PARTIE C, ZTR Zoom Télédétection Radar

Documents pareils
Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits

RESERVOIR MONITORING A PARTIR D IMAGES SATELLITES APPLICATIONS POUR LES ACTIVITÉS AMONT DE SONATRACH EN ALGÉRIE

SPOT4 (Take 5) : Sentinel-2 avec deux ans d avance

LIDAR LAUSANNE Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés

LA TÉLÉDETECTION EN AGRICULTURE. par Bruno Tisseyre 1

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS

Spectrophotométrie. Spectrophotomètre CCD2. Réf : Version 1.0. Français p 2. Version : 4105

EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES.

Chapitre 13 Numérisation de l information

Microscopie de fluorescence Etat de l art

Immersion - Vision 3D dans la RV.

LISACode. Un simulateur opérationnel pour LISA. Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006

Sur les vols en formation.

Expérience 3 Formats de signalisation binaire

Mise en pratique : Etude de spectres

Chapitre I La fonction transmission

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique

TD : Codage des images

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction

FICHE METIER. «Opérateur de prises de vue» Opérateur de prises de vue vidéo. Cadreur. Pointeur vidéo APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER

Scanner acoustique NoiseScanner

3 - Description et orbite d'un satellite d'observation

Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable

SCHOTT élargit ses compétences en filtres pour l'astronomie

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.

Enregistrement et transformation du son. S. Natkin Novembre 2001

GAMME UVILINE 9100 & 9400

Cours IV Mise en orbite

MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE

La visio-conférence holographique : Pourquoi? Comment?

Chapitre 2 : communications numériques.

Rayonnements dans l univers

Le concept cellulaire

Peut-on imiter le hasard?

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION

Ressources pour l école élémentaire

Document d Appui n 3.3. : Repérage ou positionnement par Global Positionning System G.P.S (extrait et adapté de CAMELEO 2001)

Systèmes de transmission

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Cisco Certified Network Associate

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

Novembre Regard sur service desk

AÉRIENNE UNE STRATÉGI. Organisation. n de l aviation. Montréal, SOMMAIRE et à moyen terme. la surveillance. fusion de. tions du 5.3.

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd

LE PROJOPHONE de Fresnel

Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

L image satellite : simple effet de mode ou. apport réel?

1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T

L éclairage naturel première partie : Principes de base

CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases

GUIDE DE MISE EN ŒUVRE D UN SYSTÈME DE DÉTECTION EXTÉRIEURE ASSOCIÉ À UNE VIDÉOSURVEILLANCE

LA TÉLÉDÉTECTION AÉRO-SPATIALE : UNE INTRODUCTION

Caractéristiques des ondes

Vidéo Protection La R82


Innovations Majeures de la Version 4

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque

GAMME UviLine 9100 & 9400

Quelleestlavaleurdel intensitéiaupointm?

Progressons vers l internet de demain

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE

Application à l astrophysique ACTIVITE

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes

Analyse des trajectoires acceptables en approche de virage assistance aux conducteurs

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée

2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP)

EPFL TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES. Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL Nov

Module HVAC - fonctionnalités

SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier :

FAG Detector III la solution pour la surveillance et l équilibrage. Information Technique Produit

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier h à 16 h

Auscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux

Global Monitoring Emergency Services

Le rôle des technologies de l imagerie dans le secteur de l environnement

L image geospatiale au service de l aviation civile

Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8

LTE dans les transports: Au service de nouveaux services

La collecte et la gestion des données dans le cadre de la prospection d énergie solaire

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?

Présentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012

Equation LIDAR : exp 2 Equation RADAR :

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information

Système de détection d intrusions périmétrique par câble enterré INTREPID TM

Comme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est:

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

REFERENTIEL PROFESSIONNEL - BAPAAT

Systèmes de communications numériques 2

Distribution d électricité et réseaux souterrains

Traitement numérique de l'image. Raphaël Isdant

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

possibilités et limites des logiciels existants

BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE STD ARTS APPLIQUÉS

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

Transcription:

ENSG Jean- Paul RUDANT Rudant@univ- mlv.fr janvier2015 Cours : Approche Comparée des Télédétections Optique et Radar Partie A: Approche comparée des télédétections optique et radar Partie B: Zoom optique Partie C: Zoom radar Cette notice présente le plan du cours et un résumé de chaque séquence PLAN PartieA : ACTOR- : Approche comparée des télédétections optique et radar 1- Télédétection? 2- Quelques propriétés des Ondes électromagnétiques 3- Trajectoires aériennes et orbitales des capteurs 4- Génération des images, Géométrie des images (dont effets du relief) 5- Nature de l Enregistrement (capteur), quelles informations sur la surface 6- Résolutions (spatiale, spectrale, radiométrique, temporelle) 7- Accès au relief 8 - Restitution, visualisation des images 9- Conclusion partielle Zoom Optique: & 5, 6 + instruments dont LIDAR Zoom Radar: & 5,6 +instruments +(phase, interférométrie polarimétrie) PARTIE B, ZTO- Zoom Télédétection Optique. 1- Généralités, expression générale de la puissance reçue par le capteur durée env.27 mn 2- Discussion: notion de luminance et de réflectance bidirectionnelle durée env. 21 mn 3- Résolution spatiale des images durée env. 10 mn 4- Analyse de quelques courbes et valeurs numériques, flux solaire, absorption atmosphérique ; durée env. 7 mn 5- Caractérisation d une surface, réponse spectrale durée env.15mn 6- Quelques instruments et capteurs spatiaux ; env. 8 mn 7- Illustrations, canaux dérivés et conclusion ; env.14 mn PARTIE C, ZTR Zoom Télédétection Radar 1 - Discussion autour du plan durée env. 2mn

2 - Mesure en puissance, comparaison avec la formulation des radaristes, coefficient de rétrodiffusion ~14mn 3- Cellule de résolution, paramètres influençant la mesure (pente, propriétés de la surface, caractéristiques de l onde) ~8mn 4- Chatoiement (variabilité de la réponse (amplitude- phase) mesurée sur une zone homogène~10mn 5- Quelques mots sur la polarimétrie et l interférométrie ~10mn 6- Influence des paramètres de surface, paysages naturels ~7mn 7- Quelques capteurs depuis 1991 ~5mn 8- Illustrations (en guise de conclusion ) ~10 mn CONCLUSION GENERALE APPROCHE COMPAREE des TELEDETECTIONS OPTIQUE et RADAR Séquence Conclusion ~15mn. RESUME Partie A : ACTOR, Approche comparée des télédétections optique et radar Séquence ACTOR 1: Introduction à la télédétection 00:07:14 Discussion du plan du cours, présentation générale de la télédétection, évolution depuis un siècle, différents usages des images optique et radar Séquence ACTOR 2: Ondes électromagnétiques 00:19:41 Les ondes électromagnétiques, les domaines optique, proche infra rouge (PIR), thermique, micro- ondes (radar), notions de polarisation, de cohérence. Pénétration des ondes dans certains mileiux. Comparaison optique radar Séquence ACTOR 3: Trajectographie 00:10:36 Trajectoires aériennes et orbitales, référentiels terrestre et géocentrique, orbites héliosynchrones et géostationnaires, fauchée, période de revisite, Comparaison optique et radar Séquence ACTOR 4: Génération des images ; éléments de géométrie 00:38:00, 4-1 Génération des images 9 26 Capteurs matriciels et barrettes de détecteurs, acquisition ligne à ligne en radar et en optique 4-2 éléments sur la géométrie des images de ~18, Cas de l optique, perspective conique, effets du relief Cas du radar, dans une ligne, classement des points du sol selon la distance à l antenne, effets du relief Effets de l inclinaison des orbites et de la rotation de la terre 4-3 illustrations et conclusion de ~11 de 27 06 a 38 FIN Exemples d images optique et radar, comparaison sur la Tour Eiffel à Paris, relief couvert de forêt, effets de la rotation de la terre, orbites montante (de nuit) et descendante (de jour) en radar Séquence ACTOR 5: Quel enregistrement pour un pixel, quelle mesure (ou réponse)? Sequence ACTOR 5-0 durée 8 :53 Introduction, discussion autour du plan de la séquence 5 Sequence ACTOR 5-1 durée env. 9 Vocabulaire utilisé, puissance reçue par un pixel sol, puissance réfléchie, réflectivité hémisphérique Sequence ACTOR 5-2 durée env. 8

