Activités du Groupe Stockage de produits liquides industriels. STOCKAGE de PRODUITS LIQUIDES INDUSTRIELS
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- Marin Lamarche
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1 4 Rapport annuel 2006 Activités du Groupe Stockage de produits liquides industriels STOCKAGE de PRODUITS LIQUIDES [42] INDUSTRIELS
2 [43] Rapport annuel 2006 Stockage de produits liquides industriels
3 4 Rapport annuel 2006 Activités du Groupe Stockage de produits liquides industriels LEXIQUE Additivation : Ajout aux carburants de très petites quantités de produits améliorant les performances. Bioéthanol : Éthanol d'origine agricole obtenu après transformation de céréales ou de betteraves, pouvant être incorporé directement dans l'essence. Carburéacteur : Combustible pour moteur d avion à réaction ou à turbine. Contango : Situation dans laquelle les prix à terme sont plus élevés que les prix spots, le différentiel permettant de dégager un profit à l issue de la période de stockage du produit. [44] E.E.G : Emulsion d Eau et de Gazole. En partenariat avec GECAM 0#, à Rouen, Rubis Terminal produit du gazole blanc (EEG) avec 10 % d eau, ce qui diminue les rejets dans l atmosphère. E.M.C : Ester Méthylique de Colza. E.M.H.V : Esters Méthyliques d'huiles Végétales, obtenus à partir d'une estérification d'huiles végétales (colza ou tournesol) par du méthanol. Ils s'incorporent dans le gazole. ETBE : Ether Butylique Tertiaire Ethylique généralement utilisé comme additif d essence d oxygénation dans la production de l essence du pétrole brut. Inertage : Procédé qui permet de ne provoquer aucune réaction des corps avec lesquels ils sont en contact. Mélasse : Sous-produit du raffinage de la betterave à sucre ou de la canne à sucre, matière utilisée en distillerie, en pharmacie et dans la préparation des aliments destinés au bétail, en remplacement des farines animales. Oléagineux : Ensemble des végétaux (colza, tournesol, arachide, palme) utilisés pour la production d huiles d origine agricole. Prix spot : Prix négociés au jour le jour sur le marché physique des produits pétroliers.
4 RUBIS TERMINAL c est déjà : m3 de capacité de stockage tonnes de trafic en sortie terminaux Une gamme de produits stockés allant des produits pétroliers (gazole, essence, fioul lourd) aux produits chimiques (soude, styrène, méthanol), et aux produits agro-industriels (engrais, éthanol, huiles végétales, mélasses*) L unique centre de distribution en France en 2006 d essence additivée* à l éthanol à Rouen et à Strasbourg L unique et ce sera en 2007 : producteur en France aujourd hui d une émulsion d eau dans le gazole avec son partenaire, filiale de Pirelli [45] - Des capacités nautiques accrues avec un nouveau quai pour navires de tonnes à Dunkerque et une nouvelle jetée pour navires de tonnes à Rouen - La construction de nouveaux bacs ( m 3 à Rouen, m 3 pour l éthanol à Strasbourg) - Le stockage d une gamme plus étendue de biocarburants (E5, E85 : essences avec 5 % ou 85 % d éthanol, B5, B30 : gazoles avec 5 % ou 30 % d EMHV*) - De nouveaux postes de chargement en source (un à Saint Priest et un à Strasbourg) Rapport annuel 2006 Stockage de produits liquides industriels
5 4 Rapport annuel 2006 Activités du Groupe Stockage de produits liquides industriels Depuis 1994, RUBIS a construit, par étapes, sous l égide de RUBIS TERMINAL, le premier groupe de stockage de produits liquides en France, employant aujourd hui un effectif de 185 personnes. produits liquides industriels, aussi variés que les hydrocarbures raffinés, les produits chimiques, les engrais, la mélasse* et autres produits tels que les huiles alimentaires. [46] Le métier de stockiste qu exerce RUBIS consiste à stocker, dans des installations détenues en propre, des produits qui restent