L HYPNOSE EN ONCO-HEMATOLOGIE
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- Raymond Leblanc
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1 L hypnose en onco-hématologie L HYPNOSE EN ONCO-HEMATOLOGIE Date : 26/09/
2 L hypnose en onco-hématologie Sommaire o Définitions o Physiopathologie o Epidémiologie o Indications p 1 o Déroulé d une séance d hypnose o Effets indésirables Contre-indications o Formation o Conseils aux soignants formés à l hypnose o Annexes 2
3 L hypnose en onco-hématologie Plan Groupe de travail Participants Préambule Définitions Physiopathologie Epidémiologie Indications en onco-hematologie Déroulé d une séance d hypnose Effets indésirables/ci Formation Conseils aux soignants formés à l hypnose Nicolas Drouet, Virginie Adam, samia Testa, Jean Danis Jean Pierre Alibeu, Olivier Berthelet Nicolas Drouet Samia Testa, Jean Danis, Sophy Riboulet, Adeline Dervaux, Virginie Adam, François Bouchard, Sylviane Achelous, Genevieve Salvignol Jean Danis, Nicolas Drouet,Gilles Villot, Rémi Etienne, Guénaelle Gautier, Virginie Ada Lea lorriguet, Stéphanie Träger, Isabelle Bardet, Gwladys Fontaine Stéphanie Träger, Olivier Berthelet, Isabelle Bardet, Gwladys Fontaine, Rémi Etienne Adeline Dervaux,Samia Testa, Achelous Sylviane
4 Préambule L hypnose en onco-hématologie L'hypnose est une thérapie complémentaire qui ne se substitue en aucun cas aux traitements conventionnels du cancer. Elle est un soin de support en onco-hématologie et ne doit pas être considérée comme un traitement curatif du cancer.
5 Le terme hypnose est proposé par le chirurgien anglais James Braid en 1842 pour définir des techniques de soins non médicamenteuses qui plongent les patients dans un état de conscience particuliers (ressemblant au sommeil) avec l objectif de diminuer la douleur notamment lors d actes de chirurgie de l époque. Au début 21éme siècle on pourrait définir l hypnose comme un ensemble de techniques psycho-corporelles qui permet d activer un phénomène neurophysiologique, que nous appellerons ici «transe thérapeutique», et ceci dans un contexte de soins avec intention d améliorer des symptômes provoqués (ex : actes invasifs) ou secondaires à une pathologie. C est donc tout simplement un outil thérapeutique non médicamenteux. La transe est un des états de conscience de l éveil (en opposition au sommeil) banale et naturelle, plus ou moins intense. Cet état est spontané ou intentionnellement provoqué (par un tiers c est l hétérohypnose ou par soi-même c est l autohypnose) pour alors être utilisée comme outil thérapeutique.
6 Remarques : l hypnose est une des techniques psycho-corporelles mais sa particularité est d être prodiguée dans un contexte de soins avec des objectifs sur des symptômes et/ou des comportements. Elle doit être prescrite avec une indication identifiée. Les autres techniques psycho-corporelles ne sont pas obligatoirement utilisées dans un contexte médical. Citons par exemples d autres techniques psycho-corporelles : méditation en pleine conscience, sophrologie, relaxation avec imagerie mentale, yoga, Chi Qong, etc
7 Hétérohypnose : présence aux côtés du patient d un praticien qui utilise des techniques de communications verbales et/ou non verbales pour induire une activation de transe thérapeutique chez le patient. Autohypnose : patient seul qui utilise des exercices psychocorporels appris pour activer un état de transe thérapeutique. Hypnosédation : hétérohypnose prodiguée à un patient au bloc opératoire pour une chirurgie, en association avec une anesthésie locale. Ce qui permet de ne pas faire d anesthésie générale. Hypnothérapie : hétérohypnose et/ou apprentissage de l autohypnose chez un patient dans le cadre d une psychothérapie prodiguée par un psychothérapeute ou un psychiatre formés à l hypnose.
