Organisation des appareils et des systèmes: Le domaine de l optique

Documents pareils
Mémento à l usage du personnel des laboratoires

1STI2D - Les ondes au service de la santé

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS

DIFFRACTion des ondes

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

PROPRIÉTÉS D'UN LASER

Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE

Microscopie de fluorescence Etat de l art

Faculté de physique LICENCE SNV EXERCICES PHYSIQUE Par MS. MAALEM et A. BOUHENNA Année universitaire

Rayonnements dans l univers

AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, Gréoux les Bains. Rapport de mesure

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

Les lasers Risques et prévention

Application à l astrophysique ACTIVITE

Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE

Les impulsions laser sont passées en quarante ans de la

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?

Les lasers. Risques et prévention. Annule et remplace la version précédente (ND 1607) publiée en laser rayonnement VLE classification

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?

La Fibre Optique J BLANC

Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours.

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

P R O PA G AT I O N & C O U L E U R S

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

Le polissage par laser

AiryLab. 12 impasse de la Cour, Vinon sur Verdon. Rapport de mesure

ETUDE QUANTITATIVE D UN LASER PULSE A LIQUIDE APROTIQUE POLAIRE

Caractérisation non linéaire de composants optiques d une chaîne laser de forte puissance

SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

THÈME : LA SANTÉ - prévention et soin

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

Interférences et applications

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND

Module HVAC - fonctionnalités

Baccalauréat Professionnel. Microtechniques. Session 2012 DOSSIER TECHNIQUE (DT)

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse

La Nouvelle Solution. Pour les Lésions Pigmentaires & les Tatouages. Science. Results. Trust.

Contact SCD Nancy 1 : theses.sante@scd.uhp-nancy.fr

Fluorescent ou phosphorescent?

III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES

FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE

Les rayons X. Olivier Ernst

Les bases de l optique

pka D UN INDICATEUR COLORE

Chapitre 11 Bilans thermiques

TP n 1: Initiation au laboratoire

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche

Procédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

Les interférences lumineuses

La recherche d'indices par fluorescence

RELIÉE AUX LASERS MARIE-JOSÉE ROSS

COMPOSITION DE PHYSIQUE ET SCIENCES DE L INGÉNIEUR. Lecteurs optiques numériques

RISQUES BIOLOGIQUES DUS AUX LASERS

Dr E. CHEVRET UE Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

La spectrophotométrie

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -

Champ électromagnétique?

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS


Interactions des rayonnements avec la matière

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE

Exposition des salariés aux rayonnements optiques artificiels

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.

Considérations médicales issues de la Norme EN (C ) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

Mise en pratique : Etude de spectres

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

Microscopie Multiphotonique

D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier h à 16 h

La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière?

LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL

UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29

Sophie Guézo Alexandra Junay

Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :

PHYSIQUE Discipline fondamentale

Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique

LES LASERS EN DERMATOLOGIE

Transcription:

Université Bordeaux Segalen Organisation des appareils et des systèmes: Bases physiques des méthodes d exploration UE 3A Le domaine de l optique Dr JC DELAUNAY PACES- année 2014/2015

OPTIQUE GEOMETRIQUE Stigmatisme Miroirs Dioptres Lentilles

LENTILLES Lentille est un dioptre sphérique. association de 2 dioptres dont au moins un des deux Lentille biconvexe Lentille plan-convexe Lentille biconcave Lentilles convergentes Lentille divergente

Lumière F O F F O F Lentille convergente Lentille divergente 1 OA 1 - = OA 1 OF OA OA OF image objet foyer image Grandissement: g = OA OA Vergence: V = 1 OF ( ) d

Un ensemble de lentilles minces accolées est équivalent à une lentille mince unique dont la convergence est la somme des convergences des lentilles: C = C 1 + C 2 + C 3 +.. Système dioptrique association de dioptres (lentilles.) Système catadioptrique association de dioptres (lentilles.) avec un miroir Système centré association de dioptres centrés sur l axe optique

