L'ENTRAINEMENT EN MUSIQUE Pure fantaisie sportive ; mais il n'en est pas moins pittoresque d'apprendre à monter à cheval sur une auto

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1 "" -TROSÈM ANNÉ : N 142 'lyhhmrçhw iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiini 40 Centimes '"'"""''" ">"iiii"i"ihiiitiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiii 15 NOVMBR 1925 *»>"' iimhntiuiiiiihiniiiiiikiiitiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiim UN ÇON D'ÉQUTATON... N AUTOMOB 'NTRANMNT N MUSQU Pure fantaisie sportive ; mais il n'en est pas moins pittoresque d'apprendre à monter à cheval sur une auto munie d'une selle et construite pour se cabrer, basculer, faire des écarts, des ruades, à l'instar d'un noble coursier! Contrairement à ses camarades, qui opèrent plus volontiers dans le silence de leur salle, c'est aux sons d'un jazz, que le boxeur anglais Joe Mullings effectue son entraînement quotidien. l a beaucoup de foi en cette méthode. UN CHOU D 6 MÈTRS D CRCONFÉRNC A V DS MARNS A TRR-NUV UN CHN TRAVST N CAVAR Ne paraît-il pas fait pour illustrer un conte de Perrault ce chou monumental, qui a été primé dans un récent concours agricole? l atteignait 6 mètres de tour et pouvait bien passer pour détenir le record de sa catégorie. es " Terre-Neuvas " regagnent leurs ports, après une rude campagne. Voici q uelques documents sur leur vie. t d'abord, l'aspect désolé (A) du village des Savoyards, à l'île SaintPierre. e dépeçage des morues (B) sur le pont. e pesage du poisson (C). t, enfin (D), la distribution du courrier. e chien Dolly, qui appartient à un officier de cavalerie britannique, est l'idole de son régiment. Affublé d'un uniforme de son maître, on l'a placé sur un cheval où il fait vraiment amusante figure ef joue bien son rôle. A MOD DS BJOUX PNTS UN FAM D NANS, ARTSTS D CNÉMA UN RARTÉ : NAJA BANC Pour réagir contre la vague de vols de bijoux qui ravage l'amérique, certaines femmes veulent lancer la mode des bijoux peints et il y a déjà, là-bas, des spécialistes pour ce genre de peinture. Mais ce n'est qu'une fantaisie. os Angeles, capitale américaine du cinéma, est la plus pittoresque des villes. On y coudoie toutes les races du monde et voici les derniers arrivés : cette famille de nains qui viennent tourner un film, où ils tiendront une place importante. Ce naja de 1 m. 80 de long, un des plus redoutables de son espèce; a la particularité d'être blanc, ce qui en fait une curiosité rare. Capturé dans les environs de Delhi, aux ndes, il devient pensionnaire d'un jardin zoologique.

2 finniim DMANCH-USTRÉ VNT AU tiii\iitiiiii>iiiiiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiiiliiiuiiiiiiiiiiiiiiiiiititiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiii Administration, abonnements : Belgique Étranger imiiiiniiiniiiiiiiiiiimiiiiiiiiihiiiiiiiiiiiiïiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiminiiimii M ANCH-USTR NUMÉRO France, Colonies, Régions occcpt'es 2 ST 20, N l VNT rue d'nghien, Paris (Xe) - Compte MU TARF DS ABONNMNTS 3 mois chèque postal n 5970 PARTOUT DS SAMD a publicité est reçue 11, boulevard des taliens 15 NOVMBR mois Un ta France, Colonies.,5 fr. 10 fr 20 fr. Pe'gicnje. 6 fr. 12 fr. 24 fr. Étranger. 12 fr. 21 fr 40 fr. (entrée principale). Téléphone : Richelie» et MOTS CROSÉS COMPORTANT DUX SOUTONS ^Ménagère 91 pièces.métal argenté 795 AS VNTS lâussnarn M 20. HAUSSMANN PARS OCCi ait a règle de ce problème de Mots croises est exactement la même que pour ceux publiés jusqu'ici. Mais chaque définition comporte deux solutions. Supposons, par exemple, le numéro 26 horizontal : Ville d'talie. l a, comme tous les autres numéros, deux solutions complètement indépendantes l'une de l'autre. Dans le premier jeu et nous restons dans le domaine des suppositions ce serait Naples, par exemple, et, dans le second, Venise. // y a" donc deux fois quatorze solutions horizontales et deux fois seize solutions verticales à trouver. mettra en morceaux ; 3, partie du pied ; 4, du verbe avoir ; 5, deux lettresde Rides; 6,deux lettres de Rennes ; 9, mot exprimant une répétition ; 10, retenir par un certain charme; 12, ancienne capitale d'une contrée d'asie Mineure ; 14, ville d'talie ; 15, ancien nom d'un fleuve d'urope ; 16, deux lettres d'léments; 18, étale; 20, trois lettres de Millau ; 25, conjonction ; 26, note de musique. HORZONTAMNT., qui n'ont pas une importance de premier plan ; 7, département ; 8, prénom ; 11, deux lettres de Sens ; 13, ce qu on achète chez un pâtissier ; 15, lac ; 17, inquiétudes ; 19, pièce de bois ; 21, deux lettres de Patin ; 22, pronom; 23, deux lettres d'arles; 24, ville d'asie; 26, ville d'talie; 27. deux lettres de Bien. VRTCAMNT. 1, succession d'objets de même nature ; 2, Chambre lit corbeille 17SO. Nous publierons les deux solutions de ce problème dans le prochain numéro. SOUTON DU PROBM PARU DANS DRNR NUMÉRO VRTCAMNT. 1, ra ; 2, Désopilant ; 3, Bi ; -1, da ; 3, Bicot ; 8, Sem,11, Ré; 12, Militât; 14, Mi; 15,Aspe; 17, pi; 18,rié; 4, léon ; 5, Cippe ; 6, Otite ; 7, Ta ; 9, missaires ; 10, 20, Orthoptères ; 23, Pyrénéennes ; 24, Gîter ; 25, Fêlas ; Mie ; 12, Mètre ; 13, Terne ; 16, Prytane ; 19, Réelles ; 27, la ; 28, Orage ; 32, ie ; 33, Man ; 34. Namur ; 21, Héron ; 22, nfer ; 24, Géminées ; 26, Sessiles ; 35. rs ; 36, nès ; 38. Pie ; 39, Usées ; 40, Nt ; , Rapt; 30, Amiens; 31, Guet; 37, Semur; 39, ntêtés ; 44, Si ; 45, Ami ; 46, Tas ; 48 crue ; 50, Usagé ; 42, Niée ; 43. tes ; 45, Arc ; 47, Sir ; 49, Ça ; 51ÏDa. gide ; 52, Sacrés ; 53, Oseras. HORZONTAMNT. itiiiciftliliiiatilfiiiii>iffititiitiiiiiiiiiiiiii»iiiiiiiïaiifiiiitiiiiiiittiii>tiiitii<iiitittiiiiiiiiiiiiiitisittiiiiiiii>>iiitiiiiiiiiiiiiiiiiiifi(itiiiiii(iii Salle à Manger buffet be j k "BONS D U DFR T TTRS B KM fsibçtls ACCPTS Jalon Corbeille..Cabinet de Travail ministre" 495 xpédition* tfani le Monde entier J35C AVS MPORTANT n dehors de la vente directe, noue pouvons traiter les 3 opérations suivantes : 1 * Vendre pour votre compte de firé à ire. 2 Vous acheter ferme avec paiement et enlèvement immédiats. 3" Vous faire des avances en espèces sur marchandises par warrants. MUBS-OBJTS D'ART USTRRi. TAPSSR TR.TAPS ARGNTR. BJOUX OUVRT TOUS S JOURS» MM FRS, SAUF DMANCH Concours: NSPCTURS 22 MARS 1926, NSPCTRCS : Aprè» Franco contre lfr.20 en timbres tons renseignements sur 200 carrières de l'tat, féminines et masculines et notamment sur les séduisantes carrières dlnspectriceetlnspecteur DU TRAVA Aucun diplôme exigé : âge pour concourir 28 à 35 ans, pror, serv. militaire cole Spécials d'administration, 4, rue rérou, Paris-6-, Tous les succès au dernier concours. Kislav Jeu Qcn de Çkaju- rrva alhocuiruen gcûkint CaAKÔte en toute^nu&sice&s mariage Marlegs (o Spécimen GRATUT sur demande a M»' J. BÉR10T, 24, r. Milton, Paris (»*) ÛT. i.pu lermt.0fr.50. hum, la. 50 km DSTRACTONS PU DMANCH Voici une nouvelle série de Distractions du Dimanche pour lesquelles nous offrons à ceux de nos lecteurs qui les auront toutes résolues, des cadeaux de Valeur. Cette série a paru ou paraîtra dans les numéros des 8, 15 et 22 novembre. Si toutes les solutions n'étaient pas données, nous enverrions des cadeaux à ceux de nos lecteurs dont le nombre de réponses exactes se rapprocherait le plus du maximum. es solutions de tous les problèmes du mois devront être mises à la poste N BOC, T SOUS A MÊM NVOPP, seulement à partir du dimanche 22 novembre et jusqu'au samedi 28 novembre au plus tard pour Paris et les départements ; jusqu'au samedi 5 décembre pour les pays plus éloignés et la Corse, l'algérie, la Tunisie et le Maroc. es réponses qui seront déposées à la main, dans nos bureaux, seront annulées. Nous publierons, le 3 janvier 1926, les noms des bénéficiaires.. - ABSURDTÉS T CONTRADCTONS prions nos lecteurs de lire attentin vement le passage de roman feuilleton que nous leur soumettons ici. l s'y trouve OUS un certain nombre de choses absolument impossibles et contradictoires que nous laissons à chacun le soin de découvrir et qu'il faudra énumérer complètement pour être classé dans ce problème. Sous le brûlant soleil d'août, la vaste lande s'étendait monotone autour de Robert ; quelques bouquets d'arbres, parsemés de loin en loin, en rompaient seuls l'uniformité. Dans tout l'espace que le jeune homme avait sous les yeux, sauf un village dont les toits apparaissaient à quelque distance, il ne voyait d'autre habitation que celle de son oncle Branchon. Celle-ci se détachait au loin, toute blanche, en avant d'un rideau d'arbres qui l'abritaient de leur ombre. C'est vers elle que Robert se dirigeait lentement, bien qu'il fût près de midi et qu'avec un homme comme Branchon il il ne fallût pas arriver en retard pour le déjeuner. Robert songeait tout le long du sentier qu'il suivait, les yeux vaguement fixés sur son ombre qui s'allongeait loin devant lui. Que lui voulait son oncle? Pour quelle raison le faisait-il venir ainsi? tait-ce à propos de quelque détail de son compte de tutelle? Non, ce ne pouvait être cela, la lettre qu'il avait reçut de lui avait un caractère mystérieux qu'il n'avait jamais remarqué dans aucune autre et qui l'intriguait fort. t tout à coup Robert' sursauta, car r angélus tintait au loin ; il était midi, il s'agissait de hâter le-pas. l se dirigea plus rapidement vers!habitation, stimulé par la vue de son oncle, qu'il apercevait, à présent, à travers la grille et qui l'attendait en haut du perron, en manifestant déjà sa mauvaise humeur. Robert, confus, s'excusa de son retard, mais, pour une fois, il ne reçut pas de reproches : le dîner n'était pas prêt. M. Branchon entraîna le jeune homme pour faire avec lui un tour de jardin avant de se mettre à table. Sultan, le fidèle épagneul, les suivait. l va parler, pensait Robert, et en même temps il se remémorait les recommandations que ses parents, quelques jours avant, lui avaient encore faites au sujet de cet oncle dont il était le seul neveu ; en lui-même il faisait appel à toute sa prudence. e vieillard paraissait plus sombre que d'habitude ; solitaire et méfiant, il vivait cloîtré dans cette propriété hermétiquement close, tant il redoutait les regards indiscrets des gens du pays. l marchait alors en silence, semblant chercher une façon d'entamer un sujet difficile à aborder et fauchait de sa canne, avec impatience, quelques tiges d herbe trop hautes, ou, d'un violent coup de pied, rejetait au loin les marrons récemment tombés dans les allées. J"avais à te parler d'une chose grave, fit-il bmsquement, mais déjeunons d'abord, il sera toujours temps que tu saches ce que j'ai à t'apprendre. ls revinrent alors vers la maison. C'était un bâtiment irrégulier, construit de ces pierres granitiques qui donnent souvent un aspect si triste àux demeures bretonnes. lle avait un seul étage, surmonté de mansardes. e rez-de-chaussée en était toujours froid et humide, se trouvant de plain-pied avec le jardin. ls allaient y pénétrer lorsque Sultan fit entendre un grondement sourd, tandis que ses oreilles se dressaient toutes deux en pointes. e chien dirigeait ses regards vers le fond du jardin, où s'ouvrait dans le mur, derrière un épais massif, une petite porte dérobée. Qu'est-ce? fil M. Branchon, surpris et toujours méfiant.. S POSSONS On donne les mots suivants : CAR - NSST - RNST TAR - SUN - DRAM - PN A chacun de ces mots ajoutez le nom d'un poisson; mêlez toutes les lettres de ces deux mots ainsi réunis, vous pourrez en composer des nouveaux mots signifiant : imiter à un lieu déterminé ; examinerais avec attention ; départiront avec parcimonie ; donnèrent des inquiétudes ; niaises ; divisera en plusieurs parties (en parlant d'un tat); sous-préfecture de l'ancienne Guyenne. es initiales des mots ainsi formés donneront, lues à la suite, le nom d'un autre poisson. RRATUM. Dans le problème es Prénoms, du 8 novembre, le nombre qu'il faut lire en regard de François est 3639.

