Administration de Parc Informatique TP 02 Utilisation du Live DVD

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1 Institut Galilée L2 info S1 Année Démarrage du Live DVD Administration de Parc Informatique TP 02 Utilisation du Live DVD Un Live DVD est un DVD auto-amorçable de Linux. On peut démarrer l ordinateur à l aide de ce DVD. Le système d exploitation se charge alors en RAM et on peut l utiliser sans avoir besoin d installer quoi que ce soit. Le travail effectué peut ensuite être enregistré sur une clé USB ou téléchargé sur un autre ordinateur. Pour pouvoir utiliser le Live DVD depuis un ordinateur personnel, regarder les annexes. Afin d accélerer les temps d accès au système, une image (une copie) du DVD a été mise sur le disque dur des ordinateurs. Ainsi, à l invite boot:, il faut taper la ligne de commande suivante : knoppix bootfrom=/dev/sda7/local/adsy.iso ATTENTION! au démarrage, le clavier est, par défaut, considéré comme un clavier qwerty... Ainsi, sur les claviers azerty, même si c est la ligne ci-dessus qui s affiche, il faut en fait taper la ligne suivante : knoppix bootfro,=!dev!sdqè!locql!qdsy:iso Une fois le démarage terminé, il est possible de retirer le DVD du lecteur, celui-ci n étant plus utile pour le système. Une fois le démarrage terminé, les programmes usuels sont disponibles. En particulier, il y a une icône de terminal (konsole) dans la barre de lancement rapide et on dispose des éditeurs de texte usuels (emacs, kwrite, nano et vim). Entrainez-vous dès maintenant à utiliser un éditeur en mode texte (nano ou vim). Il n y a pas besoin de se connecter. Comme il n y a qu un seul utilisateur normal (appelé knoppix), il est automatiquement connecté au démarage. 2 Utilisateur normal et administrateur Certaines commandes ne sont pas accessibles aux utilisateurs normaux parce qu elles peuvent endommager le système (par exemple, détruire des fichiers de configuration). Il existe un super-utilisateur, ou administrateur, appelé root, qui a le droit de tout faire. Attention! Il y a deux types de personnes qui utilisent Linux : ceux qui ont déjà fait une grosse bétise en tant que root et ceux qui ne vont pas tarder à en faire. 2.1 Changer d utilisateur : su Pour changer d utilisateur, il faut utiliser la commande su. Regarder son manuel... et découvrir au passage les méfaits des traductions partielles... Noter que l utilisateur knoppix a été répertorié comme étant privilégié : il n a pas besoin de donner le mot de passe de root pour changer d utilisateur. Après avoir changé d utilisateur, pour revenir à l utilisateur normal, il faut taper exit (ou le raccourci Ctrl+D). Essayer de lire le contenu du fichier /etc/sudoers. Que se passe-t-il? Pourquoi? Comment faire? Revenir ensuite à l utilisateur knoppix! 1

2 2.2 Changement temporaire : sudo c Pour limiter les risques d erreurs, il faut passer le minimum de temps possible en tant que root. Pour cela, on évitera de devenir root, taper la commande puis redevenir utilisateur normal. Il vaut beaucoup mieux utiliser la commande sudo qui permet d utiliser une (et une seule) commande en tant que root. Regarder le man de sudo. Noter les références au fichier /etc/sudoers... Utiliser sudo pour regarder le contenu du fichier /etc/sudoers (sans le modifier) : il suffit de taper la commande à exécuter précédée de sudo. Regarder en particulier le dernier bloc de lignes. On pourra aussi regarder le man de sudoers... 