de mettre en évidence les processus de destruction ou de guérison.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "de mettre en évidence les processus de destruction ou de guérison."

Transcription

1 INTERPRÉTATION RADIOLOGIQUE DES IMAGES PÉRI-RADICULAIRES Léonardo MATOSSIAN Yves BOUCHER Pierre MACHTOU MOTS CLEFS Diagnostic radiologique Parodontite apicale Index périapical KEY WORDS Radiographic diagnosis Apical periodontitis Periapical index L analyse des clichés radiologiques rétro-alvéolaires est une étape incontournable pour le diagnostic en endodontie. Les limites de ces clichés sont liées à la détection des lésions péri-apicales débutantes, leur interprétation et la distinction entre les différents stades pathologiques permettant de mettre en évidence les processus de destruction ou de guérison. L analyse des clichés rétro-alvéolaires suppose une connaissance des techniques radiologiques, de l anatomie apicale, des différentes pathologies et de leurs différents stades d évolution. Étroitement liés à l examen clinique, elle contribue à l établissement d un diagnostic positif, étiologique et différentiel. Le but de cet article est d analyser les données concernant l interprétation radiologique des images périradiculaires caractéristiques des parodontites apicales. CHOIX DE LA TECHNIQUE RADIOLOGIQUE Les radiographies rétro-alvéolaires sont considérées comme plus précises que les panoramiques pour REALITES CLINIQUES Vol. 12 n 2, 2001 pp

2 Fig. 1 - Parodonte apical normal 1. L apex et le foramen apical 2. Le ligament parodontal ou desmodonte 3. La lamina dura 4. L os alvéolaire l étude du péri-apex. Ainsi, en 1992, Muhammed et Manson-Hing montrent que les clichés rétro-alvéolaires permettent une meilleure identification des lésions périapicales que les clichés panoramiques (7). La radiographie panoramique étant une tomographie, le risque de non-visualisation de certaines lésions, notamment au maxillaire, est augmenté et les différences d interprétation entre les observateurs sont plus grandes. Eriksen conseille l utilisation systématique d un examen panoramique de dépistage complété par des clichés rétroalvéolaires (3). La chaîne radiologique dans son ensemble ne sera pas décrite dans le cadre de cet article, mais le praticien doit en avoir la maîtrise technique. En toute circonstance la qualité des images produites est une condition sine qua non d une interprétation pertinente (4). L analyse des clichés est optimisée par l utilisation combinée d un négatoscope et de la visionneuse de Mattson (6). DIAGNOSTIC RADIOLOGIQUE D UN PARODONTE APICAL NORMAL Afin d établir une sémiologie radiologique, il est indispensable de déterminer les signes d un parodonte apical normal (fig. 1). Il existe dans la région périapicale des variations de morphologie, de texture et de densité des éléments anatomiques. Il devient alors très difficile de définir la normalité. Néanmoins, il existe une anatomie apicale témoignant d un parodonte apical normal comportant plusieurs éléments clés : l apex et le foramen apical : l anatomie apicale, l émergence du foramen apical sont totalement aléatoires et soumis à des variations tant intra que inter-individuelles ; le cément : entité histologique, invisible à la radiographie le ligament parodontal ou desmodonte : sa radioclarté donne du contraste aux structures environnantes malgré sa faible épaisseur ; la lamina dura : c est un terme purement radiologique décrivant l os cortical en contact direct avec le ligament parodontal. La lamina dura apparaît alors comme une structure continue ininterrompue et radio opaque autour de la racine ; l os cortical : enchâsse les racines et les apex des dents avec certains apex extra-corticaux, qui sont difficilement décelables radiologiquement ; l os alvéolaire : l organisation de l os alvéolaire varie en structure et densité selon le maxillaire concerné. Cette organisation est étroitement liée à la fonction. LES STRUCTURES ANATOMIQUES LOCALES Les images traduisant les structures physiologiques doivent être analysées et différenciées des altérations pathologiques. Les structures avoisinantes pouvant se superposer avec les apex tels : le foramen incisif, la cavité nasale, la fosse canine, le sinus maxillaire, l arcade zygomatique, le foramen mentonnier, le nerf alvéolaire inférieur et les tori (palatins et mandibulaires) (fig. 2). CRITÈRES DIAGNOSTIQUES D UNE PARODONTITE APICALE Les critères classiques du diagnostic radiologique des lésions apicales sont : l augmentation de volume de l espace radioclair desmodontal, communément désigné épaississement du desmodonte), l interruption de la lamina dura, 164 REALITES CLINIQUES Vol. 12 n 2, 2001

3 et la présence d une image radioclaire. Ces critères permettent de diagnostiquer des lésions déjà existantes, comme une parodontite apicale chronique installée. En revanche, ils ne permettent pas de distinguer les lésions débutantes ou les processus de cicatrisation dans leurs phases terminales. En effet, il est impossible sur une image radiographique de faire la différence entre une déminéralisation ou une reminéralisation en cours. Seule la comparaison à distance de clichés superposables réalisés à distance dans le temps permet d indiquer qu il s agit d un processus en régression ou en extension. Les difficultés de diagnostic surviennent lorsque les signes radiologiques sont peu nombreux ou discrets, soit parce que la lésion est naissante, soit parce qu elle est masquée par les structures anatomiques. L épaississement du ligament parodontal est généralement considéré comme le premier signe pathologique reflétant une parodontite apicale débutante : il existe souvent une faible transition d accroissement de l épaisseur du ligament de la région coronaire vers la région apicale. La destruction de la lamina dura, lorsqu elle est visible, est un signe radiologique d une bonne spécificité (capacité à détecter une lésion). Mais ce critère est d une faible sensibilité (capacité à identifier correctement l absence de lésion) puisqu il varie selon les individus, en épaisseur, en fonction du nombre de canaux et selon essentiellement l angle de prise du cliché radiographique. Toutefois, si l on cherche à comparer deux radiographies prises à un intervalle de temps différent dans des condtions similaires, avec un angulateur, l épaisseur du desmodonte et de la lamina dura peut apporter une aide au diagnostic. Un autre signe inconstant est la modification de la texture osseuse : la Fig. 2 - Structures anatomiques normales 1. Foramen incisif 2. Cavité nasale 3. Fosse canine 4. Sinus maxillaire 5. Trou mentionner 6. Nerf alvéolaire inférieur L. MATOSSIAN et coll. 165