Lentille convergente Lumière B A A F O F B

On considère une lentille mince divergente de centre optique O ayant une distance focale de 4 cm. On place un objet réel à 12 cm du centre optique O. 1 ) Position de l image par rapport au centre optique O : A - 6 cm B + 6 cm C + 3 cm D - 3 cm E Aucune des propositions ci-dessus 1 OA A 1 - = OA OA = - 12 cm OF = - 4 cm 1 OA Lumière = F O 1 + OF OA = - 3 cm 1 OF F 1 OA

On considère une lentille mince divergente de centre optique O ayant Lumière une distance focale de 4 cm. On place un objet réel à 12 cm du centre optique O. 2 ) Nature de l image : A F A O F Cocher la (ou les) proposition (s) vraie (s) OA = - 3 cm A - Réelle - même sens que l objet nature virtuelle B - Réelle - sens inverse de l objet C - Virtuelle - même sens que l objet D - Virtuelle - sens inverse de l objet E - Aucune des propositions ci-dessus OA g = OA g > 0 = - 3 = - 12 image droite 1 4

Soit un dioptre sphérique de sommet S, de centre C, de foyer objet F et de foyer image F. Ce dioptre sépare un milieu d indice n 1 = 3/2 d un milieu d indice n 2 = 1. On place un objet réel dans le milieu d indice n 1. Cet objet se trouve à 10 cm du sommet S de ce dioptre. Le rayon de courbure de ce dioptre R = 2 cm. Les distances focales objet et image sont respectivement f = - 6 cm et f = + 4 cm. Nature du dioptre Cocher la (ou les) proposition (s) vraie (s) A - Concave convergent B - Convexe convergent C - Concave divergent D - Convexe divergent E - Aucune des propositions ci-dessus A Objet réel Lumière F C F S n 1 = 3/2 n 2 = 1 n 2 = 1 SF > 0 et SF < 0 convergent C au milieu le + réfringent SC = - 2 cm

Lumière A SF > 0 et SF < 0 SC = - 2 cm Trouver la position de l image par rapport au sommet S : A- - 10 cm B- + 10 cm C- - 2,5 cm D- + 2,5 cm F C F S n 1 = 3/2 n 2 = 1 convergent SA = - 10 cm E- Aucune des propositions ci-dessus n 1 n 2 SA n 1 SA 1,5-10 - - SA n 2 = 1 - = (n 1 - n 2 ) SC (1,5-1) - 2 SA = + 10 cm n 1 - n 2 SC = = n 2 SA 1 SA

Lumière SA = + 10 cm A n 1 = 3/2 F C F S n 2 = 1 A SA > 0 image réelle SF > 0 et SF < 0 convergent SC = - 2 cm SA = - 10 cm nature de l image obtenue : A- virtuelle même sens que l objet B- virtuelle sens inverse de l objet C- réelle même sens que l objet D- réelle sens inverse de l objet E- Aucune des propositions ci-dessus g = n 2 = 1 n 1 n 2 g = 1,5 + 10 1-10 g < 0 SA SA = - 1,5 image renversée

Université Bordeaux Segalen Organisation des appareils et des systèmes: Bases physiques des méthodes d exploration UE 3A Le domaine de l optique : LASER Dr JC DELAUNAY PACES- année 2014/2015

LASER Acronyme de «light amplification by stimulated emission of radiation» «amplification de la lumière par émission stimulée de radiation» Un laser est fondamentalement un amplificateur de lumière. Le terme laser est ambivalent puisqu'on l'emploie à la fois pour décrire le dispositif, la source qui permet de créer et d'émettre cette lumière particulière et pour nommer le rayon lumineux lui-même. EINSTEIN 1917 (principe)

cavité Colloque bordeaux-jullien Miroir semi-réfléchissant miroir v atomes molécules ions photons Source excitatrice

