L éclairage naturel première partie : Principes de base
|
|
- Sylvain Latour
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Suzel BALEZ L5C L éclairage naturel première partie : Principes de base Hertzog et Partner Bât. De bureaux à Wiesbaden
2 Plan Notions préliminaires La vision Grandeurs photométriques Le flux lumineux L éclairement (lux) La luminance Les 2 aspects de l éclairage naturel : ensoleillement et éclairage diffus Ensoleillement Éclairage diffus Stratégies de l éclairage naturel Capter Transmettre Distribuer Se protéger Contrôler 2
3 La vision Le visible La vision, principes de base La vision, aspects cognitifs
4 Le visible L œil n est sensible qu à une toute petite partie des radiations électromagnétiques Le visible (la lumière), c est un spectre électromagnétique dont les longueurs d ondes ont le pouvoir d exciter les cellules visuelles de l œil λ=0,38 μm < Visible < λ=0,78 μm Longueurs d'onde électromagnétiques en μm (10-6 m) Rayons gamma U. V. Rayons cosmiques Rayons X Infra rouge Radar, radio, TV VISIBLE 4
5 La vision, principes de base La perception visuelle naît dans l œil mais prend forme dans le cerveau: l optique de l œil permet la formation de l image rétinienne et la rétine transforme la lumière reçue en un ensemble de stimulations capables d être traitées par le cerveau. Les cellules de la rétine : les cônes : réaction au forts éclairements, vision de détail et sensibilité à la couleur (rouge, vert, bleu); les bâtonnets : insensibles à la couleur, réaction aux faibles éclairements. 5
6 La vision, principes de base L œil n est pas sensible, dans le visible, de la même manière à toutes les longueurs d ondes. En vision de jour, le maximum de sensibilité se situe à 0,555μm (jaune-vert). En réalité, il existe deux courbes de réponse, l'une pour des éclairements forts (dite "photopique" et représentée ici), l'autre pour des éclairements faibles ("scotopique»). 6
7 La vision, aspects cognitifs Rapport figure / fond? Les illustrations des diapositives suivantes sont issues de Jacques Ninio, La sciences de l illusion 7
8 8
9 9
10 10
11 11
12 Grandeurs photométriques Le flux lumineux (lumen) L éclairement (lux) La luminance (candélas par m²)
13 Grandeurs photométriques : Le flux lumineux Le flux lumineux Φ d une source est l évaluation, selon la sensibilité de l œil, de la quantité de lumière rayonnée dans tout l espace de cette source. Il s exprime en lumen (lm) L efficacité lumineuse (ou rendement lumineux) η d une source est le quotient de son flux lumineux Φ par sa puissance P. Elle s exprime en lm/w. η = Φ/P (lm/w) 13
14 Grandeurs photométriques : L intensité lumineuse L intensité lumineuse est le flux lumineux émis par unité d angle solide dans une direction donnée. Elle se mesure en candela (cd). I = Φ / Ω (cd) L angle solide (Ω) d un cône est le rapport de la surface (S) découpée sur une surface sphérique (ayant son centre au sommet de ce cône) au carré du rayon de la sphère. Il s exprime en stéradians (sr) Ω = S / r² (sr) Le stéradian est donc l angle solide qui découpe une surface égale à 1m² sur une sphère d un mètre de rayon. L ensemble des angles solides dans une sphère représente 4π. L angle solide maximal vaut donc 4π stéradians. 1 candela = 1 lumen/stéradian 14
15 Grandeurs photométriques : L éclairement L éclairement (E) d une surface est le rapport du flux lumineux reçu à l aire de cette surface. Son unité est le lux, équivalent à 1lm/m² E = Φ / S (lx) 15
16 Grandeurs photométriques : l éclairement s exprime en lux L unité utilisée pour la mesure de l éclairement est le LUX (lx) Elle caractérise le rapport d un flux lumineux sur une surface. L éclairement est donc toujours défini par rapport à une surface (que cette surface soit horizontale, verticale ou oblique matérialisée ou non) Notre perception de l éclairement naturel est très variable. Nous pouvons lire un texte sous un éclairement de lx et sous une nuit de pleine lune (0,1lx) 5000 lx en éclairage naturel correspond à une valeur faible (temps gris) alors qu en éclairage artificiel, c est insupportable (cf. le ciel artificiel de l Ensag). Ordre de grandeurs Éclairement sur une place au soleil à midi en été : lux Bureau - une salle de cours : lux Rue piétonne : 2-20 lx 16
17 Grandeurs photométriques : La La luminance (L) d une source est le rapport entre l intensité lumineuse émise dans une direction et la surface apparente de la source lumineuse dans la direction considérée. La luminance s exprime en candélas par mètre carré (cd/m²) L = I / S apparente luminance 17
18 Grandeurs photométriques : La La luminance est la seule grandeur photométrique réellement perçue par l œil humain luminance 18
19 Ciel Ensoleillement Ciel couvert (éclairage diffus) 19
20 Ensoleillement et éclairage diffus l ensoleillement renvoi à l étude de la course du soleil, l étude de la pénétration de la lumière naturelle dans un bâtiment (ou sur un espace public), l étude du temps d exposition dont bénéficie un local des rayons solaires, l étude de protections solaires éventuelles, L éclairage diffus désigne l éclairage fourni par la voûte céleste sans les rayons solaires directs. Ainsi la quantité d éclairage naturel est directement dépendante de : conditions spatio-temporelles (latitude, jour, heure) conditions météo dimension et position des prises de jour nature des matériaux de vitrage orientation des ouvertures existence de masques extérieurs facteurs de réflexion des parois intérieures 20
21 Le soleil et le ciel : Climats Ciels couverts = éclairage diffus (ou éclairage naturel) Ciels ensoleillés = ensoleillement 21
22 Ensoleillement
23 Le soleil Généralités : On considère que le soleil émet comme une source située à l infini, dont les rayons sont parallèles entre eux. La terre tourne autour du soleil selon un mouvement de translation sur une orbite elliptique (assimilée à un cercle). L axe des pôles forme un angle d inclinaison de par rapport au plan de l elliptique et reste parallèle à lui-même au cours du mouvement annuel. 23
24 4 positions clés 2 équinoxes (printemps et automne) : jour = nuit 2 solstices (21 juin et 21 Décembre) : jours les plus long et le plus court de l année Source : Pierre Seille, ENS INSA Lyon,
25 Solstice d été Variations du flux solaire Cf. Lavigne et al. Solstice d hiver 25
26 Position du soleil La position du soleil dans le ciel est prédictible à partir : de la latitude, du moment de l année, de l heure 26
27 Trajectoires solaires Exemples de trajectoires solaires depuis différents points de la terre Pour une même direction des rayons solaires, la hauteur du soleil évaluée en différents points de la terre ne sera pas la même. 27
28 Coordonnées angulaires du soleil Hauteur et azimut servent à définir la position d un objet par rapport à un point de référence (point d observation). Hauteur : angle formé par le rayon solaire et le plan horizontal (entre 0 et 90 ) Azimut : angle formé par la trace du soleil sur le plan horizontal et la direction Nord (dans le sens des aiguilles d une montre). Par commodité, on utilise l azimut par rapport au sud (< 0 côté Est, > 0 côté Ouest) Source : Mazria 28
29 Remarque Cf. Energy Conscious Design courses du soleil - Hiver / Été Attention : saisons inversées sur les deux hémisphères Eté (Hémisphère Nord) quand la distance Terre / Soleil est la plus grande mais les rayons les + chauds 29
30 Représenter les trajectoires solaires 30
31 Diagrammes cartésiens Les azimut sont donnés en abscisse (0 = midi solaire, quand le soleil est dans l axe sud). Les hauteurs sont données en ordonnées. Ces diagrammes sont fournis pour une latitude donnée. A : 21 juin [Solstice] B : mai & juillet C : avril & août D : mars & septembre E : février & octobre F : janvier & novembre G : 21 Décembre [Solstice] 31
32 Ces diagrammes permettent aussi de tracer les masques de l environnement et de déterminer leur influence. Pour déterminer ces masques : choisir un point et une hauteur de référence relever (sur le terrain ou sur un plan) la hauteur et les azimut que font les arrêtes de ces masques avec le point de référence reporter hauteurs et azimut sur le graphe tracer les non horizontales avec les indicateurs d occultation Attention, si vous utilisez une carte topographique (IGN), il faut soustraire l altitude du point de référence à l altitude que vous lisez sur la carte. 32
33 Exemple de diagramme solaire avec photo-montage Place de Philippeville, Grenoble (BazarUrbain 2007) 33
34 Le gnomon Le gnomon repose sur le principe du cadran solaire, adapté à la latitude du lieu. Une tige verticale dont on connaît la dimension (d), est posée sur le plan horizontal. Cette tige donne une trace d ombre qu on représente pour chaque mois. Les nombres situés sur les traces solaires représentent les heures en temps solaire. Courbe A : 21 juin Courbe C : 21 avril et 21 août Courbe E : 21 février et 21 octobre Courbe G : 21 décembre Courbe B : 21 mai et 21 juillet Courbe D : 21 mars et 21 sept. Courbe F : 21 janvier et 21 novembre 34
35 L Héliodon Principe Il est possible de simuler les différentes positions solaires sur une maquette avec un héliodon et un projecteur à rayons parallèles. Les 3 axes de rotation de l héliodon : -le basculement du plateau (0 à90 ) sur lequel est posé la maquette permet de régler la latitude - le pivotement du pied permet de choisir les mois - on fait varier les heures en faisant tourner le plateau sur lui-même. 35
36 Source :J.J Delétré - EA Grenoble 36
37 Durée d insolation Conditions spatiotemporelles et météorologiques Temps (journalier, mensuel, annuel), durant lequel la puissance surfacique du rayonnement solaire atteignant le sol atteint ou dépasse une valeur seuil. Ces données sont fournies par différentes bases : Méteo nationale, Satel-Light, Atlas solaire européen Correspondance avec la photométrie : 100 lm/w Soit : 1 W/m2 100 lux Carte d irradiation globale, moyenne annuelle, en Kwh/m2 37
38 Remarque : En été, la quantité d énergie solaire reçue est plus important sur une surface horizontale que verticale même orientée Sud En hiver, la quantité d énergie solaire reçue est plus importante sur une surface verticale orientée Sud que horizontale Quelles conséquences pour le choix des ouvertures? 38
39 Éclairage diffus «Dame écrivant une lettre avec sa servante» Vermeer
40 Influence de la couche nuageuse Climat et contexte : le ciel En été, par ciel serein, l éclairement horizontal au niveau de la mer atteint lux. En hiver, sous nos latitudes, par ciel très couvert, l éclairement horizontal extérieur peut être inférieur à 5000 lux. Les nuages réduisent l éclairement : Ciel serein : 100 % Nuages 2/10 : 90 % Nuages 4/10 : 75 % Nuages 6/10 : 65 % Nuages 8/10 : 45 % Ciel complètement couvert : 20 % Ciel intermédiaire 40
41 Facteur de lumière du jour Comme la quantité de lumière naturelle peut varier de façon importante, on introduit un rapport de proportionnalité entre l éclairement extérieur et celui disponible à l intérieur du local. C est ce qu on appelle le facteur de lumière du jour et il se calcule ainsi : Fj = E int Eext 100 Eext. où Eint = Eclairement horizontal à l intérieur du local Eext = Eclairement horizontal extérieur en site dégagé Exemple :. Eext = 5000 lx Près d une ouverture latérale, on peut avoir un Fj de 5% => Eint = 250 lx Eint. 41
42 Facteur de lumière du jour : décomposition Le facteur de lumière du jour peut se décomposer de la manière suivante : Fj = FJD + FJRE + FJRI en % avec : FJD : composante directe de la voûte céleste FJRE : composante réfléchie extérieure FJRI : composante réfléchie intérieure Voûte céleste FJD FJRE Eext. FJRI Eint. 42
43 Facteur de lumière du jour Ces trois composantes ont des importances diverses : - près des fenêtres la composante du FJD est en général prépondérante sauf s il y a un masque crée par des bâtiments devant la façade (dans ce cas là, c est la composante du FJRE qui est importante) - Par contre, au fond du local, la composante FJRI prend une valeur relativement importante alors qu elle est négligeable près des ouvertures. FJD FJRE Eext. FJRI Eint. 43
44 Prises de jour verticales une idée fausse Importance de FJ Réfléchi 50 lux 30 lux Sur cet exemple de cour intérieure, les pièces des étages inférieurs ne sont pas éclairés par la voûte céleste mais par les réflexions extérieures des façades. Le vitrage ayant un facteur de réflexion quasi-nul, augmenter la taille des fenêtres diminue l éclairement à l intérieur de des pièces des étages inférieurs 44
45 Facteur de lumière du jour et fonctions des bâtiments Ordre de grandeur Type d espace Fj (%) Réalisez que ce pourcentage est faible 0,5% de 5000lx = 25lx éclairage d une rue piétonne alors qu un bureau attend 400 lx cathédrale 0,5 Bureau éloigné d une fenêtre 0,5 à 1 Bureau proche d une fenêtre 3 à 6 Musée de peinture 0,6 à 1,8 Hall de gare XIXe siècle 10 Patio vitré 10 à 20 Paroi verticale (extérieur) 30 à 50 Surface en toiture (extérieur)
46 Variation du facteur de lumière du jour dans un local Le facteur de lumière du jour n est pas constant dans un local : il décroît très vite dès lors que l on s éloigne d une prise de jour. FJ (en %) , hauteur du plan de mesure Distance (en m) Allure de la décroissance du facteur de lumière du jour dans un local éclairé par une seule baie verticale 46
47 Facteur de lumière du jour - valeurs typiques 47
Éclairage naturel L5C 2009/2010. Aurore BONNET
Éclairage naturel L5C 2009/2010 Aurore BONNET Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : l ensoleillement et l éclairage diffus L ENSOLEILLEMENT
Plus en détailNotions de base sur l énergie solaire photovoltaïque
I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailDURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE
DURÉE DU JUR E FCTI DE LA DATE ET DE LA LATITUDE ous allons nous intéresser à la durée du jour, prise ici dans le sens de période d éclairement par le Soleil dans une journée de 4 h, en un lieu donné de
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détail7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.
7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous
Plus en détailConneCtez-vous au soleil. au soleil
ConneCtez-vous au soleil ConneCtez-vous au soleil «L éclairage intérieur est un trait de caractère majeur de l ambiance d un bâtiment. Une lumière naturelle engendre une sensation de bien-être et de confort
Plus en détailTD: Cadran solaire. 1 Position du problème
Position du problème On souhaite réaliser un cadran solaire à l aide d un stylet, de longueur a, perpendiculaire à un plan. (Le stylet n est donc pas orienté vers le pôle nord céleste). Ce cadran solaire
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailEfficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar
Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et
Plus en détail3 - Description et orbite d'un satellite d'observation
Introduction à la télédétection 3 - Description et orbite d'un satellite d'observation OLIVIER DE JOINVILLE Table des matières I - Description d'un satellite d'observation 5 A. Schéma d'un satellite...5
Plus en détailLa Mesure du Temps. et Temps Solaire Moyen H m.
La Mesure du Temps Unité de temps du Système International. C est la seconde, de symbole s. Sa définition actuelle a été établie en 1967 par la 13 ème Conférence des Poids et Mesures : la seconde est la
Plus en détailPanneau solaire ALDEN
SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailLes moyens d observations en astronomie & astrophysique
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailLUMIÈRE NATURELLE BIEN-ÊTRE ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL
LUMIÈRE NATURELLE BIEN-ÊTRE ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL 1 Lumière naturelle SOMMAIRE Introduction La lumière naturelle est essentielle Les effets sur la santé et le bien-être Les effets sur la sécurité et performance
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailManuel Utilisateur Logiciel PEB Partie modeleur version 2.5
Manuel Utilisateur Logiciel PEB Partie modeleur version 2.5 Table des matières Table des matières... 3 Introduction... 7 Objectifs du modeleur... 7 Coup d oeil... 9 Principes sous-tendant l utilisation
Plus en détailDécouvrir la voûte céleste c est avant tout une balade dans le ciel qui nous entoure. Mais pour se promener d une étoile ou d une galaxie à une
Patrice Octobre 2012 Découvrir la voûte céleste c est avant tout une balade dans le ciel qui nous entoure. Mais pour se promener d une étoile ou d une galaxie à une autre, il faut savoir où regarder dans
Plus en détailManuel d'utilisation de la maquette
Manuel d'utilisation de la maquette PANNEAU SOLAIRE AUTO-PILOTE Enseignement au lycée Article Code Panneau solaire auto-piloté 14740 Document non contractuel L'énergie solaire L'énergie solaire est l'énergie
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailLUMIERE & ESPACE LIGHT & SPACE
LUMIERE & ESPACE LIGHT & SPACE Prof. Marilyne ANDERSEN, Dr. Bernard PAULE, Dr. Jan WIENOLD Unité d Enseignement M Master Architecture - 2014/2015 UE M - 2015 La lumière au service de l architecture Acquérir
Plus en détailLe nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement
Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailVu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ;
Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones. (B.O. n 2739 du 28-4-1965,
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailPrincipe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.
Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but
Plus en détailCelestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008
GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère
Plus en détailRésumé non technique. Tableaux d estimation
Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006
Plus en détailOLYMPIADES DE PHYSIQUE 2008
OLYMPIADES DE PHYSIQUE 2008 LGT Jean Monnet Annemasse 74 Pourquoi orienter un panneau solaire?... p 3 Hypothèse de départ......... p 3 PRESENTATION GENERALE I) Première approche : Explication du système
Plus en détailPerformances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire.
Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Patrick DUPEYRAT 1,2*, Yu BAI 3,4, Gérald KWIATKOWSKI 5, Gilles FRAISSE 3 Christophe MENEZO 2,3 et
Plus en détailACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21
ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 HYGIENE ET SÉCURITÉ JUIN 2001 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène et de Sécurité Correspondant académique à la sécurité Tel : 02 38 79 46 64 Secrétariat
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailSYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières
Physique Générale SYSTEME DE PARTICULES DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) TRAN Minh Tâm Table des matières Applications de la loi de Newton pour la rotation 93 Le gyroscope........................ 93 L orbite
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détail(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE,
DECRET N 2-64-445 DU 21 CHAABANE 1384 (26 DECEMBRE 1964) DEFINISSANT LES ZONES D HABITAT ECONOMIQUE ET APPROUVANT LE REGLEMENT GENERAL DE CONSTRUCTION APPLIABLE A CES ZONES (B.O. n 2739 du 28-4-1965, page
Plus en détailEtude et amélioration du comportement thermique d une habitation
Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation menée avec ARCHIWIZARD Contexte de l étude Mr et Mme LE LOUSTIC viennent d acquérir une maison se situant à Hennebont (56). Peu de travaux
Plus en détailOptimisation du rendement d un panneau solaire par héliotropisme. Emmanuel Chambon - PSI* - Lycée aux Lazaristes
Optimisation du rendement d un panneau solaire par héliotropisme Emmanuel Chambon - PSI* - Lycée aux Lazaristes Année scolaire 2009/2010 - Fin de rédaction le 23 mai 2010 Table des matières 1 L énergie
Plus en détailune centrale ou organe de commande des détecteurs des dispositifs de signalisation d alarme (sirène, alarme lumineuse)
L ANTI-INTRUSION Comment assurer la sécurité des biens et des personnes? Définitions La détection intrusion a pour finalité principale la détection de personnes qui forcent ou tentent de forcer les protections
Plus en détailTP Détection d intrusion Sommaire
TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée
Plus en détailCOTTAZ Céline DESVIGNES Emilie ANTHONIOZ-BLANC Clément VUILLERMET DIT DAVIGNON Nicolas. Quelle est la trajectoire de la Lune autour de la Terre?
COTTAZ Céline DESVIGNES Emilie ANTHONIOZ-BLANC Clément VUILLERMET DIT DAVIGNON Nicolas Quelle est la trajectoire de la Lune autour de la Terre? Terminale S1 Lycée Elie Cartan Olympiades de Physiques 2003-2004
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailLongueurs d'onde électromagnétiques en µm (10-6 m) VISIBLE
1- La lumière La lumière est une partie extrêmement étroite du rayonnement électromagnétique dans lequel nous baignons, elle se déplace à une vitesse "c" de 300 000 km/s). Ce rayonnement est caractérisé
Plus en détailChapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide
Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence
Plus en détailDe La Terre Au Soleil
De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,
Plus en détailManuel d utilisation pour l outil lumière du jour MINERGIE-(P-/A-) ECO
Version: Mars 2014 Manuel d utilisation pour l outil lumière du jour MINERGIE-(P-/-) ECO 1. Introduction e présent document permet de calculer facilement le degré de lumière naturelle pour la demande Minergie-Eco.
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailEnergies. D ambiance REFERENCES : ACTIONS MENEES : CONTACT : DESCRIPTION TECHNIQUE DES ACTIONS ENGAGEES : GAINS OU BENEFICES DEGAGES : renouvelables
REFERENCES : Entreprise : ELEC-EAU 47 Rue de la petite vitesse 72300 Sablé sur Sarthe Tél. : 02 43 95 07 22 Effectif : 11 salariés Activité : Electricité, plomberie, chauffage et climatisation Energies
Plus en détaillivret-guide des séances année scolaire 2007-2008
Le Planétarium Peiresc est une réalisation de l association des Amis du Planétarium Numéro spécial rentrée 2007 d Aix en Provence, avec le soutien de : Ville d Aix-en en-provence Conseil Général des Bouches
Plus en détailLa spectrophotométrie
Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la
Plus en détailCLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée
CLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée SOMMAIRE 1 LA CARTE 1.1 Les types de carte 1.2 Les différentes échelles 1.3 - Les informations figurants sur les cartes au 1/25000 ème 1.3.1 - Le cadre 1.3.2 Les couleurs
Plus en détailFORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE)
FORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE) Pierre Chastenay astronome Planétarium de Montréal Source : nia.ecsu.edu/onr/ocean/teampages/rs/daynight.jpg
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailHUMAIN SIMPLE LYON. ACCeSSIBLE FACILE. aménager A TOUS ACCUEILLANT. www.lyon.fr. Janvier 2009. Les clés de la réglementation
Janvier 2009 SIMPLE HUMAIN aménager ACCUEILLANT LYON FACILE A TOUS ACCeSSIBLE DIRECTION DU DÉVELOPPEMENT TERRITORIAL ACCESSIBILITE LOGEMENT COLLECTIF Les clés de la réglementation www.lyon.fr Nos enjeux
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailEnseigner la prévention des risques professionnels. Éclairage et vision. Fiches principales
Enseigner la prévention des risques professionnels Éclairage et vision Fiches principales EV 1 OBJECTIF : Identifier les caractéristiques physiques de la lumière et de l environnement lumineux de travail
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et
Plus en détailACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS
Matériel : Logiciel winoscillo Logiciel synchronie Microphone Amplificateur Alimentation -15 +15 V (1) (2) (3) (4) (5) (6) ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS Connaissances et savoir-faire
Plus en détail1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01
Questionnaire sur les conditions générales d accueil et de conservation d œuvres dans le cadre d un prêt Institution : Adresse : Téléphone /Fax : Email : Date : Questionnaire rempli par (nom et qualité)
Plus en détailSUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires
SUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires IMPORTANT : L objectif de la présente note technique n est pas de se substituer à l ouvrage «Alimentation électrique de sites isolés» mais de fournir des
Plus en détailInfolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010
Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010 Table des matières Introduction... 1 Hourra! Le retour du double-clic... 1 Modifier le graphique... 4 Onglet Création... 4 L onglet Disposition... 7 Onglet
Plus en détailEclairage artificiel
Eclairage artificiel Directions de lumière Effets de la source Mise en Scène Mise en Valeur Eléments de Projet Directions de lumière La composition lumineuse d une scène suppose la maîtrise des directions
Plus en détailGÉODÉSIE, COORDONNÉES ET GPS
GÉODÉSIE, COORDONNÉES ET GPS LES PROJECTIONS La représentation du globe terrestre sur un plan en deux dimensions exige une opération nommée projection. Une projection s appuie sur un géoïde, qui est une
Plus en détailLe four solaire modèle BISS
Réchou Léopold 1 ère S-SVT Touchard Léo Tanghe Maxime Le four solaire modèle BISS Comment tout est mis en œuvre dans un four solaire pour atteindre une température optimale? Lycée Jacques de Vaucanson
Plus en détailA chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.
CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailCaractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault
Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détailLa réglementation et les obligations qui en découlent
Accessibilité en milieu urbain La réglementation et les obligations qui en découlent Actualités : les BEV La norme Afnor NF P 98-351 relative aux caractéristiques et essais des dispositifs podotactiles
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailANALYSE FONCTIONNELLE INTERNE DEVOIR LIBRE
I INTRODUCTION : 1) Citer la fonction globale des systèmes suivants : Scooter : Marteau : Grille pain : Téléphone portable : Agrafeuse : 2) De quelle famille font partie les systèmes suivants? DM Etude
Plus en détail1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme
Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailConfort d été. Fiche technique
Fiche technique Confort d été 2 7 9 Connaître Les moyens d améliorer le confort d été Regarder Limiter l apport thermique solaire Protection par rapport aux apports solaires directs et indirects. Limiter
Plus en détailALARME DOMESTIQUE FILAIRE
ALARME DOMESTIQUE FILAIRE DOSSIER RESSOURCES Académie de LYON BAC Pro Électrotechnique, Énergie, Équipements Communicants Page 1 sur 15 SOMMAIRE Introduction... page 3/15 Le sous-système : maquette alarme
Plus en détailTECHNIQUE. Cahier. Guide d application de la norme européenne Éclairage public EN 13201
Cahier TECHNIQUE Guide d application de la norme européenne Éclairage public EN 13201 > Partie 1 : Sélection des classes d éclairage > Partie 2 : Exigences de performance DOSSIER RÉALISÉ PAR CHRISTIAN
Plus en détailLES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE
LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailFONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX
FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX 1. L effet d une variation du revenu. Les lois d Engel a. Conditions du raisonnement : prix et goûts inchangés, variation du revenu (statique comparative) b. Partie
Plus en détailMESURE DE LA MASSE DE LA TERRE
MESURE DE LA MASSE DE LA TERRE Pour déterminer la masse de la Terre, inutile d essayer de la faire monter sur une balance, mais on peut la déterminer à l aide des lois de NEWTON et des lois de KEPLER.
Plus en détailThème 17: Optimisation
OPTIMISATION 45 Thème 17: Optimisation Introduction : Dans la plupart des applications, les grandeurs physiques ou géométriques sont exprimées à l aide d une formule contenant une fonction. Il peut s agir
Plus en détailFranck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET, Erwan ROUSSEL, Marlène FAURE, Mohamed ABADI, Marta FLOREZ, Bertrand DOUSTEYSSIER
Utilisation d images dérivées d un jeu de données LIDAR pour la détection automatisée de vestiges archéologiques (programme de recherche méthodologique LiDARCHEO) Franck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET,
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailPanorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques
Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,
Plus en détailLe projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke. 11 décembre 2012
Le projet de révision du Règlement sur l éclairage extérieur de la Ville de Sherbrooke 11 décembre 2012 Sherbrooke, ville sous les étoiles HISTORIQUE 2003 Création du Comité de lutte contre la pollution
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détailCOMPTE-RENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre?
Claire FORGACZ Marion GALLART Hasnia GOUDJILI COMPTERENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre? Si l on se pose la question de savoir comment on peut faire
Plus en détail