SITUATION DE LA PRODUCTION ET DES MARCHES CUNICOLES

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1 SITUATION DE LA PRODUCTION ET DES MARCHES CUNICOLES 1. EVOLUTION DU PRIX DES MATIERES PREMIERES EN ALIMENTATION ANIMALE ET DES INDICES ALIMENT ITAVI AU MOINDRE COUT 1.1. DIMINUTION DU PRIX DES CEREALES ET DU SOJA EN 2014 MAIS REPRISE EN FIN D ANNEE Après une année 2013 en recul par rapport à 2012 sur les prix des céréales, l année 2014 affiche un net repli des prix par rapport à 2013 en raison de récoltes importantes cette année. En effet, la moyenne du prix du blé en 2014 s est établie à 175,6 /T soit une chute de 17 % par rapport à De même, le prix du maïs a nettement décroché et a atteint une moyenne de 168,3 /T soit une baisse de 19,4 % par rapport à Les prix ont atteint leur niveau le plus bas en octobre 2014 mais ont cependant amorcé une reprise qui se confirme sur le début de l année En février 2015, le cours du blé remonte ainsi à 166,7 /T et celui du maïs à 154,3 /T bien que ces prix restent inférieurs aux niveaux de février Les cours du soja ont décroché de 5 % en 2014 par rapport à 2013 en raison d une offre abondante aux Etats-Unis et la moyenne s est établie à 420,7 /T cette année. Dès novembre 2014, les cours du soja sont repartis à la hausse et ont atteint 414,3 /T en février 2015 mais restent inférieurs de 13 % au niveau de février Evolution des prix des principales matières premières (majorations incluses, sans coût de transport) Source : La Dépêche

2 1.2. REPLI DES INDICES COUT MATIERES PREMIERES EN 2014 Les indices coût matières premières de l aliment volaille rendus Ille-et-Vilaine, calculés par l ITAVI à partir des cours des matières premières lissés sur 3 mois, ont connu une baisse notable en 2014 (entre 10,7 % pour l aliment dinde et 13,8 % pour l aliment canard à rôtir, par rapport à 2013). L indice aliment poulet standard s est replié cette année de 12,4 % par rapport à 2013 et a atteint une moyenne de 161,88 tout comme l indice aliment pondeuse qui s est établi à 160,20. L indice aliment lapin a reculé de 13,4 % par rapport à 2013 à 160,20. Cependant une reprise des cours des principales matières premières est sensible à partir d octobre En mars 2015, tous les indices poursuivent leur progression mais restent inférieurs aux indices de mars L indice aliment lapin recule de 13,7 % par rapport à mars 2014 (Cf. tableau 1 cidessous). Evolution de l indice coût matières premières pour l aliment lapin (coût de transport inclus rendu Ille-et-Vilaine) (Moyenne lissée des 3 derniers mois) Source : ITAVI Tableau 1 : Evolution des indices aliments en moyenne annuelle Poulet standard Poulet label Dinde Canard à rôtir Lapin Poule pondeuse ,34 141,05 143,74 141,35 129,65 139, ,74 175,90 169,55 177,56 167,71 170, ,37 190,69 187,59 191,88 180,82 185, ,75 188,28 186,05 187,37 189,79 182, ,88 163,53 166,10 161,45 164,44 160,20 Mars ,66 161,90 166,12 157,84 152,12 156,31 Source : ITAVI

3 2. LE MARCHE DU LAPIN 2.1. REPLI DE LA PRODUCTION FRANÇAISE Hausse de la production mondiale Selon les statistiques les plus récentes de la FAO en date de 2012, la production mondiale de viande de lapin est estimée à 1,8 million de tonnes, soit une hausse de 17 % en 5 ans, essentiellement due au développement de la production chinoise (+ 25 % depuis 2008). La production est concentrée dans un petit nombre de pays : Chine, Venezuela, Italie, Corée, Espagne, Egypte, France et République tchèque. Le continent asiatique est la première zone productrice du monde avec 49 % de la production totale (Chine avec tonnes et 40 % de la production mondiale), suivie par l Union Européenne à 27 pour 27 %, avec près de tonnes et l Amérique du Sud avec près de tonnes. En Europe, les trois principaux producteurs sont l Italie, l Espagne et la France, auxquels il faut ajouter la République tchèque. Evolution de la production mondiale Source : FAO mars 2015 Repli de la production française La publication des résultats du dernier recensement agricole a permis de mesurer l évolution de la filière cunicole entre 2000 et 2010 sur dix ans. Cette enquête est la seule qui donne un panorama complet des exploitations agricoles qui détiennent des lapines. Le premier constat est celui de la disparition des petits effectifs, qui traduit la fin des clapiers de basse-cour : le nombre d exploitations détenant moins de 20 lapines est passé de en 2000 à moins de en En contrepartie, on observe la concentration de la production avec une diminution de 32 % du nombre d exploitations détenant plus de 200 mères pour une baisse des effectifs de 14 %. Les élevages de plus de mères sont plus nombreux, passant de 81 à 130 pour une part des effectifs qui passe de 9 % en 2000 à 23 % en Ces données permettent, à partir des chiffres de productivité issus des GTE, d estimer la production française autour de Tec en 2010 contre Tec en Cette baisse de 24 % en 10 ans au global est imputable pour 75 % à la diminution de la production des élevages de moins de 200 lapines : 68 % de production en moins contre un recul de 8 % seulement de la production des élevages de plus de 200 mères.

4 Selon les différents indicateurs, la production française de lapins se situerait autour de tonnes de viande en 2014 soit une baisse d environ 0,5 % par rapport à Les résultats de l enquête FENALAP indiquent qu après cinq années consécutives de repli du potentiel de production, ce mouvement s est à nouveau accentué en 2013 avec la disparition de femelles. Enfin, au cours des trois permiers trimestres de l année 2014, le nombre de disparitions de femelles s est élevé à Source : FENALAP Selon COOP de France NA et le SNIA, sur l année 2014, les fabrications d aliments pour lapins ont à nouveau reculé de 2,5 % par rapport à 2013 et atteignent tonnes dans un contexte de repli global des fabrications d aliments toutes volailles de chair de 1,6 %. Evolution des fabrications d aliments pour lapins Source : Coop de France N.A - SNIA

5 Après un repli de 3,3 % des inséminations artificielles en 2013/2012, les IA de l année 2014 marquent à nouveau un repli de 1,9 % par rapport à 2013 et atteignent 4,84 millions. Sur les 12 premières semaines de l année 2015, les inséminations baissent de 3,2 % par rapport à la même période de Evolution du nombre de femelles inséminées par semaine Source : CLIPP Selon le SSP, après le repli constaté en 2013, les abattages contrôlés de lapins ont poursuivi leur repli de 0,6 % en têtes comme en tonnes ( lapins abattus et tonnes). Evolution des abattages CVJA en tonnes Source : SSP

6 Tableau 2 : Abattages CVJA selon le SSP de 2013 et Evol 13/ Evol 14/13 Janvier ,4% ,1% Février ,5% ,4% Mars ,2% % Avril ,2% % Mai ,2% % Juin ,5% % Juillet ,4% % Août ,5% % Septembre ,3% % Octobre % % Novembre ,9% % Décembre ,7% % Année % % Source : SSP Depuis la fin 2012, les stocks mensuels sont en augmentation, hausse qui s est poursuivie en 2013 et jusqu à juin Dès juillet 2014, les stocks mensuels se sont repliés et la moyenne de l année 2014 s est établie à T soit un recul de 11,3 % par rapport à la moyenne Source : SSP 2.2. AMELIORATION DU SOLDE DES ECHANGES EXTERIEURS EN 2014 Depuis 1998, les échanges de la filière lapin (lapins vivants et viande de lapin) sont excédentaires en valeur. En 2013, le solde commercial s établit à 15.9 millions d euros et tonnes. En 2014, les exportations de viande de lapin ont progressé de 5,2 % en valeur et de 19,6 % en volume. L UE maintient sa place de premier partenaire avec TEC exportées vers le marché communautaire, ce qui représente 88 % des volumes français exportés dans le monde. Les volumes expédiés vers l Italie ont augmenté de 2,7 % par rapport à 2013 et ceux vers l Espagne ont doublé. Les importations reculent de 17,6 % en valeur mais progressent de 4,3 % en volume par rapport à 2013 en raison de volumes en hausse en provenance de la Belgique malgré de la chute de 40 % des importations venant de Chine. Ainsi, le solde reste excédentaire en volume (3 884 tonnes) et en valeur (18 millions d euros).

7 EXPORTATIONS Tableau 3 : Evolution des échanges de viande de lapin Année /12 en % /13 en % TOTAL en milliers d euros en tonnes dont U.E. à Italie Allemagne Belgique 752 = Espagne x 2 Royaume-Uni dont Pays-tiers Suisse Hong-Kong IMPORTATIONS TOTAL en milliers d euros en tonnes En provenance d U.E. à Espagne Belgique Hongrie 0 8 = En provenance des Pays-tiers Chine SOLDE En milliers d euros En tonnes Source : FAM d après Douanes françaises Source : Direction Générale des Douanes

8 Les échanges de lapins vifs concernent, en 2014, 807 tonnes à l exportation (- 26 % par rapport à 2013) et tonnes à l importation (- 22 % par rapport à 2013). Les données disponibles ne permettent pas de distinguer nettement les échanges de lapins destinés à l abattage des lapins et lapines reproductrices, mais le prix moyen des lapins échangés donnent une indication. Ainsi, les lapins exportés vivants vers la Belgique, qui représentent les volumes les plus importants et ont un prix moyen de 2,070 /kg, sont principalement destinés à l abattage, tandis que ceux exportés vers la Hongrie (24 /kg vif), l Allemagne (17,7 /kg), l Ukraine et la Russie (entre 10 et 12 /kg) semblent être davantage destinés à la reproduction. L Italie et les Pays-Bas sont dans une position intermédiaire, importateurs à la fois de lapins vifs français destinés à l abattage et à la reproduction. Les importations de lapins vivants proviennent presque exclusivement de trois pays européens (Pays-Bas, Belgique et Allemagne) et sont destinés à être abattus en France. Tableau 4 : Echanges de lapins vifs en 2014 Tonnes K Prix moyen ( /kg) EXPORTATIONS Total 807, ,4 3,56 Dont vers UE : Belgique 618, ,4 2,07 Italie 98,8 690,7 6,99 Pays-Bas 19,3 151,1 7,83 Hongrie 0,8 19,2 24,0 Allemagne 1,9 33,7 17,7 Espagne 34,0 91,5 2,69 Dont vers Pays-tiers : Ukraine 5,4 54,4 10,07 Russie 27,3 322,9 11,83 Chine IMPORTATIONS Total 1 118,1 2613,3 2,34 Dont provenant d UE : Pays-Bas 506, ,0 2,29 Belgique 458, ,0 2,29 Allemagne 146,0 318,1 2,18 République tchèque 2,0 7,4 3,7 SOLDE - 310,7 257,1 Source : FAM d après Douanes françaises Ainsi, en raison d une baisse des abattages en 2014, d une forte hausse des exportations et d une faible progression des importations, le volume de viande de lapin présent sur le marché intérieur s est replié de 11,9 % en 2014 par rapport à 2013.

9 2.3. LEGER FLECHISSEMENT DES COTATIONS La moyenne annuelle 2014 de la cotation du lapin vif a atteint 1,829 /kg et reste ainsi inférieure de 2,6 % à la cotation moyenne 2013 (1,878 /kg). En janvier 2015, le prix du lapin vif s établit à 1,83 /kg soit un repli de 6,5 % / janv 2014 mais montre une progression de 0,6 % par rapport au mois dernier. Evolution de la cotation du lapin vif La moyenne du prix des carcasses standard sur l année 2014 progresse de 5,7 % par rapport à 2013 soit 3,87 /kg (+ 22 cts d euros par rapport à 2013). La moyenne 2014 du prix des carcasses triées perd 3,7 % par rapport à la moyenne 2013 soit 4,91 /kg (- 17 cts d euros). En janvier 2015, le prix des carcasses standard progresse de 2,6 % par rapport à décembre 2014 et de 10,9 % par rapport à janvier 2014, s établissant à 4,77 /kg. Le prix des carcasses triées est stable par rapport au mois dernier mais est en hausse de 4,7 % par rapport à janvier 2014, à 5,3 /kg. Evolution des cours des carcasses à Rungis Sources : SNM

10 2.4. REPLI DES ACHATS DES MENAGES EN 2014 L absence de données fiables sur les volumes de production en France ne permet pas de disposer de bilans officiels sur la consommation alimentaire de viande de lapin en France. Cependant, l ITAVI et le CLIPP ont réalisé une estimation de cette consommation, à partir des données du RA et des flux d échanges en volume. La consommation ainsi estimée s établit à 0,82 kg/hab/an en 2014 contre 1,42 kg en 2000, soit une baisse de 43 % en 14 ans. Selon les résultats de KANTAR Worldpanel de l ensemble de l année 2014, dans un contexte de repli des achats de viande fraîche (recul des achats de viande de boucherie de 1,1 % par rapport à 2013), les achats de volailles et d élaborés se sont repliés de 1,2 % et ceux de lapin ont plus légèrement reculé de 0,6 %. Cette baisse affecte surtout les entiers dont les achats chutent de 3,7 % alors que les achats de morceaux progressent de 6,8 % par rapport à Les prix sont globalement en hausse bien que le prix de l entier soit en baisse de 0,6 %. Sur la première période 2015, les achats de viandes fraiches par les ménages sont en hausse de 1 % avec une baisse en bœuf (-1,9 %) alors que le porc retrouve la faveur des consommateurs (+ 0,8 %). L ensemble volaille + élaborés est en hausse de 1,6 % (poulet + 3,5 %). Le lapin, en revanche, semble avoir du mal à attirer les ménages en ce début d année 2015 : les achats diminuent de 15,3 % par rapport à la même période 2014, qu il soit entier (-21,2 %) ou en morceaux (-4,8 %). Tableau 5 : Evolution des achats des ménages Cumul annuel du 30/12/13 au 28/12/14 (fin période 13) Evol tonnage Prix moyen Evol prix / A-1 (%) ( /kg) / A-1 (%) Evol tonnage / A-1 (%) Période 1 du 31/12/14 au 25/01/15 Prix moyen ( /kg) Evol prix / A-1 (%) LAPIN Lapin entier Lapin demi Lapin morceaux Source : FranceAgriMer d après Kantar Worldpanel Evolution des achats des ménages Source : FranceAgriMer d après Kantar Worldpanel

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