Pronoms et adjectifs relatifs



Documents pareils
Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

DIFFRACTion des ondes

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

La spectrophotométrie

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Application à l astrophysique ACTIVITE

TD 9 Problème à deux corps

Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE

Projets proposés par le Laboratoire de Physique de l'université de Bourgogne

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

Étude et modélisation des étoiles

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Les mathématiques du XXe siècle

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE

Précision d un résultat et calculs d incertitudes

Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer

La Photographie - Page 1 / 13

Mise en pratique : Etude de spectres

Comment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I SO 4

Galerie de photos échantillons SB-910

Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur!

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.

CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs

Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer ( ) et Johann Heinrich Lambert ( )

Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand

PROPRIÉTÉS D'UN LASER

FORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .

LIVRE BLANC Décembre 2014

Réussir et traiter ses photos sous UV avec Photoshop

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

La physique nucléaire et ses applications

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009

Champ électromagnétique?

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE

BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE STD ARTS APPLIQUÉS

Fiche de lecture du projet de fin d étude

Équivalence masse-énergie

Photographier le ciel avec votre appareil photo

Caractéristiques des ondes

C3. Produire de l électricité

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie

Le nouveau programme en quelques mots :

1S9 Balances des blancs

Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique?

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN

Théorie des Jeux Et ses Applications

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique

Présentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012

Physique, chapitre 8 : La tension alternative

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

MOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

Si la source se rapproche alors v<0 Donc λ- λo <0. La longueur d onde perçue est donc plus petite que si la source était immobile

Qu est-ce qui différencie une bonne photo d une mauvaise? Trois éléments sont importants : La composition L éclairage La qualité et la résolution

5.3. Bande numérique cartes numération et cartes à points pour apprendre les nombres de 0 à 99

Interactions des rayonnements avec la matière

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier h à 16 h

Origine du courant électrique Constitution d un atome

Système de surveillance vidéo

NUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

Panorama de l astronomie

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur

TP Détection d intrusion Sommaire

Transcription:

Pronoms et adjectifs relatifs et : pronoms et adjectifs interrogatifs. qui, que,... utilisation du participe présent

2 PRONOMS RELATIFS * qui, que, quoi, dont, où, lequel (...) m/sg Lequel Auquel duquel f/sg Laquelle à laquelle de laquelle m/pl Lesquels Auxquels desquels f/pl Lesquelles Auxquelles desquelles *Certains d entre eux peuvent être employés aussi comme pronoms interrogatifs.

3 Pronoms relatifs, pronoms démonstratifs, conjonctions,. Exercice n 1 Compléter en choisissant parmi les mots : dont, que, qui, laquelle, lequel, lesquels, lesquelles, ce qui, ce que - Einstein introduisit l idée l énergie était discontinue et variait par sauts: elle devait être formée de grains, de quantas. - C est lui, et non pas Planck,, le premier, a introduit l idée des quanta. - A la suite du classement et de la traduction d une énorme masse de documents laissés par Einstein, documents une partie* est en cours de parution en français, il apparaît clairement qu Einstein fut véritablement l initiateur de la théorie quantique. [* une partie de ces documents est en cours de publication.] - Einstein a toujours été guidé par l idée les probabilités d apparition des phénomènes en physique, à notre niveau, le niveau macroscopique, devaient être non pas postulées mais déduites d une théorie microscopique sous-jacente. - Einstein lut la Théorie des gaz de Boltzmann le fascina («magnifique» dit-il à sa fiancée). Cette théorie systématisait et généralisait la «théorie cinétique des gaz de Clausius et Maxwell, selon la pression d un gaz sur une paroi et la température s interprétaient et se calculaient sur la base de l impact et de l énergie cinétique des molécules constitutives de ce gaz. La nouveauté était la théorie de Boltzmann reposait sur l hypothèse de l existence de l atome (entité microscopique invisible), était encore novateur pour l époque (l existence des atomes était contestée par les positivistes!)