4 texture de l os normal répond à une charge fonctionnelle, généralement avec des trabécules osseuses irradiantes à partir de l apex, en rayon de roue. Les premiers signes de parodontite apicale entraînent une désorganisation de cette architecture : on parle de changement structural de la matrice osseuse correspondant à un remaniement réactionnel de l os périapical. Une image radioclaire bien individualisée indique une destruction osseuse évidente. EXISTE-T-IL UNE CORRÉLATION ENTRE HISTOLOGIE ET RADIOLOGIE? Seule l analyse histologique d un tissu peut décrire les caractéristiques d une pathologie présente. La validité et la pertinence d une technique radiologique est étroitement liée à sa concordance histologique. Plusieurs études (1, 2) ont cherché à établir une relation entre l histologie et l image radiologique du parodonte apical, et quelques généralisations ont pu être tirées : l apparence radiographique d une lésion périapicale chronique est toujours moins importante que sa traduction histologique ; l absence de signes radiologiques n est pas suffisante pour infirmer un diagnostic de lésion apicale chronique ; la présence d une image radioclaire est en général un signe pathognomonique. la radiographie ne permet en aucun cas de faire la distinction entre granulome et kyste. La présence d épithélium que l on retrouve dans toutes les lésions n est pas synonyme de kyste. Les kystes vrais ne sont pas en relation directe avec le foramen apical, ce sont des lésions purement osseuses même si on les appelle "kystes apicaux" (8). Brynolf (2) a mis en évidence l existence d une corrélation entre les stades histo-pathologiques et les signes radiographiques. L auteur conclut qu avec l utilisation de critères radiologiques classiques, il n est pas possible de détecter le tiers, voire la moitié des lésions périapicales naissantes ou de petit volume. La structure osseuse constitue le signe radiologique le plus important : sont concernées en premier lieu les trabécules osseuses dans l environnement immédiat de l apex : l aspect, l épaisseur, la densité, leur proximité et leur orientation générale sont des considérations qui doivent être prises en compte. Il est important de comparer ces caractéristiques à une zone osseuse différente chez le même patient ; viennent en deuxième position la forme et l épaisseur du ligament parodontal et l existence éventuelle d une zone radio-opaque périapicale, correspondant à un dépassement de l obturation canalaire ; l aspect de la lamina dura contrairement aux idées reçues, n arrive qu en troisième position ; elle peut être légèrement irrégulière, indistincte ou dentelée ; on sait surtout que son aspect varie selon l incidence de la radiographie et selon la forme de la racine. EXISTE-T-IL UNE CLASSIFICATION RADIOLOGIQUE DE L ETAT PÉRIAPICAL? La classification permet à différents praticiens de comparer facilement et de manière reproductible une situation. En 1983, Reit et Gröndhal (13) ont classé l état péri apical selon 5 situations (tableau I). En utilisant cette classification, Reit obtient des résul- 166 REALITES CLINIQUES Vol. 12 n 2, 2001

5 tats montrant une grande disparité inter et intra-individuelle, et donc une très faible reproductibilité. Il constate également que la plus grande différence se situe au niveau de l augmentation de l espace desmodontal. En 1987, il propose une autre classification basée sur la probabilité de la présence ou de l absence de destruction osseuse : le PRI pour probability index (tableau II). Cette deuxième étude lui a permis d établir un modèle de décision clinique, proposant que "toute décision est le résultat d un processus cognitif d interaction de trois différents niveaux", scientifique, psychologique et sociologique. La prise de décision clinique repose donc davantage sur des facteurs subjectifs que sur les facteurs objectifs qui, normalement, devraient être seuls pris en compte. Enfin plus récemment, Ørstavik et coll. (13) ont proposé une classification des états péri apicaux incorporant un support visuel : l index péri apical ou PAI. Pour cela, ils ont superposé une image radiographique type à chaque stade histologique décrit par Brynolf (tableau III). Ørstavik en 1986, compare le PAI au PRI (12) et obtient des résultats largement en faveur du PAI. Il conclut qu une référence visuelle lors de la lecture des clichés est indispensable, et surpasse le jugement basé sur des critères théoriques. A ce jour, l index périapical d Ørstavik semble être la seule classification disponible permettant une bonne lecture et une bonne distinction des différents états pathologiques du péri-apex (tableau IV). DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL L. MATOSSIAN et coll. Tandis que les lésions apicales aiguës présentent systématiquement des signes cliniques pathognomoniques, les lésions apicales chroniques sont souvent, et parfois uniquement, diagnostiquées radiologiquement. Communément, il existe une destruction osseuse mais, en cas d inflammation chronique de la pulpe évoluant à bas bruit, la réaction osseuse est inverse et aboutit à une parodontite apicale condensante. Cette situation se rencontre lorsqu une lésion carieuse ou un défaut d étanchéité d une restauration n entraîne pas une nécrose immédiate de la pulpe et une infection complète du système canalaire. TABLEAU I - CLASSIFICATION DE L ÉTAT PÉRIAPICAL selon Reit et Gröndhal (13) 0 = Périapex normal 1 = augmentation de l espace desmodontal mais lamina dura continue 2 = augmentation de l espace desmodontal mais lamina dura diffuse 3 = Image périapicale radioclaire? = Difficulté de lire la radiographie TABLEAU II - LE PRI, selon Reit (14) 1 : destruction osseuse périapicale presque certainement absente 2 : destruction osseuse périapicale probablement absente 3 : incertitude 4 : destruction osseuse périapicale probablement présente 5 : destruction osseuse périapicale presque certainement présente TABLEAU III - L INDEX PÉRIAPICAL PAI Brynolf (2) in Ørstavik et coll. (10) 1 stade N : normalité 2 stade 1 et 1x : inflammation faible, bénigne et chronique dans la majorité des cas. 3 stade 2 : inflammation moyenne, à bas bruit, qui agit comme un stimulus au niveau osseux. 4 stade 3 : inflammation sévère, pathologie avérée 5 stade 4 : inflammation sévère avec des pointes d exacerbation. 167

6 TABLEAU IV - SIGNES RADIOLOGIQUES ASSOCIÉS À L INDEX PÉRIAPICAL Stade N La zone osseuse est uniforme, avec des trabécules courtes orientées obliquement vers la zone radioclaire étroite et uniforme du ligament parodontal. La lamina dura est régulière. Stade 1 et 1x La structure osseuse a un aspect floconneux avec une augmentation caractéristique de la radio-opacité plus ou moins à distance de l apex. On peut également observer une légère augmentation de l épaisseur du ligament parodontal au niveau du foramen et la lamina dura est moins visible. Stade 2 Image caractéristique d un mur osseux plus ou moins épais ou en forme de coquille. Extension des trabécules osseuses vers la zone radioclaire. Epaississement ligamentaire variable, surtout présent en cas de dépassement de pâte. La lamina dura n est pas caractéristique, elle semble cependant repoussée. Stade 3 L image radiologique de la structure osseuse est en forme de mailles de filet plus ou moins déployées. Les trabécules osseuses ne s étendent pas vers la zone radioclaire. Il existe un épaississement du ligament parodontal en forme de ballon. La lamina dura n est pas caractéristique. Stade 4 Augmentation de la radio-opacité en forme de collier, coronairement à la zone radioclaire apicale. Destruction de la structure précédente avec une irrégularité des trabécules osseuses autour et dans la zone radioclaire. Augmentation prononcée du ligament parodontal. La lamina dura n est pas caractéristique. 168 REALITES CLINIQUES Vol. 12 n 2, 2001

