Cours réalisé par Benjamin Putois (2006). 16

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Cours réalisé par Benjamin Putois (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 16"

Transcription

1 Transduction Potentiel d action Inhibition Excitation Antagonisme fonctionnel Inhibition latérale Condensation - compression Modélisation I.A. Intégration - calcul (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 16

2 L oeil Vidéo enter in the eye (2006). 17

3 La rétine 5 types de cellules rétiniennes: Les cellules photoréceptrices, les cellules bipolaires, les cellules ganglionnaires. Les inter-neurones: les cellules horizontales et les cellules amacrines. Autre schéma microscope 1. Le système visuel nerveux recueille, environ trois fois par secondes, le nombre fourni par chacun des millions de photorécepteurs. 2. Les photorécepteurs représentent 70% de nos récepteurs sensoriels 3. Elle ne mesure que 200 à 300 micromètres, comme le film d une lame de rasoir ou la moitié d une carte de crédit. 4. Décrire les 5 types de cellules de la rétine. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 18

4 L oeil (2006). 19

5 La rétine 1. Notre rétine est une rétine de type inversée. (2006). 20

6 La rétine (2006). 21

7 Les cônes et bâtonnets Il existe deux types de photorécepteur: Les bâtonnets: plus présent en périphérie rétinienne. Au nombre de 100 millions, ils participent au système scotopique (du grec, skotos, obscurité), ils fonctionnent à un faible niveau d intensité lumineuse, on parle de vision nocturne. Les cônes: Au nombre de 4 millions, ils participent au système photopique ( du grec phos, lumière) qui exige beaucoup de lumière, on parle de vision de jour, et qui effectue des traitements beaucoup plus fins. Les cônes sont principalement concentrés dans la fovéa. Leur petit champ récepteur est à l origine de la grande résolution spatiale de la vision centrale. 1. Faire expérience des crayon et de la vision de la couleur en périphérie. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 22

8 Les cônes et bâtonnets (2006). 23

9 De la lumière au message nerveux Le pigment des cônes est la molécule qui interagit avec la lumière, s appelle iodopsine. Elle est constituée de l'union de deux molécules: (1) Le rétinal est une molécule dérivée de la vitamine A. Il a la capacité de s'isomériser en contact avec un photon, ce que l'on appelle la photoisomérisation; il passe alors de sa forme 11-cisrétinal en tout-trans-rétinal. C'est donc celui-ci qui déclenchera la suite de réactions aboutissant à la vision. (1) L opsine est une chaîne protéique : elle existe sous trois formes (la composition d acides aminés est différentes) qui détermine trois probabilités d absorption d un photon par le rétinal. 1. Les 3 types d opsines est à la base de 3 types d iodopsine et par extension trois type de pigments, et donc trois types de cônes. Remarquons que l opsine est acide aminé codé par notre génome. Voir partie sur daltonisme. 2. Pour les bâtonnets, ce n est pas l iodopsine mais la rodhopsine. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 24

10 De la lumière au message nerveux Obscurité: Iodopsine inactive Rétinal Opsine Cascades enzymatiques La molécule GMPc maintient des canaux sodium ouvert. Dépolarisation de la membrane du cône (tension membranaire de -40mV) Taux de décharge du glutamate est haut. Les cônes répondent Lumière: Iodopsine active Opsine libérée Cascades enzymatiques Le taux de GMPc baissent, fermetures des canaux sodium. Hyperpolarisation de la membrane du cône (tension membranaire de - 80mV) Taux de décharge du glutamate diminue. Les cônes ne répondent plus Détail cascade enzymatique 1. A retenir: si obscurité les cônes libèrent du glutamate, si lumière les cônes libèrent moins de glutamate. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 25

11 De la lumière au message nerveux Cascade enzymatique: Libération de l opsine Activation de la proteïne G, transducine Activation de la phosphodiestérase Hydrolysation de GMPc Concentration de GMPc baisse Fermeture des canaux sodiums (Na+) Rappel tension membranaire Hyperpolarisation de la membrane: Le milieu extérieur de la cellule est de plus en plus positif, la tension membranaire passe de -40 à -80mV. 1. Phénomène d amplification: Si un photon ne faisait qu une seule cascade enzymatique alors il y aurait que trop peu de réponse des cônes. Pour un photon, une molécule d opsine est libérée mais une opsine active plusieurs transducine. De plus, l hydrolysation d un seul GMPc entraîne la fermeture non pas d un seul canaux mais de 106 canaux. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 26

