CATERING INTERNATIONAL & SERVICES CAISSE D EPARGNE ET DE PREVOYANCE DES ALPES DASSAULT SYSTEMES

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1 2 Novembre 2005 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES Par ailleurs, nous rappelons que, s agissant de préparer le passage au référentiel IFRS tel qu adopté dans l Union européenne pour l établissement des comptes consolidés de l exercice 2005, les rapprochements IFRS ne constituent pas des comptes consolidés établis selon le référentiel IFRS tel qu adopté dans l Union européenne, permettant de donner, au regard de ce référentiel, une image fidèle du patrimoine, de la situation financière et du résultat de l ensemble constitué par les entreprises comprises dans la consolidation. Paris et Tours, le 19 octobre Les commissaires aux comptes Pour la Sarl Diagnostic & Investissement : YANN MARCHAND ; Pour la S.A. Ernst & Young Audit : PHILIPPE BLANC. CAISSE D EPARGNE ET DE PREVOYANCE DES ALPES Banque coopérative (loi du 25 juin 1999) au capital de b. Siège social : 10, rue Hébert, Grenoble R.C.S. Grenoble. Situation au 30 septembre Actif Montant Caisse, banques centrales, C.C.P Effets publics et valeurs assimilées... Créances sur les établissements de crédit Opérations avec la clientèle Obligations et autres titres à revenu fixe Actions et autres titres à revenu variable Participations et autres titres détenus à long terme Parts dans les entreprises liées Crédit-bail et location avec Option d achat... Location simple... Immobilisations incorporelles Immobilisations corporelles Capital souscrit non versé... Actions propres... Comptes de négociation et de règlement..... Autres actifs Comptes de régularisation Total actif Passif Montant Banques centrales, C.C.P.... Dettes envers les établissements de crédit Opérations avec la clientèle Dettes représentées par un titre Autres passifs Comptes de régularisation Comptes de négociation et de règlement..... Provisions pour risques et charges Dettes subordonnées Fonds pour risques bancaires généraux Capitaux Propres hors FRBG Capital souscrit Primes d émission Réserves Ecarts de réévaluation... Provisions réglementées et subventions d investissement. 43 Report à nouveau Total passif Hors bilan Montant Engagements donnés : Engagements de financement Engagements de garantie Engagements sur titres Engagements reçus : Engagements de financement Engagements de garantie Engagements sur titres CATERING INTERNATIONAL & SERVICES Société anonyme au capital de b. Siège social : 40c, avenue de Hambourg, Marseille, France R.C.S. Marseille. Siret : APE : 551 A. Chiffres d affaires consolidés comparés Premier trimestre Deuxième trimestre Troisième trimestre Cumul au 30 septembre DASSAULT SYSTEMES Société anonyme au capital de b. Siège social : 9, quai Marcel-Dassault, Suresnes R.C.S. Nanterre. A. Comptes semestriels consolidés. I. Bilan au 30 juin Actif 30/06/05 Immobilisations incorporelles, nettes (Note 3) Immobilisations corporelles, nettes (Note 4) Impôts différés actifs Autres actifs non courants (Note 5) Total actifs non courants Clients et comptes rattachés, nets (Note 6) Autres actifs courants (Note 7) Placements à court terme Trésorerie et équivalents de trésorerie Total actifs courants Total actif Passif 30/06/05 Capital (Note 8) Primes liées au capital Réserves consolidées Ecarts de conversion Autres éléments du résultat étendu Total capitaux propres Contrats de crédit-bail Participation des salaries Retraite, indemnités de départ, prestations et avantages Impôts différés passifs Autres passifs non courants Total passifs non courants Dettes fournisseurs Personnel et comptes rattachés Commissions sur ventes à payer Produits constatés d avance Impôts sur les bénéfices à payer Passifs non courants : part à court terme Taxes sur le chiffre d affaires Charges à payer et autres passifs courants Total passifs courants Total passif II. Comptes de résultat consolidés. 30/06/05 30/06/04 Chiffre d affaires : Ventes de logiciels

2 27436 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES 2 Novembre /06/05 30/06/04 Prestations de services Total chiffre d affaires Coût des produits et services vendus : Coût des ventes de logiciels Coût des prestations de services vendues Total coût des produits et services vendus Marge brute Frais de recherche et de développement Frais commerciaux Frais généraux et administratifs Charges opérationnelles Résultat opérationnel Produits financiers et autres produits, nets (note 9) Résultat courant des entreprises intégrées Charge d impôt sur les bénéfices Quote-part dans les résultats des entreprises mises en équivalence Résultat net Résultat net de base par action (en euro)... 0,57 0,49 1,07 Résultat net dilué par action (en euro)... 0,56 0,48 1,04 Nombre moyen d actions en circulation (en millions).. 113,6 113,1 113,2 Nombre moyen d actions dilué en circulation (en millions) ,6 116,0 116,2 III. Tableaux des flux de trésorerie consolidés. 30/06/05 Flux de trésorerie liés à l activité : Résultat net consolidé Elimination des éléments sans incidence sur la trésorerie liée à l activité : Paiements en actions Amortissement des immobilisations corporelles Amortissement des immobilisations incorporelles Impôts différés Autres Variation des actifs et passifs courants : (Augmentation) diminution des clients et comptes rattachés (Augmentation) diminution des autres actifs circulants 30/06/ Augmentation (diminution) des fournisseurs, des comptes de personnel et comptes rattachés Augmentation (diminution) des commissions sur ventes à payer Augmentation (diminution) des produits constatés d avance Augmentation (diminution) de l impôt sur les bénéfices à payer Augmentation (diminution) des autres passifs et part à court terme des dettes à long terme Flux net de trésorerie généré (utilisé) par l activité Flux de trésorerie liés aux opérations d investissement : Acquisitions d immobilisations incorporelles Acquisitions d immobilisations corporelles Acquisitions de placements à court terme Cessions de placements à court terme Acquisitions de filiales consolidées, nettes de la trésorerie acquise Augmentation des autres immobilisations financières Autres Flux net de trésorerie généré (utilisé) par les opérations d investissement Flux de trésorerie liés aux opérations de financement : Dilution sur titres Solidworks Exercice des stock-options Dividendes versés Remboursement des dettes liées aux contrats de crédit-bail Flux net de trésorerie généré (utilisé) par les opérations de financement Incidence des variations de taux de change sur la trésorerie Augmentation (diminution) de la trésorerie Trésorerie et équivalents de trésorerie à l ouverture de l exercice Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture de l exercice IV. Tableau de variation des capitaux propres consolidés. Capital Primes d émission Réserves consolidées Ecarts de conversion Autres éléments Situation au 1 er janvier Résultat de l exercice Écarts de conversion Exercice des options de souscription d actions Dividende versé en espèces Instruments financiers Juste valeur des investissements l 541 Autres variations de capital Situation au 31 décembre Résultat du premier semestre Ecarts de conversion Exercice des options de souscription d actions Total

3 2 Novembre 2005 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES Capital Primes d émission Réserves consolidées Ecarts de conversion Autres éléments Dividende versé en espèces Juste valeur des investissements Plan de stock-options Dassault Systèmes Situation au 30 juin Total L annexe fait partie intégrante des comptes consolidés. V. Annexe aux comptes semestriels consolidés. Note 1. Description des activités du groupe. L activité de Dassault Systèmes et ses filiales («Le groupe») s articule autour de deux axes : i) développer et vendre des logiciels destinés à gérer le cycle de vie des produits industriels («Product Lifecycle Management» ou «PLM») depuis leur conception jusqu à leur maintenance en passant par la simulation de leur fabrication, ii) offrir la puissance de la représentation virtuelle en 3D au plus grand nombre d utilisateurs possible. Le groupe opère sur deux segments : celui qui regroupe son offre destinée aux clients désireux de simuler l ensemble de leurs processus industriels («Process Centric») et celui destiné aux clients cherchant une solution simple de conception de pièces («Design Centric»). Pour les clients du marché Process Centric, le groupe développe les logiciels Catia pour la conception de produits et la simulation de leur maquette virtuelle, Delmia pour la simulation de la fabrication et, enfin, Enovia et Smarteam pour la gestion des données produits. Le groupe offre également des composants logiciels, notamment au travers de sa filiale Spatial. Les lignes de produits Catia, Enovia et Smarteam sont distribuées au niveau mondial par International Business Machines Corporation («IBM»). Pour les clients du Design Centric, le groupe propose la ligne de produits de SolidWorks. Les produits développés par SolidWorks Corporation («SolidWorks») sont distribués directement par le groupe ou par des partenaires commerciaux indépendants. Outre le développement et la vente de logiciels, le groupe réalise des prestations de services, d assistance aux efforts de commercialisation d IBM, de maintenance vis-à-vis de ses clients directs, de conseil technologique et de revente de matériels informatiques. Les titres de Dassault Systèmes sont cotés sur Eurolist Compartiment A Paris et à la cote du Nasdaq de New York. Note 2. Principes comptables. Bases de préparation des états financiers consolidés semestriels. Du fait de sa cotation dans un pays de l Union européenne et conformément au règlement CE no 1606/2002 du 19 juillet 2002, les comptes consolidés du groupe qui seront publiés au titre de l exercice 2005 seront établis suivant les normes comptables internationales : International Financial Reparting Standards («IFRS») applicables au 31 décembre 2005, telles qu adoptées par l Union européenne. Conformément aux recommandations du Committee of European Securities Regulators («CESR») et de l Autorité des marchés financier («AMF») sur la communication financière pendant la période de transition, les comptes intermédiaires au 30 juin 2005 ont été préparés sur la base suivante : La présentation des états financiers et des notes annexes est conforme aux règles et en particulier à la recommandation 99 R-01 