3 H -Qot Cô 595ÀS, iiiiiiuiii JT j5 NOVMBR tiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiiiiiiiniiifiiiiii. ii*iiimiihniiiiiihiiiiii iiiuiiii,iiiiiijiiiii iiniiiiiuiiiimiiiiùiiiiiiiiu TROSÈM ANNÉ : N 142 «""'» MANCH NTR NOUS S AYZ-VOUS jouer du violon? je ne sais pas, je n'ai jamais essayé! Ce dialogue n'est plus d'actualité. Aujourd'hui, la réponse serait : Si je sais jouer du violon? Sans cloute, puisque je n'ai jamais appris! _ Mais, pour tirer des sons harmonieux de l'instrument à quatre cordes, il faut tout de même se livrer à quelques études préalables... 'autre jour, le grand compositeur Vincent d'ndy parlait à un de nos confrères de 1 insuffisance technique que révèlent les œuvres de maints musiciens ultra-modernes. Pour dissimuler, disait-il, leur ignorance des canons et des règles, la plupart des auteurs déclarent prétendre à l'originalité. Cette originalité n'est souvent que de la faiblesse. 'originalité véritable ne se commande pas, ne se cherche pas surtout. lle naît d'elle-même. a personnalité n'est que la cristallisation des imitations, des impersonnalités du début. Ce n'est que lorsqu'il a tout appris, tout connu, tout imité, qu'un artiste se trouve; ce n'est qu'après avoir été entraîné par tous les maîtres du passé qu'il devient, à son tour, un entraîneur. t le maître d'ajouter : Un élève de éonard de Vinci, qui se nommait Cennino Cennini, dut faire d'abord cinq années d'apprentissage comme simple ouvrier ; ce n'est qu'au bout de ce temps qu on lui confia une ardoise et qu'on fui permit de dessiner ; ce n'est qu'après dix années d'études qu'on l'autorisa à se servir de couleurs! n'en sommes plus là... De nos jours,nouscennino Cennini empoivdmmnt RFXONS / DU faut si peu, a dit Maeterlinck, pour encourager la beauté dans notre âme, si peu pour réveiller les anges qui sommeillent. l n'est pas d'âme qui ne soit consciente de cela. t, cependant, personne n ose commencer ". Pourquoi ne pas oser être celui qui commence? ' ' Cette pensée est très vraie. n tout être, derrière un masque d'indifférence ou de raillerie, l'âme solitaire souffre de sa solitude, elle est affamée de compréhension et voudrait communier avec d'autres âmes. C'est là une aspiration que nous connaissons tous. t, cependant, nous restons muets, et si les autres se taisent aussi, le mur demeure, et l'on passe à côté du réconfort sans même en soupçonner l'existence. Nous n'osons pas commencer ". Nous éprouvons de la gêne à révéler les pensées de notre être intérieur. Nous avons peur qu'il ne soit jugé sentimental et nous préférons qu'on le croit glacé. n vérité, nous sommes des êtres bien étranges, nous, humains de l'an de grâce Nous sommes semblables à des mollusques qui, bien cachés au fond de leur coquille, craindraient de laisser deviner qu'elle renferme un être vivant et sensible. Nous sommes fiers de la coquille et nous avons honte de la vie qui l'habite. orsque l'esprit avide, terre à terre et desséchant du XXe siècle veut jeter son plus cinglant anathème, il choisit l'épithète " sentimental ". Car rien ne lui paraît plus digne de mépris que le sentiment. t pourtant le sentiment est l'huile bienfaisante qui se glisse dans les rouages grinçants de ce vieux monde aux durs, aux impitoyables engrenages, et J! empêche de se détruire lui-même par ses rudes frottements. e sentiment est une des choses qui font de l homme un homme et non pas un ver aveugle, poussant droit devant lui pour se frayer un chemin. C'est le type d'homme le plus élevé qui est le plus riche en sentiment, en dépit des affirmations contraires. Ce sont nos émotions et nos sentiments qui forment les bases de nos amitiés. De froides discussions intellectuelles, si brillantes soient-elles, n ont jamais suffi à unir profondément deux cœurs. es dons de choses matérielles, s'ils nesont pas accompagnés de cette affection qui réchauffe le cœur, semblent de peu de valeur. Nos amitiés n'atteignent en profondeur que jusqu'au niveau où ont atteint nos expériences émotives réciproques. 'herbe n'a que des racines superficielles ; après une averse, elle est luxuriante et prospère, et donne l'impression d'être intensément vivante. Mais on verra sa fraîcheur s'évanouir, ses touffes devenir jaunes, puis brunes comme le sol, à la gnerait tout de suite toile, pinceaux, tubes de couleurs et s'écrierait : e vais faire un che hef-d œuvre t le plus curieux, c'est qu'il en ferait peut-être un, du moins aux yeux de ces critiques modernes qui trouvent du génie au douanier Rousseau, précisément parce que ce vieux bonhomme s était mis un beau jour à peindre sans avoir jamais rien appris. e mépris de l'étude, la prétention au talent inné, le goût du succès matériel immédiat, voilà ce qui, de nos jours, caractérise nombre d'écrivains et d'artistes... ls sont d'ailleurs encouragés par un certain snobisme qui ne s'intéresse qu'aux produits de 1' " instinct " ; ne rien savoir, c'est aujourd'hui une manière de supériorité. t il est vraiment " à la page ", cet oriund 16 NOVMBR ginal qui disait, l'autre jour, dans un cénacle ever du soleil : 7 h. 2 - coucher : 16 h. 8. de " très jeunes : Je ne connais pas une note de mu- une : (N.., 6 h. 58), 6h.50 - couch.: 16h.43. e jour décroît : 1 m. matin ; 2 m. soir. sique... Alors, j'ai pensé à me faire chef Saint DM : 320e jour -f- 45. d'orchestre! DMANCH SOYONS ÂU COURANT... ' première sécheresse, alors que le chêne, dont les puissantes racines plongent bien loin dans les profondeurs de la terre, n'en est pas le moins du monde affecté. Sa vie est alimentée par des sources cachées et intarissables, où il puise une vigueur toujours renouvelée. es amitiés qui se bornent à des relations mondaines, à l'échange de propos agréables aux heures de loisirs, ces amitiés toutes superficielles, qui n'éveillent aucune émotion de l'être intérieur, auxquelles celui-ci même reste obstinément fermé, se dessèchent comme l'herbe, meurent et disparaissent à la première épreuve. Mais les amitiés nées de ces moments où les cœurs de deux hommes se sont ouverts l'un à l'autre, laissant voir des pensées " qui traversaient leurs âmes comme de grands oiseaux blancs ", ces amitiés-là ont des racines profondes et sont vivaces, comme le chêne. Or, ces instants où les âmes se révèlent sont extrêmement rares, par suite précisément de celte pudeur singulière que nous avons de nos sentiments. l faut du courage pour oser "commencer", pour détourner une conversation des banalités et l'élever à un plan supérieur. l est si commode, si peu compromettant, de se contenter de propos faciles! à, vous ne risquez pas d'être incompris, puisqu'il n'y a rien à comprendre. Vous ne serez jamais blessé au vif par la pauvreté morale soudain dévoilée de gens que vous admiriez. Vous ne verrez jamais l'acier froid d'un sourire sarcastique transpercer la beauté rayonnante, et frêle encore, d'un idéal nouveau-né. Vous n'entendrez jamais un rire de lourde incompréhension Venant déchirer les - draperies délicates du ' temple intérieur ". Non, vous ne risquerez rien. Mais vous ne rencontrerez pas la magnifique aventure dont seuls peuvent être favorisés ceux qui ont osé commencer ". a prochaine fois que se fera le silence, lorsque vous serez auprès de quelqu'un que vous connaissez bien, mais superficiellement, osez commencer', osez l'entretenir, de ces " pensées célestes " dont parle Gœthe, ces pensées que nous avons tous lorsque nous ne pouvons dormir, ou que nous faisons une promenade solitaire, ces pensées qui touchent aux grandes choses de la vie. Faire cela, c'est jeter dans une terre profonde les racines de l'amitié. l faudrait ajouter à la Règle d'or une précision. A la maxime connue : " Faites aux autres ce que vous voudriez que l'on vous fil ", il faudrait joindre ces mots : " Mais faites-le le premier ". l faut que quelqu'un prenne l'initiative. Osez FRANK CRÂN. être celui-là. Commencez.... d'un projet de suppression des formalités d'octroi pour les automobilistes municipal parisien vient d'être saisiconseil par M. René Failliot d'une proposition tendant à simplifier pour les automobilistes les habituelles, lentes et fastidieuses formalités d'octroi : 'administration est invitée à étudier la création d'une carte d'abonnement obligatoire pour les automobiles circulant dans Paris, en remplacement des droits d'octroi actuellement perçus sur les essences employées par les automobiles. " M. Failliot base sa proposition sur la nécessité de supprimer les formalités d'octroi pour les automobiles. a taxe de circulation pourrait être basée sur le barème suivant : par chevalvapeur : à l'année 60 francs, au mois 6 francs, à la semaine 1 fr. 50, à la journée 0 fr. 50. Si met ue a 27 *}c 9 ' rce moyenne des moteurs des voitures déclarées dans le département de la Seine est de 10 C.V., la taxe basée sur ce barème rapporterait annuellement, d'après le conseiller de Saint-Merri, francs environ. D autre part, une taxe sur les moteurs industriels et sur les garages serait établie. Un autre projet du même ordre doit être déposé par M. de Tastes, rapporteur de l'octroi. e conseil aura à se prononcer entre les deux systèmes proposés.... du Congrès des maires de France quelques jours, se réunissait à l'hôtel V de Ville le Congrès des maires de France. e Congrès a poursuivi ses travaux sous la présidence de M. mmanuel évy, premier adjoint de la ville de yon. Divers rapports ont été adoptés concernant notamment : le droit des maires dans la protection des sites ; la répartition de l'impôt devant remplacer la contribution sur les portes et fenêtres ; la participation des communes aux recettes des impôts sur les automobiles ; le relèvement à 710 francs, au lieu de 480 francs, du maximum de ressources laissant droit à l'assistance obligatoire. WOC...de la répartition des nouveaux grands destroyers ministre de la Marine a arrêté la répar tition des nouveaux grands destroyers constituant la première tranche du programme naval, dont le.s unités terminent leurs essais de vitesse à orient. Deux escadrilles de contre-torpilleurs seront formées sous le commandement d'un capitaine * de frégate : la première comprenant la Panthère, le Tigre et le jaguar, en escadre de la Méditerranée ; la deuxième comprenant le Chacal, le VNDRD 20 NOVMBR ynx et le éopard, en division du Nord. ever du soleil : 7 h. 8 - coucher : 16 h. 4. Deux divisions de douze torpilleurs moever de la lune : 11 h coucher : 20 h. 11. dernes sont réglées ainsi : la première, Owagan, e jour décroît : 1 m. matin ; 1 m. soir. Orage, Tramontane, Typhon, Tornade, Trombe, Saint DMOND : 324 jour affectée à l'escadre de la Méditerranée ; la Courses hippiques à nghie.n (Derby cup). deuxième, Tempête, Simoun, Bourrasque, Cyclone, Mistral et Siroco, à la division navale de la Manche et de la mer du Nord. A SMAN PROCHAN MARD 17 NOVMBR les " très vieux " n'ont pas M de prétentions et d'illusions à revendre. AS moins Ayant tout appris à la longue ils n'en veulent pas moins redébuter dans la vie, ce qui leur donnerait, n'est-ce pas, un fameux avantage... On garde les mêmes et on recommence! Un savant autrichien pourquoi n'est-il pas américain? a trouvé, lui aussi, une nouvelle fontaine de Jouvence... l promet à tous les doyens de les transformer en cadets. C'est une des loufoqueries modernes que ce rajeunissement promis par une science oublieuse des lois implacables de la nature. Heureusement, la sagesse populaire dit : " On ne peut être et avoir été ", et c'est cet humble proverbe qui a raison. Mais allez donc faire entendre de telles vérités à des gens qui s'obstinent à croire au miracle! Ah! comme il est difficile d'être jeune sans orgueil et vieux sans amertume! C'est cependant le secret du bonheur... e blancbec qui exige la gloire tout de suite et 1' " ancien " qui ne veut pas abdiquer souffrent du même mal : une fois de plus, les extrêmes se touchent. JAN STYO. ever du soleil : 7 h. 4 - coucher : 16 h. 7. ever de la lune : 8 h. 5 - coucher : 17 h. 21. e jour décroît : 2 m. matin ; 1 m. soir. Saint AlGNAN : 321e jour SAMD 21 NOVMBR ever du soleil : 7 h. 10- coucher : 16 h des nouveaux tarifs postaux internaever de la lune : 12 h coucher : 21 h. 24. tionaux e jour décroît : 2 m. matin ; 1 m. soir. S tarifs, réglés par une convention postale PRÉS, D A ST VRG AU TMP : 325 j.+40. MRCRD 18 NOVMBR universelle, signée à Stockholm!e 28 août 'Courses hippiques à Vincennes. ever du soleil : 7 h. 5 - coucher : 16 h , sont en vigueur depuis le mois d'octobre ever de la lune : 9 h coucher : 18 h. 8. dernier. Voici ceux des expéditions les plus e jour décroît : 1 m. matin ; 1 m. soir. usuelles : DMANCH 22 NOVMBR Saint UDS : 322e jour ettres ordinaires. Au-dessus de 20 gr., ever du soleil : 7 h coucher : 16 h. 2. Boxe : Heeser contre Solointo, à la Salle ever de la lune : 12 h coucher : 22 h. 39. taxe des échelons de poids supplémentaires portée à.60 centimes (au lieu de 50 centimes Wagram. e jour décroît : 1 m. matin ; / m. soir. précédemment). Sainte CÉC ; 326e jour Cartes postales illustrées comportant une forjud 19 NOVMBR mule de j)olitesse exprimée en cinq mots au Football : Coupe de France. ever du soleil : 7 h. 7 - coucher : 16 h. 5. maximum : tarif des imprimés, soit 20 cenrugby : Championnats régionaux. ever de la lune : 10 h coucher : 19 h. 5. times (au lieu de 60 centimes, tarif des cartes Courses hippiques à Auteuil (Prix Mont- postales proprement dites). e jour décroît : 2 m. matin ; 1 m. soir. Mandats-poste. 10 Mandats-poste adressés gomery), yon. Sainte SABTH : 323e jour poste restante : taxe supplémentaire spéciale : 20 centimes ; 2 Titres périmés par la faute de l'expéditeur ou du destinataire. : taxe de renouvelaujourd'hu DMANCH 15 NOVMBR lement, 2 francs ; 3 Mandats émis en France et payables Football : Championnats régionaux. Rugby : Championnats régionaux. dans un pays adhérant à l'arrangement intertennis : Finale du double mixte du tournoi de la Toussaint, M"0 Bourgeoisnational de Stockholm, taxe fixe de 1 franc Borotra contre MUe Devé-Féret, au Tennis Club de Paris. Courses hippiques par mandat émis, plus une taxe proportionà Auteuil (prix Georges Brinquant), yon, Bordeaux (Grand Prix), Marseille. nelle de 25 centimes pour 50 francs ou frac- si J tion de 50 francs.

4 DMANCH'USTRÉ mininii iniiiiiiimmitiumiiiiiiiihiiiiiiiii iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiuiiiiiii 4 iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiiiitiiiniirtitimimiiiiii itmnin HH 15 NOVMBR 192S HHH A SMAN QU VNT D S'ÉCOUR 46e Semaine de l'année Reste à courir 6 semaines A STUATON FNANCÈR S PROJTS DU GOUVRNMNT RATFS A A RSTAURATON FNANCÈR ONT FAT 'OBJT D VVS DSCUSSONS Vaccord politique put être fait mais l'accord financier est difficile. commission des finances a commencé samedi l'examen des projets du gouvernement. e Cabinet proposait la création d'une caisse, pour l'amortissement de la dette publique, qui serait alimentée par une contribution nationale exceptionnelle sur toutes les formes de la fortune, à verser en une fois ou libérable en trois ou quatorze années. lle produirait près de 6 milliards par an. De vives objections ont été soulevées sur ce projet. Mais le principe en a été adopté. e gouvernement prévoyait une contribution nationale exceptionnelle taxe personnelle de 20 francs. a commission des finances l'a admise, mais a rejeté le projet la portant à 20 francs, payables pendant quatorze ans. a journée de mardi fut mouvementée. a commission des finances écarta un amendement de M. Blum qui proposait, pour A Je ne paie presque pas d'impôt», je dépense 7 ift. 1/2 aux 100 lui. Ton secret '? ; J'ai une nouvelle» Benjamin» 1/22 CV. i cylindres, 4 temps. a thèse du gouvernement après les premières discussions. Catalogue 1D2G BNJAMN, il, b,j Moulmatlre, Paris-2'. Wnle au comptant et à crédit. Mamans Pour ta Santé de Vos Fillettes U surveillez leur croissance, évitez la scoliose! Toutes déviations, mauvaises attitudes, t.eîblesse de ia colonne vertébrale^ sont immédia tement et radicalement combattues par les) Corsets TUformatetirs et Dissimulants de A. CAVllli. 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Malvy et Cazals en furent chargés. M. Painlevé déclara, après l'entretien qu'il eut avec ces deux délégués : " Je n'ai pas l'amour-propre d'auteur. l y a des questions de technique sur lesquelles on peut trouver des transactions. Je ne demande pas mieux que de collaborer avec la commission des finances pour arriver à une formule qui sauve le pays. Mais il est une mesure sur laquelle le gouvernement restera intransigeant, c'est sur celle de la consolidation des bons. J'espère qu'un accord finira par s'établir pour un projet de salut national. " e cartel des gauches se réunit de nouveau dans la nuit de mardi à mercredi. Un communiqué fut fait qui disait : es délégués du cartel, placés en présente des difficultés qui s'étaient manifestées ces jours derniers et dans le courant de la journée d'auiourd'hui au sujet du projet finàncier, ont établi un arbitrage qui avait pour but et a eu pour conséquence le rétablissement de la discipline des délégués des groupes de gauche à la commission des finances. Cet accord a été acquis à l'unanimité. " J a thèse du gouvernement se résume ainsi : règlement de l'échéance du 8 décembre et maintien de la mobilité des bons de la Défense nationale, nécessité de pourvoir à ces règlements par un disponible suffisant. es modifications apportées au projet primitif furent communiquées jeudi. lles disent que la contribution nationale exceptionnelle sera évaluée comme si chaque contribuable devait se libérer en quatorze annuités. Mais celui-ci pourra, à tout moment, se libérer en ce qui concerne la contribution exceptionnelle sur les biens immobiliers, les entreprises industrielles et commerciales et les titres nominatifs visés à l'article 6, en bénéficiant, suivant l'époque de cette libération, d'un escompte qui sera fixé dans un barème publié avec le décret prévu à l'article 12 de la présente loi. n ce qui concerne la propriété bâtie et non bâtie, le contribuable aura la faculté de se libérer en quatorze annuités égales à 15 % du revenu net pris chaque année pour base de la contribution foncière. e barème prévu à l'article précédent sera établi de façon à fixer à 1,5 fois le revenu net servant de base à la contribution foncière pour 1926, le versement immédiat comportant libération totale. n ce qui concerne les obligations françaises, les valeurs étrangères, les créances, dépôts ou cautionnements, la contribution nationale est payable en quatorze annuités égales à 15 % des revenus desdites valeurs ou capitaux. Cette annuité sera perçue dans les mêmes conditions que l'impôt cédulaire. es lots et primes de remboursement seront également frappés par cette contribution. Chaque société française anonyme ou en commandite par actions remettra à la caisse nationale d'amortissement une reconnaissance de dette pour une valeur égale à 15 % de son actif net. l n'y aurait pas d'inflation. Mais un milliard et demi, représentant le montant des billets de la Banque de France perdus, détruits ou disparus, pourraient être remplacés par une somme équivalente en nouveaux billets, sans qu'il soit nécessaire de relever la limite d'émission de billets. Mais à ce texle fut opposé, jeudi soir, un contre-projet de M. oucheur qui se rapprochait de la conception et des points de vue de la commission des finances. e gouvernement, avisé, décida de se tenir sur ses positions. 