Conditions climatiques
|
|
- Emmanuelle Laporte
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Bulletin N 6 du 12 juin 2015 INFORMATIONS Evolution moyenne des ravageurs et de leurs auxiliaires qui n ont jamais été aussi présents et limitent efficacement les populations comme en ce qui concerne les pucerons notamment. Observations de la période réalisées sur les sites suivants : Boulogne-Billancourt Domont Paris Vincennes Jardin du Luxembourg Château de Vaux le Vicomte Meulan L Haÿ-les-Roses Sceaux Créteil Saint-Germain-lès-Arpajon Aulnay-sous- Bois Le Vésinet Marne-La-Vallée Viry-Châtillon Echouboulains Coutençon La Chapelle Rablais Fontains Saint-Ouen-en-Brie. Légende : - risque de dépréciation esthétique : aspect visuel affecté de la plante - risque commoditaire : nuisances sur mobilier urbain ou tout autre bien matériel - risque physiologique : impact de la présence de l organisme nuisible sur le développement et la vie de la plante - risque sanitaire : risque représenté par le nuisible pour la santé humaine (cas des chenilles urticantes, des champignons aux spores allergènes, des insectes piqueurs,...). Ces risques sont estimés à partir des observations faites sur les parcelles observées et illustrent les risques futurs liés à une présence actuelle. Ils sont amplifiés notamment si les végétaux étaient déjà attaqués en année N-1, s ils sont situés dans une zone de prestige, ou s ils ont une forte valeur patrimoniale ou historique. Ces risques peuvent être amplifiés ou amoindris en fonction de l évolution des conditions météorologiques qui n entrent pas dans le calcul du risque. Nul Faible Moyen Fort Conditions climatiques Dans les prochains jours, des températures estivales chaudes sont prévues avec peut-être un ou deux orages. Il ne devrait pas y avoir de pluie ou alors très ponctuellement. Les températures devraient osciller entre 14 et 26 C en journée et monter jusqu à 36 C d ici une dizaine de jours. BSV n / 12
2 Les maladies ne devraient pas trop évoluer dans ces conditions fraiches et peu humides mais les insectes et acariens devraient trouver ces conditions idéales pour se développer. A retenir en ce moment Tableau synthétisant la présence des nuisibles observés et son évolution sur les sites suivis (présence directe du nuisible ou importance du dégât) Présence nulle Présence faible Présence modérée Présence importante Evolution par rapport au dernier bulletin : Croissante stagnante en baisse RAVAGEURS MALADIES Pyrale du buis (stade chenille) Généralisé Maladies des buis Ponctuel Pyrale du buis (stade adulte) Généralisé Chalarose du frêne Ponctuel Limaces et escargots Généralisé Oïdiums Généralisé Psylle de l arbre de Judée Ponctuel Maladie des taches noires du rosier Généralisé Tigre du piéris (forme larvaire Ponctuel Graphiose de l orme Généralisé et adulte) Cynips du châtaignier Généralité Otiorhynque Généralisé Mineuse du marronnier (vol) Généralisé AUXILIAIRES Psylle du buis Ponctuel Coccinelles Généralisé Pucerons divers Généralisé Syrphes Généralisé Chrysomèle du romarin Ponctuel Punaises prédatrices Ponctuel Puceron lanigère du hêtre Ponctuel Parasitoïdes Généralisé Cécidomyies Ponctuel Les ravageurs Pyrale du buis Situation actuelle : Le vol de la pyrale du buis est en cours. Reconnaissance, dégâts et techniques de gestion alternative du moment : Voir BSV n 2 BSV n / 12
3 Jardin du Luxembourg -piège 1-traité Jardin du Luxembourg -piège 2-traité Jardin du Luxembourg -piège 3-traité Jardin du Luxembourg -piège 4-traité Meulan Paris (3 pièges) Saint-Germain-lès-Arpajon Vitry sur Seine Viry-Châtillon Marne-la-Vallée moyenne 9 pièges Evolution du nombre de captures de papillons de la pyrale du buis Risque : L ensemble des risques est nul. Larve âgée Processionnaire du chêne Situation actuelle : La nymphose a débuté dans certains sites mais des larves âgées sont encore visibles un peu partout. Les urtications sont à leur maximum. Reconnaissance, cycle biologique, dégâts et techniques de gestion alternatives du moment : cf. BSV n 4. Risque : les risques de dépréciation esthétique et physiologique sont forts surtout en zone de pullulation. Les risques sanitaire et commoditaire sont forts puisque les chenilles sont urticantes. BSV n / 12
4 Tigre du piéris Jeunes larves de tigre en face inférieure Situation actuelle : Les populations sont importantes maintenant. Les larves sont bien visibles, tout comme les adultes qui volent autour des arbustes et se posent sur les feuilles. Reconnaissance, dégâts, techniques de gestion alternative du moment : cf.bsv ZNA n 4. Risque : le risque sanitaire est nul pour cet insecte. En revanche, les risques de dépréciation esthétique et physiologique pour les piéris sont déjà forts du fait de l évolution exponentielle des populations et car le piéris est une plante à feuillage persistant. Cynips du châtaignier (Dryocosmus kuriphilus) Situation actuelle : Les larves sont en cours de développement dans les galles qui rougissent et durcissent. De nouvelles communes sont contaminées. Reconnaissance, dégâts et nuisances, techniques de gestion altenative du moment : cf. BSV ZNA n 4 Risque : les risques sanitaires et commoditaires sont nuls et les risques esthétique et physiologique sont nuls à moyens. Limaces et escargots Situation actuelle : Les populations de limaces sont à la baisse. Les populations d escargots probablement à cause de la sécheresse actuelle. BSV n / 12