8 PHASE CURATIVE PHASE PALLIATIVE INITIALE ( années) PHASE PALLIATIVE AVANCEE (mois) PHASE TERMINALE (semaines) AGONIE ( jours) TRAITE MENTS ANTICA NCEREU X SPECIFI QUES T symptomatique Effets secondaires Accompagnement (annonce, information, écoute et soutien) Après cancer APA + diet, Soutien Social Psycho-oncologie L 1 L 2 L3 Tmt symptomatique actif effets secondaires, disphosphonate, psycho-oncologie L n Traitement symptomatique actif vértébroplastie, antalgiques, diététique, kinésithérapie, stent,radiofréquence, ATB, anticoagulant psycho-oncologie, Arrêt des Tmts Spécifiques Diagnostic de cancer Guérison Rechute locale incurable, ou métastastatique Symptômes liés à la tumeur Dg de chimiorésitan ce OMS 3-4, critères pn palliatifs péjoratifs Décès Hypnoses Hypnoses Hypnoses
9 Hétérohypnose (analgésique) : Biopsie mammaire Pose de dispositif implantable Radiothérapie Radiologie interventionnelle Autres actes invasifs Hypnosédation : Chirurgies ne nécessitant pas de curarisation (ambulatoire++) Hétérohypnose et apprentissage de l autohypnose : Douleurs séquellaires neuropathiques Bouffées de chaleur sous hormonothérapie Tolérance chimiothérapies (nausée/vomissement) Anxiété, dépression, fatigue, soins palliatifs
10 L hypnose en onco-hématologie Définitions L'hypnose est un phénomène physiologique, banal et naturel, que nous possédons tous, où l'on se laisse extraire de la réalité. C'est un état de «rêverie», de concentration, comme être captivé par un livre ou tout autre chose qui nous fait mettre à l'écart ce qui se passe autour de nous. Une partie de soi est ici pendant que l'autre partie de l'esprit est ailleurs. L'imagerie, l'intuition et l'évocation l'emportent sur le raisonnement, et l'expression de l'émotion est facilitée. L'hypnose n'est pas un sommeil. C'est un état de conscience modifié ou de veille paradoxale : «rêves prélevés sur un temps de veille». L'inconscient du sujet est réceptif à des suggestions qui lui permettent d'apprendre à utiliser ses compétences, à activer ses propres ressources et entraîner la formation de nouveaux comportements pour sa vie.. C'est une technique qui inclut la communication multiniveaux sur un langage tant verbal que non verbal avec une approche stratégique de la thérapie. Elle est admise comme une thérapie active où le patient est acteur de sa thérapie, notamment par l'apprentissage de l'auto-hypnose.
11 Définitions L hypnose en onco-hématologie L hypnose est : un état passager d attention modifiée chez le sujet, état qui peut être produit par une personne et dans lequel divers phénomènes peuvent apparaître spontanément ou en réponse à des stimuli verbaux ou autres. Ces phénomènes comprennent un changement de la conscience et de la mémoire, une susceptibilité accrue à la suggestion et l apparition chez le sujet de réponses et d idées qui ne lui sont pas familières dans son état d esprit habituel. En outre, des phénomènes comme l anesthésie, la paralysie, la rigidité musculaire et des modifications vasomotrices peuvent, dans l état hypnotique, être produits ou supprimés. Définition de la British Medical Association (1955) un mode de fonctionnement psychologique par lequel un sujet, en relation avec un praticien, fait l expérience d un champ de conscience élargi. Cette définition implique que la pratique de l hypnose recouvre deux dimensions : à la fois un état de conscience modifiée que l on nomme état hypnotique mais aussi une relation singulière. L état hypnotique a été caractérisé à la fois par les neurosciences (imagerie cérébrale) et par la psychologie (théorie de la dissociation psychique). Quant à la dimension de la relation, elle renvoie à une communication thérapeutique telle que l a développée par exemple Milton H. Erickson et à une dimension intersubjective particulièrement étudiée par en hypnoanalyse. Antoine BIOY, responsable scientifique de l Institut Français d Hypnose
12 Définitions L hypnose en onco-hématologie Il existe plusieurs manières de vivre l état hypnotique : L hypnose éricksonienne : Milton Hyland ERICKSON ( ) est un psychiatre américain qui a modernisé la pratique de l hypnose thérapeutique. C est une hypnose permissive et utilisationnelle, le thérapeute utilisant ce que lui apporte le patient : ceci laisse toute la place au patient qui est donc acteur de sa thérapie. Cette méthode hypnotique est basée sur l observation très attentive du patient. Le travail hypnotique fait appel à l imagination du patient, et utilise de nombreux protocoles qui ont été décrits par les élèves de Milton H. Erickson. En particulier, les suggestions faites au patient sont indirectes. L autohypnose : toute hypnose est autohypnose, c est à dire que le patient rentre en hypnose de lui-même. Lorsqu il est accompagné par un thérapeute, ce dernier ne fait que créer un cadre permettant au patient de rentrer en état hypnotique. Avec un certain apprentissage, les patients peuvent se libérer de ce cadre pour rentrer en hypnose sans accompagnement. Ceci est très utile pour continuer et renforcer le travail initié en séance avec un thérapeute, ainsi que lors de soins répétés (pose de sonde nasogastrique pour alimentation entérale nocturne, pose de sonde à demeure, pansements ou autres soins stressants ou douloureux).