'ARMSTC MMNTO A CÉÉBRATON D 'ANNVRSAR PROVOQUA D BS MANFSTA TONS. Dans toute la France et les pays alliés les cérémonies furent suivies par une foule immense. septième anniversaire de l'armistice a été célébré dans toute la France, dans un profond recueillement. Une foule énorme assista aux diverses cérémonies organisées pour cette commémoration. A Paris, le chef de l'tat, entouré des bureaux des deux Chambres, du président du Conseil, des maréchaux de France, s'est incliné tur la tombe du Soldat inconnu et a assisté au défilé des drapeaux et des troupes, présentées par le général Gouraud. Quatre-vingt-dix secondes de silence furent observées par une foule immense. A Bruxelles, ondres, UX tats-unis, l'armistice fut célébré avec le mémorial traditionnel. es deux minutes de silence furent observées et les anciens combattants se rassemblèrent au pied des cénotaphes. ÉTRANGR 10 novembre. a guerre civile continue e:i Cl.ine. ÉCTONS 8 novembre. M. Victor Judet, radical-socialiste, est élu sénateur de la Creuse en remplacement de M Viviani CÉRÉMONS 8 novembre. On inaugure, à Thiaucourt, le monument aux morts français et américains. // novembre. M. Gaston Doumergue remet la croix de guerre à l'école normale supérieure FATS DVRS ÉTRANGR 11 novembre. Une panique financière, à NewYork, cause la ruine de plusieurs financiers. SPORTS 11 novembre. es quatre aviateurs militaires qui tentent le raid Paris-Téhéran : le commandant Dagneaux le capitaine Girier, les lieutenants Challe et Rabate!, quittent stres pour Belgrade. e mauvais temps les oblige à atterrir ou à revenir à leur point de départ. MARÉCHA PTAN ST RNTR N FRANC A son arrivée à Marseille, le maréchal Pétain a déclaré qu' " Abd-el-Krim n'était plus à craindre. '. l est rentré à Paris dimanche. Au cours du conseil des ministres tenu mardi, M. Painlevé a exposé qu'il a vu le maréchal Pétain depuis le retour de ce dernier du Maroc et qu'il a reçu de lui, sur la situation dans ce pays, les assurances les plus satisfaisantes. e maréchal Pétain est allé également rendre compte de sa mission au Maroc à M. Bnand, qui n'a pas manqué de le féliciter chaleureusemant des brillants succès qui ont marqué son séjour en Afrique. Achetez vos S A TRCOTR directement a l'usine Vous les paierez bien moins cher Pour omis ta conoainer» demandez aux FATURS?.e RDOUT A RÉPONS DU RCH A A CD. A. a réponse du gouvernement du Reich à la note française sur le désarmement est arrivée mercredi au Quai d'orsay. lle va être examinée et, si elle donne satisfaction sur tous les points exposés, l'évacuation de Cologne pourrait commencer le '1' décembre. Seroice 10 a ROUBAX (Nord) la collection compléta d* leurs échantillon* envoyée franco Un abonnement è PNOP, charmant fourni) ce Modes cl de travaux de laine est actuellement offert graciensemeni en prime a chaque cliente. T.S.F. G.M.P. i es résultats d'une perfection S CRUS DVNNNT MNAÇANTS Plus de 1800 Monolampes G.M.P a Seine, un moment en crue, a vu la monvend.us a ce jour tée des eaux s'arrêter. Mais, afin de parer aux Ccmpleî conséquences que pourrait avoir une crue e:i ordre de. la Seine, les barrages en amont de Paris de marche vont être abattus, ainsi que les barrages de GBOS et DTA Bezons, d'andrésy et de Saint-Aubin, près Noi.vrau cataicpuc illustre rie :>() papes (conseils, schémas et instructions.«(maillées). l-"riiiico 1 r. 25 de Rouen. icmbouisaic a la première commande.. Manuel Si les circonstances l'exigeaient, de nou( ralique vec tchfmas, lianco 5 tr. 50. velles mesures seraient prises pour assurer, dans V««; tabl" G.M.P. 35. rue de Rome, PARS, «f la mesure du possible, la protection de la région jjarisienne. On signale un peu partout, et notamment dans le Nord, des inondations sérieuses. 395 fr. MAGRR ON ARRT A ARCU UN VOUR BAN D UMÈR ÉCTRQU PORTATF D'AUTOS On a arrêté, lundi, dans un garage d'arcueil, un nommé Auguste Dubois, voleur d'autos récidiviste. On suppose qu'il est l'un des auteurs de l'attentat dont fut victime, le 29 septembre dernier, à Choisy-le-Roi, M. Bisserez, directeur de l'usine de la Compagnie des eaux. Auguste Dubois, chez lequel on a trouvé de multiples états civils, a cherché vainement à s'enfuir et a nié énergiquement toute participation à l'affaire. vous permettra de revenir progressiverrçn. à un état normal de grosseur, grâce à son action douce et bienfaisante, oblenue par une suda ion rationnelle mosensive RHUMATS \NTS - ARTHRTQUS - GOUTTUX, l'emploient également a e ; succès et le préfèrent à tous les au res systèmes de bains de suda: ion. Guérison assurée. ncombrement minime, i o.d; : 3 kilcgr. Tépsnse ins'gs'fhnte 0.2S par 'AVATUR D PNDO A TRMNÉ SON RAD 'aviateur de Pincdo a terminé son raid : Rome, Calcutta, Melbourne, Tokio, Calcutta, Rome.! a parcouru kilomètres en 370 heures de vol. C'est le plus formidable raid d'endurance oui.ait été tenté et réussi bain. permettant de récupérer le prit de l'appareil en peu de temps. Se branche sur le courant de la ville, 110 ou 220 votts continu ou alternatif. Notice franco sar demande. Établissements J. 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5 iiniiiiii 15 NOVMBR 1925 "WM'WMM iiimihiimin6iiim«««hmiiiiimiiiimiiimwiiiiioiihihmiiii S 5 ROMANS ' <iiihiiiiiitiiiiiiiiimiiimihiiiiiiiiuiiuiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiu>iiihmn»>iriiiiii D A DMANCH-USTRÉ t n» V O R N Z A C C par FUMCK-BRMTÂMQ un nom devenu célèbre par le drame d'alfred de Musset, œuvre prodigieuse par sa couleur, son Rendu célèbre par le'drame d'alfred de Musset, le personmouvement, dont l'auteur a pris nage de orenzaccio eut une vie fort romanesque. 'historien Shakspeare pour modèle et 1 a égalé, et qui paraîtra plus étonnante Funcr\-Brentano nous en retrace les aventures tragiques. encore, s; l'on pense que le divin auteur des Nuits composa cette pièce admirable à vingtj deux ou vingt-trois ans, comme cet autre chef-d'œuvre au reste, André del Sarte. Décou- dans un cachot où il ne tarderait pas à périr. hommes, les caprices de la fortune avaient ragé par ses premiers insuccès dramatiques, t orenzo entendait proclamer premier fait monter aux sommets lumineux. Musset déclarera dans Namouna : duc de Florence le cousin de naissance indigne, Nous sommes à Rome, en Un matin, en cette cité si magnifiquement embellie par la population s'aperçut avec stupeur que, dans e théâtre, à coup sûr, n'était pas mon affaire.. ses aïeux. la nuit, les douze statues royales qui surmon" A coup sûr ", puisque l'auteur de orenorenzino vient à Rome. Dans la cité des taient l'arc de Constantin avaient été décazaccio et des Caprices de Marianne, à'andré Césars, les premiers rêves tyrannicides se pitées. e pape, Çlément V, entra dans la del Sarte et du Chandelier n'a été que le plus lèvent dans son imagination. plus grande fureur. l ordonna que l'auteur du grand auteur dramatique du XX siècle. Tuer le pape! Un sentiment l'obsède évi- crime, et quel qu'il fût, serait pendu immédiae personnage de orenzaccio devait séduire demment, l'irritation qui gronde en son âme tement, sans autre forme de procès. t voici Musset par sa jeunesse, puisque le héros patricienne de voir des personnages de nais- qu'il se découvre que le coupable n'est autre accomplit à vingt-trois ans l'âge du poète sance louche, comme Clément V et Alexandre que orenzino de Médicis, le propre cousin quand il écrivit son drame l'acte qui entourerait son nom d'un sanglant éclat ; il devait le séduire par sa vie même, désordonnée, aventureuse et dissolue, et par le charme qui se dégageait de sa personne, par son talent littéraire aussi, talent de poète et d'écrivain. 'ST se nommait orenzo de Médias, fils de appeler Pierre-François. Sa petite taille le faisait orenzino nous dirions auren tinet ; mais orenzaccio était la forme péjorative. C'était le nom prononcé avec une nuance de mépris, désinence qui, de l'italien, a d'ailleurs passé en français : brave, bravache. orenzaccio naquit à Florence, en mars 1514, dans la maison où il devait, vingt-trois ans plus tard, assassiner le duc Alexandre. Son père se nommait Pierfrancesco de Médicis, du sang de, ce fameux aurent le Magnifique, homme d'tat et poète, dont la fastueuse activité, par la protection donnée aux lettres et aux arts, par l'organisation de fêtes somptueuses, couvrait sa patrie d'une gloire éblouissante. Aussi bien l'on sait à quelle grandeur cette famille de marchands florentins, saura parvenir, elle qui donna deux reines à la France, unies à deux de nos plus grands rois : Catherine de Médicis, qui épousa Henri, et Marie de Médicis, femme de Henri V. a branche de la famille Médicis à laquelle appartenait notre jeune patricien, était tombée dans une grande détresse. Par économie, ses parents avaient quitté Florence. 'enfant fut élevé à Cafaggiolo, dans la vallée du Mugello, qui se creuse entre Florence et Faenza et s'étend jusqu'à Bologne. l avait onze ans quand son père mourut, en août Sa mère, Marie Soderini, paraît avoir été découragée par la nature nerveuse, i impulsive, sombre et abrupte de son petit aurent. e soin de l'éduquer fut confié à un précepteur, qui le bourra de lettres latines. 'enfant passait ses journées parmi les petits pâtres et les pêcheurs et les enfants des ouvriers céramistes employés dans les faïenceries que. les Médicis avaient établies dans la région. l lisait Virgile, à l'ombre des oliviers gris et des longs peupliers, sur les bords de la Siève ; il lisait des histoires de Plutarque, dont son imagination ardente faisait de vivantes réalités. Son âme fougueuse a trouvé'son homme : Brutus. Marie Soderini écrit au précepteur de son fils : " es chausses de orenzino sont en si mauvais état que, s'il les voulait porter, elles ne pourraient lui servir, comment qu'on les rapiéçât. " orenzino se trouvait ainsi, au sortir de l'enfance, chef de l'illustre maison des Médicis et dans un état de fortune précaire et qui devait lui être d'autant plus pénible que d'autres membres de la famille, issus par leurs mères du sang le plus bas et d'une naissance douteuse, faisaient somptueuse figure 'dans le monde. Un de ses cousins, de misérable origine, était pape sous le nom de Clément V ; un autre de même naissance, Hippolyte, était cardinal, et voici qu'un troisième de ses cousins de même farine, Alexandre de Médicis, par suite de combinaisons politiques entre le pape Clément V et l'empereur CharlesQuint, était imposé comme duc, comme tyran, à la libre Florence (juin 1529). Cet Alexandre, né d'une femme de la plus basse condition originaire de Collevechio, dans la campagne romaine, et qui avait rempli dans la maison médicéenne les plus humbles emplois, devenait prince de la patrie glorieuse, de la Florence aux rouges fleurs de lis, après avoir épousé une fille de Charles-Quint. es deux derniers gonfaloniers de l'illustre république, élus par les votes et les acclamations populaires, étaient : 'un, Carducci, décapité ; l'autre, Girolami, jeté aurait pu faire obstacle à son élévation. Certain jour, l'illustre ciseleur Benvenuto Cellini travaillait au médaillon du duc Alexandre. orenzino était avec eux : Seigneur, disait l'artiste, je vous ferai une médaille bien plus belle que je n'en fis au pape Clément, et maître aurent, qui est ici, me donnera une bien belle inscription pour le revers, comme une personne savante qu'il est et de très beau génie. Je ne pense qu'à cela, répondit orenzino, et à te donner un beau revers et qui fût digne de Son xcellence... Je le ferai le plus vite que je pourrai et j'espère faire une chose qui émerveillera le monde. Ce " revers " le voici : e 6 janvier 1537, orenzino est dans ses vingt-quatre ans. Sous prétexte de plaisirs nouveaux, il est parvenu à attirer le duc Alexandre en son logis, attenant au palais ducal. Alexandre arrive en longue robe de satin clair, fourrée de zibeline, et en gants parfumés. C'était la nuit. a blanche lumière de la lune éclairait les rues de Florence, blanches de neige. Aux réjouissances des fêtes de l'piphanie, les fenêtres s'illuminaient. orenzaccio s'est assuré le concours d'un spadassin éprouvé, un nommé Scoroconcolo, qu'il a jadis sauvé de la potence et qui lui est tout dévoué. e duc est trapu, bien musclé, alerte, expert aux armes. orenzaccio s'est jeté sur lui comme un furieux ; de son épée, il l'a traversé de part en part ; mais le gaillard est robuste, il faut l'achever. orenzo lui a enfoncé dans la bouche le pouce et l'index, pour l'empêcher de crier ; Alexandre le mord jusqu'au sang, sans lui faire lâcher prise. Alors orenzaccio, assisté de Scoroconcolo, lui ouvre la gorge d'un couteau de boucher, et, par la plaie béante, il lui arrache horriblement du cou la trachée-artère. Avant de quitter le lieu de son exploit, orenzino fixa sur la poitrine du cadavre sanglant une pancarte avec ces mots : " 'amour de la patrie et la soif de la gloire triomphent. " C'était le " revers " promis au Cellini. orenzaccio et Scoroncocolo, sur leurs chevaux, ventre à terre, arrivèrent à Bologne. es républicains, bannis de Florence, y étaient en nombre. orenzino leur apparut hors de lui, palpitant d'émotion et d'orgueil, couvert de sang, de sueur et de boue, la main blessée, mais triomphant, exalté, " archiglorieux ", disent les relations du temps. l s'efforce de galvaniser les amis de cette liberté pour laquelle il a agi, mais il ne trouve que des phraseurs. C'est la partie la plus vivante, la plus dramatique peut-être, la plus vraie du beau drame de Musset : la veulerie, l'apathie, la bavardisè des amis de l'indépendance florentine, après le grand crime qui leur a ouvert les portes vers la liberté. Cosme de Médicis, le cousin exécré de orenzaccio et qui avait contribué à le ruiner, est proclamé duc de Florence, en lieu et place d'alexandre. Homme de rare énergie et de sang-froid, il consolida la tyrannie en la cité des lis rouges par des liens de fer. avoir séjourné à Constantinople, puis en A France, orenzino s'êst fixé à Venise. es PRÈS 'ASSASSNAT DU DUC D FORNC PAR ORNZACCO de Médicis, parvenir, par des voies politiques, aux plus hautes destinées ; tandis que lui, pur de tout alliage, clair représentant de la plus illustre des maisons italiennes, est réduit, par son manque de fortune, à une condition subalterne. es grandes silhouettes des héros antiques, de Brutus surtout, passent et repassent en son âme.- es historiens biographes de orenzaccio : Pierre Gauthier, en son livre admirable ; Dauphin-Meunier, en ses pages si claires, ont déjà fait remarquer qu'aux hommes de la Renaissance italienne les héros de l'antiquité étaient très proches. Dès leur jeune âge, ils s'étaient familiarisés avec leur langue si voisine de l'italien ; tout leur parlait d'eux quotidiennement : aux murailles de leurs palais, les artistes les avaient représentés en costumes pareils à ceux dont ils étaient eux-mêmes vêtus. Mais le rêve qui obsédait semblait trop lourd à orenzaccio. De jour en jour, plus nettement, se présente à sa pensée haletante l'idée d'un grand acte, terrible et sanglant, par lequel il contribuerait à délivrer l'talie des tyrans qui l'opprimaient, en harmonie avec les traditions populaires de sa famjlle et qui le vengerait, lui, le pur Médicis, des " mulets " nés dans sa maison et que les intrigues des (d'après une giavure ancienne). du Souverain Pontife. a peine capitale fut commuée en bannissement. orenzino a vingt ans. Pâle, défait, chassé par la voix grondante de tout un peuple, il quitte Rome en fugitif. Force lui est de rentrer à Florence, où il va trouver cet autre cousin et de même provenance, le duc Alexandre, dominant la ville, appuyé sur la puissance de l'empereur allemand. Alexandre se conduisit en desposte capricieux et dissolu, ne régnant que par la terreur. orenzaccio s'insinue dans son amitié, dans sa confiance, dans sa faveur ; il se fait le complice de ses débauches. C'est alors que les Florentins lui donnent ce nom à désinence flétrissante, orenzaccio ; mais la pensée de l'acte à accomplir ne le quitte pas. l y parviendra par les sentiers couverts, par les voies obliques, mais dont l'issue est certaine. Cet Alexandre de Médicis, premier duc de Florence, était d'ailleurs homme de valeur, intelligent, résolu, actif, mais sans scrupules, pourri de vices : ceux-ci le perdront. l semblait fils d'un mulâtre, avec son teint olivâtre, ses cheveux crépus, son nez aux épaisses narines : jeune comme orenzaccio, à peine plus âgé de trois ou quatre ans. l était soupçonné d'avoir empoisonné sa mère pour faire disparaître le vivant témoignage de son humble origine, qui charmes de l'amour l'y retenaient. l continue d'y conspirer pour la liberté de sa patrie. C'est le duc C sme qu'il s'agit à présent de renverser. r Cosme suit, à Venise, les faits et géstes de son cousin. l le fait observer par ses ambassadeiirsi Douze ans ont passé sur le meurtre d'alexandre, mais Cosme n'abandonné pas la- vengeance. es assassins à gages ont euxmêmes écrit le récit du guet-apens : Dans une ruelle vénitienne, le 26 février 1548, les bravi se sont jetés sur le jeune patricien. orenzaccio se défendit comme un lion, envoyant l'un des agresseurs donner de l'échiné sur le sol. es deux assaillants se nommaient Bebo et Bibbona. " Avant de me pouvoir mettre en garde, écrit Bibbona, j'attrapai trois estocades... A: la quatrième botte, je me jetai sur lui et lui envoyai quatre coups de tranchant sur la tête... l était si près de moi qu'il ne pouvait me frapper de son épée ; je l'ajustai à la jointure du poignet et lui tranchai la main, tout net, et lui assénai une blessure sur la tête, qui fut la dernière. ' orenzaccio n'avait pas trente-quatre ans. l a laissé des vers, une comédie des meilleures, un récit de son crime, des circonstances qui l'ont précédé et suivi, pages estimées des lettrés. l y a montré que, si son acte ne produisit pas pour les libertés florentines les conséquences qu'il en av/iit espérées, ce fut par suite de 1 indolence de ceux qui s^în étaient proclamés FUNCK-BRNTANO. les défenseurs.