5 Dégâts d escargots sur pensée 4 3,5 3 2,5 2 1,5 1 0, Boulogne-Billancourt Jardin de la biodiversité Meulan Paris / Parc Floral Marne-La-Vallée Sceaux Semaines Evolution des populations de limaces capturées par les observateurs par semaine 4 3,5 3 2,5 2 1,5 1 0, Boulogne-Billancourt Jardin de la biodiversité Meulan Paris / Parc Floral Marne-La-Vallée Sceaux Semaine Evolution des populations d escargots capturés par les observateurs par semaine (abscisse) Reconnaissance, dégâts et nuisances, et techniques de gestion alternative du moment : Voir BSV n 2 Risque : les risques de dépréciation esthétique et physiologique sont faibles actuellement. Les risques sanitaire et commoditaire sont nuls. BSV n / 12
6 Mineuse du marronnier Situation actuelle : Le second vol de la mineuse du marronnier est en cours. Les œufs vont être posés sur les feuilles. Les mines de la première génération de 2015 sont nombreuses et bien visibles. Courbe de vol de la mineuse du marronnier en Domont Vitry sur Seine (Site traité) Reconnaissance, dégâts et nuisances et techniques de gestion alternative du moment : cf. BSV n Risque : le risque de dépréciation esthétique est fort, le risque physiologique est moyen. Les risques sanitaires et commoditaire sont nuls. Pucerons Situation actuelle : La tendance est à la baisse pour l ensemble des pucerons. Néanmoins ponctuellement, des fortes populations sont recensées. Les colonies de pucerons verts et roses sont faibles à moyennes ponctuellement sur les rosiers dans toute la région et sur les BSV n / 12
7 variétés sensibles (rosiers grimpants anciens notamment en condition abritée) elles sont parfois fortes. Quelques pucerons de différentes espèces sont, par ailleurs, visibles sur les érables et ponctuellement sur des dahlias en grande quantité. Sur les Prunus padus et les sureaux attaqués auparavant, les colonies ne sont plus visibles. Les populations du puceron du tilleul ont diminué notamment grâce aux fortes pluies récentes. Les populations du puceron lanigère du hêtre stagnent. Au milieu de la plupart des colonies de pucerons, les auxiliaires sont bien présents et actifs. Cf. chapitre plus bas sur les auxiliaires. Risque : Le risque sanitaire est nul. Les risques esthétique, commoditaire (lié à l excrétion de miellat sur le mobilier urbain) et physiologique sont globalement faibles à fort ponctuellement, notamment sur les plantes de collection à forte valeur. Risque commoditaire Dégâts : cf bulletin n Technique de gestion alternative du moment : Un nettoyage à l eau des hêtres ou des arbres sous lesquels le miellat coule en abondance peut être intéressant, tout comme l introduction d auxiliaires (coccinelles, chrysopes ). Pour les arbustes atteints, tailler les rameaux colonisés et passer un coup d eau avec un peu de pression pour enlever les pucerons. L introduction d auxiliaires peut également s avérer utile. Dans tous les cas, planter et semer des plantes fleuries mellifères attractives pour les auxiliaires et entretenir et conserver leur niche écologique est important. Psylle de l arbre de Judée Situation actuelle : Ce ravageur est présent ponctuellement en de très grosses colonies, notamment sur Vincennes. Reconnaissance: Cet insecte ressemble à une mini cigale au stade adulte avec des ailes en toit sur le dos en position de repos. Il est vert tout comme la larve qui Garcia Kunz BSV n / 12
8 ressemble à l adulte hormis les ailes qui ne sont pas encore entièrement formées. Dégâts et nuisances : Les larves de psylle piquent les feuilles et aspirent la sève ce qui induit le dessèchement de celles-ci. Elles sécrètent également beaucoup de miellat qui enduit le mobilier urbains et les voitures qui se garent sous l arbre de jus collants. Sur ce miellat vient ensuite se développer de la fumagine, complexe de champignons de couleur noire qui achève de réduire l esthétique de l arbre et impacte les riverains. Techniques de gestion alternative du moment : Un nettoyage régulier à l eau avec un peu de pression déstabilise les colonies et nettoie le miellat et la fumagine. Ce nettoyage est à faire régulièrement si l on souhaite conserver un état acceptable aux arbres et au mobilier urbain. L introduction de larves de la punaise prédatrice du genre Anthocorhis sp. est efficace sur ce ravageur. Risque : Les risques esthétique et commoditaire sont forts ponctuellement sur les sites très