NOTE D ORIENTATION CONSOLIDEE ONUSIDA Division du Travail

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "NOTE D ORIENTATION CONSOLIDEE 2010. ONUSIDA Division du Travail"

Transcription

1 NOTE D ORIENTATION CONSOLIDEE 2010 ONUSIDA Division du Travail

2 20 Avenue Appia CH-1211 Geneva 27 Switzerland unaids.org

3 TABLE DES MATIERES RÉSUMÉ i INTRODUCTION 1 JUSTIFICATION DE LA RÉVISION DE LA DIVISION DU TRAVAIL 2 PRINCIPES ET CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELS 3 RÔLE CENTRAL DES QUESTIONS TRANSVERSALES 4 UN PARTENARIAT POUR DES RÉSULTATS MATRICE DE LA DIVISION DU TRAVAIL 4 RÔLES ET RESPONSABILITÉS DES PARTENAIRES 6 COMMUNICATION ET COORDINATION INTERNES DE LA DIVISION DU TRAVAIL 9 DIRECTIVES OPÉRATIONNELLES 11 RESPONSABILISATION MUTUELLE 18 ANNEXE 1 : Matrice détaillée de la Division du travail avec domaine de contribution par institution 21 ANNEXE 2 : Processus de révision et d élaboration de la Division du travail de l ONUSIDA 56

4 RÉSUMÉ La Deuxième évaluation indépendante (DEI) et les décisions auxquelles elle a abouti au cours de la 25 ème réunion du Conseil de Coordination du Programme (CCP) appelaient à un processus de révision crédible de la Division du travail de l ONUSIDA ayant pour objectif de renforcer l ensemble du travail du Programme commun. Ces demandes ont mis l accent sur la nécessité d'aborder l'aspect opérationnel des questions transversales et de définir plus clairement les rôles et responsabilités. Au cours de la 33 ème réunion du Comité des Organismes coparrainants (COC), les Directions exécutives ont finalisé un accord concernant les principes essentiels et la structure centrale de l examen et de la révision de la Division du travail. Elles ont également demandé à ce que l orientation de la mise en œuvre soit rationalisée. Ces éléments sont définis ci-dessous : 1. Accord sur le fait que le Programme commun doit élaborer : (i) une «Division du travail» mise à jour, structurée autour des 10 priorités et des 6 stratégies transversales définies dans le Cadre de résultats de l ONUSIDA et (ii) un document d orientation consolidé en annexe concernant la «Division du travail» 1. Le but principal étant de garantir, à l échelle nationale, l obtention de résultats définis par les pays et propres à chacun, et la responsabilisation en la matière. 2. Accord sur le fait que les principes essentiels permettant de conduire la révision de la Matrice de la «Division du travail» et l élaboration de ses Directives associées doivent inclure : le passage des concepts de «Division du travail» à une collaboration centrée sur des objectifs prioritaires ; l appropriation nationale et les priorités des pays doivent constituer la consigne fondamentale pour l harmonisation et l alignement, selon laquelle la coordination de la «Division du travail» doit se dérouler, dans l'esprit de la Déclaration de Paris, du Programme d action d Accra, et des «Trois principes» ; la garantie de responsabilisations mutuelles et réciproques entre les Coparrainants et le Secrétariat, en mettant l accent sur l obtention de résultats ; la clarté de la terminologie et l application des concepts de «Division du travail», afin de garantir le rendement et l efficacité ; une distinction de la «Division du travail» aux niveaux mondial, régional et national, fondée sur la compétence technique, le leadership, et les rôles de coordination du Secrétariat et des Coparrainants aux différents niveaux et la façon dont ils obtiennent des résultats ; garder une certaine souplesse pour pouvoir adapter la «Division du travail» mondiale au cas d un seul pays, et définir les différentes étapes devant être suivies par les Équipes conjointes sur le sida et les Groupes thématiques des Nations Unies sur le VIH pour effectuer ces réglages, sur la base : (i) des avantages comparés et des missions premières de différents Coparrainants ; (ii) de la présence ou de l absence, dans le pays, du Secrétariat ou d institutions ; (iii) des capacités nationales existantes ; et (iv) des fonds disponibles pour les différentes fonctions et priorités à l échelle nationale ; 1 Sources : UNAIDS technical support division of labour: summary and rationale. Geneva, UNAIDS, United Nations Development Group. Proposed working mechanisms for joint United Nations teams on AIDS at country level. New York, United Nations, Second guidance paper: joint UN programmes and teams on AIDS. Practical guidelines on implementing effective and sustainable joint teams and programmes of support. Geneva, UNA DS, th meeting of the UNAIDS Programme Coordinating Board, Geneva, Switzerland, 8 10 December Decisions, recommendations and conclusions. Geneva, UNAIDS, Global Task Team on Improving AIDS Coordination among Multilateral Institutions and International Donors: final report. Geneva, UNAIDS, UNAIDS Secretariat handbook on mobilization of extra-budgetary funds. Geneva, UNAIDS, UNAIDS Secretariat quick guide to mobilization of extra-budgetary funds. Geneva, UNAIDS, i

5 l'identification de diverses mesures incitatives, autres que financières, permettant au Programme commun d'effectuer un travail collectif en vue d atteindre des résultats ; l amélioration de la communication et de la diffusion systématiques, auprès des parties prenantes, des informations concernant le travail du Programme commun. 3. Accord sur le fait que les rôles et responsabilités des Coparrainants, tels que définis dans la «Division du travail», sont basés sur des mandats d'institution et sur des avantages comparatifs. La souplesse doit être maintenue dans l utilisation des ressources de base du Programme commun, et ce financement doit être basé sur la pertinence, les répercussions potentielles et la qualité des plans de travail spécifiques plutôt que sur l attribution de rôles précis dans l orientation de la «Division du travail». La Division du travail mise à jour, telle que définie dans la présente Note d orientation, s efforce d améliorer le rendement et l efficacité. L approche présentée vise également à améliorer l obtention de résultats, y compris en renforçant le travail conjoint et en optimisant les partenariats. La Note d orientation définit la façon dont l ensemble des acteurs de l ONUSIDA travailleront collectivement pour mettre en œuvre la Stratégie de l ONUSIDA ( ) et atteindre des résultats en vue de concrétiser sa vision «Zéro nouvelle infection. Zéro discrimination. Zéro décès lié au sida.» et de parvenir aux 10 buts associés. S appuyant sur le Cadre de résultats de l ONUSIDA, la version révisée de la Division du travail consolide le soutien que l ONUSIDA apporte aux pays dans 15 domaines. Chaque domaine bénéficie d une ou deux institutions coordonnatrices chacune disposant de mandats adéquats et d une expertise technique permettant à la fois de faciliter la participation des partenaires (au sens large) de l ONUSIDA et de garantir la qualité des résultats globaux dans le domaine concerné. L approche utilisée pour la révision de la Division du travail est unique en ce qu elle englobe toutes les activités destinées à mettre au point les politiques, le plaidoyer, les normes, l orientation et les outils, ainsi que la gestion, le courtage et la fourniture d un appui technique de qualité ; les rôles et responsabilités s entendant à tous les niveaux : mondial, régional et national. L orientation de la Division du travail définit clairement les rôles et responsabilités, prône des révisions régulières et réaffirme les principes suivants : l appropriation nationale et les priorités propres aux pays, permettant une certaine souplesse de la Division du travail et une distinction à l échelle nationale ; un partenariat pour des résultats, afin d unifier et de promouvoir l intégration et la synergie parmi les institutions partenaires pour aboutir collectivement à des résultats spécifiques et renforcer les partenariats, la communication et le travail global du Programme commun ; la responsabilisation mutuelle des Coparrainants et du Secrétariat, pré-requis essentiel à l optimisation de l impact du Programme commun et facteur clé pour de meilleurs résultats. Afin d éviter tout chevauchement, les Coparrainants ont défini leur contribution pour chaque domaine dont ils sont partenaires (Annexe 1) ; le Secrétariat est chargé de faciliter et de promouvoir la coopération et l obtention de résultats ambitieux dans l'ensemble des domaines de la Division du travail, et il ne coordonne aucun domaine. En tant que tel, le rôle et les responsabilités du Secrétariat sont axés sur les questions de leadership, sur la cohérence, la cohésion et la coordination globales de l ensemble des domaines, ainsi que sur la responsabilisation mutuelle de l ensemble des acteurs de l ONUSIDA par rapport aux résultats. ii

6 INTRODUCTION Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) a pour mission de mettre à profit l expérience et les points forts des Organismes coparrainants pour l élaboration de stratégies et de politiques cohérentes, la fourniture d un appui au renforcement des capacités des pays et des communautés, et la mobilisation d un soutien politique et social à des actions de lutte contre le sida ou de prévention, tout en impliquant une vaste gamme de secteurs et d institutions à l échelle nationale 2. L ONUSIDA est un partenariat innovant formé de 10 Coparrainants des Nations Unies 3 et du Secrétariat de l ONUSIDA. Sa force réside dans la variété de l expertise, de l expérience et des mandats de ses Coparrainants ainsi que dans la valeur ajoutée du Secrétariat en matière de leadership, de plaidoyer, de coordination et de responsabilisation. La mission de l ONUSIDA 4 est de guider et de mobiliser le monde en vue de mettre en place un accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l appui en matière de VIH : En unissant les efforts des Coparrainants des Nations Unies, de la société civile, des gouvernements nationaux, du secteur privé, des institutions mondiales ainsi que des personnes vivant avec le VIH et les plus affectées par ce virus ; En exprimant haut et fort sa solidarité avec les personnes les plus affectées par le VIH en vue de défendre la dignité humaine, les droits de l homme et l égalité entre les sexes ; En mobilisant des ressources politiques, techniques, scientifiques et financières et en rendant chacun responsable des résultats ; En communiquant aux agents du changement des informations et des éléments probants stratégiques pour les influencer et s assurer que les ressources sont allouées là où elles auront le plus d impact ; et En soutenant un leadership participatif des pays en vue de ripostes complètes et pérennes combinées aux efforts nationaux en matière de santé et de développement dont elles font partie intégrante. En , le Programme commun a supervisé un processus destiné à clarifier et à déterminer le coût de la Division du travail pour l appui technique apporté aux pays. Cela a abouti à un accord sur une Division du travail qui différencie plus clairement les rôles des Coparrainants et du Secrétariat de l ONUSIDA dans le cadre de la fourniture et de la gestion de l appui technique. En 2009, la Deuxième évaluation indépendante (DEI) a appelé l ONUSIDA, en tant que Programme commun, à être plus «ciblé, stratégique, flexible et réactif, efficient et responsable». Dans ce contexte, la DEI a fait remarquer que les limites pratiques de la Division du travail se manifestaient par une coordination inadéquate des différentes institutions de l ONU ; par un éclatement des programmes, des structures et de l appui aux pays ; et par un manque de mécanismes de responsabilisation adéquats (surveillance, compte rendu et évaluation) 6. Elle a recommandé que ces problèmes soient résolus. En conséquence de quoi, le Conseil de Coordination du Programme (CCP) 7 a demandé que la Division du travail fasse l objet d un processus de révision crédible, pour renforcer les travaux du Programme commun, en mettant tout particulièrement l accent sur l aspect opérationnel des questions transversales et sur une définition plus claire des rôles et des responsabilités. Le processus de révision est exposé en détail à l'annexe Résolution 1994/24 du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC), publiée le 26 Juillet 1994, Annexe. L OIT, le PNUD, l'unesco, l UNFPA, le HCR, l'unicef, l UNODC, le PAM, l OMS et la Banque mondiale. Mission adoptée par le CCP au cours de sa 26 ème réunion en juin Conformément aux recommandations de la Cellule mondiale de réflexion pour une meilleure coordination entre les organismes multilatéraux et les donateurs internationaux dans la riposte au sida. La Cellule mondiale de réflexion a été créée par des gouvernements, des acteurs de la société civile, des institutions des Nations Unies et d autres institutions multilatérales et internationales pour élaborer une série de recommandations sur le renforcement de l architecture institutionnelle de la riposte au sida, plus particulièrement par le biais de procédures et de pratiques de rationalisation, de simplification et d harmonisation destinées à améliorer l efficacité des ripostes nationales et à alléger le fardeau des pays touchés. La Cellule mondiale de réflexion a été conçue dans le double cadre de la réforme de l'onu et des efforts internationaux pour améliorer l efficacité de l aide, dans l esprit de la Déclaration de Paris (2003) et de la Déclaration de Rome (2005) sur l harmonisation de l aide. Deuxième évaluation indépendante de l ONUSIDA, Rapport final, 2009, paragr. 23, page xiii ; Résumé paragr. 102, page xxxi Résultats de la DEI : «La Division du travail, qui attribue des rôles d institutions chefs de file à différents Coparrainants pour différentes populations clés, a contribué à la fragmentation et rendu difficile la mise au point d un leadership cohérent et la satisfaction de multiples besoins» ; Section How UNAIDS Works (comment l ONUSIDA travaille), Chapitre 4 : Division of labour and joint working (Division du travail et travail conjoint) : paragr Bien qu on «dispose de preuves quant aux effets positifs de la Division du travail au niveau mondial», 4.21 «les progrès sont limités en termes de clarté des rôles de chefs de file» (voir également paragr et Annexe 9, Tableau 9) «au niveau mondial». Les rôles de chefs de file sont toujours essentiellement perçus comme basés sur les mandats des institutions plutôt que sur la performance opérationnelle, et le Secrétariat n a aucune latitude pour passer outre la multiplicité des rôles ou maintenir la responsabilité d un Coparrainant (voir également Annexe 9, Tableau 8) ; Évaluation de l ONUSIDA sur cinq ans, Rapport final, 2009, paragr. 23, page xiii. Décision du CCP prise au cours de sa 25 ème réunion, en décembre 2009, recommandations 4.16 et

7 JUSTIFICATION La Division du travail 2010 permet de consolider les dispositifs par lesquels l ensemble de l ONUSIDA effectuera un travail collectif pour progresser dans le cadre du programme d action présenté dans la Stratégie de l ONUSIDA et atteindre des résultats en vue de concrétiser sa vision «Zéro nouvelle infection. Zéro discrimination. Zéro décès lié au sida.» 9 et de parvenir aux 10 buts associés. La Division du travail 2010 accentue les avantages comparatifs du Programme commun dans son ensemble Coparrainants et Secrétariat afin d améliorer le rendement et l efficacité. Elle vise à tirer parti des différents mandats organisationnels et des ressources pour effectuer un travail collectif en vue d obtenir des résultats, ce qui inclut le renforcement du travail conjoint et l optimisation des partenariats. L approche de la Division du travail 2010 est unique en ce qu elle : englobe toutes les activités destinées à mettre au point les politiques, le plaidoyer, les normes, l orientation et les outils, ainsi que la gestion, le courtage et la fourniture d un appui technique de qualité ; les rôles et responsabilités s entendant à tous les niveaux : mondial, régional et national ; est basée sur une approche de type «regroupement» ou «partenariat» afin d unifier et de promouvoir l intégration et la synergie parmi les institutions partenaires pour aboutir à des résultats spécifiques et renforcer les partenariats, la communication et le travail global du Programme commun, plus particulièrement l'aspect opérationnel des questions transversales ; est adaptable, réaffirmant ainsi l appropriation nationale et les priorités propres aux pays, ce qui permet une certaine souplesse et une distinction à l échelle nationale ; est fondée sur la responsabilisation mutuelle des Coparrainants et du Secrétariat, pré-requis essentiel à l optimisation de l impact du Programme commun et facteur clé pour de meilleurs résultats. La Division du travail 2010 optimise les 10 domaines prioritaires énoncés dans le document Action conjointe en vue de résultats : Cadre de résultats de l ONUSIDA 10 afin de consolider l appui que l ONUSIDA fournit aux pays dans quinze (15) domaines de la Division du travail : Réduire la transmission sexuelle du VIH Empêcher que les mères meurent et que leurs bébés soient infectés par le VIH Permettre aux personnes vivant avec le VIH de bénéficier d un traitement Éviter que les personnes vivant avec le VIH meurent de la tuberculose Protéger les consommateurs de drogues de l infection à VIH et garantir l accès à des services complets de prise en charge du VIH aux personnes incarcérées et vivant dans d autres milieux clos Donner aux hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, aux professionnel(le)s du sexe et aux personnes transsexuelles les moyens de se protéger contre l infection à VIH et d avoir pleinement accès au traitement antirétroviral Supprimer les lois, les politiques et les pratiques répressives, la stigmatisation et la discrimination, qui entravent l efficacité des ripostes au sida Répondre aux besoins liés au VIH des femmes et des filles, et mettre fin aux violences sexuelles et sexistes Donner aux jeunes les moyens de se protéger contre le VIH Améliorer la protection sociale des personnes affectées par le VIH Lutter contre le VIH dans les situations d urgence humanitaire Intégrer les programmes alimentaires et nutritionnels dans la riposte au VIH Élargir et intensifier les politiques et les programmes de lutte contre le VIH sur le lieu de travail, et mobiliser le secteur privé Garantir une éducation de qualité supérieure pour une lutte plus efficace contre le VIH Soutenir des plans nationaux de riposte au sida stratégiques, hiérarchisés, multisectoriels et dont les coûts sont évalués Adoptée par le CCP en décembre Adoptée par le CCP au cours de sa 25 ème réunion, en décembre 2009, recommandation. Couvre actuellement la période , susceptible d être prolongée sous réserve d évaluation des progrès. 2

8 Pour renforcer la supervision et la responsabilisation, chaque domaine de la Division du travail bénéficie d une ou deux institutions coordonnatrices disposant de mandats adéquats, d une expertise technique et de capacités en matière de ressources, ce qui permet à la fois de faciliter la participation des partenaires (au sens large) de l ONUSIDA et de garantir la qualité des résultats globaux dans le domaine concerné. Afin d éviter tout chevauchement entre les attributions du Secrétariat et celles des Coparrainants, le Secrétariat ne jouera aucun rôle de coordination ou de cocoordination dans aucun des 15 domaines de la Division du travail. En revanche, il facilitera et encouragera la coopération et l obtention de résultats ambitieux dans l'ensemble des domaines. PRINCIPES ET CARACTÉRISTIQUES ESSENTIELS Au cours de la 33 ème réunion du Comité des Organismes coparrainants (COC) 11, les Directions exécutives des institutions coparrainantes et le Secrétariat ont abouti à un accord concernant les principes essentiels et la structure centrale de l examen et de la révision de la Division du travail. Elles ont également demandé à ce que l orientation de la mise en œuvre soit rationnalisée. Ces éléments sont définis ci-dessous : 1. Accord sur le fait que le Programme commun doit élaborer : (i) une «Division du travail» mise à jour, structurée autour des priorités et des stratégies transversales définies dans le Cadre de résultats de l ONUSIDA et (ii) un document d orientation consolidé en annexe concernant la «Division du travail» 12. Le but principal étant de garantir, à l échelle nationale, l obtention de résultats définis par les pays et propres à chacun, et la responsabilisation en la matière. 2. Accord sur le fait que les principes essentiels permettant de conduire la révision de la Matrice de la «Division du travail» et l élaboration de ses Directives associées doivent inclure : le passage des concepts de «Division du travail» à une collaboration centrée sur des objectifs prioritaires ; l appropriation nationale et les priorités des pays doivent constituer la consigne fondamentale pour l harmonisation et l alignement, selon laquelle la coordination de la «Division du travail» doit se dérouler, dans l'esprit de la Déclaration de Paris, du Programme d action d Accra, et des «Trois principes» ; la garantie de responsabilisations mutuelles et réciproques entre les Coparrainants et le Secrétariat, en mettant l accent sur l obtention de résultats ; la clarté de la terminologie et l application des concepts de «Division du travail», afin de garantir le rendement et l efficacité ; une distinction de la «Division du travail» aux niveaux mondial, régional et national, fondée sur la compétence technique, le leadership, et les rôles de coordination du Secrétariat et des Coparrainants aux différents niveaux et la façon dont ils obtiennent des résultats ; garder une certaine souplesse pour pouvoir adapter la «Division du travail» mondiale au cas d un seul pays, et définir les différentes étapes devant être suivies par les Équipes conjointes sur le sida et les Groupes thématiques des Nations Unies sur le VIH pour effectuer ces réglages, sur la base : (i) des avantages comparés et des missions premières de différents Coparrainants ; (ii) de la présence ou de l absence, dans le pays, du Secrétariat ou d institutions ; (iii) des capacités nationales existantes ; et (iv) des fonds disponibles pour les différentes fonctions et priorités à l échelle nationale ; l'identification de diverses mesures incitatives, autres que financières, permettant au Programme commun d'effectuer un travail collectif en vue d atteindre des résultats ; l amélioration de la communication et de la diffusion systématiques, auprès des parties prenantes, des informations concernant le travail du Programme commun. 3. Accord sur le fait que les rôles et responsabilités des Coparrainants, tels que définis dans la «Division du travail», sont basés sur des mandats d'institution et sur des avantages comparatifs. La souplesse doit être maintenue dans l utilisation des ressources de base du Programme commun, et ce financement doit être basé sur la pertinence, les répercussions potentielles et la qualité des plans de travail spécifiques plutôt que sur l attribution de rôles précis dans l orientation de la «Division du travail». 11 Le 33 ème COC s est tenu le 8 avril 2010 à Vienne (Autriche). 12 Sources : UNAIDS technical support division of labour: summary and rationale. Geneva, UNAIDS, United Nations Development Group. Proposed working mechanisms for joint United Nations teams on AIDS at country level. New York, United Nations, Second guidance paper: joint UN programmes and teams on AIDS. Practical guidelines on implementing effective and sustainable joint teams and programmes of support. Geneva, UNAIDS, th meeting of the UNAIDS Programme Coordinating Board, Geneva, Switzerland, 8 10 December Decisions, recommendations and conclusions. Geneva, UNAIDS, Global Task Team on Improving AIDS Coordination among Multilateral Institutions and International Donors: final report. Geneva, UNAIDS, UNAIDS Secretariat handbook on mobilization of extra-budgetary funds. Geneva, UNAIDS, UNAIDS Secretariat quick guide to mobilization of extra-budgetary funds. Geneva, UNAIDS,

9 RÔLE CENTRAL DES QUESTIONS TRANSVERSALES La DEI et une plus large partie des intervenants ont demandé qu une attention soutenue soit apportée à la prévention ainsi qu'aux droits humains et à l'égalité des sexes. Ces questions transversales apparaissent clairement dans les trois orientations stratégiques et dans les thèmes centraux de la Stratégie de l'onusida , qui guideront l action de l ONUSIDA. Orientations stratégiques Révolutionner la prévention du VIH Favoriser l émergence d un traitement, de soins et d un appui de nouvelle génération Promouvoir les droits humains et l égalité des sexes pour soutenir la riposte au VIH Thèmes centraux Personnes : Atteinte des plus vulnérables grâce à des ripostes plurielles, mobilisation des communautés, protection des droits humains Pays : Appropriation nationale de ripostes pérennes, diversification des financements, renforcement des systèmes Synergies : Unification des mouvements, intégration des services, maintien de l efficacité des actions ciblant les OMD La Division du travail, le Budget-plan de travail intégré (et son successeur, le Cadre unifié du budget et des responsabilités) et les Programmes communs d appui font office de compléments opérationnels à la Stratégie de l ONUSIDA en matière de planification, de mise en œuvre, de surveillance et d évaluation. UN PARTENARIAT POUR DES RÉSULTATS La nature évolutive et la complexité de la situation du VIH, du financement et de l architecture du développement incitent à une plus grande clarté des rapports entre les besoins, les fonds, les programmes et les résultats des pays. Elles exigent aussi une plus grande précision quant au rôle de l ONUSIDA au sein des multiples acteurs. À terme, l ONUSIDA doit donner la priorité aux résultats en faveur des personnes, en obtenant des effets mesurables en matière de réduction du nombre de nouvelles infections, et en augmentant l'espérance de vie et en améliorant la qualité de vie des personnes touchées par le VIH. Dans cette optique, les principes d appropriation nationale, de priorités propres aux pays et de «partenariat pour des résultats» sont capitaux pour l élaboration et la mise en place de la Division du travail, qui englobe 15 domaines destinés à soutenir la réalisation des objectifs de la Stratégie de l ONUSIDA. Dans le cadre de sa mise en œuvre, l appui de l ONUSIDA (Coparrainants et Secrétariat) en matière de programmation visera à fournir des prestations claires, à optimiser les résultats collectifs et à capitaliser pleinement sur les points forts particuliers du Programme commun. 4

10 Domaine de la Division du travail Réduire la transmission sexuelle du VIH a coordonnatrice(s) BANQUE MONDIALE UNFPA Institutions partenaires BANQUE MONDIALE PNUD HCR UNFPA UNICEF OIT OMS PAM UNESCO Empêcher que les mères meurent et que leurs bébés soient infectés par le VIH a OMS UNICEF OMS UNICEF UNFPA PAM Permettre aux personnes vivant avec le VIH OMS OMS HCR PNUD de bénéficier d un traitement a UNICEF OMS PAM OIT Éviter que les personnes vivant avec le VIH OMS OMS UNICEF meurent de la tuberculose a PAM OIT UNODC Protéger les consommateurs de drogues de UNODC UNODC OMS l infection à VIH et garantir l accès à des UNICEF PNUD services complets de prise en charge du VIH BANQUE MONDIALE aux personnes incarcérées et vivant dans UNESCO d autres milieux clos a UNFPA Donner aux hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, aux professionnel(le)s du sexe et aux personnes transsexuelles les moyens de se protéger contre l infection à VIH et d avoir pleinement accès au traitement antirétroviral a PNUD UNFPA PNUD UNFPA UNESCO BANQUE MONDIALE OMS Supprimer les lois, les politiques et les pratiques répressives, la stigmatisation et la discrimination, qui entravent l efficacité des ripostes au sida a PNUD PNUD UNFPA UNODC UNESCO OMS UNICEF HCR OIT Répondre aux besoins liés au VIH des femmes et des filles, et mettre fin aux violences sexuelles et sexistes a Donner aux jeunes les moyens de se protéger contre le VIH a Améliorer la protection sociale des personnes affectées par le VIH a PNUD UNFPA UNICEF UNFPA UNICEF BANQUE MONDIALE PNUD UNICEF UNESCO UNFPA OMS HCR PAM UNODC OIT UNICEF PAM HCR UNFPA UNESCO OIT OMS UNICEF PAM PNUD BANQUE MONDIALE OMS OIT HCR Lutter contre le VIH dans les situations d urgence humanitaire b Intégrer les programmes alimentaires et nutritionnels dans la riposte au VIH Élargir et intensifier les politiques et les programmes de lutte contre le VIH sur le lieu de travail, et mobiliser le secteur privé Garantir une éducation de qualité supérieure pour une lutte plus efficace contre le VIH Soutenir des plans nationaux de riposte au sida stratégiques, hiérarchisés, multisectoriels et dont les coûts sont évalués HCR PAM HCR OMS UNFPA PAM UNODC UNICEF PNUD PAM PAM OMS UNICEF HCR OIT UNESCO BANQUE MONDIALE UNESCO OIT OMS a Domaines prioritaires de l Action conjointe en vue de résultats Cadre de résultats de l ONUS DA b Catastrophes naturelles et situations de crise. UNESCO UNFPA OIT OMS UNICEF BANQUE MONDIALE PNUD HCR UNESCO OMS UNODC PAM UNFPA OIT UNICEF 5

11 Application de la Division du travail à l échelle régionale Les institutions coordonnatrices/cocoordonnatrices recensées dans la Matrice de la Division du travail œuvrent aux niveaux mondial et régional et ne doivent pas être adaptées région par région, sauf si une région peut faire valoir qu un domaine non couvert à l échelle mondiale est essentiel à la dynamique de sa propre épidémie. Dans ce cas, lorsque des domaines thématiques nouveaux ou inattendus émergent, le Secrétariat et les Coparrainants aux niveaux mondial et régional doivent se concerter et s accorder sur le choix de l organisme qui coordonnera ce nouveau domaine. Dans le prolongement des décisions et recommandations du CCP, le principe sous-jacent doit être de déterminer quel Coparrainant assurera la direction 13. RÔLES ET RESPONSABILITÉS DES INSTITUTIONS COORDONNATRICES, DES PARTENAIRES ET DU SECRÉTARIAT Concernant les institutions coordonnatrices, les institutions partenaires et le Secrétariat de l'onusida, les rôles et responsabilités suivants visent à tirer parti de nos mandats organisationnels respectifs et des ressources pour effectuer un travail collectif en vue d obtenir des résultats, ce qui inclut le renforcement du travail conjoint et l optimisation des partenariats aux niveaux mondial, régional et national. La désignation des institutions coordonnatrices et des partenaires pour chaque domaine devra être basée, entre autres, sur leur expertise, leur mandat et leur avantage comparatif dans ce domaine précis. Dans un domaine donné, la/les institution(s) coordonnatrice(s) devra/devront servir de guide par rapport à la vision du Programme commun, afin de garantir que les besoins liés au programme dans ce domaine sont identifiés et traités par le biais du travail collectif avec les institutions coparrainantes désignées qui auront identifié dans quels domaines de la Division du travail elles peuvent apporter leur contribution, sur la base de leur avantage comparatif et de leurs mandats. Il est important de souligner que les institutions coordonnatrices jouent un rôle de courtage/pilotage et ne doivent pas être perçues ou s acquitter de leur rôle comme des fournisseurs exclusifs de l appui de l ONU dans leur(s) domaine(s). À cet égard, elles sont susceptibles, le cas échéant, de faire appel à des partenaires extérieurs à l ONUSIDA ayant des compétences particulières par exemple : l Organisation internationale pour les migrations (OIM), pour les questions de migration, la CNUCED, pour l accès aux médicaments, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l homme (HCDH), pour les droits de l homme, et l institution ONU-Femmes, pour les questions d égalité entre les sexes. Tous les partenaires travailleront collectivement avec la/les institution(s) coordonnatrice(s) pour fournir (directement ou en tant que courtier) l appui programmatique technique et financier nécessaire pour tel domaine de la Division du travail. Les critères de désignation des partenaires, y compris l institution coordonnatrice, doivent inclure : l engagement de ressources humaines et financières à différents niveaux (mondial, régional et national) le mandat et l orientation stratégique l expertise, la compétence et les capacités techniques permettant d obtenir des résultats dans le domaine la volonté de défendre la cause à tous les niveaux de l'organisation l établissement d un dialogue avec la société civile et d autres parties prenantes Le Secrétariat de l ONUSIDA, qui ne jouera aucun rôle de coordination ou de cocoordination dans un domaine particulier, aura pour responsabilité de garantir le fonctionnement global et la responsabilité générale de la Division du travail. Il devra se concentrer tout particulièrement sur les questions de leadership, sur la cohérence, la cohésion et la coordination globales de l ensemble des domaines ainsi que sur les responsabilisations mutuelles au sein de l ONUSIDA en matière de résultats. Des détails concernant cet aspect sont présentés ci-dessous ème CCP, décision 10 3 : «Reconnaissant la nécessité d un Secrétariat puissant et d éviter une micro-gestion du Programme commun, et assumant une responsabilité effective dans la gouvernance de l ONUSIDA, accepte de recentrer ses travaux pour garantir [que] [ ] le Secrétariat n assume pas des rôles susceptibles d être occupés par un coparrainant [ ]» 6

12 Ci-dessous sont définis les rôles et responsabilités dévolus aux partenaires, aux institutions coordonnatrices et au Secrétariat de l ONUSIDA dans le cadre de la Division du travail 2010 à l échelle mondiale et régionale. Rôles et responsabilités de la /des institution(s) coordonnatrice(s) au sein d un domaine de la Division du travail : Coordonner les institutions partenaires afin de mieux garantir que les besoins et carences préalablement identifiés en matière d appui technique ont été pris en compte et traités, dans la mesure du possible. Convoquer les membres du partenariat pour définir et planifier les activités. Faciliter et organiser un processus collectif interinstitutions et de partenariat sur la définition des critères, les orientations normatives, l élaboration de politiques, la planification et la programmation. Garantir le leadership, le plaidoyer, la coordination et la consultation dans le domaine de responsabilité concerné. Faire progresser la mission et l orientation stratégique du domaine. Fournir les ressources humaines et de gestion requises pour organiser les travaux du domaine. Garantir que l analyse collective et les comptes rendus effectués selon l échéancier seront conformes aux cadres de responsabilisation présentés dans le Cadre de la Division du travail. Coordonner et diriger la production d informations stratégiques liées au domaine. Rôles et responsabilités des partenaires thématiques : Garantir l accès à tous les documents utiles : politiques, normes, orientations stratégiques, outils, etc. Assurer le plaidoyer, basé sur les droits et éclairé par des données probantes, concernant les priorités ayant fait l objet d un accord. Renforcer le soutien, l appropriation et stimuler la demande en vue de fournir des réponses appropriées. Mobiliser et renforcer les partenariats (courtage, renforcement des capacités). Collaborer sur la définition des critères, les orientations normatives, l élaboration de politiques, la planification et la programmation. Contr buer à l apport (directement ou en tant que courtier) d un appui technique de qualité garantie. Garantir la mise en œuvre des mécanismes de responsabilisation. Suivre les progrès réalisés à l échelle mondiale, régionale et nationale, par rapport aux objectifs et aux prestations convenus, et en rendre compte. Fournir une expertise technique et des capacités durables dans le but d atteindre les résultats assignés à l institution et ayant fait l objet d un accord, dans le domaine de la Division du travail concerné. Garantir que les efforts de mobilisation des ressources déployés en vue de la fourniture des prestations convenues sont transparents et le cas échéant collectifs. Rôles et responsabilités du Secrétariat : Le Secrétariat de l ONUSIDA sera globalement chargé de garantir le fonctionnement et la responsabilisation dans tous les domaines de la Division du travail et des Stratégies transversales pour les questions suivantes. Leadership et plaidoyer : Influencer la fixation d un programme politique sur le VIH qui soit respectueux des droits et tienne compte des différences entre les sexes pour les trois orientations stratégiques décrites dans le Plan stratégique de l ONUSIDA. Cela sera fait afin de repositionner le Programme commun au sein d un environnement (aide et développement) en pleine mutation, en fonction de l analyse des informations stratégiques, y compris des données sur les moteurs actuels de l épidémie de VIH. Les trois orientations stratégiques sont : - révolutionner la prévention du VIH ; - favoriser l émergence d un traitement, de soins et d un appui de nouvelle génération ; et - promouvoir les droits humains et l égalité des sexes pour soutenir la riposte au VIH. Coordination, cohérence et partenariats : Apporter un soutien aux trois orientations stratégiques dans tous les domaines décrits dans la Matrice de la Division du travail. Responsabilisation mutuelle : Soutenir une responsabilisation mutuelle du Secrétariat et des Coparrainants pour améliorer l efficience et l efficacité des programmes, et pour réaliser au mieux la mission, la vision et le Plan stratégique de l ONUSIDA, avec des résultats quantifiables. 7

13 En particulier, le Secrétariat aura les responsabilités suivantes : Conduire le plaidoyer et favoriser la production d informations stratégiques pour un programme politique sur le VIH éclairé par des données probantes, respectueux des droits et tenant compte des différences entre les sexes, conformément à son programme collectivement approuvé. Assurer une cohérence, une coordination et un appui d ensemble pour des partenariats efficaces et flexibles dans tous les domaines décrits dans la Division du travail, y compris avec des personnes vivant avec le VIH et en étroite collaboration avec les Coparrainants. S appuyer sur les mécanismes interinstitutions pour garantir une coordination et une cohésion appropriées entre les trois orientations stratégiques pour : - recenser des objectifs et des produits concrets, en prenant en considération les résultats ambitieux définis dans chaque domaine prioritaire ; - évaluer comment l ensemble des domaines prioritaires du Cadre de résultats contribuera aux trois orientations stratégiques ; - favoriser la coordination et la collaboration entre tous les domaines de la Division du travail afin de maximiser les synergies potentielles entre les domaines ; - renforcer le rôle que les droits humains et l égalité des sexes doivent jouer pour améliorer les résultats de la prévention, du traitement, des soins et de l appui ; - promouvoir des synergies entre les efforts axés sur la prévention, le traitement, les soins et l appui dans le cadre de la riposte au sida et les efforts intégrés dans des domaines de développement plus larges ; et - garantir des mécanismes de responsabilisation mutuelle, notamment l élaboration d un Cadre unifié du budget et des responsabilités et le contrôle de sa mise en œuvre et de son utilisation optimale, pour l ensemble du Programme commun jusqu au niveau du Directeur exécutif et du Conseil de Coordination du Programme. Collecter et synthétiser les principales données sur l épidémie, conformément aux tendances, caractéristiques et typologies émergentes, y compris du point de vue des droits humains et de la sexospécificité, pour suivre et évaluer les progrès en direction de l accès universel et des OMD. Conduire l élaboration, la coordination et la mise en œuvre d un cadre de responsabilisation mutuelle (conformément à ce qui précède) pour l ensemble du Programme commun. Créer un espace pour les Coparrainants et les aider à être «unis dans l action», en maximisant leurs avantages comparatifs communs à l échelon des pays vis-à-vis des partenaires de développement, afin d appuyer les efforts nationaux pour atteindre l accès universel et les OMD. Faciliter la négociation et le renforcement des synergies, des complémentarités et de la responsabilisation entre les mécanismes d appui technique et les fournisseurs au profit de ripostes nationales au sida appropriées. Conduire la mobilisation des ressources pour le budget de base et collaborer, le cas échéant, avec les Coparrainants pour mobiliser des fonds extrabudgétaires et autres. 8

14 COMMUNICATION ET COORDINATION INTERNES DE LA DIVISION DU TRAVAIL Les recommandations de la Deuxième évaluation indépendante (DEI) de l ONUSIDA mettaient l accent sur l importance de la communication et de la coordination dans le Programme commun. En se basant sur les conclusions d'une évaluation externe des équipes de travail interinstitutions (ETII) et autres commentaires des parties prenantes, les Coparrainants et le Secrétariat ont convenu des valeurs de base d un nouveau modus operandi pour les mécanismes interinstitutions, clairement axé (comme le recommandait la deuxième évaluation indépendante) sur l'établissement d'objectifs fixés dans le temps, basés sur les tâches et de comptes rendus réguliers de la performance. Un nouveau modus operandi basé sur l expérience Le modus operandi proposé se base sur les expériences, succès et défis passés des équipes de travail interinstitutions ainsi que sur l'expérience d'autres mécanismes de coordination et liés aux tâches. Le modus operandi proposé est flexible et répond au besoin d assurer l alignement de la politique et du programme avec une concentration claire sur les résultats, et une efficience, une efficacité et une responsabilisation accrues. Le modus operandi s aligne sur la Stratégie , la stratégie de partenariat, la Division du travail révisée et les responsabilités respectives des Coparrainants et du Secrétariat. L étude des équipes de travail interinstitutions a mis en évidence plusieurs problèmes concernant l'élaboration d'un modus operandi futur pour les actions interinstitutions de l'onusida, en attirant l'attention en particulier sur cinq principes et valeurs de base qui devraient étayer tous les arrangements futurs. Ces cinq valeurs de base sont : 1. Meilleures gouvernance et responsabilisation : avec une concentration claire sur les domaines de la Division du travail de l ONUSIDA, un rôle central des mécanismes interinstitutions sera d'assurer l'alignement entre politique et programme, de contrôler progrès et accomplissement, et d étudier périodiquement les progrès et résultats. 2. Concentration plus claire sur les résultats : les domaines décrits dans la Division du travail de l'onusida offrent des fondations solides à un succès futur. Pour obtenir des succès collectifs, il faut toutefois qu'il y ait une concentration plus claire sur les résultats, demandant une forte coordination de l'onusida à l intérieur des domaines et entre eux. 3. Leadership : une ou plusieurs des institutions coordonnatrices seront désignées pour chaque domaine, selon la Division du travail révisée et seront responsables de la coordination dans le mécanisme interinstitutions pertinent. Il incombera aux institutions coordonnatrices/cocoordonnatrices, en consultation proche avec les autres institutions partenaires, de rassembler les ressources pour le mécanisme interinstitutions et d'optimiser la synergie entre les différentes institutions. Les institutions coordonnatrices/cocoordonnatrices répondront devant les Coordonnateurs mondiaux des Coparrainants et le Secrétariat, du leadership et des résultats dans leur domaine. 9

15 4. Communication de rapports : tous les mécanismes interinstitutions auront les mêmes responsabilités et soumettront périodiquement un rapport (une fois par an), détaillé, axé sur les résultats, aux Coordonnateurs mondiaux des Coparrainants et au Secrétariat, et, au besoin, au comité directeur de l'organisme responsable des institutions coordonnatrices/cocoordonnatrices, sur le progrès, les réalisations, les obstacles et les clés du succès dans la coordination mondiale dans leur domaine. 5. Alignement des mécanismes techniques et coordonnateurs mondiaux de l ONUSIDA : pour optimiser les efficacités, les mécanismes interinstitutions ne devraient pas être trop ambitieux dans leurs rôles à l intérieur des pays. La mise en œuvre nationale devrait incomber aux Équipes conjointes des Nations Unies sur le VIH/sida et aux partenaires nationaux avec, au besoin, l'appui aux niveaux mondial et régional. Responsabilisation et comptes rendus Il incombera aux institutions coordinatrices/cocoordonnatrices dans la Division du travail de contrôler continuellement et de soumettre un rapport annuel aux Coordonnateurs mondiaux des Coparrainants et au Secrétariat, selon la responsabilisation accrue en cours d élaboration en tant que partie du Cadre unifié de budget et des responsabilités. Et après? On attend des institutions coordonnatrices/cocoordonnatrices et de leurs partenaires dans chacun des 15 domaines de la Division du travail révisée qu'ils identifient le mécanisme interinstitutions le plus approprié qui convient aux besoins de chaque domaine, selon les valeurs de base établies. Ils peuvent déterminer si un mécanisme interinstitutions existant, comme une ETII ou un groupe de référence, fonctionne bien et continuera avec son mandat courant ou un mandat révisé, ses membres et son leadership, ou ils peuvent fermer les mécanismes existants et opter pour une autre solution, donnant la flexibilité de répondre aux besoins du domaine spécifique. 10

16 DIRECTIVES OPÉRATIONNELLES L accès universel reste la priorité institutionnelle de l ONUSIDA et continue à servir de socle et d axe central en vue de concrétiser la vision de l ONUSIDA : «Zéro nouvelle infection. Zéro discrimination. Zéro décès lié au sida.» La nouvelle Stratégie de l ONUSIDA continue à suivre le chemin qui doit mener à l accès universel en révolutionnant la prévention du VIH, en favorisant l émergence d un traitement, de soins et d un appui de nouvelle génération, en plaçant les droits de l'homme et l'égalité des sexes au centre de la riposte, et en sortant le sida de son isolement. Trois thèmes phares de la Stratégie de l ONUSIDA servent de base à la Division du travail. Thèmes phares de la Stratégie de l'onusida Appropriation nationale de ripostes pérennes : Accent sur les résultats et retombées à l'échelle nationale par un appui aux priorités, processus et mécanismes de responsabilisation propres au pays ; et engagement en faveur de l appropriation, l alignement et l'harmonisation nationaux. Placer les personnes au centre de la riposte : Les plus grandes réussites de la riposte mondiale au VIH ont pu voir le jour grâce au dynamisme des personnes touchées par le VIH et à leur collaboration sur des questions d intérêt général avec des parties prenantes des secteurs de la santé, du développement et des droits. Mais davantage d'actions doivent et peuvent être entreprises pour garantir que les besoins des populations touchées et exposées sont bien au centre de la riposte au VIH. Le Programme commun doit veiller à toujours privilégier les approches axées sur les personnes et les communautés afin d'optimiser leur potentiel, et à s'inspirer des réussites passées. Rechercher des synergies entre la riposte au VIH et les efforts plus larges visant les OMD et le développement humain : L efficacité et la pérennité de la riposte au VIH dépendent en grande partie des succès rencontrés dans le cadre des efforts plus larges déployés en matière de santé et de développement ; de même, il est crucial d'investir dans la lutte contre le VIH pour atteindre tous les OMD. L approche «sida + OMD» met en exergue le rôle central de la riposte au VIH pour la réalisation des OMD ; elle incite également aux actions concertées afin d'optimiser les répercussions sur de multiples OMD. À l'approche de 2015, date butoir fixée pour la réalisation des OMD, l approche «sida + OMD» a été élevée par l'onusida au rang de principe unificateur de son action pour donner son ampleur maximale à la riposte au sida en tant qu élément essentiel à la réalisation des OMD, et pour, réciproquement, soutenir le rôle des OMD dans la concrétisation de l'accès universel à la prévention, au traitement, aux soins et à l appui dans le domaine du VIH. Application des directives, outils et cadres des Nations Unies existants : La présente Note d orientation consolidée sur la Division du travail 2010 s inspire d outils et de cadres existants concernant le renforcement des processus de l ONU, plus particulièrement : Note d orientation sur la programmation conjointe du UNDG (19 décembre 2003) ; Document d orientation du UNDG : Modalités de fonctionnement proposées pour les Équipes conjointes des Nations Unies sur le sida à l échelon des pays (19 mai 2006) ; Deuxième document d orientation : Équipes conjointes et programmes communs des Nations Unies sur le sida : Directives pratiques pour mettre en œuvre des équipes conjointes et des programmes communs d appui efficaces et durables (2008) ; Directives de l ONUSIDA sur la mise en œuvre du Cadre de résultats à l échelon pays (2010) ; Stratégie d appui technique de l ONUSIDA

17 Partage du leadership, travail ciblé et répartition claire des responsabilités : tels sont les points cruciaux pour l efficacité et la pérennité des Équipes conjointes et des Programmes communs ainsi que pour une mise en œuvre réussie de la Division du travail à l échelle nationale. Le Programme commun d appui reste le cadre de responsabilisation nationale qui englobe l ensemble des parties prenantes en mettant l accent sur l obtention de résultats. À ce titre, l ensemble des Équipes conjointes des Nations Unies sur le sida doivent mettre au point un Programme pluriannuel commun des Nations Unies d appui à la lutte contre le sida incluant : un cadre stratégique, un plan de travail annuel, un plan d appui technique, des stratégies concernant le plaidoyer, les communications et la mobilisation des ressources. Ce programme doit être conforme au plan-cadre des Nations Unies pour l'aide au développement (UNDAF) ainsi qu aux cadres de programmation nationaux 14. À terme, le Coordonnateur résident est responsable de la création de l'équipe conjointe de pays et des résultats qu elle obtiendra par le biais du programme d appui. Cependant, plusieurs individus ayant des fonctions de direction distinctes et complémentaires sont responsables de la mise en œuvre au quotidien devant aboutir aux prestations clés. La compréhension et le respect de cette répartition des fonctions de direction au sein de l Équipe conjointe ne doivent en aucun cas nuire à l autorité de l encadrement en place, ni remplacer les structures hiérarchiques existantes au sein de chaque institution ou de l Équipe de pays des Nations Unies. La Figure ci-après illustre bien l aspect imbriqué et interdépendant des fonctions et des responsabilités ainsi que les aspects de la responsabilisation à l échelle nationale, au sein de la famille de l ONUSIDA. 14 Pour en savoir plus, consultez le document d orientation du UNDG de mai

18 UNDAF: United Nations Development Assistance Framework. HoA: head of agency. UNCT: United Nations country team. Source: Second guidance paper: joint UN programmes and teams on AIDS. Practical guidelines on implementing effective and sustainable joint teams and programmes of support. Genève, ONUSIDA, 2008:15. 13

19 Adaptabilité de la Division du travail à l échelle nationale : Dans l esprit de l appropriation nationale et pour garantir la pérennité de la riposte, la Division du travail de l ONUSIDA ne doit pas être appliquée de façon rigide à l échelle nationale mais plutôt utilisée comme un cadre souple par l Équipe conjointe des Nations Unies sur le sida. Cela permet d attribuer des rôles et des responsabilités au sein du système de l'onu tout en tenant compte : de la présence et de la solidité relative de chaque Coparrainant et du Secrétariat sur le terrain, des avantages comparatifs de l ensemble des partenaires au niveau national, et des capacités et besoins techniques et financiers propres à un pays donné. Pour optimiser le rendement et l utilité des ressources de l ONU à l échelle nationale, l adaptation de la Division du travail au niveau des pays doit être basée sur : les avantages comparatifs et les mandats principaux de différents Coparrainants ; la présence ou l absence du Secrétariat et/ou d institutions dans le pays ; les capacités nationales existantes ; la possibilité d obtenir des financements au niveau national pour différentes fonctions et priorités. Les institutions non présentes peuvent servir de modèle pour fournir des orientations et des outils aux niveaux mondial et régional, mais elles n auront généralement pas de fonctions de direction à l échelon pays. Par conséquent, si une/des institution(s) coordonnatrice(s) (telle(s) que désignée(s) dans la Matrice mondiale) n est/ne sont pas présente(s) dans le pays, le Groupe thématique des Nations Unies ou l Équipe de pays des Nations Unies doit désigner une ou plusieurs institutions suppléantes parmi les principaux partenaires du domaine de la Division du travail concerné. Pour les Coparrainants qui ne sont pas présents dans le pays, il est conseillé aux bureaux régionaux de définir les stratégies d intervention avec les Équipes conjointes de ces pays 15. Par ailleurs, chaque pays doit régulièrement revoir la Division du travail et l attribution des responsabilités en matière de coordination et de cocoordination, par rapport aux besoins et capacités locales. Cependant, si, à un moment donné, une institution coordonnatrice (ou plusieurs) ne parvient pas à remplir correctement son rôle, le Coordonnateur mondial de l institution en question doit en être informé ; il convient alors soit d évaluer les différentes possibilités de renforcement des capacités à l échelle nationale, soit d examiner si un soutien complémentaire peut être apporté par les instances régionales ou mondiales. C est uniquement si cette procédure échoue qu une autre institution coordonnatrice (ou plusieurs) doit être choisie par le Groupe thématique ou l Équipe de pays des Nations Unies. Coordination et communication à l échelle nationale : Les Équipes conjointes des Nations Unies sur le sida doivent décider comment elles s organisent dans le cadre des domaines de la Division du travail ; par exemple en créant des équipes dévolues à chaque domaine. Le(s) institution(s) coordonnatrice(s) de chaque domaine de la Division du travail doit/doivent convoquer et présider des réunions d'équipes, suivre de près les tendances et politiques régissant le domaine thématique aux niveaux mondial et national, préparer, au besoin, des mises à jour pertinentes destinées au principal groupe de gestion de l Équipe conjointe, et s assurer que l équipe dispose des compétences requises. Le(s) institution(s) coordonnatrice(s) doit/doivent également constamment veiller à ce qu un lien soit établi entre le domaine thématique et sa pertinence par rapport à la réalisation des objectifs globaux de l UNDAF et/ou des OMD. 15 Deuxième document d orientation Équipes conjointes et programmes communs des Nations Unies sur le sida Directives pratiques pour mettre en œuvre des équipes conjointes et des programmes communs d appui efficaces et durables (2008), 14

20 Le tableau ci-dessous présente une description détaillée des rôles et responsabilités de l Équipe de pays des Nations Unies. Le Coordonnateur résident* Veille à la formation de l Équipe sur le sida. Réalise le consensus autour de la matrice de résultats concernant le sida, qui sera insérée dans le plan-cadre des Nations Unies pour l'aide au développement. Donne l impulsion, des orientations, et assure le plaidoyer dans le domaine du sida, au nom des Nations Unies qu il représente auprès du Chef de l État. Veille à ce que le sida demeure aux premiers rangs des préoccupations nationales. Veille à ce que les responsables d institution rendent compte des contributions de leurs organisations respectives aux prestations du Programme commun. Intervient le cas échéant pour gérer les obstacles et prendre des décisions, afin de préserver l efficacité de l'équipe sur le sida (avec la participation de l Équipe de directeurs régionaux si nécessaire). Fait rapport sur la performance, le fonctionnement et le plan de travail de l Équipe sur le sida, dans le rapport annuel du Coordonnateur résident. * Le Coordonnateur résident peut choisir de déléguer certaines responsabilités au Président du Groupe hématique sur le VIH/sida. Les Responsables d institution des Nations Unies Désignent officiellement les membres de leur personnel qui participeront à l Équipe sur le sida. Peuvent réviser les descriptions de poste (s il y a lieu) de sorte que cette participation à l Équipe y figure en tant que responsabilité majeure. Collaborent avec le Coordonnateur résident et le Coordonnateur de l ONUSIDA dans le pays, pour définir des systèmes adaptés d évaluation de la performance des membres de l Équipe sur le sida, d incitation et de sanction. Acceptent la responsabilité globale des prestations annuelles approuvées par l Équipe de leurs organisations respectives, notamment la mobilisation de ressources au niveau interne. Un Responsable d institution sera également nommé à la fonction de Président du Groupe thématique, pour animer les réunions et le processus décisionnel au sein du Groupe. En tant que membres de l Équipe de pays des Nations Unies et du Groupe thématique sur le VIH/sida, ils contribuent à guider les membres de l Équipe sur le sida sur les plans stratégique et programmatique, et participent au processus d approbation du programme d appui et des plans de travail annuel. Le Coordonnateur de l ONUSIDA dans le pays (COP) 16 En tant que coordonnateur et animateur de l Équipe sur le sida, il en garantit le fonctionnement effectif en tenant des réunions, en faisant la synthèse et en assurant la diffusion de l information, en planifiant stratégiquement et en prônant la riposte collective de l Équipe sur le sida. En tant que membre à part entière de l Équipe de pays des Nations Unies et élément du système des Coordonnateurs résidents, il donne des avis d ordre stratégique et technique, de même qu il plaide pour, et mobilise, l action effective des Coparrainants et des organisations. Veille à ce que le plan annuel de l Équipe sur le sida soit mis en œuvre. Repère ce qui entrave la concrétisation des prestations annuelles, et informe le Coordonnateur résident lorsqu une intervention s impose. Transmet régulièrement au Groupe thématique sur le VIH/sida, des rapports sur la mise en œuvre, et veille à ce que les instructions de ce Groupe soient suivies. Garantit une gestion saine des ressources financières allouées au fonctionnement de l Équipe sur le sida. Représente l ONUSIDA et l Équipe sur le sida auprès des partenaires extérieurs, le cas échéant, et conformément aux directives relatives à la représentation consignée au paragraphe 14. Assume les autres fonctions que lui confie le Coordonnateur résident ou le Président du Groupe thématique sur le VIH/sida. Chaque membre de l équipe Contribue à l élaboration, à la mise en œuvre et au suivi du Programme d appui à la lutte contre le VIH/sida. Assiste à toutes les réunions de l Équipe sur le sida, et donne suite aux consignes dictées. Donne des avis techniques au Coordonnateur de l ONUSIDA dans le pays/au Groupe thématique/au gouvernement/aux différentes institutions dans les domaines qui sont de leur ressort. Tient son responsable d institution informé des activités de l Équipe sur le sida. Représente l Équipe sur le sida au sein des divers groupes techniques de travail, comités ou forum conduits par le gouvernement, à la demande du Coordonnateur de l ONUSIDA dans le pays et selon la répartition des tâches, la présence, et la capacité. 16 Il s agit uniquement des fonctions et attributions directement en rapport avec la position du Coordonnateur de l ONUS DA dans le pays au sein de l Équipe sur le sida, et celles-ci ne reflètent pas, ni ne remplacent, le mandat de base des Coordonnateurs de l ONUSIDA dans les pays, qui prévoit de faciliter l exercice des fonctions centrales du Secrétariat : leadership et plaidoyer, information. 15

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,

Plus en détail

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017 UNION INTERPARLEMENTAIRE INTER-PARLIAMENTARY UNION 5, CHEMIN DU POMMIER CASE POSTALE 330 1218 LE GRAND-SACONNEX / GENÈVE (SUISSE) Lettre de mission Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours

Plus en détail

Instructions standard pour les pays souhaitant adopter l initiative «Unis dans l action»

Instructions standard pour les pays souhaitant adopter l initiative «Unis dans l action» Instructions standard pour les pays souhaitant adopter l initiative «Unis dans l action» Élaboré par le Groupe de haut niveau du GNUD 20 août 2013 Page 1 of 48 Table des matières Page 1. Introduction 3

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

Mise en Ouvre Nationale par les Gouvernements des Projets Appuyés par le PNUD: Manuel des Normes et Procédures

Mise en Ouvre Nationale par les Gouvernements des Projets Appuyés par le PNUD: Manuel des Normes et Procédures PROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DEVELOPPEMENT Mise en Ouvre Nationale par les Gouvernements des Projets Appuyés par le PNUD: Manuel des Normes et Procédures 7/1/2011 Le 1 juillet 2011 - Pour Gouvernement

Plus en détail

Traduction de la lettre d introduction. 23 janvier 2015. Chères Mme. Peters et Mme. Moreno Fernandez,

Traduction de la lettre d introduction. 23 janvier 2015. Chères Mme. Peters et Mme. Moreno Fernandez, Traduction de la lettre d introduction 23 janvier 2015 Chères Mme. Peters et Mme. Moreno Fernandez, Au nom de l Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes (ONU ),

Plus en détail

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A UNAIDS/PCB (32)/13.5 Date de publication : 17 juin 2013 TRENTE-DEUXIÈME RÉUNION Date : 25-27 juin 2013 Lieu : Salle du Conseil exécutif, OMS, Genève

Plus en détail

Compte rendu analytique

Compte rendu analytique Compte rendu analytique Évaluation de l intégration de la question du plein emploi productif et du travail décent par les organismes du système des Nations Unies Rapport établi par Istvan Posta Sukai Prom-Jackson

Plus en détail

Bien préparer la mise en place du nouveau modèle de financement

Bien préparer la mise en place du nouveau modèle de financement Bien préparer la mise en place du nouveau modèle Juillet 2013 Cette présentation générale a été élaborée à l intention des pays et des autres parties prenantes, aux fins de leur indiquer les principaux

Plus en détail

Plan Stratégique 2008-2013

Plan Stratégique 2008-2013 Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite

Plus en détail

Indicateurs de performance de l UNCT relatifs à l égalité des sexes. Guide de l utilisateur

Indicateurs de performance de l UNCT relatifs à l égalité des sexes. Guide de l utilisateur Indicateurs de performance de l UNCT relatifs à l égalité des sexes Guide de l utilisateur Élaboré par l'équipe spéciale du GNUD pour l égalité des sexes Contact : Astrid Marschatz, DOCO (astrid.marschatz@undg.org)

Plus en détail

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,

Plus en détail

Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l égalité des sexes et l autonomisation des femmes

Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l égalité des sexes et l autonomisation des femmes Nations Unies UNW/2014/CRP.10 Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l égalité des sexes et l autonomisation des femmes Deuxième session ordinaire de 2014 Septembre 2014 Point 2 de

Plus en détail

GUIDE DE SUIVI ET D ÉVALUATION

GUIDE DE SUIVI ET D ÉVALUATION GUIDE DE SUIVI ET D ÉVALUATION Lutte contre le VIH, la tuberculose, le paludisme et renforcement des systèmes de santé et des systèmes communautaires Partie 1 : Exigences du système de suivi et d évaluation

Plus en détail

Dotation en personnel, location et couverture des bureaux décentralisés

Dotation en personnel, location et couverture des bureaux décentralisés Groupes de travail I, II et III du CoC-EEI 23 juillet 2009 Dotation en personnel, location et couverture des bureaux décentralisés 1. La présente note rend compte des travaux en cours concernant la décentralisation,

Plus en détail

2010 Resident Coordinator Annual Report Togo

2010 Resident Coordinator Annual Report Togo UNDG 2010 Resident Coordinator Annual Report Togo Le Togo fait partie de la catégorie des Etats dits «fragiles», particulièrement exposés aux crises, il doit mener de front le chantier du développement

Plus en détail

Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011

Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits

Plus en détail

ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030

ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 Mettre fin à l épidémie de sida ces mots renferment de tels espoirs et de telles promesses. Grâce à des engagements mondiaux et à des objectifs précis,

Plus en détail

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays

Plus en détail

CHECKLIST pour l intégration du genre dans le nouveau modèle de financement du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme

CHECKLIST pour l intégration du genre dans le nouveau modèle de financement du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme Au service des peuples des nations CHECKLIST pour l intégration du genre dans le nouveau modèle de financement du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme Programme des Nations

Plus en détail

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,

Plus en détail

SUIVI, EVALUATION ET REVUE DES STRATEGIES SANITAIRES NATIONALES

SUIVI, EVALUATION ET REVUE DES STRATEGIES SANITAIRES NATIONALES SUIVI, EVALUATION ET REVUE DES STRATEGIES SANITAIRES NATIONALES PLATEFORME DE PAYS POUR L INFORMATION ET LA REDEVABILITE + Related Initiatives Plateforme de pays pour l information et la redevabilité A

Plus en détail

utilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme,

utilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme, Documents de synthèse DS 2 20.12.09 IIEDH Observatoire de la diversité et des droits culturels Situation des droits culturels Argumentaire politique www.droitsculturels.org 1. Définition des droits culturels

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Vienne, 2010 Résolutions

Plus en détail

Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action

Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action Bureau régional pour l Afrique Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action - 2 - Historique 1.1 En Afrique, sous l effet conjugué de la pauvreté et des faibles investissements dans la santé,

Plus en détail

DEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO

DEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO DEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO L'UNESCO s'appuie sur un éventail aussi large que diversifié de relations de collaboration et de partenariats dans toutes les régions du monde pour s acquitter

Plus en détail

Les Principes fondamentaux

Les Principes fondamentaux Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du

Plus en détail

Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil

Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil Commission de l Union africaine Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil République de Côte d Ivoire

Plus en détail

A. Compétences et attributions. 1. Une institution nationale est investie de compétences de protection et de promotion des droits de l'homme.

A. Compétences et attributions. 1. Une institution nationale est investie de compétences de protection et de promotion des droits de l'homme. PRINCIPES DE PARIS PRINCIPES CONCERNANT LE STATUT ET LE FONCTIONNEMENT DES INSTITUTIONS NATIONALES POUR LA PROTECTION ET LA PROMOTION DES DROITS DE L'HOMME En octobre 1991, le Centre pour les droits de

Plus en détail

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE CONVENTION SUR LA PROTECTION DU PATRIMOINE CULTUREL SUBAQUATIQUE

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE CONVENTION SUR LA PROTECTION DU PATRIMOINE CULTUREL SUBAQUATIQUE 5 MSP UCH/15/5.MSP/INF4.3 REV 15 janvier 2015 Original : anglais Distribution limitée ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE CONVENTION SUR LA PROTECTION DU PATRIMOINE

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL Durban, Afrique du Sud 6-7 Septembre 2012 Thème «Amélioration de l infrastructure institutionnelle et humaine

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

L entreprise prête pour l informatique en nuage Élaborer un plan et relever les principaux défis

L entreprise prête pour l informatique en nuage Élaborer un plan et relever les principaux défis ÉTUDE TECHNIQUE L entreprise prête pour l informatique en nuage Élaborer un plan et relever les principaux défis Pour une entreprise, l informatique en nuage constitue une occasion majeure d améliorer

Plus en détail

À quelles lacunes en matière de données doit-il être remédié?

À quelles lacunes en matière de données doit-il être remédié? Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 5 avril 2011 Français Original: anglais ECE/CES/2011/9 Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Cinquante-neuvième

Plus en détail

Conception des projets de coopération technique de l AIEA à l aide de la méthodologie du cadre logique

Conception des projets de coopération technique de l AIEA à l aide de la méthodologie du cadre logique Conception des projets de coopération technique de l AIEA à l aide de la méthodologie du cadre logique Guide pratique www.iaea.org/technicalcooperation Table des matières 1. INTRODUCTION... 1 2. PROGRAMME

Plus en détail

1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION

1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION DES ARCHIVES INFORMATION DOCUMENTATION ET RELATIONS PUBLIQUES TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN ASSISTANT TECHNIQUE

Plus en détail

Plan d'action Commun pour la période 2012-2016

Plan d'action Commun pour la période 2012-2016 Plan d'action Commun pour la période 2012-2016 Tables des Matières Tables des Matières... 2 Acronymes... 3 Résumé Exécutif... 5 1. Introduction... 6 2. Partenariats, valeurs et principes... 7 3. Mesures

Plus en détail

Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI

Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI 1 GUIDE DES POINTS FOCAUX NATIONAUX RSI Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI 1. Introduction Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI(2005)) définit un point focal national

Plus en détail

41/128 Déclaration sur le droit au développement

41/128 Déclaration sur le droit au développement 41/128 Déclaration sur le droit au développement L'Assemblée générale, Ayant à l'esprit les buts et principes de la Charte des Nations Unies relatifs à la réalisation de la coopération internationale en

Plus en détail

Déclaration sur le droit au développement

Déclaration sur le droit au développement Déclaration sur le droit au développement Adoptée par l'assemblée générale des Nations Unies dans sa résolution 41/128 du 4 décembre 1986 L'Assemblée générale, Ayant à l'esprit les buts et principes de

Plus en détail

Cent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL

Cent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Août 2011 F COMITÉ DU PROGRAMME Cent huitième session Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Résumé Le présent document fait suite à une demande formulée

Plus en détail

1. Contexte. 2. Dresser le bilan : expériences et nouveaux développements

1. Contexte. 2. Dresser le bilan : expériences et nouveaux développements Renforcer la redevabilité mutuelle pour améliorer l efficacité et les résultats en matière de développement pour la santé : accords conclus à Nairobi par les signataires du IHP+ sur la future approche

Plus en détail

Normes Mauritaniennes de l Action contre les Mines (NMAM) Inclus les amendements Janvier 2014

Normes Mauritaniennes de l Action contre les Mines (NMAM) Inclus les amendements Janvier 2014 NMAM 11.10 Normes Mauritaniennes de l Action contre les Mines (NMAM) Inclus les amendements Gestion de l information et rédaction de rapports en Mauritanie Coordinateur Programme National de Déminage Humanitaire

Plus en détail

Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes

Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes Nations Unies UNW/2014/CRP.2 Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes Première session ordinaire de 2014 20 janvier 2014 Point de l

Plus en détail

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Nations Unies CAC/COSP/IRG/2015/2 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 24 mars 2015 Français Original: anglais Groupe d examen de l application

Plus en détail

STRATÉGIE DU CONSEIL DE L EUROPE pour l égalité entre les femmes et les hommes 2014-2017

STRATÉGIE DU CONSEIL DE L EUROPE pour l égalité entre les femmes et les hommes 2014-2017 STRATÉGIE DU CONSEIL DE L EUROPE pour l égalité entre les femmes et les hommes 2014-2017 STRATÉGIE DU CONSEIL DE L EUROPE pour l égalité entre les femmes et les hommes 2014-2017 Conseil de l Europe Edition

Plus en détail

Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour 2011

Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour 2011 Cote du document: EB 2010/101/R.41 Point de l'ordre du jour: 17 b) Date: 9 novembre 2010 Distribution: Publique Original: Anglais F Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour

Plus en détail

POINT DE DÉCISION DE LA FRANCOPHONIE : STOPPER LES NOUVELLES INFECTIONS AU VIH ET GARANTIR LES TRAITEMENTS POUR TOUS

POINT DE DÉCISION DE LA FRANCOPHONIE : STOPPER LES NOUVELLES INFECTIONS AU VIH ET GARANTIR LES TRAITEMENTS POUR TOUS POINT DE DÉCISION DE LA FRANCOPHONIE : STOPPER LES NOUVELLES INFECTIONS AU VIH ET GARANTIR LES TRAITEMENTS POUR TOUS SOMMET DE LA FRANCOPHONIE kinshasa Octobre 2012 Messages clés : Les pays membres de

Plus en détail

Mars 2011. le domaine des. des à partir d un. de l homme,

Mars 2011. le domaine des. des à partir d un. de l homme, Women and ESCR Group Appel à ONU femmes pour la mise au point de sa politique et de son programme d autonomisation économique des femmes dans le cadre des droitss économiques, sociaux et culturels Mars

Plus en détail

EVALUATION FINALE SEN/024. Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle

EVALUATION FINALE SEN/024. Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle EVALUATION FINALE SEN/024 Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre long du projet Titre court du projet Code

Plus en détail

Renforcement des systèmes de santé

Renforcement des systèmes de santé SOIXANTE-QUATRIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A64/13 Point 13.4 de l ordre du jour provisoire 7 avril 2011 Renforcement des systèmes de santé Tendances et défis actuels Rapport du Secrétariat POUR

Plus en détail

RAPPORT D ACTIVITÉ 2014 SUR LA RIPOSTE AU SIDA DANS LE MONDE

RAPPORT D ACTIVITÉ 2014 SUR LA RIPOSTE AU SIDA DANS LE MONDE directives 2014 RAPPORT D ACTIVITÉ 2014 SUR LA RIPOSTE AU SIDA DANS LE MONDE Élaboration d indicateurs de base pour le suivi de la Déclaration politique de l ONU sur le VIH et le sida de 2011 Renferme

Plus en détail

...... en quelques mots 1

...... en quelques mots 1 ... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant

Plus en détail

Le HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification

Le HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification Identification des be Le HCR est pleinement conscient de la nécessité de travailler en étroit partenariat avec ses principaux bailleurs de fonds pour rassembler les ressources dont il doit disposer pour

Plus en détail

UN NEW DEAL POUR L ENGAGEMENT DANS LES ÉTATS FRAGILES

UN NEW DEAL POUR L ENGAGEMENT DANS LES ÉTATS FRAGILES UN NEW DEAL POUR L ENGAGEMENT DANS LES ÉTATS FRAGILES LE CONSTAT 1,5 milliards de personnes vivent dans des États fragiles ou en conflit. Environ 70 % des États fragiles ont été affectés par un conflit

Plus en détail

Burkina Faso 2011 2015

Burkina Faso 2011 2015 soutenu par la Résumé du rapport d évaluation sur l impact Stratégie pays Burkina Faso 2011 2015 Novembre 2014 INTRODUCTION La stratégie de LIGHT FOR THE WORLD au Burkina Faso est de tout mettre en œuvre

Plus en détail

Etat de la mise en oeuvre des recommandations du Commissaire aux Comptes

Etat de la mise en oeuvre des recommandations du Commissaire aux Comptes ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE COMMISSION DE VERIFICATION DES COMPTES DU CONSEIL EXECUTIF Septième réunion Point 2.1 de l ordre du jour provisoire EBAC7/2 30 décembre 2002 Etat de la mise en oeuvre

Plus en détail

VIVA RIO HAITI (SPGEI) Système de production, de gestion et de suivi d évaluation des informations PREPARE ET PROPOSE PAR :

VIVA RIO HAITI (SPGEI) Système de production, de gestion et de suivi d évaluation des informations PREPARE ET PROPOSE PAR : VIVA RIO HAITI (SPGEI) Système de production, de gestion et de suivi d évaluation des informations TITRE DU PROJET : Système d Information PREPARE ET PROPOSE PAR : Marcelin Paul Feguns, Ing Sergo Louis

Plus en détail

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS

TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...

Plus en détail

Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base

Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Office DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

Avril. Cadre structurel pour un système national fonctionnel de suivi et évaluation du VIH

Avril. Cadre structurel pour un système national fonctionnel de suivi et évaluation du VIH 08 Avril Cadre structurel pour un système national fonctionnel de suivi et évaluation du VIH Remerciements Le présent document est basé sur la publication de la Banque mondiale intitulée Eleven Components

Plus en détail

Communiqué de la Conférence des Ministres européens chargés de l Enseignement Supérieur, Londres, 17-18 Mai 2007

Communiqué de la Conférence des Ministres européens chargés de l Enseignement Supérieur, Londres, 17-18 Mai 2007 Communiqué de Londres 18 mai 2007 Communiqué de la Conférence des Ministres européens chargés de l Enseignement Supérieur, Londres, 17-18 Mai 2007 VERS L ESPACE EUROPEEN DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR : REPONDRE

Plus en détail

Asie centrale. Environnement opérationnel. Kazakhstan. Kirghizistan. Ouzbékistan. Tadjikistan. Turkménistan

Asie centrale. Environnement opérationnel. Kazakhstan. Kirghizistan. Ouzbékistan. Tadjikistan. Turkménistan Environnement opérationnel Kazakhstan Kirghizistan Ouzbékistan Tadjikistan Turkménistan Les abondantes réserves de pétrole et de gaz de l Asie centrale expliquent en partie l importance géopolitique que

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii

Plus en détail

Expériences avec les contrats de la communauté dans les travaux d infrastructure urbaine

Expériences avec les contrats de la communauté dans les travaux d infrastructure urbaine v Renforcement des compétences opérationnelles dans le développement mené par la communauté 15 au 19 avril 2002 Washington, D.C. Expériences avec les contrats de la communauté dans les travaux d infrastructure

Plus en détail

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus

Plus en détail

LIGNE DIRECTRICE SUR LA CONFORMITÉ

LIGNE DIRECTRICE SUR LA CONFORMITÉ LIGNE DIRECTRICE SUR LA CONFORMITÉ Avril 2009 Table des matières Préambule... 3 Introduction... 4 Champ d application... 5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour... 6 1. Cadre de gestion de la conformité...

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final Il y a un astérisque quand des renseignements sensibles ont été enlevés aux termes de la Loi sur l'accès à l'information et de la Loi sur la protection des renseignements personnels. BUREAU DU CONSEIL

Plus en détail

COMPTE À REBOURS JUSQU À zero

COMPTE À REBOURS JUSQU À zero COMPTE À REBOURS JUSQU À zero Y croire Le faire. PLAN MONDIAL POUR ÉLIMINER LES NOUVELLES INFECTIONS À VIH CHEZ LES ENFANTS À L HORIZON 2015 ET MAINTENIR LEURS MÈRES EN VIE 2011-2015 Copyright 2011 Programme

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

EXAMEN DE LA GESTION GLOBALE DES RISQUES DANS LE SYSTÈME DES NATIONS UNIES Cadre de référence

EXAMEN DE LA GESTION GLOBALE DES RISQUES DANS LE SYSTÈME DES NATIONS UNIES Cadre de référence EXAMEN DE LA GESTION GLOBALE DES RISQUES DANS LE SYSTÈME DES NATIONS UNIES Cadre de référence Rapport établi par Cihan Terzi Istvan Posta Corps commun d inspection Genève, 2010 Nations Unies Français

Plus en détail

Le développement des capacités pour la promotion de l égalité entre les sexes, dans l optique de l efficacité de l aide

Le développement des capacités pour la promotion de l égalité entre les sexes, dans l optique de l efficacité de l aide Le développement des capacités pour la promotion de l égalité entre les sexes, dans l optique de l efficacité de l aide Enseignements dégagés des consultations sous-régionales en Afrique Document de réflexion

Plus en détail

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag

Plus en détail

Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques

Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques NATIONS UNIES BES Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques Plénière de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur

Plus en détail

isrs 7 Améliorer la performance Sécurité, Environnement et Opérationnelle

isrs 7 Améliorer la performance Sécurité, Environnement et Opérationnelle isrs 7 Améliorer la performance Sécurité, Environnement et Opérationnelle 2 isrs 7 : pour la santé de votre entreprise Pour répondre à l accroissement des multiples exigences de vos Parties Intéressées,

Plus en détail

JIU/REP/2012/4 Papa Louis Fall Yishan Zhang Corps commun d inspection Genève 2012 Nations Unies

JIU/REP/2012/4 Papa Louis Fall Yishan Zhang Corps commun d inspection Genève 2012 Nations Unies Le recrutement du personnel dans les organismes des Nations Unies: analyse comparative et cadre de référence Vue d ensemble Rapport établi par Papa Louis Fall Yishan Zhang Corps commun d inspection Genève

Plus en détail

Charte du tourisme durable

Charte du tourisme durable Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme

Plus en détail

4 e SONDAGE SUR LA RESPONSABILITÉ MUTUELLE NATIONALE EN PRÉPARATION DU FORUM POUR LA COOPÉRATION EN MATIÈRE DE DÉVELOPPEMENT 2016

4 e SONDAGE SUR LA RESPONSABILITÉ MUTUELLE NATIONALE EN PRÉPARATION DU FORUM POUR LA COOPÉRATION EN MATIÈRE DE DÉVELOPPEMENT 2016 4 e SONDAGE SUR LA RESPONSABILITÉ MUTUELLE NATIONALE EN PRÉPARATION DU FORUM POUR LA COOPÉRATION EN MATIÈRE DE DÉVELOPPEMENT 2016 SONDAGE 2015 SUR LA RESPONSABILITÉ MUTUELLE NATIONALE Le quatrième sondage

Plus en détail

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées

Plus en détail

Présentation générale de la formation

Présentation générale de la formation Présentation générale de la formation et des modules du Certificate of Advanced Studies (CAS) Formation créée et gérée par les Hautes écoles HEP VD, IDHEAP, IFFP, UNI-GE 1. CONTEXTE La profession de directeur

Plus en détail

Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement

Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu

Plus en détail

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation

Plus en détail

Livre Blanc Oracle Mars 2013. Le guide ultime de la réussite d un Bureau des Projets (PMO) orienté business

Livre Blanc Oracle Mars 2013. Le guide ultime de la réussite d un Bureau des Projets (PMO) orienté business Livre Blanc Oracle Mars 2013 Le guide ultime de la réussite d un Bureau des Projets (PMO) orienté business Introduction 1 Qu est-ce qu un PMO orienté business? 2 Les six facteurs clés de succès de l alignement

Plus en détail

Français. Fonds de secours. Caisse commune des pensions du personnel des Nations Unies

Français. Fonds de secours. Caisse commune des pensions du personnel des Nations Unies Français Fonds de secours Caisse commune des pensions du personnel des Nations Unies New York et Genève Mai 2008 Introduction La présente note d information est destinée à l usage des bénéficiaires de

Plus en détail

Préambule. Claude Sicard Vice-président au partenariat et à l expertise-conseil 2 LE CADRE D INTERVENTION EN PRÉVENTION-INSPECTION

Préambule. Claude Sicard Vice-président au partenariat et à l expertise-conseil 2 LE CADRE D INTERVENTION EN PRÉVENTION-INSPECTION Préambule Le présent guide d application du cadre d intervention s adresse aux inspecteurs, aux chefs d équipe et aux directeurs en santé et sécurité en prévention-inspection de la CSST de même qu aux

Plus en détail

LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DE LA CONTINUITÉ DES ACTIVITÉS

LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DE LA CONTINUITÉ DES ACTIVITÉS LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DE LA CONTINUITÉ DES ACTIVITÉS Avril 2010 Table des matières Préambule...3 Introduction...4 Champ d application...5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour...6 1.

Plus en détail

FORMAT OPERATIONNEL STANDARD & ORIENTATIONS

FORMAT OPERATIONNEL STANDARD & ORIENTATIONS FORMAT OPERATIONNEL STANDARD & ORIENTATIONS POUR L ETABLISSEMENT DES RAPPORTS RELATIFS AU PNUAD Janvier 2010 1 FORMAT OPERATIONNEL STANDARD & ORIENTATIONS POUR L ETABLISSEMENT DES RAPPORTS RELATIFS AU

Plus en détail

CADRE D AGRÉMENT APPROCHE STANDARD DU RISQUE OPÉRATIONNEL

CADRE D AGRÉMENT APPROCHE STANDARD DU RISQUE OPÉRATIONNEL CADRE D AGRÉMENT APPROCHE STANDARD DU RISQUE OPÉRATIONNEL Coopératives de services financiers Publication initiale : Décembre 2007 Mise à jour : TABLE DES MATIÈRES 1. Introduction... 3 2. Principes généraux...

Plus en détail

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques

Plus en détail