12 De la lumière au message nerveux Détail du schéma 1. Le mécanisme de transduction est le transfert de l énergie lumineuse en signal électrique 2. OBSCURITE IODOPSINE INACTIVE, CANAUX IONINQUE RESTENT OUVERT SOUS ACTION DU GMPc DEPOLARISATION 3. LUMIERE IODOPSINE ACTIVE, CANAUX IONIQUE SE FERMENT CAR HYDROLYSATION DU GMPc, CATION NE RENTRE PLUS DONC HYPERPOLARISATION (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 27

13 De la lumière au message nerveux Le mécanisme de transduction est le transfert de l énergie lumineuse en signal électrique (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 28

14 De la lumière au message nerveux RAPPEL (2006). 29

15 De la lumière au message nerveux RAPPEL 1.Stockage du glutamate dans une vésicule synaptique; 2.L'arrivée du potentiel de récepteur dans la terminaison présynaptique; 3. Fusion des vésicules avec la membrane pré-synaptique; 4. Libération du glutamate dans la fente synaptique; 5. Fixation du glutamate sur les récepteurs de la membrane postsynaptique; 6. Nouveau potentiel de récepteur; 7. Inactivation du glutamate par des enzymes; 8. Recapture du glutamate. (2006). 30

16 Connexion Cônes-bipolaires Deux types de synapses: Synapse à rubans: connexion avec cellule bipolaire de type invaginée (BipI), si glutamate alors inhibition. Synapse superficielle: connexion avec cellule bipolaire de type superficielle (BipS), si glutamate alors excitation. Fin de la stimulation lumineuse: Augmentation du glutamate BipI inhibée BipS activée Début de la stimulation lumineuse: Baisse du glutamate BipI moins inhibée BipS moins activée Voie OFF. Les BipS codent La diminution locale de luminance Voie ON. Les BipI codent l augmentation locale de luminance 1. Les premiers niveaux de la rétine codent les changements de luminance. Nous avons deux sous-images qui sont le négatif de l une de l autre qui codent l une les augmentations de lumière, l autre les diminutions de luminances. On ne mesure donc pas le niveau de luminance en tant que tel. Les deux système sont indépendants et fonctionnent en parallèle. 2. BIPOLAIRE INVAGINEE: inhibée si glutamate. 3. BIPOLAIRE SUPERFICIELLE: excité si glutamate. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 31

17 Connexion bipolaires-ganglionnaires Synapses Glutamates: Les BipS sont connectées à des cellules ganglionnaires de type OFF. Les BipI sont connectées à des cellules ganglionnaires de type ON. Réponse des cellules ganglionnaires: Les ganglionnaires ON envoient donc des influx le long des fibres optiques au début de la stimulation lumineuse; les ganglionnaires OFF à la fin. Le message nerveux en amplitude est transformé en un message codé par la fréquence des potentiels d'action. (2006). 32

18 Notion de champ récepteur Convergence: En vision photopique : 6 millions de cônes et 1 millions de cellules ganglionnaires? compression. La densité des photorécepteurs diminue avec l excentricité rétinienne. La convergence augmente avec l excentricité rétinienne. 1. Compression de l information. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 33

19 Notion de champ récepteur L'ensemble des photorécepteurs en relation avec une même cellule ganglionnaire forme son champ récepteur. Au centre, la population de cônes en contact synaptique direct. A la périphérie, la population de cônes connectée à la cellule bipolaire via les cellules horizontales. Ce mode de codage permet de faire une opposition spatiochromatique et l analyse du contraste entre le pourtour et le centre. 1. Le réseaux de neurones rétiniens joue un rôle de compression de données (Wandell, 1995). On passe de 100 millions de récepteurs à 1,5 millions de cellules ganglionnaires. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 34

20 Notion de champ récepteur lumière photorécepteurs Le champ récepteur d un neurone est déterminé par les liaisons convergentes qu il entretient avec les niveaux plus précoces de traitement. C. bipolaire C. ganglionnaire (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 35

21 Notion de champ récepteur Détermination d un champ récepteur 1. Compression de l information. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 36

