Chapitre 4 - Validation de la méthodologie d aide à la réflexion. 4.2 Le dépôt pétrolier

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1 4.2 Le dépôt pétrolier Généralités Le DPRS est installé sur une zone qui accueillait jadis, jusqu aux années 1950, un important réseau de voies de chemin de fer qui servaient au chargement des wagons en charbon, cette zone s appelait «la formation». Ce stockage est exploité par la société CHARVET (groupe TOTAL). Il a été autorisé en 1962 (autorisation renouvelée en 1993). Il se compose de 7 bacs d une capacité globale de m 3 (voir Figure n 55, Figure n 56 et Figure n 57). Le DPRS est alimenté par le rail. Chaque train apporte 1400 m 3 de gasoil et fioul, environ m 3 par an de carburant transitent (2004) par le DPRS. Il s agit d une Installation Classée pour la Protection de l Environnement (ICPE) soumise à autorisation répondant aux critères des rubriques n 1430 et 1432 de la nomenclature ICPE, c est à dire un stockage de liquide inflammable. La catégorie de liquide inflammable stocké est la «C», du gasoil et du fioul. La nature et le volume des produits stockés font que cette installation n est pas considérée comme site industriel répondant à la réglementation Séveso. Cependant, ce site est soumis à la réalisation d un Plan d Opération Interne (POI) ainsi qu à des servitudes d utilité publiques. Figure n 55 : Vue générale du DPRS avec ses 7 bacs de stockage d hydrocarbure et présentation des caractéristiques de ces 7 bacs. 242

2 Figure n 56 : Présentation d un stockage en bac à toit flottant. Ce type de stockage est adapté à la réception des hydrocarbures lourds (gasoil et fioul) et plus légers comme les essences. Les photos 2, 3 et 4 montrent des détails du toit flottant dont deux éléments de sécurité la soupape en 4 et le câble de mise à la terre du toit métallique en 3. Figure n 57 : Présentation du principal bac de stockage du DPRS. Ce bac à toit fixe est vide depuis mai 2005, sa capacité de m 3 environ et ses dimensions imposantes (36 m de diamètre pour près de 15 m de haut en faisait l un des points sensibles du 243

3 DPRS. Il est à noter l architecture complexe de soutien du toit fixe. Ce bac ne pouvait accueillir que des hydrocarbures lourds, pour des essences il aurait fallu qu il soit muni, entre autres, d une nappe flottante empêchant la formation d un ciel gazeux Le Plan d Opération Interne Ce POI date du 12 juin 1987 et a régulièrement été mis à jour, dernièrement en Il est constitué de 4 chapitres comprenant 7 titres ainsi que des annexes, pour un volume de 100 pages environ. Ce POI n'a jamais fait l'objet d'exercice d'intervention "à taille réelle". En effet, un tel exercice nécessiterait la fermeture de l'autoroute et des lignes SNCF voisines. Devant les coûts, la quantité de personnel du SDIS que cela mobiliserait et étant donné le niveau de danger de l'installation, il a été jugé que cet exercice n'était pas opportun. Le DPRS a connu d importantes modifications visant à réduire les risques induits par son activité : en 1990, une ligne électrique (EDF) passant au dessus a été déplacée, puis, en 1994 l activité stockage d essence a été interrompue (5200 m 3 ). Cependant, la fourniture en éléments de sécurité, comme le nombre de canons de refroidissement, le volume de produit émulsifiant... n a pas été réduite pour autant. La décision de fermeture de ce site dans les quelques années à venir fait que celui-ci réduit sa capacité de stockage, si bien que le bac de m3 est vide depuis mai 2005 et sera prochainement démantelé Les servitudes d utilité publique En termes de servitudes d'utilité publique, le territoire péri-industriel du DPRS est soumis à des mesures de maîtrise de l urbanisation et à une information du public. Le volet information des populations voisines n'est pas suivi, la justification en serait qu'étant donné le niveau d'activité de ce site, la dangerosité potentielle des produits stockés et le niveau des moyens de sécurité mis en place (et surdimensionné), il n'était pas la peine d'inquiéter les populations voisines. Le volet maîtrise de l'urbanisation est très intéressant. Il est suivi et le maintien des capacités de stockage et la capacité d'accueil de produits plus dangereux comme les essences (pour des raisons stratégiques et pour une courte durée) a permis de maintenir les surfaces d'emprise des servitudes. Il n'empêche que des projets immobiliers avaient été envisagés il y a peu de temps Cet exemple confirme qu'une vigilance doit être maintenue, voire accrue pour que les phénomènes qui ont conduit à la situation actuelle, à l'exposition des populations aux risques industriels, soient réduits. Par lui même le volet maîtrise de l urbanisation est décrit dans le porté à connaissance des communes (voir ANNEXE n 9) comme un élément de limitation des dommages en cas d un sinistre sur le DPRS. 244