la propriété des clients. En parallèle, sont fournies des prestations de services connexes telles que l additivation*, le mélange ou l enfûtage. La localisation stratégique de ses terminaux permet à RUBIS TERMINAL de détenir une position-clé dans le traitement des flux d importations et d expéditions de Ses principaux clients sont : - les hypermarchés et supermarchés pour le stockage de carburants, - les compagnies pétrolières qui optimisent leurs coûts logistiques, - les chimistes qui externalisent la fonction logistique, - et les traders, intermédiaires sur les marchés internationaux des produits pétroliers, des engrais et autres produits liquides industriels. DONNÉES CHIFFRÉES Variation (en M ) /2005 (en %) Chiffre d'affaires 172,3 182,3 5,8 % dont : stockage/prestations 56, ,4 % négoce 115,6 119,7 3,5 % Résultat Brut d'exploitation (RBE) 29,2 34,2 16,9 % Résultat Opérationnel Courant (ROC) 21,1 26,2 24,4 % Capacité d'autofinancement 19,9 22,4 12,6 % Investissements 9,5 11,1 -
6 PRODUITS PÉTROLIERS Provenance : Allemagne, Belgique, France, Grande-Bretagne, Pays-Bas, Russie. Destination : Allemagne, France, Suisse Les dépôts de RUBIS TERMINAL constituent un maillon essentiel de l économie du pétrole. A la charnière entre les fonctions d approvisionnement et de distribution, ils sont utilisés par tous les opérateurs du marché : centrales d achats de la grande distribution, opérateurs indépendants, raffineurs, traders. Le recours à des dépôts de stockage leur permet : - d organiser la distribution vers les points de consommation (stations-service et consommateurs directs), - d entreposer des produits en période contango, c est-à-dire lorsque les prix à terme sont supérieurs aux prix spot*, - d assurer la sécurité et la diversité des approvisionnements, entre les ressources locales et nationales et l importation, - de réaliser préalablement à la mise sur le marché des opérations d additivation* des produits, soit en incorporant des additifs de performance, soit par mélanges avec des biocarburants : ester méthylique d huile végétale (EMHV)* pour le gazole, ou éthanol pour l essence. [47] Le durcissement des contraintes réglementaires et la hausse des coûts induits, poussent à la poursuite de fermetures de dépôts concurrents mal positionnés ou trop petits. La massification des enlèvements sur les sites les plus sûrs, les mieux situés et les mieux équipés, profite à l ensemble des établissements du Groupe. Les efforts d investissements de mise en conformité et d adaptation des moyens de chargement consentis depuis plusieurs années se trouvent justifiés et récompensés. Le gouvernement a lancé en 2005 un plan biocarburant destiné à encourager l additivation d EMHV* (esters méthyliques produits à partir d huiles végétales de colza principalement) dans le gazole, et d éthanol ou Rapport annuel 2006 Stockage de produits liquides industriels
7 4 Rapport annuel 2006 Activités du Groupe Stockage de produits liquides industriels [48] d ETBE* (produits à partir de betteraves sucrières principalement) dans les essences. Les taux d additivation admis vont progresser de 5 % en 2005 jusqu à plus de 10 % en RUBIS TERMINAL, en concertation avec ses grands clients, a mené une politique active pour faciliter la mise en place de ces additivations sur ses sites : - Le gazole est additivé avec de l EMHV* sur les sites de Rouen, Dunkerque, Strasbourg, Brest, et Village Neuf - Après une expérience pilote d incorporation directe de bioéthanol* dans le supercarburant menée avec succès sur le terminal de Strasbourg en 2005, les clients hypermarchés ont lancé une opération de grande envergure sur le site de Rouen en 2006, où toutes les essences, soit un volume annuel de m 3, sont additivées à l éthanol. ENGRAIS LIQUIDES Provenance : Algérie, Bulgarie, Lituanie, Pologne, Roumanie, Russie Destination : Belgique, France En 2006, les expéditions se sont élevées à tonnes, soit 43 % du marché national. Le dépôt de Rouen constitue le plus gros centre d importations d engrais liquides en Europe. Les produits stockés y sont utilisés dans les zones de grande culture de la moitié nord de la France : Picardie, Beauce, Champagne-Ardenne, Berry. Dunkerque, qui participe à l approvisionnement du nord de la France, de la Champagne et du sud de la Belgique développe ses positions en s appuyant sur ses liaisons ferroviaires. - La consommation est très saisonnière et concentrée sur le printemps. II faut donc à la fois disposer de capacités de stockage importantes et des moyens de chargement proportionnés. - L'application d'engrais, avec des volumes globalement stables, tend à être plus précise et efficace. On assiste au développement de formules de mélanges associant à l'azote d'autres composants, soufrés ou phosphatés. RUBIS TERMINAL accompagne les distributeurs dans cette voie et met en place des systèmes d'additivation* et de mélange, s'orientant ainsi vers des prestations à plus forte valeur ajoutée. FIOULS LOURDS Le fioul lourd avait disparu des trafics de RUBIS TERMINAL avec le désintérêt progressif des industriels pour alimenter leurs chaudières avec ce type de combustible. Néanmoins, une utilisation subsiste dans les centrales thermiques, en appoint pour le chauffage urbain, et chez certains industriels. Les qualités requises étant de moins en moins disponibles dans les raffineries hexagonales, des capacités d importation doivent être mises en service pour en permettre l approvisionnement. En 2006, des travaux ont été engagés sur Rouen pour stocker des quantités plus importantes de fioul lourd basse teneur en soufre; par des barges dédiées, elles alimentent notamment la centrale de Porcheville. EDF, recourant davantage aux centrales thermiques, remet en service de nouvelles tranches après les avoir améliorées pour les rendre moins polluantes. L existence de moyens logistiques adaptés est essentielle pour la filière : - L'importation d'engrais fabriqués dans des zones riches en gaz, qui représente déjà plus de 50 % de la consommation, va continuer à se substituer aux productions locales et nécessitera de grosses capacités d'accueil.
8 PRODUITS CHIMIQUES Origine : Zone ARA (Amsterdam, Rotterdam, Anvers), Allemagne, Espagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Lybie, Syrie, Suisse, Suède, Ukraine, USA, Vénézuela Destination : Allemagne, Belgique, Espagne, Estonie, France, Hongrie, Italie, Inde, Pays-Bas, Suisse Avec des sites à Dunkerque, Rouen, Villeneuve-la- Garenne en région parisienne, Salaise sur Sanne au sud de Lyon et Strasbourg, RUBIS TERMINAL offre à ses clients un véritable maillage géographique, associant des moyens fluviaux ou maritimes, ferroviaires et routiers. Le développement des biocarburants a entraîné un accroissement massif et rapide des flux d oléagineux* : Sur Dunkerque, le trafic annuel est passé en 2 ans de à tonnes. Les unités de production de biocarburant doivent en effet être approvisionnées en huiles, et font appel à des origines et des qualités de plus en plus diversifiées : l importation doit compléter la production nationale, et au colza viennent s ajouter des huiles de soja, de tournesol, de palme, ainsi que des graisses animales et des huiles de friture. Les obligations réglementaires et environnementales rendent contraignant le stockage de certains produits, y compris dans les unités de production. RUBIS TERMINAL a adapté ses outils à ces produits difficiles, en augmentant ses capacités inox, les réservoirs de petite capacité et les équipements particuliers de chauffage, d isolation, d inertage* à l azote ou à l air appauvri et de retour gaz. Grâce à cette nouvelle offre, RUBIS TERMINAL a pu offrir des solutions adaptées à ses clients, aussi bien pour la gestion à moyen terme de flux pérennes, que pour répondre à des problèmes ponctuels et urgents. AGRO-ALIMENTAIRE Origine : Argentine, Cuba, Danemark, Egypte, Gambie, Iran, Islande, Italie, Maroc, Pakistan, Pérou, Pologne, Soudan, Turquie, Ukraine Destination : Grande-Bretagne, Inde, Irlande, Italie, Pays-Bas Une part significative des capacités de Rouen et de Dunkerque est consacrée à cette famille de produits dans laquelle sont regroupés les oléagineux*, les mélasses* et des coproduits issus de l industrie du sucre, de la levure et de l amidon. Les installations de RUBIS TERMINAL, qui permettent à la fois de traiter de gros volumes et de ségréguer les qualités, offrent à ces industries l outil souple et flexible que nécessite leur activité. RUBIS TERMINAL a enregistré en 2006 une progression soutenue de ses activités de prestations de stockage (+ 9 % en trafic) dans un périmètre identique à celui de Cette performance qui a concerné essentiellement les oléagineux et les produits pétroliers s explique largement par le développement des biocarburants : des flux croissants d huiles végétales viennent approvisionner les unités de fabrication, tandis que les contraintes liées à leur incorporation aux carburants d origine fossile, nécessitent l achat et la mise en place de qualités spécifiques pour ces derniers. Par ailleurs on a assisté à une progression notable et durable des importations de fioul lourd, les qualités à très basse teneur en soufre autorisées à la consommation en Europe étant de moins en moins produites par les raffineries françaises, qui se spécialisent davantage sur la production de gazole et de carburéacteur*. [49] Rapport annuel 2006 Stockage de produits liquides industriels
9 4 Rapport annuel 2006 Activités du Groupe Stockage de produits liquides industriels CAPACITÉ GLOBALE CAPACITÉS ATTRIBUÉES SORTIES de PRODUITS RECETTES (en milliers de m 3 ) (en milliers de tonnes) (en %) (en milliers d euros) (en %) Pétrole Produits lourds Engrais Oléagineux* Mélasses * Produits chimiques TOTAL [50] ÉVOLUTION des CAPACITÉS de STOCKAGE de CARBURANTS, de GAZOLE et de FIOUL DOMESTIQUE En stockage de distribution, on observe une tendance à la concentration sur les grosses unités, avec la disparition progressive des stockages de faible capacité à trafic réduit, ne disposant pas des moyens financiers pour faire face aux investissements réglementaires de sécurité et d environnement. (en milliers de m 3 ) Nombre de terminaux Capacité Capacité moyenne 42,55 50,10 51,74 (source : Comité Professionnel du Pétrole) En façade maritime fluviale, on recense une trentaine de dépôts offrant l accès à des produits d importation totalisant une capacité de 6,5 millions de m 3 dont 15 % sont contrôlés par RUBIS. POSITION de RUBIS TERMINAL dans la LOGISTIQUE des CARBURANTS et des FIOULS Dans chaque grande zone de chalandise, RUBIS TERMINAL détient une part de marché significative face aux dépôts de la concurrence et aux gares de raffineries. Sur les 16 millions de tonnes de gazole importées en France en 2006, environ 25 % ont transité par les dépôts de RUBIS TERMINAL. DUNKERQUE Nord Pas-de-Calais Part de marché estimée 31 % Consommation de la zone * Sorties de produits 971 * ROUEN Haute Normandie Picardie Ile de France (50%) Part de marché estimée : 39 % Consommation de la zone * Sorties de produits * BREST Bretagne Part de marché estimée 23 % Consommation de la zone * Sorties de produits 811 * SAINT-PRIEST Rhône-Alpes Part de marché estimée 23 % Consommation de la zone * Sorties de produits 1 477* STRASBOURG-MULHOUSE Alsace-Lorraine Part de marché estimée 36 % Consommation de la zone * Sorties de produits * * (en milliers de tonnes) source : Comité Professionnel du Pétrole.
10 ÉVOLUTION des TRAFICS de CARBURANT et de FIOUL de RUBIS TERMINAL Sur ses zones de chalandise, RUBIS TERMINAL accroît ses parts de marché : (en milliers de tonnes) RUBIS TERMINAL (Variation annuelle) 16,5 % 6,8 % 1,6 % 7,7 % 6.4% Consommation dans les zones de chalandise des dépôts de RUBIS TERMINAL (Variation annuelle) 0 % - 0,1-6,5% 3.8% Part de marché de RUBIS TERMINAL 25 % 27% 26 % 30 % 31% PROJETS de DÉVELOPPEMENT RUBIS TERMINAL s'est concentré sur ses projets de développement en Europe du nord et sur la construction de nouvelles capacités en France : - A Rotterdam (Pays-Bas), lancement fin 2006 de la construction d une première tranche de m3 sur le site de Botlek, pour une mise en service début Ce terminal aura une activité pétrolière et chimique, et disposera à terme d une capacité de m 3. - A Rouen, construction en 2007 de deux réservoirs d une capacité totale de m3. - A Salaise-sur-Sanne, obtention en 2006 de l autorisation de stocker des acides et des déchets industriels liquides, en complément des autres produits déjà autorisés. - A Strasbourg, construction d un réservoir de m 3 pour y stocker de l éthanol ainsi qu un nouveau poste source pour les produits distillés (essence et pétrole). - Des projets d extension sont en cours pour étendre les capacités : m 3 d engrais liquides et m 3 de produits chimiques à Rouen, m 3 de gazole et de carburéacteur* à Brest, m 3 de produits chimiques à Salaise-sur-Sanne. Sur Dunkerque, il est prévu de disposer d un appontement supplémentaire pour accompagner la forte croissance du trafic d oléagineux*. Dans un marché peu dynamique, l activité de négoce a maintenu ses volumes et amélioré ses marges en 2006 tant dans le domaine traditionnel de la revente de gazole et de fioul qu au travers de l association avec le groupe PIRELLI au sein de GECAM 0# pour la commercialisation d une émulsion d eau dans le gazole (EEG)*, produit qui permet de réduire les émissions de particules et de gaz à effet de serre. [51] Rapport annuel 2006 Stockage de produits liquides industriels
11 4 Rapport annuel 2006 Activités du Groupe Stockage de produits liquides industrielstockage de produits liquides industriels Situé à Botlek, au cœur du port de Rotterdam, premier port d Europe avec un trafic de 370 millions de tonnes par an, le terminal de RUBIS offrira à terme une capacité de m3 avec un accès ferroviaire et des accès maritimes très supérieurs à ceux des autres opérateurs (trois jetées pour navires de haute mer, une jetée barge). Dans un contexte où la rapidité des opérations maritimes et la réduction des temps d escale sont des enjeux essentiels de la logistique, ce terminal disposera d un avantage compétitif décisif. Les travaux ont commencé en avril 2007 pour une livraison courant 2008 d une première tranche de m3, offrant des capacités pour stocker une très large gamme de produits pétroliers, chimiques et agroindustriels. [52] RUBIS s appuiera sur son expérience des produits pétroliers, chimiques et agro-alimentaires et son expertise dans le domaine du stockage et de l incorporation des biocarburants, pour trouver toute sa place à Rotterdam. ROTTERDAM
12 RUBIS TERMINAL : UN PIONNIER des BIOCARBURANTS A Rouen, l incorporation de biodiesel commence en 1994, lors du démarrage de la première usine Diester Industries à Compiègne. Il s agissait alors de mélanger de l ester méthylique de colza à du fioul domestique, et à du gazole réservé à des flottes de poids lourds. A partir de 1998, l incorporation prit une nouvelle dimension : en effet, la teneur en soufre du gazole ayant été réduite, il devint nécessaire de lui substituer un agent lubrifiant. Parmi les différentes solutions possibles, l additivation* du gazole avec 2 % d EMHV* s avéra l une des plus économiques et efficaces et fut mise en place dans tous les sites RUBIS. Depuis 2005, et l accélération impulsée par les pouvoirs publics sur la politique biocarburants, nos terminaux ont été adaptés pour additiver à hauteur de 5 % l ensemble des gazoles reçus, avant leur réexpédition. En 2006, m 3 d EMHV* ont été incorporés dans nos différents terminaux. Désormais massive et systématique, l incorporation de biodiesel tend à se complexifier : les origines, et la composition des EMHV* se sont diversifiées : pour compléter le colza, les producteurs utilisent désormais des huiles de tournesol, de palme et de soja, ainsi que des graisses animales et des huiles de fritures. Tous ces produits ont des propriétés, et en particulier des teneurs au froid différentes, dont il va falloir tenir compte lors de leur mélange au gazole. L autre volet du développement des biocarburants concerne l éthanol, et son incorporation dans les essences. C est un sujet plus récent, car l incorporation directe d éthanol dans l essence n est autorisée en France que depuis 2004, et plus délicat, du fait du caractère hydrophile et inflammable de l éthanol, et de l accroissement de volatilité qu amène son mélange à l essence. Ceci impose d utiliser des bases essence à basse volatilité, et de respecter scrupuleusement les taux d additivation*, pour obtenir au chargement un produit conforme à l ensemble des spécifications. Une première expérience a été menée depuis fin 2004 à Strasbourg, consistant à additiver à l éthanol le SP95 distribué par l un des principaux opérateurs du terminal. En 2005, l ensemble des acteurs de la grande distribution ont décidé de mener une expérience d envergure nationale pour appuyer l utilisation du bioéthanol, et ont choisi le terminal RUBIS de Rouen pour sa mise en œuvre. Depuis mai 2006, toutes les essences chargées à Rouen, soit m 3 par an, sont additivées à 5 % d éthanol. Enfin, c est dans nos dépôts de Strasbourg et de Rouen qu ont été réalisés depuis mi 2006 les premiers chargements en France d E85 (superéthanol), composé de 85 % d éthanol et 15 % d essence. Sur ces nouveaux marchés RUBIS entend être l acteur logistique exemplaire et innovant. [53] Rapport annuel 2006 Stockage de produits liquides industriels
13 4 Rapport annuel 2006 Activités du Groupe Stockage de produits liquides industriels Papy, ça va durer longtemps la remise de la médaille? Tu sais, je vais retrouver mes anciens collègues, alors!!! Dis Papy, après, on pourra visiter le dépôt? Décidemment, tu ne te lasses pas,toi! Tu as bien grandi! Tu viens encore pour un devoir de classe? J accompagne Papy à la remise de la médaille, mais j préfèrerais visiter le dépôt! [54] Va profiter des petits fours!!! Je m occupe de lui. On va donner à manger aux bestioles. Cette année, en chimie, on apprend la protection de la planète. Vous vous sentez concernés ici? Ah oui! Papy m a parlé des bactéries. Mais c est une de nos priorités! et depuis longtemps. RUBIS TERMINAL manipulant des produits volatils comme l essence, l éthanol ou le méthanol, a mis en place différentes mesures pour limiter les évaporations d air saturé en vapeurs d essence.
14 Avec par exemple un toit qui flotte et qui empêche le produit de s évaporer Les bacs de stockages sont des sources d évaporation du produit stocké. Un joint permet d isoler complètement le liquide du ciel gazeux du réservoir en assurant une étanchéité parfaite entre le toit flottant et la robe du réservoir. Mais comment empêcher cela? Est-ce qu on vérifie l étanchéité des écrans? Les canalisations qui transportent les produits sont étanches, mais les bacs sont des sources d évaporation principalement lors du remplissage. Pour éviter cela, les bacs peuvent être équipés d écrans flottants internes ou de toits flottants, technique utilisée pour les produits pétroliers volatils tels que les essences ou les kérosènes. Ce bac de m3 perdrait 260 tonnes par an d essences volatilisées si nous ne faisions rien! Tous les mois pour vérifier que l écran ou son joint ne sont pas abîmés, un opérateur fait une mesure d explosivité dans le ciel gazeux du bac afin de s assurer que le toit joue son rôle de protecteur de l environnement. Ceci permet également de réduire considérablement le risque d explosion ou d inflammation en supprimant toute atmosphère explosive dans le ciel du bac. [55] Ici, on remplace l air du bac par une couverture d azote qui retient le produit chimique. J ai appris en cours que l air contient 80 % d azote et qu il n est pas considéré comme un polluant. Ici aussi il y a des évaporations lorsqu ils chargent les produits? Exact, mais les vapeurs sont collectées et acheminées à l unité que tu aperçois derrière. Quand le bac est en remplissage de produits chimiques volatils, l azote est chassé hors du bac. Quand le bac est en vidange, on ajoute de l azote dans le bac. L inertage des bacs présente l avantage de supprimer l oxygène à l intérieur du ciel gazeux du réservoir. Lors du chargement, les vapeurs sont collectées par le bras vapeur et acheminées par une canalisation vers une URV à charbon actif. Ce filtre piège les molécules d essences. Ce procédé est appelé l adsortion. L air filtré ressort épuré de ses polluants. L essence liquide récupérée est renvoyée vers un bac de stockage. Chaque année, environ 450 m 3 d essences sont ainsi récupérées. Rapport annuel 2006 Stockage de produits liquides industriels
15 4 Rapport annuel 2006 Activités du Groupe Stockage de produits liquides industriels Cet endroit peut être pollué par les égouttures? Là tu soulèves le problème du traitement de l eau. RUBIS TERMINAL manipule des produits susceptibles de polluer les eaux superficielles ou souterraines. Les aires où des égouttures sont susceptibles de polluer sont toutes étanches (cuvettes de rétention, aires de chargement et déchargement des camions ou wagons, pomperies, pistes de circulations des camions). Sur ces aires étanches les eaux pluviales susceptibles d être polluées par des égouttures sont collectées et envoyées dans des bacs de stockage avant traitement. Les eaux polluées en engrais font appel à un traitement biologique qui dégrade les nitrates en azote gazeux non polluant. Alors, c est là le bac ensemencé de bactéries dont m a parlé Papy. C est ça les bestioles? [56] Tous les jours, un opérateur de RUBIS TERMINAL transfère environ 100 m 3 d eau chargée en engrais liquide dans un bac de traitement, muni d un système de chauffage autonome, pour assurer une température constante nécessaire à la vie et à la reproduction des bactéries. Sais-tu que ces bestioles consomment 100 à 200 kilos de sucre par semaine? Il faut les choyer, c est elles qui purifient l eau polluée. o Bonjour les caries! Les bactéries doivent vivre dans un milieu adapté pour trouver les éléments nutritifs nécessaires à la réalisation de la dégradation de l azote et à leur multiplication. En fonction des échantillons prélevés, l opérateur apporte les corrections nécessaires pour que la température de l eau ne soit jamais inférieure à 15 C, pour ajouter du sucre, du phosphate et du bicarbonate de soude, et pour augmenter ou diminuer l apport en oxygène dans le milieu.
16 Papy, je suis là!!, c est super! Tu vois Papy, cette eau est quasiment pure grâce aux bactéries! Tu reviens quand tu veux, ici il se passe toujours quelque chose de passsionnant. Merci pour tout Je n aurais jamais cru qu ils s investissent autant pour l environnement! C est incroyable les investissements qu ils font pour protéger l air et l eau. Mais, c est tellement important de préserver notre environnement! [57] Le groupe RUBIS depuis des années, s engage activement dans la protection de l environnement, ce qui explique que tous les investissements de RUBIS TERMINAL ont toujours une composante importante relative notamment au traitement de l air et de l eau. Ah, vous voila vous deux. Regardez, je vous ai fait une tarte au sucre. Une tarte au sucre!!! Aie! Aie! Aie! Attention aux caries!!! Ça, c est une autre histoire!!! à suivre Rapport annuel 2006 Stockage de produits liquides industriels
17 4 Rapport annuel 2006 Activités du Groupe DISTRIBUTION de GPL et de PRODUITS [58] PÉTROLIERS
18 [59] Rapport annuel 2006
19 4 Rapport annuel 2006 Activités du Groupe LEXIQUE Butane : Hydrocarbure liquéfié saturé de formule C4H10. La France est structurellement importatrice de butane. Centre emplisseur : Installation permettant le conditionnement des bouteilles de butane et de propane. Conditionné : Butane et propane distribués en bouteilles de 13 kg ou 35 kg. G.M.S. : Grandes et Moyennes Surfaces. [60] GPL : Abréviation de Gaz de Pétrole Liquéfiés. Les GPL, composés principalement de butane et de propane, sont extraits du pétrole brut par raffinage ou par simple opération de séparation sur champs. Les GPL, dépourvus d oxyde de carbone dans leur composition, constituent une énergie performante, écologique et économique. On distingue trois catégories d usage pour les GPL : combustible, carburant automobile et matière première pour la pétrochimie. Les GPL sont présents dans les secteurs économiques tels que le résidentiel (usage domestique de base : cuisson, eau chaude, chauffage), l agriculture, l industrie et la carburation. GPL-carburant : Mélange de butane et de propane pour l usage de la carburation automobile. Petit-vrac domestique : Dénomination de la clientèle dont la consommation des GPL n excède pas deux tonnes par an. Propane : Hydrocarbure liquéfié saturé, de formule C3H8. La France est structurellement importatrice de propane. Relais-vrac : Unité de stockage de vrac servant de relais logistique entre un dépôt massif d importation et la clientèle terminale. Trading GPL : Ensemble d opérations de négoce sur les Gaz de Pétrole Liquéfiés. Vrac : Dénomination pour les GPL livrés dans des réservoirs mis à la disposition de la clientèle.
20 RUBIS ÉNERGIE c est déjà : tonnes de GPL m3 de carburants et 360 m 3 de lubrifiants tonnes de bitumes 24% dans la raffinerie des Antilles 66 stations-service dans les Caraïbes 343 stations GPL-carburant en France métropolitaine [61] et ce sera en 2007: - De nouvelles capacités de stockage et des installations répondant au développement de nos activités - La transposition du Programme d Orientation sur la Politique Energétique - Un nouveau marché pour le GPL-carburant - Un positionnement sur les énergies renouvelables - Une campagne de rénovation de nos stations-service aux Antilles et Guyane françaises - L optimisation de l Espace Client Rapport annuel 2006
21 4 Rapport annuel 2006 Activités du Groupe [62] RUBIS ÉNERGIE, sous la marque VITOGAZ (1939), distribue des gaz de pétrole liquéfiés (GPL) plus connus sous les appellations de butane* et de propane*. Les GPL répondent notamment aux besoins des particuliers, industriels, agriculteurs, éleveurs et responsables de collectivités et servent à la fois à la cuisson, à la production d eau chaude sanitaire, au chauffage et s emploient dans de multiples applications techniques. RUBIS ÉNERGIE, sous la marque GAZ L, distribue du GPL-carburant (GPL-c) et est implanté dans 343 stations-service en Grandes et Moyennes Surfaces (GMS) ainsi que dans les stations-service BP distribuant du GPL-c sur le réseau routier et autoroutier français. CHIFFRES CLÉS CONSOLIDÉS (en M ) Variation 2005/2006 (en %) Chiffre d affaires consolidé 177,3 546, % Résultat Brut d Exploitation (RBE) 23,2 35,7 + 54% Résultat Opérationnel Courant (ROC) 17,9 23,9 +33 % - France 13,2 9,8-25 % - Caraïbes 0,7 8,6 ns - Afrique 4,1 5, % Capacité d autofinancement 13,5 25,3 + 87% Investissements 10,2 32,0 -
DISTRIBUTION de GPL et PRODUITS PÉTROLIERS 2005
58 DISTRIBUTION de GPL et PRODUITS PÉTROLIERS 2005 DISTRIBUTION de GPL et PRODUITS PÉTROLIERS 2005 59 VITOGAZ vient de livrer le boulanger et moi je livre les croissants. Mais il est encore très tôt. Sais-tu
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