LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
|
|
- Arthur Guertin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT DE L INFECTION À VIH Introduction Bonnes pratiques pour établir des liens avec les services de soins Soins généraux pour les personnes vivant avec le VIH Préparation des personnes vivant avec le VIH au traitement antirétroviral À quoi s attendre au cours des premiers mois sous traitement antirétroviral 90 Objectif de ce chapitre Donner une vue d ensemble des questions et des interventions en rapport avec les soins généraux de pour les personnes depuis le moment où le diagnostic d infection à VIH a été posé jusqu au moment où le est mis en route, notamment des pratiques permettant d établir des liens entre les personnes chez qui un diagnostic d infection à VIH a été posé et les services de soins et de traitement de, des éléments composant l ensemble de soins généraux et de la préparation des patients pour commencer un.
2 86 Lignes directrices unifiées sur l utilisation des antirétroviraux pour le traitement et la prévention de 6. LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT DE L INFECTION À VIH 6.1 Introduction Il est essentiel que les personnes vivant avec le VIH entrent le plus tôt possible dans la filière de soins. Cela permet à la fois de réaliser une évaluation précoce pour déterminer si elles remplissent les critères pour recevoir un et de mettre en route rapidement un, d assurer un accès rapide aux interventions destinées à prévenir de nouvelles transmissions du VIH, de prévenir la survenue d autres infections et d autres comorbidités et de minimiser ainsi le nombre de perdus de vue. Le cadre stratégique de l OMS de 2012 pour les programmes de conseil et de dépistage du VIH (1) souligne en particulier l importance de veiller à l établissement de liens entre les programmes de conseil et de dépistage du VIH et les services de prévention, de traitement, de soins et de soutien. 6.2 Bonnes pratiques pour établir des liens avec les services de soins Les interventions visant à améliorer les liens avec les services de soins doivent être évaluées de manière plus rigoureuse. Des revues systématiques et des études d observation suggèrent cependant que plusieurs bonnes pratiques peuvent aider à améliorer les liens avec les services de soins (2-4). Il s agit notamment d intégrer le conseil et le dépistage du VIH et les services de soins, de réaliser sur place ou immédiatement un test de numération des CD4 en rendant le résultat le jour même, d aider au transport si le site de est éloigné du site de conseil et de dépistage du VIH, d impliquer les agents en charge de mener des actions communautaires de proximité afin qu ils identifient les personnes perdues de vue, d assurer un soutien par les pairs ou par des patients experts et d utiliser les nouvelles technologies, comme l envoi de messages SMS à l aide d un téléphone portable. 6.3 Soins généraux pour les personnes vivant avec le VIH En plus du, les pays doivent définir un ensemble d interventions de soins généraux de destinées aux personnes vivant avec cette infection afin de réduire la transmission du VIH, de prévenir la maladie et d améliorer la qualité de vie de ces personnes. Toutes les personnes vivant avec le VIH ne remplissent pas les critères pour recevoir un et parmi celles qui les remplissent, toutes ne seront pas en mesure d avoir un accès immédiat à ce traitement. Certaines peuvent aussi choisir de reporter à plus tard la mise en route du. L entrée dans la filière de soins permet de réaliser un suivi clinique et biologique rapproché, de faire une évaluation précoce afin de déterminer si les critères pour recevoir un sont remplis et de mettre en route un en temps opportun ; elle vise aussi à minimiser le nombre de perdus de vue. De nombreuses interventions en rapport avec les soins sont pertinentes tout au long du continuum de soins, notamment pour les personnes exposées au VIH ainsi que pour les personnes vivant avec le VIH avant la mise en route du et au cours du. Les soins généraux comprennent la prévention de base de, la promotion de la santé des personnes vivant avec le VIH ainsi que le dépistage, la prophylaxie et la prise en charge des co-infections et des
