10èmes. BOOK CONGRÈS Journées Nationales. Provinciales de Dermatologie LE CONSEIL DE COORDINATION EN DERMATOLOGIE : Du 27 au 30 MARS



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5 ème. 14 décembre édition. fmc. PALAIS des CONGRÈS de PARIS DPC. P R E P R O G R A M M E 5 e SESSION Orateurs pressentis

Transcription:

BOOK CONGRÈS Journées Nationales 10èmes Provinciales de Dermatologie Du 27 au 30 MARS LE CONSEIL DE COORDINATION EN DERMATOLOGIE : Collège des Enseignants en Dermato-Vénéréologie de France Société Française de Dermatologie et Pathologie Sexuellement Transmissible Fédération Française de Formation Continue et d Evaluation en Dermatologie Vénéréologie Syndicat National des Dermatologues Vénéréologues

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ÉDITO Le mot du Président Chers amis, chers collègues, C est avec grand plaisir que nous allons nous retrouver lors de ces 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie à Lille du 27 au 30 mars 2013. Il s agit là d un rendez-vous important pour les dermatologues. Les échanges professionnels y sont nombreux et permettent d améliorer notre pratique. Ce congrès a été organisé grâce au Conseil de Coordination en Dermatologie, regroupant les 4 instances : le Collège des Enseignants, la Société Française de Dermatologie, la Fédération Française de Formation Continue et d Evaluation en Dermatologie et le Syndicat des Dermatologues, auquel s est ajoutée l association locale FEDERM 59-62. Ce congrès s articule de la façon suivante : le mercredi après-midi 18 ateliers se succéderont, permettant à chacun d être au cœur de la pratique. Les jeudi et vendredi, la première partie de la matinée et la dernière de l après-midi seront de la même façon consacrées à des ateliers. Par ailleurs, sont également programmées plusieurs séances plénières où nous retrouverons avec intérêt les cas cliniques et travaux de groupes des associations de la fédération de dermatologie ainsi que ceux des juniors qui sont bien décidés à en découdre avec leurs aînés! La nouveauté de cette édition réside dans les 7 «Flash Actualités», animés par un dermatologue libéral ou hospitalier. Pendant 40 minutes y seront abordés un «What news» relatif aux actualités thérapeutiques en cancérologie, les actualités sur le psoriasis, sur les toxidermies, en esthétique, sur les lasers, les nouvelles thérapeutiques ou l actualité en dermatologie pédiatrique. Nous finirons le samedi matin par une séance plénière intitulée «L éveil de la Modernité» au cours de laquelle nous serons invités à nous remettre en question concernant le système immunitaire, la médecine personnalisée, les écueils de l hypernormation et un nouveau challenge pour le dermatologue concernant les manifestations de la peau liées à la drogue et pour finir un problème d actualité : le piercing. Plus de 900 dermatologues sont déjà inscrits fin février et nous remercions l industrie pharmaceutique d avoir répondu présent (58 exposants). Nous avions été charmés par les Journées Nationales Provinciales de 1999 à Lille, nul doute qu il en sera de même cette année avec un congrès convivial et riche en échanges, ce à quoi nous aspirons de plus en plus en cette période où les outils informatiques ont tendance à favoriser l isolement. Nous sommes donc ravis de vous accueillir pour cette manifestation que nous avons voulue scientifique et festive à la fois. Bien amicalement. Philippe Beaulieu 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013 3

Comité d Organisation scientifique Renseignements pratiques Le Conseil de Coordination en Dermatologie Collège des Enseignants en Dermato-Vénéréologie de France Société Française de Dermatologie et Pathologie Sexuellement Transmissible Fédération Française de Formation Continue et d Evaluation en Dermato-Vénéréologie Syndicat National des Dermatologues- Vénéréologues Président : Philippe BEAULIEU Vice-Présidents : Brigitte DRENO, Luc SULIMOVIC, Pierre WOLKENSTEIN Secrétaire Général : Jean-Philippe LACOUR Secrétaire Général Adjoint : Marie-Aleth RICHARD Trésorier : Jean-Luc SCHMUTZ Trésorier Général Adjoint : Jean-Luc RIBOULET Membres du Bureau : Marie ALEOS, Jean-Paul CLAUDEL Emmanuel DELAPORTE, Sandra LY, Georges REUTER Présidents d Honneur : Claire BEYLOT, Monique BOMBART, Béatrice CRICKX, Philippe LAURET, Jacques MARTEL, Jacques VADOT Le Comité Local «Lille 2013» Président : Daniel WAEYTENS Vice-Présidente : Catherine PANNEQUIN Secrétaire : Daniel PLANTIER Membre du CO local : Laurence LEFEBVRE L association F.E.DERM 59-62 sera heureuse de vous accueillir lors de ces JNPD 2013. Programme scientifique Comité d Organisation de LILLE 2013 81, boulevard Pierre-I er 33110 Le Bouscat Lieu du congrès Lille Grand Palais 1, boulevard des Cités-Unies - 59777 Lille Euralille Tél. : 03 20 14 15 16 Fax : 03 20 14 14 14 Site web : www.lillegrandpalais.com Accès Aéroport international de Lille-Lesquin à 10 km du centre de Lille Gare Lille Flandres : TER et TGV directs depuis Paris Gare Lille Europe : Eurostar pour Londres et Bruxelles, TGV directs pour l aéroport de Roissy, Paris et toutes les grandes villes françaises Métro : Ligne 1, sortie «Gare Lille Flandres» Ligne 2, sortie «Lille Grand Palais» ou «Mairie de Lille» Bus : Ligne Citadine - arrêt «Lille - Zénith» Organisation - Gestion - Inscriptions Congrès Séminaires Organisation 81, boulevard Pierre-I er 33110 Le Bouscat Tél. : 33(0)5 56 42 44 05 Fax : 33(0)5 56 42 44 12 E-mail : jnpd@congres-seminaires.com Accueil - secrétariat Accueil des participants et remise des dossiers à partir du mercredi 27 mars de 10h à 18h30 Horaires du secrétariat : Jeudi 28 mars : de 8h30 à 18h30 Vendredi 29 mars : de 8h30 à 18h Samedi 30 mars : de 8h30 à 12h. Exposition pharmaceutique Elle sera accessible aux heures d ouverture du congrès : Mercredi 27 mars : de 14h à 18h30 Jeudi 28 mars : de 9h à 18h30 Vendredi 29 mars : de 9h à 16h30. Restauration Les pauses seront servies au milieu de l exposition. Pour les déjeuners, un service de restauration rapide est proposé sur place. Programme social Jeudi 28 mars à 20h : Soirée au Musée Louvre Lens en partenariat avec les Laboratoires Pierre Fabre Dermocosmétique. Départ de la navette à 19h de Lille Grand Palais Vendredi 29 mars à 19h : Soirée du congrès - Thème : «Opéra et opérette» à Lille Grand Palais Samedi 30 mars à 12h : Cocktail de clôture Programme accompagnant Consulter le site internet pour plus d informations. Hébergement Pour toute information et réservation, contactez : Agence Perspectives et Organisation 156, rue du 8-Mai-1945-59560 Villeneuve-d Ascq Tél. : 03 20 61 20 34 / 06 42 11 79 26 Fax : 03 20 61 20 35 E-mail : p.org@wanadoo.fr Modifications et conditions d annulation Modifications : les changements de noms ne sont pas acceptés mais considérés comme de nouvelles inscriptions pour lesquelles un règlement sera demandé. Conditions d annulation : toute annulation d inscription doit être notifiée par écrit auprès de Congrès Séminaires Organisation selon les conditions suivantes : - Avant le 15 février 2013, remboursement moins 50 de frais de dossier - Après cette date, aucun remboursement ne pourra être effectué Transport Par train : Fichet de réduction sur demande lors de votre inscription (-20% sur le plein tarif 1 re ou 2 e classe) Par avion : 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie de Lille Code identifiant : 16443AF Dates de validité : du 22/03/13 au 04/04/13 Pour plus d informations et réservation : http://www.airfranceklm-globalmeetings.com/?eid=16443af Réduction sur une très large gamme de tarifs publics. Vous devez garder le programme de la manifestation comme justificatif. Il peut vous être demandé de justifier l utilisation du tarif consenti à tout moment du voyage. 4 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013