22 Notion de champ récepteur 1. Prenons l exemple du dessus, nous voyons que la fréquence de réponse de la cellule ganglionnaire OFF augmente si son centre est dans l obscurité. 2. Une cellule ganglionnaire ON répondrait spécifiquement si le centre de son champ récepteur serait lumineux et son pourtour sombre. - A tous les étages du système visuel, chaque neurone est connecté à une population de récepteurs localisés dans la même région de la rétine : son champ récepteur. - Lorsque cette région est stimulée par un petit flash lumineux, on provoque un changement de l activité électrique du neurone. - Selon la position de la stimulation, la réponse est excitatrice (ON) ou inhibitrice (OFF). Les cellules ganglionnaires ont des champs récepteurs circulaires comprenant deux zones concentriques à activités antagonistes (ON/OFF ou OFF/ON) (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 37

23 Notion de champ récepteur ON/OFF 1. Compression de l information. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 38

24 Notion de champ récepteur Les cellules horizontales ont une action inhibitrices des cônes en pourtour sur les cellules du centre du champ récepteur, on parle d inhibition latérale. Elle permet un antagonisme fonctionnel entre le centre et le pourtour. 1. Compression de l information. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 39

25 et Inhibition latérale lumière Photorécepteur -0,5 1-0,5 Poids des connexions ,5 C. ganglionnaire réponse 2,5 Ce sont les bases de l intelligence artificielle. Par ce jeux de connexions inhibitrices et excitatrice, nous pouvons faire énormément de calculs différents de plus en plus complexe proportionnellement à l accroissement du nombres de neurones et surtout du nombre de connexions (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 40

26 La grille d Hermann-Hering Les contrastes perçus aux intersections sont attribués à la variation de la fréquence des potentiels d action selon les surfaces relatives des régions ON et OFF des CR. La fréquence des potentiels d action est maximale quand la région ON est entièrement éclairée et la région OFF totalement sombre. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 41

27 Cellules ganglionnaires Cellules ganglionnaires détecteurs de contrastes spatiaux : Les champs récepteurs des cellules ganglionnaires sont circulaires et comprennent deux régions concentriques à activités antagonistes. Cellules ganglionnaires (2) détecteurs de contrastes spatiaux : Les champs récepteurs des cellules ganglionnaires sont circulaires et comprennent deux régions concentriques à activités antagonistes. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 42

28 Rôle de l interface rétinien: Conclusion. En entrée: variation de luminance captée par les molécules de iodopsines. Etapes 2: transduction de l énergie lumineuse en potentiel récepteur par les cônes. Discrimination entre 3 longueurs d ondes correspondant au rouge, vert et bleu. Codage du début et de la fin de la stimulation lumineuse. Etapes 3: codages des antagonismes chromatiques et spatiales entre le centre et le pourtour des champs récepteurs grâce à l inhibition latérale des cellules horizontales. En sortie : Les cellules ganglionnaire émettent des potentiels d action et ajuste le codage de l information. (2006). benjamin.putois@univ-lyon2.fr 43

La perception des couleurs par l'œil

La perception des couleurs par l'œil Travaux Personnels Encadrés Thème: Images La perception des couleurs par l'œil Haïba Lekhal Per Einar Ellefsen 1 ère S 3 2001-2002 Lycée Français Jean Monnet La perception des couleurs par l'oeil par Haïba

Plus en détail

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire : La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la

Plus en détail

Séquence 8. De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision

Séquence 8. De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision Séquence 8 De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision Sommaire Pour s interroger 1. La vision : de la lumière au message nerveux 2. La vision : la perception visuelle, une construction cérébrale

Plus en détail

«Lumière sur les pigments»

«Lumière sur les pigments» «Lumière sur les pigments» Pourquoi les feuilles des plantes sont-elles vertes en été et rouges en automne? Comment un caméléon fait-il pour changer de couleur? Que voit un daltonien? Pourquoi les cheveux

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule

Plus en détail

7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.