7 La pulpe est en état inflammatoire et l extirpation pulpaire et le traitement endodontique sont indiqués. La santé apicale fait suite au traitement et l os périapical retrouve un aspect normal et aéré. Le diagnostic différentiel des lésions périapicales peut être posé avec les lésions suivantes : Parodontite d origine marginale Les parodontites d origine gingivale et d origine pulpaire peuvent mimer des caractéristiques cliniques et radiologiques identiques. Le tissu de granulation issu de la poche parodontale peut s étendre jusqu à la région apicale. Une lésion endo-parodontale vraie impose une double intervention parodontale et endodontique, car les deux lésions ont conflué. Cette situation doit être distinguée de la lésion endodontique vraie qui se draine par voie parodontale (fistule desmodontale). La fistule se tarit, l attache se reconstitue après le traitement endodontique. Fractures verticales Les fractures radiculaires verticales présentent un problème de diagnostic. Dans ces situations, l examen clinique et un sondage caractéristique symétrique sont déterminants. Ostéomyélite L ostéomyélite fait en général suite à une parodontite apicale avec participation de l os alvéolaire. Apparemment, l infection n est plus localisée au niveau de la dent elle-même mais intéresse l os. L image radiographique est très variable, avec des zones sclérotiques et ostéolytiques. Une variante connue sous le nom d ostéomyélite de Garré est caractérisée par une expansion de la corticale osseuse et de faibles signes cliniques. Le kyste parodontal Ce kyste est généralement localisé entre les racines des canines et prémolaires mandibulaires et a pour origine des cellules ou un tissu résiduel de la lame dentaire du ligament parodontal de la dent concernée. L aspect intact de la lamina dura, et les tests de vitalité positifs sur les dents concernées permettent de faire le diagnostic. L excision chirurgicale est de règle. CONCLUSION L analyse du succès ou de l échec d un traitement endodontique est étroitement liée à l éradication complète de l infection du système canalaire. L évaluation clinique est fondée sur la non-apparition ou la disparition des symptômes, mais elle doit être contrôlée à long terme. Cela devient alors possible en comparant les clichés pré- opératoires avec des clichés post-opératoires tant immédiats que pris lors du contrôles successifs. Les critères radiologiques du succès endodontique sont classiquement une épaisseur et un contour du ligament parodontal normaux. En présence d un dépassement toléré, l existence d une légère zone radioclaire autour du ciment d obturation extrusé est considérée comme normale et cliniquement acceptable. Un échec est diagnostiqué par une radio clarté apicale inchangée, nouvelle ou augmentée. Selon Ørstavik (9), la majorité des parodontites apicales guérissent en un an ; cet intervalle de temps est donc considéré comme un bon indicateur de prévision de la guérison du périapex. L. MATOSSIAN et coll. 169

8 BIBLIOGRAPHIE Correspondance : Léonardo Matossian 55 rue Vaneau Paris FRANCE matossian@wanadoo.fr 1. BENDER I.B. - Factors influencing the radiographic appearance of bony lesions. J Endod 23 : 5-14, BRYNOLF I. - Radiography of the periapical region as a diagnostic aid. II. Diagnosis of pulp-related changes. Dental Radiography and Photography 52 : 25-47, ERICKSEN H.M., BERSET G.P., HANSEN B.F. et BJERTNESS E. - Changes in endodontics status among 35-years olds in Oslo, Norway. Int Endod J 2 : , KALEKA R. - La radiographie intraorale en omnipratique : une affaire de qualité. Formation Médico-Dentaire Continue, Inf Dent mars KEREKES K. et TRONSTAD L. - Long term results of endodontic treatment performed with a standardized technique J Endod 5 : 83-90, MATTSON O. - A magnifying viewer for photofluorographic films. Acta Radiologica 39 : , MUHAMMED AH, MANSON-RING LR et ALA B. - A comparison of panoramic and intraoral radiographic surveys in evaluating a dental clinic population. Oral Surg Oral Med Oral Pathol Oral Radio Endo 54 : , NAIR P.N.R - Pathology of Apical Periodontitis in ØRSTAVIK D., PITT FORD TR. Essential Endodontology. Oxford : Blackwell Science 1998 : Pp ØRSTAVIK D. - Time-course and risk analyses of the development and healing of chronic apical peridontis in man. Int Endod J 29 : , ØRSTAVIK D. - Reliability of the periapical index scoring system. Scand J Dent Res 96 : , ØRSTAVIK D. - Radiology of Apical Periodontitis In : ØRSTAVIK, D., PITT FORD TR. Essential Endodontology. Oxford : Blackwell Science Pp ØRSTAVIK D, KEREKES K et ERIKSEN HM. - The periapical index : a scoring system for radiographic assesment of apical periodontitis. Endod Dent Traumatol 2 : 20-34, REIT C. et GRÖNDHAL H.G. - Application of statistical decision theory to radiographic diagnosis of endodontically treated teeth. Scandinavian J Dent Res 91, , REIT C. - The influence of observer calibration on radiographic periapical diagnosis. Int Endod J 20 : 75-81, SIMON J.H.S. - Periapical Pathology, In : COHEN S et BURNS R. Pathways of the pulp. 7th St Louis : Mosby Pp RÉSUMÉ INTERPRÉTATION RADIOLOGIQUE DES IMAGES PÉRI-RADICULAIRES La radiographie est incontournable dans toutes les étapes du traitement endodontique. Une bonne interprétation des clichés est un élément clé pour poser le diagnostic et cela nécessite des connaissances sémiologiques spécifiques. Le but de cet article est de mettre en avant l'intérêt d'un index péri apical qui permet une évaluation objective plutôt que subjective de l'état radiologique péri apical grâce à une corrélation étroite avec l'histologie. ABSTRACT RADIOGRAPHIC ASSESSMENT OF PERIRADICULAR STRUCTURES Radiography is used at any stage during endodontic treatment. Good interpretation of the X-rays is a key factor for diagnosis of pulp diseases and for that, specific knowledge is required. The aim of this article is to point out the usefulness of the periapical index (PAI) to assess the periapical status of teeth associated with apical periodontitis. Based on the correlation between histopathology and radiographic images, the PAI enables an objective and not a subjective evaluation of the radiographic appearance of the periapical tissues. RESUMEN INTERPRETACIÓN RADIOLÓGICA DE LAS IMÁGENES PERIRADICULARES La radiografía es ineludible en todas las etapas del tratamiento endodóncico. Una buena interpretación de los clichés es un elemento clave para plantear el diagnóstico y esto necesita conocimientos semiológicos específicos. El objetivo de este artículo es destacar el interés de un índice periapical que permita una evaluación más bien objetiva que subjetiva del estado radiológico periapical, gracias a una estrecha correlación con la histología. 170 REALITES CLINIQUES Vol. 12 n 2, 2001

