Base de données : Principe Structured Query Language. Base de données. Simon JAILLET. 09 Janvier 2010

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1 : Principe 09 Janvier 2010

2 : Principe 1 : Principe 2

3 : Principe Définition Une base de données est un ensemble structuré de données persistantes accessibles aisément par plusieurs programmes qui les utilisent simultanément avec des objectifs différents.

4 : Principe Catégories des SGBD relationnels objet-relationnels objets XML

5 : Principe Les 6 services d un SGBD Persistance Gestion du disque Partage des données Fiabilité des données Indépendance logique/physique Langage de description, d interrogation et de traitement des données

6 : Principe 1 - Persistance Des données sont persistantes si elles survivent à l exécution des programmes. La persistance est obtenue en stockant les données sur disque.

7 : Principe 2 - Gestion du disque Toutes les données de la base ne peuvent pas en général tenir en mémoire centrale donc pour limiter les accès disques et avoir de bonnes performances les SGBD intègrent : Index, hash-coding Regroupement des données sur disque Optimisation des requêtes Cache mémoire

8 : Principe 3 - Partage/sécurité des données Les données doivent pouvoir être partagées par un ensemble d utilisateurs ayant des droits différents. Afin de gérer les connexions simultanées, le contrôle de la concurrence porte sur : la base de données le schéma les index

9 : Principe 4 - Fiabilité des données Les données doivent être fiables. Mécanismes : contraintes d intégrité (clés étrangères), atomicité des transactions (la transaction doit être complètement effectuée ou pas du tout), résistance aux pannes : en cas de panne mémoire en cas de panne disque mirroring.

10 : Principe 5 - Indépendance logique/physique L organisation physique de la base de données doit être transparente. 6 - Le langage SQL Pour permettre l indépendance logique/physique, il est nécessaire d avoir un langage de description, d interrogation et de traitement des données de plus haut niveau (ex : SQL)

11 : Principe Les principaux SGBD du marché DB2 (IBM) SQL server Mysql Oracle PostgreSQL SQLite

12 DB2 (IBM) : Principe Avantages Administration à base d assistants Richesse fonctionnelle du language Stockage XML Compression de données Inconvénients Interface lourde (java) Gourmand (Disque, RAM) Complexité du language procédural Gestion des utilisateurs limitative Non libre

13 SQL server : Principe Avantages Administration aisée Profiler de requête performant Language procédural simple (T-SQL) Réplication intégrée Inconvénients Plateforme Windows Non libre

14 MySQL 5 : Principe Avantages Administration aisée Libre, multiplateforme Version cluster Différents moteurs de stockage (MyISAM, InnoDB, etc.) Inconvénients Respect partiel des stadards (certification SQL-92)

15 Oracle : Principe Avantages Interface utilisateur riche Un des plus (voir le plus) riche en terme fonctionnelle PL-SQL Version cluster Inconvénients Prix pour obtenir de bonnes performances Failles de sécurité Complexité

16 PostgreSQL : Principe Avantages Administration aisée Libre, multiplateforme Respect des standards Très riche en terme fonctionnelle Reste simple Cluster possible Inconvénients Cluster par clonage Réplication

17 SQLite : Principe Avantages Administration aisée Libre, multiplateforme Simple, rapide, léger Inconvénients Fonctionnement en local

18 : Principe Conclusion MySQL, PostgreSQL : bases de données polyvalentes Oracle : pour une utilisation pro et intensive (solution lourde) DB2, SQL Server : bien y réfléchir SQLite : simple et rapide

19 : Principe Conclusion MySQL, PostgreSQL : bases de données polyvalentes Oracle : pour une utilisation pro et intensive (solution lourde) DB2, SQL Server : bien y réfléchir SQLite : simple et rapide

20 : Principe Conclusion MySQL, PostgreSQL : bases de données polyvalentes Oracle : pour une utilisation pro et intensive (solution lourde) DB2, SQL Server : bien y réfléchir SQLite : simple et rapide