6 ijiiihiii DMANClB-USTRÉ iiiiiiiéiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii / iiiiiiltnuuiiiiiuiiiiiiiiiiiiriiiiitiiiiiiiiiiiiiiiii g itiiiiiin m iiiiiiin m m iiim11 iiiiiiniiiinii mu 15 NOVMBR 1925 "iimum alande s'étala de tout son long, cherchant un manguier assez solide pour y enrouler sa lanière ; il l'attacha à une racine qui fut arrachée net et se sentit tiré, roulé, mais ne lâchant pas son lasso. S CONTS D'ACTON 'ÉTAON DU RÉCF D 'OURAGAN par CHARS TNNY JACKSON S juments sont à qui aura assez de cran pour les attraper, répliqua Jean Abadie, de la poupe de la barque, halée par un remorqueur, qui venait d'accoster au banc de sable, du côté de l'île Dautrive, opposé à la baie. Rojas y a renoncé. 'étalon blanc a tué son fils aîné, il y a quatre ans, et aucun homme des camps autour de la baie n'oserait aborder le récif. On le connaît, ce sauvage d'étalon! Vous voyez bien, m'sieu alande, on ne peut pas appeler ça voler, riposta Pierre, arrêtant le moteur et regardant l'étranger assis à l'arrière. Ça s'appelle voler, grogna Joe alande ; sans cela, pourquoi profiterions-nous de l'orage pour venir attraper les chevaux au lasso? n tous cas, ça ne fait rien. Une fois qu'ils seront embarqués et ramenés aux plantations du Mississipi, je vous ferai voir ce que c'est ; vous n'êtes que des Cajans, tout juste bons à lancer le filet à crevettes! e lasso, vous me faites rire! à-bas, dans l'ouest, on n'a pas encore trouvé un cheval que je n'aie pu dompter! es Cajans, incrédules, eurent un ricanement nerveux. alande, un indigène comme eux, était revenu s'engager pour la saison, dans l'équipe de haleurs de Sanchez ; peut-être s'y connaissait-il en " hroncos " indomptés, mais pour le grand étalon de Rojas..., enfin, il 'verrait bien Jui-même, ce vantard! a bête ne permettrait à aucune équipe d'aborder à l'île Dautrive. ls racontèrent à alande comment elle avait poursuivi de petits skiffs de pêche plus loin que 1 écume des brisants. Sanchez, le patron, lui avait tiré un coup de fusil, le jour où il avait été obligé de se réfugier à toute vitesse sur son lougre, laissant l'étalon tout ensanglanté briser à coups de sabots une barque abandonnée. Grand-père Roja& qui campait de l'autre côté du banc de traversant le récif, n avait jamais essayé de faire revenir les jeunes chevaux nés de son étalon ; ils vivaient de l'herbe rude des rochers et des mares d'eau de pluie. D'ailleurs, un éleveur d'huîtres n'a pas besoin de chevaux. Son fils mile en avait stupidement tenté l'élevage sur le récif ; il avait trouvé la mort sous les pieds de l'étalon. Grand-père avait ^haussé les épaules et laissé les animaux revenir à 1 état sauvage, et, cependant, comme alande avait répondu à Jean et Pierre, venus lui demander son aide pour s'emparer des plus jeunes, ils étaient bien à lui, jusqu'au plus étique des poulains. alande était venu tout de même. l allait montrer ce qu'il était' à ces marins d eau douce ; même s'ils ne pouvaient attraper et embarquer que les inoins fougueux, alande les dresserait et Pierre irait les vendre dans les plantations. n tous cas, c'était bien du vol ; alande ne se cherchait pas de mauvaises excuses, mais quelque chose d'autre l'avait conduit là : les légendes qu'on lui avait racontées surja sauvagerie de l'étalon. Vieux Rojas, je vengerai ton fils, grognat-il. dé mauvaise humeur, et il suivit Pierre, au jour choisi pour l'expédition secrète. Abadie s'était arrêté sur la piste sableuse qui (F Devant la mer immense, la nature solitaire et sauvage, est-il rien de plus émouvant que cette lutte entre un homme audacieux et un étalon jusqu'alors indompté, et qui n'a connu d'autre loi que celle de son indépendance?,j courait à travers les manguiers jusqu'au bout pour tirer sur le lasso et m'aider à suffoquer de la crête. cette brute. Bon Dieu, murmura-t-il en tendant le Découvert jusqu à la poitrine au-dessus des doigt, ses empreintes, alande, larges comme buissons battus par le vent, il riait et enroulait un baquet. h bien, j'aimerais autant défier un sa lanière. Ça, au moins, c'était un animal digne ouragan que ce tigre blanc! de lui, digne de l'homme fort qui se vantait. alande s'était avancé jusqu à la clairière e grand cheval se dressa tout d'un coup de sable, d'où les dunes allaient mourir vers la avec un hennissement semblable au rugissebaie. Déjà, la mer montait. ntre Dautrive et ment du lion. Personne n avait jamais osé la barre extérieure, d'étranges courants, sem- poser le doigt sur lui. l avait écrasé la tête blables à des coulées d huile, se tordaient en d'un homme à coups de sabots, brisé la jambe tous sens et, plus loin, l'écume s'élançait en d un autre et démoli les canots des envahisseurs. dentelures blanches, serrées, qui étincelaient l était le maître de l'île. l fonçait à travers les sur le fond sombre du sud-ouest. manguiers, se cabrant dans sa poursuite des alande riait et faisait tournoyer son lasso fugitifs, qu'il guettait comme un chat guette au-dessus des manguiers. une souris sous de légers brins de paille. Jean, je vois les juments ; elles traversent e cheval tournait vers alande ses flancs la crête derrière nous, pour se garer du vent. satinés ; de toute évidence, il n'avait pas aperçu t le voilà, votre grand étalon blanc. l'homme debout derrière lui, pendant qu'il Ses deux complices avaient reculé en ram- chassait les autres. A ce moment, pris de papant dans les broussailles, déconcertés de voir nique, alors que l'étalon débouchait près de le troupeau couper leur piste par derrière. lui, Jean Abadie tira. alande poussa un juron S'il sent 1 homme, murmura Jean, il ne et dégringola la pente pour les rattraper. 11 pourra plus se calmer. Tuez-le, alande! savait qu il aurait besoin de leur aide pour attraper le cheval au lasso : celui-là, ça n'était * * Ht pas un bourrin étique de la frontière du Texas. l aperçut alors les deux fuyards qui se dissi'étaon avait traversé la trace des aventu- mulaient à la lisière des manguiers et cherriers ; il changea de direction, s'engagea chaiént à gagner le bateau. lis n'y arriveraient dans les fourrés et gagna la crête à une qua- jamais. Dès qu ils seraient à découvert sur la rantaine de mètres d'eux. alande pou vajt voir sa plage, l'étalon les rejoindrait avant qu'ils silhouette se profiler sur le ciel noir. C'était n aient pu parcourir la moitié du chemin, dans une brute formidable, dépassant tous les autres cette vase marécageuse, à moins évidemment de sa tête élevée, la crinière hérissée, flottant qu'ils n'arrivent à le tuer. dans le vent, le cou tendu à faire saillir sous a bête les voyait maintenant et elle se la robe de satin les muscles puissants. l était détourna, dans sa ruée folle, vers l'homme le méfiant et se dressait comme un défi à Ja tem- plus proche qui courait dans le sable. alande pête, mais parcourait attentivement des yeux fit tournoyer son lasso et, lorsqu'il entendit le les buissons, comme un tigre flairant sa sifflement dans l'air, il éclata de rire, parce proie. qu'il savait que le coup serait bon. alande jeta un coup d'oeil derrière lui ; ses h bien! démon, à nous deux! camarades s étaient esquivés sous les manguiers. l s'étala de tout son long, cherchant un C'étaient des hommes braves et endurcis, mais le manguier assez solide pour y enrouler sa renom maudit de l'étalon de l'île Dautrive sem- lanière ; il l'attacha à une racine qui fut arrachée blait leur couper les jambes. e cheval avançait net et se sentit tiré, roulé, cahoté dans le sable, lentement le long de la crête, écrasant les buis- mais ne lâchant pas son lasso. l aurait aussi sons et jetant, de droite et de gauche, des regards bien pu essayer de ficeler une torpille. e vigilants. Ses naseaux roses frémissaient et il cheval arrivait maintenant sur la plage, se balayait les bouffées de vent dt sa longue queue cabrant, faisant des sauts de mouton, mais gris-fer, l'œil toujours fixé sur les fugitifs qui patau Tas de lâches, ils vont tirer, murmura geaient dans 1 eau : Jean dénouant les amarres alande. S'il les dépiste, ils vont tirer. par saccades et Pierre éloignant à la perche t, s'avançant en découvert, il s'écria : le remorqueur des herbes du marais. étalon Arrivez, les voleurs, et ne vous occupez' continuait à galoper, l'encolure coupée par la pas des poulains ; je vais avoir besoin de vous courroie de cuir, mais ils ne pouvaient pas s'en apercevoir, dans le bouillonnement d'écume que la bête soulevait dans sa course. Joe alande gisait étendu sur le dos, étendu dans les hautes herbes, meurtri et étourdi par sa course au bout de la lanière, et il resta quelques minutes sans pouvoir bouger. 'étalon devait continuer à charger les haleurs sur le rivage, les poursuivant de son implacable furie. Puis, alande entendit les premiers bourdonnements du moteur qu'ils mettaient en marche. ls partaient, alors, ils l'abandonnaient? ls devaient le croire tué une belle fin pour un farceur qui avait préféré combattre l'étalon que voler les juments. Allongé dans l'herbe, il prêtait l'oreille, sans rancune.' Toute l'étendue de la baie, vers le nord, était tachetée de houles blanches, s'élevant entre les fonds d'eau huileuse, signe avant-coureur des marées rampantes qui couvrent les rivages du golfe, avant le déchaînement des ouragans. alande se souvenait assez de sa jeunesse passée au milieu des habitants de l'île, pour se rendre compte que Pierre avait eu raison : on avait attendu trop longtemps cette semaine de tempête, pours'emparer des chevaux sauvages de Rojas. * * * commença à ramper, guidé par les se- cousses du lasso. Au-dessus des ondulations des herbes, il aperçut, dans les bas-fonds, l'étalon qui se débattait, comme pris de folie, contre cette étreinte inconnue, étouffante, qui lui enserrait le cou. e cheval se retourna, remonta la pente à fond de train et alande eut à peine le temps de s'allonger sur le lasso avant d'être à nouveau entraîné. Mais, lorsque l'étalon reprit sa course à travers les buissons, nulle force au monde n'eût pu le retenir. alande sentit ses doigts' se rompre dans un enchevêtrement de lanière et de racines et sa tête, sous les averses de sable soulevées par les sabots de la bête, martela le sol. alande se remit sur ses pieds peu après, en titubant, essuya ses yeux et suivit la piste de branchages brisés qui dépassait la crête de sable. l s avança avec prudence sur la piste foulée par les sabots. Son lasso devait traîner quelque part sous les manguiers et l'étalon risquait de s'étouffer, car aucune force au monde ne peut résister à la privation d'air. C'est alors que alande aperçut les juments, blotties dans un creux des dunes, entourées des poulains inquiets, en désordre, leur robe velue agitée par la tourmente. e vent hululait, haut et loin, encore supportable sur le récif, mais frappant la mer en rafales obliques, comme si le ciel s'était entr'ouvert pour déverser une pluie de flèches. a tornade était très loin, peut-être à 150 kilomètres, mais elle fonçait du golfe à une allure folle. a plage, bordant les pentes rugueuses, se couvrait de brisants noirâtres qui déferlaient de la ligne d'écume. C est là que alande aperçût, ce qu'il cherchait : une masse blanche gisait dans les clapotis de l'eau. l poussa un cri et se précipita :

7 lillllmii 15 NOVMBR 1925 iiiiiiiiiiiiitiiiiniiimniiii:iiiniiiiitiiiintiiiitiimiiiiiiiiiiiiiiiiniitiiiiiniiiiii le cheval était à terre. 'homme n'aurait jamais pensé que cela arriverait si vite ; mais 1 extrémité de la courroie qui traînait sur le sol s était accrochée à une butte de sable, et la bête avait continué à charger et à lutter jusqu'à ce qu elle finisse par tomber dans les premières vagues. S'avançant rapidement vers la bête allongée, il s'agenouilla pour caresser les naseaux dilatés qui frémissaient. es yeux clos bougeaient sous le voile des paupières ; les flancs énormes pantelaient. 'étalon poussa un grondement sourd et prolongé, comme si son cœur puissant venait de se rompre, dans un dernier,-:anglot, contre cette étreinte mystérieuse qui avait étouffé sa force. h! soldat, chuchota alande, s'allongeant de tout son long sur l'encolure du cheval. Une crainte subite l'avait envahi. Peut-être la bête était-elle morte? l n'avait pas voulu cela. l rayonnait d'une joie exultante d'avoir chassé et dompté seul ce sauvage, et se dressait dans un éclat de rire au-dessus du grand corps tremblant, allongé dans les premières rides de la marée. Viens, garçon! a lutte n'est pas terminée, nous n'en sommes encore qu'au commencement. * l se tordait les doigts sur la corde tendue à se rompre, essayant de défaire le nœud avec un morceau de bois ramassé à la dérive et finit par desserrer le lien petit à petit. a lanière était enfoncée profondément dans la peau blanche. l travaillait fiévreusement, craignant d'être arrivé trop tard. Allons, allons, ça ne sumt pas comme cela, souftlî-t-il à l'oreille dressée de l'étalon. e cheval, secoué d'un tremblement puissant, convulsif, poussa un soupir semblable à une explosion, puis se calma. l aspirait par longues et vivifiantes bouffées, et ses yeux éteints s'ouvraient lentement. alande continuait à lui caresser les naseaux, tandis qu'il défaisait le nœud coulant et en faisait une épissure qui n'allait pas risquer de l'étouffer à nouveau. l ne savait pas trop pourquoi il faisait cela, mais ça lui semblait juste, et il fixait les yeux de la bête, dont le regard brillait maintenant du retour à la vie. alande se redressa et regarda de son haut l'étalon blanc. Debout! cria-t-il. a mer arrive. Ce n est pas un endroit où s'attarder. ève-toi, camarade! C'est ce que fit le grand cheval. D'abord, il s'agenouilla, la croupe battue par l'eau, tandis qu'il regardait lentement autour de lui. Puis, il se dressa sur ses quatre pattes, fouettant de sa queue ses flancs pantelants. l semblait guetter ce mur d'eau qui arrivait du golfe, mais d'un air calme, toujours indompté. es sables paraissaient trembler sous l'écume bondissante et on pouvait à peine apercevoir, à une centaine de mètres, les manguiers des dunes. alande détourna rapidement les yeux de la crête à un bruit soudain : un cri avait percé le tumulte environnant. l fit un bon de côté et crut que le vent venait de le soulever de la terre mouvante : le grand étalon était sur lui, cabré au-dessus de sa tête ; un sabot velu lui passa à un pouce du crâne ; il vit dans un éclair deux yeux rouges, sauvages, et les sabots retombèrent presque sur ses propres pieds. alande prit sa course, âidé par le vent qui le poussait dans le dos; il pouvait entendre derrière lui la charge du cheval, dont la lanière emmêlée ralentit l'élan, juste assez pour donner à l'homme le temps de s'aplatir sous les premiers manguiers et d'y ramper dans un tourbillon de sable. nait, lui servait en même temps de guide. es lueurs faibles de la tempête s'évanouirent et il sentit l'eau découvrir ses épaules et baisser jusqu'à sa poitrine. l était arrivé au plus haut de la crête ouest et, là, les mains liées au plus solide des manguiers, il ne lui restait plus qu'à laisser la mer bouillonner autour de lui, aussi longtemps que sa force pourrait le soutenir et puis, lâcher. Plus rien à voir, plus rien à sentir que quelques buissons submergés et le sol, qui s'émiettait peu à peu et le forçait à remuer les pieds sans arrêt pour éviter que chacun d'eux ne devint le centre d'un tourbillon. alande se serra plus étroitement contre les buissons et étendit la main dans l'obscurité. l toucha une surface humide, chaude, légèrement pantelante : la peau de la bête. l caressa la crinière dans l'eau tourbillonnante ; la masse se dressait comme un mur d'acier contre le flot montant, qui arrivait maintenant aux épaules de l'homme. ls étaient sur le point le plus haut, mais en avant s'étendait la passe de sable. a mer rongeait leur refuge ; ce qui en restait sombrait peu à peu, balayé vers l'intérieur des terres par les courants qui se heurtaient tout autour d; Dautrive. 'île ne serait bientôt plus que des débris d'alluvions, remontant, pendant des lieues et des heues,!e delta du Mississipi.pouralleréchouer sur quelque plantation de canne à sucre. Pour défendre la dernière parcelle de son domaine, le seigneur de Dautrive se débattait sur la dernière-butte où il avait pied. a mer, déchaînée, avait réussi à faire ce qu'aucun homme n'avait pu faire et alande se prit à rire dans la nuit. 'étalon ne pouvait sentir son léger contact dans tout ce bouillonnement de sable et de débris qui s'épaississait autour de lui. 