du conseil national de la comptabilité relative aux comptes intermédiaires ; Les principes de comptabilisation et d évaluation sont conformes au référentiel IFRS adopté par l Union européenne au 30 juin De ce fait, les présents comptes intermédiaires ne sont pas conformes à la norme IAS 34 car ils ne présentent pas l intégralité des informations requises par cette norme. Les informations financières comparatives 2004 ont été établies selon le référentiel IFRS en vigueur à la date de préparation des comptes semestriels 2005 et en conformité avec la norme IFRS 1 relative à la première adoption des normes IFRS. Les options retenues par le groupe dans le cadre de cette première adoption ainsi que les effets de la transition sont présentées en note 13. L information comparative qui sera présentée dans les comptes consolidés au 31 décembre 2005 et dans les comptes consolidés semestriels au 30 juin 2006 pourrait être différente des comptes présentés dans le présent document en raison notamment de l évolution éventuelle des normes et interprétations IFRS applicables aux sociétés cotées européennes au cours du deuxième semestre Le groupe prépare également des comptes consolidés selon les principes comptables généralement admis aux Etats-Unis d Amérique. Les différences entre les comptes consolidés établis selon les normes IFRS et ceux établis selon les principes comptables américains sont résumées en note 14. Principes et méthodes. Bases d évaluation utilisées pour l établissement des comptes consolidés. Les comptes consolidés sont établis selon la convention du coût historique à l exception de certaines catégories d actifs conformément aux normes IFRS. Les catégories concernées sont mentionnées dans les notes suivantes. Méthodes de consolidation. Les filiales (sociétés contrôlées exclusivement) sont consolidées par intégration globale. La mise en équivalence s applique à toutes les entreprises associées dans lesquelles le groupe exerce une influence notable. Toutes les transactions infragroupe significatives sont éliminées en consolidation. Conversion des comptes exprimés en devises. Les bilans des sociétés dont la monnaie fonctionnelle n est pas l euro sont convertis en euro au taux de change de clôture et leurs comptes de résultat et flux de trésorerie au taux de change moyen de l exercice. La différence de conversion en résultant est inscrite dans les capitaux propres au poste «Ecarts de conversion». Les écarts d acquisition et ajustements de juste valeur provenant de l acquisition d une entité étrangère sont considérés comme des actifs et passifs de l entité étrangère. Ils sont donc exprimés dans la devise fonctionnelle de l entité et sont convertis au taux de clôture. Constatation du chiffre d affaires. Le groupe réalise son chiffre d affaires à partir de trois sources principales : (1) un accord de distribution conclu avec IBM, (2) des licences d utilisation de nouveaux logiciels et des prestations de maintenance associées qui comprennent des mises à jour et un support technique ainsi que des développements de fonctionnalités supplémentaires pour les produits standards effectués à la demande des clients, et (3) des prestations de services comprenant du conseil et de la formation. Accord de distribution IBM : Conformément au contrat que le groupe a conclu avec IBM, le groupe vend sous licence ses produits à IBM qui les revend sous licence aux utilisateurs finaux. Le groupe fournit des prestations de maintenance à IBM mais ne conclut pas de contrats directement avec les clients d IBM. Par ailleurs, le groupe forme les employés d IBM lors de la sortie de nouveaux produits et participe avec IBM à un contrat de marketing à échelle mondiale ainsi qu à d autres initiatives de développement concernant les produits du groupe et ceux d IBM. Les redevances versées dans le cadre de ce contrat sont acquises lorsque le chiffre d affaires est comptabilisé par IBM à partir de ses reventes sous licences de produits et services. En général cela conduit à prendre en compte le chiffre d affaires au moment de la revente sous licence par IBM au client final pour les licences d utilisation et sur la période durant laquelle IBM doit fournir le support au client final pour les prestations de maintenance. Le paiement des redevances est dû généralement à 30 jours après la fin du mois au cours duquel les redevances sont acquises, Le groupe comptabilise le chiffre d affaires lorsque les redevances sont acquises. Les déclarations d activité communiquées par IBM font l objet d un audit annuel et d un processus d ajustement, au cours desquels chacune des deux parties a l opportunité de corriger les écarts susceptibles d être apparus lors du processus de déclaration mensuelle de l exercice écoulé. Ces écarts résultent pratiquement toujours des déclarations intérimaires qui occasionnellement soit surévaluent, soit sous-évaluent le nombre de transactions sur licences d utilisation de logiciels avec un ou des groupe(s) de clients finaux. Le groupe contrôle les écarts possibles en se fondant sur les tendances historiques et sur les situations spécifiques connues, et il diffère la comptabilisation du chiffre d affaires par IBM à partir de l estimation qu il a fait des ajustements auxquels il sera finalement procédé. Nouvelles licences d utilisation, maintenance et développement de produits : Le chiffre d affaires issu des nouvelles licences d utilisation représente la somme des redevances acquises au titre de l octroi aux clients de licences d utilisation de nos logiciels. Le chiffre d affaires issu des licences d utilisation de nouveaux logiciels comprend des ventes sous licences à durée indéterminée ou déterminée de produits logiciels. Le chiffre d affaires issu des licences d utilisation de nouveaux logiciels est comptabilisé lorsque : (1) le groupe peut démontrer l existence d un accord, (2) la livraison et la réception du logiciel ont eu lieu, (3) le montant de la licence d utilisation du logiciel est déterminé ou déterminable, et (4) le recouvrement est probable. Si un des quatre critères n est pas rempli, la comptabilisation du chiffre d affaires issu de la licence d utilisation du logiciel est différée jusqu à ce que tous les critères soient remplis. Le chiffre d affaires se rapportant à la vente sous licence de logiciels par le biais de distributeurs est comptabilisé lorsque le groupe reçoit un avis de livraison au client final, et à condition que tous les autres critères préalables à la comptabilisation du chiffre d affaires aient été remplis. Le chiffre d affaires issu de la maintenance équivaut aux commissions associées à la vente de mises à jour périodiques de produits non spécifiées et au support technique. Les mises à jour de licences consistent en un droit à des mises à jours de produits non spécifiées, s il y en a et lorsqu elles sont disponibles. Elles sont conclues lors de l acquisition de la licence d utilisation de logiciel initiale. Le support maintenance peut être renouvelé à l issue de chaque terme fixé. Le chiffre d affaires de la maintenance est différé et comptabilisé selon la méthode linéaire sur la durée du contrat de maintenance. Le chiffre d affaires issu du développement de produits correspond au développement de fonctionnalités additionnelles effectué à la demande des clients. Ce chiffre d affaires est comptabilisé lorsque les services sont rendus. Le chiffre d affaires issu de contrats à éléments multiples, c est-à-dire incluant classiquement des licences d utilisation de nouveaux logiciels et des contrats de maintenance vendus ensemble, est ventilé entre chaque élément du contrat en utilisant principalement la méthode résiduelle s appuyant sur la juste valeur des éléments non livrés. Les éventuelles remises sont appliquées aux éléments livrés, généralement des licences d utilisation, selon la méthode résiduelle. La juste valeur de la maintenance est déterminée sur la base soit d un taux de renouvellement spécifié dans chaque contrat, soit

4 27438 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES 2 Novembre 2005 du prix pratiqué lorsqu elle est vendue séparément. Lorsque la juste valeur d un ou plusieurs des éléments non livrés ne peut être déterminée, la totalité du chiffre d affaires est différée et reconnue au moment de la livraison de ces éléments ou de la détermination ultérieure de la juste valeur. Prestations de service et divers : Le chiffre d affaires issu des services comprend les honoraires de conseil et de formation. Il est comptabilisé lorsque les services sont rendus. Le chiffre d affaires dérivé de la revente de matériel informatique est comptabilisé à la livraison. Frais de recherche et développement. Les frais de recherche et de développement comprennent essentiellement les frais de personnel des spécialistes en infrastructure de logiciels et sur différents domaines applicatifs tels que la conception mécanique, la fabrication, l ingénierie mécanique et le style, et dans les secteurs industriels ciblés par le groupe. Ils incluent également les amortissements, les frais de location et les frais de maintenance du matériel informatique utilisé pour l activité de développement, le coût des outils de développement des logiciels ainsi que les frais liés aux réseaux informatiques et autres moyens de communication. Les frais de recherche et de développement des logiciels pour lesquels une licence doit être délivrée ou qui doivent être commercialisés dans d autres conditions sont enregistrés en charges de l exercice au cours duquel ils sont engagés si l analyse de critères techniques et économiques ne les rend pas immobilisables. L application de ce principe comptable a conduit, dans tous les cas, à l enregistrement de ces coûts en charges de l exercice au cours duquel ils ont été exposés. Immobilisations corporelles et incorporelles. Conformément à la norme IAS 16 «Immobilisations corporelles» et à la norme IAS 38 «Immobilisations incorporelles», seuls les éléments dont le coût peut être déterminé de façon fiable et pour lesquels il est probable que les avantages économiques futurs iront au groupe sont comptabilisés en immobilisations. Conformément à la norme IAS 36 «Dépréciation d actifs», lorsque des événements ou modifications d environnement de marché indiquent un risque de perte de valeur des immobilisations incorporelles et corporelles, celles-ci font l objet d une revue détaillée afin de déterminer si leur valeur nette