4 Pour le cas général, le porté à connaissance précise que le risque diminue avec l éloignement de la source et donc qu il est souhaitable de prévoir une décroissance de la sévérité des contraintes liées à l urbanisation et d accorder priorité aux zones les plus proches de la source du risque. Il précise aussi, qu il est nécessaire de rester strict dans le règlement des zones pour les interdictions concernant les ERP, les logements collectifs et les immeubles de grande hauteur. Pour les cas particuliers, le porté à connaissance précise que les restrictions d urbanisation sont pour les zones Z1 d interdire toute construction nouvelle à habiter ou occuper par des tiers et pour la zone Z2 d interdire tout ERP, immeuble de grande hauteur, toute voie de circulation supérieure à 2000 véhicules par jour, ainsi toute voie ferrée ouverte au transport de voyageurs. Une troisième zone est reconnue, celle concernée par le scénario de boil over. Les contraintes d urbanisation pour cette zone sont «d éviter la construction de tout bâtiment non évacuable» (hôpitaux, maison de retraite et bâtiments assimilables) L étude de dangers En ce qui concerne de risque industriel, le POI présente 8 types de scénarios (Tableau n 23). Localisation Siège des risques Nature des risques Chargement camions camion citerne Flash et feu de 1 à 3 camions citerne vides ou pleins Enceinte réservoirs Réservoirs Feu dans ou en surface du réservoir cuvette de rétention feu de surface Etablissements voisins Sous station électrique SNCF, lignes électrifiées SNCF arcs électriques, électrocution des intervenants en cas de contact entre lignes et jets batons en eau des moyens de secours. Formation d'arcs électriques dus à l'ionisationde l'air par les fumées Canalisations joints fuite par brèche ouverte Quai de réception des wagons citernes Cuvette de rétention Ensemble des installations flexibles de dépotage fuite suite à rupture de flexible ou débranchement (pollution, feu de surface, explosion) explosion de réservoir (Boil over) Pollution Tableau n 23 : Présentation des 8 scénarios d accidents envisagés dans le POI du DPRS Le gérant 127 du dépôt souligne que les grands dangers pour son installation sont l incendie ou l explosion suite à l inflammation d une atmosphère explosive dans un réservoir. La cause la plus probable d inflammation dans ce genre d installation est l'électricité statique. Cette électricité statique pouvant provenir de diverses sources et notamment de la voie ferrée 127 Un grand merci à M. DUMONT, gérant du DPRS, pour sa disponibilité. 245

5 voisine. La lutte contre cette électricité statique a fait l objet de mesures particulières, notamment, lors de l installation du TGV. Cette modernisation de la voie ferrée a entraîné une protection renforcée du site de stockage contre les phénomènes électriques. Ainsi, le sous-sol du DPRS contient plusieurs kilomètres de fil de cuivre dénudé permettant d assurer la neutralité électrique de l ensemble du site. En termes de distances et d enveloppe de la zone soumise à maîtrise de l urbanisation, le porté à connaissance précise : un rayon de 415 m centré sur le dépôt, pour le scénario de boil over. les rayons de dangers induits par le DPRS sont globalement de 245 m à partir du centre de la cuvette pour les scénarios de feu de cuvette et d explosion de bacs à toit fixe. La précision concernant cette enveloppe (à partir du bord de la cuvette de rétention) est qu au nord et au sud le rayon de la zone Z1 est de 135m et une zone Z2 de 175 m. Pour le secteur est et ouest, un rayon de zone Z1 de 79m et de 190 m pour la zone Z2. Commentaires Etant donné les cibles présentes dans les environs, les habitations, l autoroute et la voie ferrée ne seraient plus aménageables de nos jours... Concernant les zones Z1 et Z2, il est à remarquer la non symétrie entre les secteurs nord-sud et est-ouest, ce qui est remarquable sur le plan fourni dans le porté à connaissance (voir Figure n 58). En termes de scénario d accident, il s agit de propagation d ondes de chaleur et d ondes de surpression. Ces ondes sont circulaires, alors pourquoi ces différences? les explications données par le gérant comme étant dues à l influence des vents dominants semblent peu convaincantes. Cette incertitude sur la forme des contours nous a amené, dans le cas de notre étude, à revoir le tracé des différentes zones. Cette nouvelle étude permet de prendre aussi en compte de nouvelles zones que précise la loi du 30 juillet 2003 comme la zone des 20 mbar pour les scénarios d explosion. Les «nouveaux» tracés des zones d exposition sont présentés à la Figure n 59 et à la Figure n 60. Pour obtenir ces tracés, nous avons repris les principales distances proposées par le porté à connaissance, les plus pénalisantes, comme : 135 m à compter du bord de la rétention pour la zone Z1 ; 245 m pour la zone Z2 puisque le porté à connaissance propose un rayon global de cette taille ; 415 m pour la zone concernée par le scénario de boil over. 246

6 Commentaire L enveloppe de 245 m tient compte de l assemblage des zones pour les scénarios d incendie et d explosion. La zone «boil over» ne présente aucune précision sur les zones aux effets létaux ou irréversibles associés. Figure n 58 : Copie de la carte en annexe de l étude de dangers du DPRS de Cette carte nous présente l enveloppe globale de la zone de danger avec à l intérieur les zones Z1 et Z2. 247

7 Figure n 59 : Orthophotoplan du DPRS avec présentation des zones d exposition aux effets redoutés d un accident industriel majeur. Cette représentation à la Figure n 59 a été faite «à main levée» donc sans une très grande précision, quelques mètres. Il apparaît donc que certains biens immobiliers peuvent se retrouver pour quelques mètres hors ou dans la zone d exposition (quelle qu elle soit). Nous abordons, ici, un point critique. Ce point est celui de l incertitude sur l étendue des surfaces exposées ou le tracé des périmètres. Pour «palier» sur le tracé des zones, il sera considéré, dans notre étude, que tout bien immobilier, sur la ligne ou la jouxtant, sera considéré comme appartenant à cette zone d exposition. Cette incertitude n aurait pas cours avec l utilisation de documents géo-référencés (SIG), cependant, le tracé des périmètres serait tout aussi critique car si cette incertitude sur le tracé est une chose très visuelle, il faut cependant garder à l esprit que l incertitude sur les calculs et les hypothèses de départ à ces calculs est beaucoup plus importante, il s agit alors de différences possibles sur des dizaines de mètres. 248

8 Les seuils des effets Effet thermique, scénario de feu de cuvette : la zone Z1=ZEL (premiers effets létaux) est déterminée pour un flux thermique de 5 kw.m -2 ; la zone Z2=ZEI (effets irréversibles) est déterminée pour un flux thermique de 3kW.m -2. Effet de surpression, explosion d un bac à toit fixe : la zone Z1=ZEL (premiers effets létaux) est déterminée pour une surpression de 140 mbar (hpa) ; la zone Z2=ZEI (effets irréversibles) est déterminée pour une surpression de 50 mbar (hpa). Il est à noter que sur la Figure n 58 la surpression considérée semble être 170 mbar et non La zone des 140 mbar se trouve donc entre cette limite et la limite des 50mbar. Ne disposant pas de la distance pour la zone limitée à 140 mbar, pour cet exercice nous considérerons l absence de zone aux effets létaux significatifs (ZELS) pour ne considérer qu une seule zone aux effets létaux (ZEL), l ancienne Z1. Une limite de zone isobare à 20 mbar qui correspond à la zone où les bris de vitre vont interagir sur la cible humaine aurait été intéressante à proposer. L arrêté du 22 octobre 2004 préconise d adopter pour la surpression de 20 mbar une distance égale à 2 fois la distance obtenue pour une surpression de 50 mbar, étant donné les dispersions de modélisation pour les faibles surpressions. Dans le cas du DPRS cela porte la distance à 412 mètres de rayon, ceci nous permet de rajouter une zone «Z3». Cette dernière correspond à une zone de danger irréversible par exposition indirecte (projection de bris de verre). Globalement, la zone couverte par le scénario d exposition à une onde de surpression de 20 mbar couvre celle du scénario de boil over, nous les assimilerons donc. Connaître les distances Z1 et Z2 est très intéressant, mais en termes de conséquences potentielles, il est important de savoir si le territoire péri-industriel est lui aussi potentiellement concerné par ces effets, autrement dit, est ce que les effets physiques redoutés peuvent «déborder» du site industriel et endommager ce territoire. Dans le cas du DPRS, nous remarquons que les zone Z1, Z2 et «Z3» sortent toutes les trois des limites du site industriel. Le boil over Une étude de l INERIS (2003) [116.] présente le boil over comme un effet domino retardé d un incendie de réservoir d hydrocarbure. Les conditions de réalisation de ce scénario sont un incendie préalable (par exemple un feu de nappe), cet incendie perdurant plusieurs heures 249

9 et nécessite, aussi, la présence d eau dans le réservoir (infiltrations, lutte contre incendie, absence de purge ). Le réservoir surchauffé va voir la couche d eau se vaporiser brutalement (vapeur bloquée par la présence d hydrocarbure au dessus). La pression engendrée par cette vapeur va alors provoquer un effet piston et projeter violemment l hydrocarbure surchauffé hors du réservoir. Cette projection va alors s enflammer et créer une boule de feu. Un boil over s est notamment produit lors de l incendie du Port Edouard Herriot le 2 juin Comme nous venons de le voir le scénario de boil over est un scénario à cinétique lente. Ce temps permet de prendre des décisions de sauvegarde des populations (évacuation). C est pour cette raison que l étude de danger ne prend pas en compte ce scénario pour le calcul des zones d exposition des populations La zone d étude des vulnérabilités Etant donné les zones d effets redoutés, l enveloppe globale de notre étude sera celle de la zone «Z3», celle des 20 mbar pour un scénario d explosion de bac à toit pouvant être à l origine de bris de vitres et de projection de morceaux de verre. Cette zone s étend sur 415 m de rayon environ, comme le propose la Figure n 60 suivante. Comme nous pouvons le remarquer cette enveloppe globale des effets principaux d un accident industriel majeur potentiel sur le DPRS renferme différents types de cibles : des constructions à vocation résidentielle ; des constructions à vocation industrielle ; des infrastructures de transport d intérêt régional ; des surfaces à l état naturels... Les enjeux liés à ces cibles sont principalement humains et économiques. De plus, l application des zones d effets (létaux et irréversibles) laisse apparaître que certaines de ces cibles pourraient être concernées par des mesures de maîtrise de l urbanisation, comme l expropriation et délaissement (biens situés en Z1), de préemption et délaissement pour les biens situés en Z2, enfin, certaines cibles pourraient aussi faire l objet de mesures de renforcement. Toutefois il ne s agit que d une première observation et l étude des vulnérabilités qui suit va permettre de quantifier ces cibles, et de qualifier la vulnérabilité de chacune de ces cibles potentielles mais aussi la vulnérabilité générale de ce territoire périindustriel. Suite à cette étude, des mesures d atténuation pourront être proposées. Dans la logique, de cette méthodologie, ces informations pourraient être l objet d une concertation locale permettant : de renforcer l information des populations concernées vis-à-vis du risque industriel ; de susciter l émergence des mesures d atténuation désignées comme les moins mauvaises. 250

10 Figure n 60 : Orthophotoplan de la zone du DPRS qui montre l ensemble de la zone des effets d un accident industriel majeur. La zone interne, en pointillés blancs, correspond à la zone Z1 des effets létaux, d une diamètre de 135 m. La zone médiane, en pointillés jaunes, correspond à la zone Z2 des effets irréversibles d un rayon de 245 m. La zone externe, en pointillés noirs, correspond au périmètre d un effet de surpression à 20 mbar, c'est-à-dire la zone de projection des bris de verre, mais aussi à l enveloppe du périmètre concerné par le scénario de boil over, d un rayon de 415m Détermination des différentes dimensions de la vulnérabilité A ce stade nous avons les connaissances que peuvent apporter l étude de dangers. Nous allons maintenant nous intéresser à l étude de la vulnérabilité du territoire péri-industriel concerné par le DPRS Identification des cibles présentes sur le territoire périindustriel L observation (vues aériennes) des zones d effets montre que ce périmètre global concerne tous les grands types de cibles décrits dans les chapitres précédents : des cibles humaines, des cibles matérielles (bâti et réseau), ainsi que le milieu naturel. 251

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