Interaction matière rayonnement atome hu e - Etat stable E 0 Energie extérieure Etat excité Absorption d Energie e - niveau E 1 Atome excité repasse spontanément à son état fondamental: Emission spontanée photon (nanoseconde) DE = E 1 - E 0 = hu Fluorescence (l)

hu Photon émis Rencontre une particule excitée Désexcitation et formation 2 ième photon nouveau photon est en tout point similaire à celui qui a permis à la particule de se désexciter : il transporte la même quantité d'énergie, à la même fréquence et possède la même direction de propagation. Conséquence: le nombre de photons croît intensité du faisceau lumineux

Loi de Boltzmann: n 2 = n 1 exp [- (E 2 E 1 ) / kt E 2 hu (n 2 ) Atomes excités système en équilibre n 1 >> n 2 niveaux plus bas toujours plus peuplés E 1 (n 1 ) Photons probablement absorbés Pour que le faisceau s enrichisse en photons n 2 > n 1 E 2 hu E 1 hu hu (n 1 ) (n 2 ) Inversion de population ( hors équilibre thermique) Emission stimulée (émission induite)

Amplification Milieu actif Apport d énergie Photon incident sur atome excité Émission stimulée Emission grand nombre de photons (Réactions en chaîne) Photons émis ont des propriétés identiques à ceux de l onde de départ Amplification en cascade du nombre de photons Effet laser L'inversion de population contribue ainsi à l'amplification de la lumière dans le laser. Source lumineuse

processus insuffisant pour produire à lui seul un faisceau laser. milieu actif placé entre deux miroirs. Miroir réfléchissant à 100% Cavité résonante Résonateur optique Miroir semi-réfléchissant à 99% Sortie de la lumière Les photons peuvent traverser plusieurs fois le milieu actif(allers-retours) Emission stimulée d un plus grand nombre de photons processus d'amplification laser oscille.

Dans la cavité optique, un très grand nombre d ondes réfléchies se superposent (ne pas oublier ondes lumineuses sinusoïdales). Additions de signaux si ondes ne sont pas en phase Interférences destructives Df

Il faut que les ondes réfléchies soient en phase Interférences constructives Intensité maximale Condition remplie pour 2L = n l n entier positif L distance entre les 2 miroirs le résonateur est généralement construit de manière à favoriser l'une des longueurs d'onde produites dans le milieu actif au détriment des autres.

Forme des miroirs But des miroirs faisceau optique traverse le milieu actif un grand nombre de fois. Miroirs plans Pertes latérales de la lumière Miroirs sphériques Pertes latérales minimisées

Construction optimale de la cavité de résonance Grand nombre de photons ou ondes se propageant en phase, à la même longueur d'onde (monochromatique) et dans la même direction. La somme de ces émissions stimulées produit une lumière dite cohérente, de très forte énergie (puissance) et de faible divergence (faisceau parallèle). L Energie rayonnée par un faisceau laser est concentrée dans un rayon cylindrique de faible diamètre. P On définit l intensité rayonnée I par: I = S (Puissance surfacique) avec I en W.m -2, P en W et S en m 2

Pompage optique (KASTLER 1950) Inversion de population Passage état excité plus rapide que la désexcitation. stockage des atomes dans un état excité pompage E 2 hu E 1 (n 2 ) hu n 2 > n 1 hu (n 1 ) atomes molécules ions cavité Source excitatrice Source va donner l énergie nécessaire pour l inversion de population

Pompage optique : Apport d énergie lumineuse au milieu : les photons émis par la source lumineuse sont absorbés par le milieu. Lampe à décharge remplie de gaz ou de vapeur métallique. Lampe flash ( lumière intense pulsée) possède un large spectre de 400 à 1 400 nm. Diode laser (sélective en l). Pompage électrique décharge électrique

Energie LASER à 4 niveaux E 3 E 2 Transition non radiative (très rapide) stockage absorption E 1 E 0 Émission stimulée Transition très rapide Émission spontanée (peu probable)

Fonctionnement du laser mode continu (leur puissance est constante) source d'énergie excite en continu mode impulsionnel (émission pendant une durée brève, puis arrêt et à nouveau émission). (source d'énergie envoie par intermittence une décharge d'énergie) Emission de quelques ms au femtosecondes)

