlandaise, un jeu d enfant dès 4 ans Quiconque a déjà voyagé en Irlande s étonne de cette particularité qui donne tout son sens au spectacle Irish Celtic. En Irlande, la danse traditionnelle est une matière comme toutes les autres, enseignée à l école dès le plus jeune âge. Les Irlandais sont d ailleurs très attachés à leur culture trop souvent malmenée au cours de l histoire par leurs voisins anglais. Dès l âge de 4 ans, les enfants sont donc mis en contact pour préserver la tradition au fil des générations. Pour les débutants, les premières leçons indiquent comment positionner les pieds, comment croiser les jambes et maintenir son corps droit ainsi que différents exercices pour perfectionner et rendre plus gracieux ces premiers mouvements. On poursuit l apprentissage avec des pas basiques puis petit à petit, on apporte des nouveaux enchaînements plus complexes. Tout est dans les pieds et les jambes! Le haut du corps reste toujours droit. Un jour, on vous annonce que vous êtes prêt pour la compétition. Mais au final, ils ne sont que quelques privilégiés à espérer intégrer la troupe d un grand spectacle. L équipe d Irish Celtic ressemble à une sélection nationale. Elle rassemble les meilleurs artistes du pays, anciens héros des spectacles historiques Riverdance, Lord of the Dance et autres Celtic Tiger. Mais voilà, Irish Celtic est venu apporter une âme à ces mouvements de jambes déconcertants. Des athlètes que rien n arrête, infatigables pendant les 24 tableaux de la représentation! Retrouvez-vous propulsés dans l Irlande des temps anciens et ses pubs de campagne fréquentés par les travailleurs de la classe ouvrière. Une époque où toutes les personnes dansaient les unes avec les autres en rond ou en chaîne, pour célébrer un mariage ou un anniversaire.
Si les concepteurs du spectacle ont choisi pour le décor sur scène, celui d un pub irlandais typique, ce n est pas le fait du hasard. C est dans les pubs, les fameux «public house» ou «maisons du peuple» que la tradition de la danse irlandaise perdure. Surtout le soir, à la tombée de la nuit. Le pub est aux Irlandais ce que la Tour Eiffel est aux Français un lieu incontournable de rencontres où la tradition côtoie le moderne. Inutile de tenter la discrétion dans ces endroits, les Irlandais parlent fort, rient fort et aiment accoster leurs voisins d à côté. Surtout lorsqu il s agit de touristes. C est que le bon vieil Irlandais accoudé au comptoir s amuse de les voir débarquer avec leur appareil photo ultra moderne pour découvrir la vivacité de la dance celtique. Lui, il la connaît depuis qu il est tout petit et il danse même encore dessus. Si, si, vous ne l avez pas vu? Il était dans la ronde tout à l heure avec les autres, le petit pépé souriant, c était lui. Dans les temps anciens, on appelait ce type de rassemblements, les «céilithe». Que ce soit dans les bals populaires, les pubs ou les maisons, tout le village était là pour se raconter les derniers ragots ou perpétuer les vieilles légendes celtiques. Et puis, bien souvent, les couples se nouaient parmi la foule. L Irlande, l amour des Irlandais pour la danse, se comprend et s explique à travers les pubs. L Irlande ne compte pas plus de 5 millions d habitants. Une petite île qui avait tout pour rester anonyme. Mais c était sans compter sur une histoire millénaire et grandiose qui inspire depuis des siècles les scénaristes du cinéma et les écrivains du monde entier. Irish Celtic nous permet de redécouvrir tous ces Irlandais, célèbres ou anonymes qui ont cultivé cette grande Histoire. Depuis les preux chevaliers irlandais, compagnons de route du célèbre William Wallace, héros du film Braveheart de Mel Gibson. Jusqu aux émigrants partis vers l Amérique, à bord du tristement célèbre paquebot le Titanic. Si vous n avez pas oublié la fameuse scène du film de James Cameron, où Léonardo Dicaprio emmène Kate Winslet, danser toute la nuit dans les travées de la troisième classe, alors vous aimerez Irish Celtic. Parce qu aucun autre pays ne cultive à ce point un tel pan de sa culture, Irish Celtic est né pour rendre hommage à tous ces Irlandais, qui depuis des millénaires tapent du pied pour faire selon la légende, trembler le globe. Un peu de vocabulaire - le «set dancing» désigne une danse où quatre couples effectuent 3 à 9 figures avec des pauses. - le «step dancing» ou «tap dancing» : les danseurs sont alignés et effectuent les mêmes mouvements en rythme, avec leurs claquettes. - les danses «céilí» (prononcé «kéli») : désignent des danses effectuées en rond ou en cercle, parfois en couple pour quelques figures. Il faut être 8 au minimum. - les «céilithe» : bals populaires ou rassemblements entre voisins et amis dans les pubs, maisons ou châteaux afin de danser, boire, jouer de la musique, se raconter les légendes ou les dernières rumeurs.