'homme reposa son bras sur la croupe invisible la bête penserait que c'était un branchage à la dérive. l avança d'un pas ; il n'y avait plus d'autre endroit où poser le pied, lui sembiait-il maintenant ; d allongea la main sur l'épaule du cheval, jusqu'à toucher la rude crinière mouillée, et caressa les muscles saillants : On s'en va tous les deux, fit-il, dan:? un éclat de rire. es manguiers arrachés tournoyaient autour d'eux et voguaient à la dérive. h! camarade, c est la dernière.. l n'acheva pas ; l'étalon s'était retourné et se cambrait dans la nuit avec un hennissement de fureur. alande bondit de côté dans l'eau profonde qui le recouvrit. e bond de l'animal l'avait une fois de plus manqué de bien peu ; un autre corps le heurta et fut ensuite rejeté dans la houle des courants. l s'était cogné à un autre cheval dans l'obscurité et comprit que tout le troupeau s'était réfugié là, protégé, jusqu à la dernière minute, par le bouclier de l'énorme masse contre la mer inexorable. ls étaient tous entraînés maintenant. l n'y avait plus sur Dautrive un pouce de terre ferme ni pour les exilés, ni pour l'homme qui était venu afin de les dompter. alande savait qu'à aucun prix il ne devait se husser emporter par 7 imiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiiimiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii la marée d'ouragan ; la mort, là-bas, rôdait partout. l résistait de toutes ses forces et cherchait à nager vers les buissons de manguiers pour y retrouver un appui, à travers un tourbillon de sable mouvant. Mais la poitrine de l'homme ne pouvait lutter avec ces vagues qui le roulaient dans la nuit ; il était peu à peu attiré en arrière, dans un enchevêtrement de débris écumants, lorsqu'il sentit autour des jambes une étreinte soudaine, comme l'enroulement d'un fouet. l fut happé sous l'eau, de l'autre côte du courant, et parvint à plonger pour saisir cette chose qui l'avait vaincu. C était son lasso, la solide lanière neuve qu'il avait apportée pour conquérir l'étalon blanc, craint des hommes des îles. alande donna un coup de talon et nagea le long de la corde qui se tendait au travers du courant. orsqu'il sortit la tête de l'eau, il vit qu'il était loin du promontoire de sable qui finissait de s'émietter ; les brisants, dans la passe, se ruaient sur lui et écume lui piquait le visage comme d'un aiguillon, mais il avançait. Un guide invisible, un formidable pouvoir faisaient dériver les brisants intérieurs, mais alande continuait à haler le long de!a lanière, jusqu'à ce qu i! put entendre le bruit rythmique de la lutte de l'étalon, et toucher son flanc. Quand il arriva à mettre la main sur la longue crinière, alande éclata de rire ; il s'y accrocha et sentit la bête plonger à son contact. Une fois, deux fois, puis le cheval reprit sa lutte contre les flots. e seigneur de Dautrive ne pouvait ni le désarçonner, ni l'attaquer de la dent ou du sabot. l lui fallait se laisser monter dans la nuit, à travers les vagues. alande commença à crier, incapable de résister à cette joie de défier l'étalon. De nouveau, la fcête, furieuse, se cabra et dressa sa masse énorme. D un coup de tête de côté, elle essaya de mordre la figure de alande, qui chancela sous cette attaque forcenée et se sentit précipité dans les remous. entendit une fois de plus le claironnement de la bête qui le cherchait, tandis qu'il revenait en nageant vers le tronc du chêne et s accrochait au lasso, cherchant à deviner, dans l'obscurité, la silhouette massive de l'animal. es vagues, battant les chênes tordus, paraissaient ralentir leur élan et les hululements de la tempête se faisaient plus lointains. 'étreinte qui collait à l'arbre le corps de l'homme se desserra. l sembla à alande que la mer avait cessé sa course et qu'il se tenait maintenant au centre d'une nappe d'écume. l comprit ce que cela signifiait : c'était la période inévitable dans les ouragans du golfe, lorsque le vent meurt et va changer de direction. a revanche! murmura l'homme ; c'est le plus mauvais moment à passer, quand la marée reflue vers la mer. Que le bon Dieu les protège, tous ces Cajans qui n'ont pas trouvé de refuge dans la baie. a revanche! c'est maintenant qu'ils vont mourir l tâta le tronc du chêne, craignant qu'il A * * P NDANT une demi-heure, il resta immobile ; la bête avait perdu sa piste. l rampa alors jusqu'au haut desdunes, mais neputarriver ^ s; tenir sur ses jambes. Du côté de l'ouragan, la mer avait monté et tout l'horizon était blanc ; le vent n'était plus du vent, mais quelque chose qui lui broyait la tête et lui brûlait les poumons. Quand il essaya de s'en retourner, une rafale le jeta à terre, la tête la première ; mais il parvint, une fois à l'abri, derrière la crête, à se relever et à s'avancer péniblement. e sable fondait sous ses pas et il pouvait maintenant voir l'eau de la baie couler près de lui. es marais avaient disparu sous les vagues ; l'ouragan arrivait et, à cent kilomètres à l'intérieur des terres, le flot allait déferler sur les forêts de cyprès et sur les digues qui protègent les plantations. alande ne se faisait aucune illusion sur le sort réservé à l'île Dautrive ; il avait habité la côte étant enfant. l s'accrochait aux buissons quand la bourrasque resserrait sa griffe. e tumulte était si uniforme que l'on aurait dit un grand silence ; comme si un nouvel élément l'avait enveloppé, l'homme avançait avec calme, dans cette tension incessante de ses sensations, fort, ignorant la surprise ou la peur. se dirigeait vers le dernier coin de terre ferme de ce récif, qui s'imbibait d'eau derrière ses pas. l ne pouvait pas se tromper de direction, c'était tout ce qui restait de l'île et l'ouragan qui l'emprison- e vieillard, dans l'eau jusqu'aux, épaules, quilla le radeau, où maintenant les enfants s'étaient assis, engourdis par le froid. l suivit Vamarre jusqu'à l'endroit où elle trempait dans l eau, près du chîm. DMANCH-USTRÉ n ait été déracine. 'étalon blanc devait se trouver juste près des branches déchiquetées, car alande tenait toujours la lanière traînante. C'est alors que se produisit quelque chose qui l'engourdit d'une terreur mystérieuse : une voix dans la nuit, un cri d'enfant, là, dans les arbres. a revanche, grand-père! elle arrive ; accroche les amarres de l'autre côté, grandpère!... alande plongea vers l'endroit d'où était venu le cri. Par Dieu! st-ce possible? Rojas! Cahoté par les débris d'arbres et de cahutes qui frappaient sa poitrine, il s'écria de toutes ses forces : Rojas, vous êtes dans la chênaie? Une faible lumière brilla derrière umf: couverture. Un des garçonnets avait profité d'une accalmie pour allumer une lanterne. A l'arrivée de alande, pataugeant dans l'eau, un vieillard se leva sur un radeau à moitié coulé où, sous des couvertures, on devinait, solidement attachées, les silhouettes des orphelins, des enfants de celui qui avait cherché, autrefois, à dompter l'étalon blanc de l'île Dautrive. e vieux Rojas tenait la lanterne à hauteur de sa barbe blanche et semblait aussi effrayé de l'apparition de l'étranger que l'avait été le jeune garçon. Rojas avait essayé de réparer avec un madrier de traverse son radeau brisé ; le lougre avait été mis en pièces au premier choc de 1 ouragan, et le vieillard avait dû démolir les lattes du plancher de sa baraque, pour bâtir ce refuge qu il avait amarré au plus solide des chênes. ls savaient ce qu'ils avaient à faire, ces Cajans des récifs, lorsqu'ils étaient pris dans une marée d'ouragan : abattre le mât des bateaux, entraînés à la dérive vers l'intérieur, et trouver un point où jeter l'ancre, avant que la terrible revanche ne reflue vers la mer ; sinon, s'accrocher aux chênes. alande ne gaspilla pas en questions oiseuses un temps précieux. Vous vous êtes bien battu, vieux! Je vois que vous vous êtes bien battu. Passez-moi les cordages. l va falloir tourner et s'amarrer à un arbre. a mer, lorsqu'elle a à reculer après une défaite, c'est un tigre enragé. Venez! l s'empara des amarres et plongea dans l'écume jusqu'à la poitrine. C'est une journée de miracles, marmotta le vieillard. Un homme en vie sur le récif. Un homme solide, fort, après la tempête. C'est impossible! continua à consolider le radeau qui s'éle- vait et replongeait près de ses épaules, se fai sant attacher plus solidement aux amarre* qui les retenaient tous aux planches branlantes. l n'y eut pas un murmure de la part des enfants ; ils écarquillaient leurs grands yeux noirs, de grand-père à cet homme étrange, qui se débattait dans les premiers reflux de l'eau vers la mer, pour les protéger contre la revanche. Dans la nuit, le vent soufflait à nouveau, vers le nord, bourrasque sur bourrasque, toujours plus vite, fouettant les vagues qui s'abattaient comme l'éclair sur les récifs de l'île. a faible lumière s'éteignit. es fugitifs s'attachèrent plus solidement. Si les amarres usées ne cédaient pas, si les planches du radeau pouvaient tenir ensemble, ils pourraient vivre. Dieu de Dieu! grogna le vieillard. Un homme sortir de la mer pour venir à nous! Sans lui, mes enfants... enfin, ayons confiance! alande avait recommencé à lutter contrecette nouvelle saute du vent, tirant les amarres râpées et rapiécées. l les attacha à sa lanière neuve," maintenant, il fallait aller n'importe comment la détacher du cou de l'étalon pour la fixer au gros chêne. e démon blanc est là, tranquille, grogna-t-il ; si seulement, il pouvait me laisser enlever la corde de ses épaules et l'attacher à l'arbre. 11 offrit sa poitrine au choc des lourdes vagues qui submergeaient l'île, tâtant de la main dans l'obscurité : Démon! appela-t-il doucement. C'est pour les petits d'mile Rojas. a corde, démon! Nous nous sommes battus tous les deux, mais maintenant, il me la faut. alande sentit son lasso plonger ; il était trop tard pour essayer de l'arrimer à un arbre. e cheval l'avait gardé et la courroie de cuir commençait à filer doucement entre les mains de l'homme. C'est la revanche qui portait tout maintenant, radeau, homme et le démon blanc, qui restait leur seule ancre. alande s'accrocha d'un bras au chêne et, de l'autre, essaya d'attirer la lanière, aidé par le poids mort du radeau. e cheval, bondissant, se cabrant, tantôt touchant terre, tantôt s'élevant au-dessus des flots, était entraîné vers l'homme. alande recommença à l'appeler, pris d'une intense pitié pour l'étalon ; il y avait des choses que son cœur endurci ne pouvait supporter. t, cependant, le (ire l<i jutte, page 14, ie colonne.)

8 DMANCH-USTR iiiiihui"iiiiaiini«mmiuiiwiiihiiiu«iiiiiiiiiii«iiimiiu»«iihiiiiiiiiiiiiiii g P Ç) \J <iiti>imtiuiii>itiuilu>itliii>liliitiiiiillliiliiiiiiiiitiitiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii< iitlilil JT^ 33$ in-p AR,. riainte^ahini ST TRC3P A-H- Y '.J. N: PUX, Ry^ U i N VoUChR^ A, PRt>KT!<?^U-.-BONVu H- PARTl Pft?"T-PM M'AÎ> PAT D-> COl/R 3>.TV A4? T._r>iN V ^AÇ.VA RTROUVR. T> tamarap-} D C-U> -T MAN., TcJ N TRÊR Jl/OT u QU JO1. J N'H. RvTNb "PAb! CUA Pu CuUi> N VOuPRtfNT JAMAS ;.; CROR <?V^l/iy u M'A -At^t ^Ctnil? P^ ^ wtiope.- Jj >T- X 0 H...».\v VCMA C>M N MA VlNeiVOC JUOT )T A A CAMPAGN'.! NON! yr A A CAMPA^, th &$ OK PlRAlT <?V'i 'A FAT xprè^j.just ^OUB. V.V.V.;.T/.\V Mil THV. <?'û vavtu, AJUST S?9 ^PA A ^ CONCiê. T NOU^ MMNN PRuMCHAPt- /"PiT«> APRÈ> (-A QU- A PcuR UN J >uj.y f; Tu'JOiyR: AVC? r - ^ ~ - vi^rîsl MAt^> A fô\b (?c/ A-.AT^up&!y p -r,oh JfRA A MA-i^^,, MAN et JOJ^^^^J M0( MÉ -AVS^ ^R,,4 PA} CAMARAP PocR ^djcjur AVC Mcîl i J Al D5 NVt» P'AMOM-> > wmr. <?UÇU UN! V/ Copyright par Dimanche-llustré. Chicago Tribune. lt- HÉ j3lcot.'vux / J3COT A P A CHAMCfi] 1 COND. C Qiy MOl cju, eh[) UN rua.-t f/i^gutt J pè-'r., -> VAi> COMMNCR); PAR ui -ptonn-r TON "g>u H H CORRC- -fa M S<XM-, 1,RA U> NRFS.!' g

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10 DMANCH-USTRÉ (iiiiiiiiiiiiiiiiihiiiiiiiiimiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiuiiimiiiin 10 iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiismiiiiiiiiniiiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiii"ii»«i»ia<»i"»i"'ii 15 NOVMBR 1925 niimnii 1 J VOUDRAS BN SAVOR... Quand furent créés les bons du Trésor? iiiiaiitiiiiiiiiiiiiiiuiiiiiiiitiiiiiitiiiiiiiiiiiiuiiiiiii>tiiiifiiiiifiiiiiiiiiitiitiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiitiiiiiimi«iiiiiiimiiiiiuiiiiniiiiiitiiiiiiiii5 A d'abord bons royaux, ces bons furent créés par la loi des finances du 4 août 1824, portant fixation du budget pour l'année 'article 6 de cette loi autorisait le ministre des Finances à créer, pour le service de la Trésorerie et ses négociations avec la Banque de France, des bons portant intérêt et payables à échéance fixe. D'abord limitée à un maximum de 140 millions par la loi de 1824, l'émission de ces bons fut portée à 200 millions en 1831 et à 250 millions l'année suivante. Après la révolution de 1848, les bons du Trésor s'élevaient à une somme de 275 millions, lorsque le gouvernement provisoire, pour remédier à des embarras de trésorerie, dut en proroger l'échéance à six mois au delà de la date normale. Mais cet incident n'entrava pas l'essor de ces bons, qui continuèrent à être très recherchés en Bourse... et à être émis, en des proportions de plus en plus considérables, par l'état. PPÉS * * * D'où vient la forme de nos lettres majuscules? a reçu des formes différentes selon le goût ou le génie des nations qui l'ont pratiquée. 'habileté ou l'ignorance' des écrivains ont aussi introduit des variétés infinies dans la figure des lettres. S'il faut en croire quelques savants, les lettres majuscules, dont nous nous servons, tiennent leur forme des choses usuelles : on en composa des hiéroglyphes, et on les fit entrer comme partie constituante des mots, selon l'analogie qui se trouvait entre le mot et l'objet. e besoin d'eau a fait sentir la nécessité des puits : il fallait des machines, des crochets, etc. ; et il y a apparence que les lettres sont des imitations de ces machines. a lettre A est composée de deux montants et d'une barre qui, avant l'invention des poulies, était utile pour les cordes; D était un demi'écrtur UN BOTANST DSTNGUÉ Un botaniste distingué, l'abbé Hamon, a composé un opuscule dans lequel il expose sa méthode. l y prouve que de simples tisanes sont capables de guérir les maladies dites incurables : diabète, abuminurie, cœur, reins, foie, vessie, rhumatismes, hémorroïdes, entérite, nerfs, estomac, artériosclérose, tuberculose, anémie, etc... nvoi gratis et franco de cet opuscule. aboratoires botaniques (dép' Ao), boulevard de Sébastopol, 89, Paris (2"). (Métro : Réaumur.) 1 Apprenezsurplaeeouparcorrespondance/o1 Cette rubrique est ouverte à tous nos lecteurs. lle leur permettra de se tenir en contact constant avec leur journal, qui les renseignera volontiers sur tous les faits d'un intérêt général et d'ordre documentaire ou pratique. f 1?iiti:iiaititiiiiiiiiiifiiiiiiMiiiii:fiiiiiiiitiiiiiiiiiiii«iiiiitiiiiiiiiixittiiifiiiiiitiiii(itïtitiiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiifiiiiisiiiiiiiiiiiiaitiiiitiiiiiiîr anneau ; B, un double demi-anneau applicable à deux cordes ; O était un anneau complet ; C, G, S, J, des crochets ;, un râteau ; -T, un marteau ; M, N, V, X, Y, des profils de hamacs et de vases pour abreuver les bestiaux ; H, un siège ; F, une potence ;, un bâton, etc. On croit que le lambda des Grecs et le lamed hébraïque sont : le premier, les deux montants d'une chèvre de charpentier, et le second, un treuil avec sa manivelle. 'origine de ces lettres initiales est regardée comme une fable par quelques écrivains ; mais elle est accréditée par plusieurs autres ; et tous les auteurs conviennent que la première écriture a dû être en images. * * * Quels sont les points les plus froids ou les plus chauds du globe terrestre? point le plus froid de la terre ne coïncide pas avec le pôle, probablement à cause de l'influence régulatrice de la mer. C'est au centre des continents que les températures les plus basses ont été enregistrées. C'est ainsi que la température descend, en hiver, à 33 au fort Churchill, près de la mer d'hudson ; à 43 à akoust, en Sibérie. C'est dans ce dernier pays, aux environs de Verkhoïansk, que l'on a enregistré le plus grand froid, soit 53 degrés centigrades et même, exceptionnellement, 70 degrés. n ce qui concerne les points les plus chauds, il est plus intéressant de considérer les températures moyennes estivales. Ces températures sont les plus élevées à la lisière maritime des régions tropicales. Ainsi, on observe une moyenne de 33 centigrades à Mascaté, de 35 centigrades à Bagdad. Sous l'équateur même, la température est moins élevée, mais, en revanche, elle est plus égale. A Cayenne, la température moyenne d'hiver est de 25 centigrades ; celle d'été, 26 centigrades. Si les enfants peuvent se marier sans le consentement de leurs parents? avec les pièces trouées, Xvai avaient déjà cours dans un grand nombre de pays, comme les sapèques de Chine. Pour lés pièces pleines, la différence sensible au toucher pouvait être établie avec des pans. Monnaie à pans et monnaie percée furent adoptées. 