TYPES DE LASER Laser à milieu solide ( cristaux ou des verres) Matrice (cristal ou verre) dopée par un ion qui est le milieu actif. λ émission dépend de l ion dopant et de la matrice Milieu amplificateur: laser à rubis (Al 2 O 3 ) Cr 3+ λ= 694nm, rouge Dopé au terres rares: Nd (Néodyme), Er(Erbium) barreau Yb(Ytterbium), matrice YAG : λ= 1064nm grenat d'aluminium et d'yttrium verre dopage Nd l = 1053nm

Fibre matrice silice dopage Yb Source d excitation pour ce type de LASERS à milieux solides : Lampe flash ou diode laser Fonctionnement: continu ou de manière impulsionnelle (impulsions 10-6 s à 10-15 s) visible, proche IR, UV. Puissances de l'ordre du kw en continu et du GW en pulsé. Pour un diamètre de 1 mm et P = 1kW I = 1,3.10 9 W.m -2

Applications tant scientifiques qu'industrielles: soudage, le marquage et la découpe de matériaux (Laser Nd-YAG). Très hautes énergies de l'ordre du mégajoule: systèmes destinés à la fusion nucléaire (Laser Nd-Verre) Dermatologie Odontologie (Laser Nd-YAP ) Détatouage (Laser Nd-YAG).

Lasers à milieu gazeux Gaz pur ou en mélange Excitation: décharge électrique voire optique Cathode He-Ne Anode Milieu actif: Miroir à 99% Miroir à 100% Atomes: laser hélium-néon (He-Ne) petite puissance (de 1 à 100mW) rouge à 632,8 nm Holographie et anciennement lecture des codes-barres Ions: Ar puissance de l ordre de 10 W Bleu-vert à 488 et 514 nm

Milieu actif: Moléculaire CO 2 CO 2 IR entre 9,4 et 10,6 µm Milieu actif: CO 2 environ 10 à 20%; puissance (mw à centaines de kw) section de tissus organiques Pour un diamètre de 1 mm et P = 1kW I = 1,3.10 9 W.m -2 très fortes puissances (fonctionnement en impulsion) 10 6 W. gravure ou découpe de matériaux. Refroidissement nécessaire

Lasers à milieu gazeux Excimère milieu actif halogène + gaz rare: XeCl, ArF. émission dans l UV (190 à 350 nm) petites impulsions qui permettent de faire l'ablation des surfaces de tissus ou des incisions. Applications: chirurgie ophtalmologique (myopie) et dans la fabrication des semi conducteurs. Lasers à colorants: molécules organiques émettant en général dans le visible. Pompage optique

Lasers à semi-conducteurs Pompage: courant électrique Semi-conducteurs sont dopés Ex:Arséniure de gallium dopé avec l aluminium (GaAsAl) Diode Laser Domaine émission: IR et Rouge Peu puissants : entre 1 et 100 mw. Pour un diamètre de 1 mm et P = 1mW I = 1,3.10 3 W.m -2 Utilisation: Dispositifs de «pompage» pour de plus gros lasers Les lecteurs de disques compacts En télécommunications (fibres optiques)

Cocher la (ou les) propositions vraie(s) Concours janvier 2014 A - Lors de l émission spontanée, les photons sont émis dans des directions aléatoires. B - Un rayonnement laser est obtenu par émission stimulée d électrons. C - La longueur d onde d émission d un laser dépend des propriétés de la cavité résonante et du milieu amplificateur. D - Dans les lasers à 4 niveaux, lors de la transition non radiative, le photon émis possède une énergie E= hu. E- Aucune des propositions ci-dessus.

Références de quelques Livres se trouvant à la bibliothèque de Bordeaux2 (cours-propriétés colligatives; cours-électrophysiologie; cours-optique) ATKINS P.; PAULA J. Chimie_Physique Ed. De Boeck et Dunod AURENGO A., PETITCLERC T., GREMY F. Biophysique Ed. Flammarion BORDENAVE L. et al Biophysique Ed. Omniscience

FIN