La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI. La pensée de la semaine «La brièveté est sœur du talent.



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La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI N 09/18 0 4 Mai 2009 La pensée de la semaine «La brièveté est sœur du talent.» Anton Tchekhov Un BlackBerry hautement sécurisé pour Barack Obama http://www.journaldunet.com/breve/international/38440/un-blackberry-hautement-securise-pour-barack-obama.shtml Le Président Barack Obama devrait être équipé dans quelques semaines ou mois d'un BlackBerry 8830 hautement sécurisé, selon nos confrères du Washington Times. Le terminal serait en phase finale d'élaboration au sein de la NSA (National Security Agency). L'agence est en effet en train de vérifier la qualité et la résistance de la solution de chiffrement embarquée. Cette solution doit répondre aux standards fédéraux pour être approuvée. Toujours selon The Washington Times, Obama sera capable d'envoyer des messages textes et des e-mails avec son terminal et, bien entendu, de téléphoner mais seulement à des personnes elles-mêmes équipées de la solution de chiffrement évoquée précédemment. Parmi les personnes autorisées à recevoir les appels ou messages présidentiels, on trouve sa femme et son équipe proche. Google intègre la 3D au sein des navigateurs web http://www.silicon.fr/fr/news/2009/04/24/google_integre_la_3d_au_sein_des_navigateurs_web En y regardant de plus près, O3D pourrait bien être un cheval de Troie permettant à Google d investir plus largement le monde de la 3D. Un des grands paris du Web de demain pourrait être l intégration de technologies 3D. Les plus anciens se souviendront du VRML (Virtual Reality Markup Language ), lequel n a jamais su trouver son public. Aujourd hui, tous les acteurs se penchent sur la difficile question de l intégration d éléments 3D au sein des pages web. Avec O3D, c est au tour de Google de dévoiler sa solution open source. À terme, la compagnie espère faire de cette technologie un standard officiel. Ce greffon est compatible avec trois navigateurs web : Internet Explorer, Mozilla Firefox et Google Chrome. Il est disponible pour Windows et Mac OS X. Les utilisateurs Linux (x86 32 bits uniquement) devront compiler le code source par leurs propres moyens. La firme fournit un large ensemble d applications de démonstration. Ces dernières sont compactes et leur exécution est plutôt rapide. Il convient de noter que Google utilise les librairies 3D présentes nativement dans le système d exploitation : DirectX ou OpenGL. O3D est vu par le navigateur comme une librairie d extension dédiée à la 3D. Chaque application utilise donc l interpréteur JavaScript présent au sein du navigateur. Évidemment, Google met l accent sur ses propres technologies. La compagnie montre ainsi comment tirer parti de la vitesse de V8 (le moteur JavaScript inclus dans Chrome), comment convertir une application 3D en un gadget igoogle, ou encore comment créer une application pouvant fonctionner en mode déconnecté, au travers de Google Gears. Il est possible d aller encore plus loin. Ainsi, la firme ne cache pas qu il est possible de lier O3D au seul moteur JavaScript V8, lui-même intégrable dans une application C++ traditionnelle. Bref, O3D pourrait tout à fait être utilisé au sein de logiciels classiques. Google avait déjà abordé le marché de la 3D en juillet 2008 avec Lively, une plate-forme concurrente de Second Life. Mais l'expérience n'avait pas porté ses fruits et l'entreprise de Mountain View déconnectait le service 6 mois après son lancement. Microsoft enregistre une première baisse de son CA depuis 23 ans http://www.vnunet.fr/news/microsoft_enregistre_une_premiere_baisse_de_son_ca_depuis_23_ans-2030645 Microsoft enregistre une baisse de ses résultats sur les trois premiers mois de l'année. Une première depuis son introduction en Bourse. Difficile de faire exception, même lorsque l on s appelle Microsoft. Pour son troisième trimestre clos fin mars, les résultats financiers du géant de l informatique accusent une baisse sensible. La firme de Redmond affiche ainsi un chiffre d affaires de $13,65 Bn, soit une baisse de 6% par rapport à l année dernière, à trimestre comparable. Les bénéfices du groupe reculent également à $2,98 Bn contre 4,39 Bn une année auparavant. L éditeur indique que la baisse de ses bénéfices provient notamment d une charge supplémentaire de $290 M, injectés pour financer un plan social annoncé en janvier de cette année (5 000 postes supprimés) et réaliser une économie de $1,5 Bn par an. Microsoft impute également sa baisse de bénéfices à une perte sur des investissements de $420 M dont la valeur a chuté. Microsoft a durement été touché par le ralentissement des ventes d ordinateurs, des particuliers comme des professionnels, rappelle AP. A la fin des trois premiers mois de l année, les ventes mondiales de PC ont baissé de 6,5%, selon le cabinet Gartner. Microsoft enregistre des baisses dans une bonne partie de ses activités. Les branches Online Services Business, serveurs ou encore l'activité loisirs interactifs (console de jeux Xbox et jeux, notamment) s'inscrivent toutes en baisse. L éditeur, circonspect sur la date de fin de la crise, mise sans aucun doute sur la sortie, en 2010 de Windows 7, le remplaçant de Vista. Windows 7 dispose d'un mode Windows XP virtuel http://www.reseaux-telecoms.net/actualites/lire-windows-7-dispose-d-un-mode-windows-xp-virtuel-19992-page-2.html Microsoft annonce que Windows 7 a une option de rétro compatibilité avec Windows XP en version béta. Elle repose sur la virtualisation du poste client. Microsoft dévoilera une option de Windows 7, qui permet aux utilisateurs d'exécuter des applications conçues pour Windows XP dans une machine virtuelle. C'est la première fois que Microsoft s'appuie sur la virtualisation pour fournir de la rétro compatibilité. Baptisée "Mode Windows XP ", cette option crée un environnement virtuel XP fonctionnant sous Virtual PC, la technologie de virtualisation côté client de Microsoft, au sein de Windows 7, a déclaré Scott Woodgate, directeur stratégie Windows pour l'entreprise et la virtualisation. Dans un blog de Microsoft, Scott Woodgate affirme que l'option doit servir à convaincre les entreprises de migrer vers Windows 7. "Tout ce que vous avez à faire est d'installer les applications concernées directement dans le mode Windows XP", précise Scott Woodgate. "Les applications seront publiées sur le bureau de Windows 7 et vous pouvez alors les exécuter directement à partir de Windows 7."

Des détails sur le mode Windows XP (XPM ou XP Mode) ont été signalés par Rafael Rivera et Paul Thurrott, deux blogueurs qui préparent aussi un livre, «Les secrets de Windows 7», qui doit sortir cet automne. Selon Rafael Rivera dans son blog - Paul Thurrott a publié une information quasi identique sur son Supersite for Windows - le mode Windows XP sera offert en téléchargement gratuit uniquement aux utilisateurs de Windows 7 Professional, Enterprise et Ultimate, les trois versions les plus coûteuses du nouveau système d'exploitation. Windows 7 Enterprise est disponible uniquement aux entreprises ayant des accords de licence en volume. Windows XP Mode (XPM) nécessite le support d'une virtualisation basée sur le processeur et est basé sur la prochaine génération de technologie de virtualisation de Microsoft, Virtual PC 7, selon Rafael Rivera, qui a également révélé que Microsoft inclura une licence de Windows XP Service Pack 3 (SP3) avec cette option de Windows 7. Ce qui permettra d'utiliser d'anciennes applications sans devoir payer pour deux systèmes d'exploitation, XP et 7. Rafael Rivera a également salué la capacité d'exécuter des applications Windows XP directement depuis le bureau Windows 7, sans devoir à d'abord ouvrir une fenêtre de la machine virtuelle. "XPM ne vous oblige pas à faire exécuter l'environnement virtuel séparément du bureau de Windows," se félicite Rafael Rivera. «Au lieu de cela, après l'installation d'applications à l'intérieur de l'environnement virtuel XP, celles-ci sont publiées dans le système d'exploitation hôte (Windows 7). De cette façon, les utilisateurs peuvent exécuter des applications sous Windows XP, comme IE6, à côté d'applications Windows 7 dans un seul bureau». Les deux blogueurs ont claironné qu'il s'agit d'une «énorme commodité» pour les entreprises, et prédit que Microsoft sera en mesure de se défaire de codes plus anciens des futures versions de Windows, et de s'appuyer sur la virtualisation afin de fournir une rétro compatibilité. Cette option de rétro compatibilité avec XP devrait être rendue disponible en version béta simultanément ou proche de la sortie de Windows 7 RC. Microsoft annonce officiellement l'arrivée de Windows 7 RC pour le 5 mai. Les abonnés MSDN et TechNet pourront l'obtenir le 30 avril. Une version en français sera disponible. Windows 7 ou la faille impossible à corriger http://www.silicon.fr/fr/news/2009/04/27/windows_7_ou_la_faille_impossible_a_corriger A quelques jours de la disponibilité de la version RC de Windows 7, des experts, pointent une vulnérabilité "irréparable". On connaît désormais la date de sortie de Windows 7, le dernier OS signé de la maison de Redmond, en version Release Candidate. Le 30 avril, les développeurs et professionnels qui ont souscrit aux réseaux MDSN et TechNet vont pouvoir profiter de la version Windows 7 RC. Bien que la diffusion à grande échelle n interviendra que le 5 mai, certains experts ont déjà pointé des failles de sécurité. Le site Tom s guide explique que deux chercheurs affirment avoir décelé dans Windows 7 "un problème de conception". L information a été dévoilée lors de la conférence Hack In The Box à Dubai (Emirats arabes-unis). Grâce à un petit logiciel de 3 Ko baptisé Vbootkit 2.0, un hacker pourrait prendre le contrôle de l'ordinateur dès son démarrage. Le programme se chargerait ensuite de modifier quelques fichiers chargés en mémoire par le système. Même si un simple redémarrage de la machine ferait tout rentrer dans l'ordre, Vipin Kumar et Nitin Kumar, les découvreurs de la faille remarquent qu' "il n'y a pas de correctif pour cette faille. Il est impossible de la corriger. C'est un problème de conception". Un épine dans le pied de Microsoft qui affirmait voilà peu que leur dernier outil système était purement inviolable. Ou pas. Quaero, le moteur de recherche français voulu par Jacques Chirac, est un gouffre financier http://www.reseaux-telecoms.net/actualites/lire-quaero-le-moteur-de-recherche-francais-voulu-par-jacques-chirac-est-un-gouffre-financier-19993.html Fin de partie pour Quaero, l'airbus «tricolore» de l'internet? C'est peu de dire que le programme de moteur de recherche multimédia tricolore Quaero («je cherche» en latin), voulu par Jacques Chirac, a du plomb dans l'aile. Une centaine de millions d'euros de subventions Porté à bout de bras par le corps des Mines, avec Thomson comme chef de file, ainsi qu'une bonne vingtaine de partenaires industriels (France Télécom, Exalead, Jouve, Bertin, LTU Technologies, Vecsys), audiovisuels (INA) ou issus du monde de la recherche (Inria, CNRS) et avec le soutien actif d'oseo, ce ne sont pas moins d'une centaine de millions d'euros de subventions publiques sur cinq ans qui sont en train de partir en fumée. A telle enseigne que, selon une source proche du dossier, la Cour des comptes s'intéresserait à cette usine à gaz franco-française, à laquelle l'allemagne a finalement refusé de participer peu après l'arrivée d'angela Merkel à la chancellerie Le premier smartphone Android de Samsung en Europe en juin http://www.mobinaute.com/272866-samsung-i7500-smartphone-android-allemagne-juin.html C'est en fait le Samsung I7500 qui sera le premier smartphone Android du fabricant coréen, et non le Samsung S8000 évoqué précédemment, doté quant à lui du système propriétaire du coréen contrairement à ce que laissaient entendre les premières rumeurs. Samsung a aujourd'hui officialisé son concurrent du HTC Magic qui sera lancé en Europe au mois de juin. Il disposera de caractéristiques techniques plus proches des terminaux existants et s'articulera ainsi tout comme les deux premiers Google Phone autour d'un écran tactile HVGA (480 360 pixels) d'une diagonale de 3,2 pouces. Il bénéficiera en revanche de la technologie OLED. Doté d'un appareil photo numérique de 5 millions de pixels associé à un flash à LED et d'une sortie casque standard 3,5 mm, il sera épaulé par un processeur Qualcomm MSM7200A cadencé à 528 MHz. On retrouvera en outre des connectiques EDGE quadri-bande, 3G bi-bande, Bluetooth, WiFi et GPS en plus d'un espace stockage interne de 8 Go extensible par une carte microsdhc. Le Samsung i7500 fera donc ses débuts au mois de juin en Europe, et en particulier auprès de l'opérateur O2 Germany, qui le commercialiserait hors abonnement pour environ 300 euros. Le cloud computing, une menace pour les entreprises http://pro.01net.com/editorial/501640/le-cloud-computing-une-menace-pour-les-entreprises/ Selon les experts présents à la RSA Conference de San Francisco, cette solution présente de nombreux risques pour la sécurité. Une solution pratique est rarement compatible avec la sécurité. Les experts présents à la RSA Conference, organisée la semaine dernière à San Francisco, l'ont rappelé en mettant en avant les risques du cloud computing. L'«informatique dans les nuages» permet aux entreprises de réduire leurs coûts en délocalisant leurs contenus et en utilisant des applications à distance. Mais «c'est un cauchemar pour la sécurité et elle ne peut pas être traitée par les méthodes traditionnelles», a estimé John Chambers, PDG de Cisco.

Pour les spécialistes de la sécurité, le cloud computing présente en effet plusieurs menaces, les deux principales concernant les données et la surveillance du réseau de l'entreprise. Ce concept peut en effet mettre en péril la confidentialité et l'intégrité des données. «Quand on virtualise ses ressources, on perd l'habitude d'avoir une vue sur le contenu. Avec le cloud computing, on ne sait plus où il se trouve physiquement. Or les directions n'ont pas toujours conscience de cette menace. Le recours à ce concept est une décision économique. Ce choix est subi dans 90 % des cas par les DSI», précise Eric Domage, spécialiste de la sécurité au cabinet de recherche en technologies de l'information IDC. Autre inquiétude : la disponibilité des données. En mettant en avant son architecture massivement distribuée, les partisans du cloud computing soulignent la disponibilité de leurs services. Malheureusement, plusieurs pannes touchant des acteurs majeurs de ce concept en ont, au contraire, révélé les limites. Des nuages en panne L'autre principal point faible concerne la protection du réseau. Les responsables de la sécurité informatique des entreprises ne verront plus les tentatives d'intrusion et encore moins les attaques puisque les ressources seront délocalisées et gérées par le fournisseur de cloud computing. Ces deux types de menaces sont néanmoins pris très au sérieux par les grands acteurs de cette solution. Après Cisco, c'est au tour d'ibm de lancer des services sécurisés en mode «cloud». Lors de la conférence RSA, la société a en effet présenté ses nouveaux outils de surveillance et de mise en quarantaine de codes malveillants (Malware Scanning for IBM Rational AppScan) et un pare-feu (Proventia Web Application Firewall). La conférence RSA a aussi été l'occasion du lancement officiel de la Cloud Security Alliance. Soutenu entre autres par des sociétés spécialisées dans les offres en ligne comme PGP Corp, Qualys et Zscaler, ce consortium veut sensibiliser les entreprises à la problématique de la sécurité. Quelle que soit la solution retenue, ces dernières doivent toujours s'en tenir aux règles essentielles. Premièrement, chiffrer systématiquement les données non publiques hébergées dans les «nuages». Deuxièmement, utiliser des mots de passe moins faciles à trouver et mener une gestion précise des identifiants afin de contrôler les accès. Troisièmement, ne pas mettre tous leurs œufs dans le même panier, c'est-à-dire, en l'occurrence, répartir leurs données sur différents nuages et sauvegarder les plus cruciales d'entre elles sur un système de stockage sans accès à Internet. Les entreprises françaises semblent convaincues par le cloud computing C'est la conclusion que l'on peut tirer d'une étude commanditée par Avanade, principal intégrateur de solutions pour l'entreprise basées sur la plate-forme Microsoft. Réalisée auprès de 502 responsables de direction et décideurs informatiques dans 17 pays d'europe, d'amérique du Nord et de la zone Asie-Pacifique, l'étude «Cloud computing 2009» indique que «27 % des entreprises françaises sondées utilisent le cloud computing en parallèle de leurs systèmes informatiques existants. Alors que 5 % sont déjà en train de tester des services dans le cloud, 41 % considèrent son adoption prochaine, dont 18 % à une échéance inférieure à un an». Au niveau mondial, 5 % des entreprises sondées utilisent exclusivement le cloud computing. Mais l enquête précise pour «des raisons de sécurité, les entreprises privilégient encore l'utilisation de systèmes hébergés en interne». Envol de la Mouette, l'association des utilisateurs francophones d'openoffice.org http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-envol-de-la-mouette-l-association-des-utilisateurs-francophones-d-openofficeorg-28504.html Promouvoir l'utilisation et le développement d'openoffice.org. C'est l'objectif prioritaire de la Mouette, une association fondée au début du mois pour structurer la communauté francophone adepte de la suite bureautique libre. «L'idée, explique Jean-François Donikian, le président de la structure nouvellement constituée, est de disposer d'une organisation représentant à la fois les utilisateurs grand public et professionnels.» Si le produit bénéficie d'une bonne notoriété dans les cercles spécialisés, le dirigeant de la Mouette regrette en effet qu'il pâtisse d'une relative méconnaissance dans le grand public. «C'est la raison pour laquelle nous allons axer nos efforts sur la promotion d'openoffice. Plus nous augmenterons le nombre d'utilisateurs, plus la notoriété de la suite s'en trouvera augmentée. Partant, le produit bénéficiera de davantage de développements.» De même, un usage grandissant dans la sphère grand public devrait, dans l'esprit des membres de la Mouette, conduire certains utilisateurs à envisager un recours à OpenOffice dans leur milieu professionnel à la grande satisfaction de Jean-François Donikian, par ailleurs patron de StarXpert, une SSLL proposant notamment des prestations de migration vers Oo.org. Parmi les projets se trouvant dans les cartons des six fondateurs de l'association, un prochain appel à adhésion occupe la priorité. Au-delà des particuliers, volontiers accueillis au sein de la Mouette mais guère susceptibles d'apporter beaucoup de moyens à la structure, c'est surtout les entreprises et les collectivités que Jean-François Donikian et ses acolytes entendent séduire. Ils s'appuieront également sur la boutique et la vente de produits dérivés en ligne et sur les salons pour doper les moyens de l'association. Mais si l'argent est important, les porte-drapeaux de la suite bureautique espèrent surtout voir gonfler les rangs de la communauté : «Mieux vaut mettre la main à la pioche qu'à la poche», résume astucieusement Jean-François Donikian. L'accroissement de la communauté est en effet essentiel pour l'enrichissement du projet. «Pour l'heure, nous comptons une centaine de contributeurs aux tests qualité, aux travaux de localisation ou de développement des extensions, et quelques milliers d'utilisateurs qui interviennent sur les forums francophones.» L'acquisition de Sun par Oracle ne devrait pas compromettre l'avenir d'oo.org Le gonflement des rangs de la communauté devrait conduire la Mouette à mettre en place des groupes de travail. Parmi les projets qu'ils pourront conduire, l'association évoque la rédaction d'un livre sur l'usage d'openoffice, ou le recueil du ressenti des utilisateurs, en particulier sur ce qu'il manque à la suite. Les fondateurs de la Mouette évoquent également la possibilité d'organiser, comme en 2006, une conférence mondiale en France consacrée à Oo.org, qui réunirait développeurs, spécialistes et utilisateurs. Un événement qui pourrait avoir lieu dès cette année. Enfin, la récente acquisition de Sun par Oracle ne semble pas inquiéter les promoteurs de la communauté francophone, qui n'y voient pas nécessairement un obstacle à la pérennité de la suite libre. «Sun dispose toujours d'équipes en place pour le développement d'openoffice. Même si Oo.org n'est certainement pas la priorité d'oracle, le projet est suffisamment ancré, reconnu, et s'appuyant sur des participants autres que Sun, comme IBM ou Novell, que je ne le vois pas s'arrêter», conclut Jean-François Donikian. Google sort un kit de développement pour Android 1.5 http://pro.01net.com/editorial/501644/google-sort-un-kit-de-developpement-pour-android-1-5/ Dès à présent, les développeurs peuvent tester la prochaine version du système d'exploitation mobile de Google, grâce à un nouveau SDK. Un nouveau kit de développement logiciel (SDK) pour le Google Phone est disponible depuis hier, lundi 27 avril. Il permettra aux développeurs de créer des applications pour la prochaine version du système d'exploitation (OS) mobile de Google, à savoir Android 1.5. Partie intégrante du kit, ce nouveau système d'exploitation sera diffusé par des opérateurs aux utilisateurs finaux dans les mois qui viennent. Il s'appuie sur le noyau Linux 2.6.27 et intégrera un certain nombre de nouveautés, comme l'enregistrement vidéo (Mpeg-4, 3GP), un clavier logiciel tactile, des widget sur la page d'accueil, le support du Bluetooth stéréo, etc. Les interfaces de programmation

(API) ont été étendues en conséquence pour pouvoir utiliser ces fonctions dans les futures applications. La version actuelle d'android (1.1) est également compatible. Le nouveau kit fait également la part belle au test et au debugging. Une base de configurations préparamétrées, baptisée Android Virtual Devices, permettra de mieux simuler le comportement des terminaux actuels dans un émulateur. Toutefois, le développeur pourra également tester son application sur un vrai terminal équipé d'android 1.5. En effet, le constructeur HTC profite de la sortie du SDK pour fournir des mises à jour vers ce nouvel OS pour l'android Dev Phone 1, appareil qui ressemble au HTC G1 mais réservé aux développeurs. Le SDK intègre également le nouveau plug-in Eclipse ADT, grâce auquel les développeurs pourront travailler depuis leur environnement Eclipse. Cette extension dispose, par ailleurs, d'assistants logiciels (wizards) pour la création de projets ou pour la génération de documents XML. Microsoft et Google entrent à la Maison-blanche http://www.silicon.fr/fr/news/2009/04/28/microsoft_et_google_entrent_a_la_maison_blanche Le p-dg de Google, Eric Schmidt, et le chef de la stratégie de Microsoft, Craig Mundie, rejoignent le collège des conseillers du président américain en Sciences et Technologies. Barack H. Obama avait prévenu qu il mettrait l accent sur les nouvelles technologies durant son mandat à la tête des Etats-Unis. C est dans cette optique qu il vient de nommer deux "têtes" représentants des géants Google et Microsoft dans son conseil de spécialistes en technologies. Le PCAST, genre de think tank composé de 20 membres, sert à donner de nouvelles orientations au secteur IT en regroupant les avis des professionnels, universitaires mais aussi experts sur les questions abordant la thématique des nouvelles technologies. La décision de nommer le p-dg de Google Eric Schmidt et le chef de la stratégie de Microsoft, Craig Mundie est dans la droite ligne du choix d Obama d augmenter de 3% les dépenses en matière de Recherche et Développement. Une politique initiée depuis le début du mandat du nouveau président des Etats-Unis. Une position dont on pourrait faire le rapprochement avec la politique initiée par John F. Kennedy de "nouvelles frontières" désirant agrandir la sphère d influence de l Oncle Sam aux frontières de l espace. Un clin d œil qu a d ailleurs souligné Barack H. Obama à l agence de presse Reuters. Déjà, les Etats-Unis ont dépensé pas moins de $368 Bn en R&D en 2007 soit 2,66% du PIB du pays. Une part que souhaite augmenter le président jusqu à 800 milliards afin de provoquer un stimulus économique et un signal fort aux professionnels. Obama envoie donc un message afin d encourager le secteur privé mais aussi envers les grandes agences de recherche. Ainsi un plan de 75 milliards de dollars a été initié afin de doter sur une période de 10 ans les grandes agences scientifiques du pays de nouveaux objectifs. La fondation nationale de Sciences, le département de l énergie du bureau des Sciences et l Institut national des Standards et de la Technologie vont ainsi profiter de ces nouvelles mesures. Un nouvel élan, promet-on outre-atlantique. Une critique en bonne et due forme de l administration Bush, accusée d avoir mêlé recherche scientifique et idéologie Google célèbre Samuel Morse http://www.toulouse7.com/2009/04/27/google-celebre-samuel-morse/ Régulièrement, Google agrémente son moteur de recherche d un logo adapté à l actualité. Jeux Olympiques, fêtes nationales ou évènement international : le logo Google varie au gré des saisons mais garde ses couleurs. Google a décidé de passer en version Morse pour fêter l anniversaire de l inventeur de ce langage. Samuel Morse est né le 27 avril 1791 à Boston. Suivi de chantier: EDF construit un nouveau centre de données http://datacenter.vnunet.fr/suivi-de-chantier-edf-construit-un-centre-de-donnees-460.html Le fournisseur d'énergie est en train de mettre sur pied un important datacenter. Objectif : consolider les salles informatiques existantes. C est un nouveau projet que Vnunet.fr vous présente aujourd hui. A classer dans la catégorie des projets de grande envergure. EDF construit actuellement un nouveau centre de calcul à bonne distance de Paris. L objectif est la consolidation des salles informatiques existantes. Pour Pascal Faucillon, responsable du projet nouveau centre de calcul à EDF, le projet doit relever les nouveaux défis de l hébergement informatique. Pour commencer, il devra répondre aux besoins de haute disponibilité pour certaines applications critiques de l entreprise, mais également faire face à la forte croissance de la consommation électrique des serveurs informatiques de ces dernières années. Sans oublier de contribuer à l efficacité opérationnelle et à la maîtrise des coûts, et enfin, s inscrire dans la démarche de développement durable. Le premier défi de la disponibilité repose sur deux composantes principales: la disponibilité du centre de calcul et celle de l application informatique indique Pascal Faucillon. En ce qui concerne la disponibilité du centre de calcul, EDF vise un Tier IV selon la classification de l Uptime Institute. C est le niveau visé actuellement par les entreprises comparables à EDF par leur taille et la criticité de leur SI. Ce niveau implique la redondance des équipements électriques et de climatisation. Le challenge du projet EDF est d offrir ce niveau de disponibilité à un prix compétitif grâce à une production centralisée d électricité ondulée et de froid. Pascal Faucillon précise que une fois le niveau de redondance fixé, toute la conception a été orientée par l optimisation du bilan énergétique : être le plus efficace possible pour produire l électricité ondulée et le froid nécessaires aux serveurs informatiques. EDF a simulé de nombreuses configurations techniques pour identifier la meilleure, d un point de vue économique et également en termes de développement durable. L équipe projet a élaboré ses choix de solutions techniques en s appuyant sur l expertise interne et externe à EDF. Elle a travaillé sous forme de task force avec plusieurs intervenants: EDF Optimal Solutions, filiale d EDF spécialisée dans l éco efficacité énergétique, Critical Building, expert en Datacenters, appui à maîtrise d ouvrage du projet, Iosis en tant que maîtrise d œuvre de conception du projet et Axima en charge du lot Climatisation. L innovation principale réside dans la sophistication de la régulation de la climatisation. On retrouve les mêmes problématiques que dans l automobile où c est l association d un moteur économe et de son calculateur qui permet d atteindre la plus faible consommation et le minimum de rejets précise Pascal Faucillon. Il ajoute que le projet a beaucoup travaillé sur ces deux dimensions, ce qui a permis d une part de réduire le coût de l hébergement informatique et d autre part de répondre aux problématiques environnementales.

La phase de conception est achevée et le projet est désormais dans sa phase de réalisation. A terme, le centre de calcul comprendra deux bâtiments informatiques de 4500 mètres carrés chacun, deux bâtiments techniques de 2250 mètres carrés chacun consacrés à la production d électricité ondulée et de froid et un bâtiment logistique de 1500 m 2. Le centre de calcul est évolutif et peut augmenter sa production d électricité ondulée de 33% sans avoir à construire de nouveaux bâtiments. C est un important chantier puisqu il peut y avoir jusqu à 250 personnes simultanément à pied d œuvre et mobilisant 4 grues. Il se décompose en quatre lots principaux : BTP avec Vinci, Électricité avec Clemessy, Climatisation avec Axima et fourniture des systèmes d énergie No-break avec Piller. Les fondations et les dalles sont achevées, les élévations et planchers hauts en cours de réalisation. La mise en service de ce centre de calcul est prévue pour le second semestre 2010. Avec DB2 9.7, IBM espère contrer Oracle http://www.indexel.net/actualites/avec-db2-9-7-ibm-espere-contrer-oracle-2872.html La nouvelle mouture de la base de données relationnelle d'ibm facilite la migration des bases Oracle. Elle stocke également plus efficacement les données XML. Oracle est toujours le leader des bases de données relationnelles avec 44,3 % de part de marché. Et ce d'autant plus qu'en rachetant Sun l'éditeur acquiert la principale base de données open source. Plutôt que d'affronter ce concurrent de poids, IBM (21 % de part de marché) vient de trouver une solution plus subtile. Disponible en juin, la version 9.7 (Cobra) de DB2 est désormais compatible avec Oracle Database. IBM a réussi ce tour de force en intégrant EnterpriseDB à son SGBD/R. EnterpriseDB est une version modifiée de PostgreSQL, compatible avec Oracle. Elle est maintenue par l'éditeur éponyme avec lequel IBM vient de signer un accord. De quoi faciliter la migration d'oracle vers DB2... ou EnterpriseDB. Parmi les autres nouveautés de cette nouvelle version, DB2 9.7 gère enfin nativement les données XML. Selon IBM, la gestion native du format XML permettrait de réduire l'espace de stockage nécessaire tout en améliorant les performances. Le gain est tel que Big Blue annonce 75 % de consommation d'énergie en moins pour stocker et accéder aux mêmes données (par rapport aux versions précédentes). Ce gain d'énergie est loin d'être un détail car le stockage de données est l'élément des centres informatiques dont la consommation d'énergie croit le plus vite. Et pour cause : le volume de données stockées a été multiplié par 69 en dix ans. "Les banques, le secteur de la santé et de la vente de détail se battent face à l'augmentation des coûts de gestion et à la hausse de leurs dépenses d'énergie pour gérer, analyser et accéder à l'ensemble de leurs informations", rappelle Arvind Krishna, vice-président Serveurs de données chez IBM. Enfin, fidèle à son principe d'autonomic computing, IBM a amélioré les fonctionnalités de gestion automatique de la charge (workload management) afin de "réduire l'effort d'administration de l'ordre de 35 %, tout en améliorant les performances des applications critiques". Office 2007 SP2 s'ouvre au format concurrent ODF http://www.silicon.fr/fr/news/2009/04/29/office_2007_sp2_s_ouvre_au_format_concurrent_odf Comme promis, la suite bureautique de Microsoft s ouvre au format ODF. Une avancée significative. Microsoft vient de lancer officiellement le Service Pack 2 d Office 2007 (SP2). Il pourra être téléchargé à cette adresse (attention, il pèse plus de 300 Mo). Il sera également possible de l installer via Windows Update, qui proposera cette mise à jour automatiquement. Le SP2 d Office 2007 apporte son lot de corrections de bogues, mais intègre aussi plusieurs nouveautés. La plus importante est le support du format ODF 1.1 (Open Document Format), popularisé par OpenOffice.org. Word 2007, Excel 2007 et PowerPoint 2007 pourront lire et écrire des fichiers ODF. Excellente nouvelle qui profitera à tous les utilisateurs, ceux d Office comme d OpenOffice.org. L ensemble des logiciels de la suite bureautique (hormis Outlook) pourra dorénavant exporter des documents en PDF ou en XPS. Ceci était auparavant possible en installant un module complémentaire. Microsoft profite de cet ajout pour améliorer le support PDF qui reconnaîtra le PDF 1.5 et le PDF/A. Le PDF/A est un format standardisé spécifiquement dédié aux opérations d archivage. Là encore, c est un ajout plus que bienvenu. Outlook 2007 SP2 bénéficie lui aussi de plusieurs corrections : plus stable il sera selon l éditeur jusqu à 35 % plus rapide que la mouture précédente. Enfin, les performances et le niveau de sécurité de SharePoint Server 2007 sont en progrès. Prochaine étape pour Microsoft ; la sortie du SP2 de Windows Vista! Une famille iphone en préparation chez Apple http://www.digitalworld.fr/une-famille-iphone-en-preparation-chez-apple,8432,a.html Jusqu à la présentation en juin prochain du ou des descendants de l iphone 3G, les rumeurs ne vont pas manquer. Cette fois, c est le magazine américain Business Week qui fait état de discussions avancées entre Apple et l opérateur Verizon pour la commercialisation de deux terminaux mobiles. L un serait un «iphone lite», l autre une sorte de tablette tactile orientée multimédia selon une source certainement interne puisqu elle aurait pu approcher les deux appareils. Pour élargir sa gamme iphone, Apple sortirait donc un modèle plus fin, plus léger et moins cher. Objectif, descendre le prix du smartphone afin de contrer l arrivée de nouveaux concurrents (le Pre de Palm ou les mobiles Google Android ) en utilisant un jeu de composants (system on a chip) moins onéreux. Ce dernier serait également utilisé sur une tablette proche d un MID (Mobile Internet Device). Plus compact que le Kindle d Amazon, son écran tactile serait néanmoins plus grand. Axé sur les loisirs multimédia, il permettrait de profiter de sa musique, de ses photos et de visionner des vidéos HD. Et grâce à son interface WiFi, il serait capable de passer des appels via des solutions VoIP. Si l idée d un iphone «allégé» ne paraît pas saugrenue, on voit tout de même mal Apple faire l impasse sur un terminal mobile plus évolué - un iphone 3G remis au goût du jour. Finalement, la société de Cupertino aura peut-être trois appareils à présenter cet été : un iphone pour petits budgets, un haut de gamme et une tablette tactile. Avec Cortado, le mobile génère désormais des PDF http://www.atelier.fr/mobilite/10/29042009/mobile-smartphone-scanner-pdf-blackberry-38180-.html#xtor=epr-233-[html]-20090429 Le service permet aux utilisateurs d'un BlackBerry de créer des documents de format PDF. Ils peuvent ensuite transférer les documents vers différents terminaux. TimeStream proposait déjà de transformer les PDF en format lisible par les baladeurs numériques. En insérant dans le BlackBerry une application qui génère directement des fichiers en format PDF, le fournisseur de services mobiles Cortado fait un pas de plus vers la convergence. Désormais, les utilisateurs de BlackBerry seront en mesure, via le serveur de Cortado, de créer des documents de format PDF, et de travailler directement au cœur de ces derniers.

L'appareil photo devient scanner mobile Cette technologie est renforcée par une autre application développée par la même entreprise. Celle-ci transforme l'appareil photo du smartphone BlackBerry en scanner mobile. Une fois un texte scanné par le mobile puis copié, l'utilisateur a donc la possibilité de transformer ce contenu en un document PDF. Puis de l'exploiter notamment en le transférant par email, par fax, ou encore en l'imprimant via une imprimante Bluetooth. Un format adapté à plusieurs utilisations L'utilisateur peut aussi transférer ce fichier PDF créé par son mobile vers un ordinateur, afin de le consulter. Cortado propose également d'accéder en temps réel aux comptes-rendus d'impression des documents créés. In Major Shift, Apple Builds Its Own Team to Design Chips http://online.wsj.com/article/sb124104666426570729.html Apple Inc. is building a significant capability to design its own computer chips, a strategy shift that the company hopes will create exclusive features for its gadgets and shield Apple's work from rivals. The Silicon Valley trend-setter has been hiring people from many different segments of the semiconductor industry, including engineers to create multifunction chips that are used in cellphones to run software and carry out other chores. Apple could use the internally developed chips to sharply reduce the power consumption of its iphone and ipod touch, and possibly add graphics circuitry to help its hardware play realistic game software and high-definition videos, people familiar with its plans say. In one sign of the new focus, Apple recently hired Raja Koduri, who was formerly the chief technology officer of the graphics products group at chip maker Advanced Micro Devices Inc. Mr. Koduri started at Apple this week, following in the footsteps of Bob Drebin, who had held the same title at AMD and is also now working for Apple. Online job postings from Apple describe dozens of chip-related positions it is trying to fill, some with partial descriptions like "testing the functional correctness of Apple developed silicon." Besides a desire to beat rivals to market with new features, Apple's shift is also an effort to share fewer details about its technology plans with external chip suppliers, say people familiar with the moves. The new effort faces plenty of hurdles, and people familiar with Apple's plans don't expect internally designed chips to emerge until next year at the earliest. Still, Apple's aggressive hiring is another sign of how the company's recent success has allowed it to expand while other tech giants have trimmed their work forces in the recession. Apple's strategy also marks a break from a long-term trend among most big electronics companies to outsource the development of chips and other components to external suppliers. Last sp Steve Jobs explained the purchase of Silicon Valley start-up P.A. Semi as a way to acquire expertise and technology to help run increasingly sophisticated software on iphones and ipods. "You can't just go out and buy the chips off the shelf to do that," said Mr. Jobs. Most cellphones are based on chip designs licensed by ARM Holdings PLC to others. For the iphone, Samsung Electronics Co. supplies an ARM-based microprocessor with custom features developed by Apple, analysts say. People familiar with Apple's thinking say executives have expressed concern that some information shared with outside vendors could find its way into chips sold to Apple competitors. A Samsung spokeswoman declined comment. People familiar with the situation say Mr. Jobs told P.A. Semi engineers last April that he wanted to develop chips internally and didn't want knowledge about the technology to leave Apple. Mr. Jobs is on medical leave and was unavailable for comment. People familiar with Apple's plans expect former P.A. Semi engineers to help create ARM-based chips that could improve the performance and battery life of future iphones. Apple's hiring spree in semiconductors started well before the acquisition and has continued through the past few months, according to postings on the networking site LinkedIn. The site contains more than 100 people listing current Apple job titles and past expertise in chips, including veterans of Intel Corp., Samsung and Qualcomm Inc. Apple's own job postings, some aggregated by the site Indeed.com, provide clues about possible features to come. Two recent postings involve handwriting recognition technology; several others seek expertise in chips for managing displays. Apple participated in a job fair earlier this month for soon-to-be-unemployed engineers at memory chip company Spansion Inc., which sought bankruptcy protection in March, people familiar with the situation said. Une nouvelle initiative pour l'interopérabilité lité du cloud computing http://pro.01net.com/editorial/501667/une-nouvelle-initiative-pour-linteroperabilite-du-cloud-computing/ Treize poids lourds de l'informatique veulent élaborer des standards pour l'administration des nuages informatiques et les rendre plus interopérables. L'encre de l'open Cloud Manifesto («Manifeste pour les nuages ouverts») est à peine sèche qu'une nouvelle initiative pour l'interopérabilité des nuages informatiques voit déjà le jour : l'open Cloud Standards Incubator. Lancée au sein de l'association Distributed Management Task Force (DMTF), elle regroupe treize fournisseurs informatiques, dont AMD, Intel, Cisco, VMware, HP ou IBM. Ensemble, ils veulent élaborer des standards communs pour faciliter l'administration des plates-formes de cloud computing et, en particulier, accroître l'interopérabilité entre les nuages privés, semi-privés et publics. Les travaux s'étendront jusqu'au premier trimestre de 2010. Les résultats seront présentés sous la forme d'extensions de spécifications du format OVF et de standards DMTF existants. Parmi ces standards figurent le Common Information Model, qui spécifie les données d'administration ; l'alert Standard Format, qui définit le format des alertes ; le Web-Based Enterprise Management, qui regroupe des technologies pour unifier la gestion des systèmes. L'objectif de ce groupe de travail est que les entreprises ne soient pas prisonnières d'une plate-forme, mais puissent aisément migrer leurs services et leurs applications d'un nuage vers un autre. «Le but ultime est que les clients puissent choisir où ils feront exécuter leurs applications de la manière la plus sécurisée et la plus efficace», souligne Stephen Herrod, directeur technique de VMware. Comme pour l'open Cloud Manifesto, le principal défaut de cette initiative est que, hormis Microsoft, elle ne regroupe pas les principaux acteurs du cloud computing que sont Amazon, Salesforce et Google. Par ailleurs, la multiplication des initiatives autour de l'interopérabilité risque, in fine, de nuire à la cause première. Outre le DMTF et l'open Cloud Manifesto, il existe également l'open Cloud Consortium (porté par Cisco et Yahoo!) et le projet européen Reservoir (porté par IBM, SAP et Sun). Ce dernier est arrivé à migrer les machines virtuelles à chaud et sans limite géographique. Google : la personnalisation SearchWiki débarque en France http://www.generation-nt.com/google-searchwiki-personnalisation-resultats-actualite-729391.html La fonctionnalité SearchWiki du moteur Google est désormais accessible pour sa version française, ouvrant la voix à la personnalisation des résultats de recherche. Repérée par Google XXL, la fonctionnalité SearchWiki signe son arrivée dans la version française du moteur de recherche Google. Déjà présentée dans nos colonnes du temps où elle n'était l'apanage que de la seule version mondiale de Google, cette fonctionnalité mérite

son attribut de Wiki du fait qu'un utilisateur peut agir sur la page des résultats affichée. De la personnalisation via la réorganisation de l'ordre des résultats, leur suppression ou encore l'ajout de commentaires. Deux icônes disposées à droite d'un résultat de recherche sont prévues à cet effet. Une flèche permet de placer un résultat en haut de page et le cas échéant, une flèche dirigée vers le bas sert à rétablir l'ordre initial fruit du PageRank. Une icône en forme de croix permet la suppression d'une entrée. Il est aussi possible via un phylactère d'ajouter un commentaire, tandis qu'un lien disposé en bas de page permet d'ajouter un résultat. C'est également en bas de page que la personnalisation ainsi opérée peut être affichée via le lien " Afficher toutes mes notes SearchWiki " et éventuellement en vue d'une restauration. Le lien " Toutes les notes de ce SearchWiki " permet d'observer les modifications apportées par d'autres utilisateurs sur une recherche spécifique, et donc une expérience dans le domaine de la recherche collaborative. La fonctionnalité SearchWiki n'est activée que sous réserve de connexion à son compte Google et se cantonne à ce registre, à savoir qu'une personnalisation reste propre à un utilisateur enregistré. La question est de savoir le sort futur que réserve Google à SearchWiki mais son internationalisation tend à prouver que Google a quelque chose en tête.