4 Exercice n 2 Les phrases suivantes sont extraites du texte de Jérôme Segal, Du comportement des avions aux modélisations de la connaissance : la notion scientifique et technique d information (Intellectica 2004/2, 39, pp. 55-77) Compléter chaque espace vide en y insérant l un des mots suivants : qui / que / qu / quoi / dont / celui / celle / celle(s) qui / ce qui / ce que / 56 : On parle dès lors de machines cybernétiques, en référence au développement d une théorie générale de la commande et de la régulation, la cybernétique, s applique aussi bien à l étude de la société qu à des êtres vivants ou des machines. 57 : Ces travaux doivent être abordés en rapport avec les débats sur l eugénisme agitent la communauté des statisticiens. Fisher parle d ailleurs de la même façon de la «relevant information il essaie de quantifier et des «relevant genes» il convient de favoriser la sélection. 57 : C est K. Gödel (1906-1978), un des participants occasionnels du cercle de Vienne, dans une publication devenue célèbre, en 1931, montre toute théorie axiomatisable est incomplète, établissant ainsi l indécidabilité de la théorie des nombres. 61 : L exemple il donne montre bien de il s agit : les deux circuits ci-contre sont équivalents. Le deuxième est évidemment beaucoup plus simple, signifie un coût moindre (car moins de composants) et surtout une plus grande fiabilité. 62 : Surtout, on passe ici des questions relatives à la propagation à concernent la structure des circuits. 62 : Cet accueil est cependant à replacer dans un contexte bien particulier, de la seconde guerre mondiale.

5 63 : Pour des raisons évidentes de sécurité, chaque équipe ignore tout de font les autres et seuls les responsables de section peuvent avoir une vue d ensemble des travaux menés. 67 : Ils donnent alors un classement des différents comportements, «à partir des variations d énergie mises en jeu» et non pas d information, constitue presque comme le note Dupuy un crime de lèse-cybernétique puisque l apport essentiel de la cybernétique est bien d introduire la notion d information en opposition et en complément à de matière ou d énergie (Dupuy 1994 : 37). 68 : Si les auteurs entendent effectivement développer une méthode comportementale ( behavioristic ), ils opposent à la méthode fonctionnelle ( suppose de s intéresser aux «structures spécifiques» et à «l organisation propre»), leur article doit toutefois se lire comme une rupture avec le béhaviorisme dominait l ensemble de la psychologie depuis les écrits de John Watson du début des années 20, suivie notamment de l approche positiviste de Skinner, dans les années 1930, centrée presque exclusivement sur la conception stimulusréponse. 69 : Il précise également T est un dispositif d émission d où sort F(t), cette fonction étant est réellement émise, l opérateur T ayant par exemple modulé le message à transmettre. 71 : C est cette théorie de l information fournit le terreau pour le développement d une nouvelle culture scientifique témoignent aujourd hui des expressions pour le moins porteuses d'ambiguïté comme «autoroutes de l information» ou «société de l information», faisant aussi référence au sens commun du mot. 72 : Ces propos de von Neumann le montrent clairement : «Tout peut être décrit de manière exhaustive et sans ambiguïté ( ) peut être conçu comme un réseau neuronal approprié.»