comptable est inférieure à leur valeur recouvrable, celle-ci étant définie comme la plus élevée de la juste valeur (diminuée du coût de cession) et de la valeur d utilité, Ecarts d acquisition : Les écarts d acquisition ne sont plus amortis depuis le 1 er janvier 2002, date retenue pour le retraitement des opérations de regroupement d entreprise, conformément à la norme IFRS 3 «Regroupement». Avant le 1 er janvier 2002, ils étaient amortis linéairement sur des durées déterminées, acquisition par acquisition, généralement 3 ans. Depuis l application d IFRS 3 au 1 er janvier 2002, ils font l objet une fois par an d un test de dépréciation. Ce test annuel est effectué au cours du quatrième trimestre de chaque année. La méthodologie retenue consiste principalement à comparer les valeurs recouvrables de chacune des unités génératrices de trésorerie du groupe aux actifs nets correspondants (y compris les écarts d acquisition). Ces valeurs recouvrables sont essentiellement déterminées à partir de projections actualisées de flux de trésorerie futurs d exploitation. La mise en œuvre de ces tests de dépréciation n a pas conduit à comptabiliser une dépréciation d actif au 1 er janvier 2004 (bilan d ouverture IFRS) et au 31 décembre Des tests de dépréciation complémentaires sont effectués si des événements ou circonstances particulières indiquent une perte de valeur potentielle. Autres immobilisations incorporelles : Les éléments comptabilisés en immobilisations incorporelles sont principalement des logiciels. Ces derniers sont soit acquis ou créés, à usage interne, soit les logiciels mères pour ceux destinés à être vendus. Les immobilisations incorporelles sont généralement amorties linéairement sur leurs durées d utilisation estimées (généralement de 18 mois à 5 ans). Les amortissements et dépréciations sont comptabilisés au compte de résultat en coût des ventes, frais de recherche et développement ou en frais administratifs et commerciaux suivant la destination de l immobilisation. Il n existe pas d immobilisations incorporelles pour lesquelles la durée de vie est considérée comme indéfinie. Autres actifs non courants. Les autres actifs non courants comprennent principalement les titres de participation non consolidés et les autres immobilisations financières. Les titres de participation dans des sociétés non consolidées sont analysés comme disponibles à la vente et sont donc comptabilisés à leur juste valeur. Pour les titres cotés, cette juste valeur correspond au cours de bourse. Si la juste valeur n est pas déterminable de façon fiable, les titres sont comptabilisés à leur coût. Les variations de juste valeur sont comptabilisées directement en capitaux propres. En cas d indication objective d une dépréciation de l actif financier (notamment baisse significative et durable de la valeur de l actif), une provision pour dépréciation irréversible est constatée par le résultat, la reprise de cette provision par le résultat n intervenant qu au moment de la cession des titres. Les prêts sont comptabilisés au coût amorti. Ils peuvent faire l objet d une provision pour dépréciation s il existe une indication de perte de valeur. La dépréciation correspondant à la différence entre la valeur nette comptable et la valeur recouvrable est comptabilisée en résultat et est réversible si la valeur recouvrable était amenée à évoluer favorablement dans le futur. A chaque clôture, un examen du portefeuille des titres non consolidés et des autres actifs financiers est effectué afin d apprécier s il existe des indications objectives de perte de valeur de ces actifs. Le cas échéant, une provision pour dépréciation est comptabilisée. Provisions pour pensions, indemnités de fin de carrière et autres avantages du personnel. En accord avec les lois et pratiques de chaque pays dans lequel il est implanté, le groupe participe à des régimes de retraites, de préretraites et d indemnités de départs. Pour les régimes de base et autres régimes à cotisations définies, le groupe comptabilise en charges les cotisations à payer lorsqu elles sont dues et aucune provision n est comptabilisée, le groupe n étant pas engagé au-delà des cotisations versées. Pour les régimes à prestations définies, les provisions sont déterminées de la façon suivante : la méthode actuarielle utilisée est la méthode dite des unités de crédits projetés («Projected unit credit method») qui stipule que chaque période de service donne lieu à constatation d une unité de droit à prestation et évalue séparément chacune de ces unités pour obtenir l obligation finale. Ces calculs intègrent des hypothèses de mortalité, de rotation du personnel et de projection des salaires futurs ; la méthode dite du corridor est appliquée. Ainsi seuls les écarts actuariels représentant plus de 10 % du montant des engagements ou de la valeur de marché des placements sont comptabilisés et amortis sur l espérance de durée résiduelle moyenne de vie active des salariés du régime. Certains autres avantages postérieurs à l emploi tels que l assurance-vie, la couverture médicale (principalement aux Etats-Unis) ou les médailles du travail (gratification accordée aux salariés notamment en France en fonction de leur ancienneté) font également l objet de provisions qui sont déterminées en procédant à un calcul actuariel comparable à celui effectué pour les provisions pour retraites. Options de souscription d actions. Les options de souscription d actions Dassault Systèmes S.A. qui sont accordées aux salariés du groupe sont comptabilisées en charge à la juste valeur des options déterminée à la date d attribution. Cette juste valeur est comptabilisée au compte de résultat sur la période de service nécessaire à l acquisition des droits par les salariés. La charge est comptabilisée en contrepartie des capitaux propres. La juste valeur des options est déterminée sur la base d un modèle mathématique couramment utilisé par les spécialistes de marchés d options, et repose sur des hypothèses de volatilité attendue du cours de l action, de durée de vie attendue des options et de distribution de dividendes futurs qui ont été déterminées par la direction. Les plans d options portant sur les actions non cotées de certaines filiales et pour lesquels le groupe est engagé à racheter les actions détenues par les salariés sont comptabilisés en dettes sur la base de la juste valeur des instruments octroyés. Cette juste valeur est réévaluée à chaque date de clôture jusqu à la date de règlement. La charge est comptabilisée au fur et à mesure de l acquisition des droits par le salarié et tient compte en outre des variations de juste valeur de l instrument jusqu à son dénouement en trésorerie. Ainsi, à la date de règlement, la charge cumulée comptabilisée est égale au décaissement net effectué par le groupe. La détermination de la juste valeur des instruments se fonde sur la juste valeur des actions non cotées de la filiale, telle que déterminée par un expert indépendant. Impôts. Des impôts différés sont calculés sur toutes les différences temporelles entre la base imposable et la valeur en consolidation des actifs et passifs. La règle du report variable est appliquée et les effets des modifications des taux d imposition sont inscrits dans les capitaux propres ou le résultat de l exercice au cours duquel le changement de taux est décidé. Des actifs d impôts différés sont inscrits au bilan dans la mesure où il est probable qu ils soient récupérés au cours des années ultérieures. Les actifs et passifs d impôts différés ne sont pas actualisés. Instruments financiers, trésorerie et équivalents de trésorerie. Le groupe utilise des instruments financiers pour gérer et réduire son exposition aux risques de variation des taux de change. Les instruments dérivés doivent être comptabilisés au bilan à leur juste valeur. Si l instrument dérivé est désigné comme couverture de juste valeur, les variations de valeur du dérivé et de l élément couvert sont enregistrées en résultat sur la même période. Si l instrument dérivé est désigné comme couverture de flux de trésorerie, la variation de valeur de la partie efficace du dérivé est enregistrée dans les capitaux propres. Elle est constatée en résultat lorsque l élément couvert est lui-même comptabilisé en résultat. En revanche, la variation de valeur de la partie inefficace du dérivé est enregistrée directement en résultat. La trésorerie et les équivalents de trésorerie comprennent les disponibilités ainsi que les placements à court terme, liquides et facilement convertibles en un montant déterminable de liquidité. Les placements dans des actions cotées, les placements à plus de trois mois sans possibilité de sortie anticipée ainsi que les comptes bancaires faisant l objet de restrictions sont exclus de la trésorerie. Les valeurs mobilières de placement sont évaluées à leur juste valeur. Aucun placement n est analysé comme étant détenu jusqu à l échéance. Pour les placements considérés comme détenus à des fins de transaction, les variations de juste valeur sont comptabilisées systématiquement en résultat. Pour les placements disponibles à la vente, les variations de juste valeur sont comptabilisées directement dans les capitaux propres ou en résultat (en autres produits et charges financiers) dans le cas d indication objective d une dépréciation plus que temporaire. Résultats par action. Le résultat de base par action est calculé en divisant le résultat net de la période par le nombre moyen pondéré d actions en circulation au cours de la période. Le résultat dilué par action est calculé en divisant le résultat de la période par le nombre moyen pondéré d actions en circulation au cours de la période ajusté des actions potentielles dilutives. Estimations de la direction du groupe. L établissement des comptes consolidés exige que la direction du groupe fasse des estimations et des hypothèses qui ont une incidence sur la valorisation des actifs et des passifs, sur l information financière relative aux actifs et passifs éventuels à la date d établissement des comptes consolidés, ainsi que sur les montants portés en produits et en charges au cours de l exercice, Ces estimations ont été effectuées dans le respect du principe de prudence sur la base des informations disponibles à la date d établissement des états financiers. Les résultats réels de ces transactions pourront être différents de ceux issus des estimations de la direction du groupe.

