Expression de la Concession et de l Opposition in. La photographie scientifique Par Gérard BETTON (PUF, 1975) 04/06/2015



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1 Expression de la Concession et de l Opposition in La photographie scientifique Par Gérard BETTON (PUF, 1975)

2 Concession /Opposition Compléter avec un des mots ou expressions suivantes : au lieu de / au lieu d, au contraire, cependant, en revanche, mais, mais aussi, mais également, même dans, toutefois, PHRASES du Chapitre VII : Enregistrement des faisceaux d électrons pp. 66.76 66 : De ce fait, le pouvoir séparateur du microscope optique (ou photonique) ne peut, les circonstances les plus favorables, s abaisser au-dessous du dixième de micron, et les grandissements pratiquement réalisables ne dépassent pas 2 000. 66 : S il est assez facile d observer les bactéries qui, selon les espèces, mesurent de quelques dixièmes de micron à quelques microns,, il est beaucoup plus difficile de distinguer les détails de leurs structures. 66 : on peut recourir à l ultramicroscope, ou, éclairer l objet à l aide de photons de lumière visible, utiliser des électrons de plus courte longueur 68 : il devenait possible d étudier des préparations microscopiques d une épaisseur pouvant atteindre 9/1 000 de millimètre de 0,1/1 000 de millimètre avec les microscopes électroniques traditionnels. 68 : Ce microscope se révélait d un grand intérêt, notamment pour l étude des métaux et des alliages, l observation de la matière vivante grâce au minimum d échauffement et d ionisation des sujets soumis aux faisceaux d électrons. 68-69 : Aujourd hui, des microscopes électroniques à 1 million de volts sont fabriqués industriellement, et un prototype fonctionnant sous une tension de 3,5 millions de volts vient d être construit et mis en service à Toulouse. Le pouvoir séparateur peut être abaissé jusqu à 1 Å et devrait permettre de voir les atomes d un cristal., les remarquables possibilités de ces microscopes à très haute / tension sont limitées par le fait que les images des objets amorphes, observées par transmission dans les conditions habituelles, présentent un très faible contraste. 69 : En microscopie conventionnelle à fond clair, seuls les électrons ayant passé au travers de l objet forment l image. Cela exige donc la transparence de cet objet et les spécimens étudiés ne doivent pas avoir plus de quelques microns d épaisseur. Par ailleurs, l image obtenue ne correspond pas à la vision réelle de l échantillon : elle est bidimensionnelle et ne restitue donc ni volumes, ni contours., dans la technique conventionnelle à fond noir, un diaphragme de contraste intercepte totalement le faisceau traversant directement l objet et ne laisse passer que les électrons diffusés, par interaction avec le spécimen, sous un angle inférieur au demi-angle d ouverture de l objectif 71 : Il (le microscope électronique à balayage) n est pas seulement un instrument d observation, peut être un instrument d analyse.

3 73 : L image électronique peut être enregistrée en photographiant l écran fluorescent, on préfère aujourd hui faire agir directement les électrons sur la couche photographique l écran fluorescent étant surtout utilisé pour le réglage et pour le centrage de l image comme pour le choix de l agrandissement. 74-75 : La durée d exposition dépend dans une large mesure des caractéristiques du microscope électronique utilisé, de l énergie des électrons, de l intensité du faisceau électronique, de la préparation, de la sensibilité de l émulsion, et de la technique de développement suivie. Pour sa détermination, il convient de se livrer à des essais pratiques préalables dans les conditions de travail propres à chaque laboratoire., les fabricants fournissent pour leurs plaques et films des notices avec les courbes qui correspondent à leurs révélateurs employés dans des conditions déterminées. 75 : Ce contraste dépend du révélateur, de la température, de la durée du développement. Le contraste est fonction également de l énergie des électrons et de l intensité du faisceau électronique., l influence de ces deux facteurs est négligeable pour les tensions d accélération habituelles (comprises entre 40 et 200 kv).