7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Microscopie de fluorescence Etat de l art

Microscopie de fluorescence Etat de l art Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant

Plus en détail

L éclairage naturel première partie : Principes de base

L éclairage naturel première partie : Principes de base Suzel BALEZ L5C 2007-08 L éclairage naturel première partie : Principes de base Hertzog et Partner Bât. De bureaux à Wiesbaden Plan Notions préliminaires La vision Grandeurs photométriques Le flux lumineux

Plus en détail

Dossier technique. Présentation du bus DMX et Utilisation des options EL13 / EL14 ERM AUTOMATISMES INDUSTRIELS 1 LE PROTOCOLE DMX 2

Dossier technique. Présentation du bus DMX et Utilisation des options EL13 / EL14 ERM AUTOMATISMES INDUSTRIELS 1 LE PROTOCOLE DMX 2 ERM AUTOMATISMES INDUSTRIELS 280 Rue Edouard Daladier 84973 CARPENTRAS Cedex Tél : 04 90 60 05 68 - Fax : 04 90 60 66 26 Site : http://www.erm-automatismes.com/ E-Mail : Contact@erm-automatismes.com 1

Plus en détail

Fluorescent ou phosphorescent?

Fluorescent ou phosphorescent? Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester

Plus en détail

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du

Plus en détail

Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants

Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants & INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

La spectrophotométrie

La spectrophotométrie Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la

Plus en détail

GUIDE DE PROGRAMMATION COMPLÉMENTAIRE DU SYSTÈME D ALARME DIAGRAL

GUIDE DE PROGRAMMATION COMPLÉMENTAIRE DU SYSTÈME D ALARME DIAGRAL GUIDE DE PROGRAMMATION COMPLÉMENTAIRE DU SYSTÈME D ALARME DIAGRAL DIAG90AGF/DIAG90AGK DIAG20AVK ou DIAG21AVK DIAG30APK ou DIAG31APK DIAG41ACK ou DIAG42ACK DIAG45ACK Avant propos IMPORTANT La centrale dispose

Plus en détail

SIRENE SANS FIL SOLAIRE 433MHz 30/80m SSFS = SG-1100T

SIRENE SANS FIL SOLAIRE 433MHz 30/80m SSFS = SG-1100T SIRENE SANS FIL SOLAIRE 433MHz 30/80m SSFS = SG-1100T Sirène solaire extérieure auto-alimentée sans fil avec récepteur intégré à code tournant. Boîtier polycarbonate de 3mm résistant aux intempéries, autoprotection

Plus en détail

PROPRIÉTÉS D'UN LASER

PROPRIÉTÉS D'UN LASER PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)

Plus en détail

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/

Plus en détail

Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES

Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES n 3 p528 Le signal a est numérique : il n y a que deux valeurs possibles pour la tension. Le signal b n est pas numérique : il y a alternance entre des signaux divers

Plus en détail

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)

Plus en détail

http://www.neur-one.fr/ Cerveau & Psycho - N 28

http://www.neur-one.fr/ Cerveau & Psycho - N 28 1 Cerveau & Psycho - N 28 Les souvenirs sont gravés dans la mémoire sous forme de combinaisons particulières de modifications de synapses, les jonctions entre neurones. Ces modifications doivent être consolidées,

Plus en détail

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

Le sens du goût. Une infinité de saveurs.

Le sens du goût. Une infinité de saveurs. Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on

Plus en détail

GUIDE DE PROGRAMMATION COMPLÉMENTAIRE DU SYSTÈME D ALARME DIAGRAL

GUIDE DE PROGRAMMATION COMPLÉMENTAIRE DU SYSTÈME D ALARME DIAGRAL GUIDE DE PROGRAMMATION COMPLÉMENTAIRE DU SYSTÈME D ALARME DIAGRAL DIAG90AGF/DIAG90AGK DIAG20AVK ou DIAG21AVK DIAG30APK ou DIAG31APK DIAG41ACK ou DIAG42ACK DIAG45ACK Avant propos IMPORTANT La centrale dispose

Plus en détail

Eclairage artificiel

Eclairage artificiel Eclairage artificiel Directions de lumière Effets de la source Mise en Scène Mise en Valeur Eléments de Projet Directions de lumière La composition lumineuse d une scène suppose la maîtrise des directions

Plus en détail

Bien voir pour bien conduire

Bien voir pour bien conduire Bien voir pour bien conduire Bien voir pour sa sécurité Que signifie avoir une bonne vue? Voir bien donne plus d assurance sur la route. Diverses études récentes prouvent qu une bonne vue et une perception

Plus en détail

W 12-2 : haute performance et savoir-faire compact

W 12-2 : haute performance et savoir-faire compact Barrières W - Détecteurs réflex, élimination de premier plan EPP Détecteurs réflex, élimination d arrière-plan EAP W - : haute performance et savoir-faire compact Détecteurs réflex énergétiques fibres