'administration monétaire réalisa avec le trou une économie sensible de métal : un million de francs pour la première frappe. A * * Comment préserver les abeilles des ruchers contre les rigueurs de l'hiver? moyen le plus efficace pour soustraire les abeilles aux dangers qui les menacent ~* pendant la saison rigoureuse, est celui de l'enfouissement hibernal. Très probablement inventé en Allemagne, où il était très répandu à la fin du XVe siècle, ce système fut expérimenté en France en l était complètement tombé dans l'oubli, quand il fut mis en pratique, vers 1845, aux tatsunis. n 1858, la Société d'mulation du département de l'ain recommanda ce moyen, qui consiste à déposer, au fond d'une tranchée, les ruches préalablement entourées de paille, et à les recouvrir de planches, sur lesquelles on répand, en la foulant, la terre tirée de l'excavation. STNO-DACTTO COMMNT VA VOTR DGSTON? S UVANT O O Nestlé Comment on peut coller le celluloïd? la constitution des parties à coller, on peut procéder de deux façons, basées cependant toutes les deux sur les propriétés de l'acétone. orsque, par exemple, on désire réparer ou confectionner des bacs en celluloïd pour piles ou accumulateurs, on se trouve en présence de planches de celluloïd. Si celles-ci ont au moins 2 millimètres d'épaisseur, on peut se servir d'acétone pure, qu'il suffit d'étaler, avec un pinceau, sur les parties à coller. 'acétone dissolvant le celluloïd, on produit ainsi une véritable soudure. l faut aussi opérer loin de toute flamme, car les vapeurs d'acétone sont très lourdes et pourquelle est la composition de la Chambre raient s'enflammer brusquement. Pour coller des députés actuelle et la répartition de petits morceaux, on fait dissoudre des fragments de celluloïd dans l'acétone, ce qui des différents partis? épaissit le liquide qui fera joint, tout en collant N sait que, si la précédente législature, fortement. celle de , comptait 626 dépu* A A tés, la treizième législature, qui siège depuis les élections du 11 mai 1924, n'en compte que 584 et même 582, deux dépu- D'où vient l'expression " à brûle-pourtés, M. Petitier (Meurthe-et-Moselle) et point "? M. gnace (Paris), décédés, n'ayant pas été N disait, autrefois, au propre : " tuer remplacés. quelqu'un à brûle-pourpoint ", lorsdans le vaste hémicycle que forme la salle qu'on le tuait à bout portant, c'est-àdes séances du Palais-Bourbon, nos députés se répartissent par groupes de la façon sui- dire que l'extrémité du canon du pistolet était vante, de l'extrême gauche à l'extrême droite, si près du pourpoint que celui-ci, lorsque le en passant par la gauche, le centre et la droite : coup partait, était brûlé par la décharge de Communistes, 26 ; socialistes S. F..O., 105; poudre. Puis, c«j te expression technique est deverépublicains socialistes et socialistes français, 44 ; radicaux et radicaux socialistes, 140 ; nue une image, et. questionner quelqu'un gauche radicale, 40 ; gauche républicaine à brûle-pourpoint " voulait dire que, les démocratique, 43 ; républicains de gauche, 37 ; yeux dans les yeux et de si près que 1 on toudémocrates (pour la plupart de Bretagne et chait presque son pourpoint, on lui posait une d'alsace-orraine), 14; entente républicaine question si impérative et si embarrassante démocratique, 103 ; non inscrits (la plupart qu'il ne pouvait l'esquiver et se dérober. Depuis, l'expression a perdu beaucoup de sa vigueur, et conservateurs), 30. poser une demande à brûle-pourpoint signifie simplement, de nos jours : soudain, brusquement. fils qui n'a pas atteint l'âge de vingtcinq ans accomplis, la fille qui n'a pas atteint l'âge de vingt et un ans accomplis, ne peuvent contracter mariage sans le consenétabli JAMT-BUFFRAU tement de leurs père et mère. n cas de dis96, Rue do Rivoli. PARS Programme Gratuit sentiment entre le père et la mère, le consen H. C. Seine N i tement du père suffit (art. 148 du Code civil). es enfants de famille ayant atteint leur majorité (fixée par l'article 148 ci-dessus) sont cependant tenus, avant de contracter mariage, de demander par un acte respectueux et formel le conseil de leurs père et mère, ou celui de leurs aïeuls et aïeules lorsque leur père et leur mère sont décédés ou dans Ce qu'est le cas de légitime défense? l'impossibilité de fixer leur volonté (loi du Vous avez peut-être la langue chargée; vous résulte de l'article 328 du Code pénal, qui souffrez de brûlures, renvois acides, de flatu20 juin 1896). Mais, à défaut de consentement s'exprime ainsi : " l n'y a ni crime, ni délit lences ou de bâillements. Tous ces malaises sur l'acte respectueux ainsi notifié, un mois sont presque toujours dus à un excès d'acidité lorsque l'homicide, les blessures et les coups après l'envoi de cet acte, les enfants pourront stomacale. Une demi - cuillerée à café de étaient commandés par la nécessité actuelle de Magnésie Bismurée dans un peu d'eau après passer outre et contracter mariage (art. 152). les repas neutralise en cinq minutes eette Cet acte respectueux sera notifié par deux légitime défense de soi-même ou d'autrui. " acidité et permet une digestion saine et norsont compris dans les cas de nécessité notaires ou par un notaire et deux témoins, et, male Satisfaction garantie ou argent remboursé. xigez la Magnésie Bismurée (marque dans le procès-verbal qui en sera dressé, il sera actuelle de défense, les deux cas suivants : déposée). Dans toutes les pharmacies, en fait mention de la réponse des parents (art. 154). 1 si l'homicide a été commis, si les blessures pondre ou en cachets. ont été faites, ou si les coups ont été portés en repoussant, pendant la nuit, l'escalade ou ife ife 4o l'effraction des clôtures, murs ou entrée d'une De quand date l'emploi de la monnaie maison ou d'un.appartement habité ou de leurs farine lactée de nickel et pourquoi elle est trouée? dépendances ; 2 si le fait a eu lieu en se défendant contre les auteurs de vols ou de pillages exécutés avec violence (art. 329). N exposé sur les monnaies de nickel fut à base de bon lait suisse a légitime défense est essentiellement le présenté à la Chambre des députés le aliment idéal des en/aols! Brochure "Soins adonna 21 juillet 1887, et l'on frappa, à cette droit de mettre un agresseur hors d'état de aux nfant*" et éc liant époque, des pièces trouées pour la Cochin- nuire, sans égard aux conséquences qui peuvent env gratuitement Nestlé, %v portilis, Parla 8chine et le Tonkm. lles s'inspiraient de celles en résulter pour ce dernier. Selon ces conséquences et le caractère des poursuites, le juge qui circulaient en Belgique et au Congo. Quelques nations nous avaient, en effet, d'instruction rend une ordonnance de nonprécédés dans cette voie. Dès 1860, les tats- lieu, le tribunal prononce l'acquittement, ou u clieiche de Mine personnes voulant tricoter chez Unis avaient adopté la monnaie de billon en le jury déclare la non-culpabilité. tjjes. Viaclune fera Jivrèe. Apprentissage gratuit. alliage de cuivre et de nickel. 'exemple des Demandez Notice à G. MARTN Américains ne tarda pas. à être suivi par les S, fceiru-r»'<- '" il STKASBOUHG Belges, les Allemands et les Serbes. C'est l'exploitation des gisements de nickel Si c'est la tension du courant électrique de la Nouvelle-Calédonie qui donna l'idée ou son intensité qui est dangereuse? de remplacer les sous de cuivre par des pièces serait facile de répondre en disant que, d'un meilleur aspect, de format plus réduit et si c'est le courant qui tue, c'est la tension par conséquent moins lourdes et plus portatives. qui provoque le courant et qui, par consémrvux ft'c0nst1pëc On objecta que ces pièces, à cause de leur quent, est la cause de tout le mal. est cer (R. C. Pontoise5448). 3 fr. l'étui dans les 'a'-: couleur, pouvaient être confondues avec la eliei FOUOM et C". Ph><" à ntlontfsdrjc-ct-oisgv' monnaie blanche. 'on trouva une solution tain, en effet, que l'on peut toucher des barres transportant des milliers d'ampères, si la tension est faible. nversement, des fils à haute tension, dans lesquels ne circule qu'une faible intensité, présentent un danger réel. t cela est facile à expliquer. Comme tout objet, le corps humain possède une certaine résistance électrique. Or, on sait que l'intensité du courant est proportionnelle à la tension et inversement proportionnelle à la résistance. Si donc nous touchons des fils qjiaute tension, le courant qui traverse notre "corps aura une valeur suffisante pour nous brûler, et même nous foudroyer. Au contraire, si la tension est faible, le courant corporel sera insignifiant. l faut remarquer, en outre, que ce courant corporel est fonction du contact,-du corps avec le conducteur électrique. Si l'on touche les fils du secteur à 110 volts avec des mains humides, une main sur chaque fil, le courant qui traverse tout le corps peut arrêter le cœur et entraîner la mort. Si les mains sont très sèches, le danger est faible. n tous cas, il n'y a aucun danger à toucher les deux fils avec deux doigts, même humides, de la mime main, car le courant ne traverse que cette dernière. n tous cas, soyons prudents. U TRAVA CHZ SO * * * COMMUNQUÉS J SAURA MANTNANT... Où trouver des meubles rustiques. C Jollivet, 110, rue du Cherche-Midi, choix unique, armoires normandes, bretonnes (depuis 450 fr.), tables à tirettes, chaises, vaisseliers, etc., prix modérés. nvoi de photos sur demande. HZ HYGN PRATQU Hygiénique et antiseptique, l'alcool de menthe de Ricqlcs est indispensable. l favorise la digestion, assainit et parfume la bouche, et dissipe l'odeur du tabac. xiger du Ricqlès. Que mangerons-nous aujourd'hui? De la choucroute, mets nutritif, hygiénique, toujours agréable. CDSCOTN F0U01 AXATF - DÉPURATF f v ' PowuAVlA-t8- ** TOUTS S TNTS M N VNT PARTOUT J.esquendieu. P aris

11 15 NOVMBR 1925 Util flmtltlllltlilllltlll 11 U DMANCH-USTRÉ PROFTONS D NOS OSRS DU DMANCH POUR NOUS NSTRUR UN PU CHART C qui a popularisé par un dessin, à la fois humoristique, réaliste et enthousiaste, les héros de la légende napoléonienne. l était né en 1792, d'une famille pauvre; il fut employé dans une mairie de Paris. n 1814, il est garde national et se bat à la barrière de Clichy. a Restauration venue, il se montre trop bonapartiste pour reprendre son emploi. l se fait peintre et il entre a 'atelier de Gros. Charlet donne des leçons de dessin et produit, dès 1817, ses premières lithographies. e Grenadier de Waterloo, avec comme légende: "a Garde meurt et ne se rend pas", lui vaut la plus grande popularité. Mais les édichart teurs ne reconnaissent pas son grand talent et Charlet travaille pour le compte d'un décorateur d'enseignes. Néanmoins il continue à produire ses admirables lithographies, illustrant l'histoire anecdotique de la Grande Armée. Peu à peu, ces images, chefs-d'œuvre d'humour et de grandeur dans leur cadre étroit, se colportent partout. lles atteignent le public, amoureux de toutes les choses qui lui rappellent la gloire impériale, avant d'aviver l'attention des artistes. Charlet est célèbre, mais peu goûté de l'académie. n 1838, fait chevalier de la égion d'honneur, il est nommé professeur de dessin à l'école polytechnique, où il accomplit une réforme : la substitution, pour les ingénieurs, du dessin à la plume aux estompages et aux pointillés, jusqu'alors en usage. Charlet ne cesse de donner une foule de lithographies, notamment la série de la Vie civile, politique et militaire du caporal Valentin, les cinq cents dessins du Mémorial de SainteHélène. Nul plus que lui ne contribua à la légende napoléonienne. Charlet mourut en U V C HN O U ARSTOPHAN des grands dieux de la mythologie de sont particulièrement célèbres, notamment la 1 nde, celui qui semble le mieux re- première et la seconde : lorsqu'il apparut, présenter la Nature, sous la forme d'un poisson, puisque sa principale foncpour rapporter du fond des tion, celle que lui a donnée flots les Védas qui y étaient Brahma lui-même, est de restés après le déluge, et créer et détruire. lorsqu'il se transforma en On le représente comme tortue pour soutenir la possédant quatre bras, qui Terre nouvellement créée. lui permettent de tenir en Une de ses incarnations main ses quatre emblèmes : ne s'est pas encore prola massue, le disque, la duite. conque et le lotus. BienOn attend, en effet, Vichveillant envers les hommes, nou pour détruire les inil n'use guère de sa puisfidèles et rendre à l'nde sance destructive que pour sa pureté et son bonheur faire disparaître les êtres complets. malfaisan ts.on lui prête une Pendant les déluges infinité de formes visibles ; la mythologie hindoue en mais il ne les prit que dans VlCHNOU connaît plusieurs, dont certaines circonstances, au quelques-uns à venir cours desquelles son intervention fut utile Vichnou dort et flotte sur les eaux, le serpent à la terre. Une douzaine de ces incarnations Sécha lui servant d'appui. plus célèbre des auteurs comiques de la Grèce ancienne l'on ne connaît qu'une partie de ses œuvres et à peu près rien de son existence. a date de sa naissance a été approximativement fixée à l'an 450 avant Jésus-Christ, et le lieu dans une île de l'hellade : gine ou Rhodes. l semble que la première comédie d'aristophane fut représentée en 427. lle avait pour titre les Dictaliens. Celle qui suivit, les Babyloniens, pas plus que la première, ne nous est parvenue. D'ailleurs, des cinquantequatre pièces qu'il écrivit, onze seulement nous sont restées dans leur entier. n voici les titres : Plutus, ysistrata, les Nuées, les GreARSTOPHAN nouilles, les Chevaliers, les Acharniens, les Guêpes, les Oiseaux, la Paix, l'assemblée des femmes, les Thesmophories. e trait dominant de ces œuvres est uns satire mordante, violente même parfois, del mœurs et des particuliers du temps de l'auteur, a vigueur comique n'exclut pas la grâce ni l'élégance de la forme, malgré bien des termes vifs et crus. Aristophane appartenait au parti aristocratique et, dans la plupart de ses œuvres, c'est surtout contre la démocratie et les démagogues qu'il exerça sa verve. l raille non seulement la foule anonyme, mais les particuliers connus, ceux qui détiennent les pouvoirs publics ; c'est ce qui le rend parfois difficile à comprendre, tant les allusions aux petits événements quotidiens de la cité et aux personnalités sont fréquentes. es Chevaliers forment le type de l'attaque directe contre un puissant du jour, Cléon. l le bafoue avec une si grande violence qu'il ne trouva personne pour oser jouer le rôle et qu'il dut lui-même l'interpréter. Dans les Nuées, il s'en prend à Socrate, l'accusant entre autres de corrompre la jeunesse, accusation que reprendront les juges du philosophe, vingtquatre ans après. Ses contemporains ne tinrent pas rigueur à Aristophane de les avoir plaisantes sévèrement, soit de leur amour des procès dans les Guêpes, soit de leur légèreté et de leur goût des paroles creuses, comme lorsqu'il les peint sous les traits d'un ridicule vieillard. es Athéniens, bien au contraire, trouvant sans doute la satire exacte, ceignirent le front d'aristophane d'une couronne tressée avec les feuilles de l'olivier sacre. u N 'HÉGR C S FOURCHS CAUDNS A mot arabe, qui se traduit littéralement VANT de devenir une expression courante par fuite, indique, plus généralement, 1ère qui caractérise une concession humides mahométans, mais dont le début est liante imposée aux vaincus, les Fourches bien marqué par une fuite, celle de Mahomet, Caudines furent une dure réalité pour les Role Prophète. C'était en l'an 622 après Jésus- mains. C'était au temps où Rome commençait Christ, Mahomet venait de se révéler à ses à conquérir l'talie et elle avait engagé la parents et à ses amis comme le successeur des guerre contre les Samnites, peuplade rude qui grands prophètes juifs, comme l'envoyé de habitait l'apennin. 'armée romaine n'avait Dieu sur la terre. Ayant fondé la religion nou- pas encore atteint à cette perfection qui devait velle, l'islam, ou l'absolue soumission à la la rendre plus tard presque invincible et, en volonté divine, il attaquait, non sans violence, 321 avant Jésus-Christ, elle s'engagea dans les croyances idolâtres des tribus qui habitaient un vallon voisin de Caudium, qui était entouré ou avoisinaient a Mecque. n butte bientôt de hautes montagnes boisées et auquel ne donà la fureur des chefs de ces tribus et fort en naient issue que deux défilés, appelés les danger d'être mis à mort, Mahomet quitta Fourches Caudines. Quand l'armée fut bien précipitamment a Mecque et se réfugia à engagée, les Samnites, commandés par Pontius Yathreb, où il fut bien accueilli et put accomplir Herennius, l'enveloppèrent et l'obligèrent à sa mission. Cette cité, devenue ville du Pro- se rendre. Vainqueurs, ils montrèrent un insupphète, s'appela bientôt Medinet-el-Nabès ou portable mépris, obligeant les Romains à Médine. passer sous le joug et les accablant de sarcette année de la fuite 622 après Jésus- casmes et d'injures. Christ fut considérée comme la plus imporpareille défaite ne pouvait être acceptée par tante de l'histoire du monde par les mahomé- Rome. tans, qui en firent la première de leur ère, e consul vaincu demanda, lui-même, à ce appelée dès lors l'hégire. 'ère islamique que le traité qu'il avait signé ne fût pas ratifié. SGUR retarde donc de 622 ans sur la chronologie t il se livra aux ennemis, qui furent rapidehpp-pau D SÉGUR, né en 1789, était chrétienne. l est vrai que son année est plus ment et impitoyablement châtiés de l'affront qu'ils avaient fait à des soldats de Rome. le fils de cet étonnant comte de Ségur courte que la nôtre. qui fut général et ambassadéur sous ouis XV, grand maître des cérémonies sous Napoléon er et, entre temps, poète, historien et même publiciste. l s'engagea comme simple hussard, en 1800, et conquit rapidement les bas grades, se distingua, sous Moreau, en Bavière et, sous Macdonald, dans les Grisons. De cette dernière campagne il écrit la relation, qui est déjà un modèle de littérature militaire. Son père, grand maître des cérémonies, l'introduit à la cour des Tuileries, et Napoléon l'emploie à quelques missions mi-diplomatiques, mi-militaires, dont il se tire avec tact. Puis il reprend le harnois, se bat à Austerlitz, à éna. Pendant la campagne de 1807 contre les Russes, il est blessé et fait prisonnier. ibéré par le traité de Tilsitt, il va en spagne, où, de nouveau, il est grièvement blessé. l redevient diplomate et est envoyé auprès de plusieurs cours du Nord. Au début de la campagne de Russie, Ségur, promu général de brigade, entre dans l'étatmajor de l'mpereur. Admirablement placé pour voir et entenun FAÇAD DU CHATAU D SANT-COUD DÉTRUT N 1871 dre, il collationne notes et observasant-coud tions, qui lui per près de Pans, dans une splendide situan 1785, la propriété passa, à Marie-Antoimettront d'écrire tion, le coteau boisé de Saint-Cloud ne nette, qui l'embellit encore. Maïs c'est avec l'histoire de Napopouvait manquer d'être choisi comme rési- la famille Bonaparte que le château devait léon et de la Grande Armée en 1812, où dence pnncière, et, au cours des siècles, de connaître ses plus grandes journées. D'abord, il critique sévère- nombreux événements historiques s'y sont pro- celle du 19 Brumaire, où, devant le corps légisment, quoique dé- duits. Ce nom de Saint-Cloud est dû au fils latif transféré de Paris au palais de Saintcemment, l'ambi- de Clodomir, Clodoald, qui, ayant échappé Cloud, le général vainqueur, sous la protection et la politique au massacre de sa famille, vint fonder là, tion de son frère ucien et des baïonnettes * de l'mpereur. en 832, un monastère. de ses soldats, affirma ses ambitions polie domaine de Saint Cloud, qui appartint tiques. C'est dans ce vieux palais, devenu Dans un style sobre, mais précis, il décrit longtemps aux évêques de Pans, fut acheté une de ses résidences préférées, qu'il fut proles désastres de par divers princes, qui y firent édifier des pavil- clamé empereur. Après Charles et ouisségur l'armée de Russie. lons de chasse et des résidences d'été. C'est Philippe, qui habitèrent constamment SaintCependant Ségur avait poursuivi sa carrière dans une de ces résidences, appartenant aux Cloud, l'autre Napoléon y établit son quartier avec-le plus magnifique dévouement. l défen- Gondi, qu'henri fut assassiné par Clément. général au moment, lui aussi, d'être appelé dit les frontières eh 1813, se battit brillam- Par la suite, le frère de ouis XV acquit les au trône. Napoléon, par la suite, en fit son ment pendant la campagne de France. Mis en constructions et la forêt. chargea epautre séjour favori, et il s'y trouvait lorsqu'il signa non-activité par ouis XV, c'est alors qu'il et Mansard de lui bâtir un palais. a construc- la déclaration de guerre de la France à la Prusse. écrivit son ouvrage fameux, qui amena de vives tion, de grand style, comportait plusieurs coros e 28 janvier 1871, le château, empli de soupolémiques et qui lui valut un duel avec le de bâtiment. a façade principale se dressait venirs, flambait sous les coups de l'ennemi, général Gourgaud. ntré à l'académie française au sommet d'une double rampe en plan in- et, aux confins de son parc, se livraient les cliné. 'intérieur avait été décoré par Mignard. ultimes batailles. en 1830, Ségur mourut en P S D U' CHAMARD XV, qui sut presque toujours choisir les meilleurs pour les placer à la tête des affaires publiques, eut, néanmoins, la main malheureuse lorsqu'il donna à Michel de Chamillard la direction des Finances, puis celle du ministère de la Guerre. Chamillard, qui, né, en 1651, d'un intendant de Caen, avait été successivement conseiller au Parlement, maître des requêtes, intendan: à Rouen et contrôleur général, s'était montré d'une intégrité parfaite et d'une suffisante valeur dans l'exercice de ses diverses fonctions. Homme de cour parfait, il avait plu à Mme de Maintenon, qui '' vut proposé au roi pour le placer aux Finances. ouis XV l'agréa en Chamillard, fort modeste, n'accepta le poste, où avait tant brillé Colbert, qu'à contre-cœur. " Je vous seconderai ", avait dit le roi pour le décider. Mais, pas < plus comme financier que comme ministre de la Guerre, CHAMARD charge qu'il eut, en 1701, à la succession. de Barbezieux, fijs de ouvois, Chamillard ne brilla. n matière financière, il ne sut que trouver des expédients désastreux, en un temps, il est vrai, difficile. Au. point de vue militaire, il eut la maladresse %< le plus grand reproche qu'on peut lui> faire de remplacer Villars par Villeroy, à la tête de l'armée qui affrontait Malborough. l n'erpsoitit que des revers. Chtmillard' mourut en.1721.ous

12 uitiim DMANCH-USTRÉ HUHNMHH A 12 SMAN COMQU S TRMMS PU PTT CHAMOT S FUMUSS! D CGARTTS T est fumeur. Quand il a deux sous, il achète bien vite du tabac. Autrement, il ramasse les bouts de cigares et de cigarettes dans l'escalier et sur le trottoir.. Flâneur, les mains dans les poches, lacasquette sur l'oreille, il déambule alors, la cigarette dédaigneusement collée au coin de la louche. l croit avoir l'air d'un homme. l envoie sa salive par jet entre les dents, mais, inexpérimenté, il se crache souvent sur les pieds. Ce matin, il lui prend tout à coup l'idée d'appeler les filles et de " leur apprendre à fumer ". Torchon, Mimi et Térésou accourent aussitôt. h! les mômes, on va s amuser, vlezvous?... J'vas vous apprendre à fumer. Me regardez pas comme des oies qu ont perdu une montre^ Qué-qu'ça d'drôle, j'vous d'mande un peu. Vous v'iez pas? Si... si... répondent les gamines qui, depuis longtemps, aspirent à " en griller une ls vont s'asseoir sur les marches de l'escalier, leur endroit favori. Trique confectionne trois cigarettes. Tout d'abord Térésou, maladroite, se brûle les lèvres ; Torchon tousse, incommodée ; seule Mimi ne s'en tire pas trop mal. es cigarettes, minces comme des allumettes, ne tardent pas à être consumées. t Trique n'a plus de tabac. Qu'est-ce qu'on fume maintenant? demandent les gamines, mises en goût. Trique reste un moment songeur, puis soudain : Mais, les lacets d'nos godillots, parbleu! Alors tous quatre, côte à côte, sur la même marche, silencieusement, ils s'amusent à tirer, par bouffée, la fumée malodorante des lacets en Combustion. 'air, autour d'eux, devient- irrespirable et les suffoque, mais ils tiennent bon, trouvant cela très drôle. ls ont des picotements fous dans les yeux, dans les narines et dans la gorge. Mimi, par inadvertance, brûle un coin de son tablier, Torchon tousse dix minutes durant et Térésou finit par avaler son lacet. Une odeur de roussi emplit toute la cage de l'escalier. a concierge, qui passe, crie : Au feu! l paraît que Térésou, Torchon et Mimi furent malades deux jours. G RQU quelques méthodes éprouvées pour échapper à /a pernicieuse morsure du froid : A cette époque Je l'armée il est bon de rappeler... MTHOD FANTASST Approchez-vous à ~>^*'pas de loup d un agent de la circulation et chatouillez-lui la nuque avec une plume de paon ou une paille à cocktail l y a bien des chances pour que vous ayez trop chaud cinq minutes après. e pas de course dont vous ferez suivre cette petite opération, joint à l'émotion qu'elle vous aura procurée. Vous fouetteront agréablement le sang... MTHOD MPRSSONNST Dirigez-Vous vers la demeuré du plus irascible de vos créanciers et tirez bruyamment sa sonnette... MÉTHOD MÉDCA Prenez un litre de teinture d'iode et apposezvous-en sur le corps, sous forme de badigeon, huit couches consécutives. Si l'effet tardait à se produire, avalez le reste du flacon. e résultat dépassera vos espérances. AFRD MACHARD. 1"~\ANS une usine métallurgique, certaine machine motrice vint à stopper. Huilage supplémentaire, conseils insidieux, cris et jurons, rien n'y faisant, il fallut bien avoir recours à un spécialiste, qui se présenta grave et pensif. Cet expert examina la machiné rétive pendant quelques minutes. Puis, moins soucieux, il demanda un marteau, qu'dn s'empressa de lui remettre. l s'en servit pour tapoter çà et là, comme font es-employés de chemins de fer qui vérifient l'état des ressorts d'une file de wagons. nfin, il se déclara satisfait. " Tout va bien 1 " annonça-t-il. ffectivement, la machine, avec une docilité exemplaire, se remit en marche. Deux jours après, le fabricant recevait la note, qui se montait, à la bagatelle de francs. Comme bien on pense, il la trouva plutôt salée et exigea un compte détaillé- e compte vint. Total PRR VBR. Quelques bons mots T ORS du dernier enterrement d'un membre de la MTHODt SPORTV 50 francs Attachez-vous solidement à l'arrière train d'un express en marche, et couchezvous sur la voie. e frottement est un des réactifs les plus énergiques. Quand vous serez réchauffé dans le dos, mettez-vous à pl.it ventre francs. Oui, oui, vous venez m'embrasser chaque fois que vous avez besoin d'argent... MADAM. Trouvez-vous que je ne vous embrasse pas assez souvent? ]\/ONSlUR. RMARQU' e lefioidissemcnt texri erre partiel : ^ivous auezfioid au visose pendeztious po; tes pied* et eeimenlirez aussitûl le sortf Uuu.' destmdre a la 'lilo... RNTR t alors... mon cher... où avez-vous donc passé vos vacances? Ah!... ça... je n'en sais rien... c'est toujours ma femme qui a pris les billets... '... (Dessin inédit de SOUPAUT,) dit à Mn,e Gidoin : " Nous dînons tous les quinze jours chez les Chamot ; il faudrait faire un cadeau au petit Chamot, pour le Jour de l'an ; c'est une politesse forcée. " Oui, dit Mme Gidoin ; il y a justement au Bazar nternational de superbes jeux de quilles à 2 fr. 95 ; ça représente un cadeau d'au moins 10 francs. e Jour de l'an, les Gidoin s'en furent chez les Chamot, et, après les souhaits réglementaires, M. Gidoin prit un air entendu pour dire : "Srmon petit ami Bob a été sage, il n'a qu à chercher dans l'antichambre : il y trouvera un paquet qui l'attend!" Oh! s'écria Mme Chamot, vous avez encore fait des folies! e petit Chamot se rua dans l'antichambre et reparut avec un gros paquet insidieusement ficelé ; tandis qu'on dénouait les ficelles, le cher enfant dansait une bamboula d'impatience ; cette allégresse s'éteignit soudain lorsque parurent les neuf quilles, rangées autour de leur boule immobile comme les neuf Muses autour d'apollon. Mme Chamot jugea utile d'affecter une joie que son rejeton se refusait à manifester, et elle proclama, étonnée et ravie : Oh! vous le gâtez! J'espère, Bob, tu vas bien t'amuser avec-ces magnifiques quilles! Bob répondit quelques mots, qui se perdirent, heureusement, dans le brouhaha du départ. es Gidoin se retirèrent ; après eux, vinrent les Troùduné ; on se complimenta ; Mmo Chamot replaça à Mme Trouduné un mot aimable qu'elle avait reçu de Mme Gidoin ; on se repassa le sac de fondants que la maîtresse de la maison n'aimait pas ; puis M. Trouduné dit, d'un air fin : " Bob, va voir dans l'antichambre ; je crois qu'il y a quelque chose pour toi! Vous avez encore fait des folies! s'écria Mme Chamot. t Bob revint avec un paquet très lourd, que l'on dépouilla de son papier ; c'était un superbe jeu de quilles. Oh! dit précipitamment Mme Chamot, coupant ainsi la parole à sa progéniture, vous le gâtez! l désirait justement un jeu de quilles! t l'on força le petit Chamot à remercier. es Trouduné partis, les Bran apparurent et, dès la porte d'entrée, rugirent : " Bob! mon garçon! Nous t'avons apporté, devine quoi?... Un jeu de quilles " CON Après les Bran, on vit venir les Chaudepince, puis les Cambouis, puis M. Foron, le parrain du petit Chamot, puis d'autres encore. t tous apportaient des jeux de quilles! t, quand le soir arriva enfin, il surprit le petit Chamot en train de pleurer silencieusement auprès de cent huit quilles rangées en bataille devant douze boules ; quant aux parents Chamot, ils songeaient avec satisfaction qu'ils avaient leur provision de bois pour le reste de l'hiver. Un peu de fantaisie Pour avoir tapé sur la machine. Pour avoir su où il fallait taper. 15 NOVMBR 1925 iiwigm iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiumiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiiu»ii»'ii»' *-J famille des Rothschild de ondres, on aperçut devant la maison mortuaire un monsieur qui pleurait de tout son cœur. 'ordonnateur des pompes funèbres s'approche de lui. Vous faites partie de la famille, monsieur? a Non, monsieur. Alors, pourquoi pieurez-vous? C'est justement parce que je ne fais pas partie de la famille... ANGAG des simples : " Un brave agent surprend un individu dérobant à la devanture d'un bazar quelques menus objets. l se précipite sur lui, l'arrête et, dans son indignation, lui dit: Attendez un peu, mon gaillard ; vous allez voir ce que cela coûte de " voler " des objets " qui ne sont pas à vous! Mais, si c'est aux pieds que vous avez froid, ne vous pendez pas par la tête; les plus fâcheuses conséquences pourraient en résulter.^ CONCUSON // existe une dernière méthode qui réussit çmiralemcni assez bien : elle consiste à tourner simplement k robinet du chauffage central..: (Dessin inédit de VARËJ Vous ne pourriez pas me monter là-dessus une carrosserie qui ne tente pas les voleurs? Mais si / n voulez-vous une de voiture cellulaire? (Dessin inédit de RtVAt)

13 »""> 15 NOVMBR 1925 iiiiiiiiiiiiiifiiiiiiirtiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiu T N O R QU iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiii N iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinmiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii 13 SAT PUS DMANCH-USTRÉ «««S'ARRÊTR Je vais terminer mon morceau sans accompagnement, car le piano ne possède pas les notes que je vais vous chanter (Dessin inédit de R. ClUNC.) UN BON PTT J'ai donné dix sous à une vieille femme.:. CŒUR C'est très bien, ça!... coutez, maman, cequ a fait Toto... l a donné dix sous à une vieille femme!... DSTRACTON Mais, monsieur, vous êtes en première avec un billet de troisième... SOYONS OGQU!... Ne rêvez-vous pas, mon ami... Des peaux de lapins pour-me faire une fourrure! Bohonne, autant que ce soit nous qui ayons le bénéfice l... Si tu achetais du renard... ce serait encore du lapin /... Suis-je distrait! J'étais persuadé d'être en seconde (Dessin inédit de A. de Roux.) (Dessin inédit de M. SAUVAY.1.) CRDT MUNCPA.11 a du cœur, ce petit... Tu entends, Albert? Toto a donné dix sous à une vieille femme.. y ff Wfj. / ÏBu J WBkrA ij 1.A ïj 'k? y V. \. \ \ j n f il t. # * 0 i <T#^V' ^*tfew \»^* /A " (j\ V * t pourquoi t'intéresses-lu, Toto... à cette vieille femme? - Parce qu'elle vend du sucre d'orge! (D, i e s ns inédits d'aain SAST-OSAN.) V CHR Qu'est-ce <7ue c'est que cette portion à 9/r. 50? C'est du lapin sauté. Sauté?... Pas sur la note, UN CAS SPÉCA st-ce pour engager ou pour dégager? uh... l'un et l'autre... c'est une paire de fleurets!... (Dessin inédit de MAS-TRCK.) UN BONN V1^"^ ^ toujours! (Dessin inédit de Dott.Y.) XCUS ^ Voyons, mon ami, vous dites ne lui avoir donné qu'une gifle? J'vais vous dire, m'sieur le commissaire ; quand ma main est partie, elle était bien ouverte, mais quand elle est arrivée, elle était fermée l (Dessin inédit de JoÊ NYJ S BNS OSFS Ah l chic! j'avais oublié RV DU d'allumer DSSPR Ne vous en faites pas, comme ça vous n'aurez pas à payer l'impôt! le réchaud l (Dessin inédit de J.-P. GoDRUO-i (Pessin inédit de UusiTj

14 *» DMANCH USTRÉ iiiiiiiiiiiiuiiiiiiiiiniiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiutnnumiiiiniiiiiiiiiiiiiitiiiiiimiiiiiii B R C - A - BR A C ÉCHOS T NOUVS D PARTOUT A GURR AUX RATS O N se j^uvient qu'on l'avait déclarée, à Paris,iToici, je crois, trois ans. Mais sans s'ils marchent à plus de 100 kilomètres à l'heure, ni à se rapprocher du sol. 'un des systèmes préconisés consiste à aménager, sur certains points, des espaces visibles d'une très grande altitude. e pilote, tenant compte de la vitesse acquise, appuie sur un levier, qui déclenche le décrochage d'un sac assimilé dans l'espèce à une bombe. e sac tombe comme une pierre jusqu'à une centaine de mètres du sol. A ce moment, le parachute dont il.est muni se déploie, et il arrive doucement à terre, sans que soient brisés les cachets des lettres gu'il contient. doute qu'un armistice intervint, car on n'en entendit plus parler. A ondres, il n'en va pas de même. t en ce moment la " semaine du rat " bat son plein. Son institution date déjà, c'est presque une tradition et beaucoup d'autres villes d'angleterre ont suivi l'exemple de ondres. Partout des Rat-Clubs se sont fondés, qui offrent des primes par queue de rat aux chasseurs bénévoles. a méthode la plus usitée consiste à attirer e Courrier du-centre. pendant plusieurs semaines les rats _ d'un immeuble dans une cave où, chaque soir, on A A COQU leur donne la pâtée. Quand tous les rongeurs ont pris l'habitude OUR augmenter le plaisir de ceux qui vont de venir se repaître à heure fixe, on additionne récolter eux-mêmes leurs œufs à la traîtreusement leur pâtée de poison, on tend coque dans le panier des poules pondeuses : des pièges et on arme les carabines... n rentrant du ministère, un jeune employé Alors, parfois, en une seule nuit, l'héca- célibataire achète deux œufs étiquetés du jour tombe est prodigieuse. es " ratiers ", pour- pour son déjeuner. Arrivé chez lui, il s aperçoit tant, ne touchent la prime promise par les loca- qu'il y a quelque chose d écrit sur une des taires de l'immeuble que plusieurs semaines coquilles, et un examen attentif lui permet de plus tard, quand il est bien avéré que nul rat déchiffrer le message suivant : ne subsiste plus. A ce moment, on fait appel " Je suis la fille du fermier, j'ai dix-huit ans, à un maçon, qui rend l'immeuble rat proof, des cheveux blonds, des yeux bleus et un teint c'est-à-dire à l'épreuve du rat, en obturant de rose. Mon rêve serait d'épouser un Parisien. toutes les ouvertures, et les habitants de la Si, par hasard, ces lignes lui tombent sous maison dorment en paix. les yeux, qu'il écrive! " (Suivait l'adresse.) 'vénement. Voyant la main du ciel dans cette rencontre providentielle, le jeune homme bondit au POUR 'XMP bureau de poste le plus proche et envoie un 'USAG de fouetter les enfants _ jusqu'au télégramme pour prendre rang. e lendemain matin la réponse lui arrivait : sang, tandis qu'on procédait à l'exécution " Trop tard! l y a déjà quatre ans que je d'un condamné, était assez répandu autrefois. Nous ignorions que la même coutume existât suis mariée et je suis même mère d'une déliquand le condamné était... un animal! Voici cieuse petite fille. Mille regrets. une particularité qui nous est dévoilée par Revue Parisienne. Bladé, dans ses Contes populaires de la Gascogne, et qui ne manque pas d'une certaine DANS DSRT D GOB saveur. Bladé raconte qu'une truie avait été cona troisième expédition, organisée par le damnée à la hart, par sentence des consuls de Muséum d'histoire naturelle de NewMarsolan, pour avoir blessé un petit enfant. e bourreau de Condom vint faire l'exécution, York, vient d'arriver à San-Francisco, chargée d'un butin infiniment précieux pour la science : " en présence dés gens et des pourceaux de la des crânes humains fossiles auxquels on commune orsque la corde fut passée au cou de la attribue l'âge fabuleux de dix millions d'années, bête, les Marsolannais bâtonnèrent^ vigoureu- quarante œufs de dinosaure parfaitement sement leur pourqueno, en criant : " xemple! intacts, six crânes de mammifères qui vivaient pendant la période des reptiles. Ces animaux, xemple! gourrataille! " intermédiaires entre les deux espèces, devaient a Chronique Médicale. être de la taille des rats. P M. Roy Chapman Andrews, qui dirigeait l'expédition, affirme avoir trouvé, en Asie, des traces de civilisation humaine, antérieure de N expérimente, en ce moment, sur la ligne de Paris à ondres, divers appareils pou- dix mille ans à celle du même type que révévant permettre aux pilotes de laisser tomber, lèrent les fouilles faites en urope. es plus au passage, leurs sacs de dépêches sans avoir anciens vestiges consistent en grattoirs de à ralentir la vitesse de leurs appareils, même pierre, offrant les. caractères de la période rnoustérienne. Différents objets en pierre taillée, attribués à une culture paléolithique fh7 UAÏC occupez luerativ. vos loisirs que M. Andrews fait remonter à vingt-deux tfl V UUiJ cr. D. GABR, vreux '" mille ans, ont été également mis au jour. Dans toutes ses découvertes, ce savant voit la preuve que l'homme est réellement originaire de l'asie et que toutes les recherches sur les JUNS GNS débuts de la vie de notre race doivent être CASSS faites là. Ceci d'autant plus que l'expédition a fait réformés, personnes faibles, rendezune constatation très importante : d'après des ous forts et robustes par la nouvelle^ méthode de culture physique de champreuves concluantes, elle affirme que la couche bre, sans appareils, 10 minutes par jourl de glace qui couvrit autrefois l'urope et pour créer une nation forte et saine et défendre, la patrie. l'amérique, a épargné l'asie, et que la MonMéthode spéciale pour grandir. golie est la plus ancienne terre sèche du monde, Brochure gratis centre timbre. et qui.. demeura telle d'une façon continue. WHRHM, Agay fvar) au milieu des modifications nombreuses que subirent, au cours des âges, les continents. F COURRR QU TOMB DU C O Chicago Tribune. BYRRH e consomme enfamille comme aacaté.fé 24 i,t,1 l l lll ll l llllllltt tjjl i i Ml H l l i *ll«* *,J,fil,J11,, 15 NOVMBR 1925 * 'ÉTAON DU RÉCF D 'OURAGAN (Suite du texte de la page 7.) seul moyen d'empêcher la mer de vaincre, était cette pesée du radeau où se trouvaient les petits-enfants de Rojas, qui étranglait le cheval. alande touchait maintenant les naseaux du cheval, qui arrivait en combattant avec la férocité obstinée d'un requin. l s'allongea sur la fourche du chêne et étendit les bras vers l'encolure de la bête. Quand, finalement, elle se cogna contre le chêne, alande put saisir la boucle qui enserrait le cou. l tira sur la lanière, essayant en vain de desserrer l'étreinte. Puis, s'allongeant en arrière sur la branche, au-dessus des jambes qui continuaient à se débattre, il appuya contre ses épaules la tête énorme, pour la soulager. ls restèrent ainsi accrochés pendant cinq heures, jusqu'à ce que le flot de la revanche fut passé. e soleil pénétrait à travers les énormes fissures des nuages noirs poussés vers le sud, lorsque le vieux Rojas surgit du. radeau branlant et se dirigea vers les buissons de la chênaie. Partout une mer noirâtre, terne, se retirait, mouchetée de débris à la dérive, et, de toute l'île Dautrive, rien ne se montrait plus que ces quelques arbres dénudés, à moitié brisés. vieillard, dans l'eau jusqu'aux épaules, quitta le radeau, où maintenant les enfants s'étaient assis, engourdis et assoupis par cette mer, qui avait tapé toute une nuit comme un fléau. l suivit l'amarre jusqu'à l'endroit où elle trempait dans l'eau, près du gros chêne. e plu3 âgé des enfants s'était dressé pour l'accompagner du regard. Grand-père, cria-t-il subitement,regarde! e cheval blanc est venu. Contre l'arbre, avec 1 homme... e vieux Rojas s'avança en pataugeant vers l'endroit indiqué, trop ébahi pour parler. e spectacle était réellement bizarre. 'étalon semblait accroché à la fourche de l'arbre et le lien qui lui entourait l'encolure semblait écraser également l'homme contre son épaule. Joe alande avait l'air crucifié sur la robe de satin de la bête. Mais il agita faiblement son bras libre lorsque le vieillard arriva en flageolant, fendant l'eau sous eux. Msieu? fit Rojas, ouvrant convulsivement la bouche. Vous ici? l lui fallut toucher le corps trempé: de alande pour croire que l'homme était en vie. Puis, il se mit hâtivement à desserrer la corde lâche, de sorte que alande glissa et tomba dans l'eau. put à peme se relever et dut s'accrocher au tronc de l'arbre, guettant l'animal. a lanière avait entamé le bras et 1 épaule de alande, et une longue écorchure!e balafrait, rougeâtre, de la nuque au bras. l resta un moment sans pouvoir remuer ses lèvres, gercées par l'eau de mer. Oui! je suis là, murmura-t-il à la fin, titubant de faiblesse. Au nom du ciel, le cheval blanc! s'écria le vieillard. l étendit la main pour caresser le flan satiné, mais furtivement, comme s'il le craignait encore, même maintenant. alande essayait de découvrir si le cœur de l'étalon battait encore. Puis, il détourna la tête, fermant les yeux d'un air las ; il"paraissait secoué par les sanglots d'un chagrin que l'habitant de l'île ne pouvait comprendre. Qu'est-ce qu'il y a, m'sieur? Nous sommes sauvés, les bateaux vont nous trouver. e bon Dieu, ça peut s'appeler une tempête. Je n ai jamais nen vu de pareil sur ce récif. Puis il regarda avec curiosité la masse, maintenant tranquille, de son ancien ennemi. h bien! l'ami, il a fallu une mer d'écume blanche pour tuer ce démon blanc! Ce n'est pas la mer, grommela alande. C'est le contact d'un lasso sur son cou, m'sieu. J ai senti son cœur en éclater cette nuit, mais c'était pour sauver les enfants d'mile. Un lasso et le poids de ma main sur son cou, ça, il n'a pas pu y survivre, m'sieu. Puis, alande se retournant, comme s'il s adressait au seigneur de Dautrive : ' Au moins, tu sauras, démon blanc, que cette main n'était pas celle d'un voleur! THRMOGÈN combat merveilleusement les BRONCHTS, MAUX D GORG et de RNS, TOUX, RHUMATSMS, PONTS D COTÉ, TORTCOS et toutes les affections inflammatoires causées par un brusque refroidissement de la peau. C'est un remède sûr, facile, prompt. U n'impose aucun repos ni régime. l suffit d'appliquer la feuille d'ouate sur le mal, de façon qu'elle adhère bien à la peau. - llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll DMANCH-USTRÉ QU 'image du «PRROT CRACHANT FU» doit se S Vous pouvez enfin faire désenfler, en quelques minutes, des pieds douloureusement gonflés, do sorte qu'ils se trouvent à leur aise dans les chaussures les plus petites et les Mus fines! Vous pouvez enfin marcher toute la Journée ou*danser.toute la nuit sans souffrir des pieds! Vous pouvez enfin délasser et soulager instantanément des jiieds fatigués, brûlés et cndoloris! l csl vraiment inutile de continuer à souffrir plus longtemps de maux de pieds, de marcher comme un estropié ou de chausser des "bateaux", depuis que l'on connaît l'action loniliantc, ascjjtique et décongcslive d'un bain de pieds saltrate. Une petite poignée de Salïrates llodell dans une cuvette d'eau chaude produit un bain de pieds médicamenteux et légèrement oxygène, dont l'action eûrative fait promptcmenl disparaître toute enflure et meurtrissure, toute douleur et irritation. u outre l'eau saltvatéc ramollit les cors et les durillons à un tel point que vous pouvez les enlever facilement sans couteau ni rasoir, opération toujours dangereuse. es Saltrates Hodell remettent et entretiennent les jiieds en parlait état, de sorte (pie vous pourrez, sans souffri. chausser la plus petite pointure qui vous convient. NOTA. es Saltrates ltoitcll se vendent à un prix modique dans toutes les bonnes pharmacies. Méfiez-voiis des contrefaçons qui n'ont, pour la p)uart, iiui-unc. valeur euratlve et exigez les vei'itales Salira tes... K Pour MAGRR de gc3~ PRNCZ SUR.M.MT RAPDMNT SANS 1 à 20 kilos DWGR..,.s.v. 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15 "" 15 NOVMBR 1925 itiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiuiiiiiiiiiuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin Ayez l'amour=propre de vos enfants. Ne laissez pas vos enfants pousser comme des plantes sauvages. Surveillez leur «pousse s, leur éclosion, leur développement. Ne dites pas de votre enfant : «il poussera bien tout séul». Sans doute, il poussera bien tout seul, mais dans quelles conditions? C'est ce dont vous devez vous inquiéter. l arrive trop fréquemment, pendant la croissance, que l'enfant s'affaiblisse, s'étiole, s'anémie. C'est là le danser qu'il faut conjurer en renouvelant la richesse du sang et en tonifiant le système nerveux par l'usage des Pilules Pink. es Pilules Pink soutiennent et stimulent les organismes défaillants, les tempéraments épuisés. lles reconstituent et entretiennent la.richesse du sang, retrempent les nerfs, donnent de l'appétit, facilitent la digestion. «Je suis bien heureuse des bons résultats que j'ai obtenus avec les Pilules Pink écrit Mme Trouillet,employée auxchemins de fer P.-.'-M., rue du Bât-d'Ane, à Grigny (Khône). Voilà trois ans que mon petit garçon traînait. M. TBOUJ.T. (PhotoModerne.) je ie soignais du mieux que je pouvais, mais il restait toujours aussi faible. nfin, à bout de ressources, j'ai essayé les Pilules Pink et je ne puis vous dire combien je suis contente des résultats. Mon fils, qui n'avait plus d'appétit, mange maintenant tellement que je suis obligée de le rationner.» es Pilules Pink sont un très puissant remède contre l'anémie, la chlorose, la neurasthénie, l'affaiblissement général, les troubles de la croissance et du retour d'âge, les maux d'estomac, maux de tête, épuisement nerveux. n vente dans toutes les pharmacies. Dépôt : Phele P. Barret, 23, rue Boliu, Paris. 4 fr. 50 la boîte, 24 francs les 6 boîtes, plus 0 fr. 00 de timbretaxe par boîte. GRATUTMNT aux Rhumatisants et Goutteux UN SSA GRATUT 18 années d'attestations louangeuses, et par milliers, prouvent l'efficacité du TONQU GORA Nul produit ne présente autant de preuves irréfutables, noms et adresse au complet, que le TONQU GORA, fruit de longues études, de pntientes recherches, de résultats contrôlés par les expériences les plus probantes. SOUFFRZ-VOUS? Si oui, ne désespérez donc plus, ne pensez qu'à la joie et au bonheur de revenir à la santé, même si votre cas est jugé incurable. 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Docteurspécialiste,l4,ruedeMaubeuge, Pari». ilh.ith t'akls TOUX QU ST C PAYS? TOKAON (POS DnWTS CATARRHS Sans nuire à la Santé BOÎT D 60 CACHTS-PCARS: ibfr.80 franco. iuf, 49, Av. de a Motte-Pcquet, PARS.-R.C.S.2MH8. CC NTRSS flp inomft BRONCHTS 1 FAT MAGRR ïamlml» Rébeval. MHH TA mousse de crème que contient la Poudre Tokalon la fait adhérer si intimement à la peau qu'elle tiendra en dépit de la chaleur, du vent, de la pluie ou de la transpiration provoquée par la danse. lle supprime complètement un nez brillant et donne au visage un aspect doux et délicat qui dure toute la journée. P Des milliers de femmes n'emploient pas la nuance de poudre qui leur convient. Beaucoup obtiennent les meilleurs résultats en mélangeant deux couleurs, créant ainsi une nuance spéciale qui va exactement à leur teint. 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16 liimui DMANCH-USTR»"'» iiiiiiliïitiiiirtiim iitiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii 16 iiiiiitiiiiiiiiiiiifmiiiiimiiiiiniiiiiimumnutttiniiiiiiiiihiiummuniimnii 15 NOVMBR 1925 ""ntim AUX NDS, PAYS DS FAKRS MYSTRUX : BNARS, A CT DS MORTS, T S BORDS SACRÉS DU GANG benarts t»i, par excellence, la ville sacrée des Jndous. Cette magnifique cité, centre commercial, industriel, littéraire et religieux, est située sur les rives du Gange, large d un kilomètre. Depuis un temps immémorial, les eaux de ce fleuve sont considérées par les Hindous comme un purificateur de l'âme et du corps. l est curieux de constater que l'on peut impunément en boire, même pendant les terribles épidémies de choléra, alors que des foules immenses de pèlerins viennent de s'y baigner. es quais spacieux sont littéralement encombrés de palais, de temples, de chapelles, édifiés par de riches personnagës, et la plupart des radjah» y possèdent un pied-à-terre plus ou moins somptueux. es dévots qui sentent leur fin approcher se font transporter à Bénarès.afin d être plongés dans les eaux sacrées, avant de rendre leur dernier souffle. Des familles GRAN conservent leurs morts pendant des mois pour les transporter, de fort loin, à Bénarès, où ils sont incinérés sur des terrasses spéciales, et les bûchers sont aspergés d'eau sacrée. es croyants les plus pauvres chargent les pèlerins de tremper pour eux, dans le fleuve, le linceul où ils seront ensevelis, et la pièce de toile est conservée religieusement dans la chaumière. Nous donnerons, brièvement, quelques explications sur nos photographies : 10 un aspect des quais, avec ses palais et ses pagodes ; au premier plan, sur une berge, le char d'un prince hindou, avec des gardes en uniforme ; 2 pèlerins se lavant dans.le Gange, récitant des prières, ou tordant des linceuls qu'ils ont trempés dans les eaux sacrées ; 3 la somptueuse barque d'un richissime maharadjah, venu en pèlerinage avec sa cour; 4 les terrasses, surplombant le Gange, et les bûchers où l'on incinère les morts. CONCOURS RSRV AUX CTURS D " DMANCH-USTR " iiiiimiiiiinimii Pendant un MOS seulement, à titre de Vulgarisation et de Réclame, en participant à ce CONCOURS, vous pouvez obtenir pour presque rien UN MRVUX POST D T. S. F. RÈGMNT : A toute personne qui reconstituera le personnage découpé ci-contre et qui en indiquera le nom, il sera envoyé UN POST A GAN NU, du modèle reproduit ci-contre. Si la solution est bonne, l'appareil de T. S. F. sera envoyé contre mandat de 20 francs pour couvrir des frais divers et d'expédition. Sur demande, envoi contre remboursement. Dans le cas où l'on préférerait des accessoires de T. S.F., spécifier l'objet de ses préférences. nvoyer la solution du problème à la SOCÉTÉ R..C., 13, Boulevard Voltaire, Paris, en indiquant vos nom, prénoms et adresse.

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