PAN CEPH 3D CAS CLINIQUES. Apport du cône beam en cabinet dentaire

PAN CEPH 3D CAS CLINIQUES. Apport du cône beam en cabinet dentaire PAN CEPH 3D CAS CLINIQUES Apport du cône beam en cabinet dentaire CAS CLINIQUES - IMAGERIE 3D Introduction Bonjour, Nous vous invitons à découvrir dans cette brochure quelques exemples concrets de l apport

Plus en détail

Concours d Internat et de Résidanat

Concours d Internat et de Résidanat Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une

Plus en détail

Tuméfaction douloureuse

Tuméfaction douloureuse Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire

Plus en détail

Cavité buccale et système dentaire

Cavité buccale et système dentaire Cavité buccale et système dentaire I. Introduction La cavité buccale forme la 1 ère cavité du tube digestif. Les dents ont un rôle : Fonctionnel : mastication, déglutition, phonation Esthétique : expression

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes

Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes élaboré pour le SDI par Graziella Secci hygiéniste dentaire g_secci@bluewin.ch SDI 2006 / 2007; Ed. n 1 La cavité buccale - Anatomie

Plus en détail

PROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE

PROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques

Plus en détail

UNIVERSITE BADJI MOKHTAR - ANNABA FACULTE DE MEDECINE DEPARTEMENT DE CHIRURGIE DENTAIRE SERVICE DE PARODONTOLOGIE. 4 ème Année MOBILITE DENTAIRE

UNIVERSITE BADJI MOKHTAR - ANNABA FACULTE DE MEDECINE DEPARTEMENT DE CHIRURGIE DENTAIRE SERVICE DE PARODONTOLOGIE. 4 ème Année MOBILITE DENTAIRE UNIVERSITE BADJI MOKHTAR - ANNABA FACULTE DE MEDECINE DEPARTEMENT DE CHIRURGIE DENTAIRE SERVICE DE PARODONTOLOGIE Dr M.ZAGHEZ Polycopie de Parodontologie http://zaghez.net76.net/ 4 ème Année MOBILITE DENTAIRE

Plus en détail

Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)

Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins

Plus en détail

POINT DE CONTACT ET LIMITE CERVICO-PROXIMALE DES RESTAURATIONS OCCLUSO-PROXIMALES A L AMALGAME Evaluation clinique

POINT DE CONTACT ET LIMITE CERVICO-PROXIMALE DES RESTAURATIONS OCCLUSO-PROXIMALES A L AMALGAME Evaluation clinique POINT DE CONTACT ET LIMITE CERVICO-PROXIMALE DES RESTAURATIONS OCCLUSO-PROXIMALES A L AMALGAME Evaluation clinique GAYE F., MBAYE M., KANE A. W., DIAGNE A., DIOP-THIAW F., SARR M. 1 - INTRODUCTION La restauration

Plus en détail

La CCAM pour l activité bucco-dentaire. Cahier d exercices. au quotidien, quelques exemples

La CCAM pour l activité bucco-dentaire. Cahier d exercices. au quotidien, quelques exemples La CCAM pour l activité bucco-dentaire Cahier d exercices au quotidien, quelques exemples Obturation 3 faces sur 46 NGAP Cavité composée, traitement global intéressant trois faces et plus SC 17 CCAM HBMD038

Plus en détail

LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES

LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES Le Diagnostic : Il repose sur l écoute du patient, l examen clinique, le sondage, la radiographie. L inflammation gingivale peut être

Plus en détail

Université Saint Joseph Faculté de Médecine Dentaire Epreuves de sélection CES/Master Spécialisation Année universitaire 2015-2016

Université Saint Joseph Faculté de Médecine Dentaire Epreuves de sélection CES/Master Spécialisation Année universitaire 2015-2016 Université Saint Joseph Faculté de Médecine Dentaire Epreuves de sélection CES/Master Spécialisation Année universitaire 2015-2016 Orthodontie Ma. 07/07/2015 Je. 09/07/2015 Ve. 10/07/2015 Sa. 11/07/2015

Plus en détail

Implants dentaires. Informations sur la maintenance implantaire à destination des professionnels dentaires GUIDE DESTINÉ AUX PROFESSIONNELS DENTAIRES

Implants dentaires. Informations sur la maintenance implantaire à destination des professionnels dentaires GUIDE DESTINÉ AUX PROFESSIONNELS DENTAIRES Implants dentaires Informations sur la maintenance implantaire à destination des professionnels dentaires GUIDE DESTINÉ AUX PROFESSIONNELS DENTAIRES Introduction La réussite d une thérapeutique implantaire

Plus en détail

FRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.

FRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom. GiANO - R14.1 - FR FRANCAIS Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.it Produit par : CEFLA S.C. - CEFLA DENTAL GROUP Via

Plus en détail

DESCRIPTION DE LA GARANTIE D ASSURANCE SOINS DENTAIRES

DESCRIPTION DE LA GARANTIE D ASSURANCE SOINS DENTAIRES Frais admissibles DESCRIPTION DE LA GARANTIE D ASSURANCE SOINS DENTAIRES Les frais admissibles sont les frais raisonnablement engagés, recommandés par une ou un dentiste et justifiés par la pratique courante

Plus en détail

Département de chirurgie dentaire Service de parodontologie Dr ZAGHEZ M. Polycopies de parodontologie

Département de chirurgie dentaire Service de parodontologie Dr ZAGHEZ M. Polycopies de parodontologie Université BADJI Mokhtar Département de chirurgie dentaire Service de parodontologie Faculté de Médecine Dr ZAGHEZ M. Polycopies de parodontologie Introduction : 1. Définitions 2. Objectifs 3. Classification

Plus en détail

RÉSUMÉ DES PROTECTIONS ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME DE BASE À L INTENTION DES MEMBRES ORDRE DES COMPTABLES PROFESSIONNELS AGRÉÉS DU QUÉBEC