21 : Principe Conclusion MySQL, PostgreSQL : bases de données polyvalentes Oracle : pour une utilisation pro et intensive (solution lourde) DB2, SQL Server : bien y réfléchir SQLite : simple et rapide

22 : Principe 1 : Principe 2

23 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Remarque Le niveau d analyse conceptuel est un niveau d analyse sémantique. C est à dire qu il n est aucunement préoccupé par l aspect physique de l implantation des structures d information, mais se préoccupe plutôt du sens des choses. Un outil d analyse conceptuel : le modèle Entité-Association.

24 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Le modèle Entité-Association (a) Le modèle entité-association (EA) est un modèle de données de type conceptuel. Il est comme une outils d aide à la conception des bases de données. Ce modèle se limite à la description statique son but : permettre la description conceptuelle des structures de données d une application.

25 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Le modèle Entité-Association (b) Ce modèle, présenté par Chen (1976), permet une description naturelle du monde réel à partir des concepts d entité et d association. Basé sur la théorie des ensembles et des relations, ce modèle se veut universel et répond à l objectif d indépendance données-programmes.

26 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Le modèle Entité-Association (c) Entité Type-entité (TE) Association Type-association (TA) Attribut

27 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Entité Représentation d un objet du monde réel (concret ou abstrait), perçu par le concepteur comme ayant une existence propre, et à propos duquel on veut enregistrer des informations. Exemples : Mme Dupont, la cafetière X32, ma Ferrari, etc.

28 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Type-entité (TE) Représentation d un ensemble d entités perçues comme similaires et ayant les mêmes caractéristiques. Exemples : Personne, Article, Service, etc.

29 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Type-entité (TE) : Remarque Une entité est souvent nommée occurrence ou instance de son type-entité. De plus, par abus de langage, on utilise souvent le mot entité en lieu et place du mot type-entité, il faut cependant prendre garde à ne pas confondre les deux concepts.

30 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Association Représentation d un lien entre plusieurs entités, lien où chaque entité liée joue un rôle déterminé. Exemples : le lien de travail entre l employé Durand et le service Comptabilité, le lien de mariage entre Mr. Durand (rôle : époux) et Mme Dupont (rôle : épouse), etc.

31 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Type-association (TA) Représentation d un ensemble d associations ayant la même sémantique et décrites par les mêmes caractéristiques (liant des entités de même type avec les mêmes rôles, et possédant les mêmes propriétés). Exemples : le TA fabrique lie le TE Atelier de fabrication au TE Article

32 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Attribut (a) Représentation d une propriété associée à un TE, ou à un TA. L ensemble des attributs d un TE (TA) représente l ensemble des informations inhérentes que l on souhaite conserver sur les entités (associations) du TE (TA). Exemples : nom, prénoms, salaire sont des attributs du TE Employé. date-de-mariage est un attribut du TA est-marié-avec, etc.

33 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Attribut (b) Représentation d une propriété associée à un TE, ou à un TA. L ensemble des attributs d un TE (TA) représente l ensemble des informations inhérentes que l on souhaite conserver sur les entités (associations) du TE (TA). Exemples : nom, prénoms, salaire sont des attributs du TE Employé. date-de-mariage est un attribut du TA est-marié-avec, etc.

34 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Identifiant ou clé Un identifiant (ou clé) d un type-entité ou d un type-association est constitué par un ou plusieurs de ses attributs qui doivent avoir une valeur unique pour chaque entité ou association de ce type. Exemples : numéro de sécurité sociale pour une personne, numéro d immatriculation pour une voiture, le code ISBN pour un livre.

35 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Les cardinalités (a) La cardinalité d une patte reliant un type-association et un type-entité précise le nombre de fois minimal et maximal d interventions d une entité du type-entité dans une association du type-association. Un employé travaille dans un minimum de X services et un maximum de Y services Un service est constitué de minimum X employés et d un maximum de Y employés

36 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Les cardinalités (b) Les seuls cardinalités admises sont : Minimum Maximum n L expression de la cardinalité est obligatoire pour chaque patte d un type-association.