13 Différents types d «hypnose accompagnée» : Définitions L hypnose en onco-hématologie L'hypnose conversationnelle ou la communication thérapeutique : il n y a pas d induction formelle d une transe hypnotique. Dans le cadre d une conversation avec le patient, le thérapeute amène le patient à orienter son attention sur un sujet qui le motive particulièrement, souvent dans le futur (anticiper quelque chose d agréable), mais aussi dans le passé (un souvenir agréable). Il faut éviter les négations, que l inconscient ne peut pas entendre. L hypnoanalgésie et hypnosomatique : l hypnose peut induire une analgésie voire une anesthésie. L utilisation de l hypnose seule sans complément chimique constitue l hypnoanalgésie. Cette technique peut être utile pour prévenir et limiter la douleur lors de soins douloureux. (élargir la définition ) L hypnosédation : c est une technique d anesthésie qui associe une hypnose peropératoire et une sédation consciente intraveineuse, avec une anesthésie locale. L hypnosédation permet la réalisation d interventions douloureuses sans avoir recourt à une anesthésie générale chimique. Les doses de produits chimiques sont de facto réduites par rapport à l anesthésie générale ou même une sédation seule. Cela permet de diminuer en postopératoire le niveau d anxiété, les douleurs, la fréquence des nausées et des vomissements. Le patient peut ainsi reprendre plus rapidement ses activités. L hypnothérapie : il s agit d une pratique de l hypnose à visée psychothérapeutique Quelque soit l école ou la technique, qui d ailleurs ne sont nullement mutuellement exclusives, l hypnose est avant tout une relation entre un thérapeute et un patient, ou entre le patient et lui-même, cette relation permettant au patient de faire ou de refaire le lien avec lui-même dans l instant présent, pour ainsi retrouver sa liberté d être. Cette expérience est accessible à tous «La puissance de l hypnose provient du fait qu elle ne fait pas comprendre mais vivre et ressentir.» P. Richard 13
14 L hypnose en onco-hématologie Le terme hypnose est proposé par le chirurgien anglais James Braid en 1842 pour définir des techniques de soins non médicamenteuses qui plongent les patients dans un état de conscience particuliers (ressemblant au sommeil) avec l objectif de diminuer la douleur notamment lors d actes de chirurgie de l époque. Au début 21éme siècle on pourrait définir l hypnose comme un ensemble de techniques psycho-corporelles qui permet d activer un phénomène neurophysiologique, que nous appellerons ici «transe thérapeutique», et ceci dans un contexte de soins avec intention d améliorer des symptômes provoqués (ex : actes invasifs) ou secondaires à une pathologie. C est donc tout simplement un outil thérapeutique non médicamenteux. La transe est un des états de conscience de l éveil (en opposition au sommeil) banal et naturel, plus ou moins intense. Cet état est spontané ou intentionnellement provoqué (par un tiers c est l hétérohypnose ou par soimême c est l autohypnose) pour alors être utilisée comme outil thérapeutique. Remarques : l hypnose est une des techniques psycho-corporelles mais sa particularité est d être prodiguée dans un contexte de soins avec des objectifs sur des symptômes et/ou des comportements. Elle doit être prescrite avec une indication identifiée. Les autres techniques psycho-corporelles ne sont pas obligatoirement utilisées dans un contexte médical. Citons par exemples d autres techniques psycho-corporelles : méditation en pleine conscience, sophrologie, relaxation avec imagerie mentale, yoga, Chi Qong, etc Hétérohypnose : présence aux côtés du patient d un praticien qui utilise des techniques de communications verbales et/ou non verbales pour induire une activation de transe chez le patient. Autohypnose : patient seul qui utilise des exercices psycho-corporels appris pour activer un état de transe thérapeutique. 14
15 L hypnose en onco-hématologie Physiopathologie (2-3 slides) Attention : Orientation tous soignants Neurosciences Physiopathologie cliniques et paracliniques (EEG, IRM, Petscan) Systèmes sympathique et parasympathique Possibilité de mettre des documents en annexes
16 L hypnose en onco-hématologie Epidémiologie en onco-hématologie Joséphine Rodriguez - sevrage tabagique? Région Rhônes Alpes (thèse)? Voir si biblio pour symptômes fréquents en cancérologie En cours
17 Indications en onco-hématologie L hypnose en onco-hématologie Diagnostique Curative Douleurs Contre les effets secondaires traitements Ou : Bloc HDJ Hospi/SP RT