touchés. Le risque physiologique est faible à moyen. Le risque sanitaire est nul. Risque commoditaire Processionnaire du pin Situation actuelle : Pour le moment, les captures n ont pas commencé. Les pièges sont à surveiller. Reconnaissance, dégâts et nuisances, techniques de gestion alternative du moment : cf. BSV ZNA n Risque : Les risques sont nuls. Autres ravageurs observés actuellement : rangés par ordre d importance de dégâts observés actuellement Galles sur érables dues à Eriophyes macrochelus : risques nuls Galles sur tilleuls dues à Eriophyes tiliae : risques nuls Chrysomèle du romarin : nombreux adultes mais dégâts faibles Criocère du lys : attaque généralisée sur lys asiatiques, les Lilium candidum sont un peu épargnés Otiorhynques : attaques moyennes habituelles BSV n / 12
9 Maladies Complexe de maladies sur buis (Cylindrocladium buxicola, Volutella buxi,...) Situation actuelle : En ce moment la situation est stable. Il n y a pas de nouvelle attaque sur les sites suivis. Les températures et surtout le manque d humidité des prochains jours ne devraient pas permettre le développement de ces maladies. Surveillez l apparition de plaques rougeâtres à jaunâtres sur les bordures, les broderies et les topiaires qui sont les premiers symptômes en général. Oïdiums Situation actuelle : Ces maladies n évoluent pas actuellement sur les feuilles de rosier, les fusains et les lauriers qui sont peu attaqués. Reconnaissance, dégâts et technique de gestion alternative du moment : cf. BSV n Risque : Les risques sont nuls. Tache noire du rosier Situation actuelle : La maladie stagne actuellement. Reconnaissance, technique de gestion alternative du moment : Cf BSV ZNA n Risque : Les risques sont nuls. BSV n / 12
10 Graphiose de l orme Situation actuelle : La maladie est bien visible actuellement sur les ormeaux comme tous les ans à cette période de l année. Reconnaissance, dégâts : La graphiose de l orme est due à un champignon, Ophiostoma ulmi (syn. Ceratocystis ulmi). Le champignon est véhiculé par les scolytes de l orme qui la disséminent d un arbre à un autre en forant des galeries jusqu à l aubier. L expression de la maladie débute par le jaunissement des feuilles de l extrémité de quelques rameaux atteints souvent sur la partie haute du houppier. Les feuilles se dessèchent et restent fixées à la branche un moment avant de tomber. Dans sa section transversale, le bois présente des taches ponctuelles brun foncé qui suivent la ligne des cernes où s inscrivent les brunissements vasculaires. Sous les rameaux morts, des rejets se forment souvent. Risque : sur les sujets atteints, le risque physiologique est fort, les autres risques sont faibles. Technique de gestion alternative du moment : Seule la coupe des rameaux attaqués bien en-dessous des premiers symptômes visibles peut limiter la maladie, soit un mètre en-dessous. La destruction des déchets de bois et le débardage des gros sujets atteints sont primordiaux afin de limiter l expansion du ravageur et de la maladie. La désinfection des outils est également indispensable lors de la taille sanitaire. Chalarose du frêne (maladie due à l agent pathogène Chalara fraxinea) Situation actuelle : De nouvelles attaques sur de jeunes sujets, des repousses ou des spontanés sont enregistrées actuellement en petite couronne (75, 92). La maladie progresse. Surveillez les symptômes. Reconnaissance, dégâts : La chalarose du frêne se reconnait au dépérissement rapide du frêne dans son ensemble ou partiellement sur les rameaux touchés. Les rameaux ou le tronc présentent des nécroses brunes où la couleur de l écorce change et passe au rouge foncé puis au brun clair. Sur ces zones, l écorce est souvent déprimée (moins épaisse et fait un creux) car le bois sèche. Lorsque l arbre est tout jeune, l attaque étant portée sur le tronc, la totalité de la partie située audessus de la nécrose meurt très rapidement et souvent des repousses se développent en-dessous. En deux attaques, l arbre meurt. Sur des sujets plus âgés, les rameaux sont touchés souvent avant BSV n / 12
11 le tronc et des rameaux morts sont visibles avec des repousses en-dessous. Les arbres sont donc déstructurés. En quelques années l arbre meurt. S. Schaddeg, Ville de Massy Risque : sur les sujets atteints, le risque physiologique est fort, les autres risques sont nuls sauf pour le risque esthétique. Technique de gestion alternative du moment : Seule la taille sanitaire des rameaux atteints est utile et ceci un mètre sous le début des nécroses. La désinfection des outils est indispensable lors de la taille sanitaire. Autres maladies observées actuellement : La fausse cloque de l azalée est peu active : risque nul La rouille du rosier stagne : risque nul La rouille sur les roses trémières et les mauves stagne actuellement : risque nul La rouille grillagée sur les poiriers : risque nul Les auxiliaires A voir actuellement : - Le vol et la reproduction de différentes espèces de coccinelles (Adalia bipunctata, Adalia decempunctata, Adalia septempunctata, Oenopia conglobata, Harmonia axyridis, - Les coccinelles sont particulièrement très présentes cette année - Les différents stades de syrphes se chevauchent (œufs, larve, pupe, adulte) - Les parasitoïdes de pucerons sont également très actifs et l on peut observer de nombreuses momies dorées, noires et des momies de Praon sp. de pucerons parasités - Les punaises prédatrices BSV n / 12