RÉSUMÉ DES PROTECTIONS ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME DE BASE À L INTENTION DES MEMBRES ORDRE DES COMPTABLES PROFESSIONNELS AGRÉÉS DU QUÉBEC RÉSUMÉ DES PROTECTIONS ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME DE BASE À L INTENTION DES MEMBRES ORDRE DES COMPTABLES PROFESSIONNELS AGRÉÉS DU QUÉBEC TABLE DES MATIÈRES ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME DE BASE

Plus en détail

TOURÉ B.*, AZOGUI-LÉVY S.**, DZARA I.**, AZÉRAD J.*** BOUCHER Y.***

TOURÉ B.*, AZOGUI-LÉVY S.**, DZARA I.**, AZÉRAD J.*** BOUCHER Y.*** Qualité des traitements endodontiques dans un échantillon de patients consultant en urgence dans le service d odontologie du GHPS. Mots clés : ENDODONTIE Endodontie Urgence Épidémiologie Quality of endodontic

Plus en détail

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,

Plus en détail

UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C

UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C CS 9300 / CS 9300C UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que

Plus en détail

NOMENCLATURE DES ACTES PROFESSIONNELS DES CHIRURGIENS-DENTISTES DE MONACO

NOMENCLATURE DES ACTES PROFESSIONNELS DES CHIRURGIENS-DENTISTES DE MONACO NOMENCLATURE DES ACTES PROFESSIONNELS DES CHIRURGIENS-DENTISTES DE MONACO ARRETE MINISTERIEL N 84-688 DU 30 NOVEMBRE 1984 MODIFIE PAR : L Arrêté Ministériel n 98-633 du 21 décembre 1998 L Arrêté Ministériel

Plus en détail

D.E.SU. «Parodontologie en Pratique Clinique» (2015-2016)

D.E.SU. «Parodontologie en Pratique Clinique» (2015-2016) D.E.SU. «Parodontologie en Pratique Clinique» (2015-2016) 1 er Séminaire : UE 1 : Les maladies parodontales : étiopathogénie, diagnostic et plan de traitement. UE 2 : La phase étiologique de la thérapeutique

Plus en détail

Il faut avant de détailler ces différentes. Lésions. infra osseuses. Stratégie de traitement. Parodontologie. Gepi. Gepi

Il faut avant de détailler ces différentes. Lésions. infra osseuses. Stratégie de traitement. Parodontologie. Gepi. Gepi Gepi Gepi 3w 2w 2 * 1 2 * 1 3 Lésions infra osseuses 1. Lésion infra osseuses à 3 et 2 parois. Stratégie de traitement Catherine Mattout Rubrique Gepi Une meilleure compréhension des mécanismes de la cicatrisation

Plus en détail

Formation en Implantologie

Formation en Implantologie COURS EN IMPLANTOLOGIE Saint - Domingue (République Dominicaine) Pratique clinique sur patients dr.lebbar@lapostre.net +212(0) 5 37 68 32 03 COURS PRATIQUE EN IMPLANTOLOGIE À SAINT - DOMINGUE Pratiques

Plus en détail

CATALOGUE OEIL DENTAIRE 2015 : CHIRURGIE MUCO-GINGIVALE

CATALOGUE OEIL DENTAIRE 2015 : CHIRURGIE MUCO-GINGIVALE CATALOGUE OEIL DENTAIRE 2015 : CHIRURGIE MUCO-GINGIVALE CHIRURGIE MUCO-GINGIVALE : 41 vidéos» CCL347 La régénération parodontale» CCL333 Pose d'un implant en 14 en un temps chirugical avec greffe de conjonctif

Plus en détail

Une ère nouvelle d imagerie dentaire

Une ère nouvelle d imagerie dentaire FRANÇAIS Une ère nouvelle d imagerie dentaire L appareil à rayons X révolutionnaire Planmeca ProMax permet un vaste choix de modalités d imagerie radiographique extra-orale pour répondre aux besoins de

Plus en détail

RÉGIME D ASSURANCE SANTÉ FSSS-FP (CSN)

RÉGIME D ASSURANCE SANTÉ FSSS-FP (CSN) Cette version électronique de l assurance soins dentaires est tirée du Régime d assurance collective à l intention des personnes salariées du secteur de la Santé et des Services sociaux FSSS-FP (CSN).

Plus en détail

Optez pour une meilleure préparation canalaire avec la technologie Adaptive.

Optez pour une meilleure préparation canalaire avec la technologie Adaptive. Optez pour une meilleure préparation canalaire avec la technologie Adaptive. La préparation d un canal est souvent une opération complexe pour le dentiste. Le mouvement technologique Adaptive relève cependant

Plus en détail

Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.

Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie intra buccale : méthode de réalisation. Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie numérique est un formidable outil de communication pour nos patients

Plus en détail

DESCRIPTION DES SOINS DENTAIRES ET OCULAIRES. assuré par. Contrat 5492 Participants actifs

DESCRIPTION DES SOINS DENTAIRES ET OCULAIRES. assuré par. Contrat 5492 Participants actifs DESCRIPTION DES SOINS DENTAIRES ET OCULAIRES assuré par Contrat 5492 Participants actifs En vigueur le 2 avril 2010 DESCRIPTION SOMMAIRE SOINS DENTAIRES Frais de prévention (ex. : examen, radiographie,

Plus en détail

Straumann Emdogain AVANT QU IL NE SOIT TROP TARD

Straumann Emdogain AVANT QU IL NE SOIT TROP TARD Straumann Emdogain AVANT QU IL NE SOIT TROP TARD PRÉSERVATION DES DENTS AVEC STRAUMANN EMDOGAIN Entre 5 et 15 % de la population souffre de parodontite sévère pouvant induire la perte de dents 1,2 Les

Plus en détail

l implantologie basale

l implantologie basale Plaquette n 17 6/11/08 11:04 Page 1 Apport de l implantologie basale dans les reconstructions implantaires fixes : une alternative aux greffes osseuses? Denis DOUGNAC-GALANT L omnipraticien est, dans son

Plus en détail

soins dentaires CCAM Base du remboursement

soins dentaires CCAM Base du remboursement soins dentaires CCAM Base du remboursement Consultation C 23,00 Radiographie panoramique HBQK002 21,28 Détartrage et polissage des dents HBJD001 28,92 Inlay/onlay sur 1 face Inlay/onlay sur 2 faces Inlay/onlay

Plus en détail

Optimalisation des techniques prothétiques de réhabilitation orale grâce à l orthodontie : analyse d un cas clinique

Optimalisation des techniques prothétiques de réhabilitation orale grâce à l orthodontie : analyse d un cas clinique Optimalisation des techniques prothétiques de réhabilitation orale grâce à l orthodontie : analyse d un cas clinique C. Lies (1), S. Fernandez (2), M. Limme (3), A. Vanheusden (4) RÉSUMÉ : Ce cas clinique

Plus en détail

Recherche alphabétique : A-B-C-D-E-F-G-I-M-O-P-R-S-T

Recherche alphabétique : A-B-C-D-E-F-G-I-M-O-P-R-S-T lexiquedentaire Recherche alphabétique : A-B-C-D-E-F-G-I-M-O-P-R-S-T A Adjointe Prothèse adjointe : Prothèse amovible, totale ou partielle, caractérisée par la présence d une plaquebase ; Amovible Prothèse

Plus en détail

INTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2014

INTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2014 INTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2014 HONO. INTERVENTION Prestations jusqu'au 18 e anniversaire CONSULTATIONS DG 37 101 1 N 5 3 consultation du dentiste généraliste, MSS ou MD au cabinet 21,60 = = 37

Plus en détail

Réhabilitation prothétique en cas d édentation partielle: fixe amovible combinée? Céramo-métallique tout céramique? Implants? Tout est possible!

Réhabilitation prothétique en cas d édentation partielle: fixe amovible combinée? Céramo-métallique tout céramique? Implants? Tout est possible! 162 RATIQUE QUOTIDIENNE ET FORMATION COMLÉMENTAIRE BIBLIOGRAHIE VOIR TEXTE ALLEMAND, AGE 154 Dagmar Schnabl Clinique universitaire de prothèse dentaire et de médecine dentaire conservatrice, Innsbruck

Plus en détail

L imagerie dentaire 3 D.

L imagerie dentaire 3 D. L imagerie dentaire 3 D. Tomographie, tomodensitométrie, Scanner (Ct Scan), tomographie volumétrique à faisceau conique ou CBCT (Cone Beam Computerized Tomography) tous ce termes font appel à la reconstitution

Plus en détail

La santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire

La santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire La santé bucco-dentaire au cabinet Santé OMS Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire Colloque MPr 14 septembre 2011 Dr J-P Carrel Division de stomatologie, chirurgie orale et radiologie dento-maxillo-faciale

Plus en détail

RECOMMANDATIONS ET RÉFÉRENCES DENTAIRES 1996

RECOMMANDATIONS ET RÉFÉRENCES DENTAIRES 1996 RECOMMANDATIONS ET RÉFÉRENCES DENTAIRES 1996 Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés, réservés pour tous pays. Toute reproduction ou représentation intégrale ou partielle,

Plus en détail

Un patient de 58 ans nous est. Mise en place d un implant au travers de tissu dentaire. Vers un changement de paradigme? Implantologie.

Un patient de 58 ans nous est. Mise en place d un implant au travers de tissu dentaire. Vers un changement de paradigme? Implantologie. formation Implantologie Mise en place d un implant au travers de tissu dentaire Vers un changement de paradigme? Mithridade Davarpanah, Serge Szmukler-Moncler Keyvan Davarpanah, Philippe Rajzbaum Le but

Plus en détail

L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE

L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour

Plus en détail

Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif

Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Un système simple et évolutif Scanner Ceph - Temps d'exposition : minimum 4 sec - Mode HD Fonction de prévisualisation Décidez ainsi immédiatement

Plus en détail

Programme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse

Programme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse Programme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse Mardi 24 janvier2012 au vendredi 27 janvier 2012 Informations générales Intervenants Dr

Plus en détail

INTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2013

INTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2013 INTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2013 HONO. INTERVENTION Prestations jusqu'au 18 e anniversaire CONSULTATIONS DG 37 101 1 N 5 consultation du dentiste généraliste, MSS ou MD au cabinet 21,31 = = 37

Plus en détail

Positionnement de l implant

Positionnement de l implant HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR

Plus en détail

Centre desoins Dentaires 1/5

Centre desoins Dentaires 1/5 2.1.3. PRESTATIONS CENTRE DE SOINS DENTAIRES 2.1.3.1. PRESTATIONS ODONTOLOGIQUES (decision 02/05/12) - tarif 2013 *à chaque fois qu'il y aura métal précieux et/ou usinage, cela sera facturé en supplément

Plus en détail

Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale

Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale Guide Reconnaissance par la SSO du statut de praticien généraliste Le certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale

Plus en détail

RÉSUMÉ DES PROTECTIONS ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME COMPLET À L INTENTION DES MEMBRES ORDRE DES COMPTABLES PROFESSIONNELS AGRÉÉS DU QUÉBEC

RÉSUMÉ DES PROTECTIONS ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME COMPLET À L INTENTION DES MEMBRES ORDRE DES COMPTABLES PROFESSIONNELS AGRÉÉS DU QUÉBEC RÉSUMÉ DES PROTECTIONS ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME COMPLET À L INTENTION DES MEMBRES ORDRE DES COMPTABLES PROFESSIONNELS AGRÉÉS DU QUÉBEC TABLE DES MATIÈRES ASSURANCE SOINS DENTAIRES RÉGIME COMPLET

Plus en détail

cursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage

cursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage cursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage Validé par un certificat - Crédit de 200 points Accrédité par le Conseil National de la Formation Continue en Odontologie Numéro d accréditation

Plus en détail

Codes dentaires, sujets à changements sans préavis.

Codes dentaires, sujets à changements sans préavis. Codes dentaires, sujets à changements sans préavis. PARTIE 1 DENTISTE GÉNÉRALISTE 00011 Exam. buccal pour les patients âgés de 3 ans et moins 01601 Examen général/diagnostic, chirurgie 01101 Examen complet/diagnostic,

Plus en détail

teknika FORMATIONS 2015 // 2016

teknika FORMATIONS 2015 // 2016 teknika FORMATIONS 2015 // 2016 CYCLES COMPLETS CYCLE COMPLET D'IMPLANTOLOGIE OBJECTIFS Délivrer l ensemble des bases et clés de réussite du traitement implantaire au travers d une formation très complète,

Plus en détail

Brochure Patients. Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi.

Brochure Patients. Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi. Brochure Patients Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi. Les implants dentaires : la meilleure option de traitement. Qu est-ce qu un implant dentaire?

Plus en détail

Service évaluation des actes professionnels

Service évaluation des actes professionnels TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS

Plus en détail

1) Indemnité horo-kilométrique par km DK1 0,47 2,30

1) Indemnité horo-kilométrique par km DK1 0,47 2,30 TARIFS DE LA NOMENCLATURE DES ACTES ET SERVICES DES MEDECINS-DENTISTES TENANT COMPTE DE L'ARTICLE 4DES DISPOSITIONS FINANCIERES DE LA LOI DU 17 DECEMBRE 2010, PAR DEROGATION A L'ARTICLE 65 DU CODE DE LA

Plus en détail

La Nomenclature Générale des Actes Professionnels et la Classification Commune des Actes Médicaux

La Nomenclature Générale des Actes Professionnels et la Classification Commune des Actes Médicaux La Nomenclature Générale des Actes Professionnels et la Classification Commune des Actes Médicaux Nomenclature Avril DRSM 2006 Générale PACA-Corse des -Actes La Nomenclature Professionnels générale des

Plus en détail

Retrouvez votre Sourire! Les implants dentaires peuvent vous aider à retrouver un sourire naturel.

Retrouvez votre Sourire! Les implants dentaires peuvent vous aider à retrouver un sourire naturel. Retrouvez votre Sourire! Les implants dentaires peuvent vous aider à retrouver un sourire naturel. La Valeur d un Sourire 2 Qu est ce qu un implant dentaire? 3 Comparaison entre implant et dent naturelle

Plus en détail

Monsieur L., âgé de 20 ans, consulte en urgence pour

Monsieur L., âgé de 20 ans, consulte en urgence pour Cabinet Laboratoire R e s t a u r a t i o n p ro t h é t i q u e d une canine maxillaire fracturée G. FOUGERAIS, chirurgien-dentiste J. LE PAN, prothésiste dentaire Comment évalue-t-on les conséquences

Plus en détail

Diplôme Universitaire d Implantologie Franco-Canadien (DUIFC) Niveau avancé REGLEMENT DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES

Diplôme Universitaire d Implantologie Franco-Canadien (DUIFC) Niveau avancé REGLEMENT DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES Diplôme Universitaire d Implantologie Franco-Canadien (DUIFC) Niveau avancé REGLEMENT DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES Vu la loi 84-52 du 26 janvier 1984 sur l enseignement supérieur ; Vu le décret n 84-573

Plus en détail

Piliers en or sans engagement. Guide de restauration

Piliers en or sans engagement. Guide de restauration Piliers en or sans engagement Guide de restauration 86 Options de restauration avec les composants en or sans engagement Lespiliers en or sans engagement sont utilisés pour réaliser des restaurations sur

Plus en détail

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

La fiabilité, maintenant acquise des résultats obtenus dans l utilisation des techniques d autogreffes dentaires

La fiabilité, maintenant acquise des résultats obtenus dans l utilisation des techniques d autogreffes dentaires L autogreffe dentaire est-elle toujours d actualité? Mots clés : Autogreffe dentaire Transplantation Indication Is a dental auto-transplant still a possibility? Keywords : Dental auto-transplant Transplant

Plus en détail

Implants SPI SPI. L'Implant Original Spiralé

Implants SPI SPI. L'Implant Original Spiralé Implants SPI SPI L'Implant Original Spiralé La Société Alpha-Bio TEC. Depuis plus de 27 ans, Alpha-Bio Tec a toujours été à la pointe pour développer, fabriquer et commercialiser des implants, des composants

Plus en détail

Service de Médecine Dentaire Spécialisée

Service de Médecine Dentaire Spécialisée Clinique Saint-Jean ASBL Service de Médecine Dentaire Spécialisée a santé au cœur de Bruxelles Clinique Saint-Jean Bienvenue Le service de médecine dentaire spécialisée de la clinique Saint-Jean vous souhaite

Plus en détail

LA DENTISTERIE PÉDIATRIQUE

LA DENTISTERIE PÉDIATRIQUE Programme de formation dentaire continue 2011-2012 LA DENTISTERIE PÉDIATRIQUE Dre Stéphane R. Schwartz ou Dr Duy-Dat Vu 1 LA DENTISTERIE PÉDIATRIQUE Introduction Tous les cours en dentisterie pédiatrique

Plus en détail

TRAITEMENTS MEDICO-DENTAIRES

TRAITEMENTS MEDICO-DENTAIRES TRAITEMENTS MEDICO-DENTAIRES LES PRESTATIONS POUR SOINS DE MEDECINE DENTAIRE Dispositions communes 1. L intervention de la CMCM se limite aux prestations pour soins de médecine dentaire prévues aux tarifs

Plus en détail

Manuel pour l examen spécialisé SSRD

Manuel pour l examen spécialisé SSRD Swiss Society for Reconstructive Dentistry Schweizerische Gesellschaft für Rekonstruktive Zahnmedizin Société Suisse de Médecine Dentaire Reconstructive Società Svizzera di odontoiatria Ricostruttiva En

Plus en détail

Traumatologie en odontostomatologie du sport

Traumatologie en odontostomatologie du sport Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2002, 45-4 95 Traumatologie en odontostomatologie du sport Alain GARUET * Au XX e siècle le sport a été àla fois un facteur de paix, de distraction et de divertissement.

Plus en détail

Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie

Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie Vongmany, Antoinette Césari, Laurence Rolland-Burger, Catherine

Plus en détail

DOCUMENT D AIDE À LA FACTURATION CHIRURGIENS DENTISTES

DOCUMENT D AIDE À LA FACTURATION CHIRURGIENS DENTISTES DOCUMENT D AIDE À LA FACTURATION CHIRURGIENS DENTISTES TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 1 ADMISSIBILITÉ DE LA PERSONNE ASSURÉE... 4 1.1. PRESTATAIRE D UNE AIDE FINANCIÈRE DE DERNIER RECOURS Ministère

Plus en détail

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:

Plus en détail

NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS (Extraits concernant les chirurgiens-dentistes)

NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS (Extraits concernant les chirurgiens-dentistes) NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS (Extraits concernant les chirurgiens-dentistes) D après les textes suivants ARRETE du 27 mars 1972 Nomenclature générale des actes professionnels des médecins,

Plus en détail

Situation Agent Schéma posologique*

Situation Agent Schéma posologique* Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration

Plus en détail

Retrouver une qualité de vie. Les implants dentaires : la meilleure solution naturelle. Education des patients

Retrouver une qualité de vie. Les implants dentaires : la meilleure solution naturelle. Education des patients Retrouver une qualité de vie. Les implants dentaires : la meilleure solution naturelle. Education des patients Les implants dentaires : la meilleure option de traitement. Qu est-ce qu un implant dentaire?

