Refondation du Mali et refondation de l aide internationale
|
|
- Vivien Mathieu
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Refondation du Mali et refondation de l aide internationale La crise malienne et la manière dont elle a pris les partenaires techniques et financiers de ce pays par surprise est un bon révélateur des faiblesses de l aide publique au développement en Afrique sahélienne. La refondation de l aide est donc un volet majeur de la refondation du Mali. Pierre Calame FPH, 13 octobre 2013, 5 pages (bip 4863) Résumé Assurant 40% du budget de l Etat malien, l aide internationale fait partie intégrante de la gouvernance du Mali. Les événements de 2012 ne sont pas un accident de parcours mais le révélateur d une crise structurelle qui appelle non un simple plan de relance mais une véritable refondation du pays. Dans une courte présentation faite à Bamako à la communauté des bailleurs de fonds, Pierre Calame expose les sept volets de la stratégie de refondation proposés à la Présidence malienne. La refondation de l aide internationale est l un d eux. Le texte détaille, à partir d une analyse sans concession des modalités actuelles de l aide publique au développement, les principes de sa refondation, soulignant le fait qu en répondant de manière innovante à la crise malienne, on aurait l occasion concrète de repenser en profondeur l aide publique au développement. Mots clés thématiques : logique institutionnelle ; aide publique au développement ; Stratégie de sortie de crise ; stratégie de changement ; coopération Nord Sud Mots clés géographiques : Afrique de l'ouest ; Mali Mots-clés acteurs : bailleurs de fonds Réf. : intranetfph/bip/4863, O2o_D3j Les défis de la paix en Afrique de l Ouest Fondation Charles Léopold Mayer pour le Progrès de l Homme - site web :
2 Mesdame et Messieurs, Le but de la mission de mise à disposition par l Union Européenne à la Présidence malienne a été d aider à mettre en forme une stratégie de sortie de crise. Le titre du résultat de la mission vaut programme : le Mali de la crise à la refondation. 1. Le Mali, de la crise à la refondation Quelles sont les questions fondamentales qui se trouvent posées derrière ce document? Première question, est-ce une crise ordinaire ou une crise structurelle? Si c est une crise ordinaire il suffit de refaire comme avant, si c est une crise structurelle il faut transformer très profondément la manière de regarder les choses. Réponse c est une crise structurelle très profonde qui pend au nez d autres pays d Afrique de l Ouest et qui appelle non pas la reprise du «business as usual» mais une véritable refondation. Deuxième question, cette crise structurelle était-elle prévisible ou imprévisible? Beaucoup de PTF (Partenaires techniques et financiers) ont exprimé le sentiment qu elle était imprévisible, tant le Mali était classé dans les bons élèves de la coopération internationale. Notre réponse, avec l Alliance pour refonder la gouvernance en Afrique, ARGA, qui est un réseau construit depuis une douzaine d années avec des intellectuels et des responsables politiques africains, est : nous savions depuis très longtemps que ce genre de crise arriverait ; pas nécessairement sous cette forme et à ce moment, ça c est imprévisible, mais que cette crise arriverait c est certain. Parce qu aucune société ne peut se développer quand le mode de gestion de la société lui est complètement étranger. Ou, pour reprendre l expression du grand historien Joseph Ki Zerbo, tant que l Afrique «dormira sur la natte des autres», elle ne pourra pas dormir convenablement. Ce qui veut dire que le fruit de notre mission n est pas le résultat d un travail de trois mois mais de réflexions qui s étalent sur plus de dix ans. Troisième question, est-ce que la crise est une crise du Nord Mali ou une crise de l ensemble du Mali? La réponse est : une crise de l ensemble du Mali. Ce qui s est passé au Nord, et le coup d Etat qui a suivi, ont été un déclencheur mais seulement un déclencheur. Quatrième question, quelle est la place des PTF dans cette crise? Réponse : ils sont partie prenante de la crise, ils font partie du problème et pas de la solution. Quand les PTF représentent 40 % du budget public du Mali, cela veut dire qu ils sont intégrés dans la gouvernance du Mali. La crise de la gouvernance malienne est aussi une crise des PTF. De ce fait le problème de la refondation de l aide se pose au même titre que les autres éléments de refondation. 2. Les sept volets de la refondation Refondation de quoi? Premièrement, refonder la gouvernance. Il ne s agit pas, comme on l entend dire, de simplement refonder l Etat ou de refonder les institutions, au sens où ce serait un problème purement institutionnel. Il faut refonder la gouvernance, l art de gérer la société. Et la refonder sur de nouvelles bases. Ne pas simplement penser qu on peut recimenter un Etat qui, à mains égards, a simplement reproduit l Etat colonial, y compris dans ses rapports avec la société. Il faut refonder la gouvernance et, pour cela, il faut apprendre les stratégies de transformation de la gouvernance. Deuxièmement, il faut refonder la société. La gouvernance, ce n est pas seulement la gestion de communautés instituées c est un problème plus fondamental : comme un groupe humain 2/5
3 s institue-t-il comme communauté, unie par un destin commun? Comment cette communauté se reconnaît-elle des valeurs communes? Il ne suffit pas pour cela d écrire et adopter une Constitution ou une Charte des valeurs communes. Instituer une communauté implique une dynamique «de bas en haut». Ce «processus instituant» se retrouve dans toutes les sociétés, à des moments particuliers de leur histoire où il faut se retrouver, se reconnaître, se reconstruire. Troisièmement c est la refondation des rapports entre le central et le local. Comme le dit Ousmane Sy dans son livre «Reconstruire l Afrique», il faut «la reconstruire à partir du local». Donc accorder une importance majeure, dans la refondation de l aide, à la manière dont les territoires locaux -et pas seulement les collectivités territoriales qui en sont des expressions politiques- peuvent se développer. Quatrièmement, refonder la paix et la sécurité au niveau régional. Le problème malien est régional. Ce problème régional ne peut pas se traiter par des relations intergouvernementales seulement. Elles ont été tentées, elles n ont pas abouti. Les relations intergouvernementales sont évidemment nécessaires mais s inscrivent dans des formes de rapport de diplomatie, de puissance et d influence qui ne sont pas à l échelle d un problème qui concerne toutes les sociétés de la vaste zone saharo-sahélienne. Il faut donc trouver des formes nouvelles de dialogue entre ces sociétés, non pas laissant de côté les gouvernements mais en ne comptant pas seulement sur eux pour inventer des perspectives nouvelles. Cinquièmement, il faut refonder les forces de sécurité. Pas seulement rendre deux ou trois bataillons opérationnels! Redéfinir les missions de sécurité intérieure et de sécurité extérieure et construire une armée républicaine, ce qui, l expérience historique le montre, demande une bonne dizaine d années. Sixièmement, il faut refonder la stratégie de développement. La stratégie de développement telle qu elle est définie aujourd hui est un «copié/collé» de l agenda international. Ce n est pas l expression réelle d une dynamique malienne. Elle ne définit pas des itinéraires de développement à long terme. Elle ne situe pas ces itinéraires de développement par rapport à l état du monde en 2050 et le risque est grand d inventer des itinéraires de développement qui se révèleront des impasses au moment où ils commenceront à porter leurs fruits. Il y a donc un travail gigantesque à entreprendre pour accompagner les élites maliennes et leur permettre de réinventer leur avenir économique. Septièmement, il faut refonder l aide internationale. C est sur ce point que je vais m attarder pour conclure. 3. La refondation de l aide internationale Quels sont les défis auxquels est confrontée l aide internationale aujourd hui? Le défi majeur est le retour aux habitudes. Une fois l orage passé, on replie le parapluie et on recommence comme avant. Ca se pose évidemment aussi au niveau gouvernemental malien, qui est assailli par les urgences. Or, la refondation c est exactement comme le passage de la guerre à la paix : avant, il est trop tôt pour y réfléchir, parce que l on est en plein combat ; après il est trop tard parce qu on est saisi par les urgences. C est exactement le problème historique qui se pose au Mali et aux PTF puisque, bien entendu, tout le monde a tendance à revenir à ses habitudes. Le deuxième défi est, mais ça peut être aussi une opportunité, que le problème du Mali est aussi le problème des autres pays d Afrique de l Ouest. Je dis que ça peut être une opportunité dans le rapport sur lequel je vais revenir entre les PTF locaux et leur siège. Parce que ça oblige à ne pas traiter le Mali comme un cas particulier mais reconnaître qu il pose le 3/5
4 problème plus général de la refondation de l aide. On peut utiliser le Mali comme opportunité d une question plus générale de refondation de l aide. Dans ce processus quel peut être le rôle des amis étrangers du Mali dont les PTF? Leur premier rôle devrait être de mobiliser l expérience internationale, au lieu d apporter voire d imposer des solutions normatives. Les pays qui se développent sont ceux qui sont capables de tirer bénéfice d une très grande diversité d expériences internationales. Les pays qui ne se développent pas sont en général enclavés et enfermés, comme c est le cas de la plupart des pays du Sahel, dans les conditionnalités de l aide ou dans des modèles intellectuels qui sont importés. Quelles sont les critiques de l aide internationale telles qu elles apparaissent généralement et en conséquence quelles sont les réponses possibles? Premièrement l aide internationale, malgré l effort de coordination, est dispersée. Dans les chiffres que j ai vus il y a 35 coopérations, chacune avec 6 priorités. Je défie quiconque de mener une stratégie cohérente avec un tel assemblage, un tel puzzle. Deuxièmement, les conditionnalités sont imposées de l extérieur. Elles sont produites à Bruxelles, à Washington, à Paris ou ailleurs en fonction des préoccupations voire des modes des bailleurs de fonds. La société malienne ne se reconnaît pas en elle. Et de ce fait c est autant de codes qui créent autant de ruses. Troisièmement elle est structurée par les relations d Etat à Etat et doit être analysée comme une rente, et une assuétude, exactement comme l assuétude de l Europe à la dette. Le problème de la distribution de la rente est central. Quand la rente arrive par le haut (comme dans le cas de l aide publique actuelle), elle reste stockée en bonne partie en haut, en particulier dans la capitale et dans la fonction publique. Quatrièmement, on multiplie les contrôles mais le seul contrôle qui vaille réellement c est le contrôle citoyen, c est-à-dire la capacité pour les citoyens de suivre à la trace l aide parce que ce sont eux les plus intéressés à son efficacité. Sinon, le contrôle des contrôles des contrôles ne créé que des ruses de ruses de ruses. Cinquièmement, elle confond planification et stratégie. C est peut-être au plan intellectuel le péché le plus grave. L on s imagine que parce qu un projet est décrit dans son détail sur trois ans c est la preuve qu il est bien préparé. Quiconque a fait de la stratégie comprend que c est idiot! Dans un univers hautement imprévisible, la stratégie c est l inverse : c est une vision très forte à long terme et une adaptation sur le terrain en fonction de l imprévisibilité. Ce n est pas nouveau! Sun Tzu l écrivait il y a 2500 ans dans l art de la guerre : l empereur déclare la guerre, c est le général qui la conduit sur le terrain. L idée que le général se situe à Bruxelles ou à Paris est une absurdité radicale. Enfin, sixièmement, cette aide ne permet pas aux Maliens de réfléchir. On aide énormément au plan matériel mais où sont les espaces qu on soutient pour permettre aux Maliens de réfléchir eux-mêmes à leur avenir en toute liberté avec le temps que ça prend, les moyens que ça prend? Dans les propositions que j ai faites à la Présidence provisoire, j ai dit que si déjà 1 % de l aide allait à ce que les Maliens réfléchissent librement en se nourrissant du meilleur de l expérience internationale et 30 % allaient directement au développement local, nous contribuerions efficacement à la refondation du Mali. D où découlent les quatre grandes pistes de refondation de l aide que nous vous proposons et que nous soumettons au gouvernement malien. 4/5
5 La première, permettre aux Maliens de se réapproprier leur avenir. Y compris, quand il s agit de créer un fonds de développement local, il faut qu ils aient la possibilité de construire leurs propres conditionnalités. Il faut des conditionnalités bien entendu mais comment sontelles construites, d où tombent-elles, c est une question essentielle. La seconde, créer un fonds multi-bailleurs directement orienté vers le niveau local et affecté pour moitié au développement des services de base et pour moité au développement économique local. La troisième, une réforme des procédures de l aide pour qu elle devienne capable de soutenir des stratégies à long terme. Une société se développe à travers des apprentissages à long terme, qui sont autant d habitudes prises de résoudre ensemble les problèmes. C est que l on appelle le capital immatériel des communautés. Le premier objectif de toute aide extérieure devrait être de permettre à ces apprentissages de se construire. Pour la petite histoire, l évaluation que j ai conduite à la fin des années 90 de la Coopération Européenne se concluait en deux phrases : c est un modèle de mauvaise gouvernance donnant des leçons de bonnes gouvernance ; c est un système d apprentissage jetable. C est-à-dire que les procédures européennes segmentent l action et ne permettent absolument pas de construire des apprentissages à long terme. Beaucoup de PTF au niveau local, proches du terrain, se reconnaissent dans ces critiques et probablement dans ces propositions. La grande question est de savoir comment convaincre vos sièges, qui, eux, fonctionnent selon d autres logiques. La quatrième proposition serait justement qu à l occasion de cette «opportunité malienne» on arrive à poser ensemble ces questions. Chacun d entre vous n y parviendra sans doute pas séparément. mais notre document contient sur chacune des sept pistes de refondation des propositions opérationnelles. Parce qu il faut avoir la tête dans les étoiles, regarder à long terme, mais il faut dire aussi comment on conduit pas à pas chacun des volets de la refondation. Ce qui explique que notre document soit d une centaine de pages, détaille, par exemple, ce que serait le cahier des charges d un fonds local multi-bailleurs, ce que serait une stratégie de refondation de la gouvernance, comment s appuyer sur l expérience internationale pour faire naitre un itinéraire malien de développement, selon quels principes refonder l aide internationale. J ai la faiblesse de penser qu il pose à la fois les fondements de la refondation de l aide et en propose un point d application immédiat. Merci 5/5
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailAPPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE
1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir
Plus en détailSynthèse «Le Plus Grand Produit»
Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique
Plus en détailAlliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest
Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest Guide Méthodologique de Conduite du Dialogue Inclusif Pays «Formulation des Priorités Résilience Pays (PRP-AGIR)» Version Finale (Septembre
Plus en détailComment parler de sa pratique pour la faire partager?
pour la faire partager? 1. Profiter de l expérience des autres 2. Comment raconter son expérience? 2.1. Théoriser sous forme de récit 2.2. Les ingrédients de la théorisation de pratique 3. Élargir le récit
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailManuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2
éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........
Plus en détailDevoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire
Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Pourquoi traiter des devoirs et leçons avec les TDA/H? Parce que c est un des problèmes le plus souvent rencontrés avec les enfants hyperactifs
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailPromouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre
inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques
Plus en détailComment atteindre ses objectifs de façon certaine
Ressources & Actualisation Le partenaire de votre bien-être et de votre accomplissement Comment atteindre ses objectifs de façon certaine À l attention du lecteur, Ce présent document est protégé par la
Plus en détailIntervention de Marisol Touraine. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
1 Intervention de Marisol Touraine Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Conseil d administration du régime social des indépendants Jeudi 25 juin 2015 Monsieur le Ministre,
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailGroupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5
Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5 Chapitre 6 La gestion des incidents Quelles que soient la qualité du système d information mis en place dans l entreprise ou les compétences des techniciens
Plus en détailSEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs
SEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs By Omar Ousman Jobe Analyste en Politique et Budget Pro-Poor
Plus en détailUNE REFLEXION PREALBLE
UNE REFLEXION PREALBLE NOUS N AVONS JAMAIS ETE AUSSI RICHES IL N Y A JAMAIS EU AUTANT DE PAUVRES QUI GERE LA REPARTITION? 1 ÉNERGIE ET TRANSITION Comprendre la situation est facile Ce qu il faut faire
Plus en détailCours 1 : Qu est-ce que la programmation?
1/65 Introduction à la programmation Cours 1 : Qu est-ce que la programmation? Yann Régis-Gianas yrg@pps.univ-paris-diderot.fr Université Paris Diderot Paris 7 2/65 1. Sortez un appareil qui peut se rendre
Plus en détailIntervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***
Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention
Plus en détailPourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques?
Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Rencontre professionnelle 4 Ont participé à cet atelier : David ALCAUD,
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants
Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège
Plus en détailAvenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations»
Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Point d étape de la négociation PPCR 10 Mars 2015 Discours d ouverture de Marylise LEBRANCHU Mesdames et Messieurs, Nous
Plus en détailRencontres. La Mutuelle Européenne, un moyen de diversification géographique Etat des lieux
Rencontres La Mutuelle Européenne, un moyen de diversification géographique Etat des lieux Pedro Bleck da Silva Président du Groupe de Travail Mutualité Association Internationale de la Mutualité (AIM)
Plus en détailOrigines possibles et solutions
Ne plus avoir peur de vieillir «Prends soin de ton corps comme si tu allais vivre éternellement, Prends soin de ton âme comme si tu allais mourir demain.» Introduction Ce petit document est la résultante
Plus en détailEst-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49
Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailIntroduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?
Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration
Plus en détailComité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)
F CDIP/5/7 REV. ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 21 JUILLET 2010 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Cinquième session Genève, 26 30 avril 2010 PROJET RELATIF À LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Plus en détailInvestir, Épargner et Produire durablement :
Investir, Épargner et Produire durablement : les territoires relèvent le défi Repères pour l action LES CAHIERS DE L OBSERVATOIRE N 7 Investir, Épargner et Produire durablement : les territoires relèvent
Plus en détailDONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT
DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement
Plus en détailCent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL
Août 2011 F COMITÉ DU PROGRAMME Cent huitième session Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Résumé Le présent document fait suite à une demande formulée
Plus en détailMission Provisions Note d analyse de l exécution budgétaire 2014
Mission Provisions Note d analyse de l exécution budgétaire 2014 Provisions - Dotation pour dépenses accidentelles destinée à faire face à des calamités et pour dépenses imprévisibles - Dotation pour mesures
Plus en détailService de presse 15 20 novembre 2014
Service de presse 15 20 novembre 2014 40 ans après la ratification de la Convention européenne des droits de l homme (CEDH) Les droits fondamentaux remis en question Isabelle Bindschedler Un soutien pour
Plus en détailMéthode universitaire du commentaire de texte
Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent
Plus en détailMembre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services
SPEECH/13/XXX Michel BARNIER Membre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services Dématérialisation de la commande publique : un levier de modernisation de l administration publique
Plus en détailCLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7
CLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7 Téléphone : 514 382.7922 Télécopieur : 514 382.3474 Site Internet : www.2tiers.org Courriel : club@2tiers.org
Plus en détailCirconscription de. Valence d Agen
Circonscription de Valence d Agen Pourquoi ce guide? Depuis des décennies, le sujet des devoirs à la maison est discuté dans et hors de l école. Nous avons souhaité faire le point sur ce sujet afin de
Plus en détailDiscours d ouverture de Sem Alassane Ouattara
Discours d ouverture de Sem Alassane Ouattara Monsieur Daniel Kablan Duncan, Premier Ministre de la République de Côte d Ivoire, Madame Hélène Conway, Ministre des Français de l Etranger de la République
Plus en détailConsolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal. Prise de position du SYVICOL
mc14 036 Consolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal Prise de position du SYVICOL Suite à la réunion du Conseil supérieur des finances communales du 20 mai 2014, le SYVICOL souhaite
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE. La Commission a entendu Mme M.R., sa fille, Mme M.K., ainsi que MM. S.A., capitaine de police, et S.C., brigadier-chef.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE COMMISSION NATIONALE DE DÉONTOLOGIE DE LA SÉCURITÉ Saisine n 2010-109 AVIS ET RECOMMANDATIONS de la Commission nationale de déontologie de la sécurité à la suite de sa saisine, le
Plus en détailAnnexe 1 L Agenda politique d Istikshaf
This project is funded by The European Union Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Istikshaf: explorer la mobilité Agenda politique régional pour la mobilité
Plus en détailORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE
Distribution limitée IFAP-2008/COUNCIL.V/3 4 février 2008 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Conseil intergouvernemental du Programme Information
Plus en détailLa Régie des rentes du Québec
La Régie des rentes du Québec La Régie des rentes du Québec est chargée d appliquer la Loi sur le régime de rentes du Québec et la Loi sur les régimes complémentaires de retraite. De plus, elle administre
Plus en détailCENTRES D APPUI À LA TECHNOLOGIE ET À L INNOVATION (CATI) GUIDE DE MISE EN ŒUVRE
CENTRES D APPUI À LA TECHNOLOGIE ET À L INNOVATION (CATI) GUIDE DE MISE EN ŒUVRE Le programme de centres d'appui à la technologie et à l'innovation (CATI), mis en place par l'ompi, permet aux innovateurs
Plus en détailUn écrivain dans la classe : pour quoi faire?
Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailE-Forum sur l Approche par les Compétences
E-Forum sur l Approche par les Compétences Exposé liminaire Deux conceptions de l approche par compétences BIEF / 05.09.19 1 Quand on parle d approche par les compétences dans les curriculums, on pense
Plus en détailImmobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève
CONSEIL EXÉCUTIF EB136/39 Cent trente-sixième session 12 décembre 2014 Point 13.2 de l ordre du jour provisoire Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève Rapport du Directeur
Plus en détailPré-diagnostic du Développement Durable
Pré-diagnostic du Développement Durable à l usage des PME-PMI et Autres Entreprises Le présent questionnaire a été réalisé par le groupe Développement Durable de l AUEG qui comprenait des membres d entreprises,
Plus en détailOBER Société anonyme au capital de 2 061 509.45 Siège social : 31, route de Bar 55000 Longeville-en-Barrois 382 745 404 R.C.S.
OBER Société anonyme au capital de 2 061 509.45 Siège social : 31, route de Bar 55000 Longeville-en-Barrois 382 745 404 R.C.S. Bar-le-Duc Avis de réunion valant avis de convocation Mesdames et Messieurs
Plus en détailDW Radio Learning by Ear Ordinateurs et Internet Programme 5 Richard Lough. LBE Computers and the Internet - Programme 5
LBE Computers and the Internet - Programme 5 Auteur: Rédaction: Maja Dreyer Traduction : Yann Durand Personnages: John (jeune Garçon) Expert (Voix Off masculine) Béatrice (jeune fille) Aïda (Femme - 30
Plus en détailCORRECTION BREVET PONDICHERY 2014
CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014 PREMIERE PARTIE : HISTOIRE (13 POINTS) 1. Questions (6 points) 1. A quels siècles correspond l «âge des églises gothiques»? (1 point) L «âge des églises gothiques» va
Plus en détailI/ Présentation de notre association et de notre programme
GUIDE ENSEIGNANTS INTERVENTION EN CLASSE D UN ENTREPRENEUR 1. Présentation de notre association et de notre programme 2. Le contenu de l intervention de l entrepreneur 3. La préparation de l intervention
Plus en détailPlan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence
Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action
Plus en détailMETHODOLOGIE LE CAHIER EST UN OUTIL DE TRAVAIL, MIEUX IL SERA TENU, PLUS TU AURAS DE PLAISIR A L OUVRIR POUR RETRAVAILLER LE COURS
METHODOLOGIE I. Comment travailler et organiser son travail en histoire-géographie LE CAHIER EST UN OUTIL DE TRAVAIL, MIEUX IL SERA TENU, PLUS TU AURAS DE PLAISIR A L OUVRIR POUR RETRAVAILLER LE COURS
Plus en détailCOMPOSANTE 3 Objectif 3.C
TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PLATEFORME DE GESTION DES CONNAISSANCES POUR LA REFORME DE LA GOUVERNANCE COMPOSANTE 3 Objectif 3.C Sous-objectif 3.C.02
Plus en détailToronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :
Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du
Plus en détailDU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO
COMMUNIQUE DE PRESSE PRESS RELEASE "Ebola constitue une menace pour toutes les entreprises: il nous faut donc soutenir la lutte contre le virus Ebola" N 241/2014 Abuja, le 12 Decembre 2014 OUVERTURE A
Plus en détailComment tirer avantage des médias sociaux dans votre entreprise?
De simple divertissement à instrument polyvalent Comment tirer avantage des médias sociaux dans votre entreprise? SOMMAIRE 2 De simple divertissement à instrument polyvalent 2 Dix astuces pour que votre
Plus en détailComment se traduisent nos valeurs dans le projet de l association? Intervention de Patrick Stelandre Directeur Idée 53. Les jeudis de l hémicycle
Comment se traduisent nos valeurs dans le projet de l association? Intervention de Patrick Stelandre Directeur Idée 53 Les jeudis de l hémicycle Parlement Francophone Bruxellois Le 29 novembre 2012 1 Deux
Plus en détailAllocution d ouverture M. Philippe Boillat, Directeur général, Direction générale Droits de l'homme et Etat de droit, Conseil de l'europe
SEUL LE PRONONCE FAIT FOI! 17.06.2014 Allocution d ouverture M. Philippe Boillat, Directeur général, Direction générale Droits de l'homme et Etat de droit, Conseil de l'europe 19 e Conférence du Conseil
Plus en détailQuestionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique
Questionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique BUT : Découvrir ton profil préférentiel «Visuel / Auditif / Kinesthésique» et tu trouveras des trucs
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Thématique de l appel à projets 2014. Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes
CAHIER DES CHARGES Thématique de l appel à projets 2014 Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes Fondation Alsace Personnes Agées 4 rue de la Houblonnière 68000 COLMAR
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailProtection vs. Innovation ouverte : Comment concilier l innovation et l accès aux nouvelles technologies pour tous?
Protection vs. Innovation ouverte : Comment concilier l innovation et l accès aux nouvelles technologies pour tous? Salle Notre-Dame des Victoires, 09 septembre 2014 16h30 18h Intervenants: Dominique Buendé,
Plus en détailblgpec : Où en est mon établissement? Sommaire :
2 Sommaire : INTRODUCTION / PRESENTATION La GPEC, pourquoi?... 3 La GPEC, c est quoi?... 4 La GPEC, comment?... 5 Les objectifs du guide... 6 Comment utiliser ce guide?... 7 LE GUIDE D AUTODIAGNOSTIC Projet
Plus en détailQuel contrôle de gestion pour les ONG 1?
Quel contrôle de gestion pour les ONG 1? (Rémi Bachelet et Nathalie Claret) Dans le cadre de l atelier portant sur les nouveaux champs du contrôle de gestion, une réflexion sur la place de ce dernier dans
Plus en détaileduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel
eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents
Plus en détailRapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa
Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,
Plus en détailJeux mathématiques en maternelle. Activités clés. Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF)
Activités clés NIVEAU : PS/MS Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF) Compétences Construire les premiers nombres dans leur aspect cardinal Construire des collections équipotentes Situation
Plus en détailCérémonie de clôture de la réunion débat sur le thème de la 56 e session ministérielle
1 Cérémonie de clôture de la réunion débat sur le thème de la 56 e session ministérielle Discours de Madame ALBATOUL Zakaria, Ministre de l'enseignement fondamental et de l'alphabétisation du Tchad, Présidente
Plus en détailAMbition éolien 2012. L énergie éolienne. renouvelable, compétitive et créatrice d emplois
AMbition éolien 2012 L énergie éolienne renouvelable, compétitive et créatrice d emplois Sortons de la crise avec l énergie de l avenir La filière éolienne entend être demain un des fleurons de l industrie
Plus en détailOpen Source n est pas une question de foi
Finanzdirektion Groupe parlementaire pour une informatique durable Conférence de Monsieur le Conseiller d Etat Peter Hegglin sur le thème Open Source n est pas une question de foi Mesdames et Messieurs
Plus en détailORGANISATION MONDIALE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE GENÈVE COMITÉ PERMANENT DU DROIT D AUTEUR ET DES DROITS CONNEXES
OMPI SCCR/19/13 ORIGINAL : Français, anglais, arabe, chinois, espagnol, portugais et russe DATE : 11 décembre 2009 ORGANISATION MONDIALE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE GENÈVE F COMITÉ PERMANENT DU DROIT
Plus en détailMusées et paysages culturels
La Charte de Sienne Musées et paysages culturels Proposée par l ICOM Italie le 7 juillet 2014 à la Conférence internationale de Sienne 1. Le paysage italien Le paysage italien est le pays que nous habitons,
Plus en détailAPPEL A COMMUNICATIONS
APPEL A COMMUNICATIONS Colloque régional UEMOA-CRDI sur Intégration régionale et stratégies régionales de réduction de la pauvreté 8-10 décembre 2009, Ouagadougou, Burkina Faso Délai de soumission de résumé
Plus en détail1-Thème du chantier : LE DEVELOPPEMENT DURABLE
Chantier d Emmaus International sur le DEVELOPPEMENT DURABLE Lisbonne du 10 au 18 octobre 2008 1-Thème du chantier : LE DEVELOPPEMENT DURABLE Le thème du développement durable a été choisi étant un vecteur
Plus en détailEvaluation de l organisation interne
Module 1 Module Evaluation de l organisation interne Table des matières SECTION 1 Mission et valeurs 34 SECTION 2 Gestion 1 40 SECTION 3 Gestion 2 46 T E A R F U N D 2 0 0 3 33 Module 1 Section 1 Mission
Plus en détailCadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités
Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session
Plus en détailRapport sommaire. Table ronde sur la mobilité des étudiantes et étudiants dans l hémisphère occidental
Rapport sommaire Table ronde sur la mobilité des étudiantes et étudiants dans l hémisphère occidental Buenos Aires, Argentine 1-3 décembre 2000 Au cours des dix dernières années, le Canada a joué un rôle
Plus en détailALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L
ALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L OCCASION DE LA CEREMONIE DE REMISE DE DIPLÔMES Dakar,
Plus en détailLe Ministre Pieter De Crem prend la parole
Le Ministre Pieter De Crem prend la parole Monsieur Pieter De Crem, Ministre de la Défense nationale, a donné un exposé le 21 mai 2008 à l Institut royal Supérieur de Défense (IRSD) Pendant cette conférence,
Plus en détailL évolution du travail en réseau : une nouvelle donne stratégique
L évolution du travail en réseau : une nouvelle donne stratégique Les nouvelles formes d'organisation de l'entreprise, fondées sur le partenariat, l'externalisation, les réseaux, se multiplient. Les frontières
Plus en détailComment est fixé. Qui administre. Comment calcule-t-on la rente. Quelle est la différence entre. le taux de cotisation? votre régime de retraite?
En tant qu employé de la fonction publique, du réseau de la santé et des services sociaux ou du réseau de l éducation, vous êtes au nombre des 45 % de travailleurs québécois qui cotisent à un régime de
Plus en détailGestion Participative Territoriale :
!!" #!#$ # % #% Touiza Solidarité Evaluation ex post et externe Gestion Participative Territoriale : François Durand Consultant ITG Paris Foued Chehat Expert associé 1 Le cadre de l évaluation Le projet
Plus en détailPrésentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage
Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage «La façon de nous voyons les choses est la source de la façon dont nous pensons et de la façon dont nous agissons Jamais nous
Plus en détailObservatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)
Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT
Plus en détail26 et 27 mai 2015. Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général
26 et 27 mai 2015 Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général Mesdames, Messieurs, Lors de mes propos introductifs à ces débats, je vous ai dit que le développement social, comme le développement
Plus en détailRÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement
RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement La recherche à l Université Sainte-Anne L Université Sainte-Anne, par son emplacement géographique,
Plus en détailCompte Rendu de l Atelier. Participation du Secteur Privé dans les Infrastructures d Eau au Liban : Le Rôle des Banques. Le 9 décembre 2010
Compte Rendu de l Atelier Participation du Secteur Privé dans les Infrastructures d Eau au Liban : Le Rôle des Banques 1. Contexte Le 9 décembre 2010 Beyrouth - Liban Les besoins en investissement pour
Plus en détailConférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption
Nations Unies CAC/COSP/IRG/2015/2 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 24 mars 2015 Français Original: anglais Groupe d examen de l application
Plus en détailREVUE DE LA DEFENSE DU BURUNDI : LEÇONS TIREES
REVUE DE LA DEFENSE DU BURUNDI : LEÇONS TIREES Juin 2014 TABLE DES MATIERES REMERCIEMENTS... iii CARTE DU BURUNDI... iv SIGLES ET ABREVIATIONS... v RESUME EXECUTIF... vii CHAPITRE I : INTRODUCTION...
Plus en détailMODULES D IN{FORMATION} ACCESSIBILITÉ DES ERP Culturels VOS BÂTIMENTS/LES HANDICAPS/LA LÉGISLATION
MODULES D IN{FORMATION} ACCESSIBILITÉ DES ERP Culturels VOS BÂTIMENTS/LES HANDICAPS/LA LÉGISLATION FOIRE AUX QUESTIONS Temps d échange conduits par Sophie Papin, chargée de mission tourisme et handicap
Plus en détailEntraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions?
Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions? Il est clair que la finalité principale d une démarche d investigation est de faire acquérir des connaissances aux élèves.
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailLes réseaux sociaux : quels apports éducatifs pour l éducation permanente?
Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2013 7, juillet 2013 www.ftu.be/ep Les réseaux sociaux : quels apports éducatifs pour l éducation permanente? L exemple de Twitter
Plus en détailJe découvre le diagramme de Venn
Activité 8 Je découvre le diagramme de Venn Au cours de cette activité, l élève découvre le diagramme de Venn et se familiarise avec lui. Pistes d observation L élève : reconnaît les éléments du diagramme
Plus en détailPolitique et Standards Santé, Sécurité et Environnement
Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu
Plus en détail