GEO / EAU La Fosse Dionne, Tonnerre, 200 l/s >
|
|
- Grégoire Garon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La Fosse Dionne, Tonnerre, 200 l/s > 1
2 Les aquifères en France Etat des lieux Christophe RIGOLLET, GEO Jean-François VERNOUX, EAU
3 INTRODUCTION La connaissance géologique et hydrogéologique des AQUIFERES est une mission fondamentale du BRGM. Dans le domaine de l eau, le BRGM a pour principales missions l'acquisition, la conservation, la valorisation et la restitution des connaissances relatives aux eaux souterraines au profit de ses donneurs d'ordres français ou étrangers (Etats, organismes multilatéraux, collectivités, entreprises...). Il a également pour mission de contribuer à la gestion durable et à la préservation des ressources en eau en France et à l'étranger. Dans le domaine de la géologie, le BRGM a en charge l'acquisition, la conservation, la valorisation, et la restitution des connaissances géologiques et géophysiques au profit des Etats, organismes multilatéraux, collectivités et entreprises. > 3
4 INTRODUCTION En chiffres Les réserves souterraines d eau douce en France sont estimées à Milliards de m 3, dont 100 Milliards sont renouvelés annuellement. 15 Milliards de m 3 d eau sont prélevés par an (hors centrales), dont 6 milliards proviennent des ressources souterraines. On distingue 6500 aquifères, dont 200 ont une extension de 100 à km 2. Ils sont inégalement répartis sur le territoire. La moitié des aquifères présentent des problèmes liés principalement aux prélèvements excessifs et aux pollutions d origine anthropique (agricoles et industrielles). Le Système d Information sur l Eau permet d accéder aux informations quantitatives et qualitatives des nappes grâce à piézomètres et qualitomètres. > 42
5 INTRODUCTION Plan de l exposé: Définitions Principaux aquifères Référentiels Usages Prélèvements d eau Géothermie Stockage d hydrocarbures gazeux Production d hydrocarbures Projets futurs (CAES, UTES, CO2 ) Forages abandonnés Conclusions Perspectives Puits artésien > 52
6 DEFINITION Les AQUIFERES sont des formations géologiques poreuses et perméables. Ils ont la capacité de permettre l écoulement de l eau et de l emmagasiner. Les NAPPES correspondent à la partie de l aquifère saturée en eau. La SURFACE PIEZOMETRIQUE correspond au toit de la nappe. Les NAPPES LIBRES communiquent avec la surface, et leur SURFACE PIEZOMETRIQUE fluctue selon les variations climatiques et l intensité des prélèvements. Les NAPPES CAPTIVES sont surmontées d une couche imperméable et sont ARTESIENNES si la surface piézométrique dépasse la surface topographique. Si l aquifère affleure, la nappe peut être rechargée au niveau de la SURFACE DE CAPTAGE. Le renouvellement de l eau est relativement lent. Les MASSES d EAU sont des unités de gestion, définies par application de la Directive Cadre Europénne. Surface piézométrique NAPPE LIBRE AQUIFERE Zone non saturée Zone saturée > 6
7 COUCHE IMPERMEABLE DEFINITION Les AQUIFERES sont des formations géologiques poreuses et perméables. Ils ont la capacité de permettre l écoulement de l eau et de l emmagasiner. Les NAPPES correspondent à la partie de l aquifère saturée en eau. La SURFACE PIEZOMETRIQUE correspond au toit de la nappe. Les NAPPES LIBRES communiquent avec la surface, et leur SURFACE PIEZOMETRIQUE fluctue selon les variations climatiques et l intensité des prélèvements. Les NAPPES CAPTIVES sont surmontées d une couche imperméable et sont ARTESIENNES si la surface piézométrique dépasse la surface topographique. Si l aquifère affleure, la nappe peut être rechargée au niveau de la SURFACE DE CAPTAGE. Le renouvellement de l eau est relativement lent. Les MASSES d EAU sont des unités de gestion, définies par application de la Directive Cadre Europénne. Surface de captage Surface piézométrique NAPPE CAPTIVE COUCHE IMPERMEABLE NAPPE LIBRE NAPPE CAPTIVE ARTESIENNE > 7
8 DEFINITION Les AQUIFERES sont des formations géologiques poreuses et perméables. Ils ont la capacité de permettre l écoulement de l eau et de l emmagasiner. Les NAPPES correspondent à la partie de l aquifère saturée en eau. La SURFACE PIEZOMETRIQUE correspond au toit de la nappe. Les NAPPES LIBRES communiquent avec la surface, et leur SURFACE PIEZOMETRIQUE fluctue selon les variations climatiques et l intensité des prélèvements. Les NAPPES CAPTIVES sont surmontées d une couche imperméable et sont ARTESIENNES si la surface piézométrique dépasse la surface topographique. Si l aquifère affleure, la nappe peut être rechargée au niveau de la SURFACE DE CAPTAGE. Le renouvellement de l eau est relativement lent. Les MASSES d EAU sont des unités de gestion, définies par application de la Directive Cadre Europénne. MASSE D EAU X NIVEAU 1 MASSE D EAU Y NIVEAU 1 Chaque masse d eau est définie par: - sa localisation géographique -ses caractéristiques intrinsèques (sous-sol, sols, connexions avec les cours d eau et les zones humides ) - les pressions subies (occupation du sol, surplus de nitrates, pollutions avérées, captages, recharge artificielle ) - son état des milieux (réseaux de surveillance, état quantitatif et chimique ) - son exposition aux risques (quantitatif et chimique). MASSE D EAU X NIVEAU 2 > 8
9 LES PRINCIPAUX AQUIFERES EN FRANCE LES NAPPES LIBRES (Bassins sédimentaires) LES NAPPES CAPTIVES (Bassins sédimentaires) LES AQUIFERES ALLUVIAUX LES AQUIFERES KARSTIQUES LES AQUIFERES DE SOCLE LES AQUIFERES VOLCANIQUES > 9
10 LES PRINCIPAUX AQUIFERES EN FRANCE Le concept d AQUIFERE DE SOCLE a considérablement évolué depuis dix ans. Sous la partie meuble des profils d altération de type latéritique, on observe un horizon fissuré stratiforme, dont l épaisseur varie de plusieurs dizaines de mètres à plus de 150 m. avec des propriétés réservoir conférant à cet horizon fissuré le caractère d aquifère. Cette observation a conduit à redéfinir le concept d aquifère de socle, qui auparavant était considéré comme strictement limité aux fractures d origine tectonique. Pour une hauteur d eau de l ordre de 2 m, la ressource est estimée à m3 par km². > 10
11 LES PRINCIPAUX AQUIFERES EN FRANCE Les AQUIFERES VOLCANIQUES ont été étudiés principalement dans les DOM, pour la ressource en eau et la géothermie. Les aquifères volcaniques présentent des structures complexes spécifiques aux édifices volcaniques. Ils sont actuellement explorés dans les iles françaises volcaniques car l exploitation des eaux de surface présente des limites quantitatives et qualitatives. Piton des neiges Aquifères volcaniques, Ile de la Réunion > 11
12 LES PRINCIPAUX AQUIFERES EN FRANCE CARTOGRAPHIE DES AQUIFERES A L AFFLEUREMENT > 12
13 LES PRINCIPAUX AQUIFERES EN FRANCE REPRESENTATION 3D DE LA PARTIE CAPTIVE DES PRINCIPAUX AQUIFERES > 13
14 LES REFERENTIELS LES REFERENTIELS Afin d aider à la gestion des ressources en eau souterraine, des référentiels ont été mis en place pour apporter une description physiques des aquifères : le référentiel des masses d eau souterraine et le référentiel hydrogéologique BDRHF V1 et BD Lisa (en cours) LE REFERENTIEL DES MASSES D EAU SOUTERRAINES Les masses d eau souterraine sont destinées à être des unités d évaluation de la directive cadre sur l eau (DCE-2000/60/CE) dont l objectif est de parvenir à un bon état de la ressource d ici masses d eau ont été individualisées en métropole et DOM. LE REFERENTIEL HYDROGEOLOGIQUE FRANCAIS (BD-RHF V1 & BD LISA) Le référentiel hydrogéologique français version 1 décrit les aquifères à l échelle nationale. Il est complété par le référentiel hydrogéologique BD LISA, en cours de réalisation à l échelle nationale, régionale ou locale. ACCES: Pour les masses d eau et BD-RHF V1 : Pour BD LISA : > 14
15 > 15
16 > 16
17 FICHE MASSE D EAU NIVEAU 1 FICHE BD RHF V1 (intégration des données de la carte géologique et des forages BSS) > 17
18 > 18
19 FICHE BD LISA (Fontainebleau) > 19
20 USAGES Prélèvements d eau Géothermie Stockage de gaz Production d HC conventionnels Projets futurs Production d HC non-conventionnels Stockage d énergie (CAES, UTES) Stockage de CO2 > 20
21 PRELEVEMENTS D EAU Sur les 34 milliards de m3 d eau douce prélevés annuellement en France dans le milieu naturel, 6 milliards de m3 (soit 19%) proviennent des eaux souterraines. Usages Eau potable Industrie Agriculture Production d énergie En millions de m En % < 0.5 > 21
22 PRELEVEMENTS D EAU L eau potable 67% du volume total d eau potable provient des nappes souterraines L eau potable souterraine est captée par plus de forages ce nombre élevé de forages complique le suivi et la stratégie de protection La ressource en eau potable souterraine est inégalement répartie sur le territoire; la ressource est faible en dehors des bassins sédimentaires (zones de socle et volcaniques). > 22
23 PRELEVEMENTS D EAU L eau minérale Les eaux minérales naturelles sont utilisées pour la consommation et pour le fonctionnement des thermes > 23
24 PRELEVEMENTS D EAU Agriculture / irrigation L activité agricole représente 18% des prélèvement d eau souterraine. Elle impacte également la qualité des eaux, en particulier avec la pollution aux nitrates et pesticides. Evolution des teneurs en nitrates sur la période source RNDE / BRGM Teneur des eaux souterraines en pesticides source RNDE / BRGM > 24
25 GEOTHERMIE La géothermie a pour objet l étude des phénomènes thermiques souterrains, pour produire de l'électricité et/ou de la chaleur. Quelque soit le processus d exploitation, l eau est le vecteur d énergie. Soit l eau est exploitée directement sous la forme d eau chaude (bassin de Paris) ou de vapeur d eau (Bouillante), soit l eau est injectée pour être chauffée en profondeur (Soultz). Illustration des Géothermies très basse énergie, basse énergie et haute énergie. Ressources géothermiques en France métropolitaine et DOM La géothermie très basse énergie peut entraîner un refroidissement ou un réchauffement de la nappe exploitée. La géothermie basse énergie provoque un refroidissement de la ressource. > 25
26 STOCKAGE D HYDROCARBURES GAZEUX Les stockages souterrains de gaz puis d hydrocarbures liquides ou liquéfiés ont été créés et se développent en France pour ajuster en toutes circonstances l offre à la demande et mieux garantir la sécurité d approvisionnement. Le gaz naturel est emmagasiné dans des stockages en aquifères (13 stockages) et en cavités salines (3 stockages). Le stockage en aquifère représente un volume total de 10 milliards de m3 de méthane. Les hydrocarbures liquides sont stockés en cavités salines (1 site) et les hydrocarbures liquéfiés sont stockés en cavités salines ou en cavités minées (7 sites) Source BEPH > 26
27 STOCKAGE D HYDROCARBURES GAZEUX Stockage de méthane en aquifère Le stockage de méthane en aquifère concerne la ressource en eau au niveau de l aquifère dans lequel est injecté le méthane mais aussi au niveau des aquifères supérieurs, appelés aquifères de contrôle. Les aquifères de stockage sont équipés de puits d observation pour suivre l évolution de la «bulle de gaz» et de l aquifère. Le monitoring des aquifères sus-jacents permet de prévenir toute anomalie (piézomètres et prélèvements). Source GDFSUEZ, «Underground storage facilities», juin 1992 > 27
28 STOCKAGE D HYDROCARBURES Stockage d hydrocarbures en cavité saline Les hydrocarbures à l état gazeux ou à l état liquide peuvent être stockés dans des cavités salines, réalisées par dissolution d une formation évaporitique. La réalisation des cavités par lessivage nécessite un apport important d eau douce. Comme pour le stockage en aquifère, les aquifères sus-jacents à la cavité saline doivent être isolés par des aménagements spécifiques du forage. > 28
29 STOCKAGE D HYDROCARBURES GAZEUX Stockage de propane et butane en cavité minée Les cavités minées sont creusées à une profondeur généralement comprise entre 150 et 200 m, dans lesquelles les hydrocarbures sont confinés par le potentiel hydraulique nettement supérieur à la tension de vapeur du produit dans les conditions de fond. STOCKAGE DE GARGENVILLE dans les Yvelines m3 de Propane Source: site internet de Geostock > 29
30 HYDROCARBURES Production des hydrocarbures conventionnels La production d hydrocarbures conventionnels est étroitement liée aux aquifères: l aquifère dans lequel a migré et a été piégé le pétrole ou le gaz, et les aquifères qu il faut protéger des risques de pollution. Les aquifères peuvent également servir pour la réinjection d eau et de CO2 après séparation des hydrocarbures, au maintien de la pression du gisement et à la récupération assistée. Dans le bassin de Paris, le gisement de St Martin de Bossenay exploite l huile du Dogger. L exploitant SHELL utilisait deux puits d injection (SMB15 et SMB17) pour réinjecter l eau produite et maintenir la pression du réservoir. L exploitation du champ a nécessité également d isoler les forages qui traversent les aquifères des Calcaires du Lusitanien, des Grès et sables de l Albien/Néocomien et de la Craie. Source, BEPH Source, IFP, 2010 > 30
31 HYDROCARBURES Production des hydrocarbures non-conventionnels Les gas-shale et oil-shale ont connu un essor extraordinaire ces dernières années aux États-Unis. En Europe, et plus particulièrement en France, les compagnies pétrolières s'intéressent fortement à ces ressources non conventionnelles. Les deux cibles les plus convoitées sont les oil-shale du Lias du bassin de Paris et les gas-shale du bassin du SE. Pour fracturer et produire les gas-shale et les oil-shale il est nécessaire d injecter d importants volumes d eau. Cela pose les questions de la disponibilité d eau à proximité des gisements et de la possibilité de réinjection de l eau utilisée après dépollution. > 31
32 STOCKAGE D ENERGIE Stockage d air comprimé (CAES) Il est possible de stocker de l'énergie en aquifère ou en cavité minée en comprimant de l air avec un compresseur lors des périodes de faible consommation d énergie. L énergie stockée sous la forme d air comprimé est ensuite restituée lors des périodes de forte ou moyenne demande en énergie pour faire fonctionner une turbine à combustion et fournir de l électricité. Le CAES (Compressed Air Energy Storage) permettrait de stocker l énergie excédentaire et de s affranchir des contraintes des sources intermittentes (éoliennes, photovoltaïques ). Les aquifères seraient impactés en terme de surpression, par contre les risques de pollution sont limités, l air ne présentant pas de caractère nocif. Alabama case, internet site > 32
33 STOCKAGE D ENERGIE Stockage thermique de chaud ou de froid (UTES) Le stockage de chaleur en aquifère (Underground Thermal Energy Storage - UTES) consiste à utiliser les aquifères pour stocker de la chaleur ou du froid. Il est possible de stocker à toute profondeur. A 30 mètres on atteint des puissance de 500kW, pour dépasser la dizaine de mégawatts à 3000 mètres. Comme pour la géothermie, ces installations peuvent provoquer un réchauffement ou un refroidissement. > 33
34 STOCKAGE DU CO2 Parmi les nombreuses possibilités envisagées pour stocker le CO2, le stockage en aquifère présente la plus grosse capacité de stockage. En France, plusieurs études sont dédiées à l étude de faisabilité de stockage en aquifère et à l évaluation des volumes de CO2 qu il serait possible d injecter dans les aquifères salins. Des simulations d injection numériques sont réalisées pour évaluer l impact de la «bulle» de CO2 sur l aquifère de stockage et son évolution au cours du temps. Les couvertures doivent résister à la pression et aux interactions géochimiques roche/co2 pour éviter tout risque de propagation vers les aquifères sus-jacents. Modélisation PETREL des perméabilités de l aquifère du Dogger projet ANR-SHPCO2 Simulation 3D de l injection de CO2 projet ANR-SHPCO2 (TOUGH2-REACT) > 34
35 FORAGES ABANDONNES Lorsqu un forage profond est abandonné, s'il présente une anomalie ou s'il se détériore, il existe un risque de mise en communication verticale des aquifères et un risque de pollution aux hydrocarbures. Cette question a fait l objet d une étude spécifique pour les forages profonds sur le bassin Seine- Normandie qui traversent les aquifères protégés de l Albien et du Néocomien (JF Vernoux, EAU). > 35
36 CONCLUSION 1/2 LES AQUIFERES DU BASSIN DE PARIS > 36 RESERVOIRS CONVENTIONNELS RESERVOIRS NON-CONVENTIONNELS STOCKAGE DE METHANE AQUIFERES DE CONTROLE EAU DOUCE GEOTHERMIE CO2 (PICOREF, SHPC2 ) Aqu. protégé Aqu. protégé
37 CONCLUSIONS 2/2 Les aquifères sont fortement sollicités pour la ressource en eau, la géothermie, le stockage de gaz, la production d hydrocarbures et le seront davantage si de nouvelles activités sont développées comme le stockage d énergie, de CO2 ou la production des réservoirs d hydrocarbures non-conventionnels. Le réchauffement climatique est également un facteur qui risque de contraindre fortement la ressource en eau : augmentation du besoin (irrigation ) et diminution des ressources renouvelables. Cette forte sollicitation pose de nombreuses questions comme l identification de ressources nouvelles, la préservation de la ressource (identification et maîtrise des risques) et les conflits d intérêts. * Lorsque les nappes superficielles sont surexploitées ou polluées (nitrates, insecticides ), la tendance est de solliciter des aquifères plus profonds. La question de la ressource se pose également en terme d'inégalité de répartition géographique * Les risques associés à l exploitation des aquifères sont quantitatifs (baisse de niveau) et qualitatifs (pollution, réchauffement/refroidissement ). Pour les nappes captives il faut également prendre en compte les conséquences des modifications de pression sur les échanges entre aquifères. Les anciennes exploitations et leurs puits abandonnés sont également un facteur de risques. La dégradation des ressources en eau souterraine peut également impacter les eaux de surface et les écosystèmes, particulièrement en période estivale. * La multiplication actuelle et à venir des activités en lien avec les aquifères pose inévitablement le problème des conflits d'usage, accentué lorsque les projets impactent les aquifères à grande échelle. > 37
38 PERSPECTIVES - HYDROGEOLOGIE > Expertise hydrogéologique sur un secteur donné Structure des aquifères Ecoulements souterrains (piézométrie) Relations avec les eaux de surface Paramètres hydrodynamiques et hydrochimiques Cartes de vulnérabilité > Modélisation Modèle hydrodynamique (connaissance) Modèle de gestion de la ressource en eau (impact de pompages) Modèles couplés : transport de polluants, thermique, > 38
39 PERSPECTIVES - GEOLOGIE > Référentiel géologique de la France (RGF) Mise à jour des bases de données géologiques et géophysiques du sous-sol Acquisition de données complémentaires Intégration des données pour la réalisation de synthèses géologiques Production de modèles numériques 3D, incluant la distribution spatiale des propriétés physiques des réservoirs et couverture. Intégration des données de la carte et des données du sous-sol (forages d eau, forages pétroliers et géothermiques, sismique pétrolière, géophysique aéroportée ) GUICHET H / BEPH 6000 forages pétroliers km de sismique CLASTIC2 - GEOTHERMIE Modèle 3D du Keuper du BP > 39
40 POUR PLUS D INFORMATION Banque nationale d Accès aux Données sur les Eaux Souterraines (Masses d Eau et BD-RHFV1) BD-RHFV2 (BD-LISA) en cours BRGM, Service EAU et GEO Editions du BRGM Contacts: c.rigollet@brgm.fr Jf.vernoux@brgm.fr > 40
41 Merci de votre attention Source de la Loue, Jura > 41
1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES
1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE Codes entités aquifères Code entité V1 Code entité V2 concernées (V1) ou (V2) ou secteurs hydro à croiser : 532a 532b Type de masse d'eau souterraine : Imperméable
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailIngénierie du stockage souterrain de Gaz Naturel. Jacques GRAPPE, GEOSTOCK
Ingénierie du stockage souterrain de Gaz Naturel Jacques GRAPPE, GEOSTOCK Ingénierie du stockage souterrain de gaz naturel: aujourd hui et demain 1. Généralités 2. Les principales composantes d un stockage
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailCAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE
Cahier des charges pour l évolution des réseaux de surveillance des eaux souterraines en France CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Version complétée
Plus en détailLe stockage géologique du CO 2
Énergies renouvelables Production éco-responsable Transports innovants Procédés éco-efficients Ressources durables Le stockage géologique du CO 2 Les solutions IFP Energies nouvelles pour un déploiement
Plus en détailRessources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech
Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailComment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp
Septembre 2005 Comment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp L'IFP inscrit les travaux sur la réduction des émissions de CO 2 au cœur de ses programmes de recherche. La stratégie de l'ifp
Plus en détailLes réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014
Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Direction Régionale et Interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'île-de-france www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailHYDROCARBURES NON CONVENTIONNELS
HYDROCARBURES NON CONVENTIONNELS Qu'appelle t'on hydrocarbures non conventionnels? Que ce soit une production d'hydrocarbures conventionnels ou non conventionnels, il s'agit des mêmes types d'hydrocarbures.
Plus en détailRisques potentiels de l exploration et de l exploitation des hydrocarbures non conventionnels en Ile de France
Risques potentiels de l exploration et de l exploitation des hydrocarbures non conventionnels en Ile de France Rapport du Conseil scientifique régional d Ile de France Mars 2012 Rapport du CSR 1 Rédacteurs
Plus en détailAtlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre
Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007 Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007
Plus en détailGaz Non conventionnels DES RESSOURCES pour le futur
SECTEURS DE CROISSANCE Gaz Non conventionnels DES RESSOURCES pour le futur Des ressources abondantes et largement répandues ENJEUX Gaz de charbon, gaz de schiste, tight gas : les gaz non conventionnels
Plus en détailLe stockage souterrain de l énergie
Le stockage souterrain de l énergie Louis-Marie Jacquelin, Anne-Gaëlle Bader To cite this version: Louis-Marie Jacquelin, Anne-Gaëlle Bader. Le stockage souterrain de l énergie. Geosciences, 2013, pp.100-107.
Plus en détailAgences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau
ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences
Plus en détailL eau invisible 1 Tous les sols contiennent-ils de l eau?
L eau invisible 1 Tous les sols contiennent-ils de l eau? Les sols reçoivent de l eau provenant de différents flux, et une partie de l eau arrivant dans le «compartiment» sol y est retenue. Ainsi, la pluie
Plus en détailLe changement climatique et le recours nécessaire au stockage géologique du CO 2... 4
Sommaire Le changement climatique et le recours nécessaire au stockage géologique du CO 2............................ 4 1. Où peut-on stocker le CO 2 et en quelle quantité?............................................................
Plus en détailEîude réalisée dans le cadre des actions de Service Public du BRGM 02PIR115. E. Equilbey, J.F. Vernoux. mars 2002 BRCMIRPB 1576-FR
Avis hydrogéologique sur des dossiers de demande de reconnaissance de l état de catastrophe naturelle liée à une remontée de nappe phréatique - Communes de Marcoussis et du Val-Sain t-germain (Essonne)
Plus en détailLes hydrocarbures non conventionnels : évolution ou révolution?
Depuis maintenant quelques années, les hydrocarbures non conventionnels prennent une place grandissante dans l'approvisionnement mondial en hydrocarbures. Est-ce une révolution ou une évolution normale?
Plus en détailGéothermie et stockage: quo vadis? Pascal Vinard
Géothermie et stockage: quo vadis? Pascal Vinard Contenu 1. Définitions et leur évolution 2. Cadre énergétique global, européen et Suisse 3. Evolution du marché des PAC géothermiques et projets de stockage
Plus en détailLa Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous
La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de
Plus en détailCONSEIL I INGÉNIERIE I MANAGEMENT DE LA CONSTRUCTION I EXPLOITATION I MAINTENANCE
L Excellence en Stockage Souterrain CONSEIL I INGÉNIERIE I MANAGEMENT DE LA CONSTRUCTION I EXPLOITATION I MAINTENANCE La maîtrise du stockage souterrain Un acteur majeur Geostock est une société internationale,
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailPrésentation de l entreprise. Des entreprises d ici. Une offre de services sur mesure. .com
1 Présentation de l entreprise Des entreprises d ici Depuis 1979, l entreprise Les Puits Deux-Montagnes s est bâti une réputation enviable qui s étend bien au-delà de la région des Basses-Laurentides.
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailL eau pour l électricité
À l instar du néologisme américain Watergy, qui met en exergue les liens intrinsèques entre la production d énergie et l eau, et par réciprocité ceux qui lient la production d eau et l énergie, l Eaunergie
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailRévision de la numérotation des règlements
Révision de la numérotation des règlements Veuillez prendre note qu un ou plusieurs numéros de règlements apparaissant dans ces pages ont été modifiés depuis la publication du présent document. En effet,
Plus en détailGéothermie très basse et basse énergie :
FICHE DE SYNTHÈSE SCIENTIFIQUE N 10 - Avril 2005 Géothermie très basse et basse énergie : Une énergie du développement durable Le sous-sol est naturellement chaud, surtout à grande profondeur : plus on
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailQuel avenir pour l énergie énergie nucléaire?
Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailIntégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne
Intégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne point de vue sur l importance attributaire d un référentiel 1 Plan de la présentation
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailÀ LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE
Eau France Le 17 mars 2015 À LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE SUEZ environnement s engage pour gérer durablement la ressource Préserver la ressource en eau représente pour SUEZ environnement plus qu
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailLa base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace
3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de
Plus en détailL'ABC. Le gaz naturel
Le gaz naturel Composition SAVIEZ-VOUS QUE? Le pourcentage exact de méthane dans le gaz naturel varie légèrement d'un endroit à l'autre. Dans le réseau de distribution du Québec, il y a 95,4 % de méthane.
Plus en détailPiegeage et stockage du CO 2
Piegeage et stockage du CO 2 Résumé du rapport spécial du GIEC, le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Un résumé réalisé par: LE PIÉGEAGE ET STOCKAGE DU DIOXYDE DE CARBONE (PSC)
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailRAPPORT D ÉTUDE Date 30/07/2008 DRS-08-71082-09108B
RAPPORT D ÉTUDE Date 30/07/2008 DRS-08-71082-09108B Programme ANR 2005 Capture et Stockage du CO2 - Géocarbone Monitoring Convention ANR-05-CO2-008-05 Synthèse des travaux de l INERIS 2006-2008 sur le
Plus en détailCapture et stockage du CO2 (CCS)
European Technology Platform for Zero Emission Fossil Fuel Power Plants (ZEP) Capture et stockage du CO2 (CCS) Une solution majeure pour combattre le changement climatique 50% de réduction des émissions
Plus en détailGÉOTHERMIE ASSISTÉE PAR POMPE A CHALEUR
GÉOTHERMIE ASSISTÉE PAR POMPE A CHALEUR ETUDE TECHNICO- ECONOMIQUE JUILLET 2014 Table des matières INTRODUCTION 3 MÉTHODOLOGIE ET HYPOTHÈSES 5 A. Présentation de la méthodologie 5 B. Hypothèses 6 B.1.
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailParis, le 22 décembre 2008 N 39-08
Paris, le 22 décembre 2008 N 39-08 Obtention de la licence d exploitation pour le champ d Ocelote en Colombie Obtention d un nouveau permis d exploration en Colombie Dernières nouvelles sur le démarrage
Plus en détailPanorama de la recherche au BRGM sur le stockage géologique de CO2
Panorama de la recherche au BRGM sur le stockage géologique de CO2 81 eme congrès de l'acfas Le BRGM: service géologique français Le BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières) est l'établissement
Plus en détailChangements climatiques : les impacts de l'exploitation du gaz et du pétrole de schiste - Avril 2011 -
NOTE DE POSITION Changements climatiques : les impacts de l'exploitation du gaz et du pétrole de schiste - Avril 2011 - SOMMAIRE 1. Principes d exploration et d exploitation et rappel du contexte national
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailLa géothermie profonde : une énergie renouvelable à fort potentiel
LE CONTEXTE À l origine du projet ÉCOGI (Exploitation de la Chaleur d Origine Géothermale pour l Industrie) 3 acteurs locaux et engagés dans le développement durable et les énergies renouvelables (EnR)
Plus en détailIsotopes de l environnement dans le cycle hydrologique. Volume IV
Isotopes de l environnement dans le cycle hydrologique Volume IV VIENNE, 2008 C O L L E C T I O N C O U R S D E F O R M AT I O N 31 training course series no. 31 Isotopes de l environnement dans le cycle
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailCONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailOptimisation du réseau piézométrique de la Nappe d Alsace
Optimisation du réseau piézométrique de la Nappe d Alsace Rapport final BRGM/RP-58670-FR Octobre 2010 Optimisation du réseau piézométrique de la Nappe d Alsace Rapport final BRGM/RP-58670-FR Octobre 2010
Plus en détail«Résoudre les problèmes de l'énergie, une clé pour la survie de l'humanité»
Fédération mondiale des travailleurs scientifiques World Federation of scientifique Workers 85ème session du Conseil exécutif Symposium «Résoudre les problèmes de l'énergie, une clé pour la survie de l'humanité»
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détailLE GAZ DE SCHISTE ET SES IMPLICATIONS POUR L AFRIQUE ET LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
LE GAZ DE SCHISTE ET SES IMPLICATIONS POUR L AFRIQUE ET LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT 1 REMERCIEMENTS Élaboré dans la perspective de la stratégie de la Banque africaine de développement dans le
Plus en détailPrésentation : A. A. TOSSA
LA BANQUE DE DONNEES INTEGREE (BDI) DE LA DIRECTION GENERALE DE L HYDRAULIQUE Un Outil pour la Gestion des ressources en eau Présentation : A. A. TOSSA 1- Le Service de la Banque de Données Intégrée (SBDI)
Plus en détailFormation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION
mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailCRIIRAD. Mars 2011 - n 51. Commission de Recherche et d Information Indépendantes sur la Radioactivité GAZ DE SCHISTE
Mars 2011 - n 51 CRIIRAD Commission de Recherche et d Information Indépendantes sur la Radioactivité Bulletin d information des adhérents de la CRIIRAD GAZ DE SCHISTE SIGNALISATION DES RISQUES RADIOLOGIQUES
Plus en détailRESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS
a RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS Synthèse de l'inventaire des accidents pour le secteur d'activité de la société MARIE DIDIER AUTOMOBILES Il ressort de l inventaire des accidents technologiques
Plus en détailLe pétrole fournit 40% de l énergie mondiale. C est lui qui a régulé jusqu à présent le prix de l énergie.
² Le pétrole fournit 40% de l énergie mondiale. C est lui qui a régulé jusqu à présent le prix de l énergie. La production mondiale d énergie exprimée en équivalent tonnes de pétrole (TEP) est de plus
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailLes besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire
Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité 1 Les circuits d eau d une centrale thermique Circuit secondaire Appoint Circuit primaire Circuit tertiaire Purge
Plus en détailAMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE
AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES GEOSPATIALE CREATION A D UNE L ECHELLE BANQUE NATIONAL DE DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE 1 AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. P O Box 3463
Plus en détailFonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source
Régionale Orléans Tours Visualiser cette sortie dans Google Earth Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source Position géographique
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailRéférentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités. Rapport final
Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités Rapport final BRGM/RP-52261-FR janvier 2003 Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités
Plus en détailL enfouissement des déchets ultimes
L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)
Plus en détailSystèmes de stockage simples à installer et économiques
Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailSTOCKAGE SOUTERRAIN. Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients
STOCKAGE SOUTERRAIN Gestion de l élimination en Europe toute entière Sécurité à long terme Solutions répondant aux besoins de nos clients Prestations de service complètes à l échelle européenne Gestion
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détailCongrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal
Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable
Plus en détailModélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Plus en détailVAlorisation et Stockage du CO 2. Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire
VAlorisation et Stockage du CO 2 Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire Gilles Munier Directeur Général gmu@geogreen.fr Projet cofinancé par:
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détailL observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2
L observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2 Laurent Jammes, Guillemette Picard Schlumberger Carbon Services Technique Académie des sciences Paris 19 Mai 2009 Plan de la présentation 2 La
Plus en détailRadosław Tarkowski, Barbara Uliasz-Misiak 1. Le stockage souterrain : une solution pour le dioxyde de carbone 2
Radosław Tarkowski, Barbara Uliasz-Misiak 1 Le stockage souterrain : une solution pour le dioxyde de carbone 2 Introduction On considère de plus en plus souvent le dioxyde de carbone comme la principale
Plus en détailVariantes du cycle à compression de vapeur
Variantes du cycle à compression de vapeur Froid indirect : circuit à frigoporteur Cycle mono étagé et alimentation par regorgement Cycle bi-étagé en cascade Froid direct et froid indirect Froid direct
Plus en détailLE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS. Présentation des enjeux du secteur
LE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS Présentation des enjeux du secteur Avec des taux d accès proches de 100 %, les enjeux de l eau et l assainissement en Jordanie ne sont pas l accès
Plus en détailConstruction et mise en œuvre d un simulateur hydrologique et chimique du bassin ferrifère lorrain BRGM/RP-62998-FR
Construction et mise en œuvre d unn simulateur hydrologique et chimique du bassin ferrifère lorrain Rapport final BRGM/RP-62998-FR Décembre 2013 Mots clés : modèle hydrologique, modèle géochimique, modèle
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailActivité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique
1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,
Plus en détail