Plus en détail

OP200 D ORTHOCEPH ORTHOPANTOMOGRAPH OC200 D. VT Tomographie Volumétrique OP200 D OC200 D VT. VT Tomographie Volumétrique

OP200 D ORTHOCEPH ORTHOPANTOMOGRAPH OC200 D. VT Tomographie Volumétrique OP200 D OC200 D VT. VT Tomographie Volumétrique OP200 D OC200 D VT Imagerie panoramique numérique Imagerie céphalométrique dentaire numérique VT Tomographie Volumétrique ORTHOPANTOMOGRAPH OP200 D ORTHOCEPH OC200 D VT Tomographie Volumétrique 1 À la

Plus en détail

En partenariat avec www.dentalformation.com Le grand portail de la formation dentaire

En partenariat avec www.dentalformation.com Le grand portail de la formation dentaire En partenariat avec www.dentalformation.com Le grand portail de la formation dentaire Faculté de Chirurgie Dentaire de Garancière L EsThéTiquE En implantologie sous la direction de anne BenHaMou Objectifs

Plus en détail

Réhabilitation prothétique en cas d édentation partielle: fixe amovible combinée? Céramo-métallique tout céramique? Implants? Tout est possible!

Réhabilitation prothétique en cas d édentation partielle: fixe amovible combinée? Céramo-métallique tout céramique? Implants? Tout est possible! 168 RATIQUE QUOTIDIENNE ET FORMATION COMLÉMENTAIRE BIBLIOGRAHIE VOIR TEXTE ALLEMAND, AGE 161 Dagmar Schnabl Clinique universitaire de prothèse dentaire et de médecine dentaire conservatrice, Innsbruck

Plus en détail

Pourquoi et comment dépister la plus fréquente des infections buccales?

Pourquoi et comment dépister la plus fréquente des infections buccales? L A B O U C H E R É V È L E L E S S E C R E T S D U C O R P S Pourquoi et comment dépister la plus fréquente des infections buccales? 3 par Daniel Picard Roger, un camionneur de 44 ans, souffre d un embonpoint

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

Règlement SSO relatif à la formation complémentaire de l assistante dentaire

Règlement SSO relatif à la formation complémentaire de l assistante dentaire Règlement SSO relatif à la formation complémentaire de l assistante dentaire L emploi ci-après du féminin n est pas discriminatoire et s applique aux personnes des deux sexes. 1. Cours de formation complémentaire

Plus en détail

ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE

ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des

Plus en détail

L HYGIÉNISTE DENTAIRE ET L ONCOLOGIE

L HYGIÉNISTE DENTAIRE ET L ONCOLOGIE L HYGIÉNISTE DENTAIRE ET L ONCOLOGIE Par Monique Gemme, H.D., diplômée du Cégep Édouard- Montpetit en 1988, pratiquant depuis 1989 au centre de Prosthodontie Maxillo-Faciale de L hôpital Notre-Dame du

Plus en détail

Dossier Administratif du Patient

Dossier Administratif du Patient Handident Franche-Comté CHBM - service ORL (Docteur LEGER) Cadre réservé Handident FC N adhérent au réseau Handident FC 2, rue du Docteur Flamand 25209 MONTBELIARD Cedex Dossier Administratif du Patient

Plus en détail

La préclinique de l UCL fait peau neuve

La préclinique de l UCL fait peau neuve LE POINT Journal officiel de la Société de Médecine Dentaire asbl Association Dentaire Belge Francophone Janvier - Février 2013 n 236 www.dentiste.be Editeur responsable : Michèle DEVRIESE Maison des Dentistes

Plus en détail

Dental avulsions : emergency management.

Dental avulsions : emergency management. PATHOLOGIE Expulsions dentaires : conduite à tenir en urgence. Mots clés : Protocole Réimplantation Traitement urgence Traumatisme dentaire Dental avulsions : emergency management. Keywords : Protocol

Plus en détail

Information pour le patient

Information pour le patient Information pour le patient Plus de qualité de vie avec des implants dentaires SWISS PRECISION AND INNOVATION. 1 Table des matières Quelle est l importance des dents pour notre qualité de vie? 4 Qu est-ce

Plus en détail

Et si on vous offrait un Autoclave? *

Et si on vous offrait un Autoclave? * Spécial ADF 2014 Edition septembre 2014 Et si on vs offrait un Autoclave? * *Offre en page 10 www.idisystem.fr Tél : +33 (0)1 48 70 70 48 #IDI_vs_gâte! Depuis 1987, Implants Diffusion International, société

Plus en détail

IMPORTANT. La présente brochure contient les dispositions générales du contrat d assurance.

IMPORTANT. La présente brochure contient les dispositions générales du contrat d assurance. IMPORTANT La présente brochure contient les dispositions générales du contrat d assurance. Nous vous prions de référer au Sommaire des garanties afin de connaître les protections spécifiques à votre contrat,

Plus en détail

Décrite dès les années 1970, à ce jour, Les hypominéralisations molaires-incisives. Diagnostic et prise en charge adaptée. Odontologie pédiatrique

Décrite dès les années 1970, à ce jour, Les hypominéralisations molaires-incisives. Diagnostic et prise en charge adaptée. Odontologie pédiatrique Odontologie pédiatrique hypominéralisations formation Les hypominéralisations molaires-incisives Diagnostic et prise en charge adaptée Patrick Rouas, MCU/PH en Odontologie pédiatrique, Université de Bordeaux,

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

Échographie normale et pathologique du grand pectoral

Échographie normale et pathologique du grand pectoral Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,

Plus en détail

LES DIFFERENTS TYPES DE MESURE

LES DIFFERENTS TYPES DE MESURE LES DIFFERENTS TYPES DE MESURE Licence - Statistiques 2004/2005 REALITE ET DONNEES CHIFFREES Recherche = - mesure. - traduction d une réalité en chiffre - abouti à des tableaux, des calculs 1) Qu est-ce

Plus en détail

L implantologie : l art parfait du camouflage grâce à la technologie CFAO

L implantologie : l art parfait du camouflage grâce à la technologie CFAO étude de cas _ L implantologie : l art parfait du camouflage grâce à la technologie CFAO Auteur_ Fig. 1 Fig. 2 Fig. 3 Fig. 1_État initial. Fig. 2_Bridge Maryland prêt à la pose. Fig. 3_Extraction. Fig.

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE. Inscription de l activité : / Type d autorisation : Agrément délivré par la Direction des Services de Santé de la Wilaya

FICHE TECHNIQUE. Inscription de l activité : / Type d autorisation : Agrément délivré par la Direction des Services de Santé de la Wilaya FICHE TECHNIQUE Intitulé du métier ou de l activité : Chirurgie Dentaire Codification NAA : NN8514 Codification ONS : 85.12 Codification Agriculture : / Codification Artisanat : / Codification CNRC : /

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Etude de l activité chirurgicale des praticiens libéraux en Auvergne

Etude de l activité chirurgicale des praticiens libéraux en Auvergne Article original Etude de l activité chirurgicale des praticiens libéraux en Auvergne Study of surgical activity by liberal practitioners in Auvergne LAURENT DEVOIZE**, AURELIEN DURAND*, STEPHANIE TUBERT-JEANNIN***,

Plus en détail