Mots clés : Eaux de surface et souterraines ; paramètres physico-chimiques ; paramètres bactériologiques ; faciès chimiques ; pollution.
|
|
- Jean-Pierre Champagne
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CARACTERISTIQUES PHYSICO-CHIMIQUES ET BACTERIOLOGIQUES DES EAUX DU BASSIN VERSANT DU MOYEN SEBAOU (Grande Kabylie, Algérie) Dr. DJEMAI MOHAMMED * et Pr. MESBAH MOHAMED ** < mohdjm54@yahoo.fr> <mohamed_mesbah@hotmail.com> Résumé/ * Faculté du génie de la construction Département de génie civil, U.M.M.T.O, BP n 1.RP, Hasnaoua, Tizi-Ouzou, Algérie ** Faculté des sciences de la terre, Département de géologie, de Géographie et de l aménagement du territoire USTHB, BP n 32, El-Alia, Bab-Ezzouar, Alger, Algérie. La zone d investigation représentée par le bassin versant du moyen Sebaou, se situe à l Ouest du chef lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. Localisée sur le flanc nord du Djurdjura, elle se caractérise par un relief accidenté. De part son exposition aux vents humides provenant de la mer méditerranée, elle recèle d importantes ressources en eaux de surface et souterraines, générées par des précipitations certes irrégulières mais conséquentes. Ces ressources doivent leur origine à la faible perméabilité des formations géologiques des versants qui favorisent le ruissellement, puis l infiltration dans les formations détritiques plus perméables de la nappe alluviale d extension limitée et d épaisseur variable D amont en aval de la vallée. Chronologiquement, les paramètres physico-chimiques des eaux de surface (Oued Sébaou) et souterraines (Nappe alluviale sous-jacente), à travers des résultats bibliographiques actualisés se caractérisent par une variation spatio-temporelle relativement stationnaire. Ce sont des eaux incrustantes, de dureté moyenne à forte. Les conductivités, attestent d une minéralisation globale moyenne qui s atténue d amont en aval, en périodes de hautes et de basses eaux. La minéralisation globale est sensiblement conforme aux normes de potabilité chimique requises, si ce n est les fortes concentrations en carbonates, bicarbonates et magnésium. De ce fait, les faciès chimiques dominants communs aux eaux de surface et souterraines, sont de type : hydrogéno-carbonaté calcique et hydrogéno-carbonaté magnésien. Les concentrations des paramètres de pollution comme l ammonium, les nitrites, le phosphore et le fer ferreux se présentent selon des concentrations supérieures aux normes de qualité des eaux de surface. Dans le même contexte, la demande biochimique en Oxygène et la demande chimique en Oxygène soulignent des teneurs anormalement élevées en amont et en aval ; attestant de la richesse en matières organiques oxydantes et réductrices des eaux de surface issues des rejets domestiques. Ces anomalies altèrent la qualité des eaux de surface pour la rendre médiocre, ainsi que celle des eaux souterraines sous-jacentes, lors de la recharge de la nappe. Du point de vue bactériologique, les eaux souterraines sont de moindre qualité, car elles renferment en amont et en aval des concentrations supérieures aux normes de potabilité bactériologique, en germes totaux, colibacilles et streptocoques fécaux En vue de remédier à cette situation qui risque de concourir à des préjudices irréparables pour la nappe alluviale et son environnement immédiat, des mesures d urgence en terme d assainissement et d épuration des eaux usées sont vivement recommandées pour atténuer cette pollution et empêcher son extension à travers ses différentes origines Mots clés : Eaux de surface et souterraines ; paramètres physico-chimiques ; paramètres bactériologiques ; faciès chimiques ; pollution. 1
2 INTRODUCTION Les travaux, relatifs aux caractéristiques physico-chimiques, et tout particulièrement ceux liés à la pollution ne sont que partiellement abordés par des études antérieures éparses dans le cadre de projets économiques. Suite à ce constat et vu la situation actuelle qui prévaut au niveau de la nappe alluviale de l oued Sébaou, en particulier dans sa partie Médiane (Moyen Sébaou) (Fig.1), nous avons entrepris dans le cadre de la présente communication, d une part d étoffer les résultats des études antérieures ; d autre part, d actualiser ces derniers par de nouvelles analyses d eaux de surface et souterraines dans le but d évaluer l évolution des aspects qualitatifs de la ressource, de mettre en évidence les interactions eaux de surfaceeaux Souterraines et dégager les zones sensibles aux divers rejets polluants et à l emploi des engrais fertilisants.. En fonction de l ensemble des résultats obtenus, nous formulerons des propositions des formes de prévention en vue de lutter contre le phénomène de la pollution en intervenant sur ses causes et ses origines. M E R M E D I T E R R A N E E ZONE D ETUDE Fig.1 : Contexte Géographique du Bassin Versant du moyen Sébaou 2
3 LES PARAMETRES PHYSIQUES Les paramètres physiques (ph, température et conductivité) enregistrées au niveau de l oued Sébaou (Fig.2) diminuent d amont en aval en périodes de hautes et de basses eaux. Elles sont plus fortes en hautes qu en basses eaux et oscillent entre : (7.3<pH<8), (9 c<t C<24 c) et (595 µs/cm <Conductivité<125 µs/cm) ce qui témoigne des eaux à caractère incrustant, de températures variables et de minéralisation moyenne à forte (Fig.3 et 4) (.MELLAL N. 21 ; OMS.1994 ; TARDAT-HENRY.1984) Fig.2 : Points de prélèvement : eaux de surface eaux souterraines (K.E : Kef-El-Aogab ; Av.C.T : Aval Chef lieu Tadmait ; B.S : Bordj Sébaou;Av.PSN : Aval pont de Sidi Namane ; R.A : Rejet Abattoir ; R.C : Rejet cotitex ; R.C.O.S : Rejet confluence oued sebt ; Av.P.B : Rejet Aval pont de Bougie) S1 S11 S12 S14 S16 S17 ph(he) ph(be) T C(HE) T C(BE) T C µs/cm S1 S11 S12 S14 S16 S17 Cond.(µs/cm)(HE) Cond.(µs/cm)(BE) Fig.3 :Variation du ph et de la température Fig. 4 :Variation de la conductivité 3
4 MINERALISAION GLOBALE DURETTE TOTALE - FACIES CHIMIQUES. La minéralisation globale, particulièrement les teneurs en bicarbonates, sodium, chlorure et sulfates augmentent d amont en aval en période de hautes et basses eaux (Fig.5 et 6) AvPSN BS AmCT AvCT KE Ca Mg Na K Cl SO HCO NO TAS S.N M.T.I S.O TIR A. F D.B. K MO A.F TAD ICH Ca Mg Na K Cl HCO SO NO Fig.5 : Variation de la minéralisation globale (Eaux de surface -hautes Eaux). Fig.6 : Variation de la minéralisation globale (Eaux souterraines-hautes Eaux). La dureté totale (calcique et magnésienne) [ou titre hydrotimétrique total (THT)], plus forte en hautes eaux qu en basses eaux, augmente d amont en aval. Les faciès chimiques sont de type : Hydrogénocarbonate sodique en hautes eaux rhco 3 > rcl > rso 4 > rno 3 ; rna > rca > rmg > rk et Hydrogénocarbonaté calcique et chloruré sodique en basses eaux rhco 3 > rcl > rso 4 > rno 3 ; rca > rmg > rna > rk rcl > rhco 3 > rso 4 > rno 3 ; rna > rca > rmg > rk Ces faciès proviendraient de la dissolution des facies calcaires de la chaine du Djurdjura, du lessivage des marnes, marno-calcaire, des lentilles de gypse du miocène post-nappes PARAMETRES DE POLLUTION Les interprétations s inspirent des normes de qualité des eaux de surface (Tableau n 1). (ANRH, 2 ; RODIER J., 1996) Tableau n 1 :Qualité des eaux de surface. Qualité Paramètres DBO5 DCO NH4 + NO3 - Auteurs Situation normale Pollution modérée Pollution notable Pollution excessive ANRH < >15 FRANCE > 25 ANRH < >5 FRANCE > 8 ANRH,1,1-,1,1 3 >3 FRANCE,1,5, > 8 ANRH >4 FRANCE / >1 4
5 POLLUTIONS : ORGANIQUE, AZOTEE ET METALLIQUE - Les données anciennes de la pollution organique, illustrent des concentrations normales de la demande biochimique en oxygène (DBO 5 ) et des concentrations notables de la demande chimique en oxygène (DCO) (ANRH, 85/95,88/97 ; MELLAL.N, 21).(Fig.7) S12 S14 S16 S17 DCO(HE) 49, Stations S12 S14 S16 S P.B C.S R.C R.A DBO5(HE) Stations P.B C.S R.C R.A Fig.7 : Variation de la DCO. Fig.8 : Variation de la DBO5. - Les données actualisées mettent en évidence des concentrations excessives en DBO 5 et DCO,qui témoigne de la présence d une quantité importante de matières organiques et notable en (NH 4 + ) (DJEMAI M, 25/28) (Fig.8 et 9) P.B C.S R.C R.A DCO(HE) Stations P.B C.S R.C R.A Fig.9 : Variation de la DCO Cd Co Cr Cu Fe Mn Ni Pb Sr Zn AvPSN BS AmCT AvCT KE Fig.1 : Teneurs en éléments métalliques Elles illustrent aussi des concentrations importantes en fer, stronsium et en phosphore (Fig.11). 5,4,3,2,1 AvPSN BS AmCT AvCT KE PO4(BE),32,23,14,24,24 Stations AvPSN BS AmCT AvCT KE C/ml MTI TAS FSN AF TAD ICH SO TIR M AF DBK MO Germ.Tot.C/ml Colif.C/ml Colib.C/ml Strept.Fec.C/ml Fig.11 :Variation des teneurs en phosphore Fig.12 : Teneurs en germes pathogènes 5
6 POLLUTION DES EAUX SOUTERRAINES Les rejets des eaux domestiques au niveau de la nappe alluviale, présentent un impact certain sur la qualité des eaux souterraines. Cet impact est illustré par la présence de germes pathogènes mis en évidence par les analyses bactériologiques d échantillons recueillis au niveau d ouvrages d exploitation en périodes de hautes et de basses eaux (Fig.12 ci-dessus). L exploitation de ces résultats, montre que certains ouvrages d exploitation comme (MTI, FSN et DBK) méritent une attention particulière et nécessitent une désinfection poussée suite à la présence anormalement élevée en streptocoques fécaux ; sachant que même les concentrations minimes enregistrées au niveau des autres ouvrages, sont supérieures aux normes de potabilité des eaux ( C/1 ml) CONCLUSION A travers l analyse de ce phénomène de la pollution des eaux de surface et souterraines, il ressort que les premières en l absence de preuves quantifiées de pollution bactérienne, sont déjà le siège d une pollution minérale en tous genres (organique, azotée, phosphorée, et métallique) atteignant ou dépassant localement des seuils difficilement tolérables pour la santé. Les eaux souterraines, ayant fait l objet d analyses physico-chimiques et bactériologiques régulières révèlent non seulement la présence, alors que celle-ci n a pas lieu d être, de bactéries pathogènes, mais que celle-ci est anormalement élevée. Cet état des faits, nous laisse à penser que soit les eaux usées relâchées vers l oued Sébaou que les stations d épuration ne fonctionnent pas convenablement CONCLUSION GENERALE Au terme de cette étude relative aux eaux du bassin versant du moyen Sébaou, l exploitation des données bibliographiques actualisées nous a permis d appréhender l évolution spatio- temporelle des caractéristiques physico-chimiques et bactériologiques des eaux de surface et souterraines. En effet, l examen et l interprétation des résultats d analyses physico-chimiques et bactériologiques d échantillons d eaux de surface et souterraines prélevés d amont en aval de la vallée de l oued Sébaou et son affluent l oued Bougdoura montrent que : - les eaux de surface sont caractérisées par des paramètres physiques (ph, conductivités) qui augmentent d amont en aval et leur confèrent un caractère incrustant et une minéralisation faible à moyenne qui augmente également d amont en aval. 6
7 - Le titre hydrotimétrique total(t.h.t) augmente également d amont en aval ; ses valeurs élevées qualifient les eaux d eaux dures. - Le faciès chimique dominant de type Hydrogénocarbonate calcique (et les variantes : Magnésien, Chloruré, Sulfaté et Sodique) reflètent l origine de la minéralisation issue du lessivage des faciès géologiques du bassin versant. - Les eaux souterraines de la nappe alluviale, issues généralement des eaux de surface précitées par le biais des infiltrations directes ou indirectes, présentent les mêmes caractéristiques qualitatives et évolutives. Néanmoins du point de vue quantitatif, leur minéralisation est plus importante du fait de leur circulation et leur séjour dans les alluvions. Cette ressource tant souterraine que de surface n est pas exempt des impacts des activités humaines dans la vallée et son environnement immédiat. En effet, sa qualité, en particulier celle des eaux de surface est très exposée au phénomène de la pollution aux origines diverses, allant des rejets des unités industrielles aux rejets domestiques en passant par les engrais fertilisant utilisés dans l agriculture. Ainsi on a pu mettre en évidence d une part des cas de pollution modérée, notable à excessive de type organique ou azotée, dues généralement aux rejets domestiques tout lelong de la vallée ; d autre part, des pollutions dues aux rejets des unités industrielles, notamment pour les concentrations excessives en plomb, fer et strontium. Du point de vue pollution bactérienne, les analyses attestent de la présence de coliformes et de germes totaux suite à des contaminations par les eaux usées. Prenant en compte ces résultats qui font état d une situation préoccupante, il apparait urgent, par mesure préventive: - d instaurer un contrôle rigoureux des rejets domestiques en procédant à l assainissement de toutes les contrées environnantes dont les rejets véhiculés par le réseau hydrographique aboutissent dans la plaine alluviale, souvent au voisinage d un champ de captage. - d assurer une gestion rationnelle de l entretien des stations d épuration existantes. - De réaliser de nouvelles stations d épuration appropriées aux agglomérations - De réglementer l emploi des engrais fertilisants aux abords des ouvrages d exploitation - d assurer une gestion rationnelle d extraction des alluvions afin d atténuer la vulnérabilité de la nappe alluviale vis-à-vis des infiltrations d eaux de surface en délimitant des périmètres de protection rapprochée. 7
8 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ALGERIENNE DES EAUX, Tizi-Ouzou (A.D.E, T.O) (25-26):Données physicochimiques. AGENCE NATIONALE DES RESSOURCES HYDRIQUES (A.N.R.H., Alger) (2) :Grille de qualité des eaux de surface. BOUMAZA N. (21) : Cartographie hydrogéologique de la vallée du Sébaou.Thèse de Magister.USTHB. Alger DIDIER G. (1995) : Pollution des milieux aquatiques. Aide mémoire, 2 ème Edit. Technique et documentation DJEMAI, M. (1982) : Hydrogéologie du moyen Sébaou. Mémoire d ingénieur, USTHB, Alger DJEMAI M. (1985) : Hydrologie du bassin versant du haut sébaou-hydrogéologie des formations alluviales (Algérie). Thèse doct.ing.géol. Appl. (Hydrogéol.), U.S.M. Grenoble (France),261p. DJEMAI M.,28 : Bilan physico-chimique des eaux de la vallée de l oued Sébaou et son environnement immédiat : Impact de l urbanisation, l industrie et l agriculture sur la qualité des eaux en Grande Kabylie. (Algérie), Thèse d état en géologie, appliquée, option : hydrogéologie, UMMTO, 188 pages DUMOLARD P (211) : Données géographiques, Analyse statistique multivariée ; Pub. Hermès Sciences, édit. Lavoisier, Paris, 28p. MELLAL N. (21) : Etude de la qualité des eaux naturelles du bassin versant du Sébaou. Pollution, protection et conservation de ces eaux. Thèse Magister, Univ.Tizi-Ouzou, 227p NGO N., REGENT A., (24) : Déchet et pollution : Impact sur l environnement. Edit.Dunod, Paris O.M.S (Organisme Mondial de la Santé) (1994) : Normes international applicables à l eau de boisson. REJSEK F., (22) : Analyse des eaux Aspect réglementaire et technique. Service culture,edition, ressources pour l éducation nationale, CRBP d aquitaine.36p RODIER J., (1975) : L analyse de l eau. Eaux naturelles, eaux résiduaires, eau de mer.tome 2, 5 ème édition. Edit. Dunod, Paris.1136p. VILAGINES R. (23) : Eau, environnement et santé publique. 2 ème édit. Edit. Technique et documentation. TARDAT-HENRY M., (1984) : Chimie des eaux, éd. "le Griffon d argile Inc.", Ière éd. revue et corrigée, bibliot. Nat. du Québec, Canada, 34 p. 8
9 RODIER J., (1978) : L analyse de l eau. Eaux naturelles, eaux résiduaires, eau de mer.7 eme édition, Edit. Dunod, Paris.1127p. RODIER J., (1984) : L analyse de l eau. Eaux naturelles, eaux résiduaires, eau de mer.8 eme édition, Edit. Dunod, Paris.1365p. RODIER J., (1996) : L analyse de l eau. Eaux naturelles, eaux résiduaires, eaux de mer.8 eme édition, Dunod, Paris, 1383p. TARDAT-HENRY M., (1984) : Chimie des eaux, éd. "le Griffon d argile Inc.", Ière éd. revue et corrigée, bibliot. Nat. du Québec, Canada, 34 p. VILAGINES R. (23) : Eau, environnement et santé publique. 2 ème édit. Edit. Technique et documentation. 9
Décrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailUNEP /UNESCO /UNCH / ECA
UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailETUDE DE LA QUALITE PHYSICO CHIMIQUE ET BACTERIOLOGIQUE DES EAUX SOUTERRAINES DE LA NAPPE PLIO-QUATERNAIRE DANS LA RÉGION DE MEKNÈS (MAROC)
Larhyss Journal, ISSN 1112-3680, n 14, Juin 2013, pp. 21-36 2013 Tous droits réservés ETUDE DE LA QUALITE PHYSICO CHIMIQUE ET BACTERIOLOGIQUE DES EAUX SOUTERRAINES DE LA NAPPE PLIO-QUATERNAIRE DANS LA
Plus en détailACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard
Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détail1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES
1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE Codes entités aquifères Code entité V1 Code entité V2 concernées (V1) ou (V2) ou secteurs hydro à croiser : 532a 532b Type de masse d'eau souterraine : Imperméable
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailCapteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments
.Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailPROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS
PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS 1 I. OÙ TROUVER LES DONNÉES ET COMMENT LES ACQUÉRIR I. Où trouver les données et comment
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailViandes, poissons et crustacés
4C la Tannerie BP 30 055 St Julien-lès-Metz F - 57072 METZ Cedex 3 url : www.techlab.fr e-mail : techlab@techlab.fr Tél. 03 87 75 54 29 Fax 03 87 36 23 90 Viandes, poissons et crustacés Caractéristiques
Plus en détailSynthèse des réponses au questionnaire
Etat des lieux sur les réseaux et programmes de Monitoring dans les pays partenaires méditerranéens Synthèse des réponses au questionnaire X. Detienne Aquapôle, Université de Liège Réalisé pour le compte
Plus en détailComment valoriser sa toiture plate en milieu urbain
Séminaire Bâtiment Durable : Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain 27/03/2015 Bruxelles Environnement Comment valoriser les eaux pluviales grâce à sa toiture? Maggy Hovertin MATRIciel Objectifs
Plus en détailCAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE
Cahier des charges pour l évolution des réseaux de surveillance des eaux souterraines en France CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Version complétée
Plus en détailEDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU
DOCUMENT D AIDE A LA PREPARATION DE LA CLASSE Plan de Rénovation de l Enseignement des Sciences et de la Technologie A l école au cycle 3. EDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU Groupe sciences Isère
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailLe 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie
Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Les aides aux activités économiques Franck LEROY Responsable du Service Investissements Collectivités et Industrie Direction Seine Aval
Plus en détailTraitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables
Traitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables d à la prise Thèse Tangi Le Borgne Directeur de thèse : F. Masrouri (LAEGO) Conseillers d étude : O. Cuisinier
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailPrésentation de l entreprise. Des entreprises d ici. Une offre de services sur mesure. .com
1 Présentation de l entreprise Des entreprises d ici Depuis 1979, l entreprise Les Puits Deux-Montagnes s est bâti une réputation enviable qui s étend bien au-delà de la région des Basses-Laurentides.
Plus en détailAvant-après, amont-aval : les couples de tableaux totalement appariés
ADE-4 Avant-après, amont-aval : les couples de tableaux totalement appariés Résumé La fiche décrit les méthodes d analyse des couples de tableaux complètement appariés (mêmes individus, mêmes variables).
Plus en détailPrésentation : A. A. TOSSA
LA BANQUE DE DONNEES INTEGREE (BDI) DE LA DIRECTION GENERALE DE L HYDRAULIQUE Un Outil pour la Gestion des ressources en eau Présentation : A. A. TOSSA 1- Le Service de la Banque de Données Intégrée (SBDI)
Plus en détailVERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE
VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE Agro-alimentaire et Environnement SOMMAIRE Page Introduction 1 Analyses microbiologiques 5 Microbiologie des aliments 6 Microbiologie des eaux 7 Microbiologie
Plus en détailIntégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne
Intégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne point de vue sur l importance attributaire d un référentiel 1 Plan de la présentation
Plus en détailAssainissement des campings. - 11 janvier 2011
Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailAtlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre
Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007 Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailinspection, nettoyage et désinfection
Réservoirs et canalisations d eau destinée à la consommation humaine : inspection, nettoyage et désinfection GUIDE TECHNIQUE Ce guide a été réalisé à l initiative du ministère chargé de la santé MINISTÈRE
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailSECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise
Famille : AMENDEMENT MINERAL BASIQUE ENGRAIS AVEC ADDITIF AGRONOMIQUE NF U 44-204 Amendement calcaire, dolomie et gypse NFU 44-203 avec préparation microbienne : RHIZOCELL (AMM n 1110014) AGRI-BIOTECH
Plus en détailCommission juridique et technique
Autorité internationale des fonds marins ISBA/9/LTC/3 Commission juridique et technique Distr. limitée 29 avril 2003 Français Original: anglais Neuvième session Kingston, Jamaïque 28 juillet-8 août 2003
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailCONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP)
Rapp. Comm. int. prot. eaux Léman contre pollut., Campagne 2010, 2011, 181-189. CONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP) Campagne 2010 PAR Audrey
Plus en détailPREAMBULE. Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale.
1 PREAMBULE Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale. Les élus souhaitent disposer d'une analyse exacte de la situation actuelle,
Plus en détailConstruction et mise en œuvre d un simulateur hydrologique et chimique du bassin ferrifère lorrain BRGM/RP-62998-FR
Construction et mise en œuvre d unn simulateur hydrologique et chimique du bassin ferrifère lorrain Rapport final BRGM/RP-62998-FR Décembre 2013 Mots clés : modèle hydrologique, modèle géochimique, modèle
Plus en détailL eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011
L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»
Plus en détailEnjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise
Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine
Plus en détailJournal of Applied Biosciences 75:6272 6281 ISSN 1997 5902
Journal of Applied Biosciences 75:6272 6281 ISSN 1997 5902 Impact de la demande en chlore et de la chloration sur la désinfection des eaux de puits des quartiers de Lomé : cas des quartiers de Démakpoé
Plus en détailSchéma d Aménagement et de Gestion des Eaux de l Odet
Commission Locale de l Eau SAGE de l Odet Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux de l Odet III- Enjeux, objectifs et actions 2. Plan d Aménagement et de Gestion des Eaux Novembre 2005 Le Schéma d
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailLes principaux sols de la plaine et des collines du Bas-Rhin
FICHE AGRI - MIEUX août 2011 Les principaux sols de la plaine et des collines du Bas-Rhin Pourquoi est-il important de connaître les sols? ARAA Objectifs de ce document Ce document présente une synthèse
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. L IRSN présente sa stratégie de surveillance de la radioactivité dans l environnement de la Vallée du Rhône.
DOSSIER DE PRESSE L IRSN présente sa stratégie de surveillance de la radioactivité dans l environnement de la Vallée du Rhône 17 novembre 2014 Surveiller la radioactivité dans l environnement : les attentes
Plus en détailSERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière
Plus en détailPlate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détailFICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC
1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance
Plus en détailAPPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.
APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailL IRSN et la surveillance de l environnement. Etat des lieux et perspectives
L IRSN et la surveillance de l environnement Etat des lieux et perspectives Didier CHAMPION et Jean-Marc PERES Journées SFRP Paris 23-24 septembre 2009 Objectifs de la surveillance de l environnement 2
Plus en détailAnne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs
La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction
Plus en détailpour l amélioration de la qualité de l eau
Guide des sols pour l amélioration de la qualité de l eau Sommaire ❶ La démarche... 1 ❷ Eléments pédologiques... 3 1) La notion de sol... 3 2) Sols et dynamique de l eau... 3 ❸ Les sols du Bassin Versant
Plus en détailBILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.
Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).
Plus en détailRévision du Schéma Départemental des Carrières de l Aube
Révision du Schéma Départemental des Carrières de l Aube Prise en compte du SDAGE Seine-Normandie BRGM/RP-60867-FR Version 2 - décembre 2012 M. CHABART, Y. THUON Avec la collaboration de M. LANSIART Étude
Plus en détailFonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source
Régionale Orléans Tours Visualiser cette sortie dans Google Earth Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source Position géographique
Plus en détailLIAISON A50 A57 TRAVERSEE
LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine
Plus en détailBureau de la Commission Locale de l Eau. Olivet le 25 novembre 2014
Bureau de la Commission Locale de l Eau Olivet le 25 novembre 2014 1. Portage du contrat territorial 2. Projets 2015 / Formations 2015 3. Points divers Ordre du jour 1. Portage du contrat territorial Portage
Plus en détailVERS UNE GESTION OPTIMALE DES RESSOURCES EN EAU. EXEMPLE DE LA TUNISIE.
VERS UNE GESTION OPTIMALE DES RESSOURCES EN EAU. EXEMPLE DE LA TUNISIE. Habaieb H*., Albergel J.** * Institut National Agronomique de Tunisie ** Mission IRD de Tunis RESUME La Tunisie reçoit en moyenne
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailGUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF
Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT
Plus en détailLe contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2
Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:
Plus en détailL assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés SCIENCES ET TECHNIQUES / COLLÈGE ET LYCÉE LIVRET PÉDAGOGIQUE
L assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés LIVRET PÉDAGOGIQUE Préambule L assainissement se définit comme l ensemble des techniques de collecte, de transport et
Plus en détailLA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT. L essentiel
Certu Centre d études sur les réseaux, les transports, l urbanisme et les constructions publiques LA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT Principes, méthodes et outils pour une meilleure intégration dans le cycle
Plus en détailSdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation
Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Ingrid HERMITEAU Agence de l eau Loire-Bretagne Cap sur la révision du Sdage 1. Rappel : qu est-ce que le Sdage? 2. Les éléments de réflexion
Plus en détailAgences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau
ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailSystèmes de stockage simples à installer et économiques
Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de
Plus en détailSOMMAIRE. I Objet de la consultation - Dispositions générales... 2. I.1 Présentation du contexte...2 I.2 Le bassin versant de la Bièvre...
SOMMAIRE I Objet de la consultation - Dispositions générales... 2 I.1 Présentation du contexte...2 I.2 Le bassin versant de la Bièvre...2 II Mission du prestataire... 3 II.1 Objet de la mission...3 II.2
Plus en détailROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS
ROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS Plan de Communication Opérationnel de l Agence du Bassin Hydraulique du Loukkos 1 PLAN 1. Analyse de l environnement 2. l environnement externe
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détail" Gestion des données issues du réseau de mesures limnimétriques des cours d eau non navigables "
" Gestion des données issues du réseau de mesures par ir Sébastien Gailliez Plan de l exposé 1. Introduction 2. Réseau de mesures 3. Base de données AQUALIM 4. Gestion du réseau de mesures 5. Logiciels
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailCOMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides»
COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» - 1-4 AVRIL 2013 MALICORNE-SUR-SARTHE COMPTE-RENDU DE REUNION Ordre du jour 1. Qu est ce qu un SAGE? Quel est le
Plus en détailSchéma Directeur d Aménagement et de Gestion des Eaux 2016-2021 Bassin Artois-Picardie Districts ESCAUT ET SAMBRE
Direction Régionale de l'environnement de l'aménagement et du Logement Nord Pas de Calais Délégation de bassin Artois Picardie Schéma Directeur d Aménagement et de Gestion des Eaux 2016-2021 Bassin Artois-Picardie
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailPROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE
Département Calvados Institution Interdépartementale du Bassin de l Orne PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE RT DSD 10015EZ phase1-017
Plus en détailINDUSTRIELS EN DEMARCHE ISO 14001 MANUEL D ACCOMPAGNEMENT
INDUSTRIELS EN DEMARCHE ISO 14001 MANUEL D ACCOMPAGNEMENT DIRECTION DES ACTIONS INDUSTRIELLES Directeur de publication : Jean-Marc Picard - Directeur des Actions Industrielles Agence de l Eau Seine-Normandie.