5 2 Novembre 2005 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES Comptes semestriels. La charge d impôt est calculée en appliquant au résultat avant impôt de la période le taux effectif moyen estimé pour l exercice. Les engagements de retraites du semestre ont été estimés à partir des études actuarielles réalisées au cours de l exercice Note 3. Immobilisations incorporelles. Les mouvements des immobilisations incorporelles au cours du semestre clos le 30 juin 2005 sont présentés ci-dessous : Ecarts d acquisition Logiciels Brevets, marques autres Total Valeurs nettes au 31 décembre Ecarts d acquisition Logiciels Brevets, marques autres Total Acquisitions Cessions Dotations du semestre Effet de la conversion Valeurs nettes au 30 juin Note 4. Immobilisations corporelles. Les mouvements des immobilisations corporelles au cours du semestre clos le 30 juin 2005 sont présentés ci-dessous : Terrains et constructions Matériel informatique Mobilier et matériel de bureau Aménagements Valeurs nettes au 31 décembre Acquisitions Cessions, nettes Dotations du semestre Effet de la conversion Valeurs nettes au 30 juin Total Note 5. Autres actifs non courants. Note 7. Autres actifs courants. 30/06/05 Participations : ImpactXoft MSC.Software Autres Total Participations Prêts : Rand ImpactXoft Autres Total Prêts Part courante Immobilisations financières Autres Autres actifs non courants Note 6. Clients et transactions avec les parties liées. Les produits Catia, Enovia et Smarteam sont commercialisés, sur la plupart des marchés mondiaux, essentiellement par IBM, dans le cadre d un accord commercial mutuellement non-exclusif. IBM assure également le service après-vente des produits du groupe. Le chiffre d affaires réalisé dans le cadre du partenariat commercial avec IBM en pourcentage du chiffre d affaires total du groupe s est élevé à 50 % au 30 juin 2005 et 56 % au 31 décembre IBM n est soumis à aucune obligation contractuelle de continuer à commercialiser activement les produits du groupe. IBM pourrait notamment décider de cesser son activité de commercialisation des produits du groupe sans avoir à supporter de pénalité. Une telle décision d IBM visant à cesser ou réduire ses efforts commerciaux sur les produits du groupe entraînerait une diminution brutale des ventes de logiciels, et viendrait obérer de façon significative, du moins à court terme, tant la situation financière que les résultats du groupe. La Direction du groupe estime toutefois que sa relation de longue date avec IBM est fondée sur le respect et la réussite mutuels, et n a pas connaissance de circonstances de nature à provoquer la rupture de cette relation. Le solde du compte client IBM représente respectivement et milliers d euros au 30 juin 2005 et au 31 décembre La majeure partie de ce solde correspond à des créances liées aux ventes de logiciels. Le groupe estime que la situation financière d IBM compense le risque financier lié à la concentration des actifs sur un seul client. Le groupe licencie ses produits à IBM et à Dassault Aviation pour leur utilisation interne. IBM et Dassault Aviation ont bénéficié de conditions commerciales comparables à celles accordées à d autres clients de taille similaire. Le groupe a également réalisé des prestations de services pour Dassault Aviation. Celles-ci ont été conclues à des conditions de marché. 30/06/05 Charges constatées d avance Crédit de T.V.A Créance d impôt à recevoir Part courante des actifs non courants Autres Autres actifs courants Note 8. Capital social. Les mouvements intervenus sur le capital social de Dassault Systèmes au cours du semestre clos le 30 juin 2005 s analysent comme suit : Nombre d actions Nominal (en euros) Capital social (en euros) Actions autorisées, émises et en circulation au 1 er janvier , d actions du 28 juin , d actions du 15 décembre , d actions du 28 janvier ,00 d actions du 9 novembre , d actions du 15 septembre , d actions du 29 mars , d actions du 29 juin ,00 915

6 27440 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES 2 Novembre 2005 Nombre d actions Nominal (en euros) Capital social (en euros) d actions du 5 octobre , d actions du 28 mai , d actions du 1 er janvier , Nombre d actions rachetées et annulées en Total au 30 juin , Note 9. Produits financiers et autres produits, nets. 30/06/05 30/06/04 Produits financiers Charges d intérêts Résultat net des opérations en devises /06/05 30/06/04 Autres, nets Résultat financier Note 10. Données financières analysées par segments d activités. Le groupe opère sur deux segments : le «Process-centric» et le «Designcentric». La répartition par segment d activité des données financières du groupe se décompose comme suit : 30/06/05 30/06/04 Chiffre d affaires Process-centric Design-centric Eliminations Résultat opérationnel Process-centric Design-centric Résultat net Process-centric Design-centric Note 11. Périmètre de consolidation. % de droit de vote 30/06/05 % participation Méthode consolidation % droit de vote % participation Méthode de consolidation Dassault systèmes K.K Intégration globale Intégration globale Dassault Data Services Intégration globale Intégration globale Dassault systèmes of America corp. et ses filiales Intégration globale Intégration globale SolidWorks Corporation et ses filiales Intégration globale Intégration globale Delmia Corp. et ses filiales Intégration globale Intégration globale Enovia Corp. et ses filiales Intégration globale Intégration globale Dassault Systèmes Corp Intégration globale Intégration globale Dassault Systèmes AG Intégration globale Intégration globale Smart Team Corporation Ltd. et ses filiales Intégration globale Intégration globale Dassault Systèmes Provence Intégration globale Intégration globale Delmin GmbH Intégration globale Intégration globale Dassault Systèmes Canada Inc Intégration globale Intégration globale Safework Inc Intégration globale Intégration globale Spatial Corp, et ses filiales Intégration globale Intégration globale Dassault Systèmes Srl Intégration globale Intégration globale Structural Rescarch and analysis corp Intégration globale Intégration globale Invention Machine Corporation Mise en équivalence Mise en équivalence Dassault Systèmes Inc Intégration globale Intégration globale Knowledge Technologies International Inc Intégration globale Intégration globale Knowledge Technologies International Ltd Intégration globale Intégration globale Knowledge Technologies International France Intégration globale Intégration globale Dassault Systèmes (Switzerland) Ltd Intégration globale Intégration globale 3D PLM Software Solutions Ltd Mise en équivalence Mise en équivalence Athys Intégration globale Intégration globale Rand North América Intégration globale Intégration globale Dassault Systèmes SAS Intégration globale Intégration globale Dassault Systèmes Russia Corp Intégration globale Intégration globale Transcat PLM GmbH & KO.KG Intégration globale Intégration globale Transcat Plastik GmbH Intégration globale Intégration globale Transcat Holding GmbH Intégration globale Intégration globale Transcat PLM Limited Intégration globale Intégration globale Transcat PLM AG Intégration globale Intégration globale Transcat PLM AG Intégration globale Intégration globale Virtools Intégration globale Intégration globale Note 12. Indications sur le caractère cyclique de l activité. Les résultats trimestriels du groupe ont varié de façon significative et continueront vraisemblablement de varier de façon significative dans le futur en raison de facteurs tels que le nombre, les dates d introduction et l importance des améliorations apportées aux produits existants ou le caractère novateur des nouveaux produits du groupe ou de ses concurrents, la capacité du groupe à développer, à introduire et à commercialiser des nouvelles versions de ses produits, le report par les clients de la passation de commandes dans l attente de la sortie de nouveaux produits par le groupe, les dates de prise en compte et le délai de communication par IBM du chiffre d affaires, les taux de change, les conditions générales du marché PLM, des industries de l informatique, des économies régionales et enfin d autres évènements ou facteurs économiques. Une partie significative des ventes du groupe intervient au cours du dernier mois de chaque trimestre. Par conséquent, les dates des commandes et des installations, y compris les retards imprévus ou les actions menées par les concurrents pour réduire leurs prix ou introduire de nouveaux produits, pourraient entraîner une variation importante des résultats du groupe. Ainsi qu il est généralement observé dans l industrie du logiciel PLM, l activité de concession de licences atteint son maximum au cours du mois de décembre. Le chiffre d affaires des ventes de logiciels, le chiffre d affaires total, le résultat opérationnel et le résultat net sont généralement plus élevés au titre du quatrième trimestre. Note 13. Impact de la transition aux normes IFRS. Options de première application. La norme IFRS 1 «Première application des normes d information financière internationale» prévoit qu un premier adoptant peut déroger dans certains cas à l application rétrospective