Puissance réfléchie vers le capteur; cas de réflexions isotrope puis non isotrope, coefficient directionnel, angle solide sous lequel on voit le capteur depuis un point du sol. Sequence ACTOR 5-3 durée env. 13 30 Réflexion lambertienne (usage courant en optique) facteur directionnel quel que soit ui, G(ui, ur) = G(r) = (1/π) cos(r) Cas d un capteur optique, introduction des facteurs ΔΩ IVOV et Δs capt eff Sequence ACTOR 5-4 duree env. 11 réflexion lambertienne, calcul complet en exercice, illustrations Suivent deux textes explicatifs concernant en optique, La notion de luminance - le calcul de la puissance reçue par le capteur dans le cas général, non Lambertien Sequence ACTOR 5-5 durée env. 6 Analyse des facteurs qui influencent la réponse radar, termes variables au sein d une même image cos(inclocale), Réflectivité hémisphérique, coefficient directionnel Sequence ACTOR 5-6 durée env. 12 Variabilité de G(ui, ur) en optique et en radar, cas isotrope en radar, lambertien en optique, cas spéculaire, cas des points brillants en radar Sequence ACTOR 5-7 durée env. 9 Illustrations en radar et en optique, discussion de la relation générale, perception du relief en optique et en radar, cas d un éclairement diffus en optique Notons un lapsus pour la réflectivité globale de l onde radar sur l eau : il est dit 100% au lieu de 50% (ordre de grandeur) Sequence ACTOR 5-8 durée env. 10, 5 pour l optique et 5 pour le radar Résumé- conclusion ; quels sont les facteurs variables au sein d une même image Comparaison optique radar Séquence ACTOR 6: Résolutions spatiale, spectrale, radiométrique et temporelle, durée environ 28 Sequence ACTOR 6-1 durée env. 9 mn Résolutions spatiale et spectrale Résolution spatiale : notion expérimentale ; en optique (simplification) résolution spatiale confondue avec la taille du pixel, exemples en optique de 40 cm à 2 mm, en radar, dégradation de la résolution spatiale effective due au chatoiement d où l intérêt des moyennes. Résolution spectrale : largeur de bande en optique ;plus grande en panchromatique P qu en multispectral XS (meilleure résolution spatiale en P qu en XS ). Pas d existence pratique en radar. Sequence ACTOR 6-2 Résolutions radiométrique et temporelle durée env. 12 mn Résolution radiométrique : exemple en optique de codage variant de 2 a 8 bits par pixel, cas du chatoiement en radar Résolution temporelle : orbites héliosynchrones ; cas des capteurs mono incidence et des capteurs multi- incidences ; cas des orbites géostationnaires Sequence ACTOR 6-3 durée env. 7 mn Conclusion séquence 6 Conclusion, illustration de chatoiement avec effets de bruitage d images optiques Format des images délivrées par les agences Sequence ACTOR 7 Restitution, visualisation des images 14 :30 Cas des images mono canal, cas multi canal. En optique vraies et fausses couleurs. En radar composition multi bandes, polarimétriques, temporelles, filtrage du chatoiement, passage de 16b par pixel a 8b par pixel pour la visualisation Séquen ce ACTOR 8- Accès au relief ~10 Qualitativement : en optique, variabilité d éclairement. En radar, alternance de faces plus claires et plus foncées Quantitativement, stéréoscopie en optique et en radar, quelques mots sur l interférométrie radar.

9- Séquence ACTOR - Conclusion partielle ~8 Synthèse sur les caractères communs et différents pour les images optique et radar, présentation des deux Zooms Optique et Radar PARTIE B, ZTO, Zoom Télédétection Optique. Séquence ZTO - 1 Généralités, expression générale de la puissance reçue par le capteur durée env. 27 mn Présentation générale, Flux solaire, Eclairement, réflexion hémisphérique, cas isotrope, lambertien, causes de perturbation Séquence ZTO- 2 Discussion: notion de luminance et de réflectance bidirectionnelle durée env. 21 mn Puissance reçue globale et spectrale (par micron), facteurs intervenant dans la mesure. Surface du sol vue comme une source secondaire, notion de luminance, cas général, cas lambertien, valeurs spectrale et globale Séquence ZTO - 3 Résolution spatiale des images durée env. 10 mn Discussion, dimension des détecteurs, distance focale, IFOV (instantaneoux field of view) et échantillonnage sur la barrette des détecteurs, tache de diffraction de l objectif, discussion sur le vocabulaire utilisé (Energie et Puissance). Intervalle de temps entre acquisitions d images successives. Séquence ZTO - 4 Analyse de quelques courbes et valeurs numériques, flux solaire, absorption atmosphérique ; durée env. 7 mn Analyse de courbes, densité spectrale de puissance, hors atmosphère, au sol, absorption atmosphérique, notion de réflectance dans le cas lambertien, luminance spectrale, domaines optique et thermique Séquence ZTO- 5 Caractérisation d une surface, réponse spectrale durée env.15mn Discussion direction d éclairement et d observation. Cas simple lambertien (à un moment, oubli de l indice λ pour la luminance spectrale L λ ). Exemples divers de signatures spectrales, végétation chlorophylienne, facteur humidité, cas des minéraux, variations saisonnières Séquence ZTO - 6 Quelques instruments et capteurs spatiaux ; env. 8 mn Description de capteurs, principalement en terme de résolution spatiale et de résolution spectrale. (manque le capteur Sentinel 2 très intéressant (resolution spatiale de 10m pour certains canaux et libre d accès) dont le lancement a eu lieu plus récemment) Séquence ZTO - 7 Illustrations, canaux dérivés et conclusion ; env.14 mn Exemples d images de résolutions variées. Notions sur les traitements numériques destinés à faciliter l interprétation des images ou à extraire automatiquement de l information. Conclusion sur les facteurs intervenant dans la qualité d une image.