3 6. Lignes directrices cliniques tout au long du continuum de soins : établissement de liens entre les personnes chez qui un diagnostic d infection à VIH a été posé et les services de soins et de traitement de 87 comorbidités liées au VIH. L OMS a élaboré des orientations résumées sur les soins généraux et les interventions de prévention (5-7) ; en 2008, l OMS a recommandé un ensemble de 13 interventions de prévention pour l adulte et l adolescent vivant avec le VIH en situation de ressources limitées (5). Ces interventions sont les suivantes : 1) conseil et soutien psychosociaux ; 2) partage du résultat avec un tiers et notification au partenaire ; 3) traitement préventif par le cotrimoxazole ; 4) conseil, dépistage et traitement préventif de la tuberculose ; 5) prévention des infections fongiques courantes ; 6) prévention des IST et soutien pour répondre aux besoins en matière de santé génésique, y compris la prévention et le dépistage du cancer du col de l utérus ; 7) prévention du paludisme (cotrimoxazole, moustiquaires et prévention du paludisme chez la femme enceinte) ; 8) prévention de certaines maladies évitables par la vaccination ; 9) nutrition ; 10) planification familiale ; 11) PTME ; 12) programmes d échange d aiguilles et de seringues pour les consommateurs de drogue par injection ; et 13) accès à l eau, à l assainissement et à l hygiène. L ensemble de soins généraux variera en fonction du type d épidémie, des populations touchées et de la prévalence des co-infections, des autres comorbidités et des pathologies. Un récapitulatif des éléments faisant partie de l ensemble de soins généraux pour les personnes vivant avec le VIH se trouve dans le Tableau 6.1. Un récapitulatif des principales recommandations tirées des lignes directrices existantes de l OMS sur le dépistage, la prophylaxie et le calendrier du en rapport avec les co-infections, les comorbidités et les autres pathologies les plus courantes se trouve dans le sous-chapitre 8.1. Tableau 6.1 Récapitulatif des principaux éléments des soins généraux tout au long du continuum de soins de pour les personnes vivant avec le VIH Service Soins généraux Détermination du stade clinique de l OMS Pathologies anciennes et actuelles liées à Évaluation du statut par rapport à la grossesse Planification familiale et contraception PTME du diagnostic de de l entrée dans la filière de soins de la mise en route du Quand le patient est stable sous d un échec thérapeutique et du changement de schéma d ARV Commentaire et renvois dans le document Annexe Sous-chapitres et Lignes directrices cliniques tout au long du continuum de soins : établissement de liens entre les personnes chez qui un diagnostic d infection à VIH a été posé et les services de soins et de traitement de Aide au partage du résultat avec un tiers et à la notification au partenaire Conseil pour la réduction des risques et combinaison des approches de prévention de Dépistage, prévention et prise en charge des comorbidités et des maladies non transmissibles
4 88 Lignes directrices unifiées sur l utilisation des antirétroviraux pour le traitement et la prévention de Tableau 6.1 (suite) Service du diagnostic de de l entrée dans la filière de soins de la mise en route du Quand le patient est stable sous d un échec thérapeutique et du changement de schéma d ARV Commentaire et renvois dans le document Soins généraux Dépistage et prise en charge des problèmes de santé mentale et de l usage de substances psychoactives s et Conseil et soutien psychosociaux Prise en charge symptomatique et prise en charge de la douleur Évaluation et conseil nutritionnels Évaluation nutritionnelle, de la croissance et du développement de l enfant et de l adolescent s et Évaluation de l alimentation du nourrisson et de l enfant Prévention et traitement des co-infections Traitement préventif par le cotrimoxazole Dépistage intensifié de la tuberculose Traitement préventif par l isoniazide Dépistage de la cryptococcose et prophylaxie des infections fongiques Dépistage de l hépatite B et de l hépatite C Prévention du paludisme (moustiquaires imprégnées d insecticide et prophylaxie) Dépistage des infections sexuellement transmissibles Sous-chapitre Sous-chapitre
5 6. Lignes directrices cliniques tout au long du continuum de soins : établissement de liens entre les personnes chez qui un diagnostic d infection à VIH a été posé et les services de soins et de traitement de 89 Tableau 6.1 (suite) Service Prévention et dépistage du cancer du col de l utérus Évaluation pour rechercher des maladies évitables par la vaccination Préparation des personnes au Préparation, évaluation et soutien de l observance du traitement Notification des médicaments en cours du diagnostic de de l entrée dans la filière de soins de la mise en route du Quand le patient est stable sous d un échec thérapeutique et du changement de schéma d ARV 6.4 Préparation des personnes vivant avec le VIH au traitement antirétroviral Commentaire et renvois dans le document Sous-chapitre 6.4 Sous-chapitres 6.4 et Avant qu une personne commence un, il est important d avoir une discussion approfondie avec elle. Cette discussion cherchera à évaluer si elle souhaite la mise en route de ce traitement et si elle est prête pour cela ; elle sera aussi l occasion de lui présenter le schéma thérapeutique d ARV, sa posologie et son calendrier, ses avantages probables et ses effets indésirables possibles ainsi que le suivi et les visites de suivi nécessaires. Dans le cas d un enfant vivant avec le VIH, cette discussion doit directement impliquer la personne qui s occupe de lui et inclure une discussion sur le partage du statut de l enfant par rapport au VIH (chapitre 5). Il fait partie des bonnes pratiques de refaire un test VIH avant la mise en route d un pour s assurer qu une personne chez qui un diagnostic d infection à VIH a été posé est bien infectée par le VIH. Lors de la mise en route d un, il faut toujours tenir compte de l état nutritionnel, des comorbidités et des possibles interactions médicamenteuses pouvant être à l origine de contre-indications ou impliquer des ajustements de dose. Au bout du compte, le choix d accepter ou de refuser le appartient au patient ou à la personne qui s occupe de lui ; s il choisit de reporter la mise en route du, celui-ci peut être proposé à nouveau lors de visites ultérieures. En cas de problèmes de santé mentale, d usage de substances psychoactives ou d autres problèmes pouvant faire obstacle à l observance, un soutien approprié doit être fourni et une évaluation doit être répétée régulièrement afin de déterminer si la personne est prête pour une mise en route du. Un large éventail de documents destinés à l information des patients ainsi qu au soutien par la communauté et par les pairs peuvent aider les personnes à se préparer au et à prendre une décision quant à sa mise en route. Les patients qui commencent le schéma d ARV et les personnes qui s occupent d eux doivent comprendre que le premier schéma de est celui qui offre les meilleures chances d obtenir une suppression de la charge virale et une reconstitution immunitaire efficaces et que, pour réussir, le doit être pris en suivant rigoureusement la prescription. Ils doivent être informés que de nombreux effets indésirables sont temporaires ou peuvent être traités, et qu il est souvent possible de substituer les ARV qui posent problème. Il faut également demander régulièrement aux patients qui reçoivent un ou aux personnes qui s occupent d eux si d autres médicaments sont pris, notamment des plantes médicinales et des suppléments nutritionnels. Les personnes qui reçoivent un doivent comprendre que même si les ARV réduisent le risque de transmission du VIH, ils ne sont pas suffisants pour empêcher la contamination d autres personnes. Afin de prévenir la transmission du VIH à d autres, elles doivent recevoir un conseil sur les pratiques sexuelles à moindre risque (notamment l utilisation du préservatif) et éviter les autres actions associées à un risque, comme le partage du matériel d injection. 6 Lignes directrices cliniques tout au long du continuum de soins : établissement de liens entre les personnes chez qui un diagnostic d infection à VIH a été posé et les services de soins et de traitement de
6 90 Lignes directrices unifiées sur l utilisation des antirétroviraux pour le traitement et la prévention de 6.5 À quoi s attendre au cours des premiers mois sous traitement antirétroviral La prise du est un engagement à vie, mais les six premiers mois de ce traitement sont fondamentaux. Si une amélioration clinique et immunologique et une suppression de la charge virale sont attendues en cas d observance du, les patients peuvent cependant présenter des infections opportunistes et/ou un syndrome inflammatoire de reconstitution immunitaire [en anglais immune reconstitution inflammatory syndrome [IRIS)], ainsi que des réactions indésirables précoces aux ARV, par exemple une hypersensibilité à un ARV, en particulier au cours des trois premiers mois sous. Le diminue de manière importante la mortalité globale, mais le taux de mortalité sous est également particulièrement élevé au cours des trois premiers mois sous traitement. Ces complications sont plus courantes chez les personnes qui présentent déjà, lors de la mise en route du, une infection à VIH à un stade avancé avec une immunodépression sévère et des co-infections et/ou des comorbidités, une diminution sévère du taux d hémoglobine, un faible indice de masse corporelle (IMC), un nombre très faible de CD4 ou une malnutrition sévère (8,9). Restauration des CD4 Chez la plupart des adultes et des enfants, le nombre de CD4 augmente après la mise en route du et le début de la reconstitution immunitaire. Cette augmentation se produit généralement au cours de la première année sous traitement, atteint un plateau, puis reprend au cours de la deuxième année (10). Chez certaines personnes, en particulier celles dont le nombre de CD4 était très faible au moment de la mise en route du, une immunodépression sévère peut cependant persister, le nombre de CD4 n augmentant pas de manière importante sous traitement. Cette incapacité à obtenir une certaine restauration des CD4 doit alerter le prestataire de soins au sujet d un éventuel problème d observance du traitement ou de non-réponse primaire au. Il faut alors envisager de poursuivre la prophylaxie des infections opportunistes, comme le traitement préventif par le cotrimoxazole. Syndrome inflammatoire de reconstitution immunitaire (IRIS) L IRIS consiste en un ensemble de signes et de symptômes cliniques que l on pense associés à la reconstitution immunitaire provoquée par la réponse au. C est un phénomène bien décrit qui survient chez 10 % à 30 % des personnes chez qui un est mis en route, généralement au cours des 4 à 8 premières semaines suivant le début du traitement (11,12). Il peut se présenter de deux manières différentes : l IRIS paradoxal, quand une infection opportuniste ou une tumeur diagnostiquée avant le répond initialement au traitement mais qu une détérioration survient après la mise en route du ; l IRIS démasquant une pathologie, où la mise en route du déclenche une maladie qui n était pas apparente cliniquement avant le. Ce diagnostic ne doit être envisagé que dans les cas où les signes ne peuvent être expliqués par une nouvelle infection, par l évolution attendue d une infection connue ou par la toxicité d un médicament. Les signes cliniques sont très divers et un IRIS a été signalé pour un large éventail d infections, de tumeurs et de pathologies non infectieuses (11,12). Les formes d IRIS paradoxal les plus graves et pouvant mettre en jeu le pronostic vital s observent en cas de tuberculose, de cryptococcose, de sarcome de Kaposi et de zona. Un IRIS (localisé ou généralisé) associé au vaccin par le BCG peut survenir chez le nourrisson infecté par le VIH dans les situations où ce vaccin est administré de manière systématique. Les principaux facteurs de risque sont un faible nombre de CD4 (<50 cellules/mm3) au moment de la mise en route du, la présence d infections opportunistes ou de lésions tumorales disséminées ainsi qu une courte durée de traitement des infections opportunistes avant la mise en route du (11,12). L IRIS est généralement une affection spontanément résolutive et une interruption du est rarement indiquée. Les patients peuvent cependant avoir besoin d être rassurés devant la présence prolongée de symptômes afin d éviter un arrêt ou une mauvaise observance du. Les étapes les plus importantes pour limiter le risque d apparition d un IRIS comprennent : le diagnostic précoce de et la mise en route précoce du avant que le nombre de CD4 soit inférieur à 200 cellules/ mm 3 ; l amélioration du dépistage des infections opportunistes avant le, en particulier de la tuberculose et de la cryptococcose ; et une prise en charge optimale des infections opportunistes avant la mise en route du. Pour choisir le moment de mise en route du chez les personnes présentant une infection opportuniste, il faut trouver un compromis entre le risque élevé d IRIS après une mise en route précoce du et le fait de continuer à être exposé à un risque élevé de mortalité si la mise en route du est retardée. Le chapitre 8 donne un récapitulatif des recommandations existantes de l OMS sur le moment optimal pour commencer un chez une personne présentant une tuberculose (sous-chapitre 8.1.2) et une cryptococcose (sous-chapitre 8.1.3) sur la base de données issues d essais cliniques randomisés.
Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005
Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailRendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte
Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailQue faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012
Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détail28.6 À PROPOS DU MEDICINES PATENT POOL
MPP 2015 35 millions de personnes dans le monde sont touchées par le VIH 28.6 millions devraient bénéficier d un traitement* Pourtant seuls 12.9 millions y ont aujourd hui accès * conformément aux directives
Plus en détailLe point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde : résultats, impact et opportunités. Juin 2013
Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde : résultats, impact et opportunités Juin 2013 RÉSUMÉ Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde
Plus en détailSurveillance du VIH chez les nourrissons et les enfants de moins de 18 ans. sur la surveillance mondiale du VIH/sida et des IST
Groupe de travail ONUSIDA/OMS sur la surveillance mondiale du VIH/sida et des IST Surveillance du VIH chez les nourrissons et les enfants de moins de 18 ans Catalogage à la source: Bibliothèque de l OMS:
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détailWHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5
WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailTraitement et questions connexes
Traitement et questions connexes L essentiel du congrès sur le sida AIDS 2012 (et des ateliers du congrès 14 th International Workshops on Comorbidities and Adverse Drug Reactions in HIV, juillet 2012)
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailVivre avec le VIH. Point de départ
Vivre avec le VIH Point de départ Vous venez d apprendre que vous avez le VIH et vous cherchez des repères? Nous pouvons vous aider. Voici quelques questions auxquelles vous trouverez réponse dans ce livret
Plus en détailTableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents
Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailSoins infirmiers et gestion des risques
Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailLe VIH-sida, qu est-ce que c est?
LES DROITS DE l ENFANT FICHE THÉMATIQUE Le VIH-sida, qu est-ce que c est? UNICEF/ NYHQ2010-2622 / Roger LeMoyne Chaque jour dans le monde, plus de 7 000 nouvelles personnes sont infectées par le VIH, 80
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailStelara (ustekinumab)
Les autorités de santé de l Union européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Stelara de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailLieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015
Lieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Lieux de stage, structures d accueil et sujets de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Pays Structure
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailNormes canadiennes pour la lutte antituberculeuse
Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse 7 ième édition Chapitre 10 : La tuberculose et le virus de l immunodéficience humaine Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse, 7 ième édition
Plus en détailLes jeunes non mariés
Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non
Plus en détailGuide clinique pour la prise en charge antirétrovirale des personnes déplacées Afrique du Sud
Guide clinique pour la prise en charge antirétrovirale des personnes déplacées Afrique du Sud Southern African HIV Clinicians Society / UNHCR, 2007.Tous droits réserves. La reproduction et la distribution
Plus en détailLE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE
DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel
Plus en détailINDICATEURS D ALERTE PRÉCOCE DE RÉSISTANCE DU VIH AUX ANTIRÉTROVIRAUX
INDICATEURS D ALERTE PRÉCOCE DE RÉSISTANCE DU VIH AUX ANTIRÉTROVIRAUX Indicateurs de l Organisation mondiale de la Santé pour surveiller la prévention de la résistance du VIH aux antirétroviraux sur les
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailCOMPTE À REBOURS JUSQU À zero
COMPTE À REBOURS JUSQU À zero Y croire Le faire. PLAN MONDIAL POUR ÉLIMINER LES NOUVELLES INFECTIONS À VIH CHEZ LES ENFANTS À L HORIZON 2015 ET MAINTENIR LEURS MÈRES EN VIE 2011-2015 Copyright 2011 Programme
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailTests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne
1 1 Tests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne Dr Christian Hubert Médecins du Monde - Mission France Guyane CASO de Cayenne Réunion COREVIH Guadeloupe 26/11/2010 MDM : Soigner
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailProgramme DPC des infirmiers
Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailPrise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil
Prise en charge du nouveau-né de mère m HIV Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil GROSSESSE Chez une femme infecté par le VIH,la grossesse est a risque = prise en charge multidisciplinaire
Plus en détailQUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA
QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détail_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_
_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_ INTRODUCTION L accès à la contraception, sans autorisation parentale, est un droit pour les mineur(e)s. Néanmoins, dans la réalité, les jeunes ayant besoin
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailPLAN MONDIAL CONTRE LE DIABÈTE 2011-2021 FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DIABÈTE
PLAN MONDIAL CONTRE LE DIABÈTE 2011-2021 FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DIABÈTE «La prévention et le traitement du diabète sont efficaces et rentables» (OMS, 2005) La prévention du diabète et de ses complications
Plus en détailListe des principales abréviations
2014-2019 2 Liste des principales abréviations ART CRS DMG DPG FSF HSH IST LGBTQI MAS NONOPEP OPEP PMTCT PrEP PVVIH SIDA TasP TPE VIH Thérapie antirétrovirale Centres de référence Sida Dossier médical
Plus en détailNathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012
Plus en détailDésignation/mise en place des points focaux nationaux RSI
1 GUIDE DES POINTS FOCAUX NATIONAUX RSI Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI 1. Introduction Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI(2005)) définit un point focal national
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détail