7 2 Novembre 2005 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES des normes IFRS en vigueur à la date d arrêté des comptes, au bilan d ouverture à la date de transition. Les options retenues par le groupe pour l établissement des comptes intermédiaires au 30 juin 2005 sont présentées ci-après et correspondent aux options que le groupe retiendra, selon toute vraisemblance, pour l établissement de ses comptes consolidés au 31 décembre : Le groupe a opté pour l application rétrospective de la norme IFRS 3 au 1 er janvier En conséquence, les regroupements antérieurs à cette date n ont pas été retraités. Cela concerne notamment l acquisition de SolidWorks, en 1997, qui avait été comptabilisée selon la méthode dérogatoire article 215 en principes comptables français ; Instruments financiers : Le groupe a décidé d appliquer les normes IAS 32 «Instruments financiers» : information à fournir et présentation» et IAS 39 «Instruments financiers : comptabilisation et évaluation» à compter du 1 er janvier 2004 ; Paiements sur base d actions : Le groupe a opté pour l application de la norme IFRS 2 «Paiements fondés sur les actions»àladate du 1 er janvier En conséquence : Pour plans réglés en actions (options sur actions Dassault systèmes) : seules les options pour lesquelles les droits à exercice n étaient pas encore acquis au 1 er janvier 2005 et qui ont été attribuées postérieurement au 7 novembre 2002 doivent être valorisées et comptabilisées en application de la norme IFRS 2. Ce retraitement n a eu en pratique aucun impact sur le résultat de l exercice 2004 car toutes les options dont les droits n étaient pas encore acquis au 1 er janvier 2005 ont été attribuées antérieurement au 7 novembre 2002 ; Pour les instruments fondés sur les actions non cotées de certaines filiales et qui sont destinés à être réglés en trésorerie : ceux-ci sont retraités conformément à la nonne IFRS 2 s ils n ont pas déjà été réglés à la date du 1 er janvier L impact de ce retraitement sur l exercice 2004 est explicité dans la suite de la note 13. Différences de conversion : Le groupe n a pas retenu l option permettant de reclasser en réserves les différences de conversion accumulées à la date de transition ; Avantages au personnel : Le groupe n a pas retenu l option permettant d imputer en capitaux propres les écarts actuariels existants à la date de transition ; Immobilisations corporelles et incorporelles : Le groupe n a pas retenu l option d évaluation de certains actifs corporels et incorporels à la juste valeur dans le bilan d ouverture. Tableaux de passage au 1 er janvier 2004 (en milliers d euros) : Actif 01/01/04 Instruments financiers Plan SolidWorks Participations Reclassements 01/01/04 IFRS Ecarts d acquisition, nets Autres immobilisations incorporelles, nettes Immobilisations incorporelles Immobilisations corporelles, nettes Impôts différés actifs à long terme Autres actifs non courants Titres mis en équivalence Total actifs non courants Clients et comptes rattachés, nets Instruments financiers Autres actifs courants Impôts différés actifs à court terme Placements à court terme Trésorerie et équivalents de trésorerie Total actifs courants Total actif Passif 01/01/04 Instruments financiers Plan SolidWorks Participations Reclassements 01/01/04 IFRS Capital Primes liées au capital Réserves consolidées Ecarts de conversion Autres éléments du résultat étendu Total capitaux propres Contrats de crédit-bail Participation des salariés Retraites indemnités de départ, prestations et avantages Impôts différés passifs à long terme Autres passifs non courants Total passifs non courants Dettes fournisseurs Personnel et comptes rattachés Commissions sur ventes à payer Produits constatés d avance Impôts sur les bénéfices à payer Dettes à long terme : part à court terme Taxes sur le chiffre d affaires Impôts différés passifs à court terme Charges à payer et autres passifs courants Total passifs courants Total passif

8 27442 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES 2 Novembre 2005 Tableaux de passage au 31 décembre 2004 (en milliers d euros) : Actif normes Instruments financiers Plan SolidWorks Participations Reclassements normes IFRS Ecarts d acquisition, nets Autres immobilisations incorporelles, nettes Immobilisations incorporelles Immobilisations corporelles, nettes Impôts différés actifs à long terme Autres actifs non courants Titres mis en équivalence Total actifs non courants Clients et comptes rattachés, nets Instruments financiers... Autres actifs courants Impôts différés actifs à court terme Placements à court terme Trésorerie et équivalents de trésorerie Total actifs courants Total actif Passif Instruments financiers Plan SolidWorks Participations Reclassements IFRS Capital Primes liées au capital Réserves consolidées Ecarts de conversion Autres éléments du résultat étendu Total capitaux propres Contrats de crédit-bail Participation des salaries Retraite, indemnités de départ, prestations et avantages Impôts différés passifs à long terme Autres passifs non courants Total passifs non courants Dettes fournisseurs Personnel et comptes rattachés Commissions sur ventes à payer Produits constatés d avance Impôts sur les bénéfices à payer Dettes à long terme : part à court terme Taxes sur le chiffre d affaires Impôts différés passifs à court terme Charges à payer et autres passifs courants Total passifs courants Total passif Plan SolidWorks Reclassements IFRS Chiffre d affaires : Ventes de logiciels Prestations de services Total chiffre d affaires Coût des produits et services vendus : Coût des ventes de logiciels Coût des prestations de services vendues Total coût des produits et services vendus Marge brute Frais de recherche et de développement Frais commerciaux Frais généraux et administratifs Amortissement des écarts d acquisition Charges opérationnelles Résultat opérationnel Produits financiers et autres produits, nets Résultat courant des entreprises intégrées Charge d impôt sur les bénéfices

9 2 Novembre 2005 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES Plan SolidWorks Reclassements IFRS Quote-part dans les résultats des entreprises mises en équivalence Résultat net Tableau de passage au 30 juin 2004 : 30/06/04 Plan SolidWorks Valeurs mobilières de placement Reclassements 30/06/04 IFRS Chiffre d affaires : Ventes de logiciels Prestations de services Total chiffre d affaires Coût des produits et services vendus... Coût des ventes de logiciels Coût des prestations de services vendues Total coût des produits et services vendus Marge brute Frais de recherche et de développement Frais commerciaux Frais généraux et administratifs Amortissement des écarts d acquisition Charges opérationnelles Résultat opérationnel Produits financiers et autres produits, nets Résultat courant des entreprises intégrées Charge d impôt sur les bénéfices Quote-part dans les résultats des entreprises mises en équivalence Résultat net Explications sur les principaux retraitements. Instruments financiers de couverture. Le groupe utilise des instruments financiers dérivés à des fins de couverture du risque de change de ses transactions commerciales. Selon les normes, les plus-values latentes sur ces instruments ne sont pas comptabilisées au bilan. Selon les normes IFRS ces instruments sont valorisés au bilan à la juste valeur et, dans la mesure où ils répondent aux critères de comptabilisation comme instruments de couverture de flux de trésorerie futurs, les variations de juste valeur sont enregistrées directement en capitaux propres, dans la limite de la partie efficace, déduction faite des impôts différés, et jusqu à ce que l élément couvert affecte le résultat. Le groupe ayant opté pour l application anticipée des normes IFRS 32 et 39 au 1 er janvier 2004, le retraitement a été comptabilisé à partir de cette date.. Le groupe a opté pour l application rétrospective de la norme IFRS 3, regroupements, à compter du 1 er janvier En conséquence, toutes les opérations de regroupement intervenues depuis cette date sont comptabilisées conformément à la norme IFRS 3. De plus, les normes IAS 36, «Dépréciation d actifs» et IAS 38, «Immobilisations incorporelles» sont appliquées à compter de cette même date. En normes les écarts d acquisition générés par les acquisitions étaient amortis sur une durée de vie estimée. Selon les normes IFRS, les écarts d acquisition ne sont plus soumis à amortissement mais font l objet d un test de dépréciation annuel réalisé par référence à la