18 Indications (organigramme) L hypnose en onco-hématologie Au moment de l annonce: Sans parler d'hypnose formalisée, l'hypnose conversationnelle, comme outil de communication thérapeutique, peut favoriser la création d'une alliance entre les soignants et le patient. Elle peut d'ailleurs permettre de redonner à ce dernier un sentiment de contrôle (adhésion au traitement choisie et non subie, transe négative=>transe positive). Pour : les actes invasifs: Comme la pose du PAC, les biopsies, ponctions, pansements douloureux, et résections de certaines tumeurs. la gestion des effets secondaires pendant les traitements: L'hypnose a montré son efficacité pour soulager les nausées (notamment anticipatoires), les bouffées de chaleur, la fatigue... 1 le soulagement de l'anxiété, tout au long de la maladie AUTOHYPNOSE une meilleure gestion de la douleur Dans l'après cancer (projection dans l'avenir) Préférence d un schéma type krakowski - schéma proposé par Jean Danis puis références et biblio (à mettre en annexes) meta analyse de montgomery - bouffées MJCO effets potentiels en radiothérapie? - radiologie interventionnelle et hypnose - Boston - Biopsie mammaire avec anesthésie loco-régionale - sevrage tabagique (rapport juin 2015 INSERM) - étude hongroise sur 3000 femmes traitées (congrès hypnose 2015)? 1 Cramer,H., Lauche, R., Paul, A., Langhorst, J., Kümmel, S., Dobos, G., Hypnosis in Breast Cancer Care: A Systematic Review of Randomized Controlled Trails. Integrative Cancer Therapies 2014
19 INDICATIONS L hypnose en onco-hématologie La pratique de l'hypnose permet la gestion de/du/des : - La douleur aigüe et chronique - Effets secondaires de la chimiothérapie (nausées, vomissements, fatigue) - Bouffées de chaleur secondaires aux traitements hormonaux - Sevrage tabagique - L insomnie - L'anxiété - les émotions - stress post traumatique (amélioration de la qualité de vie - étude hongroise sur 3000 patientes en chimio adjuvante)étude randomisée 19
20 PHASE CURATIVE PHASE PALLIATIVE INITIALE ( années) PHASE PALLIATIVE AVANCEE (mois) PHASE TERMINALE (semaines) AGONIE ( jours) TRAITE MENTS ANTICA NCEREU X SPECIFI QUES T symptomatique Effets secondaires Accompagnement (annonce, information, écoute et soutien) Après cancer APA + diet, Soutien Social Psycho-oncologie L 1 L 2 L3 Tmt symptomatique actif effets secondaires, disphosphonate, psycho-oncologie prise en charge douleur chronique L n Traitement symptomatique actif vértébroplastie, antalgiques, diététique, kinésithérapie, stent,radiofréquence, ATB, anticoagulant psycho-oncologie, Arrêt des Tmts Spécifiques Diagnostic de cancer Guérison Rechute locale incurable, ou métastastatique Symptômes liés à la tumeur Dg de chimiorésitan ce OMS 3-4, critères pn palliatifs péjoratifs Décès Hypnoses Hypnoses Hypnoses
21 L hypnose en onco-hématologie INDICATIONS La pratique de l'hypnose permet la gestion de/du/des : - Les épreuves de traitements : o La chirurgie: pose de site implantable, tumorectomie, curage axillaire, mastectomie, reconstruction mammaire, pose et dépose de prothèse mammaire. *Avantages : pas d'anesthésie générale avec ses effets secondaires, moindre saignement per-opératoire, stabilité hémodynamique, bon rétablissement post-opératoire, moins de consommation d'antalgiques et d'anxiolytiques en rapport avec l'intervention o Les examens complémentaires diagnostiqués ou de suivis : radiologiques, radiothérapiques et médecine nucléaire o Médicaux : avec les effets secondaires de la radiothérapie et de la chimiothérapie - Remise en action des projets de vie et de réinsertion sociale. 21
22 La conscience Les régions cérébrales les plus actives mises en évidence par Marcus Raichle chez le sujet au repos sont les aires impliquées dans la conscience. Sont concernées : des aires frontales et pariétales, à la fois latérales et médianes. On le sait, la conscience se scinde en deux composantes essentielles : La conscience du monde extérieur La conscience de soi, entendue dans les recherches évoquées ici non pas au sens philosophique du terme, mais plus largement comme le fait d'être concentré sur son monde intérieur. Ces deux dimensions sont anticorrélées, le sujet focalisé sur «sa petite voix intérieure» étant moins réceptif aux stimuli en provenance de l'environnement et viceversa. M Raichle, A Snyder. A defaut mode of brain function. Neuroimage :
23 Les aires de la conscience Il y existe des aires liées préférentiellement à la conscience de soi et d'autres, à la conscience du monde extérieur. Les premières sont des aires associatives médianes (précuneus, cortex cingulaires antérieur et postérieur, cortex mésiofrontal) et latérales (cortex temporal postérieur). Les secondes (conscience du monde extérieur) sont des aires frontopariétales latérales. En IRM fonctionelle, on observe (chez le sujet au repos) que l'activité cérébrale dans les aires de la conscience n'est pas constante, mais fluctue en permanence. De surcroît, se dévoile une corrélation négative entre l'activité des aires impliquées dans la conscience de soi et celles intervenant dans la conscience du monde extérieur. M Raichle
24 Hypnose et mode défaut McGeown WJ, Mazzoni G et al. Hypnotic induction decreases anterior default mode activity. Conscious Cogn Dec;18(4): Lorsque le cerveau est laissé à lui-même, pendant que nous sommes en état de veille sans être sollicité par une tâche précise, on peut remarquer une activité neuronale spontanée, dite «par défaut». Ce type d activité cérébrale est associé à l introspection, à une sorte de concentration de la conscience, «sans objet» et sans pensée spécifique. Par opposition à l activité cérébrale de plein éveil, ou «avec objet», qui se produit lorsque nous réagissons à des stimuli extérieurs (visuels, sonores, tactiles, réels ou imaginaires) et que la pensée est active. Notre cerveau passe constamment d un mode à l autre. L imagerie par résonance magnétique fonctionnelle permet de voir, en temps réel, le cerveau passer de l un à l autre de ces deux modes. Ce que les chercheurs ont observé c est que l état hypnotique inhibait l activité du «réseau du mode par défaut» durant les périodes où les sujets sous hypnose étaient au repos.
25 Hypnose et neuroscience Trois regions (en rouge) sont systématiquement activées sous hypnose : la jonction temporopariétale (à gauche), le cortex prémoteur (au centre) et le cortex frontal inférieur (à droite). Y. Cojan et al., The Brain under self-control: modulation of Inhibitory and monitoring cortical networks during hypnotic paralysis, Neuron, vol. 62, pp , 2009
26 Le cerveau observé en hypnose Les résultats révèlent que l'hypnose provoque une reconfiguration de la communication entre plusieurs régions du cerveau. Ainsi, au moment de l'exécution du mouvement sous hypnose, l'activité augmente (plus que chez les sujets non hypnotisés) dans le cortex frontal inférieur droit, associé au contrôle volontaire des tâches, et dans l'aire de Broca, qui assure la production et le traitement du langage. Simultanément, le cortex moteur, activé dans la phase de préparation, apparaît déconnecté des aires prémotrices, impliquées dans la planification des mouvements (normalement, il n'est pas déconnecté).
27 Le cerveau observé en hypnose En revanche, le cortex moteur communique davantage avec une aire pariétale, le precuneus, associé à la création d'images mentales, à la mémoire épisodique et aux représentations de soi (ce que l'on ne constate pas normalement). Selon Y. Cojan, une telle activité cérébrale suggère non pas une inhibition directe du cortex moteur par les ordres adressés par l'hypnotiseur, mais un changement d'activité du cortex frontal et du cortex pariétal. L'exécution des mouvements serait déconnectée de l'intention et de l'attention. Des représentations mentales et une attitude centrée sur soi (introspection) déclenchées par les suggestions de l'hypnotiseur prendraient le contrôle du comportement. Le pouvoir de la suggestion hypnotique, mais aussi celui de l'imagerie intérieure, sont ainsi confirmés.
28 Par ailleurs, l'observation des zones activées dans le cerveau, suggère que loin de perdre la maîtrise de son corps, la personne sous hypnose, serait au contraire en état d'hyper contrôle. Comme si, en état de transe, l'activité imaginaire du cerveau était en mesure de modifier de façon bien réelle, les perceptions vécues par le corps. Contrairement à la relaxation, il existe un état d hyper activation cérébrale lors de l hypnose
29 De plus, l hypnose Par son action centrale au niveau du complexe amygdale/hypocampe l hypnose a un rôle avéré sur le cerveau inconscient non tache-dépendant qui règne sur la physiologie de l organisme et régule le stress, le brain-gut axis et l immunité Cette action est en grande partie médiée par l action de l hypnose comme régulateur de la production de cytokines, permettant ainsi de lutter contre les maladies inflammatoires et auto-immunes. Et plus globalement une résilience immunitaire est favorisée par l hypnose.
30 Annexes
31 Default mode network
32 Composantes anatomiques du mode defaut Cortex préfrontal médian : cognitions sociales, représentation des états mentaux d autrui, gestion de ses propres états psychologiques Région dorsale : fonctions cognitives complexes Région ventrale : régulation des processus émotionnels et affectifs : reçoit des info sensorielles du corps via le cortex orbito frontal, en connexion avec les régions limbiques : amygdale, striatum, hypothalamus. A l état de repos les stimuli extéroceptifs sont exclus, le traitement des stimuli intéroceptifs va prédominer Région temporale inférieure (RTI) : reconnaissance visuelle Cortex cingulaire postérieur (CCP) : processus émotionnels liés à la mémoire épisodique. Aire intra pariétale latérale : traitement des informations spatiales, niveau attentionnel
33 Am J Clin Hypnosis, 2003 Jan;45(3): Hypnosis, differential expression of cytokines by T-cell subsets, and the hypothalamo-pituitary-adrenal axis. Wood GJ, Bughi S, Morrison J, Tanavoli S, Zadeh HH Etude de l effet de l hypnose sur intracellular cytokine expression (Interferon (IFN)-gamma, Interleukin-2, Interleukin-4) and HPA axis mediateurs Un effet significatif a été noté après une séance d hypnose
34 Pain Med Jan;13(1): doi: /j x. Experimental pain ratings and reactivity of cortisol and soluble tumor necrosis factor-α receptor II following a trial of hypnosis: results of a randomized controlled pilot study.goodin BR 1, Quinn NB, Quinn NB, Kronfli T, Quinn NB, Kronfli T, King CD, Quinn NB, Kronfli T, King CD, Page GG, Quinn NB, Kronfli T, King CD, Page GG, Haythornthwaite JA, Quinn NB, Kronfli T, King CD, Page GG, Haythornthwaite JA, Edwards RR, Quinn NB, Kronfli T, King CD, Page GG, Haythornthwaite JA, Edwards RR, Stapleton LM, Quinn NB, Kronfli T, King CD, Page GG, Haythornthwaite JA, Edwards RR, Stapleton LM, McGuire L. this randomized controlled pilot study support the importance of hypnosis for modulating pain-related changes of the HPA axis and pro-inflammatory cytokines
35 Complement Ther Clin Pract May;19(2):83-8. doi: /j.ctcp Epub 2013 Jan 18. Reconditioning the stress response with hypnosis CD reduces the inflammatory cytokine IL-6 and influences resilience: a pilot study. Schoen M 1, Nowack K. impact of a self-administered hypnosis intervention on resilience and the inflammatory cytokine IL-6. a brief self-administered CD hypnosis stress reduction program can modify a physiological measure of inflammation (IL-6), and improve coping and resilience in the face of work and life stress.
36 Déroulé d une séance d hypnose accompagnée L hypnose en onco-hématologie comment se déroule la séance avec différentes étapes en schéma si possible pour en améliorer la compréhension roustant et bénaïam 36
37 L hypnose en onco-hématologie Déroulé d une séance d hypnose accompagnée 1) L ENTRETIEN PREALABLE Indispensable, il peut avoir différents visages. Il permet de faire l'anamnèse, et de déterminer avec le patient ses objectifs. Lors de cet entretien, le thérapeute sera attentif au langage verbal et non verbal du patient, ainsi qu'à ses praxies ou manières d'être (hypnopraxie). La séance d'hypnose commence dés l'accueil du patient, et l'entretien préalable peut être réalisé en hypnose conversationnelle. Quelque soit la forme de cet entretien, il est essentiel de prendre ce temps d écoute du patient pour mettre en place une alliance thérapeutique sans laquelle l'hypnose sera peu efficace. "Observer et utiliser ce qu amène le patient de manière respectueuse (à voir si on laisse), observer le thérapeute, observer le contexte" (MH Erickson) (signaling avec de petits mouvements de doigt, des paupières ou de la tête) Toutes ces données permettront à l hypnopraticien d'ajuster sa séance et de l adapter au mieux dans le travail thérapeutique.
38 L hypnose en onco-hématologie Déroulé d une séance d hypnose accompagnée 2) L INDUCTION Le patient est installé dans la position la plus adaptée pour lui de façon à faciliter l'induction hypnotique. Différentes techniques permettent au praticien de guider le patient vers l état de transe hypnotique : - la fermeture des yeux à l'initiative du patient peut lui permettre de tourner son regard à l'intérieur de lui-même - la fixation de l attention, - des techniques dissociatives verbales ou non verbales (phrases confuses ou mouvement etc..exemples à mettre en annexes avec définition) qui peuvent favoriser l hypnose.( à réfléchir) La transe hypnotique peut nécessiter d'être approfondie par l'utilisation de phénomènes hypnotiques comme la catalepsie ou la lévitation; cela peut amener le praticien à toucher la main ou le poignet du patient. Le patient peut fermer les yeux, le plus souvent, mais il peut aussi les garder ouverts. C'est en tous cas cette centration sur une perception (qui peut être au choix ou successivement, une image, un son, un mouvement...) qui permet le passage vers la dissociation conscient - inconscient.
39 L hypnose en onco-hématologie Déroulé d une séance d hypnose accompagnée 3) LE TRAVAIL THERAPEUTIQUE Une fois dissocié, le patient entre alors dans la phase de "perceptude" (F.Roustang*) : il ouvre son champ de perception par le biais de ses sensations, auxquelles il se reconnecte. "C'est là seulement qu'il peut retrouver quelque chose d'une harmonie, d'un accord ou d'une participation, bref c'est là seulement qu'il lui est possible de partager la circulation de la vie, donc d'être vivant" (F.Roustang*) et que le travail thérapeutique peut se faire. Le contenu de la séance diffère selon l indication et l objectif. Le thérapeute utilise différents outils, comme des suggestions directes ou indirectes, des contes, des métaphores, des périodes de silence. Des mouvements inconscients peuvent apparaître spontanément chez le patient. Ces mouvements sont considérés comme des manifestations de l inconscient (phénomènes idéodynamiques); ils témoignent du travail en profondeur qui s'effectue. Des mouvements inconscients peuvent également être sollicités par le thérapeute pour établir une communication non verbale entre le patient et le praticien. Des émotions peuvent se manifester à travers des microexpressions faciales, et parfois par des larmes. * F.Roustang. Il suffit d'un geste, 2004, Paris, Odile Jacob.
40 L hypnose en onco-hématologie Déroulé d une séance d hypnose accompagnée 4) LA REASSOCIATION A la fin du travail thérapeutique vient le moment de permettre au patient de sortir de la transe hypnotique et de se réassocier. Cette phase vient en miroir de l induction, elle permet au patient de revenir "ici", c'est-à-dire vers le lieu où il se situe, et "maintenant", c'est-à-dire dans le moment présent. 5) FIN DE LA SEANCE Le patient peut s'exprimer s'il le souhaite après la séance. Il y a souvent une libération de la parole, et un travail d'association qui se fait spontanément. Le praticien peut répondre à des questions du patient. Certaines séances peuvent être complétées par des prescriptions de tâches ou d auto-hypnose. Si le patient ressent un inconfort il doit le signaler au praticien qui peut ré-induire un état hypnotique
41 Effets indésirables/ CI L hypnose en onco-hématologie Effets indésirables : Effets secondaires décrits dans la littérature ne sont pas significatifs par rapport au groupe contrôle Des effets indésirables bénins ( anxiété, asthénie, céphalées, malaise, nausées, vertiges, sensation d inconfort qui persiste ) peuvent persister après la séance. Un nouveau contact avec l hypnothérapeute peut être nécessaire Contre indications: Etats psychotiques instables ou démences modérées à sévères Patient sourd?