Sommaire 2013 Ateliers Les points clés Mercredi 27 mars 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 Atelier Laser... 15 Dermoscopie Niveau 2... 15 Le vaste spectre étiologique des brûlures vulvaires... 16 Dermoscopie des lésions pigmentées du visage... 16 Muqueuse buccale... 17 Prurits et Prurigo... 17 Techniques de comblement N 1... 17 Peelings... 18 Médecine humanitaire... 18 Dermoscopie Niveau 3... 19 Chirurgie de l ongle... 21 Allergologie : les tests en pratique... 21 Toxine botulinique... 21 Cas cliniques en cancérologie... 22 Les examens complémentaires en immunodermatologie. Que demander? Comment demander? Comment interpréter?... 22 Dermatologie sur peau noire et actualités en dermatologie tropicale... 23 Photothérapie en pratique... 23 Bien utiliser la CCAM... 24 Informatique - recherche bibliographique - Atelier interactif sur PC et Mac... 24 Jeudi 28 mars 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 Atelier Laser... 25 Dermoscopie Niveau 3... 25 Actualités en matière de services en ligne (sur Mac et PC)... 25 Les urgences en cabinet et ailleurs... 25 Prescrire les préparations magistrales... 26 Toxidermies... 26 Pathologies du cuir chevelu... 26 Chirurgie : qu auriez-vous fait?... 27 Toxine botulinique... 27 Techniques de comblement N 2... 27 Atelier Chirurgie - Exérèses des tumeurs bénignes : kystes et lipomes... 28 Les urgences en cabinet et ailleurs... 28 Paronychie : est-ce une infection?... 28 Formation des assistantes en dermatologie - Module de formation - Organisation des cours - VAE - Financement OPCAPCL... 29 Cas cliniques en dermato-pédiatrie... 29 Allergologie : les tests en pratique... 29 Maladies infectieuses émergentes... 29 37 38 39 Les effets secondaires des thérapies ciblées en cancérologie : comment prévenir? Comment gérer?... 29 Bien utiliser la CCAM... 30 Informatique - Comment améliorer sa présentation PowerPoint?... 30 Vendredi 29 mars 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 Dermoscopie Niveau 2... 30 Sécuriser financièrement son activité libérale... 30 Cas cliniques en dermato-pédiatrie... 31 Le vaste spectre étiologique des brûlures vulvaires... 31 Photothérapie dynamique en dermatologie : modalités pratiques... 31 Maladies infectieuses émergentes... 31 Condylomes et autres IST... 32 Peelings... 32 Plaies et cicatrisation... 32 Bien utiliser la CCAM... 33 Jeudi 28 mars 1 2 3 4 Actualités thérapeutiques en cancérologie... 34 Actualités sur le psoriasis... 34 Actualités sur les toxidermies... 34 Actualités en esthétique... 34 Vendredi 29 mars 5 6 7 Flash actualités 8 Actualités sur les lasers... 35 Nouvelles thérapeutiques... 35 Actualités en dermatologie pédiatrique... 35 Mémoire de la Peau... 35 Séances plénières Jeudi 28 mars 1 2 Dermatologie transdisciplinaire... 36 Cas cliniques et travaux de groupes Les juniors piègent les seniors... 37 Vendredi 29 mars 3 4 5 Nouveaux syndromes / Nouvelles maladies... 44 Thérapeutique... 47 Cas cliniques et travaux de groupes Les juniors piègent les seniors... 48 Samedi 30 mars 6 L éveil de la modernité... 53 Directeur de la publication : Alexandre Nadjari Directrice médicale : Dr Pascale Lefèvre Chargées de clientèle : Rim Boubaker, Nolwenn Gauthier Coordination commerciale : Valérie Renouf Rédactrice graphiste : Valérie Mazoué Rédaction : specialiste@groupeconsensus.fr Groupe Consensus : 46-48, rue Lauriston, 75116 Paris - Tél. : 01 53 65 87 70 Imprimeur : Corlet Imprimeur SA Numéro imprimeur : 154113 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013 5

Plan de l exposition Liste des exposants - N de stand ABBVIE... 38 ACTAVIS... 39 ALLERGAN... 19 ASTELLAS PHARMA... 15 AURIGA... 33 BAILLEUL... 4 BERNAS MEDICAL... 35 BIODERMA... 7 BIONIKE France... 43 CODEXIAL... 19 BIS CUTERA... 26 CYNOSURE... 18 CYTOLNAT... 16 D3M... 5 DEKA... 27 DELEO... 32 EUCERIN... 9 EXPANSCIENCE... 17 FRITSCH MEDICAL... 13 GALDERMA... 42 GSK - STIEFEL... 20 HORUS PHARMA... 50 JALDES... 49 LA COMPAGNIE DES LASERS... 1 LA ROCHE POSAY... 42 LABCATAL... 8 LABODERM... 28 LEO PHARMA... 12 MENE & MOY... 23 MERZ AESTHETICS... 18 BIS MOULIN ROYAL COSMETICS... 10 MSD MERCK... 36 NM MEDICAL... 47 NOREVA PHARMA... 30 PFD A DERMA... 22 PFD AVENE... 22 PFD DUCRAY... 22 PFIZER... 6 PIERRE FABRE DERMATOLOGIE... 22 PIXIENCE... 44 PROKOV EDITIONS... 37 Q MED GALDERMA... 42 QUANTA France... 34 SINCLAIR PHARMA... 31 SPIRIG... 3 SVR... 21 SYNERON CANDELA... 45 TECHNILASE... 29 TOPICREM... 24 URIAGE... 2 VEA... 14 VICHY... 42 VIENNE MEDICAL... 11 WALDMANN ECLAIRAGE... 48 FFFCEDV - LORRAINE 2014... 40 Accès séances plénières 35 34 33 16 15 14 13 17 12 Espace PAUSE internet PAUSE 29 30 18 18bis 19bis 19 23 20 PAUSE 21 10 11 9 36 37 32 31 28 24 27 26 22 7 8 6 38 39 40 42 50 49 PAUSE 48 47 2 1 3 5 4 Sortie 43 44 45 Entrée Accès ateliers, symposium, posters 6 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013