12 Momie noire de puceron Larve de la coccinelle Harmonia axyridis ************* ACTION PILOTÉE PAR LE MINISTÈRE CHARGÉ DE L'AGRICULTURE, AVEC L APPUI FINANCIER DE L OFFICE NATIONAL DE L'EAU ET DESMILIEUX AQUATIQUES, PAR LES CRÉDITS ISSUS DE LA REDEVANCE POUR POLLUTIONS DIFFUSES ATTRIBUÉS AU FINANCEMENT DU PLAN ECOPHYTO Observations : Fredon Ile de France et les observateurs du réseau d épidémiosurveillance (agents de collectivités, parcs et jardins de prestige privés et publics, entreprises privées et particuliers). Rédaction : FREDON Ile de France contact : cm@fredonidf.com Comité de relecture: Fredon Ile de France, SRAL et Chambre Régionale d Agriculture d Ile de France Pour recevoir le Bulletin de Santé du Végétal par courrier électronique, vous pouvez en faire la demande par courrier électronique à l'adresse suivante j.du-cray@cra-idf.chambagri.fr en précisant le(s) bulletin(s) que vous désirez recevoir: grandes cultures pomme de terre légumes industriels, arboriculture, maraîchage, pépinière horticulture, zones non agricoles. Le Bulletin de Santé du Végétal est édité sous la responsabilité de la Chambre Régionale d Agriculture d Ile de France sur la base d observations réalisées par le réseau. Il est produit à partir d observations ponctuelles. S il donne une tendance de la situation sanitaire régionale, celle-ci ne peut être transposée telle quelle à la parcelle. La Chambre Régionale d Agriculture dégage toute responsabilité quant aux décisions prises par les agriculteurs pour la protection de leurs cultures. Tout document utilisant les données contenues dans le bulletin de santé du végétal Ile de France doit en mentionner la source en précisant le numéro et la date de parution du bulletin de santé du végétal. BSV n / 12
BILAN DE LA CAMPAGNE 2014
BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du
Plus en détailBulletin de santé du végétal
Tous fr uitiers Le réseau d épidémio-surveillance en arboriculture (pomme, poire, cerise, prune) pour la région Centre comprend actuellement 44 parcelles tous piégeages confondus. Le réseau «carpocapse
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 10 5 juin 2015 Ce qu'il faut retenir Balanin : des balanins sont présents en verger et d'après les dissections de femelles et de mâles, les accouplements devraient commencer dans les prochains jours.
Plus en détailBULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté
BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté Bulletin N 11-24 juillet 2015 INSCRIPTIONS Si vous ne recevez pas le BSV Légumes chaque semaine, vous pouvez vous inscrire aux listes diffusion de votre choix
Plus en détailLe rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs
Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs A LES INSECTES UTILES : LES POLLINISATEURS Ce sont essentiellement les insectes de l ordre des Hyménoptères
Plus en détailLes méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»
Plus en détailGrandes cultures n 15 du 10 mars 2015
1 A retenir cette semaine - Très nette accélération des stades phénologiques. - 81% des cuvettes piègent des charançons de la tige du colza cette semaine. Le risque va s amplifier en fin de semaine avec
Plus en détailJournées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013
Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance
Plus en détailPermet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles
Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de
Plus en détailBULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL PAYS DE LA LOIRE >>> MARAICHAGE
BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL 2 AOÛT 2012 Retrouvez le Bulletin de santé du végétal sur le Web! www.draaf.pays-de-la-loire.agriculture.gouv.fr www.agrilianet.com - www.fredonpdl.fr Les maladies du feuillage
Plus en détail2. Les auxiliaires de culture
III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs
Plus en détailAuxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels
Auxiliaires Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Mouches Blanches L un des ravageurs les plus communs dans de nombreuses cultures. Lors d une forte attaque, la mouche blanche peut s avérer
Plus en détailCHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires
CHOU BIOLOGIQUE Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires Essai de plein champ conditions expérimentales 1 Auteurs : Christian ICARD (Ctifl-SERAIL), Nadine