6 Corrigé : 56 : On parle dès lors de machines cybernétiques, en référence au développement d une théorie générale de la commande et de la régulation, la cybernétique, qui s applique aussi bien à l étude de la société qu à celle des êtres vivants ou des machines. 57 : Ces travaux doivent être abordés en rapport avec les débats sur l eugénisme qui agitent la communauté des statisticiens. Fisher parle d ailleurs de la même façon de la «relevant information qu il essaie de quantifier et des «relevant genes dont il convient de favoriser la sélection. 57 : C est K. Gödel (1906-1978), un des participants occasionnels du cercle de Vienne, qui dans une publication devenue célèbre, en 1931, montre que toute théorie axiomatisable est incomplète, établissant ainsi l indécidabilité de la théorie des nombres. 61 : L exemple qu il donne montre bien de quoi il s agit : les deux circuits ci-contre sont équivalents. Le deuxième est évidemment beaucoup plus simple, ce qui signifie un coût moindre (car moins de composants) et surtout une plus grande fiabilité. 62 : Surtout, on passe ici des questions relatives à la propagation à celles qui concernent la structure des circuits. 62 : Cet accueil est cependant à replacer dans un contexte bien particulier, celui de la seconde guerre mondiale. 63 : Pour des raisons évidentes de sécurité, chaque équipe ignore tout de ce que font les autres et seuls les responsables de section peuvent avoir une vue d ensemble des travaux menés. 67 : Ils donnent alors un classement des différents comportements, «à partir des variations d énergie mises en jeu» et non pas d information, ce qui constitue presque comme le note Dupuy un crime de lèsecybernétique puisque l apport essentiel de la cybernétique est bien d introduire la notion d information en opposition et en complément à celle de matière ou d énergie (Dupuy 1994 : 37). 68 : Si les auteurs entendent effectivement développer une méthode comportementale ( behavioristic ), qu ils opposent à la méthode fonctionnelle ( qui suppose de s intéresser aux «structures spécifiques» et à «l organisation propre»), leur article doit toutefois se lire comme une rupture avec le béhaviorisme qui dominait l ensemble de la psychologie depuis les écrits de John Watson du début des années 20, suivie notamment de l approche positiviste de Skinner, dans les années 1930, centrée presque exclusivement sur la conception stimulus- réponse. 69 : Il précise également que T est un dispositif d émission d où sort F(t), cette fonction étant celle qui est réellement émise, l opérateur T ayant par exemple modulé le message à transmettre.

7 71 : C est cette théorie de l information qui fournit le terreau pour le développement d une nouvelle culture scientifique dont témoignent aujourd hui des expressions pour le moins porteuses d'ambiguïté comme «autoroutes de l information» ou «société de l information», faisant aussi référence au sens commun du mot. 72 : Ces propos de von Neumann le montrent clairement : «Tout ce qui peut être décrit de manière exhaustive et sans ambiguïté ( ) peut être conçu comme un réseau neuronal approprié.»

8 Exercices sur le texte : La Photographie scientifique, par Gérard Betton - Chapitre VII 66-76. (PUF, 1975) - Chapitre X 90 92.

9 Que (pronom relatif ou conjonction), qu, qui, duquel, laquelle, lequel (après préposition), aussi.. que.., plus.. que..,(comparatifs) si.. que.., ne..que.. (restriction) ainsi que.. (it. cosi come) Compléter avec l un des mots proposés dans l encadré ci-dessus : 66 : la distance minimale de deux points de l objet apparaissent distincts à l observateur 67 : En première approximation, le pouvoir séparateur d un microscope électronique est d autant meilleur les électrons utilisés sont animés d une plus grande vitesse, autrement dit la tension du canon à électrons sert à les accélérer est plus élevée. 67 : Pour fixer les idées, disons pour les microscopes commerciaux les faisceaux électroniques sont accélérés sous 75 kv environ et ont une longueur d onde cent mille fois courte que celle des radiations visibles. 67 : le pouvoir séparateur est considérablement réduit par le phénomène d aberrations devient de plus en plus important pour de très hautes tensions. 68-69 : Cependant, les remarquables possibilités de ces microscopes à très haute tension sont limitées par le fait les images des objets amorphes, observées par transmission dans les conditions habituelles, présentent un très faible contraste. 69 : dans la technique conventionnelle à fond noir, un diaphragme de contraste intercepte totalement le faisceau traversant directement l objet et laisse passer que les électrons diffusés, par interaction avec le spécimen, sous un angle inférieur au demi-angle d ouverture de l objectif. 69 : Les détails diffractants apparaissent brillants sur fond noir et le contraste est beaucoup plus grand que celui on obtiendrait en fond clair 71 : on projette un mince faisceau d électrons balaie toute une préparation conductrice et mise à la terre.