Synoptique du programme MATIN APRÈS-MIDI SOIRÉES MERCREDI 27 MARS ATELIERS 14h30-16h ATELIERS 1 6 2 3 4 7 8 9 5 10 16h30-18h ATELIERS 11 12 13 14 15 16 17 18 16h30-18h30 ATELIERS 19 JEUDI 28 MARS 9h - 10h30 ATELIERS 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 9h - 9h45 FLASH ACTUALITÉS Actualités thérapeutiques en cancérologie 9h45-10h30 FLASH ACTUALITÉS Actualités sur le psoriasis 11h - 12h30 SÉANCE PLÉNIÈRE Dermatologie transdisciplinaire 14h30-16h SÉANCE PLÉNIÈRE Cas cliniques et travaux de groupes Les juniors piègent les seniors 16h30-18h ATELIERS 30 31 32 33 34 35 36 37 38 16h30-17h15 FLASH ACTUALITÉS Actualités sur les toxidermies 16h30-18h30 ATELIERS 39 17h15-18h FLASH ACTUALITÉS Actualités en esthétique 19h SOIRÉE au Musée Louvre Lens VENDREDI 29 MARS 9h - 10h30 ATELIERS 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 9h - 9h45 FLASH ACTUALITÉS Actualités sur les lasers 9h45-10h30 FLASH ACTUALITÉS Nouvelles thérapeutiques 11h - 12h30 SÉANCE PLÉNIÈRE Nouveaux syndromes Nouvelles maladies 12h30-14h30 SYMPOSIUM 14h30-16h SÉANCE PLÉNIÈRE Thérapeutique 14h30-16h SÉANCE PLÉNIÈRE Cas cliniques et travaux de groupes Les juniors piègent les seniors 16h30-17h15 FLASH ACTUALITÉS Actualités en dermatologie pédiatrique 17h15-18h MÉMOIRE DE LA PEAU Projection d un documentaire médical 19h SOIRÉE DU CONGRÈS SAMEDI 30 MARS 10h - 12h SÉANCE PLÉNIÈRE L éveil de la modernité COCKTAIL Exposition Posters Mercredi, jeudi et vendredi Espace Posters - Niveau 9 Vendredi 29 mars 2013 12h30-14h30 Symposium EXPANSCIENCE - Noviderm TVA, société d exercice libéral, comment optimiser nos revenus en esthétique? Orateur : Mikaël Maheust Salle Matisse Niveau 9 DR DR Vendredi 29 mars 2013 12h30-14h30 Présentation et information sur l Association Dermatologie Hors Frontières Assemblée générale Salle Artois 1 Niveau 5 Vendredi 29 mars 2013 17h15-18h Mémoire de la Peau Projection d un documentaire médical Réalisé par les Drs Elisabeth Carbonnel-Delalande et Brigitte Milpied Salle Van Gogh Niveau 9 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013 7

Mercredi 27 mars 2013 Ateliers 14h30-16h 1 SALLE Atelier Laser Rembrandt Hugues Cartier, Astrid Imiela, Patrick Esquenet Niveau 9 Nous aborderons différentes modalités de traitement du vieillissement cutané et des cicatrices : - Relissage ablatif par Laser CO2 pulsé et Erbium classique - Laser fractionné non ablatif 1 550 nm (Fraxel et Erbium fractionné) - Remodelage par laser diode 1 450 nm (SmothBeam ) - Laser Nd : YAG Q-switched - optimiser ses indications : remodelage, peeling laser, épilation, traitement des xanthélasmas 15 2 SALLE Dermoscopie Niveau 2 (Atelier répété : 40) Artois 2 Jean-Luc Riboulet, Jean-François Sei Niveau 5 Structures vasculaires en dermoscopie Lésions pigmentées du visage Les architectures 15 3 SALLE Le vaste spectre étiologique des brûlures vulvaires Hainaut (Atelier répété : 43) Niveau 5 Franck Delesalle, Micheline Moyal Barracco, Sandra Ly Prurit et brûlures sont les deux principaux symptômes des maladies de la vulve. Comme le prurit, les brûlures peuvent révéler une pathologie organique (infection, dermatose, carcinome), mais, bien plus souvent que le prurit, elles surviennent en l absence de toute lésion identifiable (vulvodynie). Au terme de cet atelier interactif illustré de cas cliniques, le participant saura identifier et traiter les principales maladies vulvaires responsables de brûlures. 16 4 SALLE Dermoscopie des lésions pigmentées du visage Faidherbe 1 Philippe Bahadoran Niveau 7 Suivi des lésions pigmentées par vidéodermoscopie. 16 5 SALLE Muqueuse buccale Faidherbe 2 Alexandre Brygo Niveau 7 La pathologie de la muqueuse buccale est le point de rencontre entre la Dermatologie et la Stomatologie. Le sujet est très vaste, s étendant des cancers aux lésions infectieuses en passant par les manifestations inflammatoires des maladies systémiques dans lesquelles les lésions peuvent être récessives. La dimension psychologique, fréquente en pathologie buccale, doit également être prise en considération pour éviter des consultations multiples et des examens coûteux. 17 6 SALLE Prurits et Prurigo Charles-de- Pascal Delaunay Gaulle - Piqûres d insectes Niveau 7 - Savoir évoquer le responsable - Proposer des conseils de lutte et de prévention 17 7 SALLE Techniques de comblement N 1 Rubens 1 Martine Baspeyras, Christine Noé, Isabelle Rousseaux Niveau 9 Testez de façon interactive votre analyse séméiologique du visage à partir de multiples cas cliniques photographiques. Quelle zone traiter en priorité, quel produit choisir, quel résultat peut-on attendre d une injection de fillers? De multiples exemples d injections (avant/après) animeront cette séance. 17 8 SALLE Peelings (Atelier répété : 47) Goya Anne Roumazeille, Francine Velly Niveau 9 - Intérêt des peelings aux AHA couplés à la LED - Mélasmas : quels peelings? - Peeling au TCA : comment le pratiquer? Trucs et astuces. 18 9 SALLE Médecine humanitaire Rubens 2 Hervé Darie Niveau 9 Les particularités de la prise en charge des affections cutanées en mission humanitaire. Seront exposés : l influence du contexte socio-économique, la prise en compte des politiques sanitaires locales, les pathologies rencontrées, l adaptation de la démarche diagnostique et des stratégies thérapeutiques aux moyens disponibles. 18 16h -16h30 Pause café Visite de l exposition 8 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013