juste valeur des unités génératrices de trésorerie. En conséquence, les dotations aux amortissements relatives aux écarts d acquisition n ont plus été comptabilisées à compter du 1 er janvier Plans d options réglés en trésorerie. Certains salariés du groupe bénéficient s d actions de la filiale SolidWorks. Les salariés ayant exercé leurs options, et ayant détenu les actions SolidWorks pendant une durée minimale de 6 mois, peuvent exiger de SolidWorks le rachat de leurs actions à la juste valeur, telle que déterminée par un évaluateur indépendant. Dans les comptes consolidés établis selon les normes, ces plans ont été traités comme des transactions réalisées avec des minoritaires. En application de la norme IFRS 2, une dette doit être reconnue sur la base de la juste valeur des instruments, et cette dette doit être réévaluée à chaque clôture jusqu à son règlement. En conséquence le groupe doit comptabiliser dans le résultat de la période l effet de : 1) l acquisition progressive des droits d exercice des options au fur et à mesure des services rendus par les employés, et 2) la variation de juste valeur des instruments jusqu à leur règlement en trésorerie. Pour les instruments réglés antérieurement au 1 er janvier 2005 et qui ne sont donc pas soumis à la norme IFRS 2, les règles ont été maintenues. En application des dispositions transitoires des normes IFRS 1 et IFRS 2, tous les instruments non réglés au 1 er janvier 2005 ont été évalués et comptabilisés en application de la norme IFRS 2. Le retraitement a consisté à constater une dette envers le personnel correspondant à la juste valeur des options attribuées, dont l évolution s analyse comme suit (en milliers d euros) : Dette au 1 er janvier Charge de l exercice Différence de conversion Dette au 31 décembre Par ailleurs, pour les instruments réglés avant le 1 er janvier 2005, le groupe a constaté en normes, au moment de l exercice des options, un profit de dilution qui a été éliminé en application des normes IFRS. En conséquence, le retraitement du compte de résultat de l exercice 2004 s analyse comme suit (en milliers d euros) : Elimination du profit de dilution constaté selon les règles sur l exercice des stock options SolidWorks ; Constatation de la charge de rémunération des salariés en application de la norme IFRS 2, relative aux instruments non réglés au 1 er janvier 2005 : ; Total de l impact sur le résultat 2004 : Participations. Selon les règles, certaines participations dans des sociétés dans lesquelles le groupe n exerce ni contrôle ni influence notable sont évaluées au coût de revient, déduction faite des provisions pour dépréciation. En application de la norme IAS 39 «Instruments financiers, comptabilisation et évaluation», ces participations doivent être évaluées à la juste valeur et, pour celles qui ne sont pas détenues à des fins de transactions, peuvent être classées comme disponibles à la vente, avec les variations de juste valeur enregistrées en contrepartie des capitaux propres, après déduction des impôts différés. L application de la norme IAS 39 entraîne une augmentation des actifs financiers non courant de milliers d euros au 1 er janvier 2004 et de milliers d euros au 31 décembre 2004, avec pour contrepartie une augmentation des capitaux propres et des impôts différés passifs, sans impact sur le résultat de l exercice Reclassements. Certains reclassements et regroupements ont été effectués pour la présentation des états financiers IFRS. Le principal reclassement porte, conformément à IAS 12, sur le reclassement au bilan des impôts différés en actifs et passifs non courants. Tableaux des flux de trésorerie. L adoption des normes IFRS n a pas eu d impact significatif sur la présentation du tableau des flux de trésorerie de l exercice 2004.

10 27444 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES 2 Novembre 2005 Note 14. Rapprochement entre les principes comptables IFRS et les principes comptables américains. Les différences sont résumées ci-dessous (en milliers d euros) : Au 30 juin 2005 : Situation nette Résultat net Données établies selon les normes IFRS Plan de stock-options SolidWorks (1) Plan de stock-options Dassault Systèmes (2) Autres, nets Données établies selon les règles comptables américaines Au 31 décembre 2004 : Situation nette Résultat net Données établies selon les normes IFRS Plan de stock-options SolidWorks (1) Participations (3) Autres, nets Données établies selon les règles comptables américaines (1) En application de la norme IFRS 2 «Paiement sur base d actions» les plans de stock options portant sur les titres de la filiale SolidWorks donne lieu à la comptabilisation d une dette et d une charge car ce plan est assorti d un engagement de rachat des titres par le groupe. Selon les principes comptables américains, ces plans sont traités comme des transactions avec des minoritaires et ne donnent pas lieu à la comptabilisation d une dette ou d une charge. (2) En application de la norme IFRS 2 «Paiement sur base d actions» les options attribuées aux salariés donnent lieu à la comptabilisation d une charge, reconnue sur la période de service, correspondant à la juste valeur de l instrument à sa date d attribution. Selon les principes comptables américains aucune charge n est comptabilisée pour ces instruments. (3) En application de la norme IFRS 39 «Instruments financiers, comptabilisation et évaluation», les participations dans des sociétés non cotées dans lesquelles le groupe n exerce ni contrôle ni influence notable et qui sont considérées comme disponibles à la vente doivent être évaluées à leur juste valeur, avec les variations de juste valeur enregistrées en capitaux propres. Selon les principes comptables américains, ces participations sont comptabilisées au coût historique. Note 15. Evénements postérieurs à la clôture. En mai 2005, le groupe a annoncé la signature d un accord portant sur l acquisition de la société Abaqus Inc. dans le cadre d une transaction en numéraire d environ 413 millions de dollars américains, sous réserve de certains ajustements lors de la finalisation de l opération prévue au cours du quatrième trimestre Abaqus est le leader reconnu dans le domaine des logiciels d analyse non linéaire par éléments finis grâce à sa technologie unique qui permet d effectuer toute une gamme de simulations, de la plus élémentaire à la plus complexe. Basée dans l état de Rhode Island, Abaqus emploie plus de 400 personnes dans le monde et sert une clientèle de plus de entreprises dans les secteurs de l automobile, de la défense, de l énergie, du traitement des matériaux, de l électronique, de la fabrication, de l aéronautique, des équipements médicaux et des produits de grande consommation. B. Rapport d activité semestriel. Période 1 er janvier juin I. Données financières. a. Résultats du premier semestre Toutes les données financières indiquées dans le présent rapport sont établies en conformité avec les principes comptables IFRS (à l exception des données relatives aux comptes de la société-mère Dassault Systèmes S.A. qui sont établis selon les principes français). Au premier semestre 2005, le chiffre d affaires du groupe Dassault Systèmes s est élevé à 416,5 millions d euros, en hausse de 13 % et de 15 % à taux de change constants. Le chiffre d affaires logiciel s élève à 348,1 millions d euros en hausse de 13 % et de 15 % à taux de change constants. La hausse du chiffre d affaires logiciel reflète à la fois la croissance des ventes des solutions PLM V5 et de SolidWorks. Le chiffre d affaires Solidworks s élève à 86,5 millions d euros, en hausse de 24 % (en hausse de 30 % en dollars U.S.). Le chiffre d affaires service s élève à 68,4 millions d euros, en hausse de 12 % et de 15 % à taux de change constants. Il intègre un effet périmètre lié aux acquisitions de filiales de Rand aux Etats-Unis et en Europe, et reflète une bonne performance des activités PLM de conseil. Le résultat opérationnel s est élevé à 96,1 millions d euros en hausse de 11 % par rapport au premier semestre Le résultat net consolidé s est élevé à 65,0 millions d euros. Le résultat net de base par action hors coûts d acquisition et coûts des stock-options s élève à 0,61 b, en hausse de 6 %. Concernant la société-mère Dassault Systèmes S.A., le chiffre d affaires pour le premier semestre 2005 s élève à 239 millions d euros (contre 228 millions d euros pour le premier semestre 2004) et le résultat net s élève à 49 millions d euros (contre 45 millions d euros pour le premier semestre 2004). La forte demande des clients de DS pour ses solutions PLM V5 et 3D a permis à la Société d accélérer la croissance de ses ventes et de dépasser ses objectifs et les attentes des marchés boursiers. b. Passage aux normes comptables IFRS. Du fait de sa cotation dans un pays de l Union européenne et conformément au règlement