37 : Principe Concepts de base et diagrammes EA La cardinalité 0,1 Une occurrence du type-entité peut exister tout en étant impliquée dans aucune association et peut être impliquée dans au maximum une association. La cardinalité 0,n C est la cardinalité la plus ouverte. Une occurrence du type-entité peut exister tout en étant impliquée dans aucune association et peut être impliquée, sans limitation, dans plusieurs associations.

38 : Principe Concepts de base et diagrammes EA La cardinalité 1,1 Une occurrence du type-entité ne peut exister que si elle est impliquée dans exactement (au moins et au plus) une association. La cardinalité 1,n Une occurrence du type-entité ne peut exister que si elle est impliquée dans au moins une association.

39 : Principe Concepts de base et diagrammes EA

40 : Principe Concepts de base et diagrammes EA

41 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Cardinalité Une cardinalité minimale de 1 doit se justifier par le fait que les entités du type-entité en questions ont besoin de l association pour exister. Dans tous les autres cas, la cardinalité minimale vaut 0. Note : Une cardinalité minimale de 0 signifie qu une entité du type-entité correspondant peut exister tout en étant impliquée dans aucune association.

42 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Cardinalité Si une entité e pour exister doit participer à l association a on dit que la participation du type-entité TE au type-association TA est totale. Sinon, on parle de participation partielle.

43 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Exemple (1a) Le diagramme EA suivant illustre le schéma d une base de données pour la gestion d un hypermarché. Dans ce diagramme, sont représentés quatre types d entité : Employé, d attributs nom et salaire ; Rayon, d attributs nomr et étage ; Article, d attributs noma et type ; Fournisseur, d attributs nomf et adresse.

44 : Principe Concepts de base et diagrammes EA Exemple (1b) Ces types d entité sont reliés par les types d association suivants : Livraison, d attribut quantité, liant Fournisseur, Article et Rayon ; Vente, d attribut quantité, liant Rayon et Article ; Emploi, liant Employé et Rayon ; Chef, cyclique, liant Employé (avec le rôle Inf) et Employé (avec le rôle Sup).

45 : Principe Concepts de base et diagrammes EA

46 : Principe Concepts supplémentaires Entité faible Une entité faible est une entité possédant un identifiant insuffisant de par lui-même pour identifier de manière unique chacune de ses occurrences. Sa caractéristique d identifiant n est valable qu à l intérieur du contexte spécifique de l occurrence d une entité principale. Exemple : Un hôtel possède des chambres Hôtel (TE) Possède (TA) Chambre (Entité faible)

47 : Principe Concepts supplémentaires Structures Hiérarchiques Une structure hiérarchique représente une décomposition de concepts allant du général au particulier. Il s agit d une structure où un parent peut avoir plusieurs enfants, mais où chaque enfant ne peut avoir qu un seul parent.

48 : Principe Concepts supplémentaires Associations plurielles Plusieurs associations entre les mêmes entités

49 : Principe Concepts supplémentaires Associations réflexives Un type-association est qualifié de réflexif quand il matérialise une relation entre un type-entité et lui-même.

50 : Principe Concepts supplémentaires Les domaines de valeurs Certaines informations ne peuvent accepter qu un ensemble déterminé et limité de valeurs. Elles sont donc restreinte à un domaine de valeurs (les valeurs permises pour le sexe par exemple). Il y a deux façons de modéliser ces domaines de valeurs : par un attribut ou par un type-entité.

51 : Principe Concepts supplémentaires Les domaines de valeurs : par un attribut Ajouter un attribut au sein de l entité concernée et d indiquer, dans la documentation du modèle, les valeurs permises. Cette méthode est bien adaptée aux cas où l utilisateur n a aucun contrôle sur le domaine de valeurs en question (on ne peut ni ajouter ni retirer des valeurs permises).