Mercredi 27 mars 2013 Ateliers 16h30-18h 10 SALLE Dermoscopie Niveau 3 (Atelier répété : 21) Artois 2 Philippe Beaulieu, Jacques Savary Niveau 5 Confrontations de la clinique et de la dermoscopie, cas pratiques. 11 SALLE Chirurgie de l ongle Véronique Blatière, Olivier Cogrel Rembrandt Principales techniques afin d appréhender sereinement les interventions sur l ongle. Objectifs : Niveau 9 - Connaitre l anatomie de l appareil unguéal. - Savoir réaliser une anesthésie digitale, une injection intra-lésionnelle, une avulsion unguéale, une biopsie unguéale. - Traiter un ongle incarné par phénolisation matricielle. - Maîtriser les suites post-opératoires. - Connaître les techniques de chirurgie des tumeurs courantes 12 SALLE Allergologie : les tests en pratique (Atelier répété : 35) Hainaut Marie-Bernadette Cleenewerck, Yves Dejobert, Niveau 5 Françoise Frecaut - Pratique des tests en cabinet de ville 1 Tests épicutanés : nomenclature, coût et choix du matériel 2 Indications, trucs, astuces en vue d augmenter la performance/rentabilité 3 Batteries complémentaires, tests professionnels, pricks, jusqu où aller? (discussion ouverte et échanges libéraux/experts) - Comment tester les produits apportés (professionnels ou non)? - Prise en charge d une urticaire chronique. 13 SALLE Toxine botulinique Faidherbe 1 François Caprioli, Didier Vochelle, Thierry Wiart Niveau 7 Evolution des techniques d injection ; indications dans les asymétries faciales et avant chirurgie du front ; toxine botulique dans les hyperhidroses 14 SALLE Cas cliniques en cancérologie Faidherbe 2 Nicole Basset Seguin, Laurent Mortier Niveau 7 L arrivée des nouveaux traitements du mélanome et du carcinome basocellulaire doit modifier notre prise en charge de ces patients. Des cas cliniques illustrent les nouvelles prises en charge des cancers cutanés. 15 SALLE Les examens complémentaires en immuno-dermatologie Charles-de- Que demander? Comment demander? Gaulle Comment interpréter? Marie-Sylvie Doutre Niveau 7 Acrosyndromes, manifestations cutanées évoquant collagénose, purpura vasculaire, syndrome sec : Quels sont les «bons examens» à demander et comment les interpréter pour le diagnostic, le pronostic et/ou le suivi. 16 SALLE Dermatologie sur peau noire et actualités en dermatologie tropicale Antoine Mahé, Jean-Jacques Morand Niveau 9 Rubens 1 A partir d observations et de quizz, seront abordés : - Les principales sémiologies sur peau dite noire. - Les principales affections dermatologiques sur peau génétiquement pigmentée avec leurs caractéristiques dyschromiques. - Les entités considérées comme plus fréquentes (Aïnhum, kératose ponctuée, dermatosis papulosa nigra). - La pathologie du poil et du cheveu crépu. Quelques cas cliniques publiés de dermatologie tropicale. 17 SALLE Photothérapie en pratique Goya Michel Jeanmougin, Jean-Luc Schmutz, Pierre Thomas Niveau 9 PUVA ou TLO1, que choisir? Quand associer un traitement systémique ou local? Conseils pratiques et recommandations avant, pendant et après. 18 SALLE Bien utiliser la CCAM (Atelier répété : 38-49) Rubens 2 Véronique Lemaire, Dominique Lundgren Niveau 9 La CCAM est pour nous tous un vrai casse tête chinois, ne déprimez plus seul dans votre coin, nous avons la solution... Vous ne gagnerez peut-être jamais au loto mais vous augmenterez votre SNIR, alors venez voir les EXPERTS de la CCAM. 16h30-18h30 19 SALLE Informatique - recherche bibliographique - Artois 1 Atelier interactif sur PC et Mac Anne Bellut, Paul Young Niveau 5 But de l atelier : Initier les participants à l utilisation de PubMed, Google Scholar et Cochrane Database. Plus précisément, à l issue de l atelier, les participants seront capables de : - Effectuer une recherche simple et croisée avec PubMed par sujet, par nom d auteur, par revue et en utilisant la fonction «limits». - Sélectionner des articles libres, de synthèse - Effectuer une recherche par le Mesh - Utiliser la fonction «My NCBI». 19 21 21 21 22 22 23 23 24 24 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013 9

Jeudi 28 mars 2013 Ateliers 9h - 10h30 20 SALLE Atelier Laser Rembrandt Céline Lavogiez, Freddy Lengrand, Jean-Marc Picault Niveau 9 Nous aborderons différentes modalités de traitement du vieillissement cutané et des cicatrices : - Relissage ablatif par Laser CO2 pulsé et Erbium classique - Laser fractionné non ablatif 1550 nm (Fraxel et Erbium fractionné) - Remodelage par laser diode 1450 nm (SmothBeam ) Prise en charge des angiomes plans par laser à colorant pulsé au CHR de Lille : quand débuter le traitement? Faut-il toujours travailler en mode purpurique? 21 SALLE Dermoscopie Niveau 3 (Atelier répété : 10) Artois 2 Jean-Yves Gourhant, Michel Le Maître Niveau 5 Confrontations de la clinique et de la dermoscopie, cas pratiques. 22 SALLE Actualités en matière de services en ligne Artois 1 (sur Mac et PC) Niveau 5 Anne Bellut, Paul Young Savoir utiliser les services en lignes s impose à notre pratique professionnelle quotidienne. Dans cet atelier, nous aborderons ce qui a trait à l utilisation de services en ligne : le DMP, actualités ; le WEB DPC ; les logiciels de correspondance sécurisés tels Apycrypt et celui du CNOM ; l espace PRO du site AMELI : comment s en servir? Avantages, limites et inconvénients ; SESAM-VITALES ; les sites institutionnels : Le site de l ANSM (anciennement Afssaps), de l HAS, du ministère de la santé, du CNOM ; la sécurité informatique au quotidien (sauvegarde) nos obligations et devoirs en la matière. 23 SALLE Les urgences en cabinet et ailleurs (Atelier répété : 31) Goya Alain Facon, Catherine Pannequin Niveau 9 Revues des situations d urgence ; liste du matériel à posséder au cabinet ; mise en œuvre des gestes de première urgence : PLS, massage cardiaque sur mannequin, utilisation d un défibrillateur 24 SALLE Prescrire les préparations magistrales Charles-de- Pierre Thomas, Daniel Waeytens Gaulle Les buts de l atelier sont de définir le cadre légal de prescription et de remboursement Niveau 7 des préparations magistrales, de cibler les préparations simples, pratiques, peu connues ou oubliées, les expliquer et les réunir dans un formulaire améliorant notre activité de dermatologue. 25 SALLE Toxidermies Hainaut Annick Barbaud, Delphine Staumont Niveau 5 Actualités et prise en charge 26 SALLE Pathologies du cuir chevelu Faidherbe 1 Rémi Maghia, Bruno Matard, Jack Smadja Niveau 7 - Les nouveautés sur les microgreffes de cheveux : les moyens de vidéo microscopie ont permis de mieux sélectionner les bonnes indications opératoires et de suivre ces alopécies à un stade plus précoce ; les nouveaux traitements de l alopécie androgénétique confirment leur efficacité et améliorent le résultat capillaire lorsqu ils sont associés à la microgreffe. - Cas cliniques interactifs de dermatologie du cuir chevelu - Aspects dermatoscopiques des principales maladies alopéciantes : alopécie androgénétique, effluvium télogène, pelade, trichotillomanie ; alopécies cicatricielles primaires (dont lichen plan pilaire et folliculite décalvante). 27 SALLE Chirurgie : qu auriez-vous fait? Faidherbe 2 Jean-Michel Amici, Jean-Yves Bailly, Thierry Wiart Niveau 7 Des cas cliniques de tumeurs cutanées de nature, localisation et taille diverses seront présentés pour une discussion interactive sur les différents modes de réparations. 28 SALLE Toxine botulinique Rubens 2 Dominique Boineau, Jacques Savary Niveau 9 Cas pratiques interactifs. 29 SALLE Techniques de comblement N 2 Rubens 1 Martine Baspeyras, Christine Noé, Isabelle Rousseaux Niveau 9 Comment optimiser une injection de fillers : canule ou aiguille, quelle technique retenir en fonction des zones topographiques injectées, du type de produit utilisé ou du résultat souhaité? Comment gérer les suites et les effets secondaires. 25 25 25 25 26 26 26 27 27 27 10h 30-11h Pause café Visite de l exposition 10 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013