10 71 : Ces électrons, que quelques électrons «primaires» rétrodiffusés, sont récupérés sur un écran fluorescent. 71 : l image obtenue n est pas entachée d aberrations, en particulier d aberrations de sphéricité ; le faisceau diffracté, ne traverse aucune lentille, fournit un signal peut être amplifié aisément ; le repérage de la plage intéressante se fait rapidement par simple observation sur l écran de télévision ; 72 : les images obtenues par les chercheurs du C.N.R.S. et du Muséum national d Histoire naturelle furent belles et révélatrices d un monde étrange et inconnu, celui de l infiniment petit, qu ils décidèrent d exposer quelques-unes de ces photographies spectaculaires. 72 : il semble la tendance aille de plus en plus vers une synthèse du microscope conventionnel et du microscope à balayage. 72 : C est grâce à cette technique Crewe réussit à obtenir, en 1970, les premières photographies d uranium et de thorium. 72-73 : Dans ce microscope, on applique un potentiel positif à l échantillon étudié (pointe métallique ultra- fine), est refroidi et placé dans un gaz comme l hydrogène, l argon ou l hélium sous faible pression. 74 : L agrandissement photographique du négatif rend visibles à l œil nu les détails le microscope sépare. 74 : Pour éviter les poussières n adhèrent aux plaques, il est conseillé de brosser celles-ci délicatement, avant emploi, avec un large pinceau de martre. 75 : On estime généralement il doit être supérieur de 20% environ au rapport du pouvoir résolvant de la couche sensible au pouvoir séparateur désiré. 76 : Nous citerons par exemple la caméra électronique Lallemand (voir Chap. X, p. 94), certaines caméras ultra-rapides récentes (voir Chap. XIII, p. 121), et le diffractographe dans un condenseur à une ou deux lentilles focalise un faisceau d électrons, rendu fin que possible, 90 : Dans les spectrographes à prismes la lumière à analyser entre par une fente fine, placée au foyer d un collimateur, fournit un faisceau parallèle. Celui-ci traverse un ou plusieurs prismes, puis un objectif, dans le plan focal se forment les raies, c est-à.-dire les images monochromatiques de la fente. 92 : Chaque fois que le courant de la cellule passe par un maximum, on note la position de la fente sélectrice, est alors exactement centrée sur une raie.

11 Corrigé : 66 : la distance minimale de deux points de l objet qui apparaissent distincts à l observateur 67 : En première approximation, le pouvoir séparateur d un microscope électronique est d autant meilleur que les électrons utilisés sont animés d une plus grande vitesse, autrement dit que la tension du canon à électrons qui sert à les accélérer est plus élevée. 67 : Pour fixer les idées, disons que pour les microscopes commerciaux les faisceaux électroniques sont accélérés sous 75 kv environ et ont une longueur d onde cent mille fois plus courte que celle des radiations visibles. 67 : le pouvoir séparateur est considérablement réduit par le phénomène d aberrations qui devient de plus en plus important pour de très hautes tensions. 68-69 : Cependant, les remarquables possibilités de ces microscopes à très haute tension sont limitées par le fait que les images des objets amorphes, observées par transmission dans les conditions habituelles, présentent un très faible contraste. 69 : dans la technique conventionnelle à fond noir, un diaphragme de contraste intercepte totalement le faisceau traversant directement l objet et ne laisse passer que les électrons diffusés, par interaction avec le spécimen, sous un angle inférieur au demi-angle d ouverture de l objectif. 69 : Les détails diffractants apparaissent brillants sur fond noir et le contraste est beaucoup plus grand que celui qu on obtiendrait en fond clair 71 : on projette un mince faisceau d électrons qui balaie toute une préparation conductrice et mise à la terre. 71 : Ces électrons, ainsi que quelques électrons «primaires» rétrodiffusés, sont récupérés sur un écran fluorescent. 71 : l image obtenue n est pas entachée d aberrations, en particulier d aberrations de sphéricité ; le faisceau diffracté, qui ne traverse aucune lentille, fournit un signal qui peut être amplifié aisément ; le repérage de la plage intéressante se fait rapidement par simple observation sur l écran de télévision ; 72 : les images obtenues par les chercheurs du C.N.R.S. et du Muséum national d Histoire naturelle furent si belles et révélatrices d un monde étrange et inconnu, celui de l infiniment petit, qu ils décidèrent d exposer quelques-unes de ces photographies spectaculaires.