CE no 1606/2002 du 19 juillet 2002, les comptes consolidés du groupe qui seront publiés au titre de l exercice 2005 seront établis suivant les normes comptables internationales : International Financial Reporting Standards («IFRS») telles qu adoptées par l Union européenne. Conformément aux recommandations du Committee of European Securities Regulators («CESR») et de l Autorité des marchés financier («AMF») sur la communication financière pendant la période de transition, les comptes intermédiaires au 30 juin 2005 ont été préparés sur la base suivante : La présentation des notes annexes est conforme aux règles et en particulier à la recommandation 99 R-01 du Conseil national de la comptabilité relative aux comptes intermédiaires ; Les principes de comptabilisation et d évaluation sont conformes au référentiel IFRS adopté par l Union européenne au 30 juin II. Stratégie, technologie et partenariats. Dassault Systèmes a progressé sur plusieurs initiatives stratégiques au cours du premier semestre En mai 2005, DS a annoncé la signature d un accord portant sur l acquisition de la société Abaqus Inc. dans le cadre d une transaction en numéraire d environ 413 millions de dollars. Cette acquisition a été finalisée au début du mois d octobre Abaqus est le leader reconnu dans le domaine des logiciels d analyse non linéaire par éléments finis grâce à sa technologie unique qui permet d effectuer toute une gamme de simulations, de la plus élémentaire à la plus complexe, et qui répond ainsi aux exigences d un nombre croissant. Basée dans l Etat de Rhode Island, Abaqus emploie plus de 400 personnes dans le monde et sert une clientèle de plus de entreprises dans les secteurs de l automobile, de la défense, de l énergie, du traitement des matériaux, de l électronique, de la fabrication, de l aéronautique, des équipements médicaux et des produits de grande consommation. En mai 2005 également, DS et la société i2 Technologies, Inc. ont annoncé la formation d un partenariat stratégique afin de développer des solutions d approvisionnement de pièces détachées («sourcing») s appuyant sur la plate-forme V5 de Dassault Systèmes. Ce partenariat a pour objectif d intégrer les informations liées à l approvisionnement tout au long du cycle de vie du produit, éliminant ainsi les barrières entre les achats et l ingénierie. En mettant ces derniers plus rapidement en phase au cours du cycle de développement, les entreprises peuvent abaisser le coût de leurs produits, réduire le cycle de mise sur le marché et améliorer la qualité. Le 27 juin 2005, dans le cadre de cet accord, i2 a cédé son centre de compétences et des licences de technologie à DS pour un montant d environ 10 millions de dollars, sous certaines réserves. La mise à jour 15 de la version 5 (V5R15, «Open Collaboration on the Proven V5 Platform»), annoncée en mai 2005 pour Catia, Enovia et Smarteam, s appuie sur les points forts de la V5R14 pour fournir des environnements de travail unifiés répondant aux besoins spécifiques de grandes communautés d utilisateurs appartenant aux secteurs de l ingénierie, de la production et des entreprises. La V5R15 conforte la position de Dassault Systèmes dans la couverture des processus industriels avec des technologies qui améliorent la productivité et l innovation dans tous les secteurs industriels. Cette nouvelle mise à jour utilise la plate-forme V5 de DS pour apporter une valeur ajoutée aux entreprises industrielles intervenant dans la chaîne logistique des moyens de collaboration et une couverture accrue des processus industriels. Les points forts de la V5R15 sont les suivants : (i) Accélération de la collaboration avec les fournisseurs en facilitant l échange d ensembles d informations produit entre donneurs d ordres et fournisseurs de toute taille, (ii) Communications plus aisées avec le langage 3D XML avec notamment l introduction du nouveau système d affichage 3D XML dans la V5R15. Annoncé en juin 2005, Solidworks 2006 s enrichit d une multitude d améliorations permettant de simplifier, d accélérer et d intégrer les activités des ingénieurs de conception, avec notamment (i) une amélioration importante des performances ; (ii) des nouveaux outils de productivité tels que les Composants Intelligents ; (iii) des nouvelles fonctions destinées aux concepteurs de produits de grande consommation, de pièces de tôlerie et de machines telles que les fonctions Plots de fixation, Ergots de fixation et Aérations ; (iv) des nouvelles grandes fonctionnalités de validation des conceptions grâce auxquelles les concepteurs pourront effectuer des analyses sophistiquées ; (v) des innovations facilitant de manière significative le passage de la 2D à la 3D, telles que Mises en plan 3D et Design Checker, ce à quoi il faut ajouter les améliorations apportées aux produits DWG Series (Editor, Gateway, Viewer) et (vi) des améliorations apportées à SolidWorks Office Premium grâce auxquelles toutes les tâches exécutées par les ingénieurs concepteurs gagnent en efficacité. La nouvelle gamme de logiciels Delmia Automation a été mise sur le marché. Grâce à cette nouvelle gamme, les automaticiens de tous les secteurs de l automatisation pourront définir, contrôler et surveiller numériquement des systèmes automatisés au sein d un environnement virtuel en 3D. Grâce à son modeleur de logique de contrôle (LCM ou Logic Control Modeler) unique, Delmia Automation fournit une «maquette numérique» de la logique de contrôle d un système entièrement automatisé, quelle que soit la marque de l automate programmable utilisé. Au cours du deuxième trimestre, DS et IBM ont annoncé une nouvelle solution industrielle baptisée Generative Mechanical Design (GMD) grâce à laquelle les entreprises peuvent améliorer la conception et accélérer l innovation en facilitant la réutilisation des données et du savoir-faire, ainsi que leur réadaptation à un nouveau contexte, d un projet à l autre. En règle générale, les nouveaux designs et produits proposés par les entreprises industrielles reprennent de 70 à 80 % des données et du savoir-faire utilisés dans des projets antérieurs. Avec la solution Generative Mechanical Design (GMD), ces en-

11 2 Novembre 2005 BULLETIN DES ANNONCES LÉGALES OBLIGATOIRES treprises peuvent réduire leurs délais de conception de moitié et les délais de fabrication et d assemblage jusqu à 60 %. DS a par ailleurs annoncé la disponibilité des spécifications de son langage 3D XML (extensible Markup Language), ainsi que d un visualiseur qui permettront aux utilisateurs d afficher et de manipuler des données en trois dimensions (3D) que ce soit dans le domaine industriel, commercial ou grand public. 3D XML est un format léger et universel qui s appuie sur le langage XML et grâce auquel les utilisateurs peuvent capturer et partager des données 3D de haute précision, en temps réel, rapidement et simplement. Avec 3D XML, la 3D devient réellement un moyen de communication qui permet à l utilisateur de «changer sa façon de voir». DS et Microsoft ont annoncé que les deux sociétés allaient travailler ensemble, dans le cadre de leur alliance stratégique et de leur volonté d apporter conjointement plus de valeur ajoutée à leurs clients, pour le format XAML (extensible Application Markup Language) de Microsoft soit supporté dans le format 3D XML (extensible Markup Language) de DS. Grâce à la compatibilité des langages 3DXML et XAML, les utilisateurs de solutions 3D pourront visualiser, modifier et personnaliser des objets 3D dans un environnement offrant un niveau d ouverture unique, et bénéficier de l expérience 3D dans toute application s appuyant sur le format XAML. En mars 2005, DS et la société Icem Ltd ont annoncé la signature d un accord stratégique de développement logiciel aux termes duquel Icem développera et commercialisera la prochaine génération de sa suite logicielle de conception, d analyse et de visualisation de surfaces dédiée au développement de surfaces de type «Classe A» en s appuyant sur les composants et l architecture V5 de Dassault Systèmes. Icem fournira une solution de gestion du cycle de vie des produits qui reliera étroitement les départements de stylisme et d ingénierie, validant ainsi le nouveau standard d échange ouvert 3DXML de DS. Enfin, DS et la société Zuken, l un des premiers fournisseurs de solutions de conception et de fabrication pour les entreprises du secteur des produits électriques et électroniques (E & E), ont signé un accord dont l objet sera de fournir des solutions complètes de gestion du cycle de vie des produits pour l industrie E&E III. Clients, réseaux de distribution, marketing et services. A taux de change constants, le chiffre d affaires de Dassault Systèmes, en croissance de 15 % globalement, a augmenté à hauteur de 30 % en Amérique et de 16 % en Europe et a diminué de 1 % en Asie licences Catia et SolidWorks