52 : Principe Concepts supplémentaires Les domaines de valeurs : par un type-entité Par un type entité : Ajouter un type-entité au modèle pour représenter le domaine de valeurs. Cette méthode doit être utilisé lorsque l utilisateur a plein contrôle sur le domaine de valeurs.

53 : Principe Concepts supplémentaires Conserver l historique Pour garder l historique d une relation on fait sortir l attribut Date comme type-entité.

54 : Principe Concepts supplémentaires Agrégation (e) Comment relier deux associations entre elles?

55 : Principe Concepts supplémentaires Agrégation (b) Création d un nouveau type-entité.

56 : Principe Concepts supplémentaires Généralisation / spécialisation Exemple : dans un hypermarché, certains traitements s appliquent à tous les articles : inventaire, recherche des caractéristiques, etc. Pour d autres usages (ventes promotionnelles), on peut vouloir séparer les articles en plusieurs classes (alimentation, habillement, etc.). Chaque classe peut avoir des caractéristiques qui lui sont propres, par exemple : date limite de vente (alimentation), taille et couleur (habillement),etc.

57 : Principe Concepts supplémentaires Généralisation / spécialisation Dans le modèle E-A correspondant, on sera donc amené à décrire, en plus du TE générique Article, des TE plus spécialisés, représentant les sous-classes intéressantes. Article alimentaire, Article d habillement Article Hi-Fi.

58 : Principe Concepts supplémentaires

59 : Principe Concepts supplémentaires Généralisation Regrouper les différents types d entité en faisant abstraction de leurs différences. Ce qui nous donne un type générique (mise en facteur des attributs communs). Spécialisation Pour un type donné, on définit des sous-types en mettant en évidence leurs particularités.

60 : Principe Les contraintes d intégrité Les contraintes d intégrité Objectif : Spécifier des propriétés sémantiques du réel perçu qui ne sont pas exprimables avec le modèle E.A. Définition : Une contrainte d intégrité (C.I.) est une propriété non représentée par les concepts de base du modèle E.A. que doivent satisfaire les données appartenant à la base de données. Effet : limiter les occurrences possibles des structures d information.

61 : Principe Les contraintes d intégrité Les contraintes d intégrité Contraintes d intégrité sur les attributs : (âge entre 1 et 100) Contraintes d intégrité sur les cardinalités : Nombre d enfants d un parent = nombre d occurrences de «est parent de» qui lient ce parent. Contraintes d intégrité sur les généralisations / spécialisations : des contraintes qui peuvent être définies pour les entités comme pour les associations.

62 : Principe Les contraintes d intégrité sur les G/S Partition l un ou l autre mais pas les deux et pas autre chose.

63 : Principe Les contraintes d intégrité sur les G/S Totalité l un ou l autre ou les deux et pas autre chose.

64 : Principe Les contraintes d intégrité sur les G/S Exclusion l un ou l autre mais pas les deux et autre chose.

65 : Principe Les contraintes d intégrité sur les G/S Inclusion L un est forcément inclu dans un autre.

66 : Principe Les contraintes d intégrité sur les G/S Unicité L association si elle existe est unique.

67 : Principe 1 : Principe 2

68 Le modèle relationnel : Principe Histoire Le modèle relationnel a été défini par E.F Codd dans les années 70 et de nombreux chercheurs ont contribué à son développement. Les premiers SGBD bâtis sur ce modèle ont été SQL/DS et DB2 de IBM, d où est né le langage de manipulation de bases relationnelles, SQL ().

69 Le modèle relationnel : Principe Caractéristiques Domaine : ensemble des valeurs d un attribut. Relation (table) : sous ensemble du produit cartésien d une liste de domaines. C est en fait un tableau à deux dimensions dont les colonnes correspondent aux domaines et dont les lignes contiennent des tuples. On associe un nom à chaque colonne. Attribut : une colonne d une relation, caractérisé par un nom. Tuple : liste des valeurs d une ligne d une relation.