12 72 : il semble que la tendance aille de plus en plus vers une synthèse du microscope conventionnel et du microscope à balayage. 72 : C est grâce à cette technique que Crewe réussit à obtenir, en 1970, les premières photographies d uranium et de thorium. 72-73 : Dans ce microscope, on applique un potentiel positif à l échantillon étudié (pointe métallique ultra- fine), lequel est refroidi et placé dans un gaz comme l hydrogène, l argon ou l hélium sous faible pression. 74 : L agrandissement photographique du négatif rend visibles à l œil nu les détails que le microscope sépare. 74 : Pour éviter que les poussières n adhèrent aux plaques, il est conseillé de brosser celles-ci délicatement, avant emploi, avec un large pinceau de martre. 75 : On estime généralement qu il doit être supérieur de 20% environ au rapport du pouvoir résolvant de la couche sensible au pouvoir séparateur désiré. 76 : Nous citerons par exemple la caméra électronique Lallemand (voir Chap. X, p. 94), certaines caméras ultra-rapides récentes (voir Chap. XIII, p. 121), et le diffractographe dans lequel un condenseur à une ou deux lentilles focalise un faisceau d électrons, rendu aussi fin que possible, 90 : Dans les spectrographes à prismes la lumière à analyser entre par une fente fine, placée au foyer d un collimateur, qui fournit un faisceau parallèle. Celui-ci traverse un ou plusieurs prismes, puis un objectif, dans le plan focal duquel se forment les raies, c est-à.- dire les images monochromatiques de la fente. 92 : Chaque fois que le courant de la cellule passe par un maximum, on note la position de la fente sélectrice, laquelle est alors exactement centrée sur une raie.

13 Autres sources / AUTRES EXERCICES

14 Compléter avec : qui / que / dont / lequel, / ce qui, ce que, / - La lave chaude se solidifie, la vapeur se condense en eau, contribue à constituer les océans - ainsi le gaz carbonique peut-il se dissoudre dans les océans ou être absorbé par les plantes, en retour, libèrent de l oxygène dans l atmosphère. La prédictibilité du hasard, Cédric Villani, Le Monde 14 Avril 2012 : derrière les sondages, il y a une base scientifique aussi simple puissante Adolphe Quételet et Francis Galton découvriront cette loi mathématique s applique aussi aux sciences humaines; Cette «loi suprême du désordre et de la déraison», selon l expression de Galton permet de calculer aussi bien les fluctuations de la taille des individus ou des vitesses des molécules de l air, celles des sondages. si l on veut passer à 1%, c est de l ordre de 10 000 réponses il faut obtenir, et pour cela interroger peut-être 100 000 personnes! Alors, contentons-nous d une marge de l ordre de 3%, mais sans oublier une tendance à la hausse de 1% aura plus de chances d être due au hasard à la réalité. Deuxième obstacle : comment garantir les sondés soient choisis au hasard? Compléter avec : puisque, puisqu / jusqu à ce qui celles qui que, qui, qu, dont BIG DATA : «Data Homines», ou l alchimie à l ère numérique Le Cercle LES ÉCHOS 11/06/2012/Jean-Michel Giordanengo : Il est assez étrange un Aldous Huxley moderne ou un George Orwell ne se soit pas encore emparé de la fantastique explosion des données numériques dans l univers. L auteur du «Meilleur des Mondes» ou celui de «1984»,., auraient sans doute aimé écrire l un de ces récits les pédants appellent «dystopiques», pour évoquer le spectacle redoutable d un monde en proie au chaos des zettaoctets, seuls quelques savants fous seraient capables de rassembler et de contrôler.