Plus en détailGuide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs
Lesauxiliaires auxiliaires Les enarboriculture arboriculture en Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs Insectes pollinisateurs : respecter les
Plus en détailRADICAL. Guide. pratique
RADICAL Guide pratique Protéger son jardin avec des solutions naturelles : La lutte biologique permet de combattre les ravageurs du jardin sans utiliser des traitements nocifs. Elle apporte des solutions
Plus en détailPuceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte
Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Daniel Cormier, Ph. D. Institut de recherche et de développement d en agroenvironnement inc.. (IRDA), Québec, Canada Pourquoi
Plus en détailHORTICULTURE. Momies de Praon BULLETIN N 04 DU 29 AVRIL 2011. Page 1 / 8 A RETENIR : RAVAGEURS. Thrips
BULLETIN A RETENIR : Horticulture : - Attention aux populations de pucerons et thrips qui peuvent encore exploser. - Attention à l'arrivée des pluies et donc de l'humidité favorisant le développement de
Plus en détailBiologie du psylle Inventaire des auxiliaires spontanés Evaluation de leur impact réel sur la saison
ELEMENTS DE BIOLOGIE DU PSYLLE DE L ELAEAGNUS, CACOPSYLLA FULGURALIS (KUWAYAMA, 1908) [HEMIPTERA : PSYLLIDAE] ET RELATIONS AVEC SES AUXILIAIRES SPONTANÉS A. FERRE ET M. BEAUJEAN LIFE HISTORY TRAITS OF
Plus en détailBulletin de santé du végétal - Auvergne n 31 du 27/08/2013
Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 31 du 27/08/2013 A retenir Maïs Fin du vol de pyrale, les premières larves sont visibles dans les tiges, l Héliothis est toujours présent. Betteraves sucrières
Plus en détailRésumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011
Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 26 7 Août 2015 Ce qu'il faut retenir Prairie Quelques chenilles présentes. Soja ANIMATEURS FILIERE Céréales à paille DESIRE Sylvie / FDGDON 64 s.desire@pa.chambagri.fr Suppléance : ARVALIS a.carrera@arvalisinstitutduvegetal.fr
Plus en détailBulletin de santé du végétal - Auvergne n 30 du 20/08/2013
Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 30 du 20/08/2013 A retenir Maïs Fin du vol de pyrale, mais les premières larves sont visibles dans les tiges, peu d Héliothis cette semaine. Betteraves sucrières
Plus en détailRecettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor
Recettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor MISE EN GARDE : Les recettes de pesticides «maison» présentées ci-dessous (destinées à un usage domestique) sont données à
Plus en détailPetit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis
Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.
Plus en détailvérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Plus en détailLes ravageurs. Aleurode, mouche blanche Responsable : Plusieurs espèces d'aleurodes dont Trialeurode
Les ravageurs Acariens Responsable : Les acariens sont de minuscules araignées de moins d 1 mm de long. Il en existe plusieurs types : - Les ériophyes ou phytopes, à l aide d une substance chimique, provoquent
Plus en détailécologique Guide des arbres Ornement fruitier forestier Exigences culturales, maladies, ravageurs, protection biologique ÉLISABETH & JÉRÔME JULLIEN
ÉLISABETH & JÉRÔME JULLIEN Guide écologique des arbres Ornement fruitier forestier Exigences culturales, maladies, ravageurs, protection biologique Préface de Denis Cheissoux Sang de la Terre et Groupe
Plus en détailCalopteryx vierge Mâle et femelle ne se ressemblent pas. Le mâle du Calopteryx vierge a des ailes brun noir foncé veinées de bleu. Ce redoutable prédateur reste perché sur des plantes de la berge ou sur
Plus en détail«Les auxiliaires des cultures
«Les auxiliaires des cultures arboriculture, maraîchage, grandes cultures» Auteur : GIRAUD A. - CHAMBRE D AGRICULTURE DE L ARDECHE Date de parution : Octobre 2012 Ce document est la propriété exclusive
Plus en détailBULLETIN DE SANTE DU VEGETAL
BULLETIN DE SANTE DU VEGETAL MIDI-PYRENEES Grandes Cultures - n 36 09 juillet 2015 Sésamie : Pic de vol de deuxième génération prévu du 18 au 25 juillet des secteurs les plus chauds aux plus froids de
Plus en détailSurveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis
Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Asian longhorned beetle (ALB) Longicorne asiatique Photo LNPV DRAAF - SRAL ALSACE Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora
Plus en détailPetits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification
Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille
Plus en détailPREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015
PREVENTION ASV Partie réalisée par Le 09/05/2015 Atelier n 2 : Parasites et intoxication Principaux parasites de l été: - Les puces : c est quoi? - Les tiques : c est quoi? - Les aoutats : c est quoi?
