Compatibilité Electro- Magnétique & nouveaux matériaux
|
|
- Jeanne Sévigny
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Compatibilité Electro- Magnétique & nouveaux matériaux Olivier Maurice Jeudi 1 décembre
2 1. Nouveaux matériaux : c est à dire? 2. Du composite au métallique : importance des interfaces 3. Gestion du système avec composites conducteurs ou non suivant les environnements sommaire 4. Architecture électrique électronique avec du composite conducteur ou non 5. Les liaisons filaires pèsent aussi. D autres solutions? 6. Liaisons sans fils & nouveaux matériaux
3 * Nouveaux matériaux, c est à dire? Composites * Extrait de h,p://phys.chim.pagesperso- orange.fr/index.html
4 Conduc'vité, perméabilité, permi5vité Nouveaux matériaux, c est à dire? Homogène : isotrope caractérisa>on assez simple Orthotrope plus difficile à caractériser et exigence de repérage d installa>on Anisotrope caractérisa>on compliquée Inhomogène matériaux faits d empilements : Composants isotrope modèles discrets par sous- domaines accessibles, difficultés aux interfaces Composants orthotrope modèles accessibles si cons>tu>on du composite suivant des strates définies dans leur installa>on Composants anisotropes très complexe!
5 Difficulté de modélisation des interfaces Illustration Du composite au métallique : importance des interfaces Absence de contacts avec les fibres conductrices Fibres écrasées & contact Comportements aux sollicitations en haute tension Contact par claquages locaux : échauffement du diélectrique, vieillissement, feu? Couche composite Couche métallique Couche composite Couche métallique
6 Du composite au métallique : importance des interfaces Première conclusion sur l usage des matériaux composites : 1. Caractérisation du matériau seul déjà difficile suivant la nature de sa fabrication ; 2. Modélisation des interfaces avec d autres matériaux compliquée, voire complexe au sens de propriétés en partie aléatoires, dépendant de statistiques de positionnement et conditions mécaniques.
7 Gestion du système avec composites conducteurs ou non suivant les environnements Grand principe : 1 système = une structure (peau) avec des organes et des échanges d information et d énergie entre ces organes et entre les organes et la structure. Compatibilité électromagnétique : La structure sert souvent : 1. D atténuateur vis à vis d ambiances externes 2. De référence électrique pour les liaisons internes ou externes Structure faite de matériaux partiellement ou non conducteurs 1. Réaction différente par rapport à l environnement électromagnétique 2. Perte de référence électrique
8 Gestion du système avec composites conducteurs ou non suivant les environnements Relation générique : environnement Risque de perturba>on Transparence à l environnement De l extérieur aux bornes des composants Sensibilité des électroniques Conséquences : système plus ouvert (électromagnétiquement) foudroiement des passagers? Comportement des antennes embarquées? Utilisation de lignes différentielles sans usage d un plan de masse? Protection des passagers versus champ magnétique des liaisons de puissance? Contraintes en émissions plus intransigeantes
9 Démarches pour la conception des architectures Architecture électrique électronique avec du composite conducteur ou non S => p ou w 1. Augmenter p : pas maîtrisable sauf qq rares cas 2. Diminuer w : 1. pas maîtrisable en externe 2. Revient à augmenter la ségrégation en interne initier un métier «routage véhicule pour la CEM» qui fasse appel aussi à de nouvelles technologies de câblages («smart structures») 3. Re-diminuer s : 1. Sous-systèmes durcis par liaisons torsadées, blindages, endo-squelettes partiels, Solution variée : ségrégation + sous-systèmes standards durcis
10 Démarches pour la conception des architectures S inspirer du vivant : Simplexité Architecture électrique électronique avec du composite conducteur ou non 1. Une peau qui filtre les plus petits agresseurs 1. Tissus absorbants micro-ondes (f > 1 GHz), vitres teintées, 2. peau comme un réseau d antennes actives qui dialoguent, filtre, 2. Les agresseurs plus basses fréquences sont gérés à des niveaux internes 1. ségrégations, blindages locaux, filtrages, 2. Distribution des rôles & contrôles, redondances, simplexité, etc. 3. Stratégies de circonventions
11 S inspirer du vivant : colonne vertébrale = transmission nerveuse + Rôle mécanique support + Rôle protecteur pour la moelle épinière Les liaisons filaires pèsent aussi. D autres solutions? Zone externe conductrice pour la puissance, sous isolant Noyau interne haut débit : fibre Zone intermédiaire Interne : bus et bas niveaux Structure différentielle
12 Liaisons sans fils vers l extérieur : en zone proche (inter véhicules) en zone lointaine Liaisons sans fils et nouveaux matériaux Liaisons sans fils pour l intérieur : confinement et ouverture : un paradoxe? Extérieur : technologie de structures avec peaux actives, dialogues en champ proche, sensibilité réglable par métamatériaux. Zone lointaine par antennes patchs incluent dans la peau de la structure. Intérieur : transmissions par lumière concentrée (LIFI), fréquences micro-ondes focalisées, transmission d infra-ondes acoustiques par les matériaux de la structure (Girafes). Ces solutions peuvent être robustes par rapport à des environnements électromagnétiques variées et peuvent exploiter la simplexité des canaux embarqués.
13 Merci
Cisco Certified Network Associate
Cisco Certified Network Associate Version 4 Notions de base sur les réseaux Chapitre 8 01 Quelle couche OSI est responsable de la transmission binaire, de la spécification du câblage et des aspects physiques
Plus en détailLe multiplexage. Sommaire
Sommaire Table des matières 1- GENERALITES... 2 1-1 Introduction... 2 1-2 Multiplexage... 4 1-3 Transmission numérique... 5 2- LA NUMERATION HEXADECIMALE Base 16... 8 3- ARCHITECTURE ET PROTOCOLE DES RESEAUX...
Plus en détailUE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd
UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le
Plus en détailComprendre le Wi Fi. Patrick VINCENT pvincent@erasme.org
Comprendre le Wi Fi Patrick VINCENT pvincent@erasme.org Le standard 802.11 Débit théorique maximum 802.11b 802.11a 802.11g 11 Mbps 54 Mbps 54 Mbps Bande de fréquence Portée maximale Observations intérieur
Plus en détailRéseaux : Wi-Fi Sommaire. 1. Introduction. 2. Modes de fonctionnement. 3. Le médium. 4. La loi. 5. Sécurité
Réseau Wi-Fi Sommaire 1. Introduction 2. Modes de fonctionnement 3. Le médium 4. La loi 5. Sécurité 2 Introduction Le terme Wi-Fi suggère la contraction de Wireless Fidelity, par analogie au terme Hi-Fi.
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailLA COUCHE PHYSIQUE EST LA COUCHE par laquelle l information est effectivemnt transmise.
M Informatique Réseaux Cours bis Couche Physique Notes de Cours LA COUCHE PHYSIQUE EST LA COUCHE par laquelle l information est effectivemnt transmise. Les technologies utilisées sont celles du traitement
Plus en détailLe réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity)
Professionnel Page 282 à 291 Accessoires Page 294 TPE / Soho Page 292 à 293 Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity) Le a été défini par le Groupe de travail WECA (Wireless Ethernet Compatibility
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailChapitre1: Concepts fondamentaux
Dans ce chapitre, nous présentons un certain nombre de concepts et des notions scientifiques qui seront utilisés dans notre étude. Dans cette partie qui constitue un support théorique pour notre mémoire,
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailScanner acoustique NoiseScanner
Scanner acoustique NoiseScanner «Des yeux et des oreilles pour localiser les sources de bruit...» Scanner acoustique NoiseScanner Décibel d Or 2014 Caractéristiques générales Originalités Fruit de 20 ans
Plus en détailLES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION
LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,
Plus en détail6-11 escaliers & metal_4 2 21/10/11 9:35 Page 6
6-11 escaliers & metal_4 2 21/10/11 9:35 Page 6 Pour des raisons esthétiques mais aussi pour d évidentes nécessités acoustiques consistant à éviter les résonances indésirables, le métal est rarement utilisé
Plus en détailCâblage des réseaux WAN. www.ofppt.info
Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail Câblage des réseaux WAN C-D-002.doc Mars 1-7 Sommaire 1. Couche physique WAN... 3 1.1. Connexions série WAN... 4 1.2. Routeurs et connexions
Plus en détailSuperstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation
URSI-France Journées scientifiques 26/27 mars 2013 Superstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation All Dielectric Superstrate to Control the Half-Power-BeamWidth
Plus en détailIngénierie des réseaux
Ingénierie des réseaux Services aux entreprises Conception, réalisation et suivi de nouveaux projets Audit des réseaux existants Déploiement d applications réseau Services GNU/Linux Développement de logiciels
Plus en détaillivreblanc REALISATION D UN RESEAU INFORMATIQUE AVEC L OFFRE DE COMPOSANT FOLAN CLASSIC LAN
livreblanc REALISATION D UN RESEAU INFORMATIQUE AVEC L OFFRE DE COMPOSANT FOLAN CLASSIC F LAN.net Introduction Ce livre blanc a pour but d aider les personnes intervenant dans la réalisation de réseaux
Plus en détailCULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases
CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h Conf 1 : WIFI, les bases 1) Principes de fonctionnement (antennes, fréquences, emetteurs/recepteurs, point d'accés) a) Les grandes classes de fréquences HF, 300 Khz
Plus en détailCentrale d Alarme 32 zones sans fils
Centrale d Alarme 32 zones sans fils Ultra facile à installer et à programmer Sans fil : Aucune connexion nécessaire!!! Nombreux capteurs différents disponibles : permet de détecter une intrusion par infrarouge,
Plus en détailConnaissances VDI 1 : Chapitres 1 2 3 4 5 6 7 + annexe
Connaissances VDI 1 : Chapitres 1 2 3 4 5 6 7 + annexe Page 1 sur 8 COMMENT FONCTIONNE UN RESEAU DOMESTIQUE COMMUNIQUANT? BEP : Identifier les composants et S informer sur l évolution des matériels. BAC
Plus en détailAlarme anti-intrusion
A quoi ça sert? Alarme anti-intrusion Comment ça marche? 1 A B C R A + # B + # C + # D + # # # N N BOUCLE Libellé BOUCLE Libellé NF A ALARME VOL A quoi sa sert? Les alarmes anti-intrusion ont pour fonction
Plus en détail>#? 9@ " $: $A; 4% 6 $7 -/8 $+.,.,$9:$ ;,<=</.2,0+5;,/22.-...0 ! " # $%!& *$$ $%!& *! # +$
#"!$% >#? 9@ " $: $A; 4% 6! " # $%!& $'()) $%!& *$$ $%!& *! # +$!",-./0112-+ 3456 $7 -/8 $+.,.,$9:$ ;,
Plus en détailTrain & Métro. Solutions de communication WiFi durcies pour applications ferroviaires au sol et en embarqué
Train & Métro Solutions de communication WiFi durcies pour applications ferroviaires au sol et en embarqué Train & Métro - Communications bord-sol sans interruption - L une des principales préoccupations
Plus en détailChapitre 13 Numérisation de l information
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................
Plus en détailConseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w
Conseils techniques Pour bénéficier du «Micro crédit régional 0 % Energie verte en Poitou-Charentes», le programme impose l utilisation de matériaux répondant à des niveaux de performances minimales. Pour
Plus en détail1.5 COMPOSANTS POUR INSTALLATIONS TELEPHONIQUES, TV/SAT ET CAT.5. Les matières premières. Section 1.5
Section COMPOSANTS POUR INSTALLATIONS TELEPHONIQUES, TV/SAT ET CAT.5 Les matières premières Pour vous donner un produit de qualité, nous choisissons celles qui offrent les meilleures garanties. Série DATATEL
Plus en détailADSL. Étude d une LiveBox. 1. Environnement de la LiveBox TMRIM 2 EME TRIMESTRE LP CHATEAU BLANC 45120 CHALETTE/LOING NIVEAU :
LP CHATEAU BLANC 45120 CHALETTE/LOING THEME : ADSL BAC PROFESSIONNEL MICRO- INFORMATIQUE ET RESEAUX : INSTALLATION ET MAINTENANCE ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS 2 EME TRIMESTRE NIVEAU : TMRIM Étude d une LiveBox
Plus en détailSYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier :
SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION Contenu du dossier : 1. PRESENTATION DU SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO....1 1.1. DESCRIPTION DU FABRICANT....1
Plus en détailTransmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission
Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement
Plus en détailMonitor Supreme II MS 2002 MS 1002 MS 802 MS 202 MS 102 MS SUB 202A MS SUB 302A MS CENTER 252
1 2 MS 2002 MS 1002 MS 802 MS 202 MS 102 MS SUB 202A MS SUB 302A MS CENTER 252 3 MS 2002 MS 1002 MS 802 MS 202 MS 102 MS SUB 202A MS SUB 302A MS CENTER 252 4 Particularités Construction stable et à faible
Plus en détailNouveau! Serrure invisible PS. Contrôle et protège vos valeurs! Gamme Abiolock. la serrure invisible
Nouveau! Serrure invisible PS Contrôle et protège vos valeurs! Gamme Abiolock la serrure invisible SOMMAIRE 1. Sécuriser un tiroir, un placard. ABIOLOCK STANDARD page 5 2. Sécuriser l accès à une vitrine
Plus en détailC.R.T. Informatique 4,1 M (2014) 40% 20% 15% 15% 10% 25 ANS 17 EMPLOYES 2 AGENCES 5 DATACENTERS OPERATEUR RESEAU INFOGERANCE MAINTENANCE DEVELOPPEMENT
C.R.T. Informatique 25 ANS 17 EMPLOYES 2 AGENCES 5 DATACENTERS 4,1 M (2014) 40% 20% 15% 15% 10% OPERATEUR RESEAU INFOGERANCE MAINTENANCE DEVELOPPEMENT Zebra Technologies Sommaire Conception de la solution
Plus en détailElectricité et mise à la terre
Electricité et mise à la terre... 2 Le bruit électrique... 2 Les décharges électrostatiques... 2 La mise à la terre du matériel informatique... 3 Le problème des terres multiples... 4 Les perturbations
Plus en détailA- Observez la vidéo A présentant le fonctionnement de deux objets techniques que nous
Nous savons qu'un système d'alarme permet de protéger une habitation en détectant et en signalant une ouverture de porte, de fenêtre ou un mouvement dans une pièce. Mais comment détecter et existe il un
Plus en détailVersion MOVITRANS 04/2004. Description 1121 3027 / FR
MOVITRANS Version 04/2004 Description 1121 3027 / FR SEW-USOCOME 1 Introduction... 4 1.1 Qu est-ce-que le MOVITRANS?... 4 1.2 Domaines d utilisation du MOVITRANS... 4 1.3 Principe de fonctionnement...
Plus en détailMULTITEL, votre partenaire de recherche et d innovation
Ingénierie des réseaux Networking Industrial Services Services aux entreprises Conception, réalisation et suivi de nouveaux projets Audit des réseaux existants Déploiement d applications réseau Développement
Plus en détailEXCELLENCE INNOVATION QUALITÉ SERVICE OUVERTURE
FR www.exxelia.com «Fabricant de produits spécifiques de haute technicité, nous nous engageons à mettre au service de nos clients notre savoir-faire unique et nos solutions innovantes. La qualité et le
Plus en détailMonitEM Système de monitoring continue
MonitEM Système de monitoring continue Nouveau design : plus efficace, pour un meilleur rendement Fiche Technique Sondes interchangeables avec reconnaissance automatique. Monitoring des champs électriques
Plus en détailProjet CoDrive : utilisation des données de véhicules communicants, intégration avec un système de gestion de trafic (119)
Projet CoDrive : utilisation des données de véhicules communicants, intégration avec un système de gestion de trafic (119) Résumé : La diffusion large des smartphones et des suivis dédiés de flottes de
Plus en détail2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP)
2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2.1 Introduction 2.2 Signal 2.3 Support de transmission 2.4 Adaptation du signal aux supports de transmission 2.5 Accès WAN 2.1 Introduction Introduction Rôle
Plus en détailApproche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable
Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable RÉSUMÉ U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E par Lycée Victor Hugo - 25000
Plus en détailEtude RFPro Exposition professionnelle
Société de médecine et santé au travail 20 mars 2009 Etude RFPro Exposition professionnelle A. Massardier-Pilonchéry, M. Hours T. Demallmann, C. Dousson, G. Lafon, M. Gillet, Jc.Gobet, E. Trescol UMRESTTE
Plus en détailLes ondes électromagnétiques dans les bâtiments
Développement durable en Limousin Mai 2012 Vivre mieux dans un bâtiment avec un air de qualité Fiche n 4 Les ondes électromagnétiques dans les bâtiments www. objectif.blogspot.com www.limousin.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailFIRE CONTROL VENTOUSES ÉLECTROMAGNÉTIQUES
fire control 31 32 FIRE CONTROL VENTOUSES ÉLECTROMAGNÉTIQUES 01620 01620I 01630 01630I 01820 01820I 01830 01830I Ventouse électromagnétique Corps ventouse à dos fileté M8 Dimensions ventouse : diamètre
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailSécurité Nouveau firmware & Nouvelles fonctionnalités
Sécurité Nouveau firmware & Nouvelles fonctionnalités Sécurité ZyXEL - gamme USG Un choix complet de produits pour les petits comme les grands! Une gamme de 9 produits Firewall Services UTM Répartition
Plus en détailUtilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique
Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique Eric CRESCENZO 1 Evagelos HRISTOFOROU 2 1) IXTREM 9 rue Edouard Denis Baldus, F-711 CHALON SUR SAONE Tél
Plus en détailRapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS
Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le
Plus en détailWIFI (WIreless FIdelity)
WIFI (WIreless FIdelity) 1. Théorie et architectures 2. Démarche d un déploiement (WLAN Bluesocket/Cisco) 3. Maquettage Ph. Tourron 1 PLAN Théorie et architecture Les types de réseaux sans fil Normes autour
Plus en détailCylindre XS DORMA. Le contrôle d accès XS
Cylindre XS DORMA Le contrôle d accès XS DORMA XS Une large famille de solutions DORMA XS est un système de contrôle d accès modulaire et évolutif qui répond à tous types de demandes, et offre des solutions
Plus en détailChapitre I La fonction transmission
Chapitre I La fonction transmission 1. Terminologies 1.1 Mode guidé / non guidé Le signal est le vecteur de l information à transmettre. La transmission s effectue entre un émetteur et un récepteur reliés
Plus en détailChapitre 2 : communications numériques.
Chapitre 2 : communications numériques. 1) généralités sur les communications numériques. A) production d'un signal numérique : transformation d'un signal analogique en une suite d'éléments binaires notés
Plus en détailPrésentation Générale
Présentation Générale Modem routeur LAN Inte rnet Système de connectivités Plan Modem synchrone et Asynchrone La famille xdsl Wifi et WiMax Le protocole Point à Point : PPP Le faisceau hertzien Et le Satellite.
Plus en détailCharte d installation des réseaux sans-fils à l INSA de Lyon
Charte d installation des réseaux sans-fils à l INSA de Lyon Toute installation d un point d accès est soumise à autorisation auprès du Responsable Sécurité des Systèmes d Information (RSSI) de l INSA
Plus en détailVotre Réseau est-il prêt?
Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie
Plus en détailLa sécurité des biens et des personnes Comment se protéger des intrusions?
Etablir un croquis du circuit d alimentation énergétique et un croquis du circuit ACOT-02 1/4 Problématique : Nous connaissons ce qu est un système d alarme, sa fonction et les différents éléments qui
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailLa sécurité dans un réseau Wi-Fi
La sécurité dans un réseau Wi-Fi Par Valérian CASTEL. Sommaire - Introduction : Le Wi-Fi, c est quoi? - Réseau ad hoc, réseau infrastructure, quelles différences? - Cryptage WEP - Cryptage WPA, WPA2 -
Plus en détailLes techniques de multiplexage
Les techniques de multiplexage 1 Le multiplexage et démultiplexage En effet, à partir du moment où plusieurs utilisateurs se partagent un seul support de transmission, il est nécessaire de définir le principe
Plus en détailTP N 7 «ALARME INTRUSION» TP découverte «Alarme intrusion filaire LEGRAND»
Lycée des Métiers «Louise Michel» Rue Villebois Mareuil 16700 RUFFEC T BACPRO ELEEC «ALARME INTRUSION» TP découverte «Alarme intrusion filaire LEGRAND» NOM :.... Prénom :... Page 1 / 11 L ALARME INTRUSION
Plus en détailCéliéno. Céliéno. La REG.I.E.S. met à disposition des opérateurs
Céliéno La REG.I.E.S. (Régie Intercommunale d Énergies et de Services) développe sur le département de l Eure-et-Loir un important réseau de fibre optique. Le déploiement de la,, permet de réduire la fracture
Plus en détailCaractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault
Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324
Plus en détailKEIM Optil Plus. Peinture d intérieur écologique pour un habitat sain
KEIM Optil Plus Peinture d intérieur écologique pour un habitat sain 2 KEIM Optil Plus, une nouvelle dimension, un esthétisme unique Des couleurs inégalées Ambiance et élégance KEIM Optil Plus est la première
Plus en détail1.Introduction - Modèle en couches - OSI TCP/IP
1.Introduction - Modèle en couches - OSI TCP/IP 1.1 Introduction 1.2 Modèle en couches 1.3 Le modèle OSI 1.4 L architecture TCP/IP 1.1 Introduction Réseau Télécom - Téléinformatique? Réseau : Ensemble
Plus en détailAlarme intrusion filaire AEI HA-981 6 zones
Alarme intrusion filaire AEI HA-981 6 zones Lycée de l Aa Page 1 sur 11 1) Mise en situation Vous devez assurer une protection périmétrique et volumétrique de la maison de M r X. Le schéma architectural
Plus en détailECTS INFORMATIQUE ET RESEAUX POUR L INDUSTRIE ET LES SERVICES TECHNIQUES
ECTS INFORMATIQUE ET RESEAUX POUR L INDUSTRIE ET LES SERVICES TECHNIQUES CHAPITRES PAGES I DEFINITION 3 II CONTEXTE PROFESSIONNEL 3 HORAIRE HEBDOMADAIRE 1 er ET 2 ème ANNEE 4 FRANÇAIS 4 ANGLAIS 5 MATHEMATIQUES
Plus en détailChapitre R Recommandations pour l amélioration de la CEM
Chapitre R Recommandations pour l amélioration 1 2 3 4 5 Sommaire La distribution BT R2 1.1 Terminologie et définitions R2 1.2 La protection des personnes et la CEM R2 1.3 Les schémas de liaisons à la
Plus en détailINSTALLATIONS ÉLECTRIQUES CIVILES
index ALIMENTATION MONOPHASEE ALIMENTATION MONOPHASEE ALIMENTATIONS DL 2101ALA DL 2101ALF MODULES INTERRUPTEURS ET COMMUTATEURS DL 2101T02RM INTERRUPTEUR INTERMEDIAIRE DL 2101T04 COMMUTATEUR INTERMEDIAIRE
Plus en détailPlan du Travail. 2014/2015 Cours TIC - 1ère année MI 30
Plan du Travail Chapitre 1: Internet et le Web : Définitions et historique Chapitre 2: Principes d Internet Chapitre 3 : Principaux services d Internet Chapitre 4 : Introduction au langage HTML 2014/2015
Plus en détailEcole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009
Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques
Plus en détailFigure 1 : représentation des différents écarts
ulletin officiel spécial n 9 du 30 septembre 2010 Annexe SIENES DE L INGÉNIEUR YLE TERMINAL DE LA SÉRIE SIENTIFIQUE I - Objectifs généraux Notre société devra relever de nombreux défis dans les prochaines
Plus en détailEP 2 326 026 A1 (19) (11) EP 2 326 026 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 25.05.2011 Bulletin 2011/21
(19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 2 326 026 A1 (43) Date de publication: 25.05.2011 Bulletin 2011/21 (51) Int Cl.: H04B 3/54 (2006.01) H04B 3/56 (2006.01) (21) Numéro de dépôt: 09176548.7 (22)
Plus en détailProblème posé. Sécurité. Sécurité Humaine. Exploitant. électronique. Politique Sécurité. Réglementation. Comportements
Problème posé Réglementation Politique Sécurité Comportements Flux Événements Sécurité Humaine Sécurité électronique Exploitant Personnes Patrimoine Exploitation Population Environnement Secret Risques
Plus en détailLe câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV)
Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Évidemment, l emploi le plus fréquent de la fibre optique se trouve dans le domaine des télécommunications. Mais d autre part,
Plus en détailProgramme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle
Profil des compétences professionnelles Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle Organisation pratique Détail du programme
Plus en détailRepérage de l artillerie par le son.
Repérage de l artillerie par le son. Le repérage par le son permet de situer avec précision une batterie ennemie, qu elle soit ou non bien dissimulée. Le son se propage avec une vitesse sensiblement constante,
Plus en détailL'alarme Bac Pro SEN Page 1 / 9
1 Analyse du système technique: LE SYSTEME DE GESTIONS DES INTRUSIONS 1.1 Expression du besoin: L'augmentation du nombre de cambriolages dans les habitations et les entreprises est un aspect particulièrement
Plus en détailLeçon 1 : Les principaux composants d un ordinateur
Chapitre 2 Architecture d un ordinateur Leçon 1 : Les principaux composants d un ordinateur Les objectifs : o Identifier les principaux composants d un micro-ordinateur. o Connaître les caractéristiques
Plus en détailTout sur les Réseaux et Internet
Jean-François PILLOU Fabrice LEMAINQUE Routeur Tout sur les Réseaux et Internet Switch Téléphonie 3G/4G CPL TCP/IP DNS 3 e édition DHCP NAT VPN Ethernet Bluetooth WiMAX WiFi Etc. Directeur de collection
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE. Liberté Égalité Fraternité MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR DEPARTEMENT PREVENTION COMMUNICATION. Cellule Sécurité du Secteur Economique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Liberté Égalité Fraternité MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR DEPARTEMENT PREVENTION COMMUNICATION Cellule Sécurité du Secteur Economique FICHE CONSEILS A L ATTENTION DES DEBITANTS DE TABAC
Plus en détail2. DIFFÉRENTS TYPES DE RÉSEAUX
TABLE DES MATIÈRES 1. INTRODUCTION 1 2. GÉNÉRALITÉS 5 1. RÔLES DES RÉSEAUX 5 1.1. Objectifs techniques 5 1.2. Objectifs utilisateurs 6 2. DIFFÉRENTS TYPES DE RÉSEAUX 7 2.1. Les réseaux locaux 7 2.2. Les
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailIntroduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant I B.
Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant. - Le régime linéaire. Le courant collecteur est proportionnel
Plus en détailSENACO AS100. Manuel d Utilisation Octobre 2000 ENACO AS100
SENACO AS100 Manuel d Utilisation Octobre 2000 ENACO AS100 Consignes de sécurité Il est important de respecter les consignes fournies dans ce manuel d utilisation pour garantir la sécurité de l utilisateur
Plus en détailRelais d'arrêt d'urgence, protecteurs mobiles
PNOZ Relais jusqu'en d'arrêt 11 catégorie d'urgence, 4, EN 954-1 protecteurs mobiles Bloc logique de sécurité pour la surveillance de poussoirs d'arrêt d'urgence et de protecteurs mobiles Homologations
Plus en détailLTE dans les transports: Au service de nouveaux services
LTE dans les transports: Au service de nouveaux services 1 LTE dans les transports: Au service de nouveaux services Dr. Cédric LÉVY-BENCHETON Expert Télécom, Egis Rail cedric.levy-bencheton@egis.fr Résumé
Plus en détailGamme d appliances de sécurité gérées dans le cloud
Fiche Produit MX Série Gamme d appliances de sécurité gérées dans le cloud En aperçu Meraki MS est une solution nouvelle génération complète de pare-feu et de passerelles pour filiales, conçue pour rendre
Plus en détailNotice d installation des cartes 3360 et 3365
Notice d installation des cartes 3360 et 3365 L architecture ci-dessous représente de manière simplifiée l utilisation des cartes IP 3360 et Wi-Fi 3365, associée à une centrale Harmonia La carte IP 3360
Plus en détailComment déployer rapidement et à moindre coût des caméras de vidéosurveillance?
Comment déployer rapidement et à moindre coût des caméras de vidéosurveillance? Olivier Maillard Responsable d Activité Hélène Depardé Chargée de Mission Marketing AnyMAX, Une Société une société du du
Plus en détailM1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig
1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailL'AUDIT DES SYSTEMES D'INFORMATION
L'AUDIT DES SYSTEMES D'INFORMATION ESCI - Bourg en Bresse (2005 2006) Audit s Système d'information - P2 1 lan d'ensemble Audit s Systèmes d'information GENERALITES SUR L'AUDIT AUDIT FONCTIONNEL OU D'APPLICATION
Plus en détailCatalogue & Programme des formations 2015
Janvier 2015 Catalogue & Programme des formations 2015 ~ 1 ~ TABLE DES MATIERES TABLE DES MATIERES... 2 PROG 1: DECOUVERTE DES RESEAUX... 3 PROG 2: TECHNOLOGIE DES RESEAUX... 4 PROG 3: GESTION DE PROJETS...
Plus en détailOn distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne)
Mémoire - espace destiné a recevoir, conserver et restituer des informations à traiter - tout composant électronique capable de stocker temporairement des données On distingue deux grandes catégories de
Plus en détailAssociation française de l éclairage. 21 mai 2014 Light On Architect - Lumibat
Association française de l éclairage 21 mai 2014 Light On Architect - Lumibat La lumière, un matériau dynamique et un outil pour les architectes Nathalie Bozzi Responsable Customisation et Solutions Innovantes
Plus en détail