15 Ce ne serait naturellement de la fiction. Mais en est-on si loin, quand on voit se passe sous nos yeux, et pourrait nous dépasser? Les dernières études montrent en effet le nombre des informations en circulation, de toutes sortes et de toutes natures, fait plus doubler tous les deux ans. Le volume des données numériques créées en 2011 atteindra le chiffre littéralement colossal de 1800 milliards de gigaoctets. Colossal, mais aussi terriblement inquiétant, si l on considère moins d un tiers de l information présente dans l univers numérique bénéficie d un niveau de sécurité ou de protection minimal. De la dystopie à l utopie, elle, rend positif pourrait être négatif, en permettant l utilisation intelligente des nouvelles possibilités numériques -, il n y a un pas. Ou, plutôt, une expertise «Data hominem», ainsi auraient pu être appelés ces spécialistes savent collecter, analyser les données pour ensuite les appliquer de manière utile et productive au «Business». Notre rapport «Digital Universe» réalisé par IDC, indique d ici à 2020, les entreprises auront besoin de 10 fois plus de serveurs aujourd hui pour accompagner leur croissance. constitue un défi, beaucoup d entre elles ne sont pas encore prêtes à relever. ce défi est également une opportunité, l appel à l un des Data Scientists, ces experts en science des données leur permettra de saisir. L expert doit être capable de passer au crible un très large éventail d informations, venues de sources multiples.. avant d être en mesure de sélectionner seront directement utiles à l entreprise. faire apparaître les tendances, et offrir une réelle visibilité dans cet amoncellement de minerais brut va soudain se transformer en information précieuse conduisant l entreprise à prendre des décisions d une pertinence inconnue alors. l expert doit procéder à leur «conditionnement», en utilisant les techniques d optimisation et de gestion en permettront une exploitation intelligente. Il (l expert) doit également faire preuve de créativité, à s intéresser au domaine artistique. Enfin, à toutes ces qualités il faut ajouter celle du communiquant, il a la charge de présenter aux différents départements de l entreprise la version finale de ses travaux. Un oiseau rare, cet expert en science des données,.? Oui, dans un certain sens, son ambition est de «transformer la matière brute en or», au bénéfice de son entreprise. Une espèce les représentants sont difficiles à trouver et à recruter? Certes, mais le besoin va grandissant, Au bout de tout, le rôle de l expert en science des données va bien au-delà des intérêts mêmes de l entreprise l emploie. C est grâce à eux aucun nouvel Orwell ne pourra écrire un 2084 apocalyptique

16 Alain LE DOUARON, «PALMER», Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 7 février 2013. URL : http://www.universalis.fr/encyclopedie/palmer/ Le palmer. Un étrier rigide en forme de U comporte à l'une de ses extrémités une touche fixe, la butée, contre on applique la face A de la pièce à mesurer AA. L'autre extrémité de l'étrier constitue l'écrou fixe dans pénètre la vis micrométrique, est terminée par la touche mobile M qui vient buter sur A. Ce dispositif de friction permet d'obtenir, quel soit l'opérateur, la même valeur pour la cote mesurée ; n'est pas le cas avec un pied à coulisse*. * calibro a nonio o Vernier.

17 Corrigés : qui / que / dont / lequel, / ce qui, ce que, / - La lave chaude se solidifie, la vapeur se condense en eau, ce qui contribue à constituer les océans - ainsi le gaz carbonique peut-il se dissoudre dans les océans ou être absorbé par les plantes qui, en retour, libèrent de l oxygène dans l atmosphère. La prédictibilité du hasard, Cédric Villani, Le Monde 14 Avril 2012 : derrière les sondages, il y a une base scientifique aussi simple que puissante Adolphe Quételet et Francis Galton découvriront que cette loi mathématique s applique aussi aux sciences humaines; Cette «loi suprême du désordre et de la déraison», selon l expression de Galton permet de calculer aussi bien les fluctuations de la taille des individus ou des vitesses des molécules de l air, que celles des sondages. si l on veut passer à 1%, c est de l ordre de 10 000 réponses qu il faut obtenir, et pour cela interroger peut-être 100 000 personnes! Alors, contentons-nous d une marge de l ordre de 3%, mais sans oublier qu une tendance à la hausse de 1% aura plus de chances d être due au hasard qu à la réalité. Deuxième obstacle : comment garantir que les sondés soient choisis au hasard? puisque, puisqu / jusqu à ce qui celles qui que, qui, qu, dont BIG DATA : «Data Homines», ou l alchimie à l ère numérique Le Cercle LES ÉCHOS 11/06/2012/Jean-Michel Giordanengo : Il est assez étrange qu un Aldous Huxley moderne ou qu un George Orwell ne se soit pas encore emparé de la fantastique explosion des données numériques dans l univers. L auteur du «Meilleur des Mondes» ou celui de «1984»,., auraient sans doute aimé écrire l un de ces récits que les pédants appellent «dystopiques», pour évoquer le spectacle redoutable d un monde en proie au chaos des zettaoctets, que seuls quelques savants fous seraient capables de rassembler et de contrôler. Ce ne serait naturellement que de la fiction. Mais en est-on si loin, quand on voit ce qui se passe sous nos yeux, et qui pourrait nous dépasser?

18 Les dernières études montrent en effet que le nombre des informations en circulation, de toutes sortes et de toutes natures, fait plus que doubler tous les deux ans. Le volume des données numériques créées en 2011 atteindra le chiffre littéralement colossal de 1800 milliards de gigaoctets. Colossal, mais aussi terriblement inquiétant, si l on considère que moins d un tiers de l information présente dans l univers numérique bénéficie d un niveau de sécurité ou de protection minimal. De la dystopie à l utopie qui, elle, rend positif ce qui pourrait être négatif, en permettant l utilisation intelligente des nouvelles possibilités numériques -, il n y a qu un pas. Ou, plutôt, qu une expertise «Data hominem», ainsi auraient pu être appelés ces spécialistes qui savent collecter, analyser les données pour ensuite les appliquer de manière utile et productive au «Business». Notre rapport «Digital Universe» réalisé par IDC, indique que d ici à 2020, les entreprises auront besoin de 10 fois plus de serveurs qu aujourd hui pour accompagner leur croissance. Ce qui constitue un défi, que beaucoup d entre elles ne sont pas encore prêtes à relever. ce défi est également une opportunité, que l appel à l un des Data Scientists, ces experts en science des données leur permettra de saisir. L expert doit être capable de passer au crible un très large éventail d informations, venues de sources multiples.. avant d être en mesure de sélectionner celles qui seront directement utiles à l entreprise. faire apparaître les tendances, et offrir une réelle visibilité dans cet amoncellement de minerais brut qui va soudain se transformer en information précieuse conduisant l entreprise à prendre des décisions d une pertinence inconnue jusqu alors. l expert doit procéder à leur «conditionnement», en utilisant les techniques d optimisation et de gestion qui en permettront une exploitation intelligente. Il (l expert) doit également faire preuve de créativité, jusqu à s intéresser au domaine artistique. Enfin, à toutes ces qualités il faut ajouter celle du communiquant, puisqu il a la charge de présenter aux différents départements de l entreprise la version finale de ses travaux. Un oiseau rare, cet expert en science des données,.? Oui, dans un certain sens, puisque son ambition est de «transformer la matière brute en or», au bénéfice de son entreprise. Une espèce dont les représentants sont difficiles à trouver et à recruter? Certes, mais le besoin va grandissant, Au bout de tout, le rôle de l expert en science des données va bien au-delà des intérêts mêmes de l entreprise qui l emploie. C est grâce à eux qu aucun nouvel Orwell ne pourra écrire un 2084 apocalyptique