4 Corrigé : (Chapitre VII) 66 : De ce fait, le pouvoir séparateur du microscope optique (ou photonique) ne peut, même dans les circonstances les plus favorables, s abaisser au-dessous du dixième de micron, et les grandissements pratiquement réalisables ne dépassent pas 2 000. 66 : S il est assez facile d observer les bactéries qui, selon les espèces, mesurent de quelques dixièmes de micron à quelques microns, en revanche, il est beaucoup plus difficile de distinguer les détails de leurs structures. 66 : on peut recourir à l ultramicroscope, ou, au lieu d éclairer l objet à l aide de photons de lumière visible, utiliser des électrons de plus courte longueur 68 : il devenait possible d étudier des préparations microscopiques d une épaisseur pouvant atteindre 9/1 000 de millimètre au lieu de 0,1/1 000 de millimètre avec les microscopes électroniques traditionnels. 68 : Ce microscope se révélait d un grand intérêt, notamment pour l étude des métaux et des alliages, mais aussi l observation de la matière vivante grâce au minimum d échauffement et d ionisation des sujets soumis aux faisceaux d électrons. 68-69 : Aujourd hui, des microscopes électroniques à 1 million de volts sont fabriqués industriellement, et un prototype fonctionnant sous une tension de 3,5 millions de volts vient d être construit et mis en service à Toulouse. Le pouvoir séparateur peut être abaissé jusqu à 1 Å et devrait permettre de voir les atomes d un cristal. Cependant, les remarquables possibilités de ces microscopes à très haute / tension sont limitées par le fait que les images des objets amorphes, observées par transmission dans les conditions habituelles, présentent un très faible contraste. 69 : En microscopie conventionnelle à fond clair, seuls les électrons ayant passé au travers de l objet forment l image. Cela exige donc la transparence de cet objet et les spécimens étudiés ne doivent pas avoir plus de quelques microns d épaisseur. Par ailleurs, l image obtenue ne correspond pas à la vision réelle de l échantillon : elle est bidimensionnelle et ne restitue donc ni volumes, ni contours. Au contraire, dans la technique conventionnelle à fond noir, un diaphragme de contraste intercepte totalement le faisceau traversant directement l objet et ne laisse passer que les électrons diffusés, par interaction avec le spécimen, sous un angle inférieur au demi-angle d ouverture de l objectif 71 : Il (le microscope électronique à balayage) n est pas seulement un instrument d observation, mais peut également être un instrument d analyse. 73 : L image électronique peut être enregistrée en photographiant l écran fluorescent, mais on préfère aujourd hui faire agir directement les électrons sur la couche photographique l écran fluorescent étant surtout utilisé pour le réglage et pour le centrage de l image comme pour le choix de l agrandissement. 75 : Ce contraste dépend du révélateur, de la température, de la durée du développement. Le contraste est fonction également de l énergie des électrons et de l intensité du faisceau

5 électronique. Cependant, l influence de ces deux facteurs est négligeable pour les tensions d accélération habituelles (comprises entre 40 et 200 kv). 74-75 : Pour sa détermination, il convient de se livrer à des essais pratiques préalables dans les conditions de travail propres à chaque laboratoire. Toutefois, les fabricants fournissent pour leurs plaques et films des notices avec les courbes qui correspondent à leurs révélateurs employés dans des conditions déterminées. 72 : En fait, pour conserver les avantages des microscopes à balayage tout en obtenant des images plus brillantes et plus visibles et un pouvoir séparateur élevé, il semble que la tendance aille de plus en plus vers une synthèse du microscope conventionnel et du microscope à balayage.

