Bilan de la diversité ornithologique observée en Haute-Normandie sur la période

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1 Biodiversité Fiche métadonnées et méthodes N 32 Bilan de la diversité ornithologique observée en Haute-Normandie sur la période Contexte dans lequel s inscrit l indicateur Thème Sous-thème Axe Nature de l indicateur Indices Objectif Origine Relation avec d autres indicateurs Echelle de restitution Producteur indicateur Etat Etat et évolution de la diversité spécifique Biodiversité Etat Répartition des espèces recensées en Haute-Normandie Identifier les zones à forts enjeux pour la biodiversité régionale au regard des biais liés à la pression d observations GONm/OBHN / Communes Groupe Ornithologique Normand GONm Données utilisées Donnée n 1 : Base de données GONm Niveau d accessibilité des Public (GONm : données publiées), privé (GONm : données non publiées) données Source (s) GONm Description L ensemble des données collectées par les adhérents du GONm est centralisé dans la base de données du GONm. Une donnée correspond a minima à une espèce, un effectif, un site, une date. Format Numérique Etendue temporelle 1971 à 2013 Généalogie (méthode Données collectées par les adhérents du GONm dans le cadre des programmes soutenus d acquisition) par l association Emprise Haute et Basse-Normandie Résolution spatiale (cas / SIG) Fréquence d actualisation La cellule permanente de l OBHN est cofinancée par l UE. L Europe s engage en Haute-Normandie

2 Fiche métadonnées et méthodes Méthodologie de création de l indicateur Méthode de calcul Analyse des données enregistrées dans la base de données GONm Date de création Juin 2013 Date de diffusion 2013 Référent (s) Groupe Ornithologique Normand technique/scientifique CSRPN (validateur) Fréquence d actualisation / de l indicateur Contact GONm GONm : bruno.lang@wanadoo.fr OBHN : obhn@hautenormandie.fr Bibliographie LANG, B Forces et faiblesses du fichier d observations du Groupe Ornithologique Normand. Le Cormoran, 2 : LANG, B Prospection des «communes orphelines» du fichier du GONm : premiers résultats. Le Cormoran, 2 :

3 Biodiversité N 32 Bilan de la diversité ornithologique observée en Haute-Normandie sur la période Pour apprécier la biodiversité d une région, plusieurs outils ont été mis au point durant les cinquante dernières années. Les plus connus et les plus utilisés sont les atlas élaborés à intervalles plus ou moins réguliers. C est ainsi que le Groupe Ornithologique Normand a participé ou élaboré trois atlas des oiseaux nicheurs et un sur les oiseaux en hiver. Toutefois, le pas de temps entre deux enquêtes est au moins de dix ans et la maille Chiffres clés : près de données engrangées entre 1968 et 2013 concernant plus de 400 espèces d oiseaux. géographique est au moins d une centaine de km2 ; de plus, les cartes montrent des répartitions spécifiques et ce n est que dans l introduction que peuvent apparaître des cartes donnant le nombre d espèces indicées par maille prospectée. Par ailleurs, un autre outil a été mis en place dès avant la fondation formelle du Groupe Ornithologique Normand : une base de données regroupant les observations de ses membres pour la Haute-Normandie comme pour la Basse-Normandie. La collecte continue se fait à l échelle communale puisqu une observation comporte au minimum les champs suivants : une espèce, une date, une localisation communale et un auteur. Au début de juin 2013, le fichier compte observations différentes dont pour la Seine-Maritime et pour l Eure. Toutes les communes de Haute-Normandie sont fichées et comptent au moins une observation ; les moins bien loties sont Bertreville (76) et Champ-Dolent (27) avec seulement quatre observations et les plus riches sont le Havre (76) avec observations et le complexe de Léry-Poses avec On y trouve au moins une observation pour 405 espèces pour l ensemble de la région, l Eure en comptant 340 et la Seine-Maritime 373. C est dans ce dernier département que se trouve la commune ayant la plus grande richesse spécifique pour toute la Normandie : le Havre avec 309 espèces ; sa dauphine, Léry-Poses en compte 301.

4 Répartition géographique des espèces observées Figure 1 Globalement, les territoires les mieux prospectés présentent les plus fortes richesses spécifiques. Le département de la Seine-Maritime présente une richesse spécifique plus forte que celui de l Eure à pression de prospection équivalente ; La vallée de la Seine est le territoire le mieux prospecté (31 % des prospections) et qui présente la plus forte richesse spécifique (352 espèces). Quatre territoires présentent entre 11 et 18 % des inventaires et des richesses spécifiques comprises entre 237 et 298 espèces. Le Petit Caux, le moins prospecté de ces quatre territoires présente cependant une diversité intéressante. Le Vexin normand et le pays de Bray entre Caux présentent les richesses spécifiques les plus faibles mais aussi les plus faibles pressions de prospection. À première vue, la richesse spécifique, c est-àdire le nombre d espèces observées, semble un bon indice de la diversité en oiseaux d un territoire. La carte de la richesse communale (figure 2) montre ainsi des zones plus ou moins riches en espèces d oiseaux. Parmi les premières, on distingue aisément le littoral cauchois, les vallées de la Seine et de la Bresle avec une forte concentration de communes ayant plus de cent espèces d oiseaux vues en quarante ans. S y distinguent également les secteurs des vallées de la Risle, de l Avre et de l Eure et une partie du pays de Bray. À l inverse, le Grand Caux, le plateau du Neubourg et le Vexin Normand concentrent les communes apparemment très pauvres en espèces (moins de 25 espèces). On pourrait s arrêter là et conclure sur les variations de biodiversité selon les grands ensembles paysagers hauts-normands. Cependant, des biais extrêmement importants jouent sur cette biodiversité observée : il s agit de différences marquées, d une part, dans la pression d observation des différentes zones et, d autre part, dans la transmission des données selon les espèces concernées. Figure 2

5 Répartition géographique des observations La carte figurant la pression d observation (figure 3) présente en effet un parallélisme saisissant avec la carte précédente : les zones apparaissant comme riches en oiseaux sont les zones les mieux suivies et les zones apparaissant comme pauvres sont les zones délaissées par les ornithologues. La question est de savoir où se trouve la cause et où est la conséquence : les zones pauvres en biodiversité le sont-elles parce qu elles sont sous-prospectées ou, à l inverse, sont-elles délaissées parce que suspectées d être pauvres? Pour tenter de répondre à ce dilemme, on peut se tourner vers les communes qui ont été visitées tardivement lorsqu à partir de 2004, la volonté de couvrir l ensemble de la Normandie s est manifestée chez quelques observateurs. Les communes jusque-là délaissées ont été prospectées et toutes les espèces rencontrées ont été notées et intégrées à la base. On évite ainsi un autre biais affectant la biodiversité inscrite dans la base : les observateurs ont en effet l habitude de transmettre plutôt les espèces spectaculaires ou qu ils pensent rares, négligeant les espèces qu ils croient banales. Ici, la richesse spécifique transmise se confond avec la richesse spécifique observée, les non-passereaux ne sont plus surreprésentés, se trouvant «dilués» dans les données de passereaux communs. Dans ce type de prospection, on ne note pas de déficit particulier en espèces pour ces communes auparavant pauvres en données, au moins durant les premières visites. En l état actuel de la prospection en Haute-Normandie, on peut donc affirmer que les zones où la biodiversité semble faible ne sont simplement pas assez visitées. Cette conclusion ne préjuge pas de la mise en évidence d une grande biodiversité si la pression d observation augmentait. Aujourd hui, le nombre d espèces détectées sur une commune serait plutôt un indicateur de la pression d observation et non celui de la biodiversité réelle, du moins jusqu à un certain point. On peut ainsi définir un certain nombre de seuils : Avec moins de 25 espèces, une commune est tout simplement mal prospectée (ou les observations faites ne sont pas transmises intégralement) ; on sait qu une visite d une heure faite dans de bonnes conditions permet de rencontrer entre 25 et 30 espèces. En Haute-Normandie, une commune sur 6 est sous ce seuil. La moitié des communes de la région compte entre 25 et 50 espèces dans la base. Avec 50 espèces et plus, une commune classique (sans côte ni plan d eau) fait le plein des espèces habituelles ; ce type de communes ne dépasse le seuil de 75 espèces que si elle bénéficie d un bon suivi, en général effectué par un ornithologue y résidant ou parce qu elle est l objet d un protocole particulier. Au-delà de 75 espèces, la commune a quelque chose de particulier : une biodiversité réellement riche et/ou un observateur assidu. Seuils Biodiversité recensée dans la base Nombre (pourcentage) de communes hautnormandes concernées Nombre de communes en Basse-Normandie < 25 espèces Très faible 228 (16%) 46 (3 %) 25 à 49 espèces Faible 746 (53 %) 677 (37 %) 50 à 74 espèces Bonne 231 (16 %) 581 (32 %) 75 espèces Très bonne 215 (15 %) 508 (28 %) Par ailleurs, si l on se penche sur la variation de la pression d observation en fonction des décennies (figures 4 à 7), on remarque une amélioration générale : la carte de la dernière décennie est moins «sombre» que celles des périodes précédentes ; cependant, on peut voir aussi des zones où la prospection s est détériorée comme le Sud de l Eure ou le Sud du pays de Bray. Le plus souvent, il s agit de la conséquence de la disparition d un observateur isolé particulièrement actif, ce qui indique la fragilité d un réseau d observateurs amateurs.

6 Figure 3

7 Figures 4 à 7

8 Conclusion La base de données est une mine d informations accumulées en plus de 40 ans sur l ensemble de la Haute- Normandie. Elle est en particulier précieuse pour les espèces que les observateurs considèrent pour des raisons variées et difficiles à cerner comme intéressantes : oiseaux d eau, rapaces, oiseaux marins, passereaux peu communs. En revanche, pour les oiseaux considérés comme communs, elle est d un moins grand secours car les observateurs ont exercé et exercent encore un tri sélectif parmi leurs observations de terrain avant de les transmettre pour intégration dans la base de données. Ce tri est même canalisé et donc encouragé par une directive du GONm toujours en vigueur, élaborée en 1985 alors que le fichier n était pas informatisé. Ce tropisme pour les espèces «intéressantes» poussent les observateurs vers certains sites particuliers où ils sont assurés de les rencontrer au détriment des sites et des paysages plus communs. C est en Haute- Normandie que l on trouve à la fois les communes les mieux suivies et les plus riches (le Havre, boucle de Léry-Poses) de toute la Normandie et les communes les moins suivies et les plus pauvres : sur les 341 communes comptant moins de 25 espèces, 282 (soit 83 %) sont situées en Haute- Normandie. Cette forte attirance pour les milieux riches pourrait s expliquer en partie par la plus forte urbanisation de la région. Toutefois, depuis une dizaine d années, un certain nombre d observateurs tente de remédier aux biais mis en évidence (très grande disparité dans la pression d observation, sélection des observations transmises) et ce travail porte déjà ses fruits : en 2004, le nombre d espèces enregistrées dans une commune normande était de 28 ; aujourd hui, moins de dix ans après, ce nombre atteint 48 espèces approchant donc le seuil de 50 espèces que toute commune normande devrait avoir dépassé si la prospection était uniforme et correcte.

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