Protégeons ensemble l'air que nous respirons ETUDE DE LA QUALITE DE L'AIR A PROXIMITE DE L'AEROPORT DE VATRY (51)
|
|
- Michel Laurent
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Protégeons ensemble l'air que nous respirons ETUDE DE LA QUALITE DE L'AIR A PROXIMITE DE L'AEROPORT DE VATRY (51) 21 Février au 19 Mars Juillet au 13 Septembre 2009 Référence de l'étude : étude ES/VATRY-09/01-ED/EC/AA SURVEILLANCE DE LA QUALITE DE L AIR EN CHAMPAGNE-ARDENNE MDA - 2 rue Léon PATOUX REIMS Cedex 2 Tél. +33 (0) Fax +33 (0) contact@atmo-ca.asso.fr - Website :
2 - Conditions de Diffusion : * Diffusion libre pour une réutilisation ultérieure des données dans les conditions ci-dessous: * Toute utilisation partielle ou totale de ce document devra porter la mention: "Source d'information ATMO CA- étude ES/VATRY- 09/01-ED/EC/AA". * Les données contenues dans ce document restent la propriété d'atmo Champagne-Ardenne. * ATMO Champagne-Ardenne n est en aucune façon responsable des interprétations, travaux intellectuels et publications diverses issus de ce document et pour lesquels elle n aurait pas donné d accord préalable. Personne en charge du dossier Service Technique Stéphane NOEL, Responsable technique Rédaction Anne AROUNOTHAY, Chargée d'études Vérification Eve CHRETIEN, Ingénieur d'études Approbation Emmanuelle DRAB, Directrice Rapport d'étude ES/VATRY-09/01-ED/EC/AA ETUDE DE LA QUALITE DE L'AIR A PROXIMITE DE L'AEROPORT DE VATRY (51)
3 Remerciements ATMO Champagne-Ardenne tient à remercier l Aéroport International de Vatry et en particulier Mr Le Commandant et son adjoint, pour leur avoir fourni des données nécessaires à l exploitation des résultats. Un grand merci également aux particuliers qui ont accepté l implantation de l unité mobile au sein de leur propriété durant l été 2009.
4 SOMMAIRE INTRODUCTION... 1 PRESENTATION DE L ETUDE... 2 I. II. III. POLLUANTS MESURES... 2 PRESENTATION DE L AEROPORT DE VATRY... 4 SITE DE MESURE... 5 RESULTATS DE L ETUDE... 7 I. CONDITIONS METEOROLOGIQUES... 7 II. EXPLOITATION DES RESULTATS... 9 II.1. DIOXYDE D AZOTE NO II.2. POUSSIERES FINES PM II.3. MONOXYDE DE CARBONE CO II.4. BENZENE C 6 H CONCLUSION... 16
5 Introduction ATMO Champagne-Ardenne dispose en 2010 sur la région de 12 stations fixes de fond mesurant en continu les polluants réglementés en air ambiant, et permettant le suivi de l exposition moyenne de la population à la pollution atmosphérique sur les principales agglomérations de Champagne-Ardenne. Dans le cadre de l évaluation de la qualité de l air à proximité de l Aéroport International de Vatry, une étude de la qualité de l air a été menée en 2008 sur le village de Bussy-Lettrée et renouvelée en 2009, suite à des actes de vandalisme. L unité mobile installée sur ce village en 2008 et 2009 a permis la mesure des polluants suivants : le dioxyde d azote (NO 2 ), le monoxyde de carbone (CO), les poussières fines (PM 10 ) et le benzène (C 6 H 6 ), émis aussi bien par le trafic routier que aérien. Afin de prendre en compte la variabilité des teneurs au cours de l année, l étude s est déroulée pendant deux saisons différentes : - 1 ère campagne de mesure : du 21 février au 19 mars 2008, - 2 ème campagne de mesure : du 21 juillet au 13 septembre Page 1
6 Présentation de l étude I. Polluants mesurés Conformément aux exigences de la directive 2008/50/CE du 21 mai 2008 concernant la qualité de l air ambiant, une période minimale de 14 % de l année soit 8 semaines est requise pour l évaluation annuelle des teneurs de polluants par méthode indicative. Pour cette étude, les mesures se sont réalisées sur 8 semaines en été et 5 semaines en hiver. Dans le voisinage immédiat des aéroports, les émissions d'oxydes d azote (NOx), de composés organiques volatils (COV) dont le benzène, de monoxyde de carbone (CO) et de particules sont habituellement considérées comme contribuant le plus aux problèmes de qualité de l air. Ce sont donc ces polluants qui seront étudiés au cours de la campagne. Le tableau 1 récapitule ces polluants suivis dans le cadre de cette étude, et pour chacun d entre eux, la méthode de mesure et la durée de l échantillonnage. Polluants Méthode de mesure Durée Oxydes d azote (NO 2 +NO) Norme NF EN de juillet 2005 Mesure en continu Monoxyde de carbone (CO) Norme NF EN de juillet 2005 Mesure en continu Poussières fines dont le diamètre est inférieur à 10 μm (PM 10 ) Méthode par microbalance TEOM Benzène (C 6 H 6 ) Norme NF EN de novembre 2005 Tableau 1 : Récapitulatif des polluants mesurés Mesure en continu 8 semaines d échantillonnage Les sources (source SNTA juin 2003) dioxyde d azote : oxydation de l azote contenu dans l air en sortie de chambre de combustion du moteur lors des décollages et des montées monoxyde de carbone : émis par la combustion incomplète lorsque le moteur tourne au ralenti benzène : polluant présent dans les carburants (routiers et aériens) et libérés lors de la combustion poussières fines : émises lors de la combustion incomplète du kérosène Les effets sur la santé et l environnement Dioxyde d azote Le dioxyde d azote est un gaz irritant pour les bronches. Chez les asthmatiques, il augmente la fréquence et la gravité des crises. Chez l enfant, il favorise les infections pulmonaires. Le dioxyde d azote participe au phénomène des pluies acides, à la formation de l ozone troposphérique, dont il est l un des précurseurs, à l atteinte de la couche d ozone stratosphérique et à l effet de serre. Page 2
7 Monoxyde de carbone Le monoxyde de carbone se fixe à la place de l oxygène sur l hémoglobine du sang, conduisant à un manque d oxygénation de l organisme (cœur, cerveau ). Les premiers symptômes sont des maux de tête et des vertiges. Ces symptômes s aggravent avec l augmentation de la concentration en CO (nausée, vomissements ) et peuvent, en cas d exposition prolongée, conduire au coma et à la mort. Le monoxyde de carbone participe également aux mécanismes de formation de l ozone troposphérique. Dans l atmosphère, il se transforme en dioxyde de carbone et contribue à l effet de serre. Particules fines Selon leur taille (granulométrie), les particules pénètrent plus ou moins profondément dans l arbre pulmonaire. Les particules les plus fines peuvent, à des concentrations relativement basses, irriter les voies respiratoires inférieures et altérer la fonction respiratoire dans son ensemble. Certaines particules ont des propriétés mutagènes et cancérigènes. Les effets de salissure des bâtiments et des monuments sont les atteintes à l environnement les plus perceptibles. Benzène En cas d exposition aiguë par inhalation à des doses de benzène, il est possible de développer les symptômes suivants : irritation des voies pulmonaires et des yeux, maux de tête, troubles de la vision, de l audition et de la mémoire, douleurs abdominales, convulsions Ces symptômes peuvent aboutir, en cas de fortes doses, à un coma ou même la mort. L'effet principal d'une exposition chronique au benzène est un endommagement de la moelle osseuse, qui peut occasionner une décroissance du taux de globules rouges dans le sang et une anémie. Il peut également occasionner des saignements et un affaiblissement du système immunitaire. Enfin, le benzène est reconnu comme étant une substance cancérigène. Les appareils et techniques de mesure employés NOx, CO, PM 10 Ces polluants sont mesurés en continu à l aide d analyseurs installés dans l unité mobile de surveillance de la qualité de l air d ATMO Champagne-Ardenne. Benzène Le benzène est prélevé par la technique de l échantillonnage passif, basée sur l adsorption du polluant sur la cartouche de prélèvement de charbon graphité 4 TM. Les échantillonneurs passifs de type «Radiello» sont analysés par GC/FID après désorption thermique par le Laboratoire Interrégional du Grand Est. Analyseurs types pour la mesure de polluants Tube passif dans sa boîte de protection pour le prélèvement Page 3
8 II. Présentation de l aéroport de Vatry L aéroport Paris-Vatry est un aéroport spécialisé dans le fret aérien et la logistique, situé à Vatry dans le département de la Marne, à 150 km environ de l est de Paris. Base aérienne de l OTAN en 1953 construite dans une zone peu peuplée, puis terrain d entrainement militaire pour le transport aérien en 1967, l aéroport a été aménagé en un grand centre logistique au début des années 1990, sur décision du Conseil Général de la Marne. Il constitue ainsi un site d accueil pour les unités de stockage et de distribution. Le premier vol commercial atterrit sur l aéroport le 21 janvier Fin 2006, l aéroport est désormais appelé «Aéroport Paris-Vatry». Ce nouveau nom lui permet de mieux se positionner parmi les aéroports concernés par la desserte aérienne de la capitale française, tant sur le plan du fret aérien que sur des développements de trafic passagers. L aéroport enregistre environ mouvements privés et près de 1030 mouvements commerciaux par an (Aéroport de Paris Vatry). L'Aéroport International de Vatry bénéficie d'une desserte multimodale avec des réseaux ferrés (Ligne Grande Vitesse Est Européenne à Châlons en Champagne), autoroutiers (A26 et A4) et routiers (RN77 et RN4) qui lui assurent des connexions vers tous les grands centres de production européens. Page 4
9 III. Site de mesure Le choix du site d installation de l unité mobile s est porté sur le village de Bussy- Lettrée en raison de sa situation géographique. Ce village se trouve en effet sous les vents dominants de Sud Ouest par rapport aux pistes de l Aéroport International de Vatry. Les avions atterrissant et décollant suivent de plus des trajectoires incluses dans un rayon de 9 km autour de l aéroport, englobant ainsi le village de Bussy-Lettrée distant de 5 km de l aéroport. Aéroport international de Vatry Figure 1 : Localisation du site de mesure Lors de l étude hivernale réalisée en 2008, le moyen mobile était placé en périphérie du centre du village, au niveau d une aire de jeu. Suite à des actes de vandalisme durant l été 2008, l étude estivale a été reconduite en 2009, et le site a été déplacé au cœur du village pour des raisons de sécurité comme le montrent les photos ci-dessous. Page 5
10 Emplacement 2009 Emplacement 2008 Figure 2 : Village de Bussy-Lettrée Emplacement 2008 Emplacement 2009 Photographies 1 et 2 : Emplacement des moyens mobiles en 2008 et 2009 Page 6
11 Résultats de l étude I. Conditions météorologiques Du fait du rôle important des conditions atmosphériques sur la dispersion, l abattement et la réactivité chimique des polluants, différents paramètres météorologiques ont été suivis au cours des campagnes de mesures. Campagne hivernale : 21 février au 19 mars 2008 Cette campagne se caractérise par un temps exceptionnellement doux à cette période de l année. En effet, les températures moyennes journalières sont dans l ensemble comprises entre 4 et 12 C, avec la température la plus basse relevée pour la journée du 6 mars avec 0.8 C. Température moyenne du 21 février au 19 mars 2008 Station Mourmelon-Grand (Source Météo-France) Hauteur des précipitations du 21 février au 19 mars 2008 Station Mourmelon-Grand (Source Météo-France) Les perturbations se succèdent de manière irrégulière sur cette période, avec un cumul des précipitations de 53mm. Les conditions météorologiques ont été plutôt favorables à une bonne dispersion de la pollution. Rose des vents du 21 février au 19 mars 2008 Station Mourmelon-Grand (Source Météo-France) Les vents sont majoritairement de secteur sud/sud-ouest, avec des vitesses modérées allant de 5 m/s à 8 m/s. Des vents forts d une vitesse supérieure à 8 m/s sont également à noter. Page 7
12 Campagne estivale : 21 juillet au 13 septembre 2009 Cette campagne se caractérise par des températures estivales dépassant de 2 à 3 C les normales de saison. La température maximale horaire a été relevée le 20 août avec 35,9 C. Température moyenne du 21 juillet au 13 septembre 2009 Station Mourmelon-Grand (Source Météo-France) Le temps est assez instable et changeant, avec des précipitations présentes fin juillet et début septembre. Le cumul des précipitations sur cette période est de 80mm, avec un cumul de 21mm enregistré sur la journée du 4 septembre. Hauteur des précipitations du 21 juillet au 13 septembre 2009 Station Mourmelon-Grand (Source Météo-France) L orientation des vents s inscrit dans un flux général sud/sud ouest- nord/nord est. Les vitesses de vents sont faibles, comprises entre 2 et 5 m/s. Des vents modérés sont également à noter. Rose des vents du 21 juillet au 13 septembre 2009 Station Mourmelon-Grand (Source Météo-France) Les 2 campagnes de mesures se sont déroulées sous une météorologie globalement favorable à une bonne dispersion des polluants (pluviométrie importante, occurrence faible de phénomènes d inversions de température). Les émissions de NOx et PM 10 provenant du secteur résidentiel ont été limitées lors de la campagne de mesures hivernale du fait de la douceur des températures. Page 8
13 II. Exploitation des résultats II.1. Dioxyde d azote NO 2 Profil de l étude et comparaison avec d autres sites de mesures Le graphique 1 présente l évolution des teneurs moyennes journalières en dioxyde d azote au niveau du site de mesure «Bussy-Lettrée», ainsi qu au niveau de 3 stations fixes «de fond 1» de la Marne : «Châlons», «Tinqueux» et «Mairie». Graphique 1 : Moyennes journalières en dioxyde d azote durant les deux campagnes Des dysfonctionnements des analyseurs de dioxyde d azote des deux stations «de fond» ont occasionné l invalidation d une journée de données pour «Tinqueux» pendant la campagne hivernale, et de 3 jours pour «Mairie» sur la campagne estivale. Au final, les analyseurs de dioxyde d azote du moyen mobile positionné sur Bussy-Lettrée et la station «Châlons» ont connu un taux de fonctionnement de 100% contre 99% et 96%, respectivement pour les stations «Tinqueux» et «Mairie». Les courbes d évolution des teneurs moyennes en dioxyde d azote sont similaires sur les quatre sites, avec des pointes obtenues quasiment sur les mêmes journées. Des valeurs hivernales plus élevées qu en été sont observées sur l ensemble des sites mais de manière atténuée en comparaison des stations de mesure (20% d augmentation pour «Bussy-Lettrée» contre 31% et 37% respectivement pour «Tinqueux», «Mairie» et «Châlons»). 1 A pour objectif le suivi du niveau d exposition de la majorité de la population aux phénomènes de pollution atmosphérique dits de «fond» dans les centres urbains et à leur périphérie Page 9
14 Les valeurs hivernales en dioxyde d azote sont plus élevées, et cela s explique par : - des conditions de dispersion des polluants moins favorables en hiver du fait de phénomènes d inversion thermique, - des températures plus basses en hiver impliquant l utilisation d une nouvelle source d émissions de dioxyde d azote : le chauffage, - un rayonnement solaire plus important et des températures plus élevées en été, entraînant une réactivité plus grande du dioxyde d azote qui se transforme en ozone. Sur la journée du 6 mars durant laquelle une teneur journalière maximale a été relevée sur Bussy-Lettrée (28 µg/m 3 ), aucun passage d avion n a eu lieu. Des teneurs élevées ont également été enregistrées au niveau des stations de mesure au cours de cette journée, imputables à un climat anticyclonique froid et des phénomènes d inversion thermique, formant un couvercle limitant la dispersion des polluants. Pour information, la température minimale relevée au cours de cette journée est de -7.8 C. Les niveaux moyens en dioxyde d azote rencontrés sur l aéroport de Vatry sont nettement inférieurs à ceux relevés sur la station «Mairie», dont les teneurs sont 2 à 3 fois plus élevées. Ces résultats pourraient s expliquer par le fait que le site de Bussy-Lettrée est nettement plus dégagé (situé au milieu de champs et éloigné des axes routiers principaux), que le site «Mairie» situé en centre-ville, d où une dispersion plus rapide des polluants, ainsi qu à des émissions polluantes plus faibles sur ce village. Le tableau 2 présente les concentrations moyennes et les maxima horaires enregistrés en dioxyde d azote au cours de l étude. NO 2 en μg/m 3 Moyenne étude Maximum horaire Bussy-Lettrée le 31/07/09 Mairie le 06/03/08 Tinqueux le 05/03/08 Châlons le 24/02/08 Tableau 2 : Moyennes et maxima horaires en dioxyde d azote au cours de l étude Avec 10 µg/m 3 de moyenne au cours de l étude et une pointe horaire à 67µg/m 3, le site de «Bussy-Lettrée» enregistre les valeurs en dioxyde d azote les plus basses. En moyenne, le capteur situé à «Bussy-Lettrée» a mesuré 56% de dioxyde d azote de moins qu à «Mairie», 34% de moins que sur «Tinqueux» et «Châlons». Le 31 juillet 2009, jour pour lequel le maximum horaire de la campagne a été relevé, aucun passage d avions n a eu lieu. Cette pointe horaire ne serait donc pas imputable au trafic aérien, mais plus probablement à une activité agricole intense et au passage d engins agricoles (moissonneuse, tracteurs ), liée à la période des moissons. Page 10
15 Comparaison à la réglementation Le tableau 3 confronte les résultats obtenus sur le site «Bussy-Lettrée» à la réglementation en vigueur pour l année 2009 (Décret n du 15 février 2002). NO 2 en μg/m 3 Moyenne* Maximum horaire Bussy-Lettrée Réglementation Objectif de qualité 40 Valeurs annuelles Valeur limite Valeur limite en 2009 en Seuil d évaluation inférieur 26 Valeurs horaires Seuil d information et de recommandation 200 * Moyenne des concentrations moyennes de la première et de la seconde campagne Tableau 3 : Réglementation pour le NO 2 (Décret n du 15 février 2002) Seuil d alerte 400 Avec une moyenne annuelle estimée de 10 μg/m 3, l objectif de qualité et la valeur limite de 2009 en NO 2 sont nettement respectés. Néanmoins à la vue des résultats sur les 2 stations du réseau rémois, il est vraisemblable que des niveaux plus élevés auraient été enregistrés si les mesures s étaient déroulées sur une plus longue période. Le seuil d évaluation inférieur (26 µg/m 3 ) n a pas été atteint, seuil en deçà duquel il est suffisant, pour évaluer la qualité de l air ambiant d utiliser des techniques de modélisation et d estimation objective. Corrélation entre les teneurs en dioxyde d azote et le trafic aérien Afin de vérifier l influence du trafic aérien sur les teneurs relevées au cours de l étude, un nuage de points présentant la corrélation entre le nombre de vols locaux et les concentrations journalières en NO 2 a été établi ci-dessous. Teneurs maximales Graphique 2 : Corrélation entre les teneurs en dioxyde d azote et le trafic aérien Page 11
16 D après ce graphique, aucun vol aérien n a eu lieu lorsque des teneurs plus élevées en dioxyde d azote ont été observées. En présence d un trafic aérien plus conséquent (100 à 140 vols), les teneurs en dioxyde d azote sont inférieures à 15 µg/m 3. A la vue des résultats, le village de Bussy-Lettrée ne semble pas subir une influence notable de l aéroport de Vatry, bien qu étant situé sous les vents dominants de ce dernier. II.2. Poussières fines PM 10 Profil de l étude et comparaison avec d autres sites de mesures Le graphique 3 présente l évolution des teneurs moyennes journalières des PM 10 sur «Bussy-Lettrée», ainsi qu au niveau de 2 stations de fond: «Châlons» et «Tinqueux». Graphique 3 : Moyennes journalières des PM10 durant les deux campagnes Des dysfonctionnements de l analyseur de poussières de «Bussy-Lettrée» ont occasionné l invalidation d une journée de données sur la campagne estivale. Au final, L analyseur de poussières fines du moyen mobile positionné sur le village de Bussy-Lettrée a connu un taux de fonctionnement respectivement de 99% contre 100% pour les stations «Tinqueux» et «Châlons». Les résultats du graphique montrent une évolution similaire des teneurs en poussières entre les deux stations de fond et le moyen mobile, avec des niveaux moyens plus élevés sur le site «Bussy-Lettrée» observés pendant la campagne estivale, en particulier du 29 juillet au 1 er août. Une moyenne journalière élevée pour «Bussy-Lettrée» est à noter pour la journée du 31 juillet 2009, atteignant 78 µg/m 3. Cette valeur élevée semble imputable à une activité agricole plus intense liée aux moissons, mais aussi à un temps sec propice à la remise en suspension de particules. L influence du trafic aérien est peu probable car au cours de cette journée seul un avion de petite envergure, pouvant contenir 4 passagers au maximum, a atterri puis décollé de l Aéroport International de Vatry. Page 12
17 Il est à noter également une pointe observée sur les journées du 6 et 7 mars 2008 corrélée avec le dioxyde d azote et au cours desquelles aucune activité aérienne n a eu lieu. L utilisation du chauffage résidentiel surtout le 6 mars qui était la journée la plus froide de la campagne avec 0.8 C- serait plus probablement à l origine de cette valeur élevée. Le tableau 4 présente les concentrations moyennes en PM 10 au cours de l étude. PM 10 en μg/m 3 Moyenne étude Moyenne maximale sur 24h au cours de l étude Bussy-Lettrée le 01/08/09 Châlons le 07/03/08 Tinqueux le 22/02/08 et le 07/03/08 Tableau 4 : Moyennes et maxima en PM 10 au cours de l étude Le tableau 5 présente les teneurs moyennes obtenues lors de la campagne hivernale et de la campagne estivale. PM 10 en μg/m 3 Tinqueux Bussy- Lettrée Chalons Moyenne été Moyenne Hiver Tableau 5 : Moyennes et maxima en PM 10 au cours de l étude Avec 23 µg/m 3 de moyenne au cours de l étude et un maximum journalier à 78 µg/m 3, le site de «Bussy-Lettrée» enregistre à priori les valeurs en PM 10 les plus élevées. Néanmoins, la distinction entre les deux campagnes estivale et hivernale montre que ce site présente la teneur moyenne estivale la plus élevée avec 25 µg/m 3. Les valeurs élevées obtenues sur les journées du 29 et 31 juillet (respectivement 47 et 78 µg/m 3 ) ont contribué à l augmentation de la moyenne du site «Bussy-Lettrée» au cours de l étude. Il est probable que la moyenne obtenue sur Bussy-Lettrée pourrait être similaire à celles observées sur «Châlons» et «Tinqueux», si les mesures s étaient déroulées sur l année entière. Contrairement à «Bussy-Lettrée», les teneurs maximales journalières de «Châlons» et «Tinqueux» ont été observées durant la campagne hivernale. Les basses températures de l hiver 2008 impliquant l utilisation du chauffage résidentiel, source émettrice de poussières, des conditions de dispersion des polluants moins favorables en hiver du fait de phénomènes d inversion thermique expliquent l obtention de ces teneurs durant cette période. Page 13
18 Comparaison à la réglementation PM 10. Le tableau 6 confronte les résultats obtenus à la réglementation existante pour les PM 10 en μg/m 3 Moyenne Moyenne maximale sur 24h Bussy-Lettrée Réglementation Valeurs annuelles Objectif qualité 30 Valeur limite 40 Seuil d Evaluation Inférieur 20 Seuil d Evaluation Supérieur 28 Moyenne sur 24h Seuil d Information et de Recommandation 80 Tableau 6 : Réglementation pour les PM10 (Décret n du 15 février 2002 et circulaire du 12/10/07) Avec 23 μg/m 3, la concentration moyenne en PM 10 au cours de cette étude est restée en deçà de l objectif qualité de 30 μg/m 3, et a fortiori de la valeur limite de 40 μg/m 3. Néanmoins à la vue des résultats sur les 2 stations fixes, il est vraisemblable que des niveaux plus élevés auraient été enregistrés si les mesures s étaient déroulées sur une plus longue période. Le Seuil d Evaluation Inférieur a été dépassé, seuil au-delà duquel il est préconisé, pour évaluer la qualité de l air ambiant, d utiliser des mesures indicatives. Corrélation entre les teneurs en PM 10 et le trafic aérien Afin de vérifier l influence du trafic aérien sur les teneurs relevées au cours de l étude, un nuage de points présentant la corrélation entre le nombre de vols locaux et les concentrations journalières en PM 10 a été établi ci-dessous. Teneurs maximales Graphique 4 : Corrélation entre les teneurs en dioxyde d azote et le trafic aérien Page 14
19 A l image du dioxyde d azote, aucun vol d avions ou presque n a eu lieu lorsque des valeurs élevées ont été observées. En présence d un trafic aérien plus conséquent (100 à 140 vols), les teneurs en particules fines sont inférieures à 35 µg/m 3. A la vue des résultats, le village de Bussy-Lettrée ne semble pas subir une influence notable de l aéroport de Vatry. II.3. Monoxyde de carbone CO Le tableau 7 présente les teneurs moyennes en monoxyde de carbone au cours de l étude sur le site de «Bussy-Lettrée», ainsi que la réglementation en vigueur en CO en mg/m 3 Moyenne* Maximum journalier sur 8 heures glissantes Bussy-Lettrée le 29/02/2008 et le 07/03/2008 Réglementation - 10 * Moyenne des concentrations moyennes de la première et de la seconde campagne Tableau 7: Résultats de l étude et réglementation pour le CO (Décret n du 15 février2002) Les maxima sont restés bien en deçà du seuil réglementaire des 10 mg/m 3 au cours de cette étude. Il est à noter que la journée du 7 mars durant laquelle le maximum journalier a été enregistré, des teneurs également élevées ont été observées ce même jour en NO 2 et PM 10. II.4. Benzène C 6 H 6 Le tableau 8 présente les résultats obtenus en benzène sur le site de «Bussy-Lettrée», ainsi que pour comparaison ceux obtenus à la station fixe «Mairie» de Reims sur des périodes similaires. Benzène en μg/m 3 Moyenne* Bussy-Lettrée 0.4 Station Mairie** 0.6 Réglementation Valeurs annuelles Objectif de qualité 2 Valeur limite 7 * Moyenne des concentrations moyennes de la seconde campagne ** Périodes d échantillonnage : Bussy-Lettrée : 20/07 au 17/08/2009 Mairie : 30/07 au 13/08/2009 Tableau 8 : Réglementation pour le benzène (Décret n du 15 février 2002) Des vols d échantillonneurs du benzène ayant eu lieu, aucune mesure de benzène n a pu être réalisée lors de la campagne hivernale La valeur limite et l objectif qualité sont respectés en benzène sur les 2 sites au cours de la campagne estivale de Page 15
20 Conclusion ATMO Champagne-Ardenne a mis en place en 2008 puis 2009 en raison de la dégradation de l unité mobile, une étude de la qualité de l air à Bussy-Lettrée située sous les vents dominants de l Aéroport International de Vatry. L étude s est déroulée pendant deux saisons différentes : - 1 ère campagne de mesure : du 21 février au 19 mars 2008, - 2 ème campagne de mesure : du 21 juillet au 13 septembre Les polluants suivis ont été le dioxyde d azote (NO 2 ), le monoxyde de carbone (CO), les poussières fines (PM10) ainsi que le benzène, polluants émis tant par le trafic routier qu aérien. L étude avait pour objectif d évaluer la qualité de l air à proximité de l aéroport et de déterminer un éventuel impact du trafic aérien sur le village de Bussy-Lettrée. Les deux campagnes de mesures et en particulier celle menée en hiver, se sont déroulées sous une météorologie dans l ensemble favorable à une bonne dispersion des polluants (temps perturbé avec une pluviométrie importante, occurrence faible d inversions de température). En outre, l extrême douceur au cours du mois de février et de mars a limité les émissions de polluants provenant du secteur résidentiel (chauffage). Le site «Bussy-Lettrée» a enregistré les teneurs les plus faibles en dioxyde d azote. Avec une moyenne annuelle estimée de 10 µg/m 3, la valeur limite (42 µg/m 3 en 2009) et l objectif de qualité sont très nettement respectés. Le seuil d évaluation inférieur n a pas été atteint. Avec une teneur de 23 µg/m 3, la concentration moyenne en PM 10 du site «Bussy- Lettrée» au cours de cette étude est restée en deçà de la valeur limite de 40 µg/m 3. Le seuil d information et de recommandation (80 µg/m 3 sur 24h) n a pas été atteint, le seuil d évaluation inférieur a quant à lui été dépassé, ce qui pourrait nécessiter la mise en place de mesures indicatives, dans le cadre de campagnes de mesures ponctuelles. Enfin en ce qui concerne le monoxyde de carbone et le benzène, les valeurs sont bien en-deça des valeurs réglementaires. Au cours de cette étude, l influence du trafic aérien n a pas été démontrée, les vols d avions n ayant pas eu lieu pendant les journées où ont été rencontrées les teneurs les plus élevées. L influence de l activité agricole, notamment pendant la période des moissons du mois de juillet, l utilisation du chauffage résidentiel, en particulier lors des quelques jours de grand froid tel le 6 mars 2008, semblent être les causes les plus probables de l obtention de teneurs plus élevées. Il est à noter que ces résultats sont un état des lieux et donc valables uniquement pour le trafic aérien de En cas d augmentation du trafic aérien et par conséquent du trafic routier en direction ou en provenance de l aéroport, une nouvelle campagne de mesure devrait être engagée, afin d estimer l impact de cette augmentation du trafic sur la qualité de l air ambiant. Page 16
21 - Protégeons ensemble l'air que nous respirons ATMO Champagne-Ardenne 2 rue Léon Patoux REIMS Cedex 2 Tél.: Fax.: contact@atmo-ca.asso.fr
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailLIAISON A50 A57 TRAVERSEE
LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine
Plus en détailQuelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France
Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le
Plus en détailSurveiller la qualité de l air avec les élèves
Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,
Plus en détailMETEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM
METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailEVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS
EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur
Plus en détailDISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)
DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailExposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles
Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Description du projet Parmi les activités liées à la santé qui sont menées à l Unité d Emissions et de Santé
Plus en détailIII RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2
FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée
Plus en détailBILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011
18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailDOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES
DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES Avec le soleil et la chaleur de l été, c est aussi les épisodes de pollution à l ozone qui reviennent. Le dossier ci-dessous propose de répondre aux 12 questions
Plus en détailZoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation
Bulletin trimestriel - mai - juin Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation L équipe d Atmo Auvergne se compose de 12 personnes réparties dans les pôles : administration, études/communication,
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailLES REGLES DE VOL VFR
LES REGLES DE VOL VFR 1. DEFINITION : Un pilote effectue un vol selon les règles de vol à vue ou VFR (Visual Flight Rules), lorsqu'il maintient son avion dans une configuration propre au vol (attitude,
Plus en détailLES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?
LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président
Plus en détailInstallations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3
SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailBDL2, BDL3 Enviro Liner Part A. Dominion Sure Seal FICHE SIGNALÉTIQUE. % (p/p) Numéro CAS. TLV de l' ACGIH 28182-81-2 70-100 Non disponible
FICHE SIGNALÉTIQUE 1. PRODUIT CHIMIQUE ET IDENTIFICATION DE L'ENTREPRISE Adresse du fournisseur/distributeur : Dominion Sure Seal Group of Companies 6175, chemin Danville, Mississauga (Ontario) Canada,
Plus en détailIntroduction 1. 1/ Présentation de l étude 2. 1.1/ Contexte environnemental du port 2. 1.2/ Mode opératoire de l étude 3. 2/ Résultats de l étude 5
EVALUATION DE LA QUALITE DE L AIR SUR LA ZONE DU PORT DE NICE Janvier - Mars / Août - Septembre 25 SOMMAIRE Introduction 1 1/ Présentation de l étude 2 1.1/ Contexte environnemental du port 2 1.2/ Mode
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailLe nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques
Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailConcerne : Avis relatif à la problématique de l ozone Note de cabinet CAB/RD/RW/JPD/DD/2003 du 27.08.2003 N CSH : 7915
SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement Bruxelles, le 29.09.2003 Monsieur le Ministre Demotte CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE Concerne : Avis relatif à la problématique de l
Plus en détailTableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées
Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans
Plus en détailCARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012
CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE Janvier 2012 AIRPARIF Surveillance de la Qualité de l Air en Ile-de-France Cartographie fine des niveaux
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailConvention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières. pour le département de
Convention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières pour le département de entre L'État, représenté par M.., Préfet d., et La Direction
Plus en détailP.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE
Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN
ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailPrésentation d µgaztox_dist Rev22_06_09
Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09 1 INTERFACE UTILISATEUR Affichage message d alarme Affichage des alarmes VME et VLE Affichage de la mesure Affichage des niveaux d alarme instantanées (haute et
Plus en détailIntoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir
Intoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir Dr Fariborz Livardjani Samu de l'environnement (Strasbourg) Dr Véronique Robe AIMT du Bas -Rhin Mai
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailPrescriptions Techniques
Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailLa prévention des intoxications dans les silos à fourrage
La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailGrille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes).
Grille de planification Expédition météo Spécialiste de l atmosphère Spécialiste des vents Spécialiste des nuages Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailQualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE
Qualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE DERBEZ Mickaël Chef de projet CSTB/OQAI Objectifs
Plus en détail1. Utilisation conforme à l usage prévu. 2. Propriétés. 3. Montage. Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101
310 164 01 Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101 1. Utilisation conforme à l usage prévu Le capteur sert à la détection de dioxyde de carbone (CO 2 ) et de la température dans l espace d habitation. La teneur
Plus en détailEvaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur
Air intérieur Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur Décembre 2008 Programme 2008 C. MARCHAND PREAMBULE Le Laboratoire Central de Surveillance
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détailUNEP /UNESCO /UNCH / ECA
UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détailActiv Air : la réponse de Placo qui va vous faire changer d air!
Activ Air : la réponse de Placo qui va vous faire changer d air! Qualité de l air intérieur : les enjeux Aldéhydes, benzène, allergènes toutes les dernières études (1) le confirment : la concentration
Plus en détailStation météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386
Station météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386 MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE DES MATIÈRES Introduction... 2 Vue d Ensemble de l Horloge... 2 Face Avant... 2
Plus en détailLA MAISON ECOCITOYENNE ITINERANTE
LA MAISON ECOCITOYENNE ITINERANTE LIVRET D'ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE Passer de citoyen témoin à citoyen acteur en intégrant la préservation de l environnement au quotidien, c est utile et c est possible
Plus en détailColloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer
Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailSimuler le cumul pour valider
Énergies renouvelables et eau chaude Simuler le cumul pour valider Est-il opportun de cumuler les énergies pour améliorer les installations de production d eau chaude sanitaire? Quelles sont les interactions
Plus en détailLES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR
LES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR A partir du grade : et programme examen du grade et supérieurs 1. FONCTIONNEMENT DES RADAR : Les radars de contrôles aériens sont des instruments de télédétection utilisés
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailBILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1
BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 2. PRESENTATION DE THALES SA... 3 2.1. Informations relatives à la personne morale... 3 2.2. Personne
Plus en détailLe Scanner 3D Dynamique
Le Scanner 3D Dynamique Présentation & Références 2015 Page 1 / 9 1. Présentation Techniques Topo, est une société de Géomètres Experts créée en 1964 comptant aujourd hui près de 120 collaborateurs répartis
Plus en détailLA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E
LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES
Plus en détailNOUVEL AÉROPORT INTERNATIONAL BLAISE DIAGNE
NOUVEL AÉROPORT INTERNATIONAL BLAISE DIAGNE Révision : 16/04/07 Impression : 16/04/07 NOUVEL AÉROPORT INTERNATIONAL BLAISE DIAGNE 2 JUSTIFICATION DU PROJET Le Sénégal a connu depuis la dévaluation de 1994
Plus en détailRésumé non technique. Tableaux d estimation
Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006
Plus en détailLE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS
LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détailTechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr
Réf. : 090 510 082A V1 Valbonne Sophia Antipolis TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr Zone d Aménagement Concertée (ZAC) des Clausonnes
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailTOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée
TOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée COnCEnTRÉ DE TECHnOLOGiE Maîtrisez vos consommations grâce au concentré de technologie TOTAL EXCELLIUM DIESEL ) ) Une meilleure protection
Plus en détailDes gestes à poser en cas d urgence
D I N SU Le Il s agit d une urgence quand : R L L DR R L R MRT L S C U S U M R L TL C D R R R S UR N T MR 09-203-01FA Gouvernement du Québec, 2009 C L D DR C DR S I Composez le 9-1-1 ou appelez le Centre
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailDescriptif du dispositif - décembre 2003 -
www.respiralyon.org Descriptif du dispositif - décembre 2003 - Communiqué de presse du 24 novembre 2003 Lancement du dispositif RESPIRALYON La qualité de l air dans l agglomération lyonnaise est l une
Plus en détailCartes de bruit stratégiques
Département de la Sarthe Cartes de bruit stratégiques Grandes infrastructures de transports Réseau autoroutier COFIROUTE Résumé non technique Article R 572-5 du code de l environnement Vu pour être annexé
Plus en détailLa gamme SAM ARGOPOL
La gamme SAM ARGOPOL La gamme : SAM ARGOPOL 2 Les systèmes d acquisition SAM ARGOPOL La gamme SAM ARGOPOL se compose d un ensemble de stations d acquisition de données. Robustes, fiables, modulaires, elles
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailChauffage au bois. à la qualité de l AIR. Vallée de l Arve
Chauffage au bois ATTENTION à la qualité de l AIR Vallée de l Arve Tous acteurs de la qualité de l air! Sommaire Chauffage au bois, un enjeu important pour la qualité de l'air... 3 Le chauffage au bois,
Plus en détailVéhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès
Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailUtilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques :
ANNEXE 7 Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : 1 carte est fournie pour l effet toxique : Carte N 1 «Taux
Plus en détailSlim Multi-days Weather Station Model: WMH800
Slim Multi-days Weather Station Model: WMH800 User Manual 2010 Oregon Scientific. All rights reserved. 300102613-00001-10 Station météo à 4 jours format CD Modèle : WMH800 MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE
Plus en détailCONDITIONS GENERALES DE VENTE & D UTILISATION DES FORFAITS POUR LA SAISON HIVER 2014/2015
CONDITIONS GENERALES DE VENTE & D UTILISATION DES FORFAITS POUR LA SAISON HIVER 2014/2015 SMAP REGIE PRA LOUP UBAYE 04 Immeuble Le génépi 04400 PRA LOUP Tél. 33 (0)4 92 84 11 54 - Fax. 33 (0)4 92 84 18
Plus en détailSECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.
FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
Plus en détailALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS
ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS Utilisation du radar HYDRIX et de la plateforme RAINPOL sur la commune d ANTIBES JUAN-LES-PINS European Local Authorities Rencontres
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détail