6 La photographie scientifique - Chapitre X. La spectrographie Photographie et analyse spectrale pp. 90-97 Compléter avec un des mots ou expressions suivantes : alors, au contraire, mais, quoique, sans 90 : Les spectres d émission proviennent des corps lumineux eux-mêmes. Ils peuvent être continus : c est le cas avec les solides ou les liquides incandescents, qui émettent généralement toutes les radiations. Les gaz, formés d atomes, émettent des radiations discontinues : raies brillantes sur fond noir. 90 : A cause de la rareté des réseaux de bonne qualité, les spectrographes à réseau ne sont guère employés en Europe que pour l étude du Soleil. Ce sont des spectrohéliographes, qui servent à photographier les détails de la surface solaire en utilisant la lumière provenant d une radiation unique du spectre. 91 : Les meilleurs spectromètres visuels permettent des mesures très rapides de longueur d onde, une précision le plus souvent limitée à 0,1 Å. 92 : Parmi les quelque dix-huit types différents de plaques spéciales pour la spectroscopie que fabrique Eastman-Kodak à Rochester, figure la série des plaques 103 a, aux sels d or, ultra-sensibles peu durables et d une conservation difficile. 92 : Sur certains spectrographes modernes pour analyse chimique, on peut mesurer directement la position des raies sur le spectre lumineux l intermédiaire de la plaque photographique : 93 La méthode photographique, plus longue, reste utilisée, car elle présente l avantage essentiel de donner des documents permanents qu on peut ensuite étudier à loisir. 94 : La photo-électricité a permis de faire de grands progrès dans la réalisation de récepteurs de lumière et, lorsqu il s agit de mesurer un flux lumineux, les photomultiplicateurs modernes atteignent presque la perfection. bien des problèmes ne peuvent être résolus par les photomultiplicateurs, en particulier lorsqu il est nécessaire d enregistrer une image. 95 : Dans ces dispositifs, un télescope ordinaire projette l image non plus sur une plaque photographique sur une photocathode. 95 : Dans le second cas, l image se dessine directement sur la plaque sensible aux électrons. C est la technique de l électronographie appliquée à la caméra électronique Lallemand. Cet appareil ne peut fournir que les détails transmis par le télescope, il les donne avec des poses jusqu à 100 fois plus courtes. 94 : Figure 15 : Astronomie télescope.

7 Corrigé (Chapitre X) 90 : Les spectres d émission proviennent des corps lumineux eux-mêmes. Ils peuvent être continus : c est le cas avec les solides ou les liquides incandescents, qui émettent généralement toutes les radiations. Les gaz, formés d atomes, émettent au contraire des radiations discontinues : raies brillantes sur fond noir. 90 : A cause de la rareté des réseaux de bonne qualité, les spectrographes à réseau ne sont guère employés en Europe que pour l étude du Soleil. Ce sont alors des spectrohéliographes, qui servent à photographier les détails de la surface solaire en utilisant la lumière provenant d une radiation unique du spectre. 91 : Les meilleurs spectromètres visuels permettent des mesures très rapides de longueur d onde, mais une précision le plus souvent limitée à 0,1 Å. 92 : Parmi les quelque dix-huit types différents de plaques spéciales pour la spectroscopie que fabrique Eastman-Kodak à Rochester, figure la série des plaques 103 a, aux sels d or, ultra-sensibles mais peu durables et d une conservation difficile. 92 : Sur certains spectrographes modernes pour analyse chimique, on peut mesurer directement la position des raies sur le spectre lumineux sans l intermédiaire de la plaque photographique : 93 La méthode photographique, quoique plus longue, reste utilisée, car elle présente l avantage essentiel de donner des documents permanents qu on peut ensuite étudier à loisir. 94 : La photo-électricité a permis de faire de grands progrès dans la réalisation de récepteurs de lumière et, lorsqu il s agit de mesurer un flux lumineux, les photomultiplicateurs modernes atteignent presque la perfection. Mais bien des problèmes ne peuvent être résolus par les photomultiplicateurs, en particulier lorsqu il est nécessaire d enregistrer une image. 95 : Dans ces dispositifs, un télescope ordinaire projette l image non plus sur une plaque photographique mais sur une photocathode. 95 : Dans le second cas, l image se dessine directement sur la plaque sensible aux électrons. C est la technique de l électronographie appliquée à la caméra électronique Lallemand. Cet appareil ne peut fournir que les détails transmis par le télescope, mais il les donne avec des poses jusqu à 100 fois plus courtes. 94 : Figure 15 : Astronomie sans télescope