Jeudi 28 mars 2013 Ateliers 16h30-18h 30 SALLE Atelier Chirurgie - Exérèses des tumeurs bénignes : Rembrandt kystes et lipomes Niveau 9 Florence Corgibet, Patrick Guillot Cas cliniques interactifs 28 31 SALLE Les urgences en cabinet et ailleurs (Atelier répété : 23) Goya Alain Facon, Catherine Pannequin Niveau 9 28 32 SALLE Paronychie : est-ce une infection? Artois 2 Edith Duhard, Michèle Havet Niveau 5 Objectifs : savoir faire le diagnostic étiologique d une paronychie : signes cliniques permettant d orienter le diagnostic, examens complémentaires utiles. Prise en charge des paronychies en fonction de l étiologie. 28 33 SALLE Formation des assistantes en dermatologie - Faidherbe 1 Module de formation - Organisation des cours - VAE - Niveau 7 Financement OPCAPCL Marie Aléos 29 34 SALLE Cas cliniques en dermato-pédiatrie (Atelier répété : 42) Charles-de- Benoît Catteau, Jean-Philippe Lacour Gaulle Niveau 7 35 SALLE Allergologie : les tests en pratique (Atelier répété : 12) Hainaut Marie-Bernadette Cleenewerck, Yves Dejobert, Niveau 5 Françoise Frecaut 29 29 36 SALLE Maladies infectieuses émergentes (Atelier répété : 45) Faidherbe 2 Françis Carsuzaa, Pascal Del Giudice Niveau 7 Etat actuel des émergences infectieuses dans le monde, analyse dermatologique de certaines d entre elles, conduite à tenir en pratique en présence de quelques tableaux cliniques (exanthème, œdème, ulcération, lésion escarrotique ) 29 37 SALLE Les effets secondaires des thérapies ciblées Rubens 1 en cancérologie : comment prévenir? Comment gérer? Niveau 9 Brigitte Dreno, Marie-Aleth Richard Les développements des thérapies ciblées en cancérologie (anti kinases, anticorps monoclonaux) s accompagnent de l apparition de nouveaux effets secondaires cutanés dont le retentissement psychologique peut amener le patient à vouloir arrêter son traitement. Savoir les prendre en charge est essentiel pour le dermatologue afin de répondre à la demande des patients et des oncologues. 29 38 SALLE Bien utiliser la CCAM (Atelier répété : 18-49) Rubens 2 Véronique Lemaire, Dominique Lundgren Niveau 9 30 16h30-18h30 39 SALLE Informatique - Comment améliorer sa présentation Artois 1 PowerPoint? (sur Mac et PC) Niveau 5 Anne Bellut, Paul Young PowerPoint est le logiciel de présentation le plus utilisé. Au cours de cet atelier, seront abordés les sujets suivants : - Les principaux écueils à éviter pour ne pas transformer le message en une présentation spectacle, - Comment intégrer des photos et les compresser, - Comment intégrer graphes et courbes, - Comment partager les présentations entre différents co-présentateurs. 30 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013 11

Vendredi 29 mars 2013 Ateliers 9h - 10h30 40 SALLE Dermoscopie Niveau 2 (Atelier répété : 2) Artois 2 Jean-Yves Gourhant, Jean-François Sei Niveau 5 Structures vasculaires. Lésions pigmentées du visage. Les architectures. 30 41 SALLE Sécuriser financièrement son activité libérale Faidherbe 1 Marie Aleos, Paul Young Niveau 7 Les médecins libéraux ne sont pas épargnés par les accidents de la vie qu il s agisse de maladies ou d accidents corporels. Notre couverture financière est mal assurée par la collectivité et dépend essentiellement de contrats individuels. Nous vous donnerons les grandes lignes et les principaux pièges à éviter en matière de contrats d assurance et prévoyance individuelle afin de sécuriser financièrement notre activité. 30 42 SALLE Cas cliniques en dermato-pédiatrie (Atelier répété : 34) Charles-de- Benoît Catteau, Jean-Philippe Lacour Gaulle Niveau 7 43 SALLE Le vaste spectre étiologique des brûlures vulvaires Hainaut (Atelier répété : 3) Niveau 5 Franck Delesalle, Micheline Moyal Barracco, Sandra Ly 31 31 44 SALLE Photothérapie dynamique en dermatologie : Rembrandt modalités pratiques Niveau 9 Christophe Bedane, Jacques Savary Rappel des bases théoriques et pratiques de cette technique. Point sur les indications retenues par l AMM en dermatologie et perspectives hors cancérologie. A partir de cas cliniques, trucs et astuces pour la gestion de la douleur et des suites. 31 45 SALLE Maladies infectieuses émergentes (Atelier répété : 36) Faidherbe 2 Françis Carsuzaa, Pascal Del Giudice Niveau 7 31 46 SALLE Condylomes et autres IST Rubens 1 Isabelle Alcaraz, François Aubin, Annie Vermersch Niveau 9 Malgré les progrès thérapeutiques et diagnostiques, les maladies sexuellement transmissibles sont toujours présentes et même en recrudescence! Certaines résistances bactériennes posent des problèmes thérapeutiques tandis que la vaccination anti-hpv est confrontée à une mauvaise compréhension du public. 32 47 SALLE Peelings (Atelier répété : 8) Goya Anne Roumazeille, Francine Velly Niveau 9 32 48 SALLE Plaies et cicatrisation Artois 1 Thierry Le Guyadec, Hervé Maillard Niveau 5 - Nécessité d un diagnostic précis - Traitement de la cause, recommandations de l HAD, en particulier la compression en pratique - Prise en charge de la douleur - Conduite à tenir en cas de plaie persistante : nouveaux pansements, greffes, thérapie par pression négative, détersion par électro-stimulation, larvothérapie 32 49 SALLE Bien utiliser la CCAM (Atelier répété : 18-38) Rubens 2 Claire Geoffray, Nelly Isnardon Niveau 9 33 10h 30-11h Pause café Visite de l exposition 12 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013

Jeudi 28 mars 2013 Flash actualités (accès libre) 9h - 9h45 1 SALLE Actualités thérapeutiques en cancérologie Matisse Modérateur : Brigitte Dreno Niveau 9 Laurent Mortier et Jean-François Sei 34 9h45-10h30 2 SALLE Actualités sur le psoriasis Van Gogh Modérateur : Marie-Aleth Richard Niveau 9 Vincent Descamp et Sandra Ly 34 16h30-17h15 3 SALLE Actualités sur les toxidermies Matisse Modérateur : Jean-Luc Schmutz Niveau 9 Annick Barbaud et Delphine Staumont 34 17h15-18h 4 SALLE Actualités en esthétique Van Gogh Modérateur : Martine Baspeyras Niveau 9 Claire Beylot et Isabelle Rousseaux 34 Vendredi 29 mars 2013 Flash actualités (accès libre) 9h - 9h45 5 SALLE Actualités sur les lasers Matisse Modérateur : Luc Sulimovic Niveau 9 Thierry Passeron et Hugues Cartier 35 9h45-10h30 6 SALLE Nouvelles thérapeutiques Van Gogh Modérateur : Daniel Plantier Niveau 9 Pascal Joly et Philippe Beaulieu 35 16h30-17h15 7 SALLE Actualités en dermatologie pédiatrique Matisse Modérateur : Jean-Philippe Lacour Niveau 9 Benoît Catteau et Jean-Paul Claudel 35 17h15-18h Mémoire de la Peau Projection d un documentaire médical réalisé par les Drs Elisabeth Carbonnel-Delalande et Brigitte Milpied Ce film, réalisé par deux dermatologues, a pour ambition, à l aube du 30 e anniversaire de la découverte du SIDA, de témoigner de la peau comme expression permanente de l infection VIH et de sa stigmatisation, à travers des témoignages de médecins, de patients et une large iconographie. SALLE Van Gogh Niveau 9 Vendredi 29 mars 2013 Symposium EXPANSCIENCE - Noviderm TVA, société d exercice libéral, comment optimiser nos revenus en esthétique? Orateur : Mikaël Maheust Salle Matisse Niveau 9 12h30-14h30 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013 13

Jeudi 28 mars 2013 Séances plénières 11h - 12h30 14h30-16h 1 SALLE Dermatologie transdisciplinaire Amphithéâtre Modérateurs : Emmanuel Delaporte, Pierre Thomas Vauban Hépato-gastro-entérologie - Emmanuel Delaporte Médecine du travail - Annie Sobaszek Rhumatologie - Philippe Modiano 2 SALLE Cas cliniques et travaux de groupes Amphithéâtre Les juniors piègent les seniors Vauban Modérateurs : Jean-Paul Claudel, Pierre Wolkenstein 36 37 Vendredi 29 mars 2013 Séances plénières 11h - 12h30 14h30-16h 16h30-18h 3 SALLE Nouveaux syndromes / Nouvelles maladies Amphithéâtre Modérateur : Florence Corgibet Vauban En dermatologie générale - Thierry Passeron En dermatopathologie - Sylvie Fraitag En dermatologie pédiatrique - Jean-Philippe Lacour 4 SALLE Thérapeutique Amphithéâtre Modérateur : Pierre Wolkenstein Vauban La loi sur le médicament : des médicaments sous surveillance Olivier Chosidow Réseau ville/hôpital dans le suivi des biothérapies Anne Caroline Cottencin Intérêt du méthotrexate en dermatologie - Pascal Joly Cas cliniques et travaux de groupes Les juniors piègent les seniors Modérateurs : Emmanuel Delaporte, Jean-Luc Riboulet 5 SALLE Présentation des Posters sélectionnés par le CID dans le cadre du coup d œil du dermato Amphithéâtre Vauban 44 47 48 Samedi 30 mars 2013 Séances plénières 10h - 12h 6 SALLE L éveil de la modernité Amphithéâtre Modérateurs : P. Thomas, D. Waeytens Vauban 10h - 10h20 : Drogues et peau : un challenge pour le dermatologue - Dominique Tennstedt 10h20-10h50 : Le système immunitaire : discrimination ou adaptation? Lionel Prin 10h50-11h10 : La médecine personnalisée Philippe Amouyel 11h10-11h30 : Les écueils de l hypernormation François-René Pruvot 11h30-11h50 : Le piercing à travers les âges Jacques Chevallier 12h : Cocktail de clôture 53 14 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013

Ateliers Les points clés 1 Mercredi 27 mars 2013 14h30-16h Salle Rembrandt Niveau 9 Atelier Laser Hugues Cartier, Astrid Imiela, Patrick Esquenet Laser : les différentes modalités de traitement du vieillissement cutané et des cicatrices Les lasers de relissage ablatifs s adressent à un photovieillissement ou à des cicatrices marquées et nécessitent une gestion de la phase de cicatrisation. Les lasers fractionnés ablatifs s adressent à des irrégularités plus superficielles et nécessitent plusieurs séances. Les suites sont plus simples à gérer. Ils permettent de traiter des zones comme le cou, le dos des mains et le décolleté. Prise en charge du vieillissement cutané et des cicatrices par laser fractionné non ablatif : nous présentons notre expérience dans l utilisation du Laser Fraxel Re:store. Ses indications sont nombreuses (photoréjuvénation, ridules, taches pigmentées, mélasma, cicatrices ). Nous exposons les modalités pratiques, les avantages (traitement maîtrisé, bonne tolérance, pas d éviction sociale ), mais également les limites de cette technique. L optimisation du laser Nd:YAG Q-switched ou comment élargir ses indications : En connaissant les principales caractéristiques techniques de sa machine. En sachant sélectionner le patient et sa pathologie. En développant les indications pigmentaires (tatouages, lentigos actiniques, lentigines, naevus de Becker ). Et les indications non pigmentaires : dépilation, xanthélasmas, photoremodelage, peeling laser. 2 Mercredi 27 mars 2013 14h30-16h Salle Artois 2 Niveau 5 Dermoscopie niveau 2 Jean-Luc Riboulet, Jean-François Sei Structures vasculaires en dermoscopie Jean-Yves Gourhant L étude des vaisseaux est essentielle pour l examen dermoscopique des lésions peu ou pas pigmentées. La sémiologie vasculaire dermoscopique n a pas la spécificité de la sémiologie pigmentaire. Si du pigment est présent, il faut toujours essayer de l interpréter en priorité. De même, en l absence de critères dermoscopiques discrimants, la clinique et l interrogatoire sont capitaux (signe «EFG» : se méfier de toute lésion rosée, en relief, avec notion de croissance rapide et, éventuellement, ferme à la palpation). Les architectures vasculaires sont le reflet de la croissance tumorale. Les vaisseaux punctiformes groupés doivent faire évoquer une lésion mélanocytaire. Un pattern vasculaire polymorphe associant vaisseaux punctiformes et vaisseaux linéaires irréguliers doit faire penser à un mélanome. Un pattern vasculaire monomorphe fait de vaisseaux en virgule est en faveur d un naevus dermique. Des vaisseaux au milieu d un halo blanchâtre suggèrent une tumeur kératinisante. Peu d architectures vasculaires sont spécifiques : l acanthome à cellules claires est une exception, avec ses vaisseaux en points disposés en chaînettes. Dans une moindre mesure, les vaisseaux glomérulaires en amas du Bowen et les vaisseaux arborescents du carcinome baso-cellulaire sont également assez spécifiques. Il ne faut pas hésiter à biopsier une lésion pour laquelle on n a pas de diagnostic dermoscopique clair : se méfier ainsi des lésions à type de botryomycome, des lésions planes qui présentent des aires sans structure avec différentes nuances de rose. Lésions pigmentées du visage Sur la peau du visage, l absence de festonnement de la membrane basale et la richesse en orifices pilosébacés modifient la sémiologie dermoscopique. Devant une tache pigmentée du visage, fréquente chez le sujet âgé, la difficulté est de ne pas méconnaître un mélanome de Dubreuilh, dont le diagnostic dermoscopique est l un des plus difficiles. 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013 15

Ateliers Les points clés Toutefois, la dermoscopie peut aider le clinicien à condition d un apprentissage rigoureux des images observées, lesquelles évoluent en fonction du stade du Dubreuilh et peuvent s associer à des degrés divers dans la même lésion. A un stade précoce, les lésions sont périfolliculaires avec des images d envahissement progressif du follicule pilosébacé (orifices cerclés asymétriques, image en chaton de bague inversé). Puis le pigment, en grains de poivre, se distribue de manière losangique, rhomboïdale autour des orifices pilosébacés : c est le pseudo-réseau annulo-granulaire. Enfin, la tumeur envahit la structure pilosébacée avec disparition complète de l orifice (follicules «manquants»). La dermoscopie permet d évoquer le diagnostic à un stade précoce, préclinique : une biopsie à visée histologique, gold standard du diagnostic positif, s impose alors. La dermoscopie permet d orienter la biopsie sur les zones les plus suspectes. La dermoscopie ne permet pas d évaluer de façon fiable les limites latérales de la tumeur. En pratique, la dermoscopie augmente l index de suspicion du Dubreuilh et vraisemblablement la fréquence des biopsies sur les lésions pigmentées du visage, mais elle permet ainsi un diagnostic plus précoce. Les architectures Plusieurs algorithmes sont utilisables pour différencier les lésions mélanocytaires bénignes et malignes. L analyse des architectures a une bonne spécificité, mais une sensibilité moindre chez les non-experts. C est une méthode cognitive qui nécessite un apprentissage. Elle s effectue en 2 temps : étude des caractéristiques globales, puis des caractéristiques locales. On décrit 8 types d architecture globale : réticulaire, globulaire, en pavé, homogène, en feu d artifice, parallèle, multiple et non spécifique. Chaque type d architecture globale présente des caractères évoquant la bénignité ou la malignité. Les architectures multiples et non spécifiques sont très évocatrices de mélanome. Les critères locaux sont au nombre de 5 : le voile blanc-bleu, les zones de régression (dépigmentation cicatricielle et multiples points gris-bleu), les taches, les hypopigmentations et les structures vasculaires. Le voile blanc-bleu et les zones de régression sont très évocateurs de mélanome, de même que les taches disposées de façon asymétrique. Les vaisseaux linéaires irréguliers et les vaisseaux ponctiformes doivent faire suspecter le mélanome. 3 Mercredi 27 mars 2013 14h30-16h Salle Hainaut Niveau 5 Le vaste spectre étiologique des brûlures vulvaires Franck Delesalle, Micheline Moyal Barracco, Sandra Ly 4 Mercredi 27 mars 2013 14h30-16h Salle Faidherbe 1 Niveau 7 Dermoscopie des lésions pigmentées du visage et suivi des lésions pigmentées par vidéodermoscopie Philippe Bahadoran Dermoscopie des lésions pigmentées du visage La dermoscopie du visage reflète l histologie de cette région, à savoir un aplatissement de la jonction dermo-épidermique et un nombre très élevé de follicules pilosébacés d où un aspect dermoscopique dit en «pseudo-réseau». L intérêt principal de la dermoscopie du visage est l aide au diagnostic différentiel entre lentigo actinique/kératose séborrhéique et mélanome de Dubreuilh. Le signe le plus précoce de mélanome de Dubreuilh en dermoscopie est une pigmentation asymétrique des follicules pileux (algorithme de Stolz pour le visage cf. FMC). Les kératoses lichénoïdes et les kératoses actiniques pigmentées peuvent être difficiles à différencier d un mélanome de Dubreuilh en dermoscopie. Au-delà de la dermoscopie, la microscopie confocale in vivo est particulièrement performante pour le diagnostic de mélanome de Dubreuilh. 16 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013

Suivi des lésions pigmentées par vidéodermoscopie Ateliers Les points clés Le suivi vidéodermoscopique des lésions pigmentées (en pratique les naevus) s adresse aux sujets à haut risque de mélanome, en particulier ceux porteurs de naevus atypiques. Le suivi vidéodermoscopique des naevus requiert un équipement spécifique permettant la prise de photos cliniques et dermoscopiques, leur archivage, et la comparaison des images. La fréquence recommandée du suivi (pour les sujets à risque) va de 1 fois/3 mois à 1 fois/an (en moyenne 1 fois/6 mois). La valeur diagnostique des changements dermoscopiques dépend du critère analysé (cf. FMC) et aussi de la durée du suivi (plus le suivi est court, plus le changement est suspect). Les naevus en relief pour lesquels il existe un doute diagnostique doivent être excisés et jamais suivis, en raison du risque de laisser évoluer un mélanome nodulaire. 5 Mercredi 27 mars 2013 14h30-16h Salle Faidherbe 2 Niveau 7 Muqueuse buccale Alexandre Brygo Un bon examen de la cavité buccale nécessite une source lumineuse, 2 abaisse-langues et une paire de gants. La crainte du cancer (carcinome épidermoïde) de la cavité buccale doit faire pratiquer une biopsie de toute lésion d évolution anormale. Toute ulcération ne disparaissant pas 15 j après son traitement étiologique doit être biopsiée. Un «signe du capiton» au niveau du massif facial doit faire rechercher une origine dentaire. La langue noire villeuse n est pas une mycose. Les dysesthésies buccales psychogènes sont des entités bien définies et ne doivent pas être un diagnostic d élimination. Faire ouvrir la bouche à vos patients peut leur sauver la vie. L examen de la muqueuse buccale est indissociable de l examen dermatologique. 6 Mercredi 27 mars 2013 14h30-16h Salle Charles-de-Gaulle Niveau 7 Prurit et prurigo Pascal Delaunay Le diagnostic de piqûre d arthropodes est souvent posé lors de la consultation. Malheureusement, même si ce diagnostic est exact, les conseils à délivrer pour ne plus se faire «piquer» sont rarement dispensés pour trois raisons simples : L insecte est difficilement identifiable (moustique, puce, punaise, tique?). Les conseils de «lutte non chimique» sont peu connus. Les conseils de lutte chimique (insecticides) ne sont pas sans conséquence pour la santé. Cet atelier «piqûres d insecte» a pour objectif de guider le médecin dermatologue : Vers l insecte ou le parasite probablement responsable des piqûres grâce à des critères cliniques et des questions ciblées pour le patient. Vers des conseils simples de lutte non chimique (chauffage, congélation, aspirateur ). Vers des conseils de lutte chimique ciblée et a minima. Vers éventuellement une prescription médicamenteuse. Vers des conseils de prévention. 7 Mercredi 27 mars 2013 14h30-16h Salle Rubens 1 Niveau 9 Techniques de comblement N 1 Martine Baspeyras, Christine Noé, Isabelle Rousseaux 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013 17

Ateliers Les points clés 8 Mercredi 27 mars 2013 14h30-16h Salle Goya Niveau 9 Peelings Peelings aux AHA Anne Roumazeille Les peelings aux AHA sont utilisés depuis de nombreuses années pour leurs propriétés kératolytiques et l accélération du renouvellement cellulaire épidermique et dermique qui ont fait l objet de nombreuses études. De ces propriétés, découlent les principales indications : acné, surtout rétentionnelle ; peau séborrhéique, pores dilatés ; éclat du teint, peau tabagique, héliodermie ; cicatrices et traces post-acné ; ridules. Leur utilisation quel que soit le phototype, leur coût modéré, l absence d éviction sociale, leur potentialisation des agents dépigmentants et leur association récente aux traitements par L.E.D sont autant d atouts dans le cadre de l activité dermatologique et esthétique. Peelings TCA Francine Velly-Mores Les peelings TCA varient en profondeur (superficiel, superficiel fort et moyen) selon la concentration. Ils permettent le traitement des signes du vieillissement cutané, de certaines cicatrices d acné, avec une éviction sociale peu importante. L amélioration des préparations qui sont maintenant homogénéisées assure un traitement simple en toute sécurité, mais demandant cependant une certaine expérience. En termes d efficacité, ils se situent entre les peelings superficiels aux AHA et les peelings profonds au phénol ainsi que le resurfacing CO2. On le combine d ailleurs volontiers à ces 2 dernières techniques. Peelings dépigmentants Francine Velly-Mores Les peelings dépigmentants sont particulièrement bien adaptés au traitement des hyperpigmentations du visage et des mains. Pour les mélasmas, ce sont les seuls traitements efficaces alors que pour les taches actiniques ils sont sérieusement concurrencés par le traitement photonique. Les résultats sont d autant plus importants que la pigmentation est superficielle. Ils demandent une rigueur et une persévérance aussi bien de la part du médecin que du patient car le traitement est souvent long et fastidieux. La prudence est de mise d autant plus que le phototype est élevé. Les maîtres mots sont donc la prudence et la persévérance. Dans tous les cas, une protection solaire efficace et permanente est indispensable au risque de voir resurgir ces «satanées taches». 9 Mercredi 27 mars 2013 14h30-16h Salle Rubens 2 Niveau 9 Médecine humanitaire Les particularités de la prise en charge des affections cutanées en mission humanitaire Hervé Darie L influence de l environnement géoclimatique et du contexte socio-économique. Les pathologies cosmopolites sont les plus fréquentes, les affections tropicales sont rares, mais appellent un traitement spécifique. L approche diagnostique : prééminence de la clinique, problème de l anatomopathologie. L adéquation de l exercice médical avec les politiques sanitaires locales. Les priorités en termes de santé publique, médecine non transposable. La prise en compte des programmes nationaux de lutte : lèpre, VIH La problématique du médicament (choix, distribution, gratuité, gestion). Les recommandations thérapeutiques (priorités, abstention, protocoles, continuité). Exemples concrets de difficultés rencontrées, esquisses de solutions. Les aspects préventifs de l action. 18 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013

Ateliers Les points clés 10 Mercredi 27 mars 2013 16h30-18h Salle Artois 2 Niveau 5 Dermoscopie Niveau 3 Confrontations de la clinique et de la dermoscopie : cas pratiques Philippe Beaulieu, Jacques Savary L examen dermoscopique doit être confronté à l examen clinique du patient : phototype, âge, antécédents personnels et familiaux, comportement vis-à-vis du soleil. La localisation anatomique intervient dans le diagnostic dermoscopique. L architecture globale des naevus sera examinée en fonction de l âge. L examen dermoscopique des lésions cutanées ne doit pas être précédé d une présélection clinique. Le suivi dermoscopique des naevus est réservé à certains types de lésions chez des patients définis. Le suivi des patients à risque de mélanome associe examen clinique comparatif et examen dermoscopique des naevus. Le vilain petit canard en dermoscopie doit évoquer le mélanome. Tenir compte des notions d expositions solaires récentes, de grossesse La dermoscopie est une aide diagnostique aux lésions pigmentées de la face et oriente la biopsie. La dermoscopie aide au suivi des lésions tumorales mélanocytaires et non mélanocytaires traitées par chirurgie ou méthodes alternatives. Michel Le Maître Les naevus Le diagnostic dermoscopique repose sur l évaluation de critères liés au naevus et de critères liés au patient (Zalaudek I, Arch Dermatol 2009;145:816-26). Les critères dermoscopiques liés au naevus sont : couleur, architecture, distribution du pigment, sites particuliers. C est la règle de 4x4. Les études publiées établissent une corrélation avec l anatomopathologie : - réticulaire : thèques jonctionnelles ; - globulaire : larges thèques de mélanocytes jonctionnelles et dermiques (naevus jonctionnel, naevus lentigineux) ; - en étoile : mélanocytes jonctionnels confluants (naevus de Spitz, naevus de Reed) ; - bleu homogène : mélanocytes dendritiques dermiques (naevus bleu). Les 4 distributions du pigment : uniforme, multifocale, centrale, excentrée. Les 4 localisations particulières : - naevus acral : architecture parallèle aux sillons ; - naevus du visage : architecture en pseudo-réseau ; - les ongles ; - les muqueuses. Les critères de bénignité des naevus (Braun RP, et al. Clin in Dermatol 2009;27:26-34) : - architecture réticulaire diffuse ; - architecture réticulaire parcellaire ; - architecture réticulaire périphérique homogène au centre ; - architecture sans structure (homogène) ; - architecture réticulaire périphérique et globulaire au centre ; - architecture globulaire périphérique et réticulaire au centre ; - architecture globulaire ; - architecture composée symétrique. L architecture des naevus est liée à 5 critères inhérents au patient : 1. L âge. 2. Le phototype. 3. L exposition aux UV. 4. La grossesse. 5. La croissance dynamique des naevus. Sur une lésion pigmentée prise individuellement, la démarche algorithmique ou l analyse des patrons est le fondement du diagnostic de mélanome : démarche analytique. Quand on examine un grand nombre de naevus chez un même patient, nous repérons certains d entre eux ayant un aspect suspect : démarche cognitive. 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013 19

Ateliers Les points clés Les mélanomes de Dubreuilh Les critères sémiologiques classiques : - follicules hyperpigmentés ; - points et globules gris ardoisés structure annulo-granulaire ; - structures rhomboïdales ; - oblitération des follicules. Les 4 nouveaux critères de Luc Thomas (Thomas L, et al. BJD 2012;167:280-7) : - l image de lésion dermoscopique apparaît plus foncée que la lésion à l examen clinique ; - follicules en cible ; - densité vasculaire plus importante ; - structures rhomboïdales rouges. Jean-Yves Gourhant Mélanomes achromiques - Leur diagnostic dermoscopique est difficile. - Un seul algorithme (Menzies, et al. 2008) leur est dédié avec une spécificité et une sensibilité inférieures à celles des algorithmes utilisés pour les tumeurs pigmentées (sensibilité de 70 % et spécificité de 56 %). - L étude des structures vasculaires est une étape essentielle de leur diagnostic ; on recherchera la présence de vaisseaux punctiformes agrégés et surtout d une architecture vasculaire polymorphe, associant vaisseaux punctiformes et vaisseaux linéaires irréguliers. La présence de pigment brun pâle en périphérie et d aires sans structures rose est un autre critère important. - Certaines formes cliniques sont très trompeuses : aspect verruqueux aux plantes, aspect d eczéma au visage ou au cou, aspect de botriomycome : il ne faut pas hésiter à biopsier (ou enlever) toute lésion achromique ou hypochromique devant laquelle on a une hésitation diagnostique. Suivi digitalisé des tumeurs pigmentées Il a pour but de détecter des mélanomes avant qu ils ne présentent des signes dermoscopiques évidents. Il s adresse en priorité aux patients à haut risque de mélanomes (mutations, naevus multiples, syndrome des naevus atypiques). Il faut que les patients soient compliants. C est ESSENTIEL : on ne peut suivre que des lésions planes. C est une technique qui demande un matériel spécifique, une formation adéquate, et beaucoup de rigueur. Le suivi à 3 mois s adresse à 2 types de lésions : - celles pour lesquelles les signes dermoscopiques sont modérément atypiques (insuffisants pour poser un diagnostic de mélanome) ; - celles où les signes sont absents, mais le patient a une notion d évolution. Le suivi à 1 an le complète : toute lésion suspecte ayant été éliminée (par la négativité du suivi à 3 mois, ou par l exérèse), il concerne des naevus de petite taille sans caractère inquiétant. La durée de ce suivi n est pas clairement fixée à l heure actuelle. En ville, on peut de façon un peu différente faire des suivis à 3 mois pour des lésions isolées en dehors des patients à risque, selon les principes exposés plus haut. Mais il faut être extrêmement prudent, être sûr du retour du patient, et en cas de doute sur celui-ci procéder à l exérèse de la lésion. Nouvel algorithme en 2 étapes L algorithme en 2 étapes élaboré en 2001 lors d une conférence de consensus est le pilier du diagnostic différentiel en dermoscopie. Dans une 1 re étape, il s agit de déterminer si la lésion est ou n est pas mélanocytaire. Dans une 2 e étape, si on pense qu elle est mélanocytaire, faire la différence entre naevus bénin et mélanome. Cette deuxième étape s appuie sur des algorithmes spécifiques (Menzies, Argenziano en 7 points, Stolz par exemple). Depuis 2001, on a prouvé l utilité de la dermoscopie dans le diagnostic des tumeurs non pigmentées en général, et du mélanome achromique en particulier ; Marghoob et Braun ont proposé en 2010 une version nouvelle de l algorithme en 2 étapes qui tient compte de ces progrès. Aux 4 niveaux existants dans la 1 re partie de l algorithme (lésion mélanocytaire, carcinome baso-cellulaire, kératose séborrhéique, angiome) viennent s ajouter 2 niveaux. Le niveau 5 décrit les structures et architectures vasculaires des lésions non mélanocytaires (Bowen, hyperplasie sébacée, molluscum, acanthome à cellules claires, tumeurs kératinisantes bénignes). Le niveau 6 décrit les structures vasculaires des lésions mélanocytaires. Une architecture vasculaire monomorphe faite de vaisseaux en virgule est en faveur d un naevus dermique. Une architecture polymorphe, surtout si elle se compose de vaisseaux punctiformes et linéaires irréguliers, oriente vers un diagnostic de mélanome. Enfin, la présence d aires sans structures avec différentes nuances de rose est également en faveur du mélanome. En l absence de critères décrits dans les 6 précédents niveaux, la lésion est considérée comme mélanocytaire par défaut. Et l on passe alors à la 2 e étape décrite précédemment. 20 10 es Journées Nationales Provinciales de Dermatologie Lille 2013