19 Alain LE DOUARON, «PALMER», Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 7 février 2013. URL : http://www.universalis.fr/encyclopedie/palmer/ Le palmer. Un étrier rigide en forme de U comporte à l'une de ses extrémités une touche fixe, la butée, contre laquelle on applique la face A de la pièce à mesurer AA. L'autre extrémité de l'étrier constitue l'écrou fixe dans lequel pénètre la vis micrométrique, laquelle est terminée par la touche mobile M qui vient buter sur A. Ce dispositif de friction permet d'obtenir, quel que soit l'opérateur, la même valeur pour la cote mesurée ; ce qui n'est pas le cas avec un pied à coulisse* * calibro a nonio o Vernier. NOUVEAUX EXERCICES Utilisation du participe-présent phrases de : La Photographie scientifique, par Gérard Betton PUF, 1975 : Chapitre VII pp. 66-76 : Transformer, en conservant le sens de la phrase originale et en complétant les espaces laissés libres pour une nouvelle formulation 67 : En 1960, à Toulouse,., le P r G. Dupouy et ses collaborateurs achevaient la réalisation d un microscope électronique géant.. pouvant fonctionner sous la très haute tension de 1,5 million de volts. - En 1960, à Toulouse,., le P r G. Dupouy et ses collaborateurs achevaient la réalisation d un microscope électronique géant.. qui (imparfait de l indicatif) fonctionner sous la très haute tension de 1,5 million de volts. 67/68 : De plus, chaque électron soumis à une telle différence de potentiel, possédant une très grande énergie (1,5 MeV),., il devenait possible d étudier des préparations microscopiques d une épaisseur pouvant atteindre 9/1 000 de millimètre au lieu de 0,1/1 000 de millimètre. - De plus, comme chaque électron était soumis à cette différence de potentiel, et une très grande énergie (1,5 MeV),., il devenait possible d étudier des préparations microscopiques d une épaisseur qui atteindre 9/1 000 de millimètre au lieu de 0,1/1 000 de millimètre.

20 68 : un prototype fonctionnant sous une tension de 3,5 millions de volts vient d être construit et mis en service à Toulouse. - un prototype qui sous une tension de 3,5 millions de volts vient d être construit et mis en service à Toulouse. 69 : En microscopie conventionnelle à fond clair, seuls les électrons ayant passé au travers de l objet forment l image. - En microscopie conventionnelle à fond clair, seuls les électrons qui passé au travers de l objet forment l image. 69 : dans la technique conventionnelle à fond noir, un diaphragme de contraste intercepte totalement le faisceau traversant directement l objet. - dans la technique conventionnelle à fond noir, un diaphragme de contraste intercepte totalement le faisceau qui directement l objet. 73 : L image électronique peut être enregistrée en photographiant l écran fluorescent, mais on préfère aujourd hui faire agir directement les électrons sur la couche photographique l écran fluorescent étant surtout utilisé pour le réglage et pour le centrage de l image comme pour le choix de l agrandissement. - L image électronique peut être enregistrée en photographiant l écran fluorescent, mais on préfère aujourd hui faire agir directement les électrons sur la couche photographique et l écran fluorescent (présent de l indicatif) surtout utilisé pour le réglage et pour le centrage de l image comme pour le choix de l agrandissement. 74 : Les émulsions «photomécaniques» (par exemple la plaque Collodium de Guillemenot) à très grands contrastes allant du noir opaque au blanc très pur peuvent être utiles. - Les émulsions «photomécaniques» (par exemple la plaque Collodium de Guillemenot) à très grands contrastes qui du noir opaque au blanc très pur peuvent être utiles. 74 : L émulsion étant relativement sensible aux rayures et aux empreintes, les films et plaques doivent être manipulés avec beaucoup de soin pendant le chargement des châssis et au cours du développement. - (expression de la cause) est relativement sensible aux rayures et aux empreintes, les films et plaques doivent être manipulés avec beaucoup de soin pendant le chargement des châssis et au cours du développement.