ont été vendues au cours du premier semestre 2005, ce qui représente une hausse de 17 % par rapport au premier semestre Deux jours après le lancement de la commercialisation de la 15 e mise à jour de la Version 5 pour le marché du PLM, Boeing a choisi de la mettre en production dans l ensemble de son organisation et chez ses partenaires du projet 7E7. En ce qui concerne la distribution des produits DS, en juillet 2005, DS et IBM ont annoncé leur intention d étendre le rôle de Dassault Systèmes en tant que responsable de la distribution des solutions PLM auprès des PME. Cette nouvelle initiative s appuie sur le succès remporté par le modèle West Master Agent mis en place il yaunanenfrance, en Belgique, au Luxembourg et à Monaco, par lequel IBM délègue à DS la gestion de la distribution ainsi que le support technique et marketing fournis aux partenaires commerciaux d IBM. Dans le cadre de ses fonctions étendues, DS occupe désormais le rôle de CMP (Channel Management Provider) pour le compte d IBM PLM auprès des partenaires commerciaux d IBM aux Etats-Unis, en Allemagne, en Suisse, au Royaume Uni, en Suède, en Russie et dans les anciens pays de la CEI. DS a mis en place un réseau de revendeurs (Value-Added Resellers) pour commercialiser ses logiciels PLM V5 en Chine. Si les ventes d applications PLM restent encore de faible ampleur en Chine, la Société considère que ce marché connaîtra un développement important. Afin de répondre aux besoins locaux du marché chinois, ce nouveau réseau de revendeurs commercialisera toutes les marques PLM de DS (Catia, Enovia, Smarteam and Delmia) dans le cadre d une approche intégrée. DS est également présent en Chine par le biais de SolidWorks et de son réseau de revendeurs spécialisés dans la 3D, ainsi que par l intermédiaire de Caxa, partenaire de DS chargé de commercialiser des produits 2D et 3D basés sur l infrastructure V5 de DS. DS et Caxa ont annoncé la mise sur le marché de Caxa V5 en avril, une nouvelle génération de solutions PLM 2D et 3D intégrées, évolutives et destinées au marché chinois, qui inclut certains composants technologiques V5 développés par DS. Au cours du deuxième trimestre, Delmia a annoncé que ses logiciels de gestion des données produits DPM Assembly V5 et de fabrication numérique Human V5 sont utilisés par Lockheed Martin pour simuler la faisabilité d une ligne d assemblage mobile sur le site de Fort Worth (Texas) dont la longueur dépasse 1,5 kilomètre et qui est destinée à la production de son nouvel avion de chasse JSF F-35. Le processus d assemblage de l avion, l outillage et les opérateurs de la chaîne participant au processus de production ont été intégralement simulés et testés avant le lancement de la production. D autres contrats significatifs ont été signés avec de grands comptes ou des partenaires au cours du premier semestre 2005 tels que Neopost Industrie, Daimler-Chrysler, Whittaker Controls Inc., Farnham & Pfile, Sanyo Machine Works, Jokan System, Lion, Aepro, Flight Refuelling Ltd., THK, Hydrolift. IV. Résultats par secteurs d activité, perspectives. Dans le secteur du Process centric, comprenant le PDM, le chiffre d affaires de la Société a augmenté de 10 % au premier semestre 2005, et de 13 % à taux de change constants par rapport au premier semestre Dans ce secteur, Dassault Systèmes a réalisé, au cours de cette période, un chiffre d affaires de 330,0 millions d euros (après éliminations). Le chiffre d affaires de l offre de gestion des données produits de la Société, l offre PDM (Product Data Management), a progressé de 14 %, soit une hausse de 16 % à taux de change constants. Dans le secteur du Design centric SolidWorks, le chiffre d affaires semestriel s élève à 86,5 millions d euros (après éliminations) en augmentation de 24 % par rapport à la même période de l année précédente, et de 27 % à taux de change constants. En juillet 2005, DS a annoncé l acquisition de la société Virtools S.A., située à Paris, pour la somme de 12 millions d euros en numéraire. Les applications de Virtools permettent aux utilisateurs qui ne maîtrisent pas la conception en 3D de simuler rapidement et facilement en temps réel le comportement de modèles 3D. DS a depuis intégré l équipe d experts de Virtools, spécialisée dans le développement d applications interactives sur le web. Les applications de Virtools permettent de simuler en temps réel des comportements sur des modèles 3D. Il a été indiqué dans le communiqué de presse du 26 juillet 2005 que l objectif de croissance de chiffre d affaires de la société était d environ 15 % à 16 % à taux de change constants. L objectif de chiffre d affaires pour le troisième trimestre était alors compris entre 210 et 215 millions d euros. Les objectifs de la Société ci-dessus se fondent sur une parité de 1,25 dollars américains pour 1 euro et 135 yens japonais pour 1 euro pour les troisième et quatrième trimestres 2005, et sont établis selon les normes comptables américaines. C. Rapport des commissaires aux comptes sur l information semestrielle 2005 (Articles L du Code de Commerce et du décret du 23 mars 1967) (Période du 1 er janvier au 30 juin 2005.) En notre qualité de commissaires aux comptes et en application de l article L du Code de commerce, nous avons procédé à : l examen limité du tableau d activité et de résultats présenté sous la forme de comptes semestriels consolidés de la société Dassault Systèmes, relatifs à la période du 1 er janvier au 30 juin 2005, tels qu ils sont joints au présent rapport ; la vérification des informations données dans le rapport semestriel. Ces comptes semestriels consolidés ont été établis sous la responsabilité du conseil d administration. Il nous appartient, sur la base de notre examen limité, d exprimer notre conclusion sur ces comptes. Dans la perspective du passage au référentiel IFRS tel qu adopté dans l Union européenne, pour l établissement des comptes consolidés de l exercice 2005, les comptes semestriels consolidés ont été préparés pour la première fois en appliquant, d une part, les principes de comptabilisation et d évaluation des normes IFRS adoptés dans l Union européenne tels que décrits dans les notes annexes et, d autre part, les règles de présentation et d information applicables aux comptes intermédiaires, telles que définis dans le règlement général de l AMF. Ils comprennent à titre comparatif des données relatives à l exercice 2004 et au premier semestre 2004 retraitées selon les mêmes règles. Nous avons effectué notre examen limité selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en oeuvre de diligences limitées conduisant à une assurance, moins élevée que celle résultant d un audit, que les comptes semestriels consolidés ne comportent pas d anomalies significatives. Un examen de cette nature ne comprend pas tous les contrôles propres à un audit, mais se limite à mettre en oeuvre des procédures analytiques et à obtenir des dirigeants et de toute personne compétente les informations que nous avons estimées nécessaires. Sur la base de notre examen limité, nous n avons pas relevé d anomalies significatives de nature à remettre en cause la conformité, dans tous leurs aspects significatifs, des comptes semestriels consolidés au regard, d une part, des principes de comptabilisation et d évaluation des normes IFRS adoptés dans l Union européenne, tels que décrits dans les notes annexes et, d autre part, les règles de présentation et d information applicables aux comptes intermédiaires, telles que définis dans le règlement général de l AMF. Sans remettre en cause la conclusion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur la note 2 de l annexe qui expose : Les options retenues pour la présentation des comptes semestriels consolidés qui, tout en restant conformes aux règles de présentation et d information définies dans la recommandation du CNC 99-R-01 et le règlement général de l AMF, n incluent pas toutes les informations de l annexe exigées par le référentiel IFRS tel qu adopté dans l Union européenne ; Les raisons pour lesquelles l information comparative qui sera présentée dans les comptes consolidés au 31 décembre 2005 et dans les comptes consolidés semestriels au 30 juin 2006 pourrait être différente des comptes joints au présent rapport. Nous avons également procédé, conformément aux normes professionnelles applicables en France, à la vérification des informations données dans le rapport semestriel commentant les comptes semestriels consolidés sur lesquels a porté notre examen limité. Nous n avons pas d observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes semestriels consolidés. Paris-La-Défense et Neuilly, le 21 octobre Les commissaires aux comptes : Ernst & Young Audit : JEAN-MARC MONTSERRAT ; PricewaterhouseCoopers Audit : XAVIER CAUCHOIS.

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