Plus en détailÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS
ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:
Plus en détailPrincipes généraux de la lutte intégrée sur cultures maraîchères en Polynésie française
Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement Ministère de l'agriculture et de l'élevage Service du Développement Rural Département Agriculture Principes généraux
Plus en détailLa lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie
La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailProblématiques et solutions de la saison 2010: insectes et acariens
Problématiques et solutions de la saison 2010: insectes et acariens Par : JONATHAN ROY, agronome Conseiller en agriculture biologique MAPAQ - Chaudière re-appalaches Journée e d information d «Serres modiques
Plus en détailSurveillance Biologique du Territoire
Surveillance Biologique du Territoire Gaillac Bilan de campagne 2014 3 novembre 2014 Title:BSV.eps Title:ecophyto.eps Creator:Adobe Illustrator(R) 15.1 Creator:Adobe Illustrator(R) 15.1 CreationDate:15/10/12
Plus en détailContre les Insectes en Général
les Insectes en Général Nettoyant, désodorisant Le Bicarbonate De Soude a bien des vertus! Derrière sa poudre blanche, fine et sans odeur se cache un puissant insecticide biodégradable et non toxique pour
Plus en détailNous recensons ci-dessous, de la manière la plus exhaustive possible, l ensemble des éléments qui ont ou vont nécessiter une intervention :
Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers, L année 2013, pas encore terminée, nous a déjà réservé son lot de surprises : froid, humidité constante, pluies abondantes suivies, dans le
Plus en détailPage 1/6 - Lutte biologique contre les organismes nuisibles à l'agriculture
25/04/2006 - Par Bernard Pintureau, Chercheur INRA Lutte biologique contre les organismes nuisibles à l'agriculture Les plantes cultivées subiraient entre 20 et 40 % de pertes avant récolte, dues à des
Plus en détailIdentification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré
Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Rencontre du groupe RAP Maïs sucré, 3 avril 2013 Jean-Philippe Légaré, M. Sc., biologiste-entomologiste, Laboratoire de diagnostic en
Plus en détailSurligne les phrases si elles sont justes :
1) L escargot a besoin de chaleur. Entoure : L escargot est un : 2) Il sort de sa coquille quand l atmosphère est sèche. VERTEBRE - INVERTEBRE 3) Sans coquille, l escargot meurt. OISEAU REPTILE - MOLLUSQUE
Plus en détailLivret d animations Sarthe Nature Environnement
Livret d animations Sarthe Nature Environnement La fédération d associations Sarthe Nature Environnement vous présente les animations pouvant être proposées par l animatrice et les bénévoles. Activités
Plus en détailContacts. Juin 2014 CONSEILS DE SAISON
Juin 2014 CONSEILS DE SAISON Les fortes chaleurs dans les abris et en sont favorables au développement des ravageurs : thrips, acariens notamment sur cucurbitacées, aubergine,etc. Les auxiliaires naturels
Plus en détailLes principaux auxiliaires naturels
Observation et suivi des bioagresseurs au jardin 28 Dans ce chapitre sont présentés les principaux auxiliaires naturels, c est-à-dire présents naturellement dans les jardins. Il est important de savoir
Plus en détailNourrir les oiseaux en hiver
les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les
Plus en détailPRATIQUES PHYTOSANITAIRES RESPECTUEUSES DE L ENVIRONNEMENT : LA LUTTE BIOLOGIQUE
PRATIQUES PHYTOSANITAIRES RESPECTUEUSES DE L ENVIRONNEMENT : LA LUTTE BIOLOGIQUE 1. DEFINITIONS «Lutte biologique ou biological control : utilisation par l homme d ennemis naturels tels que des prédateurs,
Plus en détailVer de la grappe: cochylis
Fiche: 050 Ver de la grappe: cochylis (Eupoecilia ambiguella Hb.) Auteurs: P.-J. Charmillot, D. Pasquier, U. Remund et E. Boller Aire de répartition La cochylis de la vigne est une tordeuse dont l'aire
Plus en détailTétranyques à deux points: stratégies de contrôle
Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Par Jean-Paul Soucy, agr. Les acariens nuisibles en serre Tétranyque à deux points Tétranyque de Lewis Acariens des bulbes Mite du cyclamen/tarsonème du
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailwww.ecophytozna-pro.fr La plateforme technique d informations des professionnels des ZNA
www.ecophytozna-pro.fr La plateforme technique d informations des professionnels des ZNA Les objectifs du site Site de ressources sur les problématiques de réduction des produits phytosanitaires en ZNA
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détail16 insecticides naturels et sans risque
16 insecticides naturels et sans risque Moustiques: essayez le géranium Pour repousser rapidement les moustiques, essayez l huile essentielle de géranium rosat. Extraite des feuilles de la plante, cette
Plus en détailLes insectes jardiniers
Les insectes jardiniers Vous avez dit jardin? Le jardin à la française se caractérise par la régularité et la symétrie. Domptée, la nature ne s y exprime plus, les végétaux acceptés ne sont là que pour
Plus en détailTrichogrammes. Les. dans le maïs sucré. Lutte contre la pyrale du maïs
Les Trichogrammes dans le maïs sucré Lutte contre la pyrale du maïs hristine Jean iologiste-entomologiste hargée de projet Para-io Saint-ugustin-de-Desmaures (Québec) Remerciements Para-io et l auteure
Plus en détailLe printemps et l été du compost
Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant
Plus en détailEn rouge et noir. 4,50 juin 2011 - n 1326 M 01054-1326 BEL : 4,50 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80
Zoom 4,50 juin 2011 - n 1326 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80 GR : 3,80 - ITA : 4,60 - LUX : 2,60 - MAROC : 25 dh - NL : 5 En rouge et noir M 01054-1326 BEL : 4,50
Plus en détailDébroussailler autour de sa maison : «une obligation»
Guide du débroussaillement règlementaire aux abords des constructions dans le département de Vaucluse Débroussailler autour de sa maison : «une obligation» 2 ème édition Le débroussaillement vous protège,
Plus en détail- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires
Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences
Plus en détailComment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement?
Comment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement? La question que l on se pose : Les végétaux ont-ils besoin d eau, de minéraux, d air
Plus en détail4. Notice d utilisation
Clauses techniques pour une prise en compte de la réduction de l utilisation des produits phytopharmaceutiques dans les marchés publics d entretien et de conception des espaces publics Mars 2012 Action
Plus en détailHaute-Normandie. Livret jeune public
Haute-Normandie Livret jeune public 1 RENDEZ-VOUS AUX JARDINS Du vendredi 0 mai au dimanche 1er juin a lieu la 1e édition «Renz vous aux jardins»! Cette gran fête t invite à visiter les plus beaux jardins
Plus en détailFASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE
FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE INTRODUCTION La nature est incroyablement diversifiée. Elle regroupe la Terre avec ses zones aquatiques telles que les
Plus en détailFAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE. Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne)
FAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne) LA TRAME VERTE ET BLEUE RECONSTITUER UN RÉSEAU DE CONTINUITÉS ÉCOLOGIQUES Permettre à la faune
Plus en détailDOMAINE «ENVIRONNEMENT EXTERNE»
DOMAINE «ENVIRONNEMENT» DOMAINE : ENVIRONNEMENT EMPLOI-REPERE : EMPLOYE(E) D ENTRETIEN ET PETITS TRAVAUX (A) HOMME-FEMME TOUTES MAINS (A) Les conditions de réalisation de l intervention (lieu, équipements,
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailBienvenue sur la planète des insectes!
Bienvenue sur la planète des insectes! Les Entomonautes c/o Youssef Guennoun 49 bis rue du Borrégo 75020 Paris entomonautes(at)gmail.com Des milliards de petites bêtes Les insectes constituent 75 % de
Plus en détailLE POINT DE VUE DE FNE
LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés
Plus en détailQuelles évolutions au niveau des prédateurs nuisibles en culture de maïs et les moyens de lutte?
Quelles évolutions au niveau des prédateurs nuisibles en culture de maïs et les moyens de lutte? En culture de maïs, le pourcentage de surfaces traitées avec un insecticide avoisinne actuellement les 3
Plus en détailL agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour
L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques Ordre du jour 1. Le cadre réglementaire 2. Les exigences organisationnelles et leurs applications
Plus en détailBULLETIN N 20 DU 7 JUILLET 2015
BULLETIN N DU 7 JUILLET A RETENIR: Maïs : Observations d'ooplaques et baisse des populations de pucerons. Pois - Féverole : fin des observations. Betterave : le stress hydrique limite toujours le développement
Plus en détailAuxiliaires au Jardin
Auxiliaires au Jardin Un grand nombre d'êtres vivants là aussi cohabitent et participent à l'équilibre naturel des milieux. Ils peuvent aussi nous indiquer leur état sanitaire. Et le plus intéressant,
Plus en détailChapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu
Plus en détailLes potagers Neerstalle
Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service
Plus en détailDes îlots de verdure. sur les TOITURES
Des îlots de verdure sur les TOITURES L augmentation des surfaces imperméables, comme les routes, les parkings, les bâtiments et la raréfaction des espaces verts en ville est un constat indéniable. Les
Plus en détailEN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés...
Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... 2 Contenus... 3 niveaux, disciplines, compétences... 3 notions... 4 Vocabulaire... 4 découpage du film... 5 Suggestions
Plus en détailLE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE
II Le toit / Leçon 4 : La charpente 19. Voir Leçon 5. 20. Pour les solins, voir p. 38. LE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE On s alarme souvent de la courbe d un arbalétrier ou d un entrait
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailBulletin n 6 LA MALADIE DU ROND
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS COMMISSION D'ÉTUDES DES ENNEMIS DES ARBRES, DES BOIS ABATTUS ET DES BOIS MIS EN ŒUVRE Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND On appelle «maladie du
Plus en détailAménagements agroforestiers et Biodiversité fonctionnelle
Aménagements agroforestiers et Biodiversité fonctionnelle Cette plaquette, réalisée par Arbre et Paysage 32, en lien avec le projet CASDAR «Améliorer l efficacité agro-écologique des systèmes agroforestiers
Plus en détailPunaise des lits. À quoi ressemblent-elles? Cycle de vie. Alimentation
Punaise des lits À quoi ressemblent-elles? Lorsqu elle est à jeun, la punaise des lits présente une coloration allant du brun au brun jaunâtre. Une fois gorgée de sang, elle devient brune rougeâtre et
Plus en détailSAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...
SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps
Plus en détailVers de la grappe Eudémis (Lobesia botrana) Vers de la grappe Cochylis (Eupoecilia ambiguella)
LE GUIDE VITI D Principaux ravageurs: INSECTES Vers de la grappe Eudémis (Lobesia botrana) Symptômes Les chenilles pénètrent dans les boutons floraux, puis confectionnent un glomérule ou nid (plusieurs
Plus en détailConseil Spécialisé fruits et légumes
Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de
Plus en détailUTILISATION DES PRODUITS PHYTOSANITAIRES
UTILISATION DES PRODUITS PHYTOSANITAIRES 1) Principaux ravageurs du chou: ALTISE DES CRUCIFERES (Phyllotreta) Altise des navets (à gauche) altise des choux (à droite) Adulte prêt à décoller Dégâts sur
Plus en détailNote nationale BSV. Hannetons et vers blancs
Note nationale BSV Note rédigée par la DGAl-SDQPV. Version 2013 Hannetons et vers blancs Situation des hannetons sur le territoire Depuis le début des années 2000, des dégâts de plus en plus fréquents
Plus en détailBesoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016
Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016 Comité agriculture biologique du Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CAAQ) Octobre 2012 mise à jour
Plus en détailMettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux
Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! Zone libérée des poux français Guide anti-poux Double efficacité: Elimine les poux Endommage la membrane chitineuse des lentes empêchant ainsi l éclosion de
Plus en détailParc naturel régional du Perche Maison du Parc- Courboyer 61340 Nocé 02 33 85 36 36 www.parc.naturel.perche.fr
Parc naturel régional du Perche Maison du Parc- Courboyer 61340 Nocé 02 33 85 36 36 www.parc.naturel.perche.fr Malle documentaire Jardin Pourquoi faire un jardin? Quel type de jardin mettre en place? Quelle
Plus en détailUn peu d histoire. Lutte biologique. Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre?
Lutte biologique ------------------------------ Un peu d histoire ------------------------- Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome, M. Sc. Conseiller
Plus en détailTout au long de l année
Objectifs Familiariser les élèves avec le relevé d informations sur un journal de bord. Apprendre aux élèves à utiliser des instruments d observation scientifiques. Réaliser des dessins d observations
Plus en détailActualité Ecophyto 2010
N 12 - Décembre 21 SOMMAIRE Actualité Ecophyto 1 Actualité réglementaire 1 Actualité cultures 3 Résultats essais 3 Actualité Ecophyto 21 Prochaines échéances JANVIER 211 Résultats de la sélection des groupes
Plus en détailFICHE TECHNIQUE. Méligèthe du colza. Comment le reconnaître? Numéro de commande 1484, Édition pour la Suisse, 2014. Dernière actualisation 02.06.
FICHE TECHNIQUE Méligèthe du colza Introduction L huile de colza bio est recherchée, mais la culture de colza bio est très exigeante. En particulier, le méligèthe du colza peut provoquer de fortes pertes
Plus en détailLes insectes auxiliaires du jardin Maintenir la biodiversité dans le Grand Lyon
Les insectes auxiliaires du jardin Maintenir la biodiversité dans le Grand Lyon Le Syrphe ceinturé DÉFINITION Les ravageurs sont des organismes qui causent des dégâts aux plantes cultivées, aux stocks
Plus en détailPOUR VENTE POUR UTILISATION DANS L EST DU CANADA ET EN COLOMBIE-BRITANNIQUE COMMERCIAL
PMRA Approved April 22, 2010 GROUPE 3 INSECTICIDE INSECTICIDE decis 5 CE POUR VENTE POUR UTILISATION DANS L EST DU CANADA ET EN COLOMBIE-BRITANNIQUE COMMERCIAL NUMÉRO D HOMOLOGATION 22478 LOI SUR LES PRODUITS
Plus en détailPROTECTION RAISONNEE ET BIOLOGIQUE
couverturegbp2011_**couverture 07/02/11 14:42 Page1 PROTECTION RAISONNEE ET BIOLOGIQUE en oléiculture Interdit a la vente Guide téléchargeable sur : www.afidol.org Edito_2013_Edito 2013_Guide PRB 28/01/13
Plus en détail