PARTIE C, ZTR, Zoom Télédétection Radar Séquence ZTR- 1 Discussion autour du plan durée env. 2mn Certaines questions sont renvoyées au cours plus complet de l ENSG «teledetection radar» dans la mesure où il n existe pas de notion parallèle en optique. Explications sur le découpage en séquences vidéo qui chevauchent sans coïncider le plan proposé pour des raisons de durée limitée par séquence. La séquence ZTR9 annoncée comme conclusion n est pas présente dans ce Zoom «radar». C est en fait la conclusion générale de la comparaison optique radar. Séquence ZTR- 2 Mesure en puissance, comparaison avec la formulation des radaristes, coefficient de rétrodiffusion ~14mn Flux radar incident, cas d une cible à réflectivité isotrope, expression du coefficient de rétrodiffusion Pour les expressions obtenues, nécessité de moyenner sur une fenêtre encadrant un pixel donné pour limiter les effets du chatoiement Séquence ZTR- 3 Cellule de résolution, paramètres influençant la mesure (pente, propriétés de la surface, caractéristiques de l onde) ~8mn Cellule de résolution. Paramètres liés à l onde (longueur d onde, polarisation, direction de visée) et à la surface (pente, rugosité, humidité, biomasse ), influençant la mesure. Séquence ZTR- 4 Chatoiement (variabilité de la réponse (amplitude- phase) mesurée sur une zone homogène ~10mn Modélisation simple de la réponse pour des cibles élémentaires présentes dans un pixel. Comportement en amplitude et en phase. Caractérisation du chatoiement par le coefficient de variation. Effet d une moyenne de n pixels sur le coefficient de variation. Séquence ZTR- 5 Quelques mots sur la polarimétrie et l interférométrie ~10mn Résumé textuel de notions de polarimétrie et d interférométrie. le cours «Télédétection radar» de e- ENSG est plus complet sur ces thèmes Séquence ZTR- 6 Influence des paramètres de surface, paysages naturels ~7mn Surfaces naturelles car les surfaces urbaines présentent des réponses plus anarchiques. Principaux facteurs influençant la réponse (pour la surface du sol : rugosité, humidité, biomasse, pour l onde radar (longueur d onde, polarisation..). Discussion sur les évolutions temporelles en forêt inondable et sur l intérêt de la polarisation HV pour le suivi de la végétation. Séquence ZTR- 7 Quelques capteurs depuis 1991 ~5mn Principaux capteurs radar satellitaires depuis 1991 ( ERS1et2, Radarsat1, JERS, Radarsat2, ENVISAT, PALSAR, Cosmoskymed, TerrasarX, Sentinel1). Discussion sur le très important flux de données à gérer avec la série Sentinel de l ESA. Séquence ZTR- 8 Illustrations (en guise de conclusion ) ~10 mn Divers exemples, influence de la pente en géomorphologie, de la rugosité en liaison avec la longueur d onde, de la polarisation de l onde. Exemple de pénétration (végétation et sable sec). Présentation rapide des applications interférométriques (accès au relief, déplacements du sol, image de cohérence). Séquence ACTOR : CONCLUSION GENERALE ; APPROCHE COMPAREE TELEDETECTION OPTIQUE RADAR Séquence Conclusion ~15mn

Retour sur les différents facteurs, paramètres associés au sol et et aux ondes optiques et radar qui influencent la mesure. Discussion autour de mots clef pour cette comparaison optique- radar Exemple de Saint Louis du Sénégal ou les observations optique et radar peuvent sembler contradictoires alors qu elles sont en fait complémentaires. Discussion autour d une idée simple : l imagerie optique est proche de notre vision humaine, étendue au PIR (influencée par les réflectances spectrales) alors que le radar met en jeu des paramètres plus proche du sens du toucher (rugosité, humidité, diverses structures de végétation, déplacement de l objet) souvent moins perceptibles visuellement, voire pas du tout.