42 les risques de dérives L hypnose en onco-hématologie L hypnose n est pas une discipline réglementée Attention aux Risques de manipulation mentale: fabrication de faux souvenirs Dérives financières Dérives sectaires (rapport MIVILUDES) Comment signaler une derive sectaire? Pour prévenir ces risques de dérives: Codes déontologiques proposés: exemple de la charte éthique de la Confédération Francophon d Hypnose et de Thérapies Brèves (CFHTB: voir annexe) Utilisé en thérapie complémentaire (cf Préambule)
43 Formation L hypnose en onco-hématologie Non réglementée par le code de la santé publique Non reconnue par l ordre des médecins Universitaire Non universitaire DU, DIU, DESU indépendants ( cf annexe) Ecole privées ou associatives L hypnothérapeute doit rester dans son domaine de compétences Professionnels de santé Tout public
44 Conseils aux soignants formés à l hypnose L hypnose en onco-hématologie Privilégier le travail en équipe Démarches intégratives (coordination en soins de support) Supervision Formation continue
45 Annexes L hypnose en onco-hématologie EMDR
46 Annexe: Code éthique de la CFHTB L hypnose en onco-hématologie 1. L'intérêt et le bien-être du patient doivent toujours constituer l'objet prioritaire. 2. L'hypnose est considérée comme un complément à d'autres formes de pratiques scientifiques ou cliniques. Il en résulte que la connaissance des techniques d'hypnose ne saurait constituer une base suffisante pour l'activité thérapeutique ou de recherche. L'hypnopraticien doit donc avoir les diplômes requis lui permettant d'exercer dans le champ où s'exerce son activité hypnotique. 3. L'hypnopraticien limitera son usage clinique et scientifique de l'hypnose aux aires de compétences quelui reconnaît le règlement de sa profession. 4. L'hypnose ne sera pas utilisée comme une forme de distraction. Tout particulièrement, toute participation à des spectacles publics, ludiques sera proscrite. 5. L'hypnopraticien nefacilitera ni ne soutiendra la pratique de l'hypnose par des personnes non qualifiées (Cf. ci-dessus point 2). 5.1 L'hypnopraticien ne donnera en aucun cas des enseignements impliquant l'apprentissage des techniques hypnotiques à des personnes ne disposant pas d'une qualification adéquate. Des exceptions seront faites à ce principe pour les étudiants en fin de qualification dans les champs professionnels où doit s'inscrire leur pratique de l'hypnose : Médecins, Dentistes, Psychologues, Infirmiers, Kinésithérapeutes. Dans tous ces cas, le passage à la pratique de l'hypnose reste 135 conditionné à l'obtention de qualification complète dans le champ professionnel considéré. Pour les étudiants des professions paramédicales, la pratique de l'hypnose supposera la mise en place d'une structure de travail supervisé, selon le champ d'application, par un hypnopraticien médecin, psychiatre, psychologue, chirurgien-dentiste d au moins cinq ans d ancienneté depratique en hypnose médicale. 5.2 La communication d'informations relatives à l'hypnose auprès des différents médias est recommandée dans la mesure où elle s'appuie sur des connaissances précises et permet de minimiser les distorsions et les représentations erronées relatives à l'hypnose. Réciproquement, il est demandé aux hypnopraticiens formés par l'association d'éviter toute action (communications, publications, etc...) tendant à compromettre l'aspect scientifique et la dimension éthique de la pratique hypnotique en donnant à celle-ci une représentation tendancieuse (amalgame avec magie et les para-sciences) et simpliste incitant par là même à une pratique non qualifiée. En cette matière, s'abstenir de tout triomphalisme militant et citer ses sources sont deux règles qui s'imposent. C'est pour ces raisons que les hypnopraticiens qui sont en cours de formation sont invités à s'abstenir de faire des communications publiques sur l'hypnose ou la thérapie Ericksoniennes (conférences, articles, interviews, contacts avec la presse écrite ou audiovisuelle) tant que leur formation n'est pas terminée. Le non-respect de ces engagements pourra conduire le Conseil d'administration de l'association à prononcer l'exclusion de l'association, de la formation et/ou la non attribution des attestations.»
47 Liste des DU DIU DESU d Hypnose L hypnose en onco-hématologie DESU d hypnose médicale Université d Aix-Marseille DIU Hypnose médicale et clinique Université de Bretagne Occidentale et de Bourgogne DU Hypnose médicale Université Paris 6 DU Hypnose clinique Université Paris 11 DU Hypnose en anesthésie Université Paris 11 DU Hypnose médicale Université de Bordeaux DU Hypnose thérapeutique Université de Nantes DU Hypnose médicale Université de Toulouse DU Hypnose médicale et clinique St Etienne DU Hypnothérapie Université de Bourgogne DU Hypnose médicale et clinique Université de la Réunion DU Hypnose et Thérapies Brèves stratégiques et solutionnistes Université de Limoges DU Hypnose médicale de Montpellier-Nîmes DU Hypnose médicale et formation à la pratique de l hypnose thérapeutique Université de Nice Sophia Antipolis 47
48 L hypnose en onco-hématologie Associations Françaises d Hypnose Association française pour l étude de l hypnose médicale (AFEHM Association française d hypnose (AFHyp Confédération francophone d hypnose et thérapies brèves ( Société française d hypnose (SFH Hypnocrate ( 48
Les stagiaires, au nombre de 12 maximum, disposent de tables de travail et de chaises.
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