3 Récupérer le réseau Sur le réseau, chaque ordinateur est repéré au moyen d une série de nombres appelée adresse IP. Il s agit de 4 nombres compris entre 0 et 255, séparés par des points. Chaque ordinateur possède aussi un nom compréhensible par des humains. La traduction entre noms et adresses IP se fait par un protocle appelé DNS. Nous en reparlerons (sûrement) lors de prochains TP... Par exemple, l ordinateur a pour adresse IP Tester le réseau : ping Pour tester si le réseau fonctionne, on utilise la commande ping. Regarder son manuel... qui est largement plus compliqué que son utilisation typique. ping envoie à un ordinateur donné des signaux (requètes) et attend les réponses (traditionellement appelées pong ). Si le réseau fonctionne, on reçoit effectivement une réponse. Une absence de réponse signifie généralement un problème de réseau. Utiliser ping pour tester la connexion à l ordinateur de google : il faut fournir en argument à ping soit le nom de l ordinateur, soit son adresse. Essayer à la fois le nom de l ordinateur et son adresse IP. Des fois seule l adresse IP répond Observer une carte réseau : ifconfig Si le réseau n est pas fonctionnel, il faut le mettre en place. La commande ifconfig permet de regarder la configuration (courante) de toutes les interfaces réseau actives. La commande ifup (et ifdown) permet d activer (et de désactiver) une interface donnée. Regarder le manuel d ifconfig. Utiliser la commande pour regarder les interfaces configurées. L interface lo est une interface spéciale qui désigne toujours l odinateur sur lequel on se trouve. Le fichier /etc/network/interfaces contient la liste de toutes les interfaces réseau détectées. Regarder son manuel. Regarder son contenu. On ne s intéresse pour le moment qu aux noms des interfaces et pas à leur configurations (on verra ça plus tard... ) Il doit normalement y avoir une interface eth0 qui correspond à la (première) carte réseau. Utiliser ifconfig pour regarder la configuration actuelle de la carte réseau. Comparer avec la configuration de lo. Comment voit-on que lo est configurée alors que eth0 ne l est pas (au moins 2 endroits l indiquent)? Au fait... comment tester que le réseau fonctionne bien jusqu à lo? 3.3 Configurer une carte réseau : ifup, dhclient Regarder dans le fichier /etc/network/interfaces la partie correspondant à la carte réseau à configurer. Normalement, elle contient le mot dhcp. Si oui, l interface est configurée pour recevoir automatiquement une adresse IP à l aide du protocole DHCP. Pour l activer, il suffit d utiliser la commande ifup en précisant le nom de l interface à activer. Activer la carte réseau. Vérifier les changement à l aide de ifconfig. Tester le réseau à l aide de ping. Utiliser ifdown pour désactiver le réseau. Vérifier à l aide de ifconfig et ping. Rétablir le réseau. 2

3 Remarque : si les interfaces sont mal configurées, ou si il y a plusieurs cartes réseau sur l ordinateur (ou tout simplement si ifup est de mauvaise humeur... ), dhclient permet d essayer de toutes les configurer simultanément à l aide de DHCP. 4 Transférer des fichiers Comme le Live DVD ne peut pas stocker de données sur le disque dur de l ordinateur, il faudra systématiquement transférer les fichiers pour garder trace des TP. 4.1 Clé USB Le plus simple pour transférer des fichiers est d utiliser une clé USB. Normalement, elle est détectée automatiquement et accessible immédiatement. Son contenu est accessible soit via la navigateur de fichiers, soit dans un répertoire dont le nom est du style /media/sde1. Regarder la dernière ligne du fichier /etc/mtab pour trouver le nom exact. Avant de retirer la clé, il faut la démonter. On utilise pour ça la commande umount. On peut vérifier dans le fichier /etc/mtab que la clé a bien été démontée avant de la retirer Connexion à distance : ssh La commande ssh permet de se connecter à un ordinateur via le réseau. La connexion est (relativement) sécurisée dans la mesure où les données transmises sont cryptées. Regarder le manuel de ssh, notamment l option -l. Utiliser ssh pour se connecter à une machine libre service (leurs noms sont de la forme <salle>-<numero>, par exemple F (bien évidemment, les 3 salles utilisées avec les Live DVD pour les TP, ainsi que les ordinateurs sous windows, ne sont pas utilisables ainsi... )) Il est souvent rentable d utiliser ping pour trouver une machine disponible. Créer, sur le compte Sercal (les machines libre service de la fac), un répertoire ~/API/TP02/. Pour se déconnecter, comme avec su, on utilise exit ou Ctrl-D. Revenir à la machine knoppix. 