70 Le modèle relationnel : Principe Domaine Un domaine est un ensemble de valeurs atomiques : Valide : Entier, Réèl, Chaînes de caractères, Salaire = , Couleur= Bleu, Blanc, Rouge Non Valide : Point = (X :REEL,Y :REEL), TRIANGLE = (P1 :POINT,P2 :POINT,P3 :POINT) et toutes autres données complexes

71 Le modèle relationnel : Principe Les relations Une relation est une table comportant des colonnes (appelées aussi attributs) dont le nom et le type caractérisent le contenu qui sera inséré dans la table. Exemple : Imaginons que l on veuille stocker dans notre base de données notre carnet d adresses. On va donc créer la relation Personne qui aura pour attributs : nom, prénom, adresse, téléphone. Autrement dit, c est une table nommée Personne possédant les colonnes : nom, prénom, adresse, téléphone. nom prenom tel Wallace Gary

72 Le modèle relationnel : Principe En résumé Une base relationnelle est composée de tables et est perçue par l utilisateur comme un ensemble de tables et rien d autre. Dans une table, une ligne correspond à un enregistrement et une colonne à un champ de cet enregistrement. Toute opération relationnelle sur une table génère une nouvelle table. Origine de son succès : sa simplicité.

73 : Principe De l EA au modèle relationnel Pourquoi? Le modèle Entité Association est un modèle conceptuel Le modèle Relationnel est un modèle logique

74 : Principe De l EA au modèle relationnel Entité non faible Une entité E non faible est représentée par une relation T dont les attributs simples sont les attributs de l entité E. De plus, la clé de T est l identifiant de E.

75 : Principe De l EA au modèle relationnel Relation 1 :n Dans le cas d une relation 1 :n (Père/fils), l association n est pas représentée par une relation, cependant ses attributs migrent vers la relation représentant le fils et la clé du père migre vers le fils comme clé.

76 : Principe De l EA au modèle relationnel Relation n :m Dans le cas d une relation n :n, l association A est représentée par une relation T dont les attributs sont les attributs de A et la clé est la concaténation des clés des entités participant à l association A.

77 : Principe De l EA au modèle relationnel Entité Faible Le passage d une entité faible à un schéma relationnel est identique à celui d une association 1-n classique. La seule nuance est que la clé étrangère est une partie de l identifiant de l entité faible.

78 : Principe De l EA au modèle relationnel Généralisation / spécialisation : cas 1 Dans le cas d une généralisation / spécialisation, il existe trois manières de passer au schéma relationnel.

79 : Principe De l EA au modèle relationnel Généralisation / spécialisation : cas 2 Le Push Down.

80 : Principe De l EA au modèle relationnel Généralisation / spécialisation : cas 3 Le Push Up.

81 : Principe De l EA au modèle relationnel Cas particuliers Les cas particuliers doivent être résolus en respectant toujours le principe de non redondance des données. Exemple : Une relation 1 :1 Un type-entité avec un seul attribut (optimisation) etc.

82 : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique 1 : Principe 2 (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique

83 : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Définition SQL est un langage : de définition de données (LDD) de manipulation de données (LMD) de contrôle de données (LCD) de contrôle des transactions (LCT)

84 : Principe SQL : définition de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Commandes CREATE : création d une table RENAME : renommage une table ALTER : modification d un champs d une table DROP : supprimer une table PS : Pour vérifier la structure d une table, on utilise la commande DESCRIBE.

85 : Principe SQL : définition de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La commande CREATE CREATE TABLE nom de table (column datatype [default expr],...) ; Exemple : SQL> CREATE TABLE dept ( deptno number ( 2 ), dname varchar ( 1 5 ), l o c varchar ( 1 4 ) ) ;

86 : Principe SQL : définition de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La commande CREATE RENAME TABLE ancien nom de table TO nouveau nom de table ; Exemple : SQL> RENAME TABLE a n c i e n TO nouveau ;

87 : Principe SQL : définition de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La commande ALTER ALTER [IGNORE] TABLE nom de table alter spec [, alter spec...] ; Exemple : SQL> ALTER TABLE d e p t ADD ( t e l varchar ( 1 5 ), d a t e h e u r e d a t e t i m e ) ; SQL> ALTER TABLE dept MODIFY t e l varchar ( 1 0 ) ; SQL> ALTER TABLE dept DROP t e l ;

88 : Principe SQL : définition de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La commande DROP DROP TABLE nom de table ; Exemple : SQL> DROP TABLE matable ;

89 : Principe SQL : manipulation de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Commandes SELECT : recherche de données INSERT : insére un nouvel enregistrement UPDATE : met à jour un enregistrement DELETE : supprime un enregistrement

90 : Principe SQL : manipulation de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La commande SELECT SELECT permet de faire des recherches sur les bases de données relationnelles. Exemple : SQL> SELECT FROM matable ;

91 : Principe SQL : manipulation de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La commande INSERT INSERT INTO nom de table [(liste des colonnes)] VALUES (liste des valeurs) ; Exemple : SQL> INSERT INTO matable ( id, name ) VALUES ( 2, Willy ) ;

92 : Principe SQL : manipulation de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La commande UPDATE UPDATE nom de table SET colonne = valeur [, colonne2 = valeur2...] [WHERE condition] Exemple : SQL> UPDATE matable SET value = 8 WHERE date= ;

93 : Principe SQL : manipulation de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La commande DELETE DELETE [FROM] nom de table [WHERE condition] Exemple : SQL> DELETE FROM matable WHERE value = 8 Remarque : TRUNCATE matable efface tous les éléments d une table.

94 : Principe SQL : contrôle de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Commandes GRANT : alloue des droits REVOKE : supprime des droits FLUSH PRIVILEGES : applique les mises à jour

95 : Principe SQL : manipulation de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La commande GRANT GRANT <privileges> TO <gratifié> [IDENTIFIED BY password ] [ WITH GRANT OPTION ] Exemple : GRANT SELECT, INSERT, DELETE ON TABLE chambre TO durand WITH GRANT OPTION

96 : Principe SQL : manipulation de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La commande GRANT REVOKE <privileges> FROM <gratifié> Exemple : REVOKE ALL PRIVILEGES ON chambre FROM d u b o i s

97 : Principe SQL : manipulation de données (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La commande GRANT GRANT <privileges> TO <gratifié> [, <gratifié>... ] [ WITH GRANT OPTION ] Exemple : GRANT SELECT, INSERT, DELETE ON TABLE chambre TO durand WITH GRANT OPTION

98 : Principe SQL : contrôle des transactions (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Commandes START TRANSACTION : démarre une transaction COMMIT : valide une transaction RALLBACK : annule la transaction courrante Remarque : Les transactions en MySQL, ne fonctionnent que sur des tables de type InnoDB.

99 Types des attributs : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Définition Sous MySQL les domaines des attributs sont les suivante : Nombre entier signé ou non (température, quantité commandée, âge) Nombre à virgule (prix, taille) Chaîne de caractères (nom, adresse, article de presse) Date et heure (date de naissance, heure de parution) Énumération (une couleur parmi une liste prédéfinie) Ensemble (une ou des monnaies parmi une liste prédéfinie)

100 : Principe Types des attributs : entiers (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique

101 : Principe Types des attributs : flottants (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Remarque Contrairement aux entiers, leur domaine n est pas continu du fait de l impossibilité de les représenter avec une précision absolue.

102 : Principe Types des attributs : chaînes (a) (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique

103 : Principe Types des attributs : chaînes (b) (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Remarques Les types TINYTEXT, TEXT, MEDIUMTEXT et LONGTEXT peuvent être remplacés par TINYBLOB, BLOB, MEDIUMBLOB et LONGBLOB pour obtenir des champs sensibles à la casse. Généralement les BLOB sont utilisés pour stocker des données binaires. La différence en entre VARCHAR et CHAR est que le premier est de taille variable tandis que le second et de taille fixe.

104 : Principe Types des attributs : dates et heures (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique

105 : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique 1 : Principe 2 (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique

106 Algèbre relationnelle : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Définition L algèbre relationnelle regroupe toutes les opérations possibles sur les relations. Voici la liste des opérations possibles : Projection : on ne sélectionne qu un ou plusieurs attributs d une relation (ex : que les colonnes nom et prénom). Jointure : on fabrique une nouvelle relation à partir de 2 ou plusieurs autres en prenant comme pivot 1 ou plusieurs attributs. Par exemple, on concatène la table du carnet d adresse et celle des inscrits à la bibliothèque en fonction du nom de famille. Sélection : on sélectionne tous les tuples ou bien seulement une partie en fonction de critères de sélection qui portent sur les valeurs des attributs.

107 : Principe Algèbre relationnelle : Projection (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique

108 : Principe Algèbre relationnelle : Jointure (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique

109 : Principe Algèbre relationnelle : Sélection (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique

110 : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique 1 : Principe 2 (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique

111 Opérateurs : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique L opérateur * (étoile) Le caractère * (étoile) récupère toutes les colonnes de la table précisée dans la clause FROM de la requête. SELECT FROM WHERE c l i e n t code = M.

112 Opérateurs : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique L opérateur DISTINCT (ou ALL) Lorsque le moteur construit la réponse, il rapatrie toutes les lignes correspondantes, généralement dans l ordre ou il les trouve, même si ces dernières sont en double, c est à dire qu il récupère toutes les lignes (ALL par défaut). C est pourquoi il est souvent nécessaire d utiliser le mot clef DISTINCT qui permet d éliminer les doublons dans la réponse. SELECT DISTINCT prenom FROM c l i e n t WHERE code = M.

113 Opérateurs : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique L opérateur AS L opérateur AS sert à donner un nom à de nouvelles colonnes créées par la requête. SELECT prenom, FROM c l i e n t WHERE c = M. code AS c

114 Opérateurs : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Opérateurs mathématiques de base On peut utiliser les opérateurs mathématiques de base pour combiner différentes colonnes (,+,-, *, /,). SELECT id, p r i x AS t t c FROM p r o d u i t WHERE type = velo

115 Jointures : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Jointures Les jointures permettent d exploiter pleinement le modèle relationnel des tables d une base de données. Elle sont faites pour mettre en relation plusieurs tables afin d extraire les informations voulues. SELECT c l i e n t n o m, t e l e p h o n e n u m e r o FROM c l i e n t, t e l e p h o n e

116 Jointures : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Sélection Afin de filtrer le résultat d un SELECT, on utilise l instruction WHERE pour qui permet de définir les conditions de filtrage. SELECT c l i e n t n o m, t e l e p h o n e n u m e r o FROM c l i e n t, t e l e p h o n e WHERE c l i e n t. c l i e n t i d = t e l e p h o n e. c l i e n t i d

117 Jointures : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Surnommage Le surnommage est la technique permettant d attribuer un surnom à chacune des tables présente dans la partie FROM du SELECT : SELECT c l i e n t n o m, t e l e p h o n e n u m e r o FROM c l i e n t c, t e l e p h o n e t WHERE c. c l i e n t i d = t. c l i e n t i d

118 Jointures : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Les conditions en MySQL = : égalité > :supérieur >= : supérieur ou égal < : inférieur <= : inférieur ou égal <> : différent de IN : dans un ensemble LIKE : correspondance partielle BETWEEN... AND... : entre deux valeurs On assemble les conditions grâce aux instructions logiques (NOT, XOR, OR et AND)

119 Jointures : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Types de jointures Il existe différentes manières de mettre en relation plusieurs tables. Les plus connues sont les suivantes :, (produit cartésien) INNER JOIN ou JOIN LEFT JOIN RIGHT JOIN

120 Jointure interne : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique INNER JOIN ou JOIN Il s agit de la plus commune des jointures c est celle qui s exerce par défaut si on ne précise pas le type de jointure. Après le mot clef ON on doit préciser le critère de jointure. SELECT c l i e n t n o m, t e l e p h o n e n u m e r o FROM c l i e n t c INNER JOIN t e l e p h o n e t ON c. c l i e n t i d = t. c l i e n t i d

121 Jointure externe : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique LEFT JOIN Cette jointure conserve l ensemble des enregistrements de la première table. SELECT c l i e n t n o m, t e l e p h o n e n u m e r o FROM c l i e n t c LEFT JOIN t e l e p h o n e t ON c. c l i e n t i d = t. c l i e n t i d Cette jointure associe aux clients qui n ont pas de numéro de téléphone la valeur NULL en guise de numéro.

122 Jointure externe : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique RIGHT JOIN Cette jointure conserve l ensemble des enregistrements de la seconde table. SELECT c l i e n t n o m, t e l e p h o n e n u m e r o FROM c l i e n t c RIGHT JOIN t e l e p h o n e t ON c. c l i e n t i d = t. c l i e n t i d Cette jointure associe aux numéros de téléphone non encore attribué la valeur NULL en guise de client.

123 Jointures : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Jointures Il existe d autres appellations moins connues : NATURAL JOIN : Cette opérateur permet d éviter de préciser les colonnes concernées par la jointure. CROSS JOIN : identique à la virgule LEFT OUTTER JOIN : sémentiquement équivalent à un LEFT JOIN RIGHT OUTTER JOIN : sémentiquement équivalent à un RIGHT JOIN FULL JOIN : sémentiquement équivalent à un LEFT JOIN + RIGHT JOIN UNION JOIN : La jointure d union, permet de faire l union de deux tables de structures quelconque

124 : Principe Groupage et ensembles (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La clause GROUP BY La clause GROUP BY est nécessaire dès que l on utilise des fonctions de calculs. Cette clause regroupe les lignes sélectionnées en se basant sur une valeur de colonne. SELECT COUNT ( ) AS nombre, e t a g e FROM chambre GROUP BY e t a g e Permet d obenir le nombre de chambres de chacun des étages.

125 : Principe Groupage et ensembles (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La clause HAVING La clause HAVING agit comme le filtre WHERE, mais permet de filtrer non plus les données, mais les opérations résultant des regroupements, c est à dire très généralement toute expression de filtre devant introduire un calcul d agrégation. SELECT COUNT ( ) AS nombre, e t a g e FROM chambre GROUP BY e t a g e HAVING nombre>5 Permet d obenir les étages possédant un nombre de chambres supérieur à 5.

126 La clause finale : Principe (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique La clause ORDER BY La clause ORDER BY permet d ordonner le résultat d une requète selon la valeur d un champ. La clause ORDER BY est la clause finale, car il ne peut y en avoir qu une par requête SELECT. SELECT COUNT ( ) AS nombre, e t a g e FROM chambre GROUP BY e t a g e HAVING nombre>5 ORDER BY nombre ASC Permet d obenir les étages possédant un nombre de chambres supérieur à 5 (ordonné de manière croissante).

127 : Principe Groupage et ensembles (SQL) : les bases Algèbre relationnelle L instruction SELECT : en pratique Les opérateurs ensemblistes Les opérateurs ensemblistes permettent de réaliser des opérations sur les ensembles représentés par des tables ou des extraits de table. Les opérations ensemblistes sont : UNION, INTERSECT et EXCEPT SELECT... FROM... WHERE { UNION INTERSECT EXCEPT} SELECT... FROM... WHERE

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