C est l histoire d un homme qui a voué sa vie au théâtre et au spectacle. «Le seul art, rappelle-t-il, capable d enrichir la vie, de transcender les esprits.» Au début des années 90, durant la guerre en ex-yougoslavie, Toby Gough s était même enfoncé dans la cité martyre de Sarajevo pour y monter un spectacle d opéra, au milieu des ruines et des explosions. En 2005, il parcourt les rives asiatiques ravagées par le tsunami et les routes du Sri Lanka minées par la guerre civile pour y monter des spectacles en faveur des enfants. Il ne pouvait y avoir qu un Ecossais pour imaginer des projets aussi fous. Dans la lignée d un autre écossais, David Livingstone, le célèbre explorateur de l Afrique, Toby Gough est un globe-trotter qui repousse chaque jour un peu plus les frontières. Volontiers bouddhiste, il ne croit pas dans les maisons et les voitures, des objets qu il ne possède pas d ailleurs. Mais il reconnaît volontiers «avoir une valise dans chaque ville du monde». Un spectacle de Salsa à Cuba, un autre au Brésil, une pièce de théâtre à Mumbai en Inde, Toby connaît mieux les salles de concert du monde entier que les célèbres monuments. «J ai besoin du soleil et des cocktails pour trouver l inspiration, s amuse-t-il.» Autant dire que ses escapades en France pour y diriger les artistes d Irish Celtic avaient tout pour lui plaire. «Je reste convaincu que les Irlandais sont les Cubains de l Europe. Ils ont ce même amour pour la danse et la fête. Irish Celtic, c est l illustration de cet esprit. C est l authenticité d une nuit en Irlande. Dans chaque histoire, il y a un message universel. l Irlande, c est l histoire de la vie.» «Chorégraphier un show comme Irish Celtic était un rêve pour nous. Il est devenu réalité!» Jim Murrihy et Denise Flynn Le premier a étrenné ses pas de danse au sein de la fameuse National Foundation for the Advancement of Art, devenant ainsi le second Irlandais primé pour son talent dans l histoire de l Amérique du Nord. La seconde était inscrite dès l âge de 4 ans à l école de danse irlandaise Marie Duffy à Dublin, et surtout finaliste aux championnats du monde de 1989. Les deux ont côtoyé le grand Michael Flatley au sein des compagnies de Lord of the Dance et de Riverdance. C est là que Jim Murrihy et Denise Flynn se sont rencontrés pour y fonder un pacte d amitié qui ne devait jamais se desceller. Sans ces deux talents, la folie d Irish Celtic n aurait jamais pu voir le jour. Deux grands noms de la danse irlandaise, venus peaufiner la mise en scène et les chorégraphies de ce spectacle. -Touchés par la joie et l amour des français pour l Irlande, ils ont décidé de voir encore plus grand cette année, pour occuper à merveille les scènes géantes des Zénith de France. A cœur vaillant, rien d impossible pour un Irlandais. Artiste la nuit, ouvrier le jour! Particularité importante au sein de la troupe d Irish Celtic, plusieurs artistes mènent une double vie étonnante. Artiste la nuit sur les planches du Zénith, ouvrier le jour. Aidan Garvey n est pas seulement un danseur émérite, il est également éleveur de bovins et producteur de lait en Irlande. Quand il ne tape du pied, Diarmuid Meade batît des murs au sein de son entreprise de construction. Enfin, la sublime Miriam Lee enseigne quant à elle la danse irlandaise avec sa maman dans une école de Dublin. Des parcours pour le moins rafraichissants.
COM PROD Frédéric Papet Avec Hervé Mars et Laetitia Roubaud 92, rue de la Victoire - 75009 PARIS Tél : 01 70 69 04 69 info@comprod.fr www.comprod.fr ComProd Design : - Photos : Philippe Fretault INDIGO PRODUCTIONS Tél : 05 49 73 66 16 Nicolas Ferru - nferru@wanadoo.fr 06 80 06 71 88 www.indigo-productions.fr irishcelticshow