4.3 Transfert de fichiers : scp Pour transférer des fichiers, on utilise scp. Son fonctionnement est, globalement, le même que celui de cp sauf que la copie peut s effectuer à travers le réseau. Regarder le manuel pour trouver la syntaxe indiquant un ordinateur distant : utilisateur@machine:fichier Créer un fichier toto sur la machine knoppix. Le copier sur le compte sercal dans le répertoire ~/API/TP02/. Utiliser ssh pour se connecter au sercal. Éditer le fichier toto et le modifier. Se déconnecter et revenir à la machine knoppix. Récupérer la nouvelle version du fichier (appeler la copie titi). Il est aussi possible de se connecter à la fac depuis l extérieur, y compris depuis une machine windows (typiquement depuis vos ordinateurs personnels à domicile). Voir les annexes en fin de TP. 5 Premiers pas sous Marionnet Pour simuler des réseaux, nous utiliserons par la suite le logiciel Marionnet contenu sur le Live DVD. Aujourd hui, nous nous contenterons des bases minimales. 5.1 Une seule machine Lancer marionnet à l aide de l icône sur le bureau. Ouvrir un nouveau projet. Dans ce nouveau projet, ajouter un ordinateur. On peut, si on veut, modifier le nom de l ordinateur ou lui rajouter des cartes réseaux supplémentaires (c est inutile ici). Dans la fenêtre principale, on voit une représentation du réseau (ici réduit à une seule machine). Démarrer l ordinateur (virtuel) à l aide du bouton tout démarrer. 3

4 On obtient, au final, un terminal avec une invite de login en mode texte. L utilisateur s appelle root et son mot de passe est root (il n y a pas d utilisateur normal dans ces machines virtuelles). Vérifier que l ordinateur dispose bien d une seule carte réseau. Arrêter l ordinateur à l aide du bouton tout arrêter. Enregistrer le projet, quitter Marionnet. transférer le projet sur le compte sercal. 6 Planifier des tâches 6.1 Date et heure : date La date et l heure de l ordinateur sont affichées dans le coin en bas à droite de l écran. Sont-elles réglées correctement? Dans un terminal, utiliser la commande date pour consulter la date et l heure. Regarder le manuel de date. Utiliser date pour régler la date et l heure si elles ne sont pas correctes. Il faut pour ça passer en argument une série de 8 chiffres correspondant aux mois, jour, heures et minutes. 6.2 Tâche unique : at La commande at permet d exécuter une commande à une heure donnée. Pour pouvoir l activer, il faut d abord lancer un démon, un programme qui tourne à l arrière plan en permanence. Le démon associé à at s appelle atd. Pour le lancer, il faut taper la commande /etc/init.d/atd start (en tant que root). Regarder le manuel de at. On utilise at en lui donnant une heure. Au prompt at>, on rentre, une à une, les commandes à exécuter on termine à l aide de Ctrl+D sur une ligne vide. Les commandes sont exécutée silencieusement. Ainsi, une commande qui doit afficher des choses dans le terminal qui l a lancée (comme echo, ou un printf en C), ne fera rien de visible... Utiliser at pour créer un répertoire ~/toto/ dans 1 minute. Vérifier que la création du répertoire a bien eu lieu Envoyer des messages : write La commande write permet d envoyer des messages à un utilisateur donné. Pour des raisons compliquées de compatibilité entre les différents types de terminaux, elle ne marche pas comme il faut dans la konsole... Lancer, depuis la console, un terminal xterm. Dans l xterm, utiliser who pour trouver le nom du terminal pour l ordinateur (normalement quelque chose de la forme pts/2). Utiliser write pour envoyer des messages (depuis l xterm vers l xterm, pas très passionnant pour l instant) : il faut d abord fournir à write le nom de l utilisateur à qui on envoie les message, ainsi que le terminal sur lequel il se trouve, puis le message ligne à ligne. Utiliser Ctrl-D pour quitter write une fois que c est fini. Utiliser at pour envoyer un message (depuis l xterm vers l xterm) qui arrivera dans 1 minute. Utiliser at pour afficher à 17h un message indiquant qu il est l heure de partir. À l aide d un tuyau ( ), combiner echo et write en une seule ligne de commande pour afficher un message court. 7 Un problème classique... Écrire un programme C chmod.c qui affiche un court message. Le compiler, appeler l exécutable chmod. Essayer de lancer le programme avec la commande chmod. Que se passe-t-il? Est-ce normal? Pour savoir quel est réellement le programme utilisé lorsqu on tape une commande, utiliser les commandes which ou where. Regarder les manuels. Comment faire pour lancer le programme chmod que l on vient de compiler (sans changer son nom)? Remarque : ce problème surgit bien plus souvent avec un programme appelé test qui est finalement un nom assez naturel à donner à certains programmes... Regarder le résultat de which et where sur la commande test. L aspect un peu plus hermétique de ce résultat est la raison pour laquelle chmod a été choisi pour cet exemple. 4

5 8 Pour aller plus loin 8.1 Tâches répétitives :cron Lorsqu il faut effectuer une tâche de manière régulière, on utilise crontab qui est une version évoluée de at. Comme pour at, il faut d abord démarrer le démon à l aide de /etc/init.d/cron start. Regarder ensuite le manuel de crontab. crontab désigne à la fois la table stockant les tâches à effectuer et le programme permettant de la modifier, par défaut le manuel affiche le manuel de la commande. La partie voir aussi du manuel indique de regarder crontab(5). C est-à-dire la section 5 du manuel de crontab. Le début du manuel de man liste toutes les 9 sections des pages de man et ce à quoi elles correspondent. Vérifier dedans à quoi correspondent les sections 1 et 5. Par défaut, man affiche la plus petite section pour laquelle une page de manuel a été trouvée. Pour afficher une autre section, il faut utiliser man <section> <commande>. Regarder la page de manuel correspondant au fichier crontab qui indique la syntaxe de ce fichier : chaque ligne est composée de 5 champs indiquant les moments où doit être exécutée la commande puis du nom de la commande à exécuter. Regarder notamment les exemple à la fin de la page de manuel. Utiliser la commande crontab pour éditer le fichier crontab. Faire afficher un message (à l aide de echo et write) toutes les heures pour signaler que le temps passe. Comment faire afficher un message toutes les 10 minutes? 8.2 Configuration avancée de ssh Lorsqu on effectue fréquemment une connexion avec ssh/scp entre les deux mêmes ordinateurs, taper à chaque fois le mot de passe peut devenir ennuyeux. Pour contourner ce problème, on peut utiliser un système de clés publique et privée. Une clé privée est un identifiant unique d un utilisateur sur une machine. Elle ne doit jamais être transmise à quelqu un d autre ou à un autre endroit. Une clé publique est associée à chaque clé privée. Lors d une connexion ssh, si la connexion est effectuée depuis un ordinateur possédant une clé privée, vers un ordinateur possédant la clé publique associée, le mot de passe n est pas demandé. Regarder le manuel de ssh. Pour chercher un texte dans une page de manuel, utiliser /, puis taper le texte (puis n pour passer aux occurrences suivantes). Chercher le passage qui décrit le fichier authorized_keys. Quel est le programme qui créé une paire de clés? Utiliser le programme en question pour créer une paire clé privée/clé publique (les options par défaut sont normalement correctes, regarder le manuel pour plus d information). Transférer la clé publique au sercal. La recopier dans le bon fichier. Attention! Utiliser un éditeur de texte pour recopier les clés publiques peut provoquer des effets bizarres si l éditeur coupe les lignes automatiquement. Il vaut mieux utiliser cat et rediriger la sortie vers le fichier (attention à ne pas écraser d éventuelles clés publiques déjà existantes). Essayer maintenant de se connecter depuis la machine knoppix vers le sercal. Normalement, ssh ne devrait pas demander de mot de passe. Remarque : Comme la clé sur la machine knoppix n est pas pérenne (elle est détruite quand on éteint la machine), contrairement à une vraie installation de Linux (où la clé est stockée sur le disque dur), on pourra à la fin du TP effacer la clé publique du sercal puisqu elle ne pourra plus resservir... Générer, sur la machine sercalssh.ig-edu.univ-paris13.fr, un couple de clés. Stocker la clé publique dans le fichier authorized_keys. Normalement maintenant ssh ne devrait plus demander de mot de passe pour rebondir depuis sercalssh vers les machines libre service. Utiliser at pour transférer, à la fin du TP, un fichier vers les machines du Sercal. Remarque : idéalement, c est le travail du jour qu on peut ainsi transférer automatiquement. Ceci n est pas faisable sans clés car at ne dispose pas de terminal pour demander le mot de passe. Pour faire des backups réguliers (pas trop souvent quand même... ) on peut utiliser une crontab. 5

6 9 Annexes 9.1 Utilisation du Live DVD à domicile Les Live DVD utilisés aujourd hui lors du TP sont ceux de la version de septembre Les images sur les disques durs sont la version de février Une nouvelle version est en cours de préparation et sera distribuée d ici quelques semaines. Il est bien sûr possible d utiliser les Live DVD chez soi, sur un ordinateur fixe ou un portable. Ceci permet d avoir un environnement de travail (Linux) proche de celui de la Fac sans pour autant avoir à installer Linux à domicile. On peut ainsi travailler (non seulement pour le cours d API, mais aussi pour d autres) à domicile. Pour se procurer le Live DVD, 3 solutions existent : Attendre que la nouvelle version soit finalisée, pressée et distribuée... Récupérer le Live DVD de septembre 2007 et en faire une copie. Récupérer le fichier image de février 2008 (le ficher se trouve normalement dans /LOCAL/ADSY.iso) et le graver sur un DVD. On peut noter que Linux étant un logiciel libre, copier un Live DVD (ou un DVD d installation) est parfaitement légal, c est même la manière normale de se procurer Linux... (contrairement à Windows... ) Une fois qu on dispose d un Live DVD, on peut démarrer son ordinateur personnel dessus (il peut être nécessaire de modifier le BIOS pour autoriser le boot à partir du DVD). Contrairement aux salles du sercal, l image ne se trouve pas sur le disque dur. Il faut donc, à l invite boot:, taper simplement knoppix (ou juste appuyer sur [entrée]). Une fois le Live DVD démarré, on peut travailler dessus et enregistrer son travail soit sur une clé USB, soit directement via le réseau sur les ordinateurs de la Fac. 9.2 Conexion à la fac à domicile Depuis windows (par exemple depuis chez vous... ), il est possible d utiliser ssh ou scp. Il faut pour cela installer les utilitaires putty et winscp. Il est impossible, par contre, de se connecter directement sur une machine libre service depuis l extérieur de la fac. Il faut d abord se connecter à la machine sercalssh.ig-edu.univ-paris13.fr qui est la passerelle SSH du sercal. Attention! Les comptes temporaires (l2info-tmp-*) ne peuvent pas se connecter à sercalssh. Dès que la connexion est établie, afin de ne pas surcharger de travail la passerelle, il faut rebondir vers une autre machine. Utiliser ssh pour se connecter immédiatement à une machine libre service. 6