Plus en détailRAPPORT DU COMMISSAIRE ENQUÊTEUR
1 Tome 1 REPUBLIQUE FRANÇAISE PREFECTURE DE LA CHARENTE-MARITIME COMMUNE DE SAINTE-SOULLE ENQUETE PUBLIQUE relative au projet d aménagement d une retenue d eau du bassin versant de SAINTE-SOULLE, sur la
Plus en détailLOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES. drainage. Micro Drainage
LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES drainage Micro Drainage QUELS SONT LES DOMAINES D APPLICATION DE XPSWMM? Gestion des eaux pluviales: Modélisation
Plus en détail(Ordonnance sur le Livre des aliments pour animaux, OLALA) Le Département fédéral de l économie (DFE) arrête:
Ordonnance sur la production et la mise en circulation des aliments pour animaux, des additifs destinés à l alimentation animale et des aliments diététiques pour animaux (Ordonnance sur le Livre des aliments
Plus en détailCISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro
CISSE INF EAU N 13 Bulletin d information du bassin de la Cisse 1er trimestre 2015 Votre Cisse Inf eau change de style Après 2 ans et demi d existence, et pour anticiper l évolution de la chartre graphique
Plus en détailLa réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailEAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012
EAU ET MILIEUX AQUATIQUES Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 Janvier 2007 9 es 2007-2012 programmes des agences de l eau «L Europe s est dotée d un cadre communautaire pour
Plus en détail16 novembre 2010. Didier Rocrelle Directeur d établissement
CLI AREVA Romans 16 novembre 2010 Didier Rocrelle Directeur d établissement Sommaire de la présentation L actualité de Romans depuis la dernière CLI Plan de surveillance environnementale AREVA Romans Questions
Plus en détailLa qualité de l eau utilisée dans les entreprises alimentaires. Guide d application de la réglementation
La qualité de l eau utilisée dans les entreprises alimentaires Guide d application de la réglementation Service public fédéral Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement Direction
Plus en détail10 ème PROGRAMME (2013 2018)
10 ème PROGRAMME (2013 2018) Version adoptée par le comité de bassin du 18 octobre 2012 (délibération n CB 12-15) et par le conseil d administration des 18 octobre 2012 (délibération n CA 12-12) 14 novembre
Plus en détailβ-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P)
bioch/enzymo/tp-betagal-initiation-michaelis.odt JF Perrin maj sept 2008-sept 2012 page 1/6 Etude de la β-galactosidase de E. Coli : mise en évidence d'un comportement Michaélien lors de l'hydrolyse du
Plus en détailUniversité Pierre et Marie Curie, École des Mines de Paris & École Nationale du Génie Rural des Eaux et des Forêts
Université Pierre et Marie Curie, École des Mines de Paris & École Nationale du Génie Rural des Eaux et des Forêts Master 2 Sciences de l Univers, Environnement, Ecologie Parcours Hydrologie-Hydrogéologie
Plus en détailNote sur les enjeux dans le domaine de l eau
Soutenabilité du Grand Paris juin 2012 Note sur les enjeux dans le domaine de l eau - 3 - Introduction Le projet Grand Paris vise à faire du cœur de l Île de France une métropole de taille mondiale durablement
Plus en détailLes principales obligations environnementales en Wallonie
Les principales obligations environnementales en Wallonie Marjorie Bougelet Cellule des Conseillers en Environnement Frameries - 21 mars 2013 1 Sommaire Présentation de l UWE et de la CCE Les principales
Plus en détail