EDUCATION.VULCANIA.COM
|
|
- Léonie Lussier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dossier pédagogique RISQUES VOLCANIQUES Livret élève
2 CHERS EXPLORATEURS, Ce questionnaire vous aidera à découvrir quelques exemples d aléas naturels notemment d origine volcaniques et risques associés. Vous devrez partir à l aventure, seul ou en petits groupes dans les différents îlots et chercher les réponses aux questions. Plusieurs espaces sont à explorer :. «Terre en Colère» au niveau 0.. «Réveil des Géants d Auvergne» au niveau -1..«Tunnel des nuées ardentes» au niveau -2. Il n existe pas véritablement de sens de visite ; nous vous conseillons donc de vous répartir dans les différents espaces, cela évitera les encombrements. Visitez le site calmement ; ne courez pas, évitez de parler trop fort, afin de ne pas déranger les autres explorateurs. Si vous avez des problèmes d orientation, des hôtesses et hôtes vous guideront. Bonne exploration à tous et à vos carnets! Certaines questions peuvent nécessiter une recherche d informations au Centre de Documentation (niveau -1) de notre site. NB. Les abréviations qui suivent les numéros des questions indiquent le niveau scolaire concerné. C. Niveau Collège L. Niveau Lycée C & L. Niveaux Collège et Lycée 2
3 I- ALÉAS ET RISQUES! Notre planète est régulièrement affectée par des phénomènes de grande ampleur. Lorsqu ils menacent des populations, ils font alors partie de ce que l on appelle : risques naturels. On peut donc dire que le risque n existe que lorsqu il y a combinaison de deux facteurs : la menace et la vulnérabilité. On pourrait écrire cela sous la forme suivante : Risque = Aléa X Vulnérabilité - Aléa = l événement, le phénomène naturel (ex : une éruption volcanique) - Vulnérabilité = la présence de constructions humaines ou de population. En résumé, il n y a un risque que s il peut exister une menace (menace non nulle quand un phénomène naturel se produit) et si la vulnérabilité existe (vulnérabilité non nulle quand il y a une présence de populations ou de constructions humaines). 1 C & L - A partir de ces définitions, déterminez si les cas concrets (les illustrations) ci-dessous représentent un risque ou pas : Cas 1) Le risque : Cas 2) Le risque : Existe N existe pas Justifiez votre réponse : 2 C & L - Dans l exemple précédent, à quel type de risque naturel la population est-elle confrontée? Choisissez parmi les propositions suivantes Risque sismique. Risque volcanique Risque cyclonique Risque de tsunami Existe N existe pas Justifiez votre réponse : 3
4 II- TOUR D HORIZON DES ALÉAS! Les questions qui suivent trouvent leurs réponses au niveau 0 de Vulcania dans la salle «Terre en Colère». 6 C & L - Nos ancêtres n avaient peur, dit-on, que d une chose : que le ciel leur tombe sur la tête! Bon, le ciel ne nous tombera probablement pas sur la tête mais les météorites qui sont déjà tombées sur Terre sont nombreuses. 3 C & L- Dans «Terre en Colère», vous êtes confrontés à différents phénomènes naturels. Cochez ceux que vous avez vécus dans la salle, parmi les choix proposés : Avalanche Tornade Vague scélérate Tremblement de terre Impact de météorite Eruption volcanique Complétez le texte ci-dessous : Il y a millions d années, les. auraient disparu à cause de la chute d une météorite. C est aussi.. % des espèces vivantes existant à l époque qui ont disparu. Une catastrophe terrestre de cette ampleur ne se produit qu environ tous les millions d années. 100 millions d années 100 oiseaux 60 dinosaures 65 millions d années 4 C & L - Les tornades génèrent des vents violents. Quelle vitesse peuvent-ils atteindre? 100 km / h 700 km / h 400 km / h 1000 km / h 5 C & L- Les vagues scélérates, comme les tsunamis, ravagent surtout les côtes terrestres. Cochez la bonne réponse : Vrai Faux 4
5 III- VIVRE AVEC LE RISQUE ET L ÉTUDIER! Pour les questions suivantes, aidez-vous des informations présentes au niveau 1, dans «Réveil des Géants d Auvergne». 7 C & L - Les planisphères ci-dessous représentent respectivement la répartition des séismes (Planisphère 1) et la répartition des volcans actifs (Planisphère 2) sur Terre. Sachant que les populations sont essentiellement concentrées dans les différentes régions côtières de la planète. Expliquez pourquoi le pourtour de l océan Pacifique est considéré comme l une des zones les plus exposées aux risques géologiques. 8 C & L - En vous rendant au «Réveil des Géants d Auvergne», vous trouverez une vision plus futuriste de la même région. Si le scénario de ce film se réalisait, y aurait-il un risque volcanique? Pourquoi? Planisphère 1 Planisphère 2 5
6 9 C & L- D après le même film, citez les différents aléas volcaniques qui pourraient menacer la ville de Clermont-Ferrand et ses environs. b) L- Enumérez les différents aléas (phénomènes) associés à cette éruption. c) C & L- A votre avis, avec 57 victimes au cours de l éruption, peut-on dire que la crise volcanique a été bien gérée? Pourquoi? Pour répondre aux questions qui suivent, vous devez vous rendre dans l espace «Tunne des nuées ardentes» au niveau Le 18 mai 1980, le Mont St.-Helens a connu une éruption majeure d) C & L- Qu a-t-on fait pour protéger les populations? a) C & L- Les volcanologues, chargés de l observation et de la surveillance du volcan, étaient alertés par certains signes qui annonçaient l éruption. Lesquels? 6
7 11 L- Citez quelques exemples de difficultés ou facteurs pouvant perturber la gestion d une crise liée à un risque volcanique majeur dans certains pays? Vivre avec les risques naturels est inévitable! Et l Homme, face au danger, ne cesse de s adapter. Afin d éviter qu un phénomène naturel ne cause des dommages aux populations, plusieurs types d actions sont nécessaires : - La prévision (ex : on étudie le volcan quand il n est pas en éruption) - La prévention (on éduque la population aux dangers qui l entourent) - La protection (on met en place des constructions permettant de protéger la population) Voici un moyen mnémotechnique pour vous en rappeler, pensez à la règle des «3 P» : Prévision, Prévention, Protection! 12 L- En plus de prendre des mesures sur le terrain, les volcanologues travaillent essentiellement dans des laboratoires. Citez quelques exemples d outils utilisés dans la surveillance des volcans. 13 C & L- Elle n a fait courir aucun risque à la population car elle est tombée au plein milieu du désert du Sahara Qui est-elle? Quel est son âge? Sa masse? Sa matière? 7
8 IV- AUVERGNE : QUELS RISQUES POUR DEMAIN? 14 L- Peut-on vraiment parler aujourd hui d un risque volcanique dans la Chaîne des Puys? Justifiez. 16 L- L Auvergne est traversée de nombreuses failles et fissures, cicatrices d une histoire géologique agitée. Quel(s) risque(s) peut (peuvent) être associé(s) à ce type de structures géologiques? sismique volcanique glissement de terrains 15 L- Clermont-Ferrand, la capitale auvergnate, est une ville fondée en partie sur un volcan âgé de ans (voir schéma ci-contre). Mais, les autorités et les habitants craignent plutôt les grosses pluies! Expliquez pourquoi. 8
9 En espérant que ce dossier vous a été utile, nous vous remercions de votre visite Nouveautés 2013 Animation dynamique : Volcans sacrés Exposition : De lave et de feu Prolongez votre visite par l exploration du monde fascinant des volcans rouges! Ne ratez surtout pas votre embarquement pour la découverte des mythes et légendes liés aux volcans! Conception et réalisation : service éducatif de Vulcania 2013 / Rectorat de l académie de Clermont-Ferrand Photos et illustrations : Equipe scientifique/vulcania ; One ; Les Crayons ; Krafft ; P. André; Getty Images ; Amak ; J. Damase modifié ; S. Bloch ; J Chabane ; Matière à penser ; Joravision 9
Le concours scolaire «carnet de voyage» de l école à l université organisé par le CRDP de l académie de Clermont-Ferrand.
Le concours scolaire «carnet de voyage» de l école à l université organisé par le CRDP de l académie de Clermont-Ferrand. Le CRDP de l académie de Clermont-Ferrand profite du temps fort qu est le rendez-vous
Plus en détail1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer)
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE ASSURANCE TOUS RISQUES MONTAGE - ESSAI 1. Titre du contrat (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailQuestionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE
Questionnaire Lycée Ce musée vous offre une approche de l Eau dans toute sa grandeur. A vous de faire connaissance avec cet élément naturel. 1) Origine de l eau SALLE DES EAUX DU MONDE Vous vous aiderez
Plus en détailDossier de presse Catastrophes naturelles
Fédération Française des Sociétés d'assurances Dossier de presse Catastrophes naturelles Le système d indemnisation mis en place par la loi du 13 juillet 1982 Avant 1982, l assurance ne couvrait que certains
Plus en détailGESTION DES RISQUES Méthode d optimisation globale
Bernard Barthélemy et Philippe Courrèges GESTION DES RISQUES Méthode d optimisation globale Deuxième édition augmentée, 2000, 2004 ISBN : 2-7081-3041-2 SOMMAIRE SOMMAIRE Introduction.....................................................
Plus en détailD.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS
D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS Les incendies de forêts ou les inondations sont les principaux risques majeurs qui peuvent
Plus en détailEtat des risques naturels et technologiques
Etat des risques naturels et technologiques En application des articles L125-5 et R125-26 du code de l'environnement. Commande n 3505 Date de réalisation : 23 septembre 2011 (Valable 6 mois) Mode COMMANDE
Plus en détailLa structure du texte explicatif (sec. 3)
Phase de questionnement (Pourquoi?) : (environ 40 à 50 mots) prépare le lecteur et elle fournit une vision globale de ce dont il va être question dans le texte. Sujet amené Historique Actuelle L idée générale
Plus en détailQu est-ce qu un risque majeur? graves dommages grand nombre de personnes
Qu est-ce qu un risque majeur? Un aléa grave d origine naturelle (inondation, tempête, séisme, ) ou technologique (barrage, transport, ) qui peut causer de graves dommages à un grand nombre de personnes,
Plus en détailL E BILAN DES ACTIVITÉS
L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,
Plus en détailLe coût des Catastrophes Laurent Montador
Le coût des Catastrophes Laurent Montador Agenda Définitions Bilan des catastrophes dans le monde Cas de la France Actualité 2012 2 Définitions 3 Définition d une catastrophe Définition Solvabilité 2 «The
Plus en détailBilan décennal des catastrophes naturelles en France
Bilan décennal des catastrophes naturelles en France SOMMAIRE BILAN DÉCENNAL EN TERMES DE NOMBRE ET DE TYPE DE CATASTROPHES NATURELLES BILAN EN TERME DE VICTIMES.. 2 5 BILAN DÉCENNAL EN TERMES ÉCONOMIQUES
Plus en détailPréparer votre famille à une situation d urgence Notes de l animateur
Diapositive 1 Préparer votre famille à une situation d urgence Notes de l animateur L animateur se présente; ensuite, il présente le thème ainsi que les membres du groupe. Diapositive 2 Après les présentations,
Plus en détailEtat des risques naturels, miniers et technologiques
Etat des risques naturels, miniers et technologiques En application des articles L125-5 et R125-26 du code de l'environnement. Référence : 15/IMO/0204 Date de réalisation : 16 avril 2015 (Valable 6 mois)
Plus en détail1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme
Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailRégime des catastrophes naturelles
actuel Contexte Dans la constitution de l après guerre, le principe de solidarité et d égalité entre les français est inscrit comme une règle d or. C est ce principe qui s applique au régime des catastrophes
Plus en détailAssurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles L EXPERIENCE ALGERIENNE. Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT
Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT L EXPERIENCE NNE Àla Compagnie Centrale de Réassurance -Algérie ALGERI E I- Brève présentation
Plus en détailPPMS. Ce recueil de tableaux vous guidera dans la conception et dans la présentation du PPMS de l établissement. Plan Particulier de Mise en Sureté
PPMS Ce recueil de tableaux vous guidera dans la conception et dans la présentation du PPMS de l établissement Page 1 1 IDENTIFICATION DE L ETABLISSEMENT Année de réalisation du PPMS Nom de l établissement
Plus en détailTNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE
15/01/10-08:01 - Page 1/3 Ref. Doc. : 2500-4318690-8 A : Service de presse / VEOLIA ENVIRONNEMENT Mot-Clé : VEOLIA BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailRallye Mathématiques de liaison 3 ème /2 nde et 3 ème /2 nde pro Epreuve finale Jeudi 21 mai 2015 Durée : 1h45
Rallye Mathématiques de liaison 3 ème /2 nde et 3 ème /2 nde pro Epreuve finale Jeudi 21 mai 2015 Durée : 1h45 Précisions pour les problèmes 1 et 2 : Pour ces problèmes, on attend une narration de recherche
Plus en détailParcours Astronomie. Cher Terrien, bienvenue à la Cité des sciences et de l industrie! Voici tes missions :
Parcours Astronomie Dossier pédagogique pour les enseignants Cher Terrien, bienvenue à la Cité des sciences et de l industrie! Voici tes missions : Explore les expositions «Objectifs Terre» et «le Grand
Plus en détailSECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité. Sachez où aller et quoi faire si vous êtes victime de mauvais traitements. Un guide pour les aînés
SECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité Sachez où aller et quoi faire si vous êtes victime de mauvais traitements Un guide pour les aînés 43 SECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité Les violences
Plus en détailRESPONSABILITÉ CIVILE DE L OCCUPANT LES GLISSEMENTS, TRÉBUCHEMENTS ET CHUTES
RESPONSABILITÉ CIVILE DE L OCCUPANT LES GLISSEMENTS, TRÉBUCHEMENTS ET CHUTES ASSURANCE ENTREPRISE PARCOUREZ IBC.CA LES GLISSEMENTS, TRÉBUCHEMENTS, ET CHUTES donnent lieu à certaines des réclamations en
Plus en détailSituation d apprentissage Les traits vivants avec le logiciel LopArt DUO (#P002)
(#P002) Situation Description... 2 Compétences visées... 2 Préparation (Environ 30 minutes)... 3 Réalisation (Environ 45 minutes)... 4 Intégration (Environ 15 minutes)... 5 Réinvestissement... 5 Fiche
Plus en détailProjet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H
Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des
Plus en détailLa gestion de crise, un impératif quotidien pour les dirigeants
La gestion de crise, un impératif quotidien pour les dirigeants Olivier Hassid Auteur de La Sécurité en entreprise Vivre en entreprise, c est aussi réfléchir aux menaces qui pèsent sur chaque entreprise
Plus en détailCONSIGNES DE COMPORTEMENT EN CAS D URGENCE : COMMUNES DU HAUT PLATEAU
CONSIGNES DE COMPORTEMENT EN CAS D URGENCE : COMMUNES DU HAUT PLATEAU V.2011 Incendie Classes de feu : CLASSE A CLASSE B CLASSE C CLASSE D CLASSE F Signalétique Dénomination Feux de matériaux solides Feux
Plus en détailMathC2+ 2014. De 17h jusqu au repas, les élèves ont pu profiter des installations sportives du site.
3. LUNDI 13 OCTOBRE A leur arrivée au CISE, les élèves et leurs parents ont été accueillis avec un petit déjeuner. La cérémonie d ouverture a été présidée par Monsieur Torossian Inspecteur Général de Mathématiques
Plus en détail«Une heure pour savoir»
PLAN CYCLONE. ORGANISATION DÉPARTEMENTALE ET ZONALE DE LA GESTION DE CRISE «Une heure pour savoir» LE 8 JUILLET 2011 E.FONTANILLE/ J. VINCENT Les CYCLONES aux ANTILLES Depuis 1986 le Cyclone (en Grec Dieu
Plus en détailSe préparer pour les situations d urgence :
Pour tout renseignement complémentaire : Agence fédérale des situations d urgence (Federal Emergency Management Agency, FEMA) www.ready.gov Croix-Rouge américaine (American Red Cross) www.redcross.org
Plus en détailSTAGIAIRE. Collège Jean Rogissart - Nouzonville ENTREPRISE OBJECTIFS DU STAGE. STAGE DE DECOUVERTE 3 ème. Nom : Prénom : Classe :
STAGE DE DECOUVERTE 3 ème 9 rue Bara 08700 NOUZONVILLE Collège Jean Rogissart - Nouzonville STAGIAIRE Nom : Prénom : Classe : ENTREPRISE NOM de L ENTREPRISE : ADRESSE : Dates du stage : du.. au. OBJECTIFS
Plus en détailMISSING. Le moteur de recherche mondial des disparus de catastrophes naturelles. En partenariat avec :
MISSING Le moteur de recherche mondial des disparus de catastrophes naturelles En partenariat avec : DES DISPARUS LAISSES A L ABANDON Chaque catastrophe humanitaire majeure entraîne la disparition de nombreux
Plus en détailOù et quand cette photo a-t-elle été prise? Comment le devinez-vous?
Les textes de l exposition «Dictature et démocratie» et le questionnaire pédagogique sont assez longs. Nous vous conseillons donc de répartir les fiches de travail entre vos élèves et de mettre les réponses
Plus en détailLa gestion du risque chez AXA
Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailL évolution des techniques d information
Les automates d appel en masse : quel système pour ma collectivité? Marion Hébert, ingénieur à l Institut des Risques Majeurs L évolution des techniques d information a vu naître dès le début des années
Plus en détailFascicule 1. www.dynasites.info
Fascicule 1!" #$ %&'()* +," -'&$ www.dynasites.info Cours théoriques et pratiques par la Société : www.arbo.com Hébergement permanent sur internet par la Société ARBO.COM Courriel : secretariat@arbo-com.fr
Plus en détailEn sûreté face aux risques
Risque industriel En sûreté face aux risques majeurs Risque feu de forêt outils pédagogiques Risque TMD (1) construire son ppms (2) Risque sismique (1) Transport de Matières Dangereuses (2) Plan Particulier
Plus en détailOrganisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011
Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense
Plus en détail9.1- Sur les réseaux sociaux, j ai toujours le choix!
Thème 3 - Participer, protéger, partager : des choix de société? Séquence 9 Nos actions sur les réseaux sociaux 9.1- Sur les réseaux sociaux, j ai toujours le choix! à partir de la 5 e comprendre créer
Plus en détailBaccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008
Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats f est une fonction définie sur ] 2 ; + [ par : 4 points f (x)=3+ 1 x+ 2. On note f sa fonction dérivée et (C ) la représentation
Plus en détailwww.cyberactionjeunesse.ca
www.cyberactionjeunesse.ca CyberAction Jeunesse Canada 2011 Présentation de l organisme Projet pilote Prévention (approche en amont) Mission Objectif CyberAction Jeunesse Canada 2011 Plan de la présentation
Plus en détail«la mouche» : 1958 / 1987, l'adaptation au travers des affiches.
Oui, mais c'est l œuvre de quelqu'un d'autre 1 «On parle souvent des cinéastes qui, à Hollywood, déforment l œuvre originale. Mon intention est de ne jamais faire cela»¹ «la mouche» : 1958 / 1987, l'adaptation
Plus en détailLa sécurité physique et environnementale
I. Qu est ce que la sécurité physique? "Il ne sert à rien de dresser une ligne Maginot logique si n'importe qui peut entrer dans la salle serveurs par la fenêtre " (Christian Pollefoort, consultant en
Plus en détailUNE NOUVELLE MENACE : LA PUB-ILLICITE OU QUAND LA PUBLICITE SERT DE PASSERELLE A LA CYBER CRIMINALITE
UNE NOUVELLE MENACE : LA PUB-ILLICITE OU QUAND LA PUBLICITE SERT DE PASSERELLE A LA CYBER CRIMINALITE La plupart des services gratuits web que nous utilisons aujourd hui -des moteurs de recherche aux emails,
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détail«Tempête Klaus du 24 janvier 2009 : conditions d indemnisation et de réparation des dommages» des précisions sur les conditions d indemnisation
Le Ministère de l Economie de l Industrie et de l Emploi, la Fédération Française des Sociétés d Assurances et le Groupement des Entreprises Mutuelles d Assurances, diffusent un dépliant intitulé : «Tempête
Plus en détailBilan du volet communication «5. Dissémination des résultats»
Bilan du volet communication «5. Dissémination des résultats» Evian, le 23 mai 2013 «5. Dissémination des résultats» 5.1 Développement des outils d information Création des identifiants visuels Site internet
Plus en détailPrésentation des prévisions météorologiques du monde découpé en sept grandes régions.
Thèmes Découverte et cultures du monde, environnement, météo Concept Présentation des prévisions météorologiques du monde découpé en sept grandes régions. Contenu Durée totale : 2 mn 15 s. est présentée
Plus en détailPrévention. des risques de. catastrophe
cceptable risk Adaptation Biological azard Building code Capacity apacity Development Climate change Contingency planning Coping capacity Corrective disaster risk management Critical facilities Disaster
Plus en détailLloyd s City Risk Index 2015-2025
Lloyd s City Risk Index 2015-2025 lloyds.com/cityriskindex Synthèse A propos du Lloyd s Le Lloyd s est le seul marché de l assurance et de la réassurance spécialisé au monde à proposer une combinaison
Plus en détailJe viens vous préparer à cet évènement : L illumination des consciences
Je viens vous préparer à cet évènement : L illumination des consciences Cette révélation est donnée en français à Sulema, une femme née en 1954 au Salvador. Depuis plus de 30 ans, elle vit au Canada avec
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailUn contrat de respect mutuel au collège
Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailÀ TOI DE JOUER! VIVRE EN FRANCE L EXPLORATION DE L ESPACE. 1. Observez ces documents et cochez la bonne réponse.
A B C 1. Observez ces documents et cochez la bonne réponse. 1. Quel est l argument de tous ces documents? 4. Helios est un film L espace traditionnel La Terre en relief Les avions en noir et blanc 2. Dans
Plus en détailCATASTROPHES NATURELLES PREVENTION ET ASSURANCES
CATASTROPHES NATURELLES PREVENTION ET ASSURANCES Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels WWW.mrn-gpsa.org Une association créée en 2000 entre : Catastrophes
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailLe risque inondation : comment s en protéger?
Franck Boston PRÉVENTION ET SÉCURITÉ Le risque inondation : comment s en protéger? RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Liberté Égalité Fraternité Le principal risque naturel susceptible d affecter l Île-de-France est
Plus en détailBnF Service d Action pédagogique de la Bibliothèque nationale de France
PARTIE 3 les merveilles de la mer Éternelle source de rêve NIVEAU 2 De même qu on se prend à imaginer une vie dans les étoiles, n existe t-il pas un monde sous-marin peuplé d êtres aux allures humaines?
Plus en détailÉtat des RISQUES Naturels et Technologiques
État des RISQUES Naturels et Technologiques Pays Basque : Résidence PHAROS 7 Bis, Rue du Pont de l Aveugle 64600 ANGLET Tél : 05.59.52.20.93 Fax : 05.59.42.05.65 Page 1 / 10 Art. L. 125-5 I du Code de
Plus en détailNote d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.
Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie
Plus en détailLignes directrices relatives à la réduction des débris spatiaux du Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique
Lignes directrices relatives à la réduction des débris spatiaux du Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique A. Historique 1. Depuis que le Comité des utilisations pacifiques de
Plus en détailManuel du gestionnaire
Manuel du gestionnaire ENT MESTEK v.2010 Ce manuel s adresse à l équipe administrative d un établissement scolaire : principal, principal adjoint, secrétaires dans un collège, proviseur, proviseur adjoint,
Plus en détailParmi ces projets, le Conseil général des Alpes-Martimes a souhaité mettre à disposition d élèves en situation de handicap, des tablettes tactiles.
4 ème Trophée des Actions Éducatives La tablette tactile au service du handicap Depuis plus d un an, le programme Tice des Alpes-Maritimes, dans le cadre de sa veille technologique, s est emparé des nouveaux
Plus en détailAssurance Tous risques chantiers
Assurance Tous risques chantiers Münchener Rück Munich Re Assurance Tous risques chantiers Une publication de la Münchener Rückversicherungs Gesellschaft Cette publication a été entièrement conçue, rédigée
Plus en détailTutoriel sur Retina Network Security Scanner
Département de Mathématiques Informatique Master 2 RIP filière «Réseaux» Cours «Sécurité des réseaux et des contenus multimédia» Responsable du module : Mr Osman SALEM Tutoriel sur Retina Network Security
Plus en détailQuestionnaire pour les enseignant(e)s
info@educatout123.fr www.educatout123.fr +31 614303399 L enfant qui bouge beaucoup! C est un fait, un enfant bouge beaucoup, il a besoin de se dépenser. Il arrive même parfois qu on n arrive plus à tenir
Plus en détailRISQUES NATURELS ET TECHNOLOGIQUES FORMATION A LA REALISATION DES DOSSIERS D INFORMATION REGLEMENTAIRE DES ACQUEREURS ET LOCATAIRES
RISQUES NATURELS ET TECHNOLOGIQUES FORMATION A LA REALISATION DES DOSSIERS D INFORMATION REGLEMENTAIRE DES ACQUEREURS ET LOCATAIRES SOMMAIRE MODALITES DES FORMATIONS...3 Modalités pratiques...3 Modalités
Plus en détailCONVENTIONS SPECIALES ANNULATION. 2) SINISTRE La réalisation de l événement susceptible de mettre en jeu la garantie de l assureur.
CONVENTIONS SPECIALES ANNULATION A- DEFINITIONS 1) AUTORITE MEDICALE Toute personne titulaire, à la connaissance de l assuré, d un diplôme de médecin ou de chirurgien en état de validité dans le pays où
Plus en détailTutoriels ACDSee 12 > ACDSee 12 pour les utilisateurs existants
Afficher des Si vous êtes un utilisateur d ACDSee Gestionnaire de photos 2009 et que vous passez à ACDSee 12, vous aurez déjà l habitude de nombreux outils d ACDSee 12. La nouveauté d ACDSee 12 concerne
Plus en détailMission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org
Une association créée en 2000 entre : Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org Le régime des catastrophes naturelles et technologiques
Plus en détailRISQUES MAJEURS. www.vivre-a-niort.com. Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT. Toutes les informations sur
LES RISQUES MAJEURS Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT Toutes les informations sur Définition des Risques majeurs Quels risques à Niort? Le territoire de la commune se trouve
Plus en détailDe PASTEL à Planète Sciences Midi-Pyrénées : 10 ans d animation scientifique pour les jeunes
1994 De PASTEL à Planète Sciences Midi-Pyrénées : 10 ans d animation scientifique pour les jeunes 2004 Rétrospective et faits marquants, situation actuelle et perspectives Avril 1994 : création de l association
Plus en détailCircuit comportant plusieurs boucles
Sommaire de la séquence 3 Séance 1 Qu est-ce qu un circuit comportant des dérivations? A Les acquis du primaire B Activités expérimentales C Exercices d application Séance 2 Court-circuit dans un circuit
Plus en détailLes puissances 4. 4.1. La notion de puissance. 4.1.1. La puissance c est l énergie pendant une seconde CHAPITRE
4. LES PUISSANCES LA NOTION DE PUISSANCE 88 CHAPITRE 4 Rien ne se perd, rien ne se crée. Mais alors que consomme un appareil électrique si ce n est les électrons? La puissance pardi. Objectifs de ce chapitre
Plus en détailL enfant sensible. Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et. d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est
L enfant sensible Qu est-ce que la sensibilité? Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est de le surprotéger car il se
Plus en détailQu est-ce que le Fastt?
Qu est-ce que le Fastt? Des services et aides pour les intérimaires Logement Location véhicules Action sociale Conseils crédit Garde d enfants Mutuelle Un besoin à financer? Un accompagnement, un diagnostic
Plus en détailPrésentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE. Journée technique du Cedre. Brest 14 novembre 2013
Présentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE Journée technique du Cedre Brest 14 novembre 2013 1 Déroulement Fiches techniques Contexte Description technique Démonstration Questions 2 Fiches
Plus en détailAspects pratiques de la pédagogie Pikler
Paola Biancardi Aspects pratiques de la pédagogie Pikler Le CVE de Grattapaille dans lequel je travaille comme directrice, se trouve dans les hauts de Lausanne et regroupe deux sites : la Nurserie Sous-Bois
Plus en détail- 2 - 6. Un exemple de sinistre qui serait couvert aux termes de la police incendie de base est :
Spécimen de questionnaire d examen CET EXAMEN PORTE SUR LA MATIÈRE CONTENUE DANS LES DEUX COURS SUIVANTS : C12 : L assurance des biens et C12 : L assurance des biens, 1 re partie IMPORTANT : Vous disposez
Plus en détailPour le parent à la recherche de son enfant enlevé par l autre parent
enfant enlevé par l autre parent En cas d urgence, COMPOSEZ LE 911. Premières étapes à faire immédiatement Cette liste de contrôle vous aidera à rassembler toute l information utile aux corps policiers.
Plus en détailUne école au Togo, épisode 1/4
Une école au Togo, épisode 1/4 Thèmes Éducation, formation Concept Ce documentaire présente la situation de l école primaire au Togo. Contenu Pour visionner le documentaire Une école au Togo, allez sur
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION EN CLASSE DE... Rentrée scolaire 2015. L élève
E NSEMBLE SCOLAIRE PRIVÉ MENDOI S C OLLÈGE SAINT - P RIVAT LYCÉE NOTRE - DAME D E V E N I R E N S E M B L E COLLÈGE SAINT- PRIVAT 5 Rue des Écoles - 48000 MENDE Tél : 04 66 65 02 72 E-mail : college.stprivat@wanadoo.fr
Plus en détailMATHÉMATIQUES. Mat-4104
MATHÉMATIQUES Pré-test D Mat-404 Questionnaire e pas écrire sur le questionnaire Préparé par : M. GHELLACHE Mai 009 Questionnaire Page / 0 Exercice ) En justifiant votre réponse, dites quel type d étude
Plus en détailNous sommes responsables de ce que l avenir nous apporte.
Siemens Suisse SA Freilagerstrasse 40 8047 Zurich Suisse A1T334-A234-1-77 Sous réserve de modification Siemens Suisse SA, 2012 Nous sommes responsables de ce que l avenir nous apporte. Siemens Generation21
Plus en détailCamus l a joliment formulé : le seul. introduction
introduction Camus l a joliment formulé : le seul choix qui s offre à nous, aujourd hui, est d être soit un pessimiste qui rit, soit un optimiste qui pleure. L optimiste croit que tout va bien. Dans La
Plus en détailOffice bavarois de l environnement
Bayerisches Landesamt für Umwelt Office bavarois de l environnement À propos de nous L Office bavarois de l environnement (Bayerische Landesamt für Umwelt, LfU) est l administration spécialisée centrale
Plus en détailFORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)
87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation
Plus en détailEcrire le règlement de la classe, de l école
Ecrire le règlement de la classe, de l école Objectifs : - prendre part à l élaboration collective des règles de vie de la classe et de l école. - participer activement à la vie de la classe et de l école
Plus en détailInformation sur l Assurance CAMPING-CAR
Information sur l Assurance CAMPING-CAR Avec Assurances France-Loisirs, l assurance Camping-Car devient plus simple. Notre rôle est de vous proposer un contrat avec toutes les garanties dont vous avez
Plus en détailL assurance qui protège votre famille, vos biens et vos droits chez vous et partout ailleurs!
L assurance qui protège votre famille, vos biens et vos droits chez vous et partout ailleurs! reebou family, un produit unique pour une couverture complète Foyer vous propose une assurance multirisque
Plus en détail2014-2015. Animations pédagogiques TANINGES. - Ecoles primaires - Cycles 2 et 3. Arcade MAISON du PATRIMOINE
Animations pédagogiques 2014-2015 TANINGES - Ecoles primaires - Cycles 2 et 3 «Située à Taninges, au cœur de la vallée du Giffre, la Maison du Patrimoine vous emmène dans une rue reconstituée pour découvrir,
Plus en détail«Tous les sons sont-ils audibles»
Chapitre 6 - ACOUSTIQUE 1 «Tous les sons sont-ils audibles» I. Activités 1. Différents sons et leur visualisation sur un oscilloscope : Un son a besoin d'un milieu matériel pour se propager. Ce milieu
Plus en détail25 septembre 2015. Programme niveau Lycée
25 septembre 2015 Programme niveau Lycée Le Carrefour des Solutions 80 stands à découvrir à travers un questionnaire adapté à chaque niveau (primaire/collège/lycée). Les élèves sont invités à parcourir
Plus en détailVous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire
Vous êtes visé Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Prévenir les vols ou les effets d un vol sur les employés Rôle de la direction de la succursale Désigner un
Plus en détailPour réduire sa consommation Ouvrons le dialogue
Alcool Pour réduire sa consommation Ouvrons le dialogue Pour réduire sa consommation Alcool Vous envisagez de réduire votre consommation de boissons alcoolisées, mais vous vous posez des questions : vous
Plus en détail