Plus en détail

2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP)

2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2.1 Introduction 2.2 Signal 2.3 Support de transmission 2.4 Adaptation du signal aux supports de transmission 2.5 Accès WAN 2.1 Introduction Introduction Rôle

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

TP Détection d intrusion Sommaire

TP Détection d intrusion Sommaire TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée

Plus en détail

Notice Utilisateur EKZ 0938 00A STORIA CRT 600 HF

Notice Utilisateur EKZ 0938 00A STORIA CRT 600 HF Notice Utilisateur EKZ 0938 00A STORIA CRT 600 HF Vous venez d acquérir le système de surveillance STORIA CRT 600 HF et nous vous en remercions. Ce système est prévu pour fonctionner dans une bande de

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

SYSTÈME ANTI-INTRUSION SANS. fil. L œil sur la sécurité

SYSTÈME ANTI-INTRUSION SANS. fil. L œil sur la sécurité L œil sur la sécurité SYSTÈME ANTI-INTRUSION SANS fil SYSTÈME ANTI-INTRUSION SANS fil AVANTAGES Protège votre maison et donne plus de sécurité à votre famille. La sécurité est une valeur fondamentale pour

Plus en détail

SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier :

SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier : SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION Contenu du dossier : 1. PRESENTATION DU SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO....1 1.1. DESCRIPTION DU FABRICANT....1

Plus en détail

Eléments constitutifs et synthèse des convertisseurs statiques. Convertisseur statique CVS. K à séquences convenables. Source d'entrée S1

Eléments constitutifs et synthèse des convertisseurs statiques. Convertisseur statique CVS. K à séquences convenables. Source d'entrée S1 1 Introduction Un convertisseur statique est un montage utilisant des interrupteurs à semiconducteurs permettant par une commande convenable de ces derniers de régler un transfert d énergie entre une source

Plus en détail

Utilisation des substrats énergétiques

Utilisation des substrats énergétiques Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...

Plus en détail

MANUEL D UTILISATION (simplifié) DE LA CENTRALE LS-30

MANUEL D UTILISATION (simplifié) DE LA CENTRALE LS-30 MANUEL D UTILISATION (simplifié) DE LA CENTRALE LS-30 6 rue Philogène Lalande DES JARDINS - Doniambo - Dock E10 Tel: 26.22.29 Fax: 26.22.39 e-mail: info@prosystems.nc SOMMAIRE I. CLAVIER ET PANNEAU D AFFICHAGE...

Plus en détail

DOMONIAL CRT 500 HF. Notice Utilisateur EKZ 0904 00C SECOM AUTOPROTECTION PILE A U SUPERVISION OUVERTURE ALARME INTRUSION ALARME TECHNIQUE

DOMONIAL CRT 500 HF. Notice Utilisateur EKZ 0904 00C SECOM AUTOPROTECTION PILE A U SUPERVISION OUVERTURE ALARME INTRUSION ALARME TECHNIQUE R Notice Utilisateur EKZ 0904 00C DOMONIAL CRT 500 HF D EF A U T M EM O IR E C O NT R O LE AUTOPROTECTION PILE SUPERVISION OUVERTURE ALARME INTRUSION ALARME TECHNIQUE LIAISON RADIO MARCHE PRESENCE SECTEUR

Plus en détail

Chapitre 13 Numérisation de l information

Chapitre 13 Numérisation de l information DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................

Plus en détail

Traitement numérique de l'image. Raphaël Isdant - 2009

Traitement numérique de l'image. Raphaël Isdant - 2009 Traitement numérique de l'image 1/ L'IMAGE NUMÉRIQUE : COMPOSITION ET CARACTÉRISTIQUES 1.1 - Le pixel: Une image numérique est constituée d'un ensemble de points appelés pixels (abréviation de PICture

Plus en détail

Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800

Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight

Plus en détail

CH IV) Courant alternatif Oscilloscope.

CH IV) Courant alternatif Oscilloscope. CH IV) Courant alternatif Oscilloscope. Il existe deux types de courant, le courant continu et le courant alternatif. I) Courant alternatif : Observons une coupe transversale d une «dynamo» de vélo. Galet

Plus en détail

La recherche d'indices par fluorescence

La recherche d'indices par fluorescence La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes

Plus en détail

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,

Plus en détail

ALARME DOMESTIQUE FILAIRE

ALARME DOMESTIQUE FILAIRE ALARME DOMESTIQUE FILAIRE DOSSIER RESSOURCES Académie de LYON BAC Pro Électrotechnique, Énergie, Équipements Communicants Page 1 sur 15 SOMMAIRE Introduction... page 3/15 Le sous-système : maquette alarme

Plus en détail

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE - MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base

Plus en détail

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources

Plus en détail

Enseigner la prévention des risques professionnels. Éclairage et vision. Fiches principales

Enseigner la prévention des risques professionnels. Éclairage et vision. Fiches principales Enseigner la prévention des risques professionnels Éclairage et vision Fiches principales EV 1 OBJECTIF : Identifier les caractéristiques physiques de la lumière et de l environnement lumineux de travail

Plus en détail

Cordarone et Thyroïde par François Boustani

Cordarone et Thyroïde par François Boustani Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir

Plus en détail

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre

Plus en détail

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006 La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et

Plus en détail

Panneau solaire ALDEN

Panneau solaire ALDEN SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition

Plus en détail

KIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE

KIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE PARALLELE ENERGIE KIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE Ce kit solaire est un système solaire facile à utiliser. Il s agit d un «générateur solaire» qui convertit la lumière du soleil en électricité, et qui peut

Plus en détail

Manuel d'utilisation de la maquette

Manuel d'utilisation de la maquette Manuel d'utilisation de la maquette PANNEAU SOLAIRE AUTO-PILOTE Enseignement au lycée Article Code Panneau solaire auto-piloté 14740 Document non contractuel L'énergie solaire L'énergie solaire est l'énergie

Plus en détail

Nouvelles techniques d imagerie laser

Nouvelles techniques d imagerie laser Nouvelles techniques d imagerie laser Les chimistes utilisent depuis longtemps les interactions avec la lumière pour observer et caractériser les milieux organiques ou inorganiques. La présence, dans la

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Observer TP Ondes CELERITE DES ONDES SONORES

Observer TP Ondes CELERITE DES ONDES SONORES OBJECTIFS CELERITE DES ONDES SONORES Mesurer la célérité des ondes sonores dans l'air, à température ambiante. Utilisation d un oscilloscope en mode numérique Exploitation de l acquisition par régressif.

Plus en détail

pka D UN INDICATEUR COLORE

pka D UN INDICATEUR COLORE TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

Notice Technique 01.Type4.NT001.rév.A0 IROISE-T4P+ Equipement d'alarme incendie type 4 autonome à pile. . Conforme selon la norme NFS 61936

Notice Technique 01.Type4.NT001.rév.A0 IROISE-T4P+ Equipement d'alarme incendie type 4 autonome à pile. . Conforme selon la norme NFS 61936 Notice Technique 01.Type4.NT001.rév.A0 Equipement d'alarme incendie type 4 autonome à pile Classe B selon la norme NFS 32001. Conforme selon la norme NFS 61936 52, rue Paul Lescop 92000 NANTERRE t. +33

Plus en détail

La migraine : quelle prise de tête!

La migraine : quelle prise de tête! La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également

Plus en détail

La sécurité des biens et des personnes Comment se protéger des intrusions?

La sécurité des biens et des personnes Comment se protéger des intrusions? Etablir un croquis du circuit d alimentation énergétique et un croquis du circuit ACOT-02 1/4 Problématique : Nous connaissons ce qu est un système d alarme, sa fonction et les différents éléments qui

Plus en détail

Cisco Certified Network Associate

Cisco Certified Network Associate Cisco Certified Network Associate Version 4 Notions de base sur les réseaux Chapitre 8 01 Quelle couche OSI est responsable de la transmission binaire, de la spécification du câblage et des aspects physiques

Plus en détail

Traitement bas-niveau

Traitement bas-niveau Plan Introduction L approche contour (frontière) Introduction Objectifs Les traitements ont pour but d extraire l information utile et pertinente contenue dans l image en regard de l application considérée.

Plus en détail

A. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES.

A. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES. Page : 2 A. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES. A.1. VUE D ENSEMBLE A.2. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT!" #! $! %&' ( ) * µ +, µ $# (& % ± -. /01)0$ ' &%(% 2 3,)/4 $ A.3. CARACTERISTIQUES MECANIQUES. PARAMETRES Valeur

Plus en détail

une centrale ou organe de commande des détecteurs des dispositifs de signalisation d alarme (sirène, alarme lumineuse)

une centrale ou organe de commande des détecteurs des dispositifs de signalisation d alarme (sirène, alarme lumineuse) L ANTI-INTRUSION Comment assurer la sécurité des biens et des personnes? Définitions La détection intrusion a pour finalité principale la détection de personnes qui forcent ou tentent de forcer les protections

Plus en détail

Dégénérescence maculaire liée à l âge

Dégénérescence maculaire liée à l âge Dégénérescence maculaire liée à l âge LUC-09-02/10-6087 - 1 - Dégénérescence maculaire liée à l âge Sommaire 1. Introduction 2. Qu est-ce que la dégénérescence maculaire liée à l âge? 3. Forme sèche et

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

Kardó. Une combinaison infinie de lumiere

Kardó. Une combinaison infinie de lumiere Kardó Une combinaison infinie de lumiere CONCEPT Design: eer architectural design, Belgique 2 - Kardó Kardó est un système d éclairage spécial qui permet de s adapter à l architecture à travers tout le

Plus en détail

La santé par la lumière Health by light

La santé par la lumière Health by light Health by light ventes Health by light Un mot du président Cher Client, Laboratoire LEDMA est une entreprise innovatrice, consciencieuse et soucieuse d offrir des produits de haute qualité. Nos produits

Plus en détail

Consensus Scientifique sur. les. Champs statiques

Consensus Scientifique sur. les. Champs statiques page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

Les Conditions aux limites

Les Conditions aux limites Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury

Plus en détail

Comme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est:

Comme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est: Travaux Pratiques 3. IFT 1002/IFT 1005. Structure Interne des Ordinateurs. Département d'informatique et de génie logiciel. Université Laval. Hiver 2012. Prof : Bui Minh Duc. Tous les exercices sont indépendants.

Plus en détail

1S9 Balances des blancs

1S9 Balances des blancs FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

Immersion - Vision 3D dans la RV.

Immersion - Vision 3D dans la RV. Cours RVS Master II IVA Immersion - Vision 3D dans la RV. Cours de Réalité Virtuelle et Simulation Master II - IVA A. Mebarki - Maître de Conférences Département d'informatique Faculté des Mathématiques

Plus en détail

Leica MZ FLIII. Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica.

Leica MZ FLIII. Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica. Leica MZ FLIII Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica. Leica MZ FLIII Observer en 3 dimensions L étude des organismes vivants, de leurs fonctions

Plus en détail

SECURIT GSM Version 2

SECURIT GSM Version 2 EOLE informatique SECURIT GSM Version 2 Notice d installation & Guide utilisateur Eole informatique 42 rue Claude Decaen -75012 Paris Tél. 01.43.43.00.97 www.eole-informatique.com 15/03/2006 SOMMAIRE Notice

Plus en détail

LA SOLUTION D ALARME, DE VIDÉOPROTECTION ET DE DOMOTIQUE INTELLIGENTE ET SANS FIL. Simple à installer, simple à utiliser, haute protection.

LA SOLUTION D ALARME, DE VIDÉOPROTECTION ET DE DOMOTIQUE INTELLIGENTE ET SANS FIL. Simple à installer, simple à utiliser, haute protection. LA SOLUTION D ALARME, DE VIDÉOPROTECTION ET DE DOMOTIQUE INTELLIGENTE ET SANS FIL Simple à installer, simple à utiliser, haute protection. Sommaire LA SOLUTION EVOLOGY EN UN COUP D OEIL L INNOVATION AU

Plus en détail

Système de surveillance vidéo

Système de surveillance vidéo Conrad sur INTERNET www.conrad.fr N O T I C E Version 12/01 Entretien Pour un fonctionnement correct de votre système de surveillance vidéo, prenez note des conseils suivants : 1/ Tenez la caméra et le

Plus en détail

Mise en pratique : Etude de spectres

Mise en pratique : Etude de spectres Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

Chapitre 2 : communications numériques.

Chapitre 2 : communications numériques. Chapitre 2 : communications numériques. 1) généralités sur les communications numériques. A) production d'un signal numérique : transformation d'un signal analogique en une suite d'éléments binaires notés

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE

------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail