Le monde des morts Rites et monuments funéraires à Lattara.
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- Mathieu Coutu
- il y a 8 ans
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1 Le monde des morts Rites et monuments funéraires à Lattara. Service Educatif du centre archéologique de Lattes/ADAL/ UFRAL Dossier pédagogique réalisé par S. Cazaux, professeur et A.Garnotel, archéologue
2 Quelques notions de rappel sur les rites funéraires dans les temps protohistoriques et antiques. Chez les Gaulois : Quelques exemples à LATTARA Le culte des ancêtres : La croyance celte de la survie de l'âme "supérieure" (dans le crâne) et de sa métempsychose a favorisé le développement au cours de l'âge du Fer méridional de manifestations cultuelles autour de reliques des ancêtres : Les Celtes pratiquaient l inhumation. Les sépultures pouvaient être protégées par un tumulus et contenaient les outils de l artisan, les bijoux de la défunte ou les armes et le char du guerrier, des vases et des coupes emplis de nourriture pour assurer un voyage confortable dans l au-delà. Mais durant le second âge du fer (-450/-50), se développent les incinérations qui durent jusqu au IIIe siècle. Les tombes parfois groupées ou individuelles présentaient différentes formes : pierres sculptées, stèlesmaisons, symbole de leur cabane primitive et surtout des stèles votives ou cippes (à Glanum ou à Entremont), déroulant des motifs de chevaux au rôle de psychopompes. Une particularité à Lattara La présence de restes humains associés à des dépôts animaliers (têtes de bœufs, ovins, caprins, serpent dans une urne, chiens 1 ) dans la ville antique s observe tout au long de l occupation entre la fin du VI s av.n.è et la fin du IIe s sur une dizaine d îlots d habitations. Notamment au IV e s av.n.è 2, 9 dépôts sont relatifs à des inhumations d enfants morts en période péri-natale (zones 20 et 27 par exemple). 22 squelettes (du fœtus au nourrisson de 6 mois) ont été ainsi retrouvés à l intérieur du périmètre urbain, dans des pièces domestiques, près d un mur ou d une porte : réponse sociale ou familiale à ces décès et non rituel de fondation ou sacrifices d enfants comme à Marduel. Chez les Romains : Les croyances et l au-delà Selon R.Carré 3, le dieu le plus honoré dans la Gaule méridionale est Mercure, suivi de Mars puis de Minerve et de Jupiter. Lattara atteste de ce culte avec les vestiges d un temple, la découverte d une statuette de bronze et des stèles votives dédiés à Mercure ainsi que la plaque des utriculaires évoquant le dieu Mars. Le culte des Mânes attesté par diverses stèles consacrées aux «DM» soit «DIIS MANIBUS» exprime une croyance en l immortalité de l âme qui demeure auprès de ses descendants qui lui doivent respect et vénération. Les pratiques funéraires : La loi romaine des XII tables (-449) institue que les nécropoles («villes des morts») soient installées à l extérieur des murailles de la ville des vivants, pour des raisons sanitaires et religieuses. Elles peuvent se développer le long des grandes voies romaines (Via Agrippa, Via Appia) ou près des portes, pour être visibles des voyageurs susceptibles de venir s y recueillir un moment A la fin de la République, le rite le plus pratiqué à Rome et en Italie est la crematio ou incinération, sur un bûcher «rogus» sauf pour les enfants de moins de 7 ans. Les restes sont déposés dans une urne cinéraire, «olla» de terre cuite, de plomb ou de pierre, placée dans un tombeau, accompagnée de l offrande funéraire pour la survie du mort dans l au-delà. Le tombeau collectif ou colombarivm est percé de niches ; les tombeaux individuels sont composés d une partie souterraine et l autre visible marquant l identité, la classe sociale du défunt. Si l incinération semble avoir été privilégiée pendant la période romaine, à partir du IIe s, l inhumation devient une pratique plus courante (nécropole de St-Michel à LATTES). Ce qu on ne trouve pas à Lattes : la dédicace «sub ascia dedicare» (SAD) très largement développée en Gaule ou les sarcophages si nombreux en Arles, sans doute trop onéreux pour les Lattarenses. 1 Pline, XXIX, 58 : «les Anciens considéraient les petits chiens à la mamelle comme un aliment si pur qu ils les offraient comme victimes dans les sacrifices expiatoires». 2 V.Fabre et A. Gardeisen, Lattara 12, Culte et idéologie religieuse en Gaule méridionale Service Educatif du centre archéologique de Lattes/ADAL/UFRAL Page 1
3 La nécropole de LATTARA : les pratiques funéraires 1. La situation géographique de la nécropole: Rappelez l étymologie et la signification du mot nécropole : LATTARA Où se situait la nécropole par rapport à la ville? Pourquoi?.. Quel est alors le rôle du Lez antique?.. 2. La coupe d une tombe à Lattes : Ces stèles étaient enfoncées en partie dans le sol. Observez les stèles du musée et expliquez comment on peut différencier encore la partie enterrée de celle visible :.. Dans ce cas, quelle était la pratique funéraire alors pour le traitement du corps?. Observez la collection du musée de Lattara. Quels peuvent être les contenants d un corps défunt dans le monde antique? 3. La nécropole de Saint-Michel : Quels sont les siècles d utilisation de cette nécropole?... En quoi le mode de sépultures est-il différent de la nécropole étudiée précédemment? D après le plan de la nécropole, quelle est l orientation générale des tombes?. Service Educatif du centre archéologique de Lattes/ADAL/UFRAL Page 2
4 Quel est le mobilier d une tombe à Lattara? En observant les restitutions de tombes lattoises et les vitrines du musée, donnez des exemples d objets retrouvés qui évoquent le sexe, le statut social voire l intimité du défunt. Mobilier Matière Datation Quel usage (matériel ou symbolique)? Hypothèse sur le défunt Un exemple particulier : les verreries : Rappelez la technique de fabrication antique du verre : Comment les couleurs étaient-elles obtenues?.... Rendez à César ce qui est à César et aux vases funéraires, leurs fragiles anses respectives. Puis retrouvez le nom de ces objets archéologiques : Service Educatif du centre archéologique de Lattes/ADAL/UFRAL Page 3
5 TITVLI SEPVLCRALES Les stèles funéraires : A la découverte des Lattarenses! Dans les pratiques religieuses du monde romain, une place importante est faite au culte funéraire : la plupart des inscriptions retrouvées sont des épitaphes. 1. La forme des stèles funéraires à Lattara : Quelles sont les différences notables entre les stèles présentes au musée de Lattara?. Dessinez en trois de forme différente : En quoi sont-elles le reflet de la romanisation à Lattes? En quoi sont-elles le reflet du statut social? Observez cette touchante stèle funéraire à portrait : Décrivez la technique de sculpture : Décrivez le monument funéraire dans sa totalité : Qui sont représentés?... Nous ne savons pas l identité de ces défunts mais quel peut être leur statut social? (justifiez votre réponse) Quel message veut évoquer cette stèle sculptée par les gestes des époux (dextrarum iunctio)? 2. La composition d une épitaphe : retrouve les noms manquants! 1er Nom au cas datif = la dédicace au défunt D.. [---]TI F(ILIAE) = fille de... 2e Nom au cas nominatif= le dédicant, qui offre cette stèle au défunt [S].. FVSCI F(ILIVS) PI(VS)= pieux fils de Fuscus L adjectif PIVS précise les sentiments plein de respect filial. Service Educatif du centre archéologique de Lattes/ADAL/UFRAL page 4
6 Connaître les Lattarenses 1. Le témoignage de la romanisation à Lattara : La société romaine différencie les citoyens des pérégrins : Ainsi tout citoyen romain portait les trois noms (tria nomina) : - le prénom (praenomen,inis, n.) choisi par les parents à sa naissance - le nom (nomen, inis, n. ou gentile nomen)ou nom de l ancêtre de la famille - le surnom (cognomen, inis, n.) = ainsi le surnom Cicéron (Marcus Tullius Cicero) : pois chiche! Quel est statut civique des personnages inscrit sur ces stèles = tituli? Le gentilice Claudius : l empereur Claude distribua largement le droit de cité, selon Dion Cassius ; peu fréquent en Narbonnaise. 1 seul nom= 3 noms= Cas utilisé= Citoyen? Pérégrin? Cas utilisé= Le cognomen Rufinus, peu courant en Narbonnaise= M.Claudius Rufinus de Lattes, citoyen depuis peu (entre 5070) était soit un indigène romanisé soit un émigrant devenu citoyen. Citoyen? Pérégrin? 2.Le cadre familial, la parenté : A vous de retrouver ces inscriptions, à lire le lien parenté des dédicants puis à le traduire Et parfois le lapicide fait des fautes d orthographe Trouve la stèle, la faute! Nom figurant sur la stèle :.... Faute du lapicide :. Au lieu de. 4. Les relations sociales, les catégories sociales -LE DEFUNT AU CAS -Prénom du patron -au cas.. -L(IBERTUS) =. -Citoyen? Pérégrin? Traduire= Analyser= Statut social Métier= Cognomen Fuscus fréquent chez les Italiens Citoyen? Pérégrin? Service Educatif